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Best Data Analytics Company in India – Powered by Precision and Insight
At Devant IT Solutions, we take pride in being recognized as the best data analytics company in India, offering tailored analytical solutions that empower organizations to harness the full potential of their data. Our expert team transforms raw data into actionable insights through advanced tools, AI integration, and machine learning models. Whether it's predictive analytics, data visualization, or real-time reporting, our solutions are designed to optimize operations and fuel data-driven decision-making across sectors such as education, healthcare, retail, and finance.
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DEVANT : Honest Review of My Last Company Experience
When I joined my previous company, I had a mix of excitement and optimism — the usual emotions that come with starting a new chapter in your professional life. But what followed over the next few months was a reality check that taught me a lot about workplace culture, employee treatment, and the value of clear communication.
⏰ Working Hours vs. Work-Life Balance
I was told the official working hours were from 10 AM to 7 PM. Fair enough — that's standard for most companies in india. But soon, it became clear that the expectations didn't end at 7. Subtle pressure started building around being available beyond working hours and even on weekends. It became evident that “work-life balance” was just a buzzword — not a value the company actually respected.
💸 Mandatory Certifications at Personal Expense
One of the most unreasonable policies I faced was the requirement to complete certification courses every three months — at our own cost. While upskilling is important, it’s generally understood that mandatory training should be sponsored by the company. Expecting employees, especially freshers, to bear this expense regularly is both unfair and financially burdensome.
💰 Salary Credit Date (and the Lack of Transparency)
Another surprise came after joining — the salary is credited on the 10th of every month. This might not sound like a big deal until you realize that this information was neither communicated during hiring nor mentioned in the offer letter. I found out only after asking around. Such a critical detail should never be hidden or left for employees to figure out later.
⚖️ Unfair Workload Distribution
One of the most demotivating aspects of the job was the way extra tasks were assigned. Anytime there was overflow work or last-minute requirements, I was expected to handle it — regardless of whether others had the bandwidth or not. What made it worse was knowing that those others were being paid more than I was, even though I was putting in more effort and taking on more responsibility.
📱 Forced Social Media Engagement
Another odd (and frankly unnecessary) practice was the forced engagement on company social media. We were expected to like and comment on posts, and it was actually being monitored. If someone didn’t engage, it was noted. This kind of micromanagement felt unprofessional and did little to boost morale.
🎯 Misunderstanding of Roles
The higher management doesn’t seem to understand the difference between digital and physical marketing. Asking the digital marketing team to telecall and generate leads without proper tools or training is not appropriate. While lead generation is part of digital marketing, it needs to be backed by a clear strategy and training — neither of which were provided.
📞 Poor Client Communication Structure
Client communication was another gray area. Instead of being handled by managers or team leads, the responsibility was often dumped on individual employees who were already juggling multiple tasks. This not only led to burnout but also affected the quality and consistency of client interactions.
📉 A Surprising Lack of Knowledge in Seniors
The final straw for me was the realization that many seniors — earning more and supposedly more experienced — lacked basic knowledge in the field, I often found myself helping them with fundamental tasks. As a fresher, it’s frustrating to feel more skilled but still undervalued and underpaid.
Final Thoughts
Every job teaches you something, and this one certainly did — mostly about what I don’t want in a workplace. Clear communication, fair compensation, respect for boundaries, and competent leadership aren’t too much to ask for. But if those things are missing, no title or brand name can make up for it.
I’m sharing this not out of bitterness, but as a reminder to anyone out there to ask the right questions during interviews, clarify expectations, and stand up for what you deserve. Because no job is worth your peace of mind.Devant IT Solutions experience

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Devant
At Devant, we measure our success by your success. We are dedicated to empowering businesses with innovative, reliable, and efficient solutions that drive tangible results. Whether you're enhancing your digital presence or securing your IT infrastructure, Devant is committed to helping you thrive in an ever-evolving digital world.

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13 : s'adonner à leur passe-temps favori

Lorenz observe son ancêtre, le Brave de la Terre Mettius Gloucester Paenitens dit les Mains Fertiles, exercer son métier : potier.
Nouveau jour, nouvelle paire d'ancêtre et de descendant avec Lorenz qui rencontre son ancêtre Paenitens, qui n'est pas pas exactement comme il l'imaginait.
Paenitens est un homme très calme, très silencieux et consciencieux qui aime par dessus tout travailler tranquillement seul dans son atelier sans qu'on vienne le déranger, tout en étant très fier de son travail qui est également sa passion (sa relation avec sa sorcellerie a une base... compliquée). Il n'y a pas grand-chose qu'il déteste plus que quelqu'un qui viendrait le voir en lui demandant "mais pourquoi tu n'utilises pas tes pouvoirs pour faire tes pots plus vite et plus ?" car, il considère que c'est bâclé le travail et que ces céramiques faites sans efforts n'ont aucune valeur. S'il vous refile une céramique fait comme ça, c'est qu'il veut vous voir dégager de son atelier, s'il ne vous a pas déjà fait dégager en déplaçant la terre sous vos pieds. Il peut être gentil et il aide son village sans souci en rendant les terres plus fertiles mais, il est juste pas très sociable et aime sa tranquillité, même si sa langue se délie assez facilement pour parler métier et technique. C'est ce qui lui a permis de se lier d'amitié avec Indech (il est l'un des deux seuls Braves à avoir rencontré un nabatéen avant la guerre dans ma fanon), ils pouvaient passer beaucoup de temps à travailler ensemble et ils ont fini par devenir amis avec le temps.
Alors, je vous laisse imaginer le contraste décapant avec Lorenz quand ils se rencontrent !
Si de visage (pour la moitié de visage qui reste à Paenitens), ils se ressemblent beaucoup tous les deux, Lorenz est aussi flamboyant, fanfaron et très fier de son rang que Paenitens discret, taiseux et modeste. Il est également très étonné de sa relative pauvreté : les légendes autour de Gloucester ont gardé le fait qu'il soit potier de base, il est même reconnu pour ça et être un excellent peintre, même si c'est assez peu évoqué pour surtout se concentrer sur sa sorcellerie qui a rendu les sols de Gloucester extrêmement fertiles, et Lorenz s'imaginait plus quelqu'un ayant un atelier avec plusieurs petites mains, et lui ne s'occuperait que de la peinture des pièces les plus prestigieuse. Alors se retrouver avec un homme habillé très simplement qui fait tout lui-même dans son coin et qu'il n'a pas d'employé à part une aide chez lui, et qui se définit lui-même comme étant d'abord un potier, un membre de son peuple puis un sorcier... voilà quoi, d'un côté, il est extrêmement fier d'avoir un ancêtre aussi talentueux mais de l'autre, il ne s'attendait clairement pas à ça.
Autre point qui l'étonne, c'est son handicap très lourd. Paenitens boite vraiment, même avec sa canne (qu'il a fait tenir à Lorenz pour éviter qu'elle ne tombe tout le temps), marche difficilement, et a beaucoup de mal à utiliser le côté droit de son corps, qu'il cache constamment sous ses très longs cheveux de sorciers (la coiffure de Lorenz après l'ellipse viendrait également des représentations de son ancêtre qu'il imite).
En fait, ce qui a rendu infirme Paenitens - Ultor à ce moment-là, littéralement "le vengeur" -, c'est qu'il n'a pas suivi les règles de la sorcellerie dont la règle fondamentale est que le sorcier doit toujours payé le prix de sa sorcellerie lui-même, règle qu'il n'a pas suivi lorsqu'un jour, ivre de colère et de vengeance contre "la créature de feu" et trouvant qu'il ne progressait pas assez vite, il a tenté d'utiliser une petite partie de l'énergie vitale d'un animal pour se renforcer lui-même. Dès qu'il a essayé, sa sorcellerie s'est complètement retourné contre lui et au lieu d'ajouter une fierté, elle s'est mise à dévorer son côté droit. Si Kelon (l'ancêtre de Claude, d'une cité voisine, même si c'est deux peuples différents) ne l'avait pas senti et arrivé aussi vite grâce à ses ailes, Paenitens serait mort à cause de sa transgression. En punition, tout son côté droit est à découvert avec quelques morceaux de muscle qui reste mais, c'est surtout un squelette de métal (qui vient d'une fierté pour le coup, ça a renforcé son corps) qui n'a plus beaucoup de force, d'où le fait qu'il est beaucoup de mal à se mouvoir et a besoin d'aide dans sa vie quotidienne (c'est vieux mais, il ressemble au dernier dessin dessin sous la coupe - attention, horreur corporel -). La sorcellerie, c'est dangereux, il faut respecter les règles sinon, elle ne vous ratera pas, ce qu'il a appris à ses dépends.
Il ne vivait que pour sa vengeance à ce moment-là, il voulait se venger de la "créature de feu" qui avait chassé son peuple de sa ville (même s'il oublie assez vite que si elle a fait ça, c'est parce que son peuple a lui a capturé et asservi tous les hommes de son peuple à elle en son absence - car ils ne l'avaient pas écouté mais ça, c'est une histoire pour plus tard - et qu'elle ne les a pas asservis, elle les a "juste" chassés étant donné qu'une fois vaincu après un coup pareil et vu qu'ils cherchent à s'installer, on met à mort les têtes pensantes et on réduit en esclavage tous les autres afin d'avoir de la main d'oeuvre docile, et au lieu de leur voler tout ce qu'ils avaient, elle les a laissés partir avec une grosse partie de leur bétail et de la nourriture pour éviter qu'ils meurent de faim et grand mécontentement de son propre peuple à elle, elle a pris un sacré risque et a surement dû imposer sa décision aux siens au lieu de la voter) et reprendre ses terres mais là, d'un, il se retrouve lourdement handicapé en pouvant à peine marcher correctement, de deux, ses pouvoirs vont nettement moins bien se développer qu'ils ne le devraient après une telle transgression, et pour finir, Kelon lui dit clairement qu'il ne pourra jamais vaincre sa "créature de feu", elle le fera juste fondre avant et elle est bien trop forte pour lui, tout en lui expliquant que dans sa cité, normalement, quand on s'installe quelque part, s'il y a déjà un autre peuple qui habite-là, on le réduit en esclavage une fois vaincu mais, pas l'esclavage antique classique où vous avez un espoir de vous faire libérer, non, là, y a quasi aucun espoir d'être affranchi un jour, on leur inculque bien qu'ils sont inférieurs et juste des serviteurs avec tout un tas de mesure humiliantes et coercitives et pour faire taire ceux qui se plaignent trop fort ou qui ont un caractère trop fort, il y a la cryptie à la fin de l'agoge (entrainement des enfants de citoyens) des meilleurs élèves, où ils doivent tuer des hilotes sans se faire prendre.
Kelon connait très bien cette "créature de feu" alors, il sait qu'elle est contre l'esclavage et encore plus qu'on traite les hilotes de cette manière et que dans la situation où ils étaient tous, ça devait la meilleure des solutions : les chasser en les laissant en vie avec de quoi survivre pendant un moment, et en empêchant les hommes de sa cité ne les poursuivre pour les asservir. On est chez des grecs pour ces deux-là, c'est très dur d'imaginer qu'on puisse avoir des relations d'égal à égal (c'est quand même eux qui ont inventé le concept d'hégémon qui domine tous les autres et est au sommet tout en profitant bien au passage) alors que deux peuples aussi différents puissent se mélanger, même si Kelon et "la créature" peuvent y penser en se disant "on peut peut-être cohabiter sans s'entretuer tout le temps, même si c'est très difficile" sans que l'un puisse asservir l'autre ou l'écraser, c'est quasi impossible pour leurs contemporains, les cités grecques se battaient entre elles pour des arbres coupés au mauvais endroit quand même.
Même eux, on leur dit que dans le futur, des peuples très différents à leur époque vont se retrouver dans le même pays et que leur continent va être divisé en trois territoires dirigés par de grandes familles de manière héréditaire, ce serait limite lunaire (moins pour elle mais quand même, elle trouverait ça profondément stupide de laisser autant de pouvoir à un seul roi sans un deuxième pour qu'ils s'entretuent tous les deux pour avoir la primauté sur l'autre, et sans les éphores pour les réguler et les calmer quand ils font n'importe quoi, et beaucoup plus pour Kelon qui vit dans une démocratie), surtout que les grecs sont très jaloux de leur indépendance. C'est même assez général cette manière de pensée que "on peut se supporter de loin mais, faire des alliances entre peuples très différents les uns des autres, on va pas pousser, on se connait tous assez peu et on est en concurrence pour le territoire, sauf peut-être des alliances militaires pour dégager un voisin un peu trop agressif et encore, c'est vraiment de circonstance et ça ne dure pas" alors, ça ne vient pas tout seul l'idée de cohabitation entre deux peuples, encore plus entre un qui est de culture grec / spartiate et un de culture bien plus celte et gauloise pour celui de Paenitens (c'est par exemple le cas pour Simplex, Pertinax et Laeta, respectivement ancêtre des Blaiddyd, Fraldarius et Dominic qui sont extrêmement proches, ils ont passé des années comme conservi, des compagnons d'esclavage, ont survécu à la servitude ensemble, sont devenus des sorciers ensembles et même mené une révolution qui abolira l'esclavage dans le peuple de Simplex ensemble mais, ils ne se diront jamais "amis" de leur vie jusqu'à la veille de leur mort car, ils savent qu'il y a toujours un risque que leurs peuples entrent en guerre les uns contre les autres et qu'ils ne veulent pas les trahir, même si ça les déchirerait de s'affronter les uns les autres). Ce qui maintient un semblant de paix entre les cités, c'est souvent qu'il y a des sorciers dans l'une des deux et pas dans l'autre, ce qui impose rapidement un rapport de force et qu'en général, les sorciers sont assez sages pour éviter d'utiliser leurs pouvoirs à la guerre histoire de ne pas faire trop de dégâts, même si c'est un équilibre fragile, et quand Némésis passe, puis les adrestiens passent en interdisant la sorcellerie en les pensant complices de Némésis et des agarthans (et tombant dans le piège de ces derniers au passage visant à brûler tout ce qui les a remplacé à la surface, que ce soit les créations de Sothis ou ses "enfants adoptifs"), ça rabat toutes les cartes avec des peuples qui profitent que le sorcier d'à côté meurt à force de ne pas pouvoir s'entrainer pour venir les terres du voisin plus petits et crée un chaos monumental. Enfin bref, revenons à l'histoire de Paenitens quand Kelon lui explique qu'il ne pourra sans doute jamais vaincre son ennemie et que lui-même se rend compte qu'il ne pourra surement pas faire le voyage.
En plus de tout ça, c'est sans compter qu'il va bientôt avoir une nouvelle arrivante dans leur coin : Daphnel, Brave des Vents surnommée par son peuple (d'origine duscurienne, là où Kelon arrive d'Almyra et est de culture grec pour un équivalent dans notre monde, et celui de Paenitens est descendu de Sreng en quête de meilleures terres et poussé par d'autre peuple, et il est d'inspiration gauloise... oui, ça va être compliqué pour s'entendre, surtout qu'aucun des peuples des trois ne parlent la même langue ou une langue proche pour ne pas arranger les choses) "la Bourrasque enragée" quand elle le retrouvera à cause de son tempérament de feu et plutôt sanguin, également bien remontée contre le peuple de Paenitens après que ce dernier ait souvent attaqué son peuple à elle pour capturer des gens et les réduire en esclavage, elle compris, ce qui a poussé son peuple à quitter leurs terres pour arriver sur les futurs terres de Daphnel - et en ayant plus beaucoup de nourriture à emporter vu qu'ils se faisaient piller tout le temps -, et elle adore cette "créature de feu" qui la libérer de sa cage d'esclave et élevée donc, elle ne le laissera pas trop s'approcher ou passer par ses terres. Comment dire qu'au début et pendant un bon moment, c'est compliqué.
Quand ils se rencontrent ces deux-là et qu'ils finissent par apprendre comme ils peuvent la langue de l'autre pour se comprendre un minimum (même si c'est surtout Paenitens qui doit se mettre au grec vu que c'est la langue maternelle de Kelon et que Daphnel le parle couramment aussi, même si c'est un dialecte différent du sien), elle ne lui fera aucun cadeau, encore plus en voyant bien qu'il a utilisé de la magie interdite, et lui mettra bien la tête au fond du plat pour lui rappeler que ouais, niveau esclavagisme et traitement des esclaves, ils étaient particulièrement horribles, même pour l'époque, et les traitaient aussi comme des animaux, ce qui a poussé son peuple à elle à se barrer à force d'être harcelé et pillé, et sa "créature de feu" a eu des problèmes quand elle les a laissé filer ainsi avec de la nourriture vu que normalement, les vivres, tu les gardes jalousement pour toi, et parce que les siens ont trouvé qu'elle s'était comportée en tyran pour avoir décidé pour tout le monde sans consulter personne. Sous le règne du peuple de Paenitens, Daphnel a quand même fini elle-même dans une cage sans nourriture pendant des jours car elle se débattait trop et qu'elle aurait surement fini tuer à cause de ses tentatives de fuite, tant pis si on gaspille la marchandise, on en récupérera toujours d'autres chez les voisins ! Ils ont surtout goutté à leur propre médecine ce jour-là (en légèrement moins pire vu qu'elle les a laissés partir avec une partie de leur réserve), et étrangement, quand on se retrouve de l'autre côté de la barrière, c'est nettement moins confortable. Pour Daphnel, même si elle est d'accord sur le fait que ce soit horrible de se faire chasser de sa maison ainsi - son propre peuple a subi la même chose quand même alors, elle sait à quel point c'est horrible -, au final, ils n'ont fait que subir ce qu'ils ont fait subir aux autres, et c'est pas elle qui va les plaindre pour s'être pris les conséquences de leurs actes en pleine figure, et ils ont évité le pire vu qu'ils auraient pu être tous asservis jusqu'au dernier pour devenir des hilotes.
Alors, après un long moment à réfléchir alors qu'il panse ses blessures et tout ça, même si c'est dur car c'est à quoi il a consacré sa vie pendant tout ce temps, il décide de laisser tomber sa vengeance et de se concentrer sur son peuple. Il se rend compte qu'il a oublié le plus important à cause d'elle et que cela lui a fait faire quelque chose d'atroce car, il ne pensait qu'à ça tout en négligeant son peuple alors qu'il avait besoin de lui, surtout que ses pouvoirs sont bien plus utiles pour aider les autres que pour faire couler encore plus de sang. Il en voudra toujours à cette "créature de feu" et même s'il ne la recroisera jamais de sa vie, ce serait extrêmement tendu s'il la recroise et il la haïra jusqu'à sa mort mais, vu son état et ce que sa soif de vengeance l'a déjà poussé à faire, il préfère se reconcentrer sur son peuple et prend le nom de Paenitens, "qui regrette, qui se repent", pour essayer de réparer toutes ses erreurs, notamment tout ce qui l'a mené à sa transgression.
Il reprend donc son métier de base et devient potier. Il ne s'arrêtera jamais de s'entrainer, autant parce que le jour où il s'arrête, ça le tuera car il a trop de magie en lui pour s'arrêter, mais aussi car il se rend bien compte que sa magie peut aider son peuple. Paenitens maitrise la terre, il fait donc tout ce qu'il peut pour rendre leurs terres les plus fertiles possibles pour qu'ils aient tous ce dont ils ont besoin, et n'ait pas besoin d'avoir recours à de la main d'oeuvre servile en attaquant les voisins. Il se met aussi à voter constamment pour éviter la guerre afin de ne pas recommencer le cycle de violence, surtout qu'avec autant de sorciers puissants, ils risqueraient de transformer leurs terres en enfer à ciel ouvert s'ils s'affrontaient, surtout que même s'il a à peu près le même âge que Daphnel, Kelon est bien plus âgé et pourrait sans trop de problème les vaincre s'il donnait tout ce qu'il avait, même s'il ne veut surtout pas en arriver là. Il a une relation très tendue avec sa propre magie, il est quand même devenu sorcier à la base pour se venger, et la moitié droite de son corps lui rappelle sans cesse ce qu'il a osé faire pour ça mais, il arrive petit à petit à mieux l'accepter quand sa magie devient une source d'aide pour les siens plus qu'un outil de mort et de vengeance.
Au moment de sa vie où il en est dans ce dessin où il rencontre Lorenz, plus de trois cents ans se sont écoulé depuis ses évènements et il s'est bien calmé. Il a fini par accepter sa magie et l'utilise toujours pour fertiliser les champs de son peuple (bénédiction toujours présente dans le présent) mais aussi un peu pour s'aider au quotidien avec son handicap. Les relations avec ses voisins sorciers vont un peu mieux, même s'il ne le montre pas trop étant donné qu'on ne sait jamais ce qui peut arriver entre trois cités aussi différentes et que l'ombre d'une possible guerre plane toujours. Il s'est même fait un ami d'un voyageur un peu étrange qui parcourait ce qu'il appelait "Fodlan" pour étudier les techniques artisanales des différents peuples qu'ils croisent, et qui était très intéressé par la sorcellerie, un certain Indech, un gentil artisan très timide et préférant la solitude de son atelier à la foule, comme Paenitens. Ils vont devenir très amis avec le temps, et jusqu'à la fin, Paenitens s'en fera beaucoup pour lui, surtout après que Némésis l'ait vaincu et forcé à boire du sang de la même couleur que celui d'Indech, ayant très peur que ce soit celui de son ami, avant de le retrouver bien plus tard mais malheureusement pour eux, ce sera sur le champ de bataille mais ça, c'est pour plus tard. Là, il peint tranquillement ses pots avec Lorenz qui est d'abord très étonné par sa personnalité et sa manière d'être, puis apprendra à respecter son ancêtre pour qui il est et son talent, même si ça ne correspond pas forcément à l'idée qu'il s'en faisait à la base.
Comme toujours, un point sur le dessin en lui-même :
Pour les motifs des pots de Paenitens, je me suis basé sur cet article et je m'en étais pas rendu compte à la base mais, c'est un article de Robert Périchon qui parle des céramiques du Crêt Chatelard. Alors, Robert Périchon, ça commence à dater mais, c'est solide en général pour tout ce qui est matériel pur, et vous avez une autre raison de passer dans la Loire : voir Crêt Chatelard et ses fouilles gauloises ! C'est incroyable tout ce que les dianistes ont sorti là-bas ! (et aller à la Diana de Montbrison, c'est très intéressant aussi !) Donc, ça tombait bien !
Pour la coupe de ses vêtements, je me suis inspirée des reconstitutions du Parc Samara comme très souvent. J'ai juste débarrasser Paenitens de tout bijou, motif un peu tape à l'oeil, ornement... pour le rendre plus austère, ce qui colle à sa pénitence, il pense qu'il n'a pas à porter des bijoux aussi voyant, et à sa personnalité plus discrète, tout en le mettant en opposition avec Lorenz qui aime tout ce qui est très vif et soigne beaucoup son apparence.
Je l'ai tourné du côté gauche afin qu'on puisse voir son expression (son côté droit est constamment caché par ses cheveux, il ne le montre que pour mettre en garde les gens), ainsi que ses fiertés : sa peau est assez meubles, un peu comme de l'argile, même si elle craquèle à plusieurs endroits à cause des retombés de sa transgression. Même si c'est surtout son côté droit qui est tombé en lambeau, son côté gauche aurait dû subir le même sort si Kelon n'était pas arrivé à temps.
Enfin, ça ne se voie pas beaucoup mais, sa main droite est entouré dans des bandages afin de cacher qu'il n'a plus qu'un squelette de métal (qu'on peut voir dépassé sur son cou et une partie de son nez) et quelques ligaments pour tenir tout ça. Il peut aussi entourer sa main d'une gangue de terre pour mieux cacher ça et pouvoir mieux utiliser sa main droite mais, il le fait rarement, autant pour de nouveau respecter sa punition, mais aussi parce que ça l'épuise.
#fe3h oc drawcember#fe3h oc#dessin de curieuse#écriture de curieuse#j'espère que ça vous plait surtout !#c'est l'histoire de Brave dont je suis le moins sûre mais j'espère que l'équilibre est respect��...#si vraiment cette histoire là est trop mauvaise ou enlaidit trop les personnages je la changerai#si la plupart des Braves ne se connaissent pas - encore moins tous - ceux qui se connaissent n'ont pas forcément de bonnes relations#le trio de Faerghus s'entend très bien avec Loquax qui est plus à part mais est pacifique alors ça passe...#mais pour Leicester c'est une toute autre histoire et les passifs entre les peuples peuvent être très lourds#il y a de ça à Faerghus même si ça calme mais côté Leicester s'est bien plus vif#et t'as aussi les limitations de l'époque où on peut penser qu'on se supportera les uns les autres surtout en cas de pépin pour tous...#mais finir dans le même pays uni voir pire avec un roi unique... c'est limite le pire des scénarios vu qu'ils perdraient leur indépendance#ce qui est extrêmement important pour eux évidemment surtout vu les différences entre eux#(ils rencontre El dans le présent qui leur dit que c'est SON peuple à ELLE elle va juste se faire attaquer car juste...#...non ! On est indépendant nous ! On a rien à demander à une famille impérial qu'on ne connait même pas !)#Pyrkaïa a pris un gros risque en les laissant partir ainsi vu qu'eux aussi auraient bien pris cette nourriture...#et normalement on ne prend pas une décision seul chez elle- on vote toujours en groupe- seuls les tyrans décident seuls#mais entre ce qu'elle considère les urgences pour son propre peuple et la situation avec ce qu'elle deviendra des hilotes s'ils restent#c'était pas la mieux mais la moins pire des solutions pour tout le monde même si elle déteste ce qu'elle a dû faire#c'est clairement pas une bonne solution mais elle a fait ce qu'elle a pu tout en devant passer en force#et même si les spartiates sont un peuple assez agressif ils vont réussir à se calmer avec elle qui veille au grain et les circonstances#(histoire de ne pas finir comme le peuple d'avant aussi)#Paenitens a évidemment du mal à l'avaler mais il finit par comprendre même s'il la haït toujours#ce serait des relations très compliqué entre eux... même si ironiquement les deux connaissent des nabatéens et s'entendent bien avec eux#et qu'ils aimeraient bien pouvoir s'y rendre un jour... ce serait explosif#Pyrkaïa a même sans doute déjà entendu parler de Paenitens par son mari qui le tient d'Indech#Daphnel a un tempérament très vif mais elle est là pour les têtes dans le plat magistral et pour le coup Paenitens en avait besoin#et de son côté Kelon espère qu'un jour tout le monde s'entendra en pouvant garder ses spécificité#comme il le dit ils sont sorciers c'est les seuls qui savent ce que vivent les uns les autres pendant des siècles
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Une patrouille de police découvre un cadavre devant un lycée, à 3 heures du matin. Le chef commence à écrire son rapport. Puis il demande à ses hommes : - Quelqu'un sait comment on écrit "lycée" ? Personne ne sait. Alors le chef trouve une solution : - Bon, alors on va le traîner jusque devant l'école primaire !
#Une patrouille de police découvre un cadavre devant un lycée#- Quelqu'un sait comment on écrit “lycée” ?#Personne ne sait. Alors le chef trouve une solution :#- Bon#alors on va le traîner jusque devant l'école primaire !
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Titre : Le Match de sa Vie

Chapitre 1 : Le rêve d’un jeune prodige
Léo, 17 ans, était un jeune prodige du football. Repéré dès l’âge de 12 ans par un centre de formation prestigieux, il avait tout pour réussir : technique, vision du jeu et une détermination sans faille. Pourtant, un obstacle inattendu menaçait son rêve : le stress des grands matchs.
À chaque fois qu’il se préparait à entrer sur le terrain pour un match important, Léo ressentait une boule au ventre. Peu importe les encouragements de ses coéquipiers ou les conseils de son coach, le trac prenait toujours le dessus. Un jour, à son plus grand embarras, son corps céda sous la pression : le stress le rendit incontinent.
Chapitre 2 : Le poids du secret
Léo était dévasté. Il n’osait en parler à personne, pas même à ses parents. Il se réfugia dans le silence, trouvant des excuses pour éviter de jouer les matchs. Ses entraîneurs commencèrent à douter de son engagement, et certains coéquipiers murmurèrent qu’il manquait de courage. Mais la vérité était bien plus complexe.
Chaque fois qu’un match approchait, l’idée de répéter cet incident l’angoissait encore plus, créant un cercle vicieux.

Chapitre 3 : La rencontre qui change tout
Un jour, alors qu’il ne supportait plus cette situation, Léo prit son courage à deux mains et consulta un médecin spécialisé en gestion du stress. Lors de la consultation, il expliqua, non sans difficulté, ses problèmes.
Le médecin, compréhensif, lui posa des questions sur ses émotions et sur la manière dont son corps réagissait au stress. Après un long échange, il lui proposa une double solution : suivre une thérapie pour apprendre à mieux gérer son stress et, à court terme, envisager une solution pratique et discrète : porter des couches pour adulte lors des matchs.
Au départ, Léo était réticent. Il trouvait cela humiliant. Mais le médecin lui expliqua que ce n’était qu’un outil temporaire, une aide pour lui permettre de surmonter sa peur et de se concentrer sur son jeu.

Chapitre 4 : Reprendre confiance
Lors de son premier match avec cette solution, Léo était nerveux. Il craignait que ses coéquipiers ou les adversaires s’en aperçoivent. Mais en entrant sur le terrain, il remarqua quelque chose de différent : il n’avait plus cette peur paralysante. Pour la première fois depuis des mois, il joua comme il le faisait à l’entraînement.
Son coach, impressionné, le félicita à la fin du match. Personne ne connaissait son secret, et Léo commençait à retrouver le plaisir de jouer.
Chapitre 5 : La victoire intérieure
Au fil des mois, avec l’aide de son thérapeute, Léo apprit à mieux gérer son stress grâce à des techniques de respiration, de visualisation et de méditation. Il finit par ne plus avoir besoin des couches, mais il se souvint toujours de ce pas important qu’il avait osé franchir.
Un an plus tard, il disputa un match décisif pour son équipe. Devant des milliers de spectateurs, il inscrivit le but de la victoire. Ce jour-là, Léo ne remporta pas seulement un match : il triompha de ses peurs et prouva que les obstacles, aussi inhabituels soient-ils, peuvent être surmontés avec du courage et du soutien.
Épilogue
Léo devint un exemple pour de nombreux jeunes, prouvant que la force mentale et l’acceptation de soi étaient tout aussi importantes que le talent. Ses débuts marqués par des défis atypiques le rendirent encore plus admiré dans le monde du football.
Les couches te donnent de l assurance? Assume !
… tu en veux encore ? Commente ce billet !
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Printemps 1937, Hylewood, Canada (16/27)
J’avais passé les deux heures précédentes à mon bureau, à essayer de déchiffrer la mystérieuse lettre que m’avais confiée Agathon. J’étais resté dubitatif devant cette lettre sans queue ni tête pendant au moins vingt minutes. Son signataire, « Luis », paraissait clairement identifiable. Son sujet, lui, beaucoup moins… Je relus les quelques lignes avec grand soin, me demandant si l’intuition d'Agathon quant au fait qu’elles recelaient quelques messages cachés n’était pas erronée. Personnellement, ce que m’évoquait cette lettre et le prénom signataire, c’est qu’elle avait été écrite par quelqu’un qui ne parlait pas très bien le français et qui peinait à s’exprimer. Il y avait bien des histoires de navires et de cargaisons, ce qui semblait corroborer l’histoire de cocaïne que m’avait partagée Agathon, mais cette histoire de cargaison noire pâle la faisait tomber à l’eau. Une autre inversion « j’espère […] que rien ou tout », me perturbait. Normalement, on écrit « tout ou rien »…
J’eus soudain une idée : peut-être fallait-il changer tous les mots de la lettre par ses antonymes ? Le cœur battant, je m’attelais à la première phrase. « Je désespère faussement mal que tout ou rien s’éloigne de l’ouest »…. Ou alors, il fallait garder le « en », et prendre la direction opposée à l’ouest - donc l’est ? Ce premier travail ne semblant me mener nulle part, je déchirai la page de mon calepin d’un geste rageur, la roulai en boule et la lançai dans ma corbeille.
Certains morceaux de la lettre me semblaient avoir un sens. J’observais des références religieuses, des prières… Ces affaires de « fric qui brûle » avaient des connotations menaçantes. Plus je relisais, plus je me disais qu’Agathon avait raison et que ces mots recelaient certainement une signification convenue, que Lorita, qui avait certainement la clé nécessaire pour la déchiffrer, aurait su comprendre. Mon esprit s’attarda sur elle un instant. C’était curieux de se dire que cette femme qui avait si discrètement partagé notre quotidien depuis sept ans était morte aujourd’hui… J’avais d’ailleurs du mal à me réconcilier avec l’idée que la douce et gentille Lorita était la même personne que celle qui recevait des messages codés et donnait de la cocaïne à ma petite sœur.
Je secouai la tête, interrompant mes pensées, et frappa mes joues du plat de mes mains. La nuit avançait, moi non. Il fallait que je me reconcentre. La solution devait bien être quelque part…
Un souvenir de pensionnat me revint. Lawrence, le plus ingénieux d’entre nous, avait mis au point un système pour nous permettre de communiquer de façon à ce que si jamais nos correspondances étaient interceptées, que ce soit par un professeur ou un de nos camarades, elles paraissent d’une banalité sans nom. Nous nous transmettions des feuilles trouées qu’il fallait ensuite superposer au message. Transparaissaient des mots qui, mis bouts à bouts, révélaient le véritable sens de nos communications.
Je me levai, fis quelques moulinets avec mes bras pour étirer mes articulations engourdies, puis je partis à la recherche de ma femme. Si Lorita avait employé un procédé similaire, peut-être que dans cette fameuse boîte à chaussure se trouvait la clé de lecture… Une feuille trouée, ça n’aurait pas attiré l’attention.
Irène se trouvait toujours dans la nurserie, où elle s’était assoupie sur la chaise à bascule. Je n’eus pas le cœur à la déranger et je me contentai de la recouvrir d’un plaid pour qu’elle n’attrapât pas froid. Ce simple geste l’éveilla à moitié. Je m’excusai de l’avoir tirée de son sommeil et m’apprêtai à repartir, mais comme elle insistait, je finis par lui expliquer la raison de ma venue. Je lui demandai si, dans la boîte à chaussure d’où elle avait exhumé cette lettre, elle avait trouvé quoi que ce soit qui ressemble à une feuille percée. Irène s’était redressée et m’avait écouté avec attention, mais quand je lui formulai ma question, elle se contenta de secouer la tête. Non, elle n’avait rien trouvé de la sorte. La boîte ne contenait que la lettre, quelques boutons, une aiguille à coudre, un mouchoir - blanc uni et sans trous - plié, ainsi que ses économies. Si un tel document avait existé, Lorita s’en était certainement débarrassée après avoir pris connaissance du contenu de la lettre. Dépité (mais sans avoir oublié de déposer un baiser sur la tête de ma femme), je retournai à l’étage et m’avachis lourdement à mon bureau. Je repris la lettre et m’attelais de nouveau à la tâche.
Un mot avait attiré mon attention. « Jacari ». Un rapide coup d’œil à mon dictionnaire suffit à m’apprendre qu’il s’agissait d’un oiseau d’Amérique du sud. Et cette expression, « rien ou tout », me travaillait encore. J’essayai de lire la lettre à l’envers. « Serment tantôt prête et sainte sois Mère que »…. Cela ne m’avançait pas beaucoup davantage. En relisant la lettre, je remarquai un certain nombre de fautes d’orthographe ou de grammaire. « Il ne veux », « se raisin », « en rappelle », « dit fois », « pointe le doit », « ventes au détails »… D’ailleurs, en y pensant, cette lettre comportait beaucoup de subordonnées séparées par des « et » et non pas des virgules, comme cela aurait été naturel de le faire. Beaucoup d’emphases, marquée par des adverbes : « vraiment bien », « solidement terne », « mollement mais bien ». Souvent deux verbes : « il ne peut et veux », « tu perds tu joues », « qui pique et manque ». J’eus une nouvelle idée. J’essayai de supprimer un mot sur deux. « J’espère bien tout en est pas si ordre terne cette ton est en »… Non, cela ne voulait rien dire. Deux mots sur trois… « J’espère que tout est en ordre… ». Je sursautais. Relisais la phrase. « J'espère que tout est en ordre de ton côté ». Cela voulait dire quelque chose ! Je repris mon calepin et entrepris de reporter un mot sur trois.
« J'espère que tout est en ordre de ton côté. La dernière cargaison est bien arrivée, mais il manque du fric. Je ne veux pas croire que tu joues double jeu. Remets la main sur ce qui manque et fais en sorte que ça ne se reproduise plus.
Je te rappelle que ce que tu fais pour moi te protège. Sans moi, t’as rien. Reste discrète et fais ce qu’on te dit. Si quelqu’un te pose des questions, tu ne sais rien.
Une nouvelle livraison doit arriver bientôt. Je t’enverrai les détails. Sois prête.
Luis »
Je l’avais ! Deux heures s’étaient écoulées. Je me sentais extrêmement fier de moi. Je n’avais plus qu’à montrer cela à Agathon.
[Transcription] Lucien LeBris : « J’espère bien tout en est pas si ordre terne cette ton est en »… Ça ne veut rien dire du tout. Lucien LeBris : « J’espère que tout est en ordre »… Oh !! Lucien LeBris : « La dernière cargaison est bien arrivée, mais il manque du fric. Je ne veux pas croire que tu joues double jeu. Remets la main sur ce qui manque et fais en sorte que ça ne se reproduise plus. » Ça marche !! [A FEW MOMENTS LATER] Agathon LeBris : Tu ne devineras jamais ce que je viens de trouver. Lucien LeBris : Je suppose que ça a un rapport avec les cris de terreur que j’entends la pauvre Sonia pousser depuis tout à l’heure. Agathon LeBris : Euh… Oui. Lucien LeBris : Tu as conscience qu’Irène risque de m’assassiner à cause de toi ? Agathon LeBris : C’est un risque que je suis prêt à prendre. Tu as réussi à décoder le message ? Lucien LeBris : Osti j’ai eu de la misère à la déchiffrer, ta lettre, mais je crois que je tiens quelque chose. Tu m’en dois une. Agathon LeBris : Mais oui, c’est ça. Alors ? Lucien LeBris : Alors Lorita cachait bien son jeu. Lis ça.
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L’inépuisable imbécilité des trouveurs de solutions ! 🤡
Si la solution est foireuse, c’est que le problème n’a pas été (correctement) posé.
La manière de poser un problème fait toujours partie intégrante du problème, c’est ça le problème (de pro-bollein="jeter devant soi"…)
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Devant
Devant offers vital technology services aimed at improving operational efficiency and security. They design, implement, and manage IT infrastructures that support a business’s growth and innovation. Their services often include network management, cloud computing, software solutions, and cybersecurity measures. By handling the complexities of technology, they allow businesses to focus on their strategic goals while ensuring their systems are secure, reliable, and adaptable to future changes.
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Les mots que nous prononçons ont un sens, une valeur et un poids, et beaucoup ignorent l'effet qu'ils peuvent avoir sur les autres. Soyez gentil avec ceux qui sont devant vous et rappelez-vous que parfois le silence est la meilleure solution.
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Une patrouille de police découvre un cadavre devant un lycée, à 3 heures du matin. Le chef commence à écrire son rapport. Puis il demande à ses hommes : - Quelqu'un sait comment on écrit "lycée" ? Personne ne sait. Alors le chef trouve une solution : - Bon, alors on va le traîner jusque devant l'école primaire !
#Une patrouille de police découvre un cadavre devant un lycée#- Quelqu'un sait comment on écrit “lycée” ?#Personne ne sait. Alors le chef trouve une solution :#- Bon#alors on va le traîner jusque devant l'école primaire !
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