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De plume et de glace Hélas ! les temps sont durs et l’humanité gît Comment a-t-on le droit d’éradiquer un rire ? Le crépuscule est froid, les murmures sans vie Lorsque ma plume sûre assujettit tes dires. Les insomnies font rage aux abcès du «tant» long Je ne peux me résoudre à déposer les armes Même s’il faut en découdre avec tes violons La nuit fuit ton image et la lune te désarme. Quel malheur de t’aimer plus que les souvenirs ! Je tutoie ta jeunesse et toise les étoiles Telle une chasseresse empalant ton désir Tu broies l’éternité d’un regard sous ton voile. Quand l’ombre se terre et que danse ta voix Comme un cœur engloutit, plus rien ne me lasse Et je pleure à l’envie oubliant le pourquoi Les flammes de l’enfer engourdissent la glace. Souffle en moi l’overdose aux accents de chagrin A coup de trait viral, mon oraison s’achève Signant d’un poing fatal mon funeste destin. Si plus rien ne s’impose autant que mes mots crèvent… Mystic4Ever Le 13 Novembre 2021

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Nuit en scène… ~Mon Papier Bavard~ Même si l’heure est lourde aux chagrins invisibles Je préfère à tes riens la mort sûre du temps L’alphabet m’est chair à mes maux insensibles Et mon encre s’explose à ton verbe mu tant. Sur mon papier bavard s’égrènent les missives De ce pas imparfait, tu cours à travers chants L’élan coupe mon souffle aux courbures massives Je n’ai plus que tes yeux pour libérer mon sang. Nos lèvres s’accordent une remise en selle Embastillant nos cœurs d’un souvenir troublant Cette divine exquise empourpre ce rituel Ta muse à ma feuille, un intime serment. Sabordant nos pores, la nuit plisse la lune Mes doigts s’évaporent à travers ton volcan Un mélange des sens envahit la tribune Dont l’écho se rend maître au silence insolent. Les lignes se froissent et les canons résonnent Quand ma plume s’attache aux lierres du vent Il nous reste l’amour où niche l’aube atone Cette étrange lumière à l’extase brûlant. Au jour partiel, déjà, s’affaiblissent les digues Nos corps annihilés profanent le sextant Les silences font loi où surjouent nos intrigues Lorsque ta tige tremble et fige notre présent. Ta verve, à mes pieds nus, glissent nos rimes folles Léchant les minutes d’un tendre sentiment Le bonheur a son prix et nos peaux caracolent L’arme honnit des mots nouent nos vers impatients… Mystic4Ever Le 19 Avril 2020

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Visage - Fade To Grey (Official Video)

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Voyageuse du Tant J’ai l’âme voyageuse à l’orée de tes songes Parfois un peu bohème aux plis d’un souvenir Si mon cœur s’emballe, c’est vers toi que je plonge. Je ne saurais dire pourquoi j’ai ce désir Ma plume est mon eau-forte et ma seule résidence Quand l’océan efface un à un nos silences. Et si j’écris le manque avec des mots violents C’est l’ultime arme honnit qui résonne en étoiles Vers mon corps alanguit brûlant d’un feu ardant. Sur mon bateau ivre, j’hisse la grande voile Puis le vent en poupe caresse mes cheveux Je navigue vers toi à l’audace des Dieux. Et si l’ombre faiblit c’est parce que je t’aime Le voyage me semble un peu long et sans fin L’amour nous gagne toujours le même thème Accrochés à l’absence en guise de demain Puisque tu t’es lié à l’encre de mes rimes Je viendrais embraser tes nuits les plus intimes. Et si les sirènes ont emporté ton nom J’irai te retrouver par delà les montagnes Même si pour cela, je dois toucher le fond D’une mer d’abondance en unique compagne Puis je traverserai l’état de tes blessures Apprivoisant tes yeux dans un tendre murmure. J’ai l’âme voyageuse à l’orée de tes songes Parfois un peu bohème aux plis d’un souvenir Si mon cœur s’emballe, c’est vers toi que je plonge. Je ne saurais dire pourquoi j’ai ce désir Ma plume est mon eau-forte et ma seule résidence Quand l’océan efface un à un nos silences…….. Mystic4Ever

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Emma Stone by Patrick Demarchelier

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Fils d’Eros Eros ma muse, toi dont la beauté m’honore Connais- tu le secret qui perturbe mon cœur ? Languissante, pâmée, j’égraine mon ardeur Une envie éthérée de ses mots s’évapore. Eros, ma muse, je devine tous ses vices Lequel d’entre nous deux volera ce baiser Lequel d’entre nous deux en sera rassasier En moi tourbillonnent de sensuels délices. Eros ma muse, toi dont tout le corps inspire Mes poèmes d’amour les plus licencieux Le sais tu que ton fils, pour amant je le veux ! Et bien plus encore, son âme je désire. Eros ma muse, le bleu de ses yeux m’hydrate Quand à l’ accord j’ai soif d’un nous approfondi La nuit, j’interpelle l’étoile de mon lit Celle scintillante de Vénus qui me gâte. Eros ma muse, toi dont la bouche sustente Ma plume mystique, garde moi près de toi Chut ! tais toi ! ne dis rien !, écoute bien sa voix Elle me chuchote des stances séduisantes. Eros ma muse, son sang frémit dans mes veines En un poison brûlant , un désir immortel Je bois ses effluves comme on boit l’éternel Son doux se mélange , tu m’as ôté mes chaînes. Eros ma muse, toi dont la chair me façonne Mes doigts sont devenus plus agiles pour lui Mes chants plus langoureux résonnent à minuit Et ma mélancolie devient moins monotone. Eros ma muse, son miroir renvoie mon double Peut il être à la fois un ange et un démon Peut on à notre foi aimer plus que de raison Une union corps et cœur, ce tendre deal nous trouble. Eros ma muse, toi dont l’apex m’hypnotise Pour de ses fesses mieux d’un coup me pilonner Ou me faire languir à ce tendre péché Quand ma peau frissonne sous ses mains qui m’attisent. Eros ma muse, son va et vient me fascine Mes seins se dressent et répondent à l’appel Sa langue gourmande pourlèche l’essentiel De jour comme de nuit, mélangeons nos échines. Eros ma muse, toi dont la beauté m’honore Connais- tu le secret qui perturbe mon cœur ? Languissante, pâmée, j’égraine mon ardeur Une envie éthérée de ses mots s’évapore. Mystic4Ever Ce texte est la propriété de Mystic4Ever Tous droits réservés ©

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A l'encre de tes lèvres J'ai saigné des lunes et des soleils nocturnes Sous le ciel de ta peau, ayant un goût de miel Me fondant sur ta langue ou à tes rêves diurnes Que tu faisais jadis mon singulier pluriel. Quand d'un geste fougueux, je me pends à tes yeux Usant de l'imparfait pour taire les silences Tu ignores les nuits où les terres en feu Jaillissent du néant et remplissent mes stances. J'ai enroulé mon cœur sur tes pages fébriles Mêlant l'encre rouge à tes murmures d'amour Et tu gagnes le jour quand ton âme érectile Se suspend aux restes d'une larme au long court. Un naufrage de mots s'échoue irrésistible Toute voile dehors sur le sable émouvant Ton souffle me parcourt en atteignant sa cible Apaisant les sanglots d'un ultime courant. J'ai déposé les maux sur tes lignes inertes Liant l'arène de ta muse au bois dormant Et je livre l'ivresse à tes rimes expertes Nouant mon innocence à tes pouvoirs troublants. Je m'ancre à tes lèvres et fusionne à ta plume En t'inspirant des chants de divines passions L'ombre de tes peines soulève mon enclume Et je forge tes vers au sein de ma raison. J'ai saigné des lunes et des soleils nocturnes Sous le ciel de ta peau, ayant un goût de miel Me fondant sur ta langue ou à tes rêves diurnes Que tu faisais jadis mon masculin pluriel….. Mystic4ever Le 5 Avril 2011 1 note

Resa Rot

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Mon coeur nomade… La brise d’automne envolait mon cœur nomade Comme ces feuilles effleurant le ciel en pleurs Le sol se durcissait, la terre devenait fade Quand l’hiver déployait son manteau de douleurs. Le soleil joueur dans les airs se barricade Dans une prison où sommeille son ardeur Mon âme est émue par cette tendre aubade Qu’offre Dame nature à mon regard rêveur. Une lueur blême entonne une mascarade Liant de ses bras, mes secrets et ma torpeur Prisonnier du jeu au creux de ma tour de jade. Grand parmi les grands , je me change en voyageur Du temps, de la vie, extirpé de la noyade Du feu bien éteint des amours migrateurs. Mystic4Ever 1 note

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L'Amour à portée d'elles Sur les lèvres du vent, l'amour à portée d'elle Implose en plein vol sur un air de lamento Je brode cet instant de ma plume aquarelle emportant le miroir à chacun de tes maux. Mon aile n'est plus que cantilène amer rose Sur les lèvres du vent, l'amour à portée d'elle Bientôt mes bas font refus du fou d'un je dose… Les mots châtient l'essence de nos jeux corporels. 　 Et les saisons soufflent des braises dans le ciel Si Les nuages côtoient le sel de mes envies Sur les lèvres du vent, l'amour à portée d'elle Enlace de fougue le destin aux portes de l'ennui. Quand le blues refoule le bord de nos sourires Les rêves que l'on touche sont d'encre et de pastel Et le coeur désabusé souffle l'encore d'occire Sur les lèvres du vent, l'amour à portée d'elles… Mystic4Ever & Lilania Le 28 Août 2011. 1 note

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Plus rien n’a d’importance, mon amour Il pleut mon tendre amour,blottie contre tes bras Ton souffle me chauffe, plus rien n ‘a d’importance La lune nous baigne de ces graciles éclats Le ciel noie nos rêves dans une mer d’attirance. Le temps tisse nos liens en larmes de silence Dans un compte à rebours divin et délicat Le vent nous emporte au creux de l’indécence Il pleut mon tendre amour,blottie contre tes bras. L’herbe folle accueille le clapotis de nos pas En contre –jour apparaît notre enfance L’hiver s’est vêtu de son manteau d’apparat Ton souffle me chauffe, plus rien n ‘a d’importance. La nuit nous dépose ses humeurs d’indolence Feignant l’ombre d'un nous aux couleurs baccarat L’or de nos vies passées s’ouvre en douce cadence La lune nous baigne de ces graciles éclats. La pluie régénère l’ardeur d’un baiser grenat Provoquant sur nos corps l’envie de décadence Stimulant l’avant-goût d’un ultime attentat Le ciel noie nos rêves dans une mer d’attirance. Le sommeil de l’aurore adoucit nos seuls draps Comme un voile léger au cœur de la romance L’accord de nos âmes tue notre célibat Dans un cri partagé séduit notre appétence Il pleut mon tendre amour,blottie contre tes bras Ton souffle me chauffe, plus rien n ‘a d’importance. Mystic4Ever Ce texte est la propriété de Mystic4Ever Tous droits réservés © 5 notes

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Nue comme un vers Je suis née bien avant le jour de ma naissance Mon coeur trempait déjà dans l'encre et le silence En apnée, mes lèvres buvaient l'ourlet des brumes Un frisson se posait au seuil de mes coutumes. Le doré de ma peau hypnotisait la lune Le soleil me grisait , noyait mon infortune Une trace du tant s'évaporait des lignes Que j'écrivais ainsi en langage des signes. Je suis née une plume accrochée à mes rêves Pour m'envoler plus haut au delà de la grève Rien n'est aussi beau que le vol d'une alouette Sur l'huile de la mer courbant sa silhouette. Portée par mon envie, je comptais mes histoires Celles là même qui nageaient dans ma mémoire Je jouais la sirène aux mystérieux cantiques Mon Ulysse m'aimait d'aventures épiques. Je suis née bien avant l'origine du monde Et l'homo érectus me visait de sa fronde C'était un Cupidon sans flèche ni cravate Moi, je rêvais déjà à un aristocrate. Les temps étaient nouveaux, et le pas intrépide Je savourais l’éclat des mélanges torrides Quand les amours accords me tenaient à distance Mon sommeil sur les jours me dictait l’appétence. Je suis née bien avant les combats et la guerre　 Le ciel se dégradait, je fermais les paupières L’ô nue sans complaisance envahissait mes rires Un calice aigre doux accompagnait ma lyre. J’étais nue comme un vers , ma muse était mon arme Souvent elle dansait au bûché de mes charmes Je m’inspirais avec toutes ses craquelures Mon seul trophée était : révéler mes morsures… Je suis née bien avant le jour de ma naissance Mon coeur trempait déjà dans l'encre et le silence En apnée, mes lèvres buvaient l'ourlet des brumes Un frisson se posait au seuil de mes coutumes… Mystic4Ever Le 23 Février 2012 1 note

ny, 2014.

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Par mots et par vœux A la douceur du soir, mes rimes s’évaporent Un murmure lunaire embrase ton ardeur Tel un poignard planté tendrement dans mon cœur A la douceur du soir, mes rimes s’évaporent Dans un vœu céleste s’immerge ma pudeur J’exalte mes envies en pluie de métaphores A la douceur du soir, mes rimes s’évaporent Protège mes ombres, donne moi ta candeur. Au parfum de tes nuits, ma plume s’émerveille Comme une fleur sauvage emplie de ton désir Mon baiser se languit d’aimer à en mourir Au parfum de tes nuits, ma plume s’émerveille De verbes torrides, de tes vers à jouir M’invitant sans compter au palais des merveilles Au parfum de tes nuits, ma plume s’émerveille Aux froissés de tes draps, un amour à cueillir. A l’audace d’un deux s’immisce l’indécence Au rythme effréné d’une avalanche de mots Traduisant le secret de notre libido A l’audace d’un deux s’immisce l’indécence Le bleu, le vert se mélangent crescendo Notre corps à corps a un goût de décadence A l’audace d’un deux s’immisce l’indécence Victoire de nos cris à l’empreinte des peaux. Mystic4Ever Ce texte est la propriété de Mystic4Ever Tous droits réservés ©

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Fille d’Epicure Habillée de vices D’ardeur clandestine A la moindre rime Sa plume panique J’ai dans mes terres Un drôl’ de geyser Un baiser de chair Asphyxie mon air. Fille d’Epicure Je brandis la luxure Ma fleur de lotus Attend son obus Sur mes nuits blanches Mon encre se déhanche. Habillée de vices D’amour plat tonique L’envie de jouir Est pyrotechnique J’ai dans les gènes Un effet d’art reine Mon corps frisonne Quand il me bâillonne. Fille d’Epicure Je brandis la luxure Ma fleur de lotus Attend son obus Sur mes nuits blanches Mon encre se déhanche. Habillée de vices De vers volcaniques Désir de supplices Est métaphysique J’ai dans la tête Un bel esthète Il m’emprisonne Pour lui j’me donne. Fille d’Epicure Je brandis la luxure Ma fleur de lotus Attend son obus Sur mes nuits blanches Mon encre se déhanche. Habillée de lui J’me sens complice Avec ses rires Moi je lui souris J’ai en mon sein L’honneur de ses reins Et sur ma langue Son plaisir qui tangue. Fille d’Epicure Je brandis la luxure Ma fleur de lotus Attend son obus Sur mes nuits blanches Mon encre se déhanche. Habillée de vices Et d’apocalypse En faim son chibre En moi s’immisce J’ai dans le sang Tatouée mon amant Ainsi va ma vie Je l’aime jusqu’à la lie. Mystic4Ever Sur un air de Mylene Farmer “L'Amour n'est rien” Ce texte est la propriété de Mystic4Ever Tous droits réservés ©

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Le cœur en bandoulière Il a vu des déserts le long de mes yeux clairs Arroser des roses sur des plages de sable De ses larmes carmins à l’encre de mes vers Quand son âme endormie criait l’inéluctable. Il a vu des astres dans mon ciel de Bengale Emportant dans ses mains des rêves d’unité Illuminant ses pas à l’aurore sépale Quand mes joues rougissaient à son éternité. Il a vu des soleils et l’hiver dans mes stances Pleurer des silences comme on écrit adieu Le vent lui murmurait la beauté de l’absence Quand les genoux pliés, il suppliait les cieux. Il a vu des lunes en nuages de traîne Camouflant l’horizon laissant place à l’espoir Ses maux se propageaient en diluant mes veines Quand mon cœur s’exprimait au delà du miroir. Il a vu des volcans fusionner de passions Sur la grève étoilée et ses pages d’enfance L’histoire se contait plus fort que l’abandon Quand mes demains partaient rejoindre sa distance. Il a vu les enfers se noyer dans ses verres La nuit pour ennemie buvait tous ses chagrins Son seul salut était son cœur en bandoulière Quand ses soupirs taisaient un requiem sans fin. Il a vu des bateaux s’en allant à l’amère Des milliers de trésors cachés sous le corail Le ressac de ses mots emportait l’éphémère Quand mon vague à rimes liait son gouvernail. Il a vu des flammes embrasser son esprit Au bord de la folie écumant la nature L’ombre de ses doutes gâchait sa propre vie Quand tout son corps épris dilatait mes blessures. Il a vu tant et temps abreuver ses je t’aime Plus fort que les tabous, plus fort que les regrets L’aube du premier jour brisait son anathème Quand l’unique toujours lui soufflait mes secrets. Il a vu l’alchimie de deux êtres s’aimant Et le destin croisé d’envie évanescente Son charisme opérait sur l’amour naissant Quand l’écho des voix se mélangeait à l’attente…. Il a vu dans mes yeux bien plus encore….Son Amour. Mystic4Ever Ce texte est la propriété de Mystic4Ever Tous droits réservés ©

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Ô Clair de ma Lune Acte I Préliminaires au long court… Sa bouche s’échoue Sur ma terre éprise Pendant que mon ventre Gronde de désir Ma peau brille d’envie Douce volupté Son souffle chatouille La fente de braise…… Acte II Evaporation de soupirs…. Ses doigts écartent L’entre de baise Pour mieux introduire Sa langue exploratrice Pendant que son vit Durcit, grossit A vue d’œil Mange moi toute nue… Acte III L’ Ô à la bouche… Ses lèvres aspirent Mon bouton d’or Le lèchent, sucent Goulûment jusqu’ à Plus soif, doux nectar Auquel il s’abreuve A l’excès, sans cesse Toute entière à lui…… Acte IV Bonbons à l’Amante… Mes seins gonflent Sous ses mains expertes Comme des ballons Frissonnant, avides De caresses , son sexe Frotte mon pubis Dur comme un roc Tète mes bonbons à l’Amante….. Acte V A sa merci… Dans un chuchotement A peine perceptible Je lâche : « baise- moi Prends moi partout Possède –moi corps Et âme , m’aime Dans le moins lisse Des lices ……cieux » Son chibre gicle……. Mystic4Ever Ce texte est la propriété de Mystic4Ever Tous droits réservés © 7 notes