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Quand les écrits dorment et que les silences murmurent.
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promethe69-blog · 8 years ago
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Nocturnies
N’y a-t-il plus beau spectacle, que celui qui m’est donné : Ce soir en mes pénates, ton corps endormi sur mon canapé ? Abandonnée à la nuit docile, paisiblement, tu te reposes, Te voir ainsi accentue en mon esprit ses tendres névroses.
Veillant ton sommeil, de manière fortuite et inespérée, Je ne puis prendre la fuite de cette insomnie dorée, Elle m’a surpris au détour d’un songe merveilleux, Par ce tableau féérique, non moins béni des dieux.
Mon cœur s’emballe, mon pouls se fait haletant, Tout mon être d’une torpeur s’éveille lentement, Est-ce-là ce que l’on ressent quand on est épris ? Est-ce cela que certains nomment le tendre pourpris ?
Enclavé à ton bon désir, de toute mon âme, je cède, Les clefs de mes desseins et de ces amours si laides, De n’avoir pu être dévoilées ou avec toi assouvies, Si ce n’est en mes rêves, si ce n’est en cette sainte nuit.
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promethe69-blog · 8 years ago
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Obsolescence
Comble de l’insouciance, ou paroxysme de la bêtise faite humaine, je ne sais quelle proposition me définit au mieux en ces temps quelque peu troubles. À défaut de ne pouvoir en vouloir à d’autres, il me faut de manière objective reconnaître en mon infirmité une tendance à ne vouloir que progresser. Puis-je, à elle aussi, tout au plus, essayer de, lui attribuer le mérite de la laideur et de la stupidité dont je fais preuve. Il m’aura fallu attendre des mois avant de concevoir et comprendre mes sentiments, il ne m’aura fallu que quelques instants pour qu’ils me bousculent et m’étreignent à la dure réalité des choses de la vie. Que suis-je en droit d’espérer, sinon la présence, de cette vieille amie, la solitude à mes côtés ? L’ironie est belle et éclairerait sans doute mon visage d’un rictus forcé (pas tant) si je n’en étais acteur, victime et coupable. Comment se peut-il, au de la mon côté rêveur ou ma folle tendance à l’utopie romantique, d’espérer à nouveau, de croire à nouveau, d’être aimé à nouveau…
Comme il est dit dans ce très bel ouvrage du 7e art « La plus grande vérité qu'on puisse apprendre un jour est qu'il suffit d'aimer et de l'être en retour ». Après ces quelques mois, de comas sentimentaux, de lobotomie cardiaque, il appert, que le si bien nommé cardio-pensant se remis à battre. Comment n’ai-je pu en ces moments penser ne serais qu’effleurer ta peau de mes rêves, comment ai-je pu me laisser enivrer et pire encore, croire qu’il me serait possible de te faire subir pareil tourment. Me perdre dans mes pensées, me noyer dans tes regards, pour tout au plus la satisfaction de te voir et parfois t’enlacer…  Rougir mon âme et dans un respect des plus stoïque forcer mon cœur, mes lèvres et mes mots au mutisme le plus parfait. Faire, se taire et partir. N’est-ce là, la meilleure des choses qui puisse m’attendre, ne pourrais-je, cette fois uniquement, rester et vivre de ce bonheur reconstruit ? Ne puis je éteindre et étreindre paisiblement mes desseins les plus secrets.  
Il me serait possible, je pense, de te promettre ces choses que tant d’autres t’ont promis. Il me semble même possible, à moins d’une stupide hérésie, de pouvoir être capable de ne pas me parjurer et de te mener là où mes mots décrivent… Mais il est connu de tous, aussi jolie soit une œuvre, quel que soit l’art ou l’ardeur de son artisan, elle n’est rien, si l’on ne trouve personne avec qui la partager.
Peut-être devrais-je à mon âge, faire preuve de plus d’humilité et cesser de me convaincre, que de par ma personne, je puisse éveiller en d’autres quelconques intérêts sentimentaux. Peut-être ne suis-je qu’un papillon aveuglé par ta lumière, et chemin faisant vers mes rêves, je me perds et vole vers ma déraisonnable et prévisible perdition. N’être que le pansement qui soignera ton corps si meurtri par les agissements d’un autre et souffrir de ne pouvoir, une fois celui-ci rétablit te dire ce que le mien saigne encore à se taire.
 Que l’obsolescence est douloureuse quand elle est programmée ...
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promethe69-blog · 8 years ago
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Même si la finalité des choses ne peut être changée, nous avons le pouvoir d'au moins choisir le chemin le plus agréable pour y arriver.
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promethe69-blog · 8 years ago
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Elle ne dit pas «Je t'aime» comme une personne normale. Au lieu de cela, elle va rire, secouer la tête, te donner un petit sourire et dire … ‘Tu es un idiot’. Si elle vous dit que vous êtes un idiot, vous êtes un homme chanceux.
How i meet you mother (via toutcommenceparunbaiser)
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promethe69-blog · 8 years ago
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t'es pas obligé de me dire ce qui ne va pas. encore moins de rentrer dans les détails de ta vie, de ta famille, de tes amis. non t'es pas obligé. tu peux me serrer contre toi et laisser couler tes larmes si tu veux tu sais que je ne jugerais jamais. t'es pas obligé de te retenir mais t'es pas obligé de partir non plus.  tu peux rester avec moi le temps que ça passe. même si tu penses que ça ne passera pas.
lespiquresaines (via lespiquresaines)
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promethe69-blog · 8 years ago
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La séduction suprême n'est pas d'exprimer ses sentiments, c'est de les faire soupçonner.
Barbey d'Aurevilly (via toutcommenceparunbaiser)
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promethe69-blog · 8 years ago
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Les plus simples évidences sont souvent les plus ardues à assumer. Pourquoi quelque chose simple par essence, devient compliqué dans sa réalisation ?
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promethe69-blog · 8 years ago
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promethe69-blog · 8 years ago
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Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme et il en est autant à dire en déraison sentimentale
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promethe69-blog · 8 years ago
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Rendez-vous impromptu…
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Il faut parfois être en des lieux et des heures destinés à bien d’autres choses, pour qu’il nous parvienne le hasard de rencontrer des délices imprévues.
Il est vrai que chaque jour, chaque heure pour certains, on croise le chemin de plusieurs personnes, souvent humbles badauds à nos vies et à notre attention. Mais, parmi ces généralités sociales, de manière fortuite, il est des présences qui nous assaillent, qui nous perturbent au point de dérouter la plupart de nos sens.
Il est simple de comparer cela à l’éveil, où sortant d’une léthargie bien trop longue et bien trop profonde à nos habitudes, nous redécouvrons la vie pour la première fois. Semblable à l’enfant, qui pénétrant de son regard le monde qui l’entoure, recherche de-ci, de-là, quelques repères, quelqu’ onces de choses et d’autres qui pourraient le rassurer et ainsi combler tout le vide laissé par son ignorance.
Ce moment précis, moment durant lequel, chacune de mes perceptions s’émeut et s’émoie de ce qui leur est présenté, instant presque égoïste… ;
durant lequel, et ce, malgré la foule, à mon esprit, nous ne paraissons que deux, complotant l’un et l’autre à faire durer ce fragile aparté… ;
durant lequel, son regard, pétillant et vicié de tendresse maladroite, d’un bleu des plus intenses, plus profond de sincérité que le plus beau des aveux, me submerge… ;
durant lequel, le toucher de ses mots, perçus, par-ci, par-là, impudent à l’écrit deviennent sagement passionné lors de nos premiers échanges et me bouleversent… ;
durant lequel, l’odeur délicate de son parfum, comparable à celui de ces natures frêles et vulnérables n’ayant d’autre besoin pour briller, aucun artifice sinon de ce soleil qui les dévoile, m’enivre… ;
durant lequel, l’éclat de sa voix, telle une brise fraîche en ces lieux étouffants, s’entremêle à la mienne, qui bredouillante, l’accompagne le temps d’une comptine empreinte de mélancolie…
Moment, durant lequel, je m’imaginais découvrir au creux de ses lèvres, le goût tant évoqué, de ces passions impérieusement sucrées et vagabondes de raison et de prudence.
Mais l’imagination, de par ses stratagèmes d’espoirs impétueux, laisse au doux dormeur « deux trous rouges au côté droit ». L’onirisme et le lyrisme permettent bien des choses, mais il m’est contraint d’admettre, qu’à chaque phrase il faut un point.
À toi l’ami, l’étranger, le fou, qui lut jusqu’à présent mes mots, ne voit ci-dessus coucher que l’oraison d’un sot. Poète bien souvent trop libre dans sa verve, qui pourtant fut séquestré, quand la muse de cette prose, de son « au revoir » déposé, lui fit perdre en plus de son peu de moyens, ses plus sombres desseins.
Nulle confession, nul aveu, tout au plus, l’essai d’un poétereau dans un exercice qui le dépasse sûrement encore, mais dans lequel il fut appelé de manière bien agréable… Provocation ? Peut-être, après tout n’est sage que celui qui s’ignore.
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promethe69-blog · 8 years ago
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Pensée
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Il est parfois bien simple de se laisser piéger et enivrer par une envie…  Tout commence généralement par une petite pensée, si fugace, que bien souvent, on ne s’en soucie que très peu.
 Certaines d’entre elles persistent cependant et deviennent, sans faire de bruit, une hypothèse.
Si impudente, qu’il nous arrive d’en rire nerveusement, tandis que se faisant, nos joues, rougies par l’embrun de notre dérision, trahissent nos impétueuses intentions, celles qui souvent débutent par un « Imagine que… » ou un « Et si… ».
 Dès ce pas franchi et de manière non moins anodine que certaine, cette simple idée, enorgueillie par on ne sait quels espoir ou folie, germe et finit, peu à peu, à envahir notre âme et parcourir de toute sa majesté l’entièreté notre être.
 Aussi insidieuse qu’une rumeur à ses débuts, petit à petit, en ce processus amorcé, elle se transforme en l’une des plus invraisemblables fanfares. Dévoilant, parfois sans instruire aucune forme de réserve, la véracité de son existence à notre conscient encore endolori par les quelques murmures des « Peut-être que… ».
 Dès lors, viennent, se bouleversant, d’innombrables questions. Généralement portées sur le bienfondé de ces nouvelles névroses, de ces obsessions construites comme bien souvent, sur des « pas grand-chose ».
 Comment jauger les faits, quand ceux-ci sont basés sur l’empathie et la promiscuité d’un instant émotionnellement intime, mais platonique. Moment où deux âmes, farouches habituellement, se découvrent et partagent ce qu’elles ont de plus sincère. Sans pudibonderie, sans artifice, simplement deux cœurs qui comparent et commentent leurs plus profondes cicatrices.
 De ces tendres apartés découle le souci d’objectivité, le cœur ressent et la tête pense, mais arriveront-ils à communiquer cohéremment ensemble sur un sujet si irrationnel ?
Nos pensées, nos envies, nos douces obsessions font en partie la personne que nous sommes quant à l’autre partie il ne s’agit ni plus ni moins de notre capacité à nous laisser emporter ou non par celles-ci.
 Bien plus que nos appétences, l’essence mêmes de nos censures ou de nos libertés sont révélatrices de notre personne.
 Parfois par raison, parfois par sagesse, parfois par peur, ou par compassion à l’autre, nous rangeons toutes ces choses dans notre livre à désir et le refermons secrètement, comme si de tout cela, rien n’avait existé.
 Avoir le pouvoir de les assouvir, mais de temps à autre, le devoir d’y renoncer.
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promethe69-blog · 9 years ago
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Remise en Question
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Parfois, il m’arrive de regarder derrière moi. Cela afin de comprendre, grâce au chemin parcouru et les choix que j’ai faits, la situation dans laquelle je me trouve actuellement. Certains appellent cela une remise en question, pour ma part, je dirais simplement, une analyse à volonté objective dans le but de mieux comprendre les faits passés et les répercussions de chacun d’entre eux sur mon présent et mon avenir.
 Bien souvent, de par cette analyse, je ne peux m’empêcher de voir également tout ce que j’ai pu faire et tout ce que j’ai décidé de subir. Bien que le sens profond de mes réactions ou de mes choix, parfois, m’échappe encore, ma seule certitude, contrairement à ce que je pensais, c’est que mon instinct, en plus de mes valeurs et de mon analyse du moment, a pu également contribuer à être ce que je suis actuellement. Comme si l’union de ces trois éléments me formait un esprit cartésien qui par empirisme m’aidait à décider de la meilleure stratégie à adopter face aux événements.
 Je reste perdu à bien des égards… Soit par certaines choses qui, trop récentes, ne peuvent être disséquées correctement ou soit par des épiphénomènes face auxquels je ne possède pas encore le recul nécessaire. Celui-ci étant une condition sine qua non afin d’essayer d’extraire leurs sens dans la globalité de la situation proprement dite.
Mais parmi tous les autres moments de ma vie, si un constat m’était donné, il serait que je suis au moins conscient des possibilités qui me sont offertes et de l’indispensabilité de me donner la chance d’être capable de les apprécier.
 Ce n’est en effet pas tout d’avoir des occasions, il faut, je pense, s’octroyer les moyens de pouvoir les saisir, mais également de pouvoir les assumer. Une opportunité n’est qu’une circonstance. Un état de fait ne peut être établi que si l’on accapare celle-ci et qu’on la transforme en décision personnelle et ainsi en répercussions. Il n’est pas tout de recevoir une clef, faut-il encore trouver la porte qui lui correspond, mais aussi, et surtout, avoir le cran de l’ouvrir et le courage d’endurer, assumer, le positif et/ou le négatif qui se cachent derrière elle.
Ouvrir l’une de ces portes, l’une de nos portes, sans s’être préparé ou même questionné, un tant soit peu, peut avoir des effets désastreux. S’il est vrai que l’on ne sait jamais de manière absolue tout ce qui se cache derrière elle, on peut au moins connaître notre capacité actuelle à vivre les choses de façon plus ou moins objective et savoir si l’on a suffisamment de force pour les apprécier ou au contraire s’en protéger le cas échéant.
Avancer dans l’inconnu, demande de connaître bien des choses sur ce qui nous entoure, sur nos emprises, nos desseins et nos différents transports qui les gouvernent.
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promethe69-blog · 9 years ago
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Masquarades
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Souvent, dans le passé, je me suis senti exclu de notre monde, de notre société. Rejeté d’abord, mais simplement pas à ma place au fil des années et des expériences, comme étranger à leurs mœurs, à leurs coutumes. Les choses ne sont pas si différentes à présent, si ce n’est que plus le temps passe, plus je m’éloigne et moins je comprends les mécanismes abscons de mes pairs.
Il est d’ailleurs bien de ces moments, où fermant les yeux, je cherche un rêve dans lequel m’évader. Juste une pause, un répit, où le temps et l’existence suspendent leurs vols, un exutoire en quelque sorte pour mon âme et mon cœur. Exister, mais ne laisser aucune trace de mon passage, être présent, mais n’être vu d’aucuns. Subtil, parfois, comme peut l’être une brise que l’on ressent, mais que l’on ne peut définir. Simple observateur, s’évadant en regardant la vie des autres défiler devant lui.
Parfois, cette quiétude est troublée, car même étant doué dans mon art, de rares personnes me remarquent et m’interpellent… C’est troublant de voir certains soirs, à quel point il est compliqué de ne pas marquer un endroit de sa présence.
C’est lors, de ces rares embuscades de sociabilisassions forcées, mais pas uniquement, il me faut l’admettre, que ces personnes semblent se donner la mission de me fournir un exemple ou une démonstration de ces hérésies que vous nommez séduction, attirance, charisme ? Comme si faisant cela, ils révélaient ou mettaient en évidence, ces nécessités pourtant bien connues, qui me poussent à fuir au gré de mes songes vos grotesques mascarades.
Une femme doit-elle uniquement paraître jolie ? Se résume-t-elle aujourd’hui à un tour de poitrine, a un déhanché sulfureux ou à une jupe, que dans d’autres époques, on aurait pu appeler ceinture ? De ses journées, le sexe « faible » se révolte pour gagner une quelconque reconnaissance qui devrait logiquement leur être acquise. Mais le soir venu, les panthères se métamorphosent en chaton qui au lieu de chasser préfère se soumettre.
Les hommes, prédateurs, à l’affut du moindre signe de faiblesse, attendent patiemment que la proie s’accomplisse, avant de bondir sur elle et d’y planter son étendard comme si ce nouveau territoire lui appartenait, du moins tant quand il en aura l’usage ou le bon plaisir d’en user…
La séduction n’est-elle pas au contraire une valse, lente, sensuelle, où l’un et l’autre, au grès des mesures, se dévoilent ? Craignant tour à tour, la réaction ou l’étonnement de son ou sa complice du moment qui découvre peu à peu ce qu’il est. Chacun, menant, étant mené et dans le charme grisant et le tournis des émotions se laisser emporter dans un autre monde peuplé uniquement d’eux deux.
Cette attirance, doit-elle être consommée avant même qu’un réel regard ne soit posé sur l’autre ? Ne peut-on s’émerveiller de ses charmes, mais également de ses valeurs, de ses sensibilités, de ses subtilités, tout ce qui en somme le ou la rendent unique. N’est-ce pas là l’intérêt de la chose, en un regard être éblouit et subjugué… Mais de cet élan, vouloir connaître de la personne son origine, son vécu et ses attentes ?
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promethe69-blog · 9 years ago
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Moments Magiques
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Les moments magiques ne sont-ils définis que par leur durée ? Ceux d’une heure, d’une demi-journée ou même ceux qui n'existent que le temps d’un regard échangé, sont-ils moins importants que ceux d’un an de dix ou de huit ?
N’y a-t-il de place dans tout cela pour l’éphémère ? Ne serait-ce justement cette « éphémérité », cette tangible fragilité, qui leur confère force et pouvoir, parfois ?
N’est-ce pas l’intensité de ces moments et la façon de les ressentir et ainsi de les vivre, qui en font leurs essences ? Une passion n’est-elle pas, sur le moment, aussi importante, plus importante, à vivre que des amours « immortelles » ?
Se doit-on de juger, de jauger tout ce qu’il nous est permis de vivre ? Pourquoi, ne pas simplement en savourer chaque instant et les laisser survivre en souvenir, lorsque, ou si, leurs temps est venu ?
Ne serait-ce justement pas de par leurs passés, de par leurs présents, mais aussi de par leurs devenirs que ces moments deviennent importants et acquièrent ainsi leurs lettres de noblesse ?
N’est-ce pas justement dans ce que l’on en a pressenti et attendu, dans ce que l’on en a pu ou s’est permis de vivre, dans tout ce l’on en a laissé perdurer une fois leur fin arrivée, que ces moments acquièrent leurs véritables valeurs ?
C’est du moins ce que je pense, ressent et me souviendrai
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