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Perle Ou Navet
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Après 45 000 abonnés sur mon Tumblr et 350 critiques cinéma écrites, il était de passer à un autre format. il parait que plus personne ne lit, donc je vais vous parler. Vous ne savez pas quoi aller voir (ou pas) au cinéma ? Je vous aide à faire le tri entre les perles et les navets grâce à mon avis en seulement 5 minutes top chrono ! Perle ou Navet, c'est des critiques ciné décomplexées mais toujours argumentées ! N'h��sitez pas à commenter, à vous abonner et à aller au cinéma ! Pour les curieux, je m'appelle Pauline, j'ai 29 ans. Je n'ai pas fait d'études de cinéma. Je travaille en freelance dans la com'.
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perleounavet · 4 years ago
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perleounavet · 4 years ago
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Sin City: j'ai tué pour elle
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Ca parle de quoi ? Vies et morts à Sin City
C’est avec qui ? Eva Green, incontestablement la sensation de ce nouvel opus. Juste magnifique. Josh Brolin, qui remplace Clive Owen dans le rôle de Dwight McCarthy, Jessica Alba, toujours en plein déhanché. C’est de qui ? Frank Miller & Robert Rodriguez, l’auteur de la bande dessiné accompagné du dieu de la néo-série B. Et c’était bien ? 9 ans après le premier Sin City, phénomène ciné de la décennie précédente, on nous  livre enfin le second opus. 9 ans d’avancées technologiques plus tard, le premier constat est évident : Sin City 2 est encore plus beau que Sin City 1. Je suis toujours autant cliente de cet esthétisme à toute épreuve. Le film est franchement magnifique. D’une part on ne peut que constater l’efficacité de la patte comics, rien de plus prenant pour rentrer totalement dans un univers que de pouvoir produire une ambiance sans précédent. Deuxièmement, certaines idées de mises en scène sont tout simplement fabuleuses. Miller et Rodriguez jouent avec les formes et les contrastes pour faire de Sin City une œuvre graphique qui étonne et émerveille à chaque plan. Si je dis souvent qu’il ne faut pas aller voir un film pour la prouesse technique, Sin City est l’exception qui confirme la règle. Chaque plan est tellement fidèle d’une bande dessinée que le rendu est réellement bluffant. A noter que je n’ai pas vu le film en 3D mais qu’il a tout de même su m’attraper dans ses décors. Niveau scénario, ça démarre sur les chapeaux de roues. J’ai juste quelques longueurs à déplorer vers le troisième quart. J’ai lu beaucoup de reproches concernant le manque de profondeur du film par rapport au premier. Personnellement, je n’ai pas vraiment fait la différence. Sin City reste la cité du vice. On dérouille sans se poser de question, on prend ce qui nous intéresse et on se casse. Logique implacable de la jungle urbaine. Nos personnages sont toujours joliment torturés, dominés par leurs pulsions les plus basiques.
A Sin City tout tourne autour des 3 forces les puissantes : l’amour, le pouvoir et l’argent. On n’a jamais rien fait de plus universel.
C’est bien joué ? La star de l’opus c’est incontestablement Eva Green. Complètement solaire et femme fatale à tomber raide, Eva Green épouse à merveille le noir et blanc. Peu de budget costume pour la demoiselle mais un écrin de lumière. C’est beau sans jamais être vulgaire. Eva Green vous assassine tous du regard, vous êtes prévenu. J’ai également aimé retrouver Josh Brolin dans un rôle qui lui va à merveille, celui du type fou d’amour qui renonce à ses principes avec une conviction aussi musclée que ses avant-bras. Qui d’autre sinon que Mickey Rourke pour jouer Marv, à la gueule défoncé ? Joseph Gordon Lewitt est lui aussi étonnant. Excellent casting de choix, donc. Rien à redire, à part peut être pour Jessica Alba, excellente quand elle danse, pas assez crédible quand elle s’énerve.
Elle a les yeux revolvers… Mais pas que les yeux ! On y va ? Sin City reste d’une originalité telle qu’il est dommage de ne pas y passer deux heures. Allez-y faire un tour.
Alors Perle ou Navet ? Presque une perle. Dommage pour les quelques longueurs. Esthétiquement le film est formidable. C’est une véritable leçon de mise en scène, de travail graphique et tout simplement de beauté. Sin City est un OVNI, aucun autre film ne lui ressemble, même pas un petit peu, même pas dans le brouillard avec un œil crevé. Au delà de la simple histoire qui reprend quelques mécanismes que nous connaissons tous par cœur, Sin City est une ambiance, un véritable univers comme il y en a peu. Un voyage dépaysant. Sin City est un poème douloureux et mélancolique que l’on aime lire même quand on connaît déjà la triste fin.
Pour le mot de la fin, la guest-star du film….Ceci n'est pas une actrice
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perleounavet · 4 years ago
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Gone Girl
Ca parle de quoi ? Ben Affleck a-t-il tué sa femme disparue ? C’est avec qui ? Ben Affleck, souvent mauvais acteur, souvent bon réalisateur Rosamund Pike, autant vue dans des navets intersidéraux que dans des films d’auteur C’est de qui ? David Fincher, l’un des mes réalisateurs fétiches (Se7en, Fight Club, The Social Network, entre autres). Et c’était bien ? Gone Girl est certainement un des films que j’aurais le plus attendu cette année. Normal, c’est un Fincher et un Fincher est toujours excellent. Toujours. Gone Girl n’échappe à la règle. Quelle maitrise. Quel talent. N’écoutez pas les scribouillards frustrés qui vous diront que c’est un mauvais thriller et un mauvais Fincher. Oh que non, ils ne supportent simplement pas la perfection. Il faut toujours une petite bête même quand tout est propre (propre comme la filmo de Fincher) Sur 2h30 haletantes, où l’ennui ne se fait JAMAIS ressentir, David Fincher distille au compte goutte, tout doucement, la tension de ce thriller à tiroirs. Une véritable chasse au trésor. Gone Girl , pourtant, fait partie de cette catégorie de film dont il faut en savoir le moins possible. Ceci est un message bienveillant : Vous pouvez regarder la bande annonce mais ne parlez pas du film à ceux qui l’ont vu ! Et évitez les articles de journaux. Et la radio. C’est souvent des gros spoilers pourris.
Je vais donc m’atteler à en parler différemment. Gone Girl, c’est tout d’abord un best-seller sorti en 2012. Fincher s’est immédiatement emparé de l’histoire pour l’adapter. Pour ce faire il n’a pas fait appel au remarquable scénariste Aaron Sorkin mais a laissé carte blanche à l’auteur lui-même pour adapter son roman. Le mec s’en est donné à cœur joie et en a même changé la fin. Si vous avez lu le livre, vous serez donc surpris. Le film est un concentré d’ambiance. A la musique on retrouve encore une fois le génial Trent Reznor qui a su rester discret et minimaliste pour faire naître la tension. Fincher maitrise sa caméra à la perfection. Il sait où l’emmener, il sait quoi montrer, il sait comment insinuer. Un génie. Incroyablement maitrisé, donc, Gone Girl est l’allégorie même de la manipulation. Amour. Haine. Vérité. Mensonge. En sortant vous n’aurez qu’une certitude : la vérité justement, n’est qu’une question de relations publiques.
C’est bien joué ? Je ne considère pas Ben Affleck comme le meilleur des acteurs, souvent il est même mauvais car il n’est pas toujours assez expressif. Et c’est exactement pour ça qu’il est parfaitement employé dans Gone Girl. Pour le coup, le gus est parfait. Attitudes et mimiques ambiguës sont appliquées à merveille. Pas de bouche ouverte pendant tout le film. C’est un miracle. Quant à Rosamund Pike, la beauté froide absolue, elle mérite une nomination à l’oscar de la meilleure actrice. Sans en faire trop, elle est bluffante.
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Ne sont ils pas absolument adorables ?  
(Je pourrais vraiment continuer cette critique plus longtemps, vous dire tout ce que dénonce le film, vous disséquez sa philosophie, appuyez sur la perfection des acteurs, mais je suis sympa, je vous influence pas…)
On y va ? S’il vous plait ! Alors Perle ou Navet ? Une belle Perle que j’ai eu peine à quitter. J’en aurais encore demandé. Presque Hitchcockien, Gone Girl a tous les atouts du thriller parfait. Un thriller se doit d’être maitrisé, Gone Girl ne laisse pas de place à l’approximation. Merci, Fincher, merci. J’aime quand tu me mets des claques comme ça. 
Pour le mot de la fin, je vous laisse avec une citation. Vous y reviendrez quand vous aurez vu le film
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perleounavet · 4 years ago
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Magic in the Moonlight
Ca parle de quoi ?
Les années 20. Sud de la France. Un magicien désabusé et cartésien rencontre une jeune médium fraîche et pleine de vie. C’est avec qui ? Colin Firth, monsieur Darcy Emma Stone, des grands yeux bleus, une bouche rouge, d’agréables cheveux roux C’est de qui ? Woody Allen, un film par an, même à 78 ans Et c’était bien ? Les films de Woody Allen se déclinent en 3 catégories : - Véritables chefs d’œuvre - Films mineurs - Vraie déception. Magic In the Moonlight  le cru 2014 de Woody Allen fait partie de la deuxième catégorie. Largement en dessous du cru 2013 (Blue Jasmine), il reste véritablement meilleur que le cru 2012 (To Rome With Love ). Vous l’aurez compris, un Woody, ça se déguste. Soyons clair, Magic In the Moonlight ne va pas changer votre vie. C’est un petit film sans prétention avec une petite histoire mignonette. Il m’a fait penser à une nouvelle ou un exercice de style. Depuis sa découverte de l’Europe avec Vicky Cristina Barcelona, Woody ne cesse de se laisser inspirer par nos paysages beaucoup plus dépaysant que ceux de son cher Manhattan. Le voilà qu’il s’installe dans le sud de la France pour faire renaitre les années 20 de la haute bourgeoise mondiale qui se dore la pilule sur les hauteurs de St’Trop (oui déjà à l’époque). Woody nous livre un petit pamphlet sur la vie, les illusions et l’espoir. D’un côté du ring, le personnage de Colin Firth qui ne croit plus en rien tellement il est cynique et carré et de l’autre la ravissante Emma Stone, plus ingénue tu meurs. On a donc le droit à un joli combat d’idées. Malgré le beau duo d’acteurs, on ne peut malheureusement pas échapper à quelques moments d’ennuis. Certains dialogues sont trop longs. On voit que Woody a fait trainer sa petite histoire en longueur.
Je l’imagine tout à fait avoir écrit Magic In The Moonlight il y a longtemps déjà. Histoire ancrée dans le passé et intemporelle, il l’a dégainé au bon moment, certainement inspiré par les paysages bucolique de notre arrière pays.
Magic In The Moonlight marque aussi la quatrième collaboration de Woody avec Darius Khondji, directeur de la photographie, qui, notons-le, à réaliser un travail remarquable. Le film est lumineux et doté de superbes couleurs vives qui rendent un hommage certain à la beauté du cadre. En bref, Magic In The Moonlight ressemble à un bonbon oublié dans une poche. On le découvre avec plaisir, la saveur est préservée mais elle s’estompe trop rapidement. C’est bien joué ? Colin Firth ne déroge pas des rôles qu’on lui prête le plus souvent. Il est bougon, taquin, pessimiste et cartésien. Il ne sourit pas, ça pourrait lui donner l’air gentil. Alors bien sûr, il est impeccable dans ce registre qu’il connaît par cœur. Parlons maintenant d’Emma Stone. Ah, Emma Stone ! Au rayon des nouvelles fiancées de l’Amérique, je la préfère largement à une Jennifer Lawrence. Emma Stone a une beauté naturelle éblouissante. Des yeux immenses, un air de chat. Pour jouer les allumeuses des années 20, elle est parfaite. Son jeu est un peu théâtral mais colle tout à fait à l’ambiance voulue par Allen. Un casting de choix, donc !
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Y'a comme une lueur…d'espoir ? On y va ? Pour se détendre avec intelligence, c’est tout à fait suffisant.
Alors Perle ou Navet ? Magic In The Moonlight est un Woody Allen trop mineur pour mériter le titre de Perle. Pourtant il fut agréable à regarder. On sent tout de suite que le film ne sera pas un chef d’œuvre mais tant pis. Ou tant mieux. Il agit sur vous comme une petite pointe de douceur dans la fraicheur automnal. Un feel-good movie tout à fait arty. On a presque l’impression de voir un vieux film.
Pour le mot de la fin, une petite quote de Woody (dont les films sont toujours plus rentables en Europe qu'aux US)
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perleounavet · 4 years ago
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Mud
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Ca parle de quoi ? Sur les rives du Mississippi vivent deux ados baroudeurs. Un jour ils découvrent sur une petite île, un fugitif. Il s'appelle Mud. C'est avec qui ? Matthew McConaughey, revient en force depuis quelques films. Brillant. Reese Whisterspoon, campe ici une paumée blonde surtout remarquée pour ces gambettes. Tye Sheridan, à tout juste 16 ans, a déjà été le fils de Brad Pitt dans Tree of Life et sera bientôt celui de Nicolas Cage. Rien que ça.   Jacob Lofland, l'autre petit garçon du film qui tourne là pour la première fois.  
C'est de qui ? Jeff Nichols, après Shotgun Stories et le remarqué Take Shelter, Jeff Nichols s'impose a 34 ans comme le véritable espoir d'un ciné US indépendant mais fédérateur et plein de talent. Et c'était bien ? A la manière de Tom Sawyer, Mud est une véritable quête initiatique au bord du Mississippi. Le film nous emmène tout d'abord dans un décor que nous connaissons peu: ces américains pêcheurs qui vivent dans des maisons sur pilotis toute l'année. Ils tuent des serpents, pêchent des moules en scaphandriers et vivent de pas grand chose. Les enfants ne vont pas sur Facebook, ils font du hors-bord, de la mobylette et explorent les îlots désertiques en quête de nouvelles aventures. Nous voici donc en pleine nature avec ces deux petits Tom Sawyer qui vont bientôt rencontrer leur Huckleberry Finn. Les références aux livres de Mark Twain sont aussi très assumées. Mud est tout seul sur son île. Il attend de pouvoir rejoindre le continent tranquillement, discrètement. Car bien sur il n'est pas clair, il est même louche. Sa peau tannée par le soleil du sud des Etats Unis laisse présager le nombre d'heures qu'il a du passer à l'ombre des arbres ou à se terrer dans les buissons. La venue des petits Sawyer est donc providentielle pour lui. Eux, sont fascinés par cet homme intriguant, mystérieux, charismatique, qui semble avoir besoin d'eux. Mud est amoureux. Il attend de pouvoir rejoindre Juniper, blonde élancée en short qui, par son arrivée vient de retourner les hormones de tous les petits mecs de la petite ville. Le film c'est ça aussi.   C'est deux gamins de 14 ans qui grandissent. Alors bien sur, rien ne les rend plus heureux que les jambes des gazelles des alentours. A 14 ans on est chaud mais on se cherche aussi des figures paternelles, des nouveaux modèles, des nouvelles références pour pallier des parents décevants. Et quoi de mieux qu'un héros imparfait ? Certes, la réalisation a pris un parti contemplatif un peu à la Terrence Malick, mais le film est riche d'un vrai scénario, d'une vraie histoire, d'un vrai parcours. Le décor, l'ambiance du film ont quelques chose d'inédit, de frais, un air de découverte très appréciable. Le film est riche par bien des aspects. Il vous prend, il vous retourne.   La beauté est partout. Le film est si touchant, émouvant, presque timide, qu'il est forcé de vous rendre un poil sensible.  
C'est bien joué ? Malgré des choix de carrières souvent hasardeux et pas toujours heureux, Matthew McConaughey prouve qu'il est un grand acteur. Instinctif, touchant et grandement talentueux. Depuis quelques temps et quelques films, il montre et démontre qu'il est bien plus qu'un acteur raté des années 90 mais une vraie valeur montante actuelle. Et le rôle lui colle à la peau. Autre découverte du film: le jeune Tye Sheridan, qui crève véritablement l'écran et son acolyte Jacob Lofland, tout aussi prometteur.  Ils sont des talents bruts, aussi instinctifs que leur grand frère Matthew. Bref, un trio réussi, sublimé par une jolie alchimie.
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Matthew et les petits mecs, depuis un bateau perché dans les arbres après la dernière crue, contemplent un truc. Est ce un oiseau ? Un avion ? Suspense insoutenable.  
On y va ?
Ca serait vraiment dommage de rater ça.
On y va avec qui ?
Tout le monde. Et si la personne avec vous n'est pas un tout petit ému par toutes les formes de beauté qu'on peut trouver dans ce film, posez vous les vraies questions.
Alors Perle ou Navet ?
Je suis catégorique c'est une Perle.
Embarquez vous aussi sur les rives du Mississippi. Ne ratez pas cette quête initiatique dépaysante.  Plongez avec ce trio. Plongez dans un univers rare et un scénario frais.
Le Festival de Cannes ne s'était pas trompé en le sélectionnant l'année dernière en compétition officielle. Y'a matière à crier au chef-d'oeuvre.
Pour le mot de la fin, on ne vous recommandera jamais assez de manger sainement, de bien dormir etc… Puis une bonne coupe de cheveux et des beaux habits, ça joue pas mal aussi, n'est ce pas Matthew ?  
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perleounavet · 4 years ago
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J’ai une pensée pour le personnel de la restauration qui après des semaines à essayer de demander à certains de remettre leur masque devront jouer les vigiles avec les anti-vaxx. Faut les augmenter les pauvres. C’est les 7 plaies d’Egypte la.
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perleounavet · 4 years ago
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perleounavet · 4 years ago
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perleounavet · 4 years ago
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perleounavet · 4 years ago
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perleounavet · 4 years ago
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