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megalosylfanie²
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sylfaen-blog · 14 years ago
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Roll a D6 (par SirConnorAnderson)
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sylfaen-blog · 14 years ago
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magic@work (Taken with instagram)
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sylfaen-blog · 14 years ago
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Cateau d'anniversaire (Taken with instagram)
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sylfaen-blog · 14 years ago
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sylfaen-blog · 14 years ago
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sylfaen-blog · 14 years ago
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La bande annonce est riche en spoil, peut-être un peu trop. Mais au moins, le film s'annonce bien moins mou du slip que la première partie.
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sylfaen-blog · 14 years ago
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Le soleil dans le Nord, à peine arrivé, déjà parti.
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sylfaen-blog · 15 years ago
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Fatal
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Je n'ai jamais regardé le Morning Live, j'ai été horripilé par les morceaux de La Beuze que j'ai vu, j'ai vite fait souris devant les 11 Commandements et je n'avais pas connaissance des autres films de Youn.
J'ai toutefois de la sympathie pour ce mec qui arrive à dégager une impression nette de sérieux dans ce qu'il fait alors que tout son travail est basé sur la dérision. Un reportage pré-Fatal était passé sur W9, il m'avait fait bonne impression.
Je suis ainsi allé voir l'avant-première de Fatal à l'UGC à contre-cœur (merci la Carte UI), traînant des pieds et me préparant à sortir un « Je vous l'avais bien dit » à mes amies à la sortie. Et ben... J'ai vraiment apprécié ce film. Je ne dirais pas que j'ai adoré mais je l'ai trouvé particulièrement bon.
Bon déjà faut se rendre à l'évidence : c'est du Youn. Humour grossier, allusions sexuelles à tout bout de champs (mais ça marche bien). Après, les personnages sont tous caricaturaux mais ils sont bien joués, les acteurs les rendent crédibles (dans le cadre du film, qu'on soit bien d'accord, le sur-jeu fait partie du film. Youn n'est évidemment pas crédible quand il pleure par exemple, mais c'est drôle). Des références nombreuses à l'univers musical français actuel, un regard bien critique mais optimiste.
Les différentes chansons et les clips disséminés au cours du film sont vraiment tordants. Pas vraiment de surprise du côté de Fatal, on connait probablement le personnage si on va voir le film. Par contre, Stéphane Rousseau/Chris Prolls... Il est vraiment surprenant et on se marre à chaque apparition. Il est vraiment très bon, la caricature est excellente.
Bon l'histoire elle est bidon, format classique çavaçavaplusjeparsjereviensçavamieux, mais on s'en moque puisque l'histoire est avant tout un prétexte pour introduire les différentes scènes. Et puis, elle reste quand même cohérente dans l'ensemble.
Enfin, il y a même un semblant de souffle épique lorsqu'à la fin du film Fatal fait son come back. Bonne scène.
Alors mettons nous d'accord : Fatal est un concentré de facilité, autant dans l'humour que dans le scénario, c'est grossier, c'est du Youn. Mais il y a suffisamment de surprises, de faux clips vraiment sympas et de personnage excellents pour en faire un bon film.
C'est un film qui va être vite oublié, qui n'apporte rien au cinéma mais qui n'a pas ces prétentions. On passe un très bon moment devant et on ne s'ennuie pas.
Alors si tu aimes les comédies et que tu ne fais pas une allergie à Mickaël Youn et/ou à la dérision, oui, je suis prêt à te conseiller d'aller voir ce film, gentil visiteur.
PS : Je ne m'attendais pas mais alors VRAIMENT PAS à ce que ma première critique positive de film sur ce blog soit pour ce film.
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sylfaen-blog · 15 years ago
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Un J'irai loler sur vos tombes un peu différents de d'habitude. Alexandre Astier en impose et s'offre de beaux monologues, Davy et Poulpe ont parfois un peu de mal à reprendre la parole. En tout cas, c'est de loin leur meilleure émission et je n'ai pas vu l'heure passer.
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sylfaen-blog · 15 years ago
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Les Pyramides de Napoléon, de William Dietrich
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1798, Paris. Ancien assistant de Benjamin Franklin, Ethan Gadge gagne au jeu un mystérieux talisman, couvert de symboles obscurs. Il apprend bientôt que celui-ci, lié à un secret maçonnique bien gardé, est en rapport avec les pyramides égyptiennes. Engagé dans l’expédition napoléonienne en Égypte auprès des 167 hommes de science, archéologues, ingénieurs et artistes chargés d’étudier la civilisation et les vestiges du pays, Ethan devra affronter de redoutables dangers et résoudre bon nombre d’énigmes historiques, ésotériques et scientifiques afin d’élucider les mystères qui entourent les pyramides de Gizeh. De la naissance de l’égyptologie aux secrets ésotériques des pharaons, en passant par les campagnes militaires de Napoléon, William Dietrich nous offre un thriller palpitant, d’une précision historique remarquable. On y croise, outre Bonaparte, Dumas père, Monge, Berthollet ou encore l’amiral Nelson, lors de la légendaire bataille du Nil.
J'ai acheté ce livre un peu par dépit. Je venais de terminer un Ken Follet, j'en voulais un autre mais j'avais épuisé les propositions de la FNAC. Dans mon envie frénétique d'un autre roman historique, j'ai un peu fouillé le rayon mais tout semblait un peu fade à côté de Follet. Après avoir écarté les milliers de Christian Jacq et autres Lit d'Alienor, je suis tombé sur Les Pyramides de Napoléon. Le livre était accompagné d'une étiquette indiquant que l'auteur avait reçu un Pullitzer... Je me suis laissé tenter.
Verdict :
Le personnage principal manque sérieusement de charisme. J'ai eu un mal fou à le trouver attachant et ses caractéristiques principal auquel l'auteur revient sans cesse ne servent en rien l'histoire. On a un mec qui ne sait pas ce qui lui arrive ni pourquoi, qui évolue à peine entre le début et la fin, qui n'est clairement pas sympathique... Un peu dommage.
L'histoire est vraiment très longue à se mettre en place. Certes, le livre dresse un portrait assez large de la période post-Terreur et s'attarde tour à tour sur plusieurs grands personnages historiques mais on se demande longtemps à quel type de livre on a affaire : roman historique, roman d'aventure, davincicode-like ? Tous les genre sont proches mais celui-ci peine à se spécialiser. Je dirais donc que pendant toute la première moitié du livre je ne savais sa où j'allais. Dans la seconde, ça commence à se mettre en place et le dernier quart du bouquin est vraiment sympa (exception faite de la fin, j'y reviens).
Autant être clair, la seconde partie s'oriente complètement sur du davincicode-like et les récits historiques des guerres napoléoniennes laissent leur place à une exploration des mystères de l'Égypte et à des explications qui donnent à rêver (comme toujours). Je suis un grand amateur de ce type d'histoires (j'ai dévoré Da Vinci Code, j'ai apprécié les autres Dan Brown et j'ai même passé un bon moment devant les Benjamin Gates à la TV - je suis très bon public oui) donc j'ai tout de suite mieux accroché. L'auteur est bien plus convainquant dans ce style que lors des passages historiques qui me donnaient plus envie de fermer le livre. À ce stade, je regrettais au contraire d'arriver au terme de mes voyages en métro et de devoir remettre la suite au lendemain. Bon point !
Bon, la fin... J'ai retrouvé un sentiment qui est généralement propre au cinéma. Tout va très lentement tout au long du livre et quand la fin arrive... On dirait que l'auteur en a eu marre ou est tombé en panne d'encre et a bâclé les dernières pages. Après moult péripéties, notre héros sans charisme a tissé des liens avec d'autres personnages, enchaine découverte sur découverte avec eux puis, à quelques pages de la fin, ils disparaissent sans qu'on sache s'ils sont morts ou non, et le héros continue son chemin sans la moindre logique (enfin si, l'homme cupide du départ qui ne croit qu'à sa chance finit par être convaincu que l'Amour c'est beau mais oublie vite cela et se retrouve comme par magie doté d'une Foi indéfectible et accepte un Destin qu'on lui a dit être le sien entre deux coups de mousquet... mouais.).
En bref, je vous le conseille pour que vous puissiez me donner votre avis mais j'ai vraiment pas aimé dans l'ensemble. En même temps, passer après Ken Follet n'est pas simple pour un roman historique, surtout quand l'aspect mystérieux rivalise à peine avec un Dan Brown qui verse déjà pas mal dans la facilité.
Moyen !
Du coup, je repars sur un Ken Follet avec La Marque de Windfield. Miam, des dizaines de noms à retenir par coeur, youpi !
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sylfaen-blog · 15 years ago
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Borderlands
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J'ai d'abord acheté Borderlands sur Xbox 360 il y a plusieurs mois, intrigué par les bons retours auxquels il avait droit. L'univers m'a tout de suite accroché, la progression en niveaux des différents personnages et leur spécialisation via des arbres de talent également. Je n'avais à vrai dire pas pris de plaisir dans un jeu mêlant FPS et RPG depuis Deux Ex premier du nom. Malheureusement, j'avais acheté ce jeu dans une optique de jeu coopératif avec ma compagne et il s'est trouvé qu'une fois l'écran splité, la qualité du jeu et notre plaisir étaient divisés par deux eux aussi. Les interfaces devenaient illisibles, lourdes à utiliser, on manquait de visibilité en cours de jeu... Bref, on a laissé tombé (alors que d'autres jeux comme les Halo ou les Gears of War sont de vraies petites perles en coopératif sur la même console).
Comme je restais un peu frustré de ne pas avoir pu avancer dans le jeu, au bout de plusieurs mois, après avoir laissé au jeu le temps de baisser en prix, je l'ai acheté en double sur Steam et on a pu s'y remettre sur PC !
Là, c'est tout autre chose. Déjà, rien ne peut rivaliser avec le gameplay souris/clavier dans un FPS. Ensuite, être tout seul sur son écran c'est quand même vachement plus plaisant. Enfin, on a même accueilli un troisième larron dans notre équipe (on peut jouer jusqu'à 4 simultanément) et on s'est arrangé pour ne jouer que lorsque nous étions tous présents. On a donc progressé en même temps et découvert le jeu ainsi.
Verdict : une de mes meilleures expérience multijoueurs, c'est vraiment très sympa ! Les classes se complètent bien, les arbres permettant même à deux joueurs jouant le même personnage de se compléter en suivant des voies différentes.
L'univers, vraiment excellent comme je le disais : drôle, gore et mystérieux à la fois.
On a fini le jeu en à peu près une semaine. C'était sans doute un peu trop facile. Heureusement, une fois le jeu terminé, on peut le reprendre depuis le début avec les mêmes personnages dans un "Parcours 2" à la difficulté accrue. Là, le jeu commence vraiment ! On est encore dedans mais c'est clairement plus fun dès le début.
C'est donc un jeu que je conseille énormément, surtout si on y joue à plusieurs. On doit vite s'ennuyer tout seul quand même, les cartes sont très grandes, les distances à parcourir aussi, et les interactions entre les joueurs sont pour beaucoup dans le plaisir de jeu. Je pense notamment aux phases en véhicule où l'on peut faire la course, renverser la voiture de l'autre, se faire insulter grassement par sa compagne, se moquer d'elle, critiquer les talents de conducteur de l'autre... Génial.
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sylfaen-blog · 15 years ago
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Sex and the city 2 mais un peu le 1 aussi (quelques spoils mais osef vu le genre du film j'ai envie de dire)
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Je n'ai jamais suivi la série Sex and the City, je ne regardais de toutes façons pas vraiment la télévision à l'époque où elle passait, mais j'avais bien aimé le premier film au cinéma. L'effet de surprise, la découverte des personnages, un semblant de tension dramatique dans l'intrigue principale et les nombreuses scènes pleines d'humour en faisaient un excellent divertissement pour le néophyte non-fan de la série.
Je sors du juste du cinéma après avoir vu le numéro 2 et je ne parviens pas à me défaire d'un désagréable sentiment d'ennui.
Comme dans le premier, j'ai ri, beaucoup ri. Certaines scènes sont vraiment hilarantes et le film joue avec un talent certain sur la caricature. On commence avec un mariage gay de toute beauté dans la grandiloquence et le too-much puis on s'envole vers le moyen orient où l'on se moque légèrement de l'extrême pudeur religieuse, mais c'est toujours le même personnage que l'on retrouve au coeur de ces situations décalées et hilarantes : Samantha. Définitivement, c'est elle qui sauve le film pour les spectateurs comme moi, elle est toujours en décalage avec son environnement et arrive systématiquement avec la phrase tendancieuse souvent sans équivoque qu'il faut. Elle n'évolue pas, elle ne se renouvelle pas, le l'adore pour ça.
À côté de la belle vieille Samantha, Charlotte n'apporte qu'une maigre participation, reste silencieuse une bonne partie du film, pas de grand changement vis à vis du premier épisode. C'est dommage, son côté grain-de-folie-refoulé est bien marrant lors des quelques scènes où elle s'accorde quelques répliques. Miranda avait un rôle important dans le premier, puisque son couple était le centre d'une intrigue autour de l'adultère. On avait bien pu profiter de ses réactions psychorigides qui lui donnaient du charme, c'était sympa. Ici, elle est effacée, totalement. Un pur personnage secondaire. On croit au début qu'elle va initier à nouveau une intrigue autour d'elle à propos de ses problèmes de travail... mais non, elle démissionne au début, on n'en parle plus du film, et à la fin elle trouve le boulot de ses rêves dans la conclusion. Merci d'être passés, au revoir.
Vient enfin Carrie Bradshaw-Preston... Là, c'en est trop pour moi. Je n'ai jamais réussi à trouver ce personnage attachant alors qu'il est au centre de la licence. Dans le premier film, je pouvais la supporter et je concevais qu'elle soit torturée par ses problèmes de mariage. C'était un bon prétexte pour la dépression, la lune de miel reconvertie en exil, etc. Ici, notre pauvre Carrie a peur de la monotonie, se bat contre un canapé et une télévision et finit par hurler au désespoir dans la nuit parce qu'elle a embrassé son ex. Pendant ce temps, Mr Big l'ignore avec nonchalance pour lui faire la morale à la fin, bien fait. C'est dans ces moments que je sens que malgré mon goût prononcé pour les comédies romantiques et la mièvrerie savamment dosée, point trop n'en faut. C'EST CHIANT ! Carrie est ennuyante, TERRIBLEMENT, toutes ses scènes provoquaient en moi une avalanche de /facepalms, j'ai difficilement supporté ses longues interrogations sur le sens du mariage, l'importance du canapé et sa peur que son mari préfère sa télé à elle alors qu'elle est mariée à un mec qui n'a rien d'un beauf. Sérieux, je ne peux pas, je suis imperméable à ses jérémiades ! Je suppose que c'est pourtant le coeur de la série d'origine... Sigh.
En bref, si on avait pu retirer 45 minutes à ce film de 2h20, je l'aurais trouvé très divertissant. Samantha est excellente, Charlotte et Miranda ont du potentiel mais sont trop reléguées au second plan, Carrie mériterait de prendre leur place !
Sinon, c'était bien.
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sylfaen-blog · 15 years ago
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IRON BABY. Excellent.
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sylfaen-blog · 15 years ago
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Prince of Persia. Wait. WHAT ?!
Je suis allé voir Prince of Persia hier soir sans en attendre grand chose. Je savais bien que le scénario ne volerait pas bien haut et je me doutais que le film serait un bien piètre hommage à cette célèbre licence de jeux-vidéo.
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Toutefois, certains noms me donnaient l'espoir de belles et grandes scènes d'action qui porteraient le film au rang de bon divertissement. Jerry Bruckheimer en producteur déjà, gage de qualité pour moi qui ai apprécié les Pirates des Caraïbes et ses diverses productions des années 80-90 (on parle bien d'action, attention). David Belle à la chorégraphie ensuite. On peut ne pas aimer les Yamakasi, mais le Parkour qu'ils ont créé a toujours eu le mérite d'en mettre plein les mirettes.
Au final... Aucune surprise au niveau du scénario plat, convenu, prévisible. Les personnages n'ont pas plus de charme. Le beau Jake Gyllenhaal n'a guère que son sourire mignon dans les gros plans sur son visage pour le sauver tellement le personnage du Prince est sans saveur. La belle Gemma Arterton qui avait si bien commencé avec RoknRolla, Quantum of Solace et Good Morning England récupère un rôle aussi creux que sa pauvre Io dans le pathétique Choc des Titans. Quant à Ben Kingsley... Sérieusement... J'en arrive à ne plus le supporter, lui qui avait pourtant une vraie crédibilité, tant il tient le même rôle dans tous ses films dernièrement. Les autres, n'en parlons pas. Exception faite peut-être d'Alfred Molina que j'ai toujours apprécié depuis sa rapide apparition dans la jungle dans Les Aventuriers de l'arche perdue. Un rôle sur mesure ici.
Les références aux jeux ? Oh NOES ! Quelle horreur. Il y a un Prince, une Princesse, du sable et une dague. Hop. C'est tout ? Et bien non ! Les personnes qui ont commis ce film ont dû se dire que la licence Prince of Persia n'était pas assez forte donc ils sont allé piocher leurs références ailleurs. En effet, un nombre impressionnant de scènes de ce film pourraient être tout droit sorties de... Assassin's Creed. Vue sur le Prince en haut d'une tour sur une poutre, rotation à 360 degré avec une musique quasi identique à celle du jeu, suivie d'un saut de l'ange. Vue sur le Prince qui saute de poutres en poutres pour fuir des gardes dans des ruelles perses. Vue sur le Prince, encore poursuivi par des gardes, qui met sa capuche pour se mêler à la foule et semer ses poursuivants. Vue sur le prince qui saute d'un bâtiment pour tomber dans un tas de foin. Prince of Persia vous dites ? No plz. NO.
Et donc, pour couronner le tout... Les scènes d'actions oscillent entre le chiant et le ridicule. Les plans sont coupés, recoupés et recoupés encore. Aucune cohérence, aucune intensité, aucune crédibilité. Même pas moyen d'apprécier les quelques minuscules scènes de Parkour. Déprimant.
Quant à la fin... Je n'en parle pas mais je n'en pense pas moins.
Mon aventure à moi, ce sera d'oublier ce film.
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sylfaen-blog · 15 years ago
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Glee. From the top, guys !
On a tous nos petits kiff honteux... Non ? Je dois avouer que j'en ai beaucoup. Les comédies musicales en font partie. Plus les scènes musicales sont décalées, caricaturales et drôles, plus j'aime ça. De fait, j'ai adoré Roméo + Juliet, Moulin Rouge, Il était une fois, MAMMA MIA, le récent remake de Fame et même... Chhhht... la série des High School Musical... ARGH. C'est un peu ma part gay à moi. J'ai des étoiles dans les yeux quand je vois ces gens danser et chanter n'importe quand.
Ainsi, alors que je cherchais de nouvelles séries à suivre pour me consoler des séries en suspend et de celles qui se terminaient définitivement, je suis tombé sur ce petit OVNI : Glee.
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D'abord tout euphorique après avoir lu le synopsis, j'ai ensuite été assez sceptique. En effet, les premiers épisodes sont assez mous, l'histoire peine à se mettre en place et les personnages manquent de charisme. Les prestations musicales remontent heureusement le niveau.
Peu convaincu donc au premier regard, mais j'ai laissé sa chance à la série, on m'en disait tellement de bien que je ne pouvais pas faire autrement.
Et puis... Elle a réellement démarré. Les différentes histoires ont commencé à s'entremêler, les personnages ont développé leur énorme potentiel caricatural, les dialogues et la gestuelle ont commencé à m'arracher des éclats de rire, les musiques ont achevé les derniers restes de doute que je gardais en moi.
On a donc une série qui ne vole pas forcément très haut, les morales sont particulièrement entendues, les thèmes sont ultra déjà vus (grossesse au lycée, homosexualité, recherche de popularité... restent juste les relations entre les professeurs et le principal que je trouve assez originaux), mais tout ça est tenu par un casting efficace et des textes qui font mouche.
Résultat, je suis fan ! Et je conseille cette série à tous ceux qui aiment les chansons, les chorégraphies et les lycées américains ! 
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« OK ! Nice. From the top, guys ! »
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sylfaen-blog · 15 years ago
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« Just let it go », « Move on ».
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sylfaen-blog · 15 years ago
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LOST : The End (spoils)
Je m'attendais (et je la redoutais) à une fin pleine de réponses aux différentes questions non résolues mais j'ai été agréablement surpris de voir qu'ils ont été à contre courant des diverses spéculations.
L'histoire des survivants du vol 815 est terminée. Beaucoup sont morts, certains survivent et s'enfuient hors de l'île, deux y restent en tant que gardiens. Au cours de leur périple sur l'île ils ont découvert beaucoup de choses, ont été mêlé à une guerre dont ils n'étaient que des pions parmi des centaines d'autres, en ont été les spectateurs puis ils ont repris leur route.
L'histoire de l'île fait partie du décor de LOST mais ce n'est pas l'histoire de LOST. Avoir les détails n'a que peu d'importance, LOST est une série centrée autour d'un groupe de personnages, on sait donc ce que les personnages savent.
En parallèle à cette fin sur l'île, les flash-sideway dont on cherchait la nature tout au long de la saison 6 forment une excellente conclusion à la série. On aurait pu voir Hugo et Ben vieillir ensemble, Kate, Sawyer & co retourner sur la terre ferme et finir leur vie plus tranquillement mais à quoi bon ?
Christian Shepard dit à son fils Jack que l'étape la plus importante de leur vie était cette aventure sur l'île, tous ensemble. C'est d'ailleurs comme ça que commence la série avec la célèbre phrase de Jack : « Live together or die alone ». Citation prophétique d'ailleurs puisque c'est comme ça qu'il ont vécu, ensemble, et comme ça qu'il meurt une fois sa mission accomplie, seul.
Quelle meilleure fin alors pour ces personnages que de se retrouver tous ensemble dans une réalité alternative créée collectivement par leurs esprits respectif, un monde hors du temps et de l'espace, où ils ne se retrouvent qu'une fois qu'ils ont chacun mené à bien leurs vies respectives ?
On a donc des flash-sideway qui montrent progressivement leur éveil au sein de la réalité alternative, leurs retrouvailles (on aime ou pas les scènes larmoyantes, moi j'aime), et on conclue sur une avancée (et pas un départ), ensemble.
Certains restent dans cette réalité alternative, comme Ben, parce qu'ils ont, comme il le dit, encore des choses à régler ou bien qu'ils ne sont pas prêts (comme Ana-Lucia). On peut supposer qu'ils franchiront la porte plus tard, quand ils auront accepté leur nature et qu'ils seront prêts à avancer.
On quitte donc nos personnages sur une note à la frontière entre le religieux, le mystique et la philosophie, dans une église où se mêlent des éléments issus des différentes religions du monde. Peu importe où ils vont, donc, paradis, enfer, ailleurs. La seule chose à comprendre est qu'ils vont de l'avant, tous ensemble, après avoir accepté qui ils ont été et ce qu'ils ont vécu.
Il n'y a ainsi ni fin heureuse ni fin malheureuse. Certains personnages meurent sur l'île, d'autres vivent plus longtemps. Mais tous le monde meurt un jour, explique Christian. Et une fois tous morts, ils se retrouvent. Fin de qualité pour une série unique.
Je pensais ressentir un manque ou de la mélancolie à l'idée que la série se termine mais en fait non, tout se termine si parfaitement que je suis pleinement satisfait.
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