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Un truc que je ne comprend pas:
Les études “supérieures” dans le domaine religieux...
C’est comme faire des études de biologie pour ensuite se spécialiser dans l’étude de la licorne.
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Robert Frost.
LA ROUTE NON PRISE
Deux routes divergeaient dans un bois jaune Et, désolé de ne pas pouvoir prendre les deux Et n’être qu’un seul voyageur, je suis resté longtemps A regarder l’une des deux aussi loin que je ne le pouvais Jusqu’au point où son virage se perdait dans les broussailles ;
Alors j’ai pris l’autre, toute aussi séduisante Et peut-être encore plus justifiée Parce que herbeuse et manquant quelque peu d’usure Bien que, franchement, les passages Les aient usées à peu près de façon identique,
Et toutes les deux se reposaient, ce matin là, Sous des feuilles qu’aucun pied n’avait noircies. Ah, j’ai gardé l’autre pour un autre jour ! Sachant, pourtant, comment un chemin nous mène à l’autre, Je doutais que jamais je n’y revienne de nouveau.
Un jour je me trouverai à raconter en soupirant Quelque part dans un lointain avenir que Deux routes divergeaient dans un bois, et moi, J’ai pris celle par laquelle on voyage le moins souvent, Et que c’est cela qui a tout changé.
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Annonce
Ce week-end, de samedi 22h jusqu'au lundi 14h aura lieu une free party dans la région Lorraine. Probablement dans la banlieue Nancéenne, aux alentours de 50 à 100km. Les organisateurs ne donneront le lieu de la free seulement quelques heures avant son commencement (question de sécurité). Habitant Verdun, je me propose pour prendre des personnes qui souhaitent y aller, il me reste 2 places dans la voiture. Je pense faire du samedi soir au dimanche soir donc prévoyez quelques affaires (couverture, nourriture, boisson etc). Je précise que ce genre de fête est un peu... roots, underground. Donc si vous êtes amateurs de ce genre de fêtes vous savez dans quoi vous mettez les pieds... pour des novices, il faut avoir l'esprit ouvert... Et au minimum fumer de la weed. Car c'est un état d'esprit à part. Bref, si vous êtes chaud pour sortir pendant 2 jours du système, contactez moi!
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A comme Anarchie , Amour , Alpha
ANARCHIE : Ni Dieu , ni Maître
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(via https://open.spotify.com/track/4xyyC9MONeIkqOW67C38kw)
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Kit de survie pour un monde hostile. "Jette des billets en l'air comme si tu pouvais te payer le paradis."
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Introduction à une vie non fasciste
-libérez l'action politique de toute forme de paranoïa unitaire et totalisante -faites croître l'action, la pensée et les désirs… -affranchissez vous des vieilles catégories du négatif (la loi, la limite, la castration, le manque, la lacune) que la pensée occidentale a si longtemps sacralisées comme forme du pouvoir et mode d'accès à la réalité. Préférez ce qui est positif et multiple, la différence à l'uniforme, le faux aux unités, les agencements mobiles aux systèmes. Considérez que ce qui est productif n'est pas sédentaire mais nomade; -n'utilisez pas la pensée pour donner à une pratique politique une valeur de vérité; ni de la l'action politique pour discréditer une pensée, comme si elle n'était que pure spéculation. Utilisez la pratique politique comme un intensificateur de la pensée, et l'analyse comme un multiplicateur des formes et des domaines de l'action politique; -n'exigez pas de la politique qu'elle rétablisse des “droits” de l'individu tels que la philosophie les a définis. L'individu est le produit du pouvoir…. -ne tombez pas amoureux du pouvoir
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You can thank Jupiter for keeping us asteroid free.
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Sıla Abalay, 18 ans, militante d'extrême gauche, abattue par la police durant la perquisition de son domicile à Istanbul. #Turquie
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Comment conjuguer la justice sociale et les libertés individuelles ?
À gauche comme à droite, analyse Ruwen Ogien, directeur de recherche au CNRS, c'est désormais la pensée moraliste qui triomphe dans la sphère politique. Le chômage, l'école, les inégalités, la pauvreté peuvent passer au second plan. La priorité désormais consiste à retrouver un certain ordre moral fondé sur le goût de l'effort, de la hiérarchie, du contrôle des désirs, de la fidélité aux traditions et de la valorisation de la seule famille qui tienne, la famille hétérosexuelle. Au lendemain du scandale de l'affaire Cahuzac, des hommes politiques de tout bord en appellent à “la transparence”, au “sursaut moral”. Pour Ruwen Ogien, c'est surtout un excellent moyen de détourner l'attention des Français de la vraie crise politique qui se déroule sous leurs yeux. Le philosophe publie ces jours-ci deux livres, (L'État nous rend-il meilleurs ? (Folio essais) et La guerre aux pauvres commence à l'école (Grasset), qui éclairent à plus d'un titre ce nouvel élan de “moralisation”. Pour Le Point.fr, il en décrypte les principaux enjeux. Le Point.fr : Vous publiez ces jours-ci deux livres sur la morale, une notion très à la mode. On ne parle plus désormais que de “transparence”, d’“éthique”, de “confiance”. Comment expliquez-vous ce soudain besoin de valeurs ? Ruwen Ogien : Cela fait déjà un certain temps que le discours sur le besoin de valeurs morales s'est répandu. Il a marqué les dernières campagnes présidentielles aux États-Unis et en France. Politiquement, je le trouve assez dangereux. Dans le débat public, l'appel aux valeurs morales sert souvent à remettre en cause les droits sociaux ainsi que certaines libertés individuelles. Les conservateurs américains, par exemple, font appel à la valeur “famille” pour nier aux personnes de même sexe le droit de se marier, à la valeur “vie” pour contester le droit d'avorter, à la valeur “sécurité” pour brider les droits de défense de certains prisonniers, et à la valeur “travail” pour justifier les atteintes à la protection des salariés. Malheureusement, l'appel aux “valeurs morales” a désormais la même fonction en France qu'aux États-Unis : disqualifier les droits sociaux et certaines libertés individuelles. On parle d'une économie gangrenée, d'une classe politique corrompue, d'une école sans foi ni loi. Est-ce vraiment nouveau ? Le discours sur la “corruption de la classe politique” n'a rien d'original. L'exploitation d'une position de pouvoir pour faire des bénéfices personnels ou partisans est un phénomène attesté depuis toujours et dans tous les systèmes politiques. Et en ce qui concerne le discours sur la nécessité de ramener la morale à l'école, il n'y a évidemment rien de nouveau non plus. Depuis un siècle, en France, tous les ministres de l'Éducation nationale, de droite comme de gauche, ont eu ce projet pompeux, sauf pendant une courte période qui a suivi Mai 68. Mais tous ont échoué. Et pour des raisons qui n'ont rien d'accidentel. Ce sont des projets autoritaires, qui proposent de vaincre un ennemi intérieur, une classe dangereuse qui ne partagerait pas les fameuses “valeurs” de la République. Mais de quelles valeurs parle-t-on ? Bien souvent, ces projets sont inadaptés, dans leur forme même, à l'évolution de nos sociétés, et confus du point de vue du contenu philosophique. Ce qui est frappant dans les démocraties, c'est le rejet de la corruption et l'existence de contre-pouvoirs - justice indépendante, presse libre, réseaux sociaux actifs - qui permettent de la limiter. Des études sociologiques ont montré, en effet, que plus on adhère à la démocratie, moins on est tolérant à l'égard de la corruption. Si l'on veut rester optimiste, on peut dire que la multiplication des affaires qui deviennent des scandales publics est l'indice que l'adhésion à la démocratie reste quand même très forte en France, en dépit des attaques qu'elle subit. Peut-on faire de la politique sans morale ? N'est-ce pas antinomique ? C'est plus compliqué que cela. Les règles qui contraignent l'activité des personnes qui occupent des positions de pouvoir dans les sociétés démocratiques ne sont pas les mêmes que celles qui régissent la morale privée. Dans le domaine de la sécurité, par exemple, il peut être recommandé d'utiliser le secret, le mensonge, de ne pas tenir ses promesses, d'utiliser la menace et la force pour contraindre un adversaire. Mais si vous agissez ainsi dans vos rapports avec ceux qui vous aiment et vous font confiance, on dira que vous êtes complètement immoral ! De ce point de vue, on est moralement moins exigeant dans l'action publique que dans les rapports privés. Pour autant, il est juste qu'un ministre présente publiquement son patrimoine en début et en fin de mandat, pour prouver qu'il ne s'est pas enrichi avec de l'argent public. Et il est également normal qu'il renonce à certaines activités professionnelles pour éviter tout conflit d'intérêt. Les hommes politiques doivent-ils nécessairement donner l'exemple de la morale irréprochable ? Pourquoi la moralité a-t-elle pris le pas sur les compétences professionnelles ? Les citoyens ne sont pas des enfants, ils n'ont pas besoin que les hommes politiques leur montrent l'exemple. En revanche, dans une démocratie, ils ont le droit, et même le devoir, de contrôler ceux qui ont le pouvoir pour les empêcher d'en abuser. Certains voudraient aller plus loin. Ils exigent qu'en plus de ce contrôle des actions des hommes de pouvoir vienne s'ajouter un contrôle de leur âme. L'idée, c'est que si on est vertueux au quotidien, on agira pour le bien des plus faibles ou le bien commun ; or, si l'on manque de vertu, on ne le fera pas. Je crois que cette idée est de plus en plus répandue. Malheureusement, elle est fausse. L'expérience montre qu'il n'y a pas de rapport entre la vertu privée et l'action publique juste. Personne n'a nié que Margaret Thatcher était “vertueuse” dans sa vie privée. Mais elle a mené une politique si brutale envers les plus faibles que des masses de Britanniques se sont réjouis de sa mort et l'ont fait savoir en défilant dans les rues de Londres. À l'inverse, le doute plane encore sur les vertus privées de Bill Clinton. Mais nombreux sont ceux qui, aujourd'hui, regrettent sa politique de prospérité pour le plus grand nombre. Mais si l'État ne garantit pas lui-même un minimum d'ordre moral, qui le fera ? Attention à ce que l'on met derrière la notion même de morale. En ce qui concerne l'affaire Cahuzac, je trouve le mot parfaitement inapproprié. Il ne correspond pas aux enjeux, à ce qui devrait faire l'objet du débat. Il ne faut pas confondre ce qui est jugé “immoral” et ce qui est interdit par la loi. Je crois que nous avons un peu oublié ces derniers temps que le droit n'est pas la morale. Établir un contrôle légal des activités de ceux qui occupent de hautes fonctions (avec des sanctions) ne revient pas nécessairement à rendre ces actions morales, seulement à redonner un cadre juridique contraignant qui réponde aux principes de la démocratie. Vous affirmez que les extrêmes alimentent une “panique morale”, notamment en ce qui concerne le mariage gay. Quelles sont les conséquences d'un tel positionnement ? Les agressions homophobes violentes qui ont lieu ces derniers temps montrent que les conséquences de la panique morale peuvent être extrêmement graves. Les anti-mariage pour tous ont fini par comprendre que la loi finira par passer quoi qu'il arrive. Du coup, ils se permettent d'abandonner tout effet argumentatif, et de passer à l'intimidation. Avec l'affaire Cahuzac ressurgit le serpent de mer de la morale à l'école, qui est l'objet de votre dernier livre. Pour vous, cela montre à quel point la pensée conservatrice est devenue hégémonique dans les esprits, à gauche comme à droite. Qu'entendez-vous par là ? L'idée qui se répand à nouveau, comme si l'on revenait à l'idéologie conservatrice du XIXe siècle, c'est que, si vous êtes riche, c'est que vous le méritez, et que si vous êtes pauvre, c'est de votre faute. Vous ne vous levez pas assez tôt, vous ne cherchez pas un emploi avec suffisamment de persévérance, vous préférez être assisté, etc. On cherche de plus en plus massivement à “blâmer” la victime. C'est ce que j'appelle la guerre intellectuelle contre les pauvres. Cette “guerre aux pauvres” s'exprime dans les tentatives d'expliquer la situation des plus défavorisés par des déficits moraux des individus, plutôt que par les effets d'un système social injuste à la base, et d'une redistribution des bénéfices de la coopération sociale et économique qui ne permet pas de compenser les handicaps initiaux. À mon avis, le retour de la morale à l'école exprime aussi cette philosophie. Mettre l'accent sur la nécessité de morale permet de diminuer l'importance du facteur social dans l'explication de la violence et de l'échec scolaire. Si les “pauvres” échouent, on dira que c'est davantage parce qu'ils sont immoraux que parce qu'ils sont plombés par leur hérédité sociale.
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Insoumis
J’ai soixante-six ans. Pour tout te dire, ami lecteur plus jeune, je n’ai jamais vécu que sous des régimes qui reflétaient la médiocrité majoritaire de mon pays. Au vu de ce qui s’est passé hier, ça risque encore de durer un brin…
Aucune excuse ! Petit bilan : Avant De Gaulle, c’était les ventres mous de la 4e République.
Derrière les grands bras souverain du général De Gaulle (1958-1969), il y avait déjà de sacrés enfoirés : les Debré, les Frey, les Pasqua, les voyous du SAC (Service d’action civique), les truands de la Françafrique.
Pompidou (1969-1974) fut le premier banquier à parvenir à nos affaires politiques.
Giscard d’Estaing (1974-1981) annonçait déjà le bling-bling macronien
Le socialisme de Mitterrand (1981-1995) n’a duré que deux misérables années avant de se coucher sur l’autel de la finance et des lobbies multinationaux.
Ensuite, je ne détaille même pas la brochette de nullités qu’on a dû se farcir à grands coups de “vote utile” : Chirac (1995-2007), Sarkozy (2007-2012), Hollande (2012-2017)…
Rien absolument rien à sauver de cette fameuse “démocratie”, sinon pour établir le triste constat du triomphe de la médiocrité souveraine. Parce que, faut arrêter de me la faire, c’est bien les électeurs qui votent et la majorité des électeurs qui désigne d’aussi médiocres représentants. Aucune excuse !
Aucun progrès social n’est jamais sorti d’un isoloir
N’y a-t-il eu aucune petite période politiquement positive dans mes soixante-six années de vie ? Aucun jour qui n’ait vu le moindre soupçon de progrès social, d’euphorie politique populaire ? Si, dans les années 68 et immédiatement suivantes. Mais ça se passait dans la rue et pas dans les urnes ! Aucun progrès social d’aucune sorte n’est jamais sorti des urnes ! N’y a-t-il jamais eu de triomphe de la démocratie en dehors de mon pays ? Très rares, en Amérique latine avec la révolution bolivarienne, fugace avec la victoire de Mandela en Afrique du sud. Mais, quand elle n’ont pas été aussitôt avalée par la bassesse et la corruption (Afrique du sud), c’est dans la rue que ces régimes ont dû batailler pour se maintenir, dénoncée et attaquée sans état d’âme par ceux-là mêmes qui se prétendaient les champions… de la démocratie ! Quand il a été élu, Mandela avait déjà accompli toute son oeuvre politique depuis sa prison de Robben Island. Gandhi, Martin Luther King n’ont jamais été élus, Fidel Castro a dû conquérir le pouvoir par les armes. Plus près de chez nous, Mendès-France est toujours resté à l’écart du pouvoir politique. Qui niera pourtant l’importance politique de ceux-là ?
Le peuple est toujours minoritaire
Aux lendemains de cette nouvelle désillusion, dois-je t’avouer, cher lecteur bien plus jeune que moi, que malgré la traversée de cet interminable océan de médiocrité démocratique. jamais je ne me suis le moins du monde ennuyé pendant ces soixante-six ans d’existence. Tout à l’heure, comme tous les matins, je vais descendre « à la côte », comme on dit ici, discuter avec mes potes de la cale comme si de rien n’était, parler de pêche à pied, du poisson qu’on a parfois pris et souvent pas du tout, de recette savoureuse faite avec un rien et de bonne goulée de rosé. Franchement ami lecteur plus jeune, si tu ne veux pas finir aigri, ravale tes rancœurs, garde tes colères au chaud. Et essaie de vivre du mieux que tu peux. N’attends surtout rien de la démocratie représentative. Quand ça débordera, toi aussi, tu descendras dans la rue. Avec le peuple qui est toujours minoritaire. Si quelques forces me restent, je t’y rejoindrai en faisant des moulinets rageurs avec ma canne.
http://yetiblog.org/index.php?post%2F2399
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