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From book to serie : Rhaneyra Targaryen


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Le château Narbonnais


Laurent Macé est sans doute le plus grand spécialiste des comtes de Toulouse et il a écrit en 2019 un article sur le château Narbonnais à Toulouse aujourd'hui détruit.
Son article est édifiant.
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From Book to serie : Daemon Targaryen


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Raimond-Roger Trencavel
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Maekar Targaryen aesthetic



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Baldwin IV of Jerusalem and Alix of Tripoli
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Le roi des cendres
Jérusalem, printemps 1185
La lumière de l’aube s’effilochait sur les pierres pâles du palais du roi. Le vent du désert glissait entre les voiles des fenêtres, tiède et chargé du parfum des oliviers, mêlé à l’âcreté des encens brûlés trop longtemps. Dans la chambre royale, le silence régnait, à peine troublé par la respiration rauque d’un homme jeune, mourant, usé par un mal cruel que Dieu n’avait jamais détourné de lui.
Alix de Tripoli était là, droite comme un cyprès, près du lit de son ami. Elle avait veillé toute la nuit. Ses doigts tremblaient à peine sur les grains de son rosaire. Elle ne priait plus, pourtant. Les mots s’étaient asséchés dans sa gorge depuis des heures.
Baudouin IV de Jérusalem, n’était plus qu’une ombre sur des draps blancs. Il n’avait que vingt-quatre ans. Ses mains, autrefois agiles sur la selle ou l’épée, étaient recroquevillées, ravagées, cachées sous des linges qu’on changeait chaque matin pour masquer les plaies. Son visage, si noble jadis, avait perdu toute chair. Mais ses yeux… ses yeux brillaient encore.
Alix s’approcha doucement. Elle n’avait jamais craint sa maladie. Il l’avait appelée “sa dame de lumière”, bien des années auparavant, quand elle l’avait consolé après la découverte de sa maladie. Elle s’était tenue à ses côtés comme une ombre fidèle, une conseillère discrète, une amie sincère.
Il ouvrit les yeux.
« Alix… »
Ce n’était plus qu’un souffle. Elle s’agenouilla et prit sa main sans hésiter.
« Je suis là. »
« Dis-moi… la ville… elle est encore debout ? »
Alix sourit faiblement.
« Jérusalem est silencieuse. Elle prie pour son roi. »
Il ferma les yeux un instant, apaisé. Puis, avec un dernier élan de volonté, il tourna la tête vers elle.
« Je n’ai pas été… un roi comme les autres. »
« Non, tu as été mieux. » Sa voix se brisa. « Tu as tenu ce royaume malgré ta souffrance. Tu as contenu Saladin. Tu as été juste. »
Un silence.
Il murmura : « Et toi… tu n’as jamais fui. »
Elle sentit une larme couler sur sa joue. « Comment aurais-je pu ? Tu es mon frère de cœur. Mon roi. »
Le regard de Baudouin se perdit au plafond. Peut-être revoyait-il les collines de Galilée, ou le jour où il avait chevauché libre pour la dernière fois, les mains encore fermes sur les rênes.
Ses lèvres bougèrent à peine.
« Garde-les… unis… Alix. Protège Sybille… Et mon neveu. »
Elle hocha la tête. Elle savait ce qu’il voulait dire. L’enfant-roi, Baudouin V, allait porter une couronne bien trop lourde. Et les vautours déjà tournaient au-dessus du trône.
Baudouin inspira une dernière fois, longue, profonde.
Puis plus rien.
Le roi de Jérusalem s’éteignit dans le silence doré du matin, la main serrée dans celle d’Alix de Tripoli, qui ne pleura pas tout de suite. Elle se pencha, posa un baiser sur son front brûlant, et se releva avec une grâce presque funèbre.
Les cloches sonnèrent bientôt, longues et graves.
Et elle se dit que jamais plus la Ville Sainte n’aurait un roi aussi digne.
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La reine verte
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L'écho du silence
Dans l’immense château des Volturi, là où chaque pierre respirait l’histoire et le pouvoir, il existait une pièce que personne n’osait franchir sans autorisation. La salle de musique, vaste et sombre, gardait un secret que seuls Aro et Caius connaissaient : quand la porte était fermée, nul ne devait entrer.
Mais Marcus Volturi, le puissant et taciturne, avait trouvé dans cette pièce un refuge. Le piano ancien, noir comme une nuit sans lune, était son seul confident.
Chaque soir, après les conseils, après les disputes, quand le château sombrait dans un silence pesant, Marcus s’y retirait. Ses doigts effleuraient les touches avec une délicatesse que personne ne lui connaissait. Là, loin des regards, loin du jugement d’Aro et de Caïus, il parlait à travers la musique.
Le piano chantait pour lui, révélait ses pensées et ses émotions, qu’il taisait dans le monde des Volturi. Les mélodies qu’il créait étaient parfois sombres, parfois mélancoliques, toujours puissantes. Elles exprimaient cette solitude qu’il portait en lui, ce poids d’être autre chose qu’un simple soldat du clan.
La porte de la salle restait fermée à clé, mais le son de la musique s’échappait parfois, doux et envoutant, caressant les murs du château, rappelant à tous que même dans la rigidité et la puissance, il y avait une âme qui cherchait à s’exprimer.
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Loin du monde
La grande salle de bal des Volturi, vaste et froide sous son lustre de cristal, était plongée dans un silence presque sacré. Les lourdes portes de bois massif étaient verrouillées. À l’extérieur Caius et Marcus, qui savaient trop bien que lorsqu’elles étaient fermées, nul n’avait le droit d’entrer, passèrent simplement dans le couloir.
À l’intérieur, seul Aro Volturi dansait.
Il ne s’agissait pas d’une danse pour impressionner ou dominer, ni d’un rituel destiné à une assemblée. Non, c’était une danse d’expression pure, celle qu’il réservait à ses moments d’isolement. Ses gestes étaient précis, délicats, et pourtant puissants, comme les vagues d’une mer intérieure que seul lui pouvait sentir.
Ses doigts effleuraient l’air, dessinant des arabesques invisibles, ses pieds glissaient sur le parquet comme s’il flottait. Chaque mouvement était une langue silencieuse, une confession sans mots. À travers cette danse, Aro communiquait avec lui-même, loin des intrigues, loin des manipulations incessantes.
Loin du monde.
Il s’abandonnait à la musique muette de son âme, laissant derrière lui le poids du pouvoir et le regard impitoyable de ses frères. Ici, dans cette bulle scellée, Aro s’exprimait pleinement. Dans ce ballet secret, il n’était ni chef, ni tyran, mais un être vulnérable, à nu, révélé par la beauté mouvante de son corps.
La nuit avançait, mais le temps n’existait plus. Juste lui, cette salle déserte, et la danse — un langage que seul Aro connaissait, et que personne ne devait entendre.
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L'atelier de Caius

L’Atelier de Caius
Loin des regards et du tumulte incessant du clan Volturi, loin d’Aro et de Marcus, il existe un sanctuaire. Une pièce aux murs épais, cachée derrière une lourde porte de bois noir, dans laquelle nul ne doit pénétrer sans son accord. Cette porte, toujours close, est le seul signe visible de ce secret jalousement gardé : l’atelier de Caius.
À l’intérieur, un monde bien différent s’étend. Ici, la froideur du chef Volturi s’efface, remplacée par une concentration presque fragile. Caius, l'impitoyable, l'austère, s’adonne à une passion que nul n’imagine : la peinture.
La lumière tamisée d’une unique lampe éclaire la toile devant lui. Sa main, ferme et précise, tient le pinceau avec une délicatesse inattendue. Les couleurs sur la palette, sombres et profondes, évoquent la nuit, les tempêtes, la solitude. Chaque coup de pinceau est une exhalation de ses pensées les plus intimes, un langage muet qui lui permet de s’échapper du poids de sa destinée.
Il peint ce qu’il est : une âme tourmentée, figée entre la puissance et le besoin d’évasion. Des paysages crépusculaires, des visages aux regards absents, des formes indistinctes qui flottent entre ombre et lumière. Parfois, il ajoute une touche de rouge, rappel subtil du sang qui le nourrit.
Le silence règne, seulement brisé par le doux frottement du pinceau sur la toile. Caius s’exprime ainsi, loin des intrigues politiques et des exigences du clan. Ici, il est simplement un artiste, un homme enfermé dans un corps immortel, cherchant la paix dans la création.
Aro sait que, lorsque la porte est fermée, nul ne doit troubler ce moment. Même Marcus, son frère, respecte cette solitude. Car il a compris que dans cette pièce, Caius n’est plus le chef redouté, mais un être vulnérable, fragile, qui peint pour ne pas sombrer.
Et lorsque le tableau est terminé, Caius recule d’un pas, son regard glacé caressant la toile avec une tendresse qu’il ne montre jamais ailleurs. Puis, lentement, il referme son sanctuaire, prêt à redevenir le Volturi implacable que le monde connaît.
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Viserys Targaryen et sa fille Helaena Targaryen
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Stargate Atlantis team
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Croisades
Deuxième partie de la liste de livres






Et un petit livre pour les enfants :

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Les croisades
Petites listes de livres historiques sur les neuf croisades
Première partie :







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Martin Aurell
Quelques exemples de livres historiques de ce grand historien, hélas décédé il y a quelques mois.








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