Les réseaux sociaux sont un enfer. Ici c'est mon recoin tranquille.
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🔵Presque 30 ans après, je découvre une fonction qui va changer la face d’un jeu de mon enfance. Dans les années 80, il y eut un paquet de gamins qui regardèrent Robocop de Paul Verhoeven à la téloche. Le film était ultra-violent, ce qui n’a pas pour autant fabriqué une vague de psychopathes terroristes… mais plutôt un petit lot d’images choc dans nos têtes de marmots trop occupés à kiffer la vie à chaque seconde.
Alors, quand est arrivé le moment de se planter devant le rayon Jeux Vidéo de notre grande surface, il fallait pointer du doigt le jeu que l’on voulait pour que Papa et Maman l’achètent. Moi, j’ai pointé Robocop, parce que le film était trop cool !
Je me suis retrouvé face à un jeu moyen, et bien trop difficile pour mon âge. Mais qu’importe, je l’avais pas mal poncé à l’époque.
Pour le plaisir, je lance la ROM sur ma console à émulateurs. Et en pressant Select au pif, qu’est-ce que je découvre ?! Robocop a la capacité de se protéger des coups de ses adversaires !!
Je pense que je vais dès lors le terminer une bonne fois pour toutes !


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🔵 J’ai trouvé le moyen d’émuler convenablement le #GameboyCamera sur smartphone. De ce fait je penses que je vais mitrailler tous les jours ! J’ai passé des heures avec cette cartouche fichée dans ma machine portable à la fin des années 90. Le côté l’os résolution offre un charme unique aux clichés. Il faut lire, décoder et comprendre l’image. L’aspect pixel gras du Gameboy est un bonbon pour les fans de l’appareil mais peut attiser la curiosité du néophyte.






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🔵 Quand Pokémon Écarlate et Violet sont sortis, j’étais ultra à fond ! On allait retrouver la mécanique classique de la série couplée au monde ouvert initié par Arceus. Le rêve un grand nombre de joueurs de Pokémon depuis les débuts de la série.
Le jeu arrive chez moi et je me lance dans l’aventure. Graphiquement je ne l’ai pas trouvé particulièrement joli, mais ce n’est pas un aspect qui m’intéresse particulièrement sur un jeu. Le gameplay en outre m’enivrait totalement. J’arpentais de larges zone en ratissant les herbes hautes pour dégoter le Pokémon rare du coin. Pokémon n’a jamais été une claque graphique. Les opus Gameboy étaient tout juste passables visuellement, mais on s’en cognait le haricot à moustache. Parce qu’au delà le premier degré, le jeu était bon.
Écarlate et violet c’est strictement la même chose. Oui mais voilà. Internet s’est enflammé à cause de joueuses et joueurs grand public. Pour ces derniers, c’est la technique qui prévaut. Si cette dernière n’est pas à leur goût, alors c’est la déferlante d’insultes, de menaces envers gamefreak et de jérémiades à longueur de journée. En outre si le visuel pouvait éventuellement leur convenir, ça serait sans conteste un autre aspect du titre qui aurait été attaqué.
Le joueur moyen est dès lors majoritaire. Elles sont très loin les années où le jeu vidéo était un loisir de niche qui n’atteignait que les passionnés. Et j’ai du mal à me faire une raison et avouer que monsieur et madame Médiocre représente la moyenne majoritaire des joueurs et joueuses.
Cette génération de Pokémon s’est faite defoncer sur les réseaux. Alors que le jeu est très bon. D’ailleurs, n’en déplaise à ces dit gamers, écarlate et violet est l’un des titres les plus vendus de la saga. Et celui sur lequel j’ai passé le plus d’heures dans ma vie.
Loin d’être dénué de charmes, le jeu m’a occupé et passionné même, plus de 150h. Et que vois-je ?! Avec la venue de la Switch2, un patch améliore les performances sur le jeu. Et d’une magnifie plus que significative. Le jeu est fluide, la distance de vue est améliorée, l’anti-aliasing est actif… C’est devenu tellement plus agréable. Alors certes, la masse informe continuera à dire que c’est « Inacceptable »… Mais qu’avons nous à faire de l’avis de personnes dont la passion du jeux vidéo s’arrête à s’extasier devant de jolies images et s’arrêter à cela pour considérer qu’un jeu est bon ?
Les vrais passionnés vont se retrouver comme moi, comblés par un titre qui a eu un joli coup de boost ! 🥰







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🔵 En dépoussiérant un peu mon chez moi, en remettant de l’ordre, au détour d’un recoin de tiroir, je suis tombé sur ma Super-NES Mini ! Pour son aspect, j’adore cet appareil. En outre pour son contenu c’est plutôt discutable. Mais je me suis dit qu’il était dommage de laisser dormir cette jolie réplique à l’ombre dans meuble.
J’ai alors installé cette maquette de Super-Nes sous mon écran télé. Et en essayant le bouzin, j’ai lancé Super Mario World. Je connais bien entendu le tire, mais je n’y ai jamais vraiment joué. Jouer avec une véritable manette d’époque, ou tout du moins sa réplique fidèle, pourvue d’un câble aussi court que le faisaient les japonais sur les machines des années 80 et 90, c’est un petit plaisir auquel je ne m’attendait pas.
Des lors que l’envie de poursuivre l’aventure me prend, il me faut retrouver mon coussin au pied de la télé pour m’y installer en tailleur pour jouer. Ce petit rituel que l’on a tendance à perdre par le biais de la consommation immédiate de jeux via nos smartphones ou autres appareils dédiés portatifs.
Une bien bonne idée de rebrancher ce jouet.


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🔵 Je ne savais pas que le Gameboy Color avait dans sa ludothèque un Metal Gear. Le jeu est logiquement assez loin de ce que peut proposer son aîné sur PlayStation en 1998, mais il se défend très bien compte tenu du support.
J’aime beaucoup le fait que l’histoire soit complétée par ce petit opus dont la trame tient largement la route. Les mécaniques sont simplifiées, surtout du fait que la console ne propose que 2 boutons d’action. Mais j’apprécie particulièrement le jeu du chat et de la souris entre Snake et les gardes. L’opus GBC conserve le fait de se plaquer contre un mur pour frapper du poing et attirer les ennemis. La gestion de l’inventaire sera de la partie. Ce n’est pas le titre le plus ambitieux de la console, mais il procure un certain plaisir pour peu que l’on s’immerge dans son univers.

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🔵Ça va faire quelques temps déjà que je voyais passer Hollow Knight de toutes parts. Le jeu me semblait être une petite merveille dans son histoire, dans sa jouabilité et dans ses visuels. Sans trop y prêter attention, je savais que ce titre était là et qu’il plaisait, ou pouvait me plaire. Les avis étaient systématiquement bons. Et le côté « Gothique » qui se détache de l’œuvre me charmait.
Je pu essayer quelques minutes le titre alors que Nintendo, par le biais de son abonnement, mettait à disposition une version d’essai pour quelques jours. Ce qui me déplu ce fut l’input lag assez conséquent. La réactivité rendait le jeu pas particulièrement agréable. Probablement que je n’a ais pas laissé le temps à mon cerveau de dompter cette légère latence. Puis, l’aspect visuel m’évoquait un jeu Flash… Allez savoir pourquoi ?! 🤔
L’envie d’y revenir se fit sentir. Alors je guettais sans cesse les sites tels que G2A ou Instant Gaming pour profiter d’une promotion. C’est au cours de la semaine dernière que je me décidais de prendre enfin le jeu pour 14€ sur Switch. L’argument Portable/télé a tendance à remporter la victoire à coup sûr !
Alors je me suis lancé dans cette aventure qui m’a captivé dès les premiers instants ! Ma venue dans ce village dévasté, abandonné, dont l’unique gardien est un vieil homme qui patiente seul dans les bourrasque froide d’un vent qui ne relâche jamais son étreinte. Un homme… Un insecte civilisé plutôt. Car Hollow Knight se déroule dans un monde insectoïde qui s’est effondré. Une vaste citée qui fut terriblement prospère est dès lors plongée dans le silence. Le temps érode ce vaste dédales de couloirs et la capitale.
Sans aucune raison précise, tout du moins au début, nous allons nous enfoncer dans les profondeurs de ce monde abandonné, sillonné par quelques aventuriers téméraires.
Une prophétie sommeille la dessous.
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🔵 Ça va faire un sacré moment que je louche sur Hollow Knight. L’univers m’apparaît comme étrange, sinistre, gothique a une échelle toute petite, puisque tout semble se dérouler chez des insectes. Depuis des mois je veille sur des sites tels que G2A ou Instant Gaming pour trouver la promo imbattable, mais en vain. Alors j’ai fini par le télécharger illégalement… Et le titre est si bon, si prenant qu’au bout d’une poignée de minutes, j’ai finalement cédé ! Je l’ai pris sur Switch.
L’aventure semble incroyable ! Tout est si mystérieux jusqu’à l’étrange personnage que l’on contrôle.
Je dois avoir une heure ou deux et l’envie d’y retourner est bien là !
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🔵 La Rg35XX Plus. Le modèle deluxo de la gamme des machines d’émulation sous la barre des 100€. Sans sourciller la machine monte jusqu’à la PsP et la Dreamcast. Belle performances vu le prix. L’os fournit en outre est une purge et manque clairement d’optimisations. Les jeux peuvent accrocher ou la personnalisation et les paramètres restent limités. Garlic OS 2.0 me semble plutôt batard. Il s’appuie sur l’os initial pour démarrer. Le genre d’installation pas très propre qui ne me plaît pas du tout. De fil en aiguille et en clics je suis tombé sur MuOs. Taillés pour pas mal de machines dont la 35XX Plus. L’installation est incroyable, jusqu’à faire un petit générique pour présenter les nombreuses personnes qui ont bossé sur le projet.
L’os est propre, optimisé et propose beaucoup d’options et un accès simple à RetroArch. Il me tarde d’en voir un peu plus et de tester plus en avant. ☺️

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🔵 J’ai passé un petit moment t à configurer l’émulateur PS2 sur le SteamDeck ! Le résultat est bluffant ! Les jeux tournent à merveille sans être trop énergivores… Et à dire vrai, outre trois classiques, je ne connais rien du catalogue de cette machine.

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🔵 Wipeout… Dès la sortie du premier opus, en 1995, mon œil était fortement attiré par l’aspect futuriste de la création de Nick Burcombe et ses équipes de Psygnosis. Je ne suis pas un aficionado des courses automobiles, en outre le cyberpunk et l’ambiance techno-futuriste qui enveloppe les jeux de courses Wipeout, c’est tout autre chose. J’aime plaisanter en disant que si il y a des roues sur les engins de course, ça ne m’intéresse pas ! :-D Je me souviens quand j’observais attentivement les articles et les publicités dans les magazines spécialisés. À cette époque, je n’éprouvais aucun attrait pour la compétition sur une piste, mais ce jeu m’appelait malgré tout. En 1996 j’ai pu avoir le « 2097 » sur Saturn. L’opus à la B.O tronquée, puisque Sega n’avait pas les droits. J’avais passé des heures et des heures à me battre pour terminer premier. Mais ce n’est pas pour autant que je m’attardais sur les temps et le perfectionnement de mes trajectoires.
Il m’a fallut attendre l’avènement de l’émulation pour lancer Wipeout 1 et m’y pencher plus sérieusement. Sinon, c’était toujours de courtes sessions chez les potes qui avaient forcément une PlayStation. Rares étaient celles et ceux qui eurent la Saturn d’ailleurs. Fin des années 90, début 2000, tout le monde avait une ps1 quelque part. Et forcément les classiques de la machines en fonction du milieu dans lequel on traînait. Tony Hawk et des jeux de BMX ou de glisse si on traînait chez les métalleux. Du FIFA ou du PES chez les rappeurs… C’était toujours comme ça. Mais souvent, il y avait une boîte de Wipeout. Parce que le succès avait été phénoménal.
Wipeout est élitiste. Burcombe voulait que la personne qui finisse le jeu, soit une joueuse ou un joueur d’exception. Le but étant d’avoir un jeu qui ne pardonne aucune erreur. Maîtriser Wipeout c’est être réellement un pilote manette en main.
L’univers est d’une richesse exceptionnelle. Les histoires autour chaque écuries, les technologies employées, et finalement ce que les décors autours des pistes peuvent raconter, tout à été pensé et écrit pour rendre tangible un futur possible. Le studio The Designers Republic a offert une identité visuelle si forte à Wipeout que les jeux sont considérés peu ou prou comme des œuvres artistiques sur bien des aspects. Les recherches dans les logotypes, l’aspect des bâtiments, les kanjis ou les symboles qui y ressemblent…
J’ai toujours été admiratif du travail effectué sur cette licence. Les éditions Pix’n’love ont rendu hommage à Wipeout au travers un livre objet d’une qualité et d’un rendu incroyable.
Je peux parler des heures de ces jeux. Des sensations grisantes qu’ils procurent, de la technique qu’il m’a fallut développer pour parcourir une piste sans frotter les bordures.Le design si particulier des vaisseaux que je trouve si classe dont les origines proviennent de quelques jeux des années 80.
J’ai chroniqué en profondeur le sujet dans l’épisode 312 de Geekorama. Je vous laisse le soins d’écouter si le cœur vous en dit. 🥰
https://on.soundcloud.com/AKExWqUH59dVgoJf








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🔵 Après avoir terminé la campagne des Atreïdes, je m’attaque à celle des Ordos.
Spécialement inventée pour les besoins du jeu Dune II Battle For Arrakis, cette maison représente tout ce que je déteste. Un conglomérat de marchands opportunistes et bourgeois pétris de pouvoir. En résumé, c’est un peu notre gouvernement Européen actuel.
Cela dit le cran de difficulté se fait sentir. Particulièrement sur la mission où nous pouvons produire nos premiers chars. Le timings est très serré et la stratégie à adopter particulièrement fine. Tout va reposer sur un trio de soldats armés de missiles.
Un seul trio à préserver des assaillants. Au bout de quatre ou cinq essais j’ai pu trouver la solution pour tenir le coup et produire mes premiers chars afin d’assurer la défense de mes structures. J’ai beaucoup aimé ce passage du jeu, et je me demande ce que le reste me réserve. Dès lors j’ai une armée et une base aux reins suffisamment solides pour remplir mon objectif.


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🔵Puisque je suis dans ma période Dune… autant vous en faire profiter ! 😆 Il ne me reste plus qu'à relire les romans encore une fois. Peut-être en livre audio, qui sait ? 🤔 Juste pour enfoncer le clou… Mais passons, ce n'est pas le sujet de ce billet. J'ai poncé Dune II: Battle For Arrakis sur Megadrive quand j'avais 12 ans. Il n'empêche que j'y reviens souvent, par nostalgie mais surtout pour le plaisir que ce jeu me procure. C'est un excellent jeu de stratégie en temps réel (STR) aux mécaniques simples, mais redoutablement efficaces. En revanche, je n'ai absolument pas connu Dune 2000, sorti en 1998 par Westwood Studios… Enfin, Westwood était à la trésorerie : ce sont plutôt les Anglais de Intelligent Games qui ont développé Dune 2000. En soi, le jeu était peu ou prou la même chose. Il s'agissait surtout de peaufiner la formule : des mécaniques plus fluides, grâce à un curseur contextuel, et des graphismes nettement plus jolis. Cela dit, aujourd'hui, le jeu a du mal à tourner sur nos configurations modernes. C'est alors que, au détour d'un recoin du Web, je suis tombé sur OpenRA : une communauté qui a décidé de ne pas laisser mourir les vieux titres de Westwood. Un installeur léger vous permettra de retrouver Red Alert, Command & Conquer ainsi que Dune 2000 dans une résolution largement acceptable. Ca vaut le coup 👌!
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🔵J’ai soufflé pour lever la couche de poussière qui recouvrait mon Raspberry Pi4. L’avantage de la chose c’est que ça se connecte tout seul à internet, RecalBox fait sa mise à jour et il n’y a plus qu’à jouer. De son pc on peut se connecter directement sur la machine pour téléverser des roms fraîches.
Je vous promets que ma période Dune va passer…

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🔵 C’est dans un champ de ruines que mes troupes avancent. Les vestiges de la base de l’adversaire ne sont que gravats. Mes troupes sont fières et galvanisées par les émanations de l’épice qui flotte dans l’air, elles ont arraché la victoire aux Sardaukars !
Dune est aux Atreïdes !


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🔵 Dotemu m’impressionne vraiment. C’est un studio de chez nous qui est versé dans la prestation de services, ou l’était dans un premier temps tout du moins. Ils adaptent de vieux jeux sur des systèmes plus modernes pour que les joueurs d’aujourd’hui puissent accéder aux reliques de notre média préféré. Leur société a évolué et la remodernisation a dérivé vers la création de nouveaux titres issus de licences oubliées. Street of rage 4 est l’un de ces projets.
Même si mon côté puriste a tendance à me faire aborder le jeu avec méfiance, il n’en reste pas moins l’un des meilleur Beat Them All de ces dernières années ! Visuellement il est très abouti, sa jouabilité est d’une efficacité redoutable et son contenu très satisfaisant. Il n’y a que sa B.O qui me laisse de marbre, mais en aucun cas cela ne me gâche le plaisir. 🥰

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🔵 Au début des années 2000, moi, je jouais sur ma GBA ! Je crois que de toutes les machines portables que j’ai pu posséder dans ma vie de joueur, la GBA est au coude à coude avec la Switch et le Gameboy. Alors que l’ère de la 3D explosait à tous les étages, la 2D offerte par le petit écran de cette machine, arrivait encore à m’impressionner. Mais face à mes potes de l’époque, la GBA était « La petite console de merde qui ne fait pas de 3D ! »…
Oui… Ça ne date pas d’aujourd’hui les joueurs qui s’arrêtent aux graphismes avant de goûter au gameplay. En outre, lorsque Doom est sorti sur GBA, j’ai d’abord été surpris par la performance et ravi de pouvoir enfin en foutre plein les yeux à ceux qui m’entouraient. Ça n’avait pas loupé. Doom sur une si petite machine c’était vraiment incroyable.
J’ai de bons souvenirs où l’on zonait dans un recoin urbain abandonné, à l’ombre des pins qui nous protégeaient du soleil brûlant. On se délectait de la fraîcheur d’une Kro dont le verre suait. On se partageait ma Gameboy Advance pour enchaîner les niveaux de Doom.
Je n’avais pas pleinement compris le principe profond du jeu. J’ai pu y revenir en détail dans l’épisode 439 de Geekorama.
Mais c’est marrant de me dire que j’avais acheté un jeu simplement pour épater la galerie. 😅

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🔵 En fouillant sur le net j’ai trouvé un couple… je…Oui… Je crois bien qu’il semblerait que ce soit un couple... J’espère ne pas trop m’avancer à ce sujet… Bref ! Un couple qui fait des reprises de génériques de dessin animés des années 80 et 90. Ça m’évoque totalement les années où j’étais étudiant, j’avais ma guitare dans le dos en guise de sac de cours, et je jouais aussi des génériques, un peu comme le faisait un certain « Mitch » dont les covers acoustiques sonnaient si bien !
Pour le coup, ici le level est ultra chouettos et les morceaux rendent tellement bien. 🥰 C'est badass d'entendre des gens chanter si juste sans l'appui de l'auto-tune. Cette chaîne est un vrai régal et leurs sessions Live excellentes ! Allez y poser votre oreille si vous êtes un bon grizzli des 80's !
youtube
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