23 ans, zèbre et motarde à plein temps, jamais trop satisfaite, toujours trop pleine de questions sans réponse, ce quotidien d'une petite vie absolument pas tranquille !
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Je crois un des pires sentiments c'est pas savoir ce que tu dois faire de ta libido quand elle fait coucou spontanément alors que tu sais pas si tu vois ton mec le soir, ni même si t'as encore vraiment un mec.
Est-ce que tu dois l'exploiter ou continuer de croire que peut-être faut garder espoir.
#Ouais c'est comme ça que j'ai décidé de revenir sur Tumblr.#Eh ouais#J'ai même pas honte#Parce que j'en ai marre des indécis.
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Dans un peu plus de 12h je revois C. J’ai l’impression que je l’ai pas vue depuis dix ans, ça va être un week-end incroyable.
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Attends, je ferme la porte déjà, ensuite je fais ça comme il se doit.
K., vendredi après que j’aie passé la porte de chez lui en tendant la joue pour dire bonjour.
Comment voulez-vous que je me fasse pas des plans sur la comète après.
#K.#J'arrête pas d'y penser et j'espère que c'est pas un truc qui va durer le temps d'un claquement de doigts
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Je rentre après avoir passé 19h avec lui. Et franchement si j'avais pu doubler ou tripler ce temps je l'aurais fait.
Maintenant on verra, maintenant place à la trouille de m'attacher dans le vide.
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Complèment fou d’être adulte.
DONC.
Je l’ai revu plusieurs fois depuis,pas énormément parce qu’il bosse beauuuuuucoup et moi aussi je bosse beauuuuucoup. Puis qu’il part en vacances demain donc il est dans les préparatifs. Mais on s’est revus, parfois j’ai douté parce qu’il parlait moins, parlait froidement aussi.
On a eu plein de discussions sérieuses, surtout à l’écrit vu que bien sûr la fatigue délie les langues et qu’on s’échange surtout des mots le soir. Hier encore on a eu une grande discussion, au final il a dit qu’il était déjà convaincu depuis longtemps mais qu’il sait pas trop pourquoi il se pose encore des questions. Mais qu’il y répondrait ce soir. Donc j’attends ce soir. Il arrête pas d’en parler, d’un coup il se débride, il arrête pas de dire qu’il est content de me voir et qu’il va pouvoir me parler de plein de choses de sa vie. Et JE STRESSE un maaaaaax. J’ai trop hâte mais je stresse tellement. Est-ce que je vais être à la hauteur ohlalalalalalalala.
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Une des choses que je préfère chez toi, c'est combien t'es exceptionnelle à chaque fois que tu fais ça. Parfois 46 fois par jour et j'ai pas assez de deux poumons pour encaisser les rires. Et je suis tellement contente de t'avoir dans ma vie.
Une des choses que je préfère chez moi, c'est que quelles que soient les circonstances, j'arrive toujours à faire rire @questiondevolonte.
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Hier soir je l'ai convaincu de venir quand même à la balade moto dans Paris parce que j'étais sûre qu'il y aurait pas l'orage annoncé.
Au final on s'est bien marré avec les autres et quand ils sont partis, je l'ai suivi pour faire un tour dans Paris, juste nos deux motos et nous. On a chahuté un peu. On s'est posé sur les quais et on a regardé la tour Eiffel s'illuminer. Puis on est parti, j'aurais voulu rester toute la nuit.
C'est tout timide en face à face, j'ose même pas parler tellement ça me fait quelque chose.
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Une semaine que je me rapproche vraiment d'un garçon. Ben je sais pas comment décrire comment c'est. C'est pas tout doux, mais c'est pas agressif. Ça me rend dingue je voudrais m'asseoir plus près, parler plus longtemps, le voir plus souvent. Mais c'est pas comme quand ça ressemble à un jeu tout fou avec un garçon et qu'à la fin il sait pas ce qu'il veut. Du coup je dirais que c'est mature, comme façon de faire. On prend le temps de se connaître et surtout il semble authentique. Il cherche pas à ce que je me mette à lui courrir après. Il est lui et moi je grandis d'un coup de voir que je peux peut-être être à la hauteur de quelque chose de vraiment mature. C'est plaisant quelque part.
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Ça fait un mois que je parle plus. Que je me tais, que je me terre. Parce que sinon j'explose et que je le sais, je n'ai été qu'une fois dans un semblant de ce sentiment là et c'était moche. Et là c'est cent fois pire, je fais que me retenir au bord d'un truc qui n'attend que de me noyer. Et moi je fais comme si je le voyais pas. Alors je me tais comme ça ça existe pas.
Mais la source du problème vient de me revenir comme un caillou tiré au lance-pierre. D'abord ça fait rien, et en fait c'est en train de me rendre dingue. Je le laisserai pas gagner, je partirai pas d'un groupe où je me sens bien avec certaines personnes. Mais je sais qu'en contrepartie je me fais violence comme jamais. Jamais, jamais, jamais. Je veux lui mettre mon poing entre les deux yeux, je veux hurler et je veux lui cracher que je sais combien il manipule tout le monde et que je marcherai pas à son petit jeu.
Mais c'est pas vrai. Parce que son but c'est que j'explose. Et après un mois entier à me couper du monde entier pour éviter ça, pour rester calme, essayer de penser à n'importe quoi sauf à lui crever les yeux, sauf à tout ce qu'il fait pour me faire perdre pied et me faire devenir complètement barge, ça arrive comme un tsunami et faut à tout prix que je trouve comment le stopper.
Faut que je trouve comment faire pour que ça n'existe pas, encore un peu, parce que si un mois à tout faire pour nier l'existence de tout comme de moi-même, ça n'a pas suffi, c'est que si je me laisse exploser je vais l'étrangler. Et je vous jure que c'est dur de pas vouloir ça. J'ai jamais aussi bien compris le fait que ce qui est le plus dangereux n'est pas à l'extérieur de nous. Mais à l'intérieur.
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On ne peut sauver quelqu'un de la vie qu'il a choisi.
Ce que j'essaie de me répéter quand je reçois un message de reproches dissimulés presque chaque jour, par ma grand-mère, parce que je suis en road trip et que donc après avoir roulé 10h je ne pense qu'à dormir, pas toujours à lui envoyer des messages.
Elle s'ennuie de moi parce qu'il n'y a que moi qui vais la voir. Elle doit être dégoûtée de ses journées avec mon grand-père constamment présent et méchant. Mais elle ne veut pas changer ça et ses messages me rejettent de la culpabilité, alors que j'aurais juste voulu pouvoir souffler cette semaine. Alors je ne peux pas la sauver de la vie qu'elle a choisi, j'essaie de me le répéter. Je peux être là et l'aimer très fort. Mais pas la sauver si elle n'y fait rien, passer ma vie à lui faire oublier ce qu'elle ne veut pas faire cesser.
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Allô, K. ? Dis-moi y'a V. qui est en panique là, on doit rendre le dossier demain et il aurait besoin que tu lui files un coup de main pour finir de remplir les fichiers.. Tu pourrais bosser un peu ce soir encore ? Jusque 22-23h ?
P. mon responsable.
On m’a embauchée maîtrise, on me dit de ne pas noter mes heures supp de formation, et on me demande de fournir un travail avec des horaires de cadre. Va falloir faire un petit effort là, à un moment hein.
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Au poste que j’occupe depuis peu, on a voulu me recruter en tant que cadre. Mais finalement ils ont préféré me prendre en tant que maîtrise pour me passer cadre, au forfait après la période d’essai.
Je suis encore en période d’essai, on me fait faire 8h-18h et prendre le train le dimanche pour me rendre à Lyon, et je me fais engueuler parce que je déclare des heures supp dans le déclaratif horaire que je dois obligatoirement remplir chaque mois.
Déso mais pas déso. Je me suis sentie mal pendant l’appel de mon chef qui va devoir justifier ça et qui panique, mais après c’est trop facile sinon, vous vouliez pas me prendre cadre, fallait peser les Pour et les Contre les gars, c’est fini de laisser la porte ouverte au profit comme ça.
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J’explique à ma mère pour quelles raisons j'hésite à aller voir un super ami à Montpellier pendant mon roadtrip moto cet été. Je dis que je suis timide et que maintenant qu’il vit avec sa copine (qui est ultra gentille mais avec qui je n’ai aucune discussion très intéressante) c’est gênant pour quelqu’un d’aussi timide que moi de dormir dans la salle à manger alors qu’ils sont chez eux, et qu’en plus je suis pas très “parler pour parler” : faut qu’il y ait du fond aux discussions. Et il est à côté en train de m’imiter à parler en disant “on peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre”, “faut faire un choix oui c’est la vie hein c’est pas nouveau”. Et c’est super blessant parce que je passe pour une fille jamais contente alors qu’il connait rien des histoires qu’il y a eu et de l’impact que ça a eu dans la relation.
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Eh bien je ne sais pas par où commencer.
Sûrement parce que je n’aurais jamais dû commencer.
En février j’ai rejoint ce groupe, tout particulièrement centré sur ma passion. Groupe tellement génial, que j’ai trop peu de mot pour le décrire. Groupe dans lequel je me suis tout de suite trouvée très bien, à l’aise, à ma place, sans me forger ni de carapace, mais sans me forcer à participer non plus.
J’ai tout de suite accroché avec toi. On ne discutait pas vraiment mais on s’envoyait beaucoup de vannes par commentaires interposés, on a le même humour basé sur des attaques sans fond, des petits piques réfléchis mais sans fondement, sans vérité, juste pour blaguer. Et puis on a commencé à parler, on s’est vu aux balades, et puis on s’est vu en dehors. J’avais bien dit que je ne cherchais rien. Mais voilà y’avait ce truc qui faisait qu’avec toi j’étais moi-même, sans honte et sans sujets qui fâchent. On parlait de tout, du sérieux comme du pas sérieux et surtout, on était honnête, et avec mon passé ça a fait son travail : pour moi, c’est tellement rare. Alors on s’est mis ensemble, je voulais essayer même si je ne voulais personne, mais tu me manquais quand tu n’étais pas là, en vrai ou juste dans une discussion, ou à une balade.
Et puis très vite, tu voulais me changer : je n’étais pas assez ceci, pas assez cela. Je ne te permettais pas de vivre un couple “normal” parce que je ne voulais pas que presque 200 personnes du groupe, soient au courant comme ça, en claquant des doigts. Et tu en as parlé, dans mon dos, à une dizaine de personnes. Qui en ont parlé autour d’eux, et très vite ça m’est revenu en pleine face, comme une trahison. Mais tu étais tellement honnête sur chaque chose que pour moi c’était une qualité à ne surtout pas oublier. Tu demandais H24 à être rassuré et si je ne répondais pas ce que tu attendais exactement par ta manière de former ta phrase, tu me rabâchais la chose trente-six fois. Tu me reprochais de ne pas vouloir aller trop vite, de ne pas vouloir dormir chez toi chaque fois qu’on se voyait. Mais tu me disais que j’étais tellement jolie, la plus belle que tu aies eu, la plus cool aussi, que je te faisais rêver, que je te rendais fou. Et je prenais mal qu’on parle de moi comme si “on m’avait obtenue”. Tu me reprochais d’être connectée mais de ne pas te répondre tout de suite, “me réponds pas surtout putain j’en ai marre de toi”. Alors je suis passée en hors-ligne, et tu m’as reproché d’être passée en hors-ligne, et tu me l’as tellement répété que j’ai menti en disant que c’était à cause d’une autre personne. Tu me faisais des sous-entendus que je n’aimais pas, en disant que si je répondais aux commentaires d’un homme sur notre groupe en commun, alors c’est que je lui laissais “une ouverture”. Et quand je m’énervais, tu me disais que j’étais folle de partir en live parce que “je blague, rho”. Tout le temps, tu disais tout le temps après coup, que c’étaient des blagues. Si je te disais “non mais, je ne leur réponds pas, ils m’intéressent pas ces mecs-là.”, tu me rétorquais directement “pas ces mecs-là ? Donc d’autres oui hein.”, et compagnie. Mais t’avais raison tu me disais que j’avais déjà de la chance et que je ne devrais pas me plaindre, d’avoir un mec qui m’écoute et me réclame tout le temps, alors je me calmais et je relativisais, t’avais raison aussi, de me mettre en tête que “y’a plein de nanas qui voudraient tout ça.”. Tu demandais tout le temps quelque chose en sachant que j’allais pas apprécier, des photos de moi, “et aujourd’hui tu viens ?”, des trucs mais de façon insistante c’était ça le souci tu le savais, et tu t’en fichais, tu me le disais quand même, mais tu t’excusais directement après. Comme ça, je me sentais coupable, et très mal. “Tu viens aujourd’hui ? Enfin je sais t’aimes pas que j’insiste. Pardon. Mais c’est qu’à moi tu me manques et c’est que moi, et moi et blablabla”. Si je refusais, tu me répétais plusieurs fois que j’étais méchante avec toi. Mais “c’était pour rire”. Puis tu m’envoyais des photos de filles, de belles filles, à moitié nues. Tu me disais que t’irais voir unetelle, ou unetelle, qu’elles seraient surement “moins chiantes” que moi niveau relation, et ça tu jouais avec ça toute la journée, plusieurs heures par jour, et tu ne t’en lassais jamais. Tu commentais les photos des filles à moitié nues, et quand je disais que s’afficher comme ça moi aussi je pouvais le faire, pour essayer de te faire arrêter, tu me disais que non, parce que ça faisait pute. Tu comparais tout le temps. Tu me comparais, te comparais, comparais tes relations, comparais le monde entier. Et tu m’envoyais tout ça en m’expliquant bien à quelles point elle donnaient envie, ces filles, que ce soit pour rire ou pas. Tu savais très bien à quel point je ne m’aime pas. Mais quand j’expliquais que je ne riais pas, tu me rappelais à quel point toi, tu m’acceptes comme ça et tu aimes bien “mes petites formes”, même si “bien sûr tu n’es pas au top du top que tu aimerais mais ça me va, à moi”. Alors je relativisais. Puis tu laissais entendre que tu voulais que je reste, “peu importe la raison”, selon tes dires, et je trouvais ça “trop”, et bizarre, oppressant. Je devais rester, peu importe pour quoi. Tu tentais toujours le chantage, ou les paris, pour essayer d’arriver à tes fins. T’étais jamais, jamais, JAMAIS, satisfait de mes réponses. Rien n’allait jamais. Mais quand je te le faisais remarquer, tu calmais ça tellement bien, en disant que c’était parce que tu tenais si fort à moi, que ça te rendait insatisfait. Tu savais que de par mes anciennes relations, j’avais une peur totale de la tromperie, et tu me rappelais que toi, tu étais honnête, fidèle et surtout ne me cachais jamais rien, car incapable même d’essayer. Puis j’étouffais dans ce genre de relation. J’essayais de sortir de l’eau avant de me noyer complètement, j’avais déjà les poumons à moitié bousillés. Alors j’ai essayé d’aller te voir pour en parler, essayé de mettre au clair que fallait pas faire tout ça, que j’étais clean, que ça allait. Et je suis arrivée chez toi, mais il y avait ta nièce et ton fils et je ne voulais pas coucher dans ces conditions, dans la même pièce, alors qu’ils ont tout juste l’âge d’être curieux. De la pudeur, mais du respect tout d’abord, pour moi. Je t’avais dit non, et non. Mais t’as tellement forcé, tellement insisté, tellement réclamé, que je ne savais pas comment me sortir de ce lit sans rien faire, alors que j’avais honte d’être là devant ta nièce. Et pendant qu’elle se posait sûrement tout plein de questions, j’ai laissé faire, parce que je voulais qu’on me laisse partir, me rhabiller et qu’elle arrête de me regarder comme ça, avec ses yeux pleins de questions et de curiosité. Alors tu m’as laissée partir et j’ai envoyé un message à C. C’était horrible. Je ne voulais plus de ça. Et quand je t’en ai parlé après, tu m’as dit que ce n’était pas vraiment toi cette personne là. Tu m’as dit quand même, que tu m’en voulais à moi, de ne rien avoir dit, ou plutôt de ne pas avoir plus insisté mon “non”, de ne pas avoir assez imposé mon refus, “si vraiment c’était non que tu voulais dire”.
Alors j’ai tout arrêté. J’ai dit que ça ne fonctionnait pas, qu’on se blessait, parce que mes réponses ne t’allaient jamais et que moi je n’aimais pas tes “blagues”, h24, que tout ça je ne pouvais pas le vivre comme ça.
Et puis tu trouvais encore des manières de me faire des reproches de ne pas venir te voir tout le temps, de ne pas faire un détour pour te voir avant les balades moto, pour te voir en seul à seul. Tu continuais de parler des autres filles, et de ramener les sujets à mon corps que je n’aime pas, pour dire que tu l’aimes, alors que ce n’est jamais le sujet, de base. Et tu as organisé un week-end où tu as demandé à l’organisateur de dormir avec moi, et ça a dérapé. Et le jour d’après, tu m’en as redemandé. Alors j’ai dit non, non vraiment non. Non, j’ai tenu mon bouton de pantalon, et même ma ceinture pour ne pas que tu la défasses, et quand t’as forcé et réussi quand même, je l’ai remise, et j’ai redit non. Et je me suis pris des reproches, comme quoi j’étais super coincée comme fille, et tu m’as dix fois supplié parce que “mais moi j’ai envie de toi, je fais comment ? Mais s’il te plait, moi j’ai envie..”. Mais j’ai dit non, mais j’étais bloquée, j’avais la trouille d’être là et d’être toute seule avec toi et de ne pas réussir à t’en mettre une et partir simplement. J’aurais voulu. Alors tu m’as dit “Bon bah alors AU MOINS enlève le haut”, pour qu’au moins tu puisses faire ça seul, “mais avec moi”. Et j’étais dégoûtée, j’aurais voulu vomir mes tripes, vomir mon cerveau jusqu’à ce que l’âme s’en aille. Alors j’ai attendu, et je suis partie, et je me suis juré que plus jamais je ne me retrouverais seule sans tout un public autour de nous.
Et depuis, comme on est dans le même groupe, sous prétexte d’en être l’administrateur, tu me demandes si des mecs m’envoient des messages après les balades. Tu me demandes pourquoi à untel j’ai mis tel ou tel commentaire et pas à toi. Tu me sous-entends que je couche facilement, peu importe avec qui. Et quand je refuse que tu parles comme ça de moi, je me prends encore un “je te taquinais”. Tu me demandes à quelle heure et comment je rentre de ma formation vendredi, parce que “je viens te chercher à la gare comme ça je te vois.”, tu ne me poses même pas la question, alors je dis non et j’invente que mon frère vient déjà, parce que si je dis juste non tu viendras quand même. Tu me dis que je t’aime mais que je me mens à moi-même. Que je suis paumée comme fille, avec les neurones mal fichus de repousser un homme qui m’aime.
Et avec tout ça, comme je t’ai prêté un téléphone pendant deux jours qui au final se sont rallongés d’un mois parce que tu ne tiens pas tes promesses... Je l’ai récupéré sans que tu l’aies vidé. Et en faisant le vide des applications et des fichiers, j’ai vu qu’à d’autres tu racontes ô combien unetelle fille est une bombe et que ce n’est pas parce que tu m’aimes que tu ne peux pas parler salement d’une autre, limite. Tu supprimes les conversations des deux personnes à qui je pensais déjà très fortement que tu racontais ma vie, mes faits et gestes, mais que quand je t’avais demandé tu m’avais dit que non. Du coup, je comprends bien que si. J’ai vu que tu envoyais les captures d’écran de quand je parlais de ma pilule, de mes angoisses et de certains choses “intimes”, intimes parce que privées, dans ma tête, pas à rendre publique, à plusieurs personne, alors j’ai honte de les voir en balade maintenant. Et j’ai vu, que tu avais pris avec ce téléphone plusieurs captures d’écrans de moi quand on était en conversation téléphonique avec visio parce que je rangeais en même temps. Des captures d’écran de moi sans que je le sache, de mes cuisses, de quand j’étais en pyjama en train simplement de nettoyer mon cuir de moto. Et tu ne m’en as jamais parlé.
Et pour tout ça, aujourd’hui je ne sais pas comment me débarasser de tout ce que tu es de nocif pour moi, sans perdre le groupe derrière. Pour tout ça, pour la prise de conscience supplémentaire que ça apporte d’écrire tout ça, de poser les mots, et encore, de me forcer à résumer tous les exemples, pour tout ça, j’ai honte parce qu’il faut vraiment effectivement, n’avoir que quelques neurones handicapés, pour être restée “si longtemps” et continuer de répondre par politesse. Et avec tout ça, et parce que depuis toujours c’est dans ma nature d’aller au bout des choses et d’être “trop gentille”, cette fois j’ai été tellement “trop gentille”, que je me suis vraiment perdue, et que je ne peux plus prendre ma pilule chaque jour sans avoir des hauts-le-coeur, je ne peux plus répondre à un mec sans avoir envie de le frapper de vouloir m’approcher, j’ai peur de rentrer sur Paris et de subir ta pression pour te voir encore, je rêve à pleine balle et je me réveille la nuit parce que j’étouffe réellement, j’ai la respiration qui se bloque et ça ne me l’avait jamais fait. Que tu sois fautif ou non, c’est sur toi que je remets tout ça, parce qu’étouffer, c’est l’impression que j’ai quand tu me parles, et c’est comme si je contrôlais ça éveillée mais qu’endormie, ça prenait physiquement le dessus. Pour tout ça, je n’arrive plus à manger avec appétit le soir ou seule, et pour tout ça, je ne veux plus exister aux yeux d’un seul mec actuellement.
Et avec tout ça, et même si j’ai l’impression d’avoir finalement laissé mon âme où elle était quand il s’est passé tout ça, je me dis que ça aurait sûrement été encore pire si C. ne m’avait pas expliqué ce que ça signifiait, qu’il me fasse vivre ça, et l’ampleur que ça prenait. Même si malgré tout, j’ai été bête, et même si j’ai beaucoup de mal à imaginer comment je pourrais me sentir vraiment pire en ce moment, heureusement que C. a mis des mots sur ce qu’il se passait parce que ça me permet de ne pas y retourner, de ne pas être naïve et “voir le bon au fond de chaque être humain”. Pas pour lui. Il me manipule, et il me manipule tellement que j’arrive pas à trouver comment redevenir comme avant, penser comme avant. Je m’aimais encore plus quand je ne m’aimais pas. Parce qu’au moins je pensais quelque chose de moi.
Encore hier je relisais le livre “Le Harcèlement moral”, de Marie-France HIRIGOYEN. Et je me disais que j’inventais, que ce n’était pas lui, que j’étais cinglée. Et en écrivant ce soir, je retrouve exactement ce que j’y ai lu, au final. Tout peut être transposé, parce que tout concorde. Alors franchement, j’ai pas la solution, mais sachez toutes que C. avait raison, que si on ne se sent pas bien c’est que ce qui se passe ne va vraiment pas bien. Et que si à un moment vous pouvez être la C. de quelqu’un comme elle est elle-même pour moi, soyez-la, parce que le peu de moments où je ne pense pas à tout ça, c’est à tout ce qu’elle est de merveilleux et tout ce qu’elle me fait sentir bien que je pense, pour créer la nuance.
#Merci C.#Note à moi-même : je ne veux pas relire ce texte ni l'an prochain ni jamais#Mais au moins c'est marqué#Ca sortira peut-être de la tête comme ça
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Le mec qui se vante d'être différent, de ''tout me dire'', et qui supprime les conversations où il parle de moi.
Je demande pas à tout savoir, mais qu'on vienne pas me vendre de la poussière d'étoiles quand en face t'es juste un amas de mensonges.
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Tu t'es pesée récemment ? - Euh non ? - T'as perdu un peu ? - Ben je me suis pas pesée j'en sais rien.
M. et sa curiosité toujours super invasive.
#C'est bizarre mais juste ça j'ai l'impression que c'est rentrer dans mon intimité#Il sait que j'ai pris du poids pendant le confinement#Il se gêne pas pour dire que ça se voit#Et maintenant ça.
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