Tout ce que tu trouves à faire, fais-le avec la force que tu as ; car il n’y a ni activité, ni réflexion, ni connaissance, ni sagesse dans le séjour des morts, là où tu vas. (Ecc.9.10)
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"While I will admit to a certain cynicism, the fact is that I am a naysayer and a hatchetman in the fight against violence. I pride myself in taking a punch and will gladly take another because I choose to live my life in the company of Ghandi and King. My concerns are global. I reject, absolutely, revenge, agression, and retaliation. The foundation of such a method, is love"
Albert Rosenfeld - Twin Peaks
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Silence ! on tue. (03.12.23)
Aquarelle, encre, acrylique, feutre, posca et pastel sur papier Hahnemühle 325g/m² 17 x 24 cm.
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Depuis trop d'années l'Occident s'évertue à inséminer des idées nauséabondes envers les peuples du Proche et Moyen-Orient dans l'esprit de ses populations, et ce dans une sinistre continuité des stratégies de communication et de propagande utilisées pendant la Guerre Froide. Il y aurait, d'un côté, "Nous", l'Occident, les peuples blancs, civilisés, incarnation du Bien, de la Lumière, de la Démocratie. De l'autre, l'Ennemi : celui avec qui nous n'avons rien de commun, le sauvage, le dangereux, celui qui fait trembler la forteresse de notre monde si tranquille, si confortable. Il suffirait pourtant d'ouvrir les yeux et de s'attarder quelque temps sur la réalité pour se rendre compte que l'ennemi n'est pas nécessairement celui qu'on nous désigne. Les Autres, là-bas, ne sont rien de moins qu'une version différente de nous-mêmes. Eux aussi vivent dans des sociétés imparfaites, subissent la politique de leur Etat, commettent des erreurs, regrettent, rient, rêvent, aiment, se souviennent et créent. L'Homme Blanc n'a le monopole ni de la vérité, ni du "bien" ; pas plus qu'il ne détient celui de la Poésie, de l'Art et du Beau. Cette idée que tout est mieux ici est selon moi le résultat d'un confort induit par la familiarité que nous avons de notre propre culture, et de l'épouvante que sème l'Occident sur les nations dont il ne partage pas les valeurs – et ce dans un but uniquement de profit et d'accaparement de ses richesses –, les rendant de ce fait hostiles et limitées dans leurs "progrès sociaux" ; du moins, à nos yeux.
Il n'existe pas de fracture entre nous, ici, et eux, là-bas. Ce qu'il y a, ce sont des personnes, partout sur cette Terre, pour qui leur petit monde est tout – et qui définissent leur rapport au reste du monde, aux autres et à eux-mêmes en fonction de ce qu'elles ont toujours connu. Face à tous ces individus – que nous pouvons réduire, ici n'étant ni le lieu ni l'instant de débattre à ce sujet, aux catégories d'animaux humains et non-humains, d'ailleurs – dont nous faisons partie, face à la vie elle-même se dresse la presque indéfectible hydre du Capitalisme avec ses têtes avides de sang : Guerre, Profit, Pouvoir, Haine, Conquête, Rancœur, Individualisme – pour n'en citer que les principales.
Nous avions tout pour vivre heureux. Peu m'importe ce qu'on m'en dit, à notre ère le meurtre et l'injustice sont des choix, des décisions prises par une minorité en toute connaissance de cause pour des questions, le plus souvent, de géopolitique. Avec un peu de volonté, l'Abominable est toujours justifiable – en fermant les yeux, les pires crimes peuvent revêtir le manteau de la légitimité. Claquemurés dans un confort silencieux, loin du bruit des bombes et de l'odeur du sang, l'âme imperméable à la souffrance de qui n'est pas nous, pourquoi donc admettre que ceux qui partagent nos "valeurs culturelles" et nous ressemblent tant sont des monstres ? La vérité, c'est peut-être que chaque être humain porte en lui les germes de cette monstruosité – que nous sommes, par essence, une forme ou une autre d'abomination que nous pouvons choisir de servir aveuglément ou d'accepter en tant que partie de soi afin de mieux la comprendre, la contrôler. Néanmoins, croire que nous sommes constamment capables du pire mais que le meilleur est hors d'atteinte est pure folie. Si nous pouvons haïr et massacrer avec autant de facilité, il n'appartient qu'à nous d'œuvrer pour la paix universelle.
#oc#raskolnikoffnbksawyer#artistsforgaza#ceasefire#artistsagainstgenocide#watercolor#freedom for all#goths against fascism
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By/ Ferdinand Hodler - Night, "detail"
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Colijn de Coter - The Descent from the Cross. Detail.
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Cima da Conegliano - Christ crowned with thorns (1510). Detail.
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Memento mori. Weibliche Schönheit: Kritische Betrachtungen über die Darstellung des Nackten in Malerei und Photographie Dr. Bruno Meyer Stuttgart: Kunitverlag von Klemm & Beckmann, 1904.
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Paul Pister (name written on the back of the picture). Date unknown (end of nineteenth/beginning of the twentieth century). Personal collection.
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Fabrizio Jovine as Father William Thomas in Lucio Fulci's Paura nella città dei morti viventi (1980)
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Fabrizio Jovine as Father William Thomas and Daniela Doria as Rosie Kelvin in Lucio Fulci's Paura nella città dei morti viventi (1980)
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Fabrizio Jovine as Father William Thomas and Catriona MacColl as Mary Woodhouse in Lucio Fulci's Paura nella città dei morti viventi (1980)
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Alucarda, la hija de las tinieblas, Juan Lòpez Moctezuma, 1977
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"Maintenant, tu vas affronter la mer des ténèbres
Et tout ce qui s'y cache."
... E tu vivrai nel terrore ! L'aldilà, Lucio Fulci, 1981
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The foundation of such a method, is love.
Miguel Ferrer & Michael Ontkean | Twin Peaks
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Dellamorte Dellamore, Michele Soavi, 1994
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