quasi-allegretto

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Zdzisław Beksiński

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Franz Sedlacek

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A cleansing.

by alexstoddard

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Chris Araya-Colvin by Zeb Daemen (2023)

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Avril 2025. Cordes et percussions: les cordes vinrent d’abord, je rajoutai très vite des timbales, le reste a suivi dans la foulée. Entamée à Tenerife un matin de pluie où il n’y avait pas grand chose à faire, poursuivie au petit bonheur les jours suivants (entre composer et randonner… je préférais marcher, et j’avais mes soirées pour avancer la partition), pas tellement retouchée après achèvement. De quoi s'agit-il? D'une pièce qui globalement se fonde sur deux motifs, et se déploie en trois temps (lent-vif-lent). Pourquoi le titre est-il en allemand? Pour rien. Est-ce que c'est terminé? Pas encore tout à fait sûr. Il y a bien un ou deux endroits qui pourraient voir s'immiscer quelques mesures. Mais seulement si c'est judicieux, justifiable, ou tout bonnement nécessaire. Et… est-ce que c'est divertissant ou amusant? Non.

Listen/purchase: Fantasia für Streicher und Schlagzeug by Jean-Christophe Heckers

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Novembre 2019 / novembre 2024. Ma première idée était d'octroyer un sous-titre à chacun des mouvements (qui s'enchaînent), comme s'ils faisaient partie de chapitres (quelque chose comme “Des Offensives”, et"Des Dévastations" pour les deux premiers), mais tout compte fait je préfère encore laisser à chacun se faire son film… Cette version est la reprise sous Dorico, cinq ans plus tard, d'une partition alors travaillée avec Musescore (3.2 ?). C'était alors un brouillon (très) avancé, sur lequel quelques ajustements ont enfin été apportés. J'ai ainsi étendu l'introduction, revu quelques mesures dans la partie centrale, et bricolé un peu dans la troisième section. Il a fallu résister à la tentation de reprendre intégralement tout un passage que je jugeais assez faible, mais je tenais malgré tout à conserver les faiblesses de la partition initiale (ou ce que je jugeais en être). Certains modifications ont pu ne pas être judicieuses, mais j'y reviendrai peut-être plus tard. A vous de me dire si cette opération de “sauvetage” méritait d'être menée. Je dirais pour ma part que, hum… oui, mais en partie seulement. A noter un défaut majeur: l'orgue. Entre autres maltraitances, je lui ai collé des variations de nuances sans doute impossibles avec un véritable instrument. (Et ne parlons pas du clavecin, qui joue peut-être un peu trop fort pour être crédible).

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Grand Hotel by David Foster Nasss

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Reprise d'une partition composée durant l'été 2019 à l'aide de Musescore 3.

Très peu de retouches, j'ai choisi de conserver autant que possible la “saveur” d'origine et les défauts. Je ne devais pas m'en occuper, mais ayant tenté de voir ce qu'elle rendait avec Musescore 4 et les (fameux) Musesounds, je me suis rendu compte que je n'aimais pas le son des cordes, que je détestais en particulier celui du violon solo (portamento par défaut: ce qui donne partout des “dérapages” très moches entre les notes - faut choisir le violon 2 qui se tient bien, en fait, ai-je appris depuis), que la réverbération intrinsèque était pénible, et que dès qu'on tentait une double ou triple croche c'était la catastrophe. Donc, retour à Dorico et Noteperformer. Franchement je préfère. Après corrections et atermoiement, s'est enfin produite la disparition de la première intervention du violon solo, inutile et en fin de compte assez désagréable (à mes oreilles)

Je manque d’estime pour ce morceau. Certains jours je pense qu’il serait raisonnable de l’ensevelir et de l’oublier, au même titre qu’une pincée de pièces qui n’ont jamais pu passer de Musescore à Dorico, soit parce que je les trouvais définitivement ratées, soit parce que ça demandait de considérables travaux, soit les deux en même temps - de quoi dissuader de s’y attarder. Seulement, c’est un témoignage de ce que j’ai pu faire à une certaine époque, et rien que ça a pu me pousser à lui accorder la grâce. Mais il ne faudrait pas me pousser trop fort pour que j'embastille cette composition.

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Judy Dater

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02-05/01/2025. Grosso modo, cette toute petite pièce dont la brièveté m'effraie (je déteste quand c'est très très court) était une manière de prélude à 2025. J'hésitais à la prendre au sérieux, mais elle semble correspondre tout à fait à l’orientation inquiétante que prend cette année.

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Luke Edward Hall

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Mai-août 2024. Le titre devrait m'éviter de longues explications. Quoique. Forcément, l’œuvre n'est pas des plus drôles.

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30 mars - 6 avril 2024.

"Et si je fais ça est-ce que l'ordinateur va suivre? Oui. Bien, poursuivons." Partition grossièrement bouclée en deux jours, et affinée pendant une semaine. En gros, c'est une pochade (quoique) inspirée par un tableau du Suédois Owe Zerge (1894–1983), "Näcken" ("l'Ondin"), de 1925. Le näcken... ma foi, je laisse une source plus autorisée vous informer à son sujet: https://visitsweden.fr/voir-faire/culture-art-histoire/culture/decouvrez-creatures-mythologiques-suedoises/ (le site vous donnera peut-être des idées de voyage).

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James Chuter