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C'est officiel: Banj est fier d'annoncer les 2 startups #CASHMOBILEet #RADIOKAM qui seront accélérées pendant 4 mois à la Maison du Pragmatisme.

Moment historique pour toute l'équipe de Banj qui a travaillé pendant plusieurs mois sur les meilleurs concepts en tenant compte de la réalité entrepreneuriale haïtienne et les meilleures ressources disponibles en Haiti et ailleurs.

BIENVENUE DANS LA FAMILLE CASH et KAM! Une nouvelle aventure commence, un nouveau challenge pour Banj. ‪ Plus de $100,000 de ressources seront mises à leur disposition pour un décollage en 4 mois et l’accès à des investisseurs anges du réseau de Banj!

📸@Haitibrand

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Startup Grind PaP à #Banj ce Jeudi 26 Juillet était extraordinaire. Merci à tous ceux qui ont visité @Banjht pour la première fois et un grand merci à Hugline Jérôme de son énergie. Toutes les photos sur https://flic.kr/s/aHsmfPgtgu 

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Startup Grind for its 13th edition is hosting Hugline Jerome, founder of Dream Promo, A company born from a dream to not only enhance the quality of performances in Haiti, but also to enhance the image of Haiti on the international scene by the professional representation of its cultural potential and the promotion of an artistic production of international standard.

https://www.startupgrind.com/events/details/startup-grind-port-au-prince-presents-hugline-jerome-dream-promo#/

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Créer son « Minimum Viable Product »

Qu'est-ce que les applications très réussies comme Facebook, Uber, Instagram ,Twitter, et WhatsApp ont en commun ?

Elles ont toutes commencées comme quelque chose de beaucoup plus simple qu'elles ne le sont aujourd'hui. Ces applications matures, résultent d'années de développement et d'innombrables mises à jour. Développer une application de cette envergure nécessite beaucoup de temps et un investissement important - un fait qui est souvent sous-estimé et mal compris.

Avant d'arriver aux dizaines et mêmes aux centaines de fonctionnalités toutes les applications et/ou services passent par la création d'un MVP, c'est-à-dire un "Minimum Viable Product". Un produit minimal qui peut être développé en un temps minimal avec un minimum d'effort et d'investissement et qui démontre la solution aux problèmes que vous comptez apporter.

Durant les prochaines semaines / mois. La FB DevC PauP veut introduire la communauté à un ensemble d'outils, de services, de conseils dans l'objectif d'inciter les membres à créer des MVP démontrant le concept et la valeur ajoutée de leur produit ou service.

Plus: https://www.facebook.com/groups/DevCPortauPrince/about/

Photos: HaitiBrand

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Un plaisir pour @banjht d'avoir accueilli @startupgrindpap (le réseau international d'entrepreneurs de Google) en partnership avec @hbahaiti . La qualité des échanges était digne d'un #Banj. A bientôt! Nous sommes ouverts à accueillir des événements de qualité. Contactez nous à hey@banjht.com avec votre proposition! #entrepreuneurshipecosystem, #innovation, #entrepreneurshiphub #coworkingspace #exchangeprogram #incubator #Haiti #Paup #Makeithappen hey@banjht.com www.banjht.com

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@banjht "Banj" est la traduction créole du mot "génie". Que ce soit pour discuter, échanger, réfléchir, créer ou pour innover, nous sommes l'espace de travail et de réseautage incontournable de Port-au-Prince. Nous renforçons l'écosystème entrepreneurial de la capitale en offrant des espaces de travail modernes capables de stimuler la créativité et de conditionner la recherche de résultats concrets chez tous entrepreneurs désireux d'augmenter leur visibilité et de passer à une étape supérieure dans leur expérience entrepreneuriale. Nous offrons une pléiade d'évènements et de voyages de qualité pour faciliter l'apprentissage et les échanges entre entrepreneurs haïtiens et avec le reste du monde. Avec notre Incubateur, nous garantissons que les meilleures idées d'affaires qui émergent de notre carrefour puissent obtenir des services d'incubation adéquats et de l'accès à du financement avec les meilleurs partenaires en Haïti et à l'étranger pour une préparation ultime vers le décollage de leur entreprise.

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Marc Alain Boucicault parle d’« Ecosystème Entrepreneurial » au sommet international des femmes du numérique

Au sommet international des femmes du numérique, Marc Alain Boucicault (MAB), Msc. Politique économique financière, parle d’« Ecosystème Entrepreneurial », un concept important qu’il a découvert et enchéri après des années passées à la Banque Mondiale et la Banque Interaméricaine de Développement (BID) en Haïti et à Washington, DC.  

« L’économiste doit expliquer la croissance et moi je me retrouve souvent à expliquer pourquoi il n’y avait pas assez de croissance en Haïti » MAB commence par expliquer le travail souvent frustrant et limité de l’économiste en Haïti. A la recherche de solutions non conventionnelles, cela fait quelques années, il s’implique dans le changement dans sa communauté tant du côté social avec le Groupe ECHO Haïti et le projet ELAN Haïti, que du côté entrepreneurial avec HFund, un micro fonds en capital risque destiné à financer des startups locales avec un fort potentiel de croissance, ou encore, l’organisation du « Haiti Tech summit » pour ramener des entrepreneurs et innovateurs de par le monde en Haïti. Et voilà qu’il retrouve ce terme non pas nouveau mais qui cristallise parfaitement l’effort collectif qui doit être fait pour réellement mettre l’entrepreneuriat et l’innovation au cœur de la création de la richesse en Haïti comme ce fut le cas dans des pays comme la Colombie et le Chili en Amérique Latine ou le Nigeria et le Kenya en Afrique ou encore, le cas classique, à Silicon Valley aux Etats-Unis.

L'expression « écosystème entrepreneurial » désigne tous les éléments - individus, organisations et institutions - en dehors de l'entrepreneur individuel qui peuvent permettre à ce dernier de démarrer et de réussir son entreprise. « Ceci concerne tout le monde et implique que chacun dans la chaine doit faire sa part et interagir avec les autres » explique MAB. Dans un écosystème, il y a 6 grands piliers : L’Etat, la finance, la culture, les supports, le capital humain et les marchés.

Il enchaine avec des éléments, selon lui, importants pour le développement de l’entrepreneuriat : « Aucun pays n’a pu transformer sa classe d’entrepreneurs en un laps de temps court, ça commence par une culture : comment alimenter les désirs, l’envie de réussir, cultiver la tolérance, la collaboration entre ses pairs. Un autre élément important : des ressources humaines qualifiées. On ne peut pas faire de l’entrepreneuriat sans que les universités ne s’impliquent pas. De bons managers, de la bonne formation pour la main d’œuvre et « le middle management » et de l’appui à la recherche sont plus qu’important au développement de l’entrepreneuriat.

La notion de supports fait référence à des services de base comme les différentes firmes qui offrent leur service en comptabilité, en processus légal financier, en formation entrepreneuriale etc. Et c’est là que vient la notion de plans d’affaires et pas avant. Profitant pour dire que les modèles de support à l’entrepreneuriat qui exigent d’un côté le montage de plan d’affaires et l’accès au financement de l’autre sont totalement dépassés de nos jours. Aujourd’hui l’accent est mis sur la construction de modèles d’affaires et l’expérimentation qui est beaucoup plus profond et pertinent. D’ailleurs pour lui, le financement n’est qu’un (1) pillier sur les six (6). On peut avoir tous les financements au monde, si tous les autres piliers ne sont pas activés, le risque en reste encore entier.

Il poursuit pour expliquer le rôle de l’Etat en faisant référence au modèle de Manizales en Colombie, où le président Manuel Santos Calderón s’est personnellement impliqué dans la transformation de cette ville en un pôle d’entrepreneuriat et d’innovation axé vers la croissance économique. Pour faire des entrepreneurs un vecteur de croissance, il faut que les institutions publiques du pays comprennent qu’ils font aussi partie de la solution, le parlement doit commencer à discuter des lois sur l’entrepreneuriat, il faut les infrastructures et une stratégie réelle de support à l’entrepreneuriat qui puisse voir plus loin que le financement des bailleurs de fonds internationaux. Au-delà d’une question d’argent, il faut plutôt un paquet incitatif adéquat capable de stimuler tous les piliers de l’écosystème. Plus que de la promotion, il faut de réels engagements et de l’interaction.

Pour terminer avec les marchés, il explique qu’il faut penser local et international et développer de réelles collaborations avec les entreprises existantes et non les mettre de cotés pensant qu’elles sont des ennemies. Les entreprises établies restent les meilleurs mentors, les meilleurs bras d’accès au marché existant et même les investisseurs potentiels les plus proches. Il faut collaborer pour une plus forte croissance en Haïti. Pour identifier et supporter les idées qui pourraient révolutionner notre macroéconomie non productive et prisonnière du cercle vicieux de l’importation financé par l’aide externe et l’argent de la diaspora.

Marc Alain a terminé son éloquente présentation avec une proposition. Celle de créer des « hubs » (carrefours) entrepreneurials afin de faciliter la rencontre et l’interaction entre les différents piliers de cet écosystème en Haïti et de les connecter avec le monde. Il invite l’assistance à lire Daniel Isenberg, de l’Université Babson aux Etats Unis, celui qui lui a totalement bouleversé ses idées.

 John Sterlin Duverseau

Business & Community Manager        

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Never blame anyone in your life!

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#OYW lol @oneyoungworld

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The sky is not the limit 💡

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Never be a Prisoner!

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Sometimes you have to ...

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#family @groupechohaiti

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Elan Haïti 2016 s’est déroulé au Karibe Hôtel, à Piétionville, du 13 au 16 août, et a regroupé 100 jeunes leaders d’Haïti et du monde entier. Ces leaders sont des jeunes étudiants, des militants ou des entrepreneurs qui ont été sélectionnés de manière très compétitive. Elan Haïti 2016, c’était un horaire condensé de conférences, visites, activités culturelles et d’ateliers pour l’incubation de projets : un horaire sans pause afin de permettre une réflexion profonde, sincère, porteuse, engagée et inclusive sur Haïti. Surtout, Élan Haïti était un espace de dialogue sur les solutions à apporter quant aux grands problèmes nationaux, ce qui propulsa la naissance de quatre projets jeunesses portant sur les thématiques de l’heure : l’agriculture, les changements climatiques, l’emploi et la technologie. Plus que chercher à mettre Haïti sous une lumière artificiellement positive et simplement médiatique, Elan Haïti vise à révéler les potentialités de l’unification des jeunes à travers le réseautage et la création de projets d’actions concrètes qui seront exécutés en Haïti par les participants du forum 1 an après l’événement avec le support de la Direction de Support au Initiatives Jeunes (DSIJ) du Groupe ECHO Haïti. Credit Video: Alexandrine Benjamin, Elaniste 2014 www.elan.ht

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#remember #haitihackfest By @groupechohaiti

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Prenez le temps de développer de nouvelles compétences autres que celles liées à vos études.

“John Sterlin Duverseau”