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Le combat
Le combat. Je suis malade depuis mes 15ans. C'est une maladie génétique (un gène du père plus un gène de la mère, un peu comme la loterie du diable). Ils ont mis 6 mois à trouver ce que j'avais. A la fin je ne pouvais plus bouger, plus sortir de mon lit, rien que le fait de me retourner dans mon lit déclenchait en moi une horrible douleur. Je n'étais que douleur et souffrance, impossible de m'échapper, sauf dans mon sommeil dans mes rêves. La douleur était constante et mon petit corps se battait en vain.J'eus plusieurs traitements lourds qui ne marchèrent pas. Le dernier en date ne suffit pas. A coup de chimio, de biothérapie, de cortisone, de monothérapie, d'indocid et de chrono-indocid. Je gardais mon petit corps souffrant à l'état adolescent. Je ne grandis pas.De nos jours il est toujours le même, j'ai 28ans.Cette maladie évolue par crises, elle détruit mes articulations peu à peu. Chaque contrariété déclenche des douleurs de plus en plus grande, donc plus la maladie est active. La pire crise de ma vie c'est quand on a fait du mal à ma petite soeur, elle avait 18ans, nous attendons la justice mais la covid ralentit tout. J'ai été hospitalisé, morphine, cortisone, lyrica, tens eco 2 patch de versatys (j'étais une vraie momie). Pendant plusieurs mois après ma sortie du CHU de Caen. Je suis restée à dormir de 8H à 12H, je fumais cigarettes sur cigarettes, je ne mangeais quasiment pas, mon couple battait de l'aile, mon ex n'était d'aucun soutien, il désertait l'appartement. Après plusieurs mois, presqu'un an je me suis sevrée de tout les médicaments, j'ai juste gardé le traitement de fond chimio plus monothérapie plus anti inflammatoires, plus ixprim. J'ai évidement loupé mes études, nous étions partit pour Paris. Quelques mois après il me quitta. Heureusement j'avais un CDI et un appartement dans l'est parisien. Je travaillais à mi temps chez LVMH. Cette rupture a faillit me tuer. J'eus une vie de célibataire kafkaïenne quand je me rendit compte qu'il ne reviendrait jamais. Et la enfin après un an à Paris, je rencontrais l'amour de ma vie, mon amoureux, ma bénédiction. Nous nous sommes comprit lui aussi sortait d'une vie de célibataire déprimante suite à une rupture avec une femme plus âgée.Nous nous sommes jusqu'a présent jamais quitté, nous avons passé toutes ces nuits depuis qu'on sest rencontré l'un contre l'autre c'est l'osmose. Nous avons passé tout les confinements à deux. Nous nous connaissons par coeur. Cet homme merveilleux sera le père de mes enfants. Ma pauvre mamie mourut en janvier dernier. Ce fut un gros choc, je n'ai pas pu lui dire aurevoir ni assister à ses funérailles. Encore un choc psychologique qui me remit à l'état végétatif, alitée, médicamentée, hospitalisée, branchée à une machine avec des électrodes pour ne pas ressentir la douleur. Nous sommes presqu'en mai ma crise est enfin terminée, le soleil m'aide beaucoup et le soutien si précieux de mon amoureux m'en ont sortit. Je suis très fatiguée, en sevrage, j'écris, je lis, je n'attend qu'une seule chose, que l'on parte chez mes parents en Normandie pour nous ressourcer. Je combat mes accoutumances. J'ai gagné la bataille, il ne me reste plus qu'a panser mes blessures, et me remettre sur pieds en faisant des choses bonnes pour ma santé physique et mentale. Je n'y serais jamais arrivé sans le soutien de mon amoureux. L'Amour est le plus grand des remèdes, les étreintes, les mots qui rassurent et font disparaître les maux, es bisous magiques existent vraiment, ça marche du tonnerre ! Parole de Normande.
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Mon cahier rouge. "Split dream"
Nous avançons en voiture sur la route avec ma famille sur la touristique, mon beau-père conduit. Nous allons visiter le nouveau centre commercial de la ville. Tout autour de celui-ci il y a des logements sociaux. Ils sont beaux et neufs. Nous allons dans un restaurant fast-food de nourriture japonaise. Ma famille commande mais pas moi. La nourriture est copieuse mais elle n'a pas l'air saine. Ma famille se plaint du mauvaise qualité du poisson et de la viande. J'aperçois une amie elle vient à nous, nous salue, nous discutons un peu, puis elle s'en va avec un groupe de jeunes filles pour commander à son tour la nourriture décevante de ce fast-food. Mon portable tombe. Je me rends compte que cela fait deux jours que je n'ai pas répondu à mon copain. Crise d'angoisse. Sueurs froides. Je demande à ma soeur de me prêter son téléphone pour que je puisse l'appeler. Son portable beugue. Je ne trouve plus le numéro de mon copain. Je le demande donc à ma mère, elle a du mal avec les nouvelles technologies. Je prends son téléphone mais il ne marche pas. Là, c'est vraiment l'explosion dans ma tête. Mon copain me manque. J'ai peur. Peur de l'avoir déçu et qu'il se fasse de fausses idées. Je vais alors voir mon amie à sa table. Je lui demande de bien vouloir me prêter son smartphone. Et là je me rends compte qu'elle a changé de coiffure, que ce n'est pas elle. Je regarde les autres jeunes femmes, même visage mais pas les mêmes vêtements ni la même coiffure ainsi que le maquillage. Elles me dévisagent toutes. Elles ne me connaissent pas. Mon amie n'est pas là. Je la cherche donc, et la trouve aux toilettes et lui demande son téléphone. Elle accepte volontiers. Je sors des toilettes je téléphone enfin à mon copain mais je ne comprends pas ce qu'il me dit. Je lui explique la situation et lui dis que je rentre le plus vite possible. Soudain je me rends compte que je n'ai plus les mêmes vêtements ni la même coiffure , je porte des vêtements noirs d'un look alternatif, j'ai de longues tresses rouge fluo. Je retourne dans les toilettes mon amie n'y est plus, elle a disparu. Elle a oublié son sac à dos, je le prends, je le trouve anormalement lourd. Je décide avec gêne et inquiétude de l'ouvrir et je trouve plusieurs téléphones, ordinateurs, et portefeuilles, tous ces objets semblent appartenir à des personnes différentes. J'en déduis alors que ces objets appartiennent à toutes les filles semblables à mon amie, que ce sont plusieurs version d'elle, qu'elle a plusieurs personnalités. Je décide avec peur de sortir des toilettes pour lui rendre son sac. En allant vers elle je vois qu'elle ne me reconnait pas, elle me remercie, puis je me retourne pour rejoindre ma famille. Soudain je vois qu'a toutes les tables les gens ont changé. Un virus se répand. Je retourne à la table de mes parents et je vois que tous le monde a changé aussi, je me bats avec ma soeur quand je me rends compte que ce n'est plus elle, elle s'est transformé en personne violente. Elle devient soudainement grosse, énorme. Elle s'empiffre de nourriture japonaise comme les parents dans le début du voyage de Chihiro, et là elle se transforme en porc. Je pars je veux absolument retrouver mon copain, je me rends compte que je suis la seule personne qui n'a pas changé de personnalité, j'ai seulement changé d'apparence. J'ai plusieurs heures de trajets, j'ai très peur des gens qui deviennent d'une seconde à l'autre violent et change plusieurs fois d'apparences et de personnalité, voir de sexe, et d'âge. Je sors enfin du train et de la gare. Et tout le monde semble fou. Les gens sont particulièrement violent les uns en vers les autres mais bizarrement personne ne s'attaque à moi. Tous le monde change, d'apparence et de personnalité de plus en plus, et sont de plus en plus violents. Le monde est sous l'emprise d'un virus. Trouble de la personnalité multiple comme dans le film Split. j'avance dans la rue et prends un bus. Je suis obligée d'en sortir car le chauffeur n'arrive plus à conduire à cause de ses transformations. Je sors du bus, je vois de la lumière dans un restaurant, j'entre, il y règne une ambiance sectaire.Les gens ont des paillettes blanches sur le visage. Une sorte de gourou semble initier les gens à leur première transformation. Il semble chercher quelque chose en particulier parmi ces gens. Plusieurs personnes se transforment. Le gourou n'est pas satisfait. Il dit d'un ton solennel " je recherche l'incarnation d'une sorcière puissante morte à Salem". Puis vint le moment d'avoir ma transformation. Toujours consciente, toujours moi, je développe une magnifique chevelure rousse et bouclé, je me rends compte que je peux faire bouger des gens, des objets par la simple volonté de mon esprit. Mes vêtements se transforme en une longue robe blanche. Je suis l'incarnation de la sorcière. Je m'enfuis en brisant les vitres du restaurant pour faire diversion et détourner l'attention du gourou. La seule à laquelle je pense c'est retrouver mon amoureux, je suis folle d'inquiétude et en même temps je suis soulagée de ne pas avoir changé de personnalité. Je rentre chez nous. L'appartement n'est pas le même. C'est un grand loft. Mon copain est là, devant la télé de dos, il suit la pandémie sur une chaîne d'informations. Il est toujours le même Un soulagement énorme m'envahit. Je cours m'effondrer dans ses bras. Nous allons fuir sur une petite île anglaise en Normandie. Là bas il n'y aura personne. Nous y finirons nos jours s'il le faut. Le monde est malade. Les gens sont fous. Le gourou est à mes trousses. S'il nous trouve je le réduirais à néant. Nous sommes chanceux nous avons la chance d'être ensemble et d'être nous même, et surtout d'échapper à la folie des hommes. La fumée d'Absolem.
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//TW MALADIE, MORT, SOUFFRANCE //
Un amour de pitit chat.
Twiggy.
Après mon 20e anniversaire, j'avais le coeur brisé car on avait dû mettre fin à jour aux jours de mon Viel Ulysse qui agonisait d'un cancer.
Pour me consoler, passer à autre chose et combler le vide qui s'était fait dans mon coeur. Je décidais donc de prendre un nouveau bébé. Je savais que je voulais un chat noir, et je savais aussi que je l'appellerai Twiggy.
En plein mois de juillet, il y avait beaucoup d'annonces pour faire adopter des chatons. Je tomba sur un frère et une soeur noirs tout les deux. J'appela tout de suite pour aller la chercher. Quand j'arriva devant la maison, il y avait un grand jardin entouré de champs et d'arbres. La dame ne trouvait pas les chatons, ils étaient cachés dans les arbustes du jardin. Et je la vis avec sa tête toute ronde et ses gros yeux bleus elle ressemblait vraiment à un petit ourson brun. Je l'a pris dans mes bras qu'elle ne quitta pas, j'étais devenue sa maman.
Dans la voiture il faisait chaud, elle haletait comme un petit chien. Quelques semaines plus tard je prenais un appartement en ville. Il était temps pour nous de quitter la campagne. Ce petit bébé m'a comblé de bonheur et d'amour. Elle m'accompagne partout. On allait souvent rendre visite à ma mère, elle pouvait profiter du jardin. Il est arrivé une fois ou elle grimpa dans un pin. Elle y resta coincée, elle avait peur de descendre. Il fallait déloger l'animal.
Mon beau-père prit une échelle et délogeât la pauvre petite Twiggy
qui miaulait tout en haut de l'arbre. Elle ne recommença jamais, ça lui avait servi de leçon.
Elle grandit beaucoup trop vite. Et ses premières chaleurs arrivèrent. Je ne la reconnaissais pas elle faisait pipi partout et elle rendez-vous chez le vétérinaire pour une stérilisation à contre coeur. C'était dur de la priver d'avoir des bébés. Mais on avait pas le choix.
Après l'opération je la récupérai, elle n'était pas bien. A l'appartement elle de se lever, j'eus l'idée de la mettre l'idée de la mettre dans ma baignoire avec des oreillers pour ne pas qu'elle se fasse mal. En vain. Elle était bien seulement dans mes bras. Je n'ai pas mangeais pendant deux jours, elle non plus. Je laissais la lumière allumée la nuit pour la rassurer.
Après tout est rentré dans l'ordre. Je suis atteinte d'une maladie chronique, je suis pas mal alitée C'était un réel réconfort de l'avoir contre mon ventre et lui faire des câlins. Nous prenons soins l'une de l'autre.
Après plusieurs déménagements. J'emménage avec mon compagnon qui adore les chats, coup de foudre entre les deux. Mon chéri arrive à lui caresser le ventre très rapidement et elle se colle en boule contre lui quand nous dormons. Elle a enfin trouver son papa.
Ces jeux favoris sont : grignoter les cartons et aller chercher et rapporter mes élastiques. Twiggy va avoir neuf ans maintenant, elle n'a jamais eut de problèmes de santé. Elle change en ce moment elle adore boire au robinet et maintenant elle accepte de squatter mes genoux et celui de mon copain. Twiggy tolère les chiens, les petits et les gros mais absolument pas les autres chats surtout les mâles.
Quand je suis alitée, quand je suis fatiguée, triste ou quand j'ai mal c'est une vraie petite infirmière, elle va sous la couverture et se blottit contre moi, et dort tout en ronronnant.
Nous sommes tout les trois heureux de nous réveiller chaque matin ensemble dans un câlin éternel (je l'espère) et plein d'amour.
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Les roses blanches.
J'entendais le bruit des ses talons qui claquaient sur le carrelage de la cuisine. Elle faisait la cuisine pour toute la famille. Elle m'appelait toujours pour que je mette des d'ail dans les entailles qu'elle avait faites dans le rôti de boeuf. La salade venait du petit potager de la cour, on y trouvait toujours des limaces noyées dans le fond de l'évier, elle me donnait une boîte d'allumettes vide pour servir de cercueil à ses pauvres petites bêtes, qui avait péri pour notre bonheur d'avoir un merveilleux déjeuner en famille.
Quelques fois il y avait un gros lapin attaché à une chaîne dans la cour, les adultes me laissaient naïvement jouer avec lui, je ne me doutais pas que cet animal si attachant et innocent allait finir dans mon assiette.
Je découvris la vérité très tard et compris pourquoi on ne m'avait rien dit. Il y avait toujours un petit pot de Nutella dans le placard spécialement pour moi, du soda à l'orange et du chocolat en tablettes.
Elle rangeait une grosse boite de corn flakes dans un four qu'elle n'utilisait pas.
Je me souviens de la radio toujours branchée sur Nostalgie dans la cuisine, je l'écoute encore aujourd'hui.
Je dormais avec elle dans son grand lit au matelas moelleux comme une guimauve. Notre chien Diabolo dormait toujours à nos pieds. C'était un chien blanc de type loulou de Poméranie mais en beaucoup plus gros, il était mignon je l'aimais beaucoup même s'il était peureux et têtu comme une mule. Il n'y avait pas de volets aux fenêtres je voyais la lumière des phares des voitures qui passait rapidement sur les murs de la chambre, la lumières faisait danser les ombres des objets de la chambre. Je m'endormais sur le tic tac de la pendule suspendue au mur.
Elle était toujours très coquette, parfaitement habillée, coiffée et manucurée. J'aimais beaucoup la regarder se préparer le matin. Parfois pour l'embêter je posais ma main sur chignon pour l'aplatir, ce chignon parfaitement fait, j'essaye de le reproduire depuis toujours. Je faisais attention de ne pas réellement la décoiffer.
Elle me gardait très souvent nous avions un lien très particulier.
C'était beaucoup plus qu'une simple grand-mère.
J'adorais écouter l'histoire de sa vie et celles des gens de la famille, elle avait toujours des anecdotes
qui me faisait beaucoup rire sur chacun de nous. Je l'écoutais avec beaucoup d'attention et suivais toujours ses conseils.
Elle avait réussi à me faire avaler qu'une certaine Madame Irma avait oublié sa boule de cristal à la maison sur la table à manger, je possède encore cette objet que je garde précieusement qui n'était qu'en fait qu'une simple boule en verre qui était faite pour ornait le premier poteau du grand escalier en colimaçon. Elle m'avait rêver avec cette boule qui était censée prédire l'avenir, je lui trouvais quelque chose de magique, je trouvais qu'elle dégagée une étrange puissance.
Quand mes cousines et ma petite sœur était là nous dansions en petite culottes sur la table à manger
sur de la musique disco tel que ABBA, les Bee gees, je me souviens surtout du titre des rubettes « Sugar baby love ».
Son placard à chaussures qui était sous l'escalier derrière une porte à loquet était assez grande pour qu'un enfant puisse s'y cacher, il arrivait fréquemment que l'une de nous se retrouve enfermée à l'intérieur par le machiavélisme des autres qui conspiraient injustement sur les plus jeunes et qui s'aventurait à entrer dans ce placard.
Nous sommes 4 filles : Cécile était la plus âgée après c'était moi ensuite Ophélie et enfin la petite dernière ma petite sœur qui n'était encore qu'un bébé à nos yeux, cette petite maligne participait , toujours à nos jeux, nos cache-caches, nos missions pour monter au terrifiant grenier etc.
Elisa nous suivait dans l'arbre ou nous avions construit une sorte de cabane, c'était un acacia, il y avait toujours de grosses fleurs très odorantes que l'on ramenait en bouquet que nous lui ramenions, c'est fleurs ressemblaient beaucoup à des endives.
Je me souviens que j'adorais quand elle me cuisinait des spaghettis avec de la sauce tomate Panzani et des cheveux d'anges fraîchement achetés chez le boucher. Le plus souvent elle nous préparait du lapin à la moutarde, des escalopes à la Normande, des chips au four avec du petit salé, de la mousse au chocolat, des crêpes, des côtes de porc au vin rouge. Elle ne respectait jamais de recettes de cuisine précises, elle avait ses ingrédients secrets et cuisiner avec minutie et beaucoup d'Amour.
Un jour elle tombait malade.. Je ne me rendait pas compte de la gravité de la situation. Il nous restait quelques mois à passer ensemble sur cette Terre. Je me souviens qu'elle avait du coupait ses magnifiques cheveux longs bruns et épais pour une coupe courte. Cependant elle restait coquette.
Toujours. Elle était toujours coquette dans sa chambre d'hôpital, parfaitement coiffée, maquillée, et manucurée. Pour moi elle n'était pas malade je ne la trouvait pas fatiguée je la trouvais toujours aussi forte et passionnée par la vie. Je ne l'ai jamais trouvais triste ou dépressive ou quoi que ce soit de négatif.
Nous nous lui rendions visites le plus souvent possibles avec mes parents et ma petite sœur. J'amenais des jouets, je lui faisais des dessins qu'elle gardait tous même bien avant qu'elle tombe malade, elle en avait tout un tiroir.
Cette merveilleuse femme qui m'a tant aimé, tant appris partie au début des années 2000 en pleine hiver juste avant les fêtes de fin d'années. Elle partie rejoindre les anges me laissant seule avec de merveilleux souvenirs mais un incommensurable vide, son amour et sa présence était essentiel à mon bonheur et à celui de tant de gens. Elle vivra toujours à travers mes mots, toutes mes paroles, mes décisions et je ne cesserai jamais de la faire revivre avec ses souvenirs doux et simples mais tellement indispensables. Et je ne cesserai jamais de l'aimais aussi fort que lorsqu'elle était encore parmi nous, aussi fort. BEAUCOUP FORT GRAND.
« Je rêve que je redeviens enfant et amoureux,
Je revois le ravin et son églantier plein d' épines...
La vielle maison regardera au fond de mon cœur,
D'un mur à l'autre, sa façade rosira.
Et ta fenêtre … Et cette voix – la tienne -
Pour la musique incompréhensible de laquelle
Je donnerai ma vie et mon chagrin.
Ne serait-ce qu'en rêve, presser contres mes lèvres
Ta main chérie d'autrefois ».
Poème de Jeunesse. Alexandre Blok.
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