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Subject to Change Michael Corris, Stéphane Mroczkowski, Marjorie Welish, Alexandra Pignol Mare et Martin, le Kremlin-Bicêtre, France Collection Anatomies de la modernité (dir. Stéphane Mroczkowski, Alexandra Pignol)

Second semestre 2023, disponible novembre 2023 144 pages, bilingue anglais-français, offset couleur, format 23,5 x 20 cm, cartonné cousu, design Fred Dupuis, 39€

LE LIVRE :

Un poème de Bertolt Brecht, écrit durant la guerre 39-45, sert de point de départ à un livre de créations graphiques et de textes échangés entre quatre auteurs et artistes de Dallas, New York, Strasbourg.

Un livre qui expose le processus de création et de recherche, comme une enquête au sujet de la maison de Brecht à Santa Monica et de son importance comme lieu de création.

Sujet To Change est un ouvrage collaboratif mêlant dessins et textes, qui prend appui sur le poème de Bertolt Brecht « Le Masque du Méchant » (1942). Ce poème, écrit en exil, porte sur un masque de théâtre Nô qui devient l’image même du mal qui sévit alors en Europe. Ce poème nous conduit donc à prendre en compte différentes disciplines : histoire, littérature, poésie, théâtre.

À ce bref poème, chaque artiste-auteur répond dans un registre distinct et avec un style graphique et une écriture particuliers. Les nombreux dessins se répondent et dialoguent pour questionner la personne de Brecht, l’artiste, le poème, et les lieux de création artistique. L’essai d’Alexandra Pignol apporte, sur un ton libre, une somme essentielle d’informations et d’idées sur l’époque de Brecht en exil, à partir d’une ironie sur les idéaux de fonctionnalisme du Bauhaus.

THE BOOK :

A poem by Bertolt Brecht, written during the 1939-1945 war, is the starting point for a book of images and texts exchanged between artists and writers living in Dallas, New York and Strasbourg (France).

The work proposes to reveal and deconstruct the process of creation, research and exposition through an investigation of professional and domestic aspects of Brecht’s exile in the United States.

The collaborative work in Subject to Change begins with Bertolt Brecht’s poem, “The Mask of Evil” (1942). The central image of the poem is a Noh mask that Brecht had traveled with on his journey to the United States. In a sense, the mask functions as the epitome of absolute evil that existed in Europe during the Second World War, and leads us to consider different disciplines: history, literature, poetry, theater, and philosophy.

Each of the participants in the project responded to Brecht’s poem in a distinct register and style, engaging in a dialogue questioning Brecht: the poet, the work, the circumstances of creation, and the man. The essay by Alexandra Pignol provides additional information and insight this period in Brecht’s life, drawing a connection between Brecht’s poems written during his U.S. exile and his writings on the Bauhaus ideals of functionalism.

Subject to Change explores the relationship between seeing and reading, art and knowledge, form and content. The project aims to make the research process visible. The aim is not to reconstruct a historical journey or moment (Brecht in Santa Monica), nor to illustrate Brecht’s poem. Rather, the aim is to draw connections between the past and the present.

Subject to Change is available through Mare et Martin Publishers (Paris). To purchase a copy :

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Stéphane Mroczkowski, Alexandra Pignol (dir.), David Diao. Peinture et document/painting and document

Paris, Mare & Martin, mars 2021 format 15 x 21 cm, 273 pages, 13 textes, 56 illustrations

Résumé Figure majeure de l’abstraction conceptuelle, David Diao questionne les usages et les institutions du monde de l’art. Les documents d’archive, photographies, listes, chiffres de ventes, biographies, carrières d’artistes — dont la sienne — bouleversent l’approche que l’on a de la peinture. Reproduits sur un fond monochrome très élaboré, les documents ont une valeur informative tout comme une valeur esthétique. Diao donne à la peinture une dimension conceptuelle effective : focalisée sur l’information et le contenu. Et s’il donne un rôle central à l’information, il affirme aussi la présence irréductible de la peinture, qui rend le rôle des documents plus complexe à définir, comme le montrent les essais du présent ouvrage.

Avec les textes de Hélène Chouteau-Matikian, Michael Corris, Felix Gmelin, Catherine Grout, James Harithas, Jean-Marc Huitorel, Marjolaine Lévy, Joseph Masheck, Stéphane Mroczkowski & Alexandra Pignol, Marshall N. Price, Ramon Tio-Bellido, Hiram To, Marjorie Welish

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Stéphane Mroczkowski - Nicole Brossard

Ne touchez pas au crépuscule

Un texte de Nicole Brossard à propos de monotypes de la série en cours de Stéphane Mroczkowski,

Basic Forms for Printmaking

Paru à Strasbourg en octobre 2020, éditions Les Lieux Dits, collection 2Rives

14,5 x 20,5 cm - ISBN 978-2-9181113-70-6 - 18 euros

Nicole Brossard

Poète, romancière et essayiste, Nicole Brossard, est née à Montréal. Elle a publié plus de quarante livres dont plusieurs ont été traduits. En 1965, elle publie son premier recueil et cofonde la revue littéraire La Barre du Jour. En 1976, elle coréalise le film Some American Feminists et, en 1992, elle coédite une Anthologie de la poésie des femmes au Québec, des origines à nos jours. Elle a remporté plusieurs prix nationaux et internationaux dont le Prix Griffin, en 2019, pour l’ensemble de son œuvre. Trois anthologies de sa poésie (en portugais, italien et anglais) sont attendues en 2020-2021 ainsi qu’un opéra en 2024 inspiré de son roman Le désert mauve.

Stéphane Mroczkowski

Maître de conférences en arts plastiques à l’Université de Strasbourg, Stéphane Mroczkowski, est artiste-chercheur au laboratoire en art ACCRA (EA3402). Ses recherches portent sur les formes actuelles de l’abstraction, et en particulier ce que l’on appelle l’abstraction conceptuelle, ainsi que sur les liens entre art, recherche, enseignement. Il a publié ouvrages et articles sur l’abstraction contemporaine, sur le design et l’architecture. Il organise avec Alexandra Pignol le premier colloque sur le peintre new-yorkais David Diao en 2014 et dirige la première monographie collective bilingue consacrée à l’artiste (Mare & Martin, 2020).

Il pratique l’imprimé expérimental et questionne les liens entre techniques manuelles et contexte numérique ainsi que les liens entre art et document, son travail a été notamment montré dans différents projets du Link Art Center (Italie).

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Monographie David Diao

Stéphane Mroczkowski (dir.), David Diao, Paris, Mare et Martin, juin 2020

ISBN 979-10-92054-78-1 Prix 37€ 375 pages (120 illustrations couleur) Bilingue Français / Anglais Couverture souple, reliure cousue Format 240 x 160 cm

Ouvrage Né en Chine en 1943, David Diao est installé à New York depuis 1964. Il accède à la notoriété comme jeune peintre abstrait, enseigne à Hampshire College, Cooper Union et au programme de formation d’artistes du Whitney Museum of American Art. Après une rupture volontaire dans sa carrière au début des années 1980, il revient en 1984 sur la scène internationale avec une peinture critique, qui utilise des photographies historiques, des documents d’archive, des données chiffrées, des œuvres d’autres artistes… Reconnu comme l’une des principales figures de l’abstraction conceptuelle, il travaille aussi à partir de documents relatifs à sa propre carrière d’artiste, ou à sa propre histoire d’exilé chinois. Il le fait souvent avec une certaine ironie, toujours avec une peinture à la facture travaillée et aux couleurs subtiles qui résonne avec les données brutes des documents utilisés.

Ses œuvres sont présentes dans les fonds publics français et les musées à l’international (Canada, états-Unis, France, Hong Kong). Une importante rétrospective s’est tenue à Pékin en 2015, au Ullens Center for Contemporary Art (UCCA).

Cet ouvrage, l’un des plus complets sur le travail de Diao à ce jour, comprend 120 illustrations couleur ; un texte d’introduction qui retrace le parcours de Diao et analyse les enjeux artistiques et critiques de son travail ; huit essais inédits, écrits par Hélène Chouteau-Matikian, Michael Corris, Jean-Marc Huitorel, Melanie Mariño, Stéphane Mroczkowski, Alexandra Pignol, Heinz Peter Schwerfel. Chacun se focalise sur un aspect spécifique de la peinture de Diao.

Stéphane Mroczkowski, directeur de la publication, est Maître de conférences en arts plastiques à l’Université de Strasbourg. Il est artiste-chercheur au laboratoire Approches contemporaines de la création et de la réflexion artistiques (EA3402). Il a organisé avec Alexandra Pignol le premier colloque international consacré au travail de David Diao, en 2014 au Musée d’art moderne et contemporain de Strasbourg.

Auteurs Hélène Chouteau-Matikian (critique d’art, professeur agrégée d’arts plastiques, Paris), Michael Corris (artiste, critique d’art et Professeur d’université, SMU, Dallas), Jean-Marc Huitorel (critique d’art, Rennes), Melanie Mariño (historienne de l’art, New York), Stéphane Mroczkowski (laboratoire en arts ACCRA, Université de Strasbourg), Alexandra Pignol (laboratoire AMUP, ENSAS Strasbourg et HEAR, Mulhouse).

Soutiens Cet ouvrage est en partie financé par un donateur anonyme sous le parrainage fiscal de la CUE Art Foundation, New York. Il bénéficie également du soutien financier de la Ville de Strasbourg, direction de la culture ; l’ESPE de l’Académie de Strasbourg, Université de Strasbourg ; l’équipe de recherche Approches Contemporaines de la Création et de la Recherche Artistiques (EA3402, Université de Strasbourg), l’Université de Strasbourg, direction de la recherche, le FRAC Bretagne ; les galeries Tanya Leighton, Berlin ; Marta Cervera, Madrid ; Eslite, Taipei.

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Capter la Ville, exposition, Syndicat Potentiel, Strasbourg

“Formes élémentaires pour l’imprimé (groupes)”, 2019

Impression laser noir, 12 feuilles, 59,4 x 42 cm chacune

Je participe avec des monotypes et un projet commun avec Alexandra Pignol, à l’exposition “Capter la Ville”, au Syndicat Potentiel à Strasbourg, du 7 au 29 juin 2019.

Exposition-dossier « Capter la ville – Documents d’actions et récits d’expériences autour de la ville informelle » avec  Allotopie, Mathilde Blum, Michael Corris, Jean-Philippe Degoul, Les Frères Ripoulain (alias David Renault et Mathieu Tremblin), Camille Hagège, Anne Jaureguiberry, Christiana Mazzoni, Stéphane Mroczkowski, Dimitri Pagnier, Alexandra Pignol, Arzhel Prioul (alias Mardinoir), Stalker, TRACT’eurs, UN NOUS (José Maria Gonzalez, Roberto Martinez, Antonio Gallego, Patrick Pinon) sur le plateau et dans l'arrière-cour du Syndicat Potentiel du 07 au 29 juin 2019

Cette exposition-dossier présente un processus en cours de collecte de données à propos de l’espace urbain et propose une réflexion à propos des outils de captation des éléments sensibles, imaginaires, visuels, sonores, de la ville. Elle propose une réflexion à propos des possibilités de représentation de cette captation du réel, du quotidien, du banal, des usages, des partages. L’exposition présentera des cartes, et cartes sensibles, des atlas, des vidéos, des photographies, des enregistrements sonores, des éléments textuels pour rendre compte de la diversité des approches de la ville.

Alexandra Pignol et Stéphane Mroczkowski, avec Michael Corris, “This Storefront 2019″, texte, photographies, impression laser noir, deux feuilles A0

Ces deux affiches présentent un projet pour Strasbourg : des vitrines de locaux commerciaux vacants utilisées pour des présentations de recherche en art, design, architecture et actualité culturelle en général. Ce projet vient notamment de discussions et d’échanges d’idées avec Michael Corris, artiste et écrivain américain, professeur en art à la SMU University de Dallas. Corris, alors qu’il faisait partie du groupe Art & Language à New York, publie un texte dans Studio International, Now About This Storefront (avec Jill Breakstone, Preston Heller et Andrew Menard). Par certains aspects, et mis à part les éléments du contexte spécifique américain de l’époque, ce texte reste d’actualité. Mais il est surtout pour nous un document emblématique, et même si il n’a donné lieu à aucun développement effectif, il a contribué à la réflexion sur l’appropriation de la culture par les publics urbains. Ce texte et ces échanges ont été notre point de départ pour commencer une réflexion sur l’espace public à Strasbourg et la place de la culture et de l’art. Nous faisons la première traduction française de ce texte inédit, reparu en anglais dans le recueil de textes sur l’art de Corris, Leaving Skull City, Les Presses du Réel, 2016. Par ailleurs, Alexandra Pignol et Stéphane Mroczkowski participent à Dallas Pavilion 2019, un projet de Michael Corris qui présente les textes et images d’une vingtaine de participants dans autant de villes différentes. Il s’agit ici de présenter l’articulation (parfois harmonieuse, parfois paradoxale voire conflictuelle) entre les aspirations des pouvoirs publics et des acteurs de la culture, de l’enseignement et de la recherche en art.

Ces monotypes de de la série “Formes élémentaires pour l’imprimé” sont faits de formes récupérées, choisies et glanées dans l’espace quotidien et en particulier celui de la ville. Des déchets d’emballages, des fragments d’objets cassés, autant de formes trouvées qui entrent en résonance avec le vocabulaire de formes élémentaires caractéristiques d’une certaine abstraction construite, ou de l’Art Concret. Ces formes sont comme le langage formel élémentaire de la ville au travers de ses rebuts discrets : il faut scruter le sol, à la recherche de trésors formels. Ces formes sont imprimées en monotypes noirs directement sur presse manuelle, puis numérisés, vectorisés et recomposés selon différents critères pour créer des ensembles uniques. Ils deviennent alors prétexte à construire des variations sur le vocabulaire formel de la modernité.

Photos: Mathieu Tremblin

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Strasbourg Culture Map, 2019

With Alexandra Pignol

Image file (from text + image poster) for Dallas Pavilion 2019

Invitation by Michael Corris, Venice Biennale 2019, May 8-10

More : https://invisible-college-conversations.com/2019/03/20/dallas-pavilion-2019-may-8-9-10-venice-biennale/

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Basic Forms Monoprints Groups (series), 2019

Vector Grafic Image

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Basic Forms For Printmaking (Original Monoprints) : samples

Formes Elementaires pour l’Imprimé (tirages monotype originaux) : exemples

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Basic Forms for Printmaking Ensembles (samples) Laser print editions, din A1

Formes Elementaires pour l’Imprimé : exemples d’ensembles de 4, éditions

Impression laser noire sur papier A1 avec 3 ou 4 formes par feuille

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Formes Elémentaires pour l’Imprimé, 2018, monotypes, encre sur papier, 42 x 30 cm chaque

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Publication

“Internet comme matrice d’impression”, texte paru dans l’ouvrage collectif “Les Avancées de l’art multiplié”, O. Delleaux et J.-F. Robic (dir.), Friville éditions, 2017

http://www.frivilleshop.com/index.php?id_product=48&controller=product

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“Inventaire des Formes Elémentaires”, livres, décembre 2017

Nouveaux essais de livres dans la s��rie “Inventaire des Formes Elémentaires”, décembre 2017.

Un ensemble de carrés du Viseur de Honegger imprimés suivant une grille approximative, et reliure In Octavo. Reliure cousue, pour la première fois avec mon nouvel outil, une machine Elna Supermatic (années 1950). Le principe étant de provoquer des décalages entre la grille exacte du pliage In Octavo de la feuille, et la grille aléatoire du placement des carrés dans la presse.

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Formes élémentaires

L’axe de recherche Inventaire des formes élémentaires (depuis 2013) explore l’univers incroyablement varié des formes trouvées dans notre environnement quotidien. Je passe sous la presse de petites pièces de carton ou de plastique, choisies pour leur qualités d’abstraction. Elles viennent principalement des emballages de produits de consommation courante : nourriture, vêtements, objets, jouets…

Une collecte de choses dérisoires (opercules de pots de crème glacée, feuille pré-percée pour apprendre à broder, support pré-découpé pour pièces de jeu de société de voyage…) qui prennent une dimension nouvelle.

Une fois imprimées en monotype, à l’encre d’imprimerie noire et épaisse sur les mêmes feuilles de papier blanc A3 assez ordinaire, ces objets accèdent à une cohérence d’ensemble. Ils forment une collection relativement homogène de cercles, rectangles, carrés, trames, croix…

Le regard qui passe d’une feuille à l’autre met en relation ces formes pauvres et de multiples relations s’établissent entre elles : rappels de formes, changements d’échelle, rapports de nombre.

Chaque feuille n’a pas tant de valeur en soi évidemment. C’est l’ensemble qui, comme pour le travail en cours avec le Viseur, permet une multitude d’associations et fait la richesse de cette recherche. Là encore, comme avec les Google Pages ou la série avec le Viseur, il ne s’agit pas de réaliser de savantes compositions avec ces formes élémentaires, à la manière des peintres modernes. Il est plutôt question de constituer des ensembles, des collections qui entrent en résonance. Notre regard tire sa propre nourriture de ces éléments bien disposés…

Cette série fait le lien entre les travaux réalisés avec le Viseur de Gottfried Honegger, mes recherches imprimées Google Pages, et mes travaux de ré-impression d’images emblématiques du modernisme (couvertures de publications Dada, photographie expérimentale, cours de Paul Klee au Bauhaus, etc.).

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Inventaire des formes élémentaires, monotypes, encre noire sur papier A3, 2017

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Présentation de recherche-création

Stéphane Mroczkowski, "Créer et enseigner avec Le Viseur de Gottfried Honegger" Lors de la première journée d’études "Recherche-création et méthodologies didactiques dans les arts et la technologie", organisée par Grazia Giacco, Thibault Honoré, Stéphane Mroczkowski, Frédéric Verry 28 avril 2017, ESPE, Université de Strasbourg

https://recherchecreation-didactique.tumblr.com

https://recherchecreation-didactique.tumblr.com/tagged/JE-28-avril-2017

Diverses références artistiques et théoriques (Gottfried Honegger, l’histoire du jeu de construction et des pédagogies par le jeu et l’autonomie, des écrits comme ceux de Georges Didi-Huberman sur l’empreinte, des artistes comme Bruno Munari, Piet Mondrian, Karel Martens, Steven Parrino, Paul Cox, Wayde Guyton, des designers comme Wucius Wong, Armin Hofmann, Letterproeftuin…

Les travaux de mes étudiants à la Faculté des arts, Strasbourg

Les travaux de mes étudiants à la Faculté des arts, Strasbourg

Les travaux de mes étudiants à la Faculté des arts, Strasbourg

Face à mes travaux avec le Viseur…

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Nouveaux travaux avec le Viseur de Gottfried Honegger.

Avril 2017, encre typographique noire sur papier Lana, 52x36 cm.

Une manière de faire ouvertement référence au design graphique moderniste, au travers de compositions élémentaires qui rappellent certains logos en noir très en vogue entre les années 1950 et 1970… Une manière d’assumer que le Viseur contient une sorte de programme… Ma manière d’accepter les taches d’encre et toutes les traces du processus d’impression (encrage, placement des formes sur la feuille à la presse, décollage des formes de la feuille après le passage en presse…) est une manière de donner à voir l’encre, son épaisseur, et de considérer ces travaux comme autant d’échantillons, qui ne fonctionnent que dans un ensemble ouvert. Des essais, des expérimentations graphiques qui ne sont pas des affiches justement, ni un catalogue de logos historiques.