site-specific, non-site, new site, web site, curated by Mathieu Merlet Briand
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Yuri Pattison, Free Traveller, Cell Project Space, London, UK. 17.09.14 - 02.11.14
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TRISTE TROPIQUE, TOPOGRAPHIES OF SADNESS BY DAMIEN RUDD & CÉCILE COULON 24 EURTriste Tropique, Topographies of Sadness by Damien Rudd (Topographies) & Cécile Coulon (Romances) French / English 167 mm x 240 mm Design by Joanna Starck
www.jean-boite.fr
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My Google Search History, le livre Albertine Meunier
De plus en plus, nos vies, distillées sur les réseaux numériques, laissent des traces. Chaque moment passé sur internet est guidé par des sites d’information mais surtout par des moteurs de recherche, et laisse sur le réseau une petite trace invisible, comme un geste inutile.
Jour après jour, notre pratique se répète, les mêmes gestes, les mêmes réflexes, les mêmes habitudes. De ces répétitions un sillon invisible se creuse qui trace le chemin numérique de chacun. Et l’on se demande : depuis qu’internet existe, combien de temps passé devant le halo d’un écran ? Combien de fois la page d’accueil Google s’est affichée ? De cette page quasi immuable depuis des années, combien de recherches faites ? Difficile à quantifier à l’échelle humaine, tous ces octets avalés. Pourtant certains acteurs du Net, comme Google, ont très vite compris la valeur du chemin personnel parcouru par chacun sur le réseau. Très vite compris que la totalité des recherches faites sur leur moteur parlait de nous tous mais aussi de chacun.
En 2006, Google lance le service Search History et stocke les recherches des internautes. Depuis ce premier jour, albertine meunier compile scrupuleusement ses recherches et les donne à voir au public. Plus de trois années se sont écoulées : les recherches d’albertine mises bout à bout racontent une histoire, la sienne mais aussi celle du réseau.
Avant le livre, il y a ...
My Google Search History à voir et écouter sur internet
www.albertinemeunier.net/google_search_history/
Avec le soutien du DICRéAM
Dispositif pour la Création Artistique Multimédia, 2010, Ministère de la Culture
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cyprien gaillard : rubble and revelation fondaxione nicola trussardi
caserma XXIV maggio, via vincenzo monti 59, milannovember 13 – december 16, 2012
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Cyprien Gaillard. Where Nature Runs Riot. Sprüth Magers Berlin, 2015
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Cyprien Gaillard
Installation view: "Today Diggers, Tomorrow Dickens"
Gladstone Gallery, New York November 9, 2013 - February 1, 2014
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Mike Nelson, A7 (Route du soleil), Création Biennale de Lyon 2015
Cette oeuvre est la seconde d’une série de travaux de sculptures utilisant des pneus explosés, récoltés sur les artères principales de villes importantes dans le monde. La première, intitulée M6 d’après l’autoroute britannique qui passe à travers la cité industrielle de Birmingham, fut réalisée en 2013 à Eastside Projects. Les restes de pneus dispersés sur une dalle de béton de 40 tonnes n’étaient visibles que depuis le passage qui courait tout autour. Ici à Lyon, des cages rudimentaires ont été construites pour incorporer des moulages de dalles de bétons servant de socles aux pneus, créant ainsi un paysage qui permet au visiteur de se déplacer au milieu des débris.Ces travaux représentent pour Nelson un retour à l’objet, en dirigeant la vue vers ces formes spécifiques. Nelson voit leur création comme le résultat d’une alchimie étayée par des histoires – qu’elles soient économiques ou technologiques – qui culmine en un moment existentiel aussi banal qu’il est extrême. Les formes sculpturales qui en résultent sont primitives et totémiques tandis que la densité du noir leur donne une qualité quasigraphique – une illustration de l’humanité à travers les objets dont nous nous entourons mais auxquels nous prêtons peu d’attention.Courtesy de l’artiste et 303 Gallery, New York; Galleria Franco Noero, Turin; Matt’s Gallery, Londres; et neugerriemschneider, Berlin
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Simon Denny,
The personnal effects of Kim Dotcom, 2014
L’installation que Simon Denny réadapte pour la Biennale est constituée de l’inventaire complet des objets confisqués le 20 janvier 2012 par la police néo-zélandaise, sur ordre du FBI, chez Kim Schmitz, alias Kim Dotcom, condamné pour violation de propriété intellectuelle, blanchiment d’argent et racket, délits qu’il aurait commis en lien avec sa plateforme de partage de fichiers Mégaupload. L’installation est à l’image d’Internet, c’est-à-dire régie par des liens générant un flux discontinu d’images, d’idées et d’informations : jugements disponibles sur Internet, inventaires d’objets saisis transférés sur toile (et graffés, à l’occasion de l’exposition à Lyon, d’une traduction en français), voitures de luxe, jet skis… et même une effigie grandeur nature de Predator, tirée du film du même nom. Entre vérité et fiction,Les effets personnels de Kim Dotcom disent certaines choses du monde libre : celles de la confusion entre vie privée et illégalité de procédures judiciaires déléguées à des compagnies privées sous couvert de souveraineté des États.
Courtesy de l’artiste et Galerie Buchholz, Berlin / Cologne
Lieu : La Sucrière
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Clement Valla
Postcards from Google Earth
Screenshots from Google Earth, postcards and postcard racks, inkjet on paper, website
2010-Ongoing, http://www.postcards-from-google-earth.com/, CAM, Raleigh, NC, XPO GALLERY, Paris, France, Thomassen Gallery, Gothenburg, Sweden, University at Buffalo, Buffalo, NY, Art Souterrain, Montreal, Canada, swissnex, San Francisco, CA, Lab for Emerging Arts and Performance (LEAP), Berlin, Germany, Wasserman Projects, Birmingham, MI, Phillips auction house, New York, NY, Tin Sheds Gallery, Sydney, Australia, Gallery Wendi Norris, San Francisco, CA, Villa Terrace Decorative Arts Museum, Milwaukee, WIIMAGE
I collect Google Earth images. I discovered strange moments where the illusion of a seamless representation of the Earth’s surface seems to break down. At first, I thought they were glitches, or errors in the algorithm, but looking closer I realized the situation was actually more interesting — these images are not glitches. They are the absolute logical result of the system. They are an edge condition—an anomaly within the system, a nonstandard, an outlier, even, but not an error. These jarring moments expose how Google Earth works, focusing our attention on the software. They reveal a new model of representation: not through indexical photographs but through automated data collection from a myriad of different sources constantly updated and endlessly combined to create a seamless illusion; Google Earth is a database disguised as a photographic representation. These uncanny images focus our attention on that process itself, and the network of algorithms, computers, storage systems, automated cameras, maps, pilots, engineers, photographers, surveyors and map-makers that generate them.
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Marie-julie Bourgeois 2017, TEMPO II triptyque
270 webcams live installées aux quatre coins du monde numérique retransmettent des fragments de ciels en temps réel. L’installation propose une cartographie instantanée des cieux de jour comme de nuit. L’oeuvre prend pour tempo le rythme de rotation de la Terre, et le midi solaire est placé au centre de l’installation. Les 18 fuseaux horaires (au lieu de 24 car certaines zones ne sont pas ou peu câblées) se décalent toutes les 1 h 20 pour suivre la course du soleil. Le son synchronisé correspond à la mise à jour de chaque images de ciel qui a lieu au rythme du réseau internet, environ toutes les 4 minutes. Tempo II permet grâce à la technologie numérique de voir l’impossible : 270 ciels connectés, une oeuvre qui rend le regardeur omni-présent doté de multiples yeux, un gardien de tous les cieux.
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CYPRIEN GAILLARD, The Berlin Archive 2009–10
032c workshop
Gaillard (*1980) exacerbates our understanding and experience of modernism and its architecture through the breaking point where loss becomes potential, and vice versa. With a particular fascination with failed utopias, demolition, ruins, the clash between culture and nature, and the creative forces that emerge therein, Gaillard’s multi-media work provokes the present by confronting the past.
Included in the vitrine are rare architecture and land-art books, Gaillard’s own documentation of urban demolition and others’ land-art, as well as artifacts from sites such as Angkor, Cambodia and the deserted Iraqui Embassy in Berlin. Gaillard was first featured in 032c magazine in issue 13, and previously exhibited in 032c workshop’s group show, “Industrial Light Magic,” in New York, November 2009.

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Cities of Gold and Mirrors. Cyprien Gaillard.
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Rafaël Rozendaal, Times Square Midnight Moment, New York
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