#Guèze
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zehub · 1 year ago
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Sébastien Guèze, le ténor qui se bat pour verdir l'opéra
Le chanteur à la carrière internationale exhorte artistes et maisons lyriques à se mobiliser pour l'environnement. Mais l'opéra, regrette-t-il, est un "gros paquebot difficile à manœuvrer", alors qu'il s'agit d'un art vivant particulièrement polluant.
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manonguichard · 5 years ago
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idealconservateur · 5 years ago
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Patrick Lange dirigera la franco-espagnole Carmen aussi version Laufenberg, avec Sébastien Guèze.
(via Opéra de la Hesse à Wiesbaden, Bouillons de Culture 2020/2021 - Actualités - Ôlyrix)
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amalelrhazi · 5 years ago
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Les salaisons Guèze augmentent leur capacité de production
Amal El Rhazi, Les salaisons Guèze augmentent leur capacité de production. La signature de nouveaux contrats et la hausse des volumes qui va de pair rendant son outil de production inadapté, l’entreprise ardéchoise Salaisons Guèze s’apprête à investir 3 millions d’euros pour en augmenter les capacités. Dans quelques semaines sera donné le coup d’envoi des travaux qui doivent permettre à […] Lire l'article
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cci07 · 4 years ago
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camil-aglae-amireine · 6 years ago
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Alphasyllabaire guèze
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ecoledeschartes · 6 years ago
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En Éthiopie, le tournant archivistique aura-t-il lieu ?
Discussion avec Abiy Hailu de la National Archives and Library Agency.
Pia Rigaldiès effectue son stage de 4e année à l’Ethiopian National Archives and Library Agency (NALA) et à l'Ethiopian Wildlife Conservation Authority. Voir la carte des stages
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Abiy Hailu dans la salle de lecture de la NALA
En stage à Addis-Abeba, une de mes missions consiste à classer le fonds de l’occupation italienne en Éthiopie (1936-1941) conservé à l’Ethiopian National Archives en Library Agency (NALA). Cette institution, qui dépend du ministère de la culture et du tourisme, devrait être par définition le haut lieu des archives publiques en Éthiopie, puisqu’elle est théoriquement chargée de recevoir les archives des ministères et administrations publiques. Dans les faits, cette mission n’est pas entièrement assurée. La situation actuelle de la NALA, son histoire et ses enjeux sont à l’image de la place des archives dans les politiques culturelles et patrimoniales en Éthiopie. Largement méconnues du grand public, elles font toutefois l’objet d’un intérêt croissant de la part du gouvernement depuis quatre ou cinq ans. Le stage de Jean Hennet et Xavier de Saint Chamas en 2016, suite à la sollicitation de l’administration du palais impérial adressée à l’EHESS par l’entremise d’Éloi Ficquet[1] a été l’un des signes qu’une nouvelle dynamique prenait place. Ces dernières années, les nouveaux projets et les nouveaux discours concernant les archives laissent penser qu’un « tournant archivistique », pour reprendre les mots d’Ann Laura Stoler[2], est potentiellement en train de se produire en Éthiopie.
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Logotype de l'Ethiopian National Archives and Library Agency
Pour présenter les missions de la NALA ainsi que les principaux enjeux qui entourent actuellement la question des archives en Éthiopie, je donne la parole à Abiy Hailu, responsable des publics et des magasins aux archives nationales. J’ajoute à ses explications, traduites de l’anglais, des commentaires et réflexions personnelles (en italique) que j’ai élaborés au cours de mes expériences et de mes nombreuses rencontres sur place.
Cet article polyphonique est ainsi à l’image des discussions quotidiennes que j’ai le plaisir d’avoir avec Abiy Hailu, ainsi que de notre curiosité réciproque attisée autour d’un bon plat de shiro (purée de légumineuse servie sur une galette de tef, l’injera, à déguster avec les mains).
Quelles sont vos études et votre parcours avant de rejoindre la NALA ?
AH : Je suis diplômé de l’université de Baher Dar[3] depuis 2002 où j’ai obtenu une licence en histoire. La même année, j’ai commencé à enseigner l’histoire, la géographie et l’éducation civique au lycée de Dera[4]. Je me suis aussi engagé au sein du département de sciences et environnement de mon établissement. En 2005, j’ai été transféré au lycée de Chancho Aba Gada[5]. C’est en 2007 que je m’installe à Addis-Abeba et que je commence à enseigner au lycée Holy Trinity.
L’année 2010 est un tournant dans ma carrière : je passe du ministère de l’éducation à la NALA.
Quel poste occupez-vous à la NALA et quelles sont vos différentes missions ?
AH : Je suis le responsable des magasins. Dans le cadre de cette mission, il m’arrive de mener des opérations de réorganisation des collections. Je suis également chargé de l’accueil du public [service delivery] : j’accorde les permissions de consultation pour les chercheurs et je les oriente en fonction de leur demande.
Les lecteurs que l’on croise en salle de consultation sont aussi bien des étudiants que des journalistes, des auteurs, des représentants de diverses organisations ainsi que des chercheurs éthiopiens ou étrangers.
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Contrairement aux archives nationales en France, il faut être muni d’une lettre de recommandation et présenter des motivations précises pour avoir accès aux archives de la NALA. En Éthiopie, la transparence et la publicité des archives est une question ambiguë. Dans le cadre de mon travail de classement du fonds de l’occupation italienne, il m’a par exemple été interdit de prendre en photo des archives et d’en divulguer le contenu. Aucun des archivistes de la NALA ne maitrise l’italien. Ainsi, face à l’impossibilité depuis plusieurs dizaines d’années d’évaluer le contenu de ce fonds, ils ont préféré le considérer sensible. Abiy Hailu craint également que la révélation au grand public de certains documents ne puisse enflammer un contexte politique déjà extrêmement tendu ces derniers mois.
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Vue des magasins d'archives de la NALA
Pouvez-vous nous présenter brièvement l’histoire et les missions de la NALA ?
AH : Cette institution a été créé par l’empereur Hailé Sélassié en 1943. Le bâtiment avait initialement été construit par les Italiens lors de la période de l’occupation pour être un hôpital militaire. Après la guerre, l’empereur en fait la première bibliothèque publique en Éthiopie. Il l’avait initialement appelée Wemezekir ce qui signifie en guèze[6] « qui aide à se souvenir ». Le nom de cette institution a changé plusieurs fois au cours de son histoire avant d’être celui que nous connaissons aujourd’hui.
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Abiy Hailu devant l'entrée du bâtiment de la NALA
Je dois cependant clarifier un point important : dire que la NALA est la première bibliothèque publique en Éthiopie ne signifie pas qu’il n’y avait pas de bibliothèques avant 1943 ! L’histoire des bibliothèques et des archives en Éthiopie est très ancienne, elle remonte au Moyen-Age. On a pu identifier une pratique de conservation des archives et des livres depuis l’époque d’Axoum et de Gondar. La bibliothèque royale de Mekdela qui a été instituée par le roi Tewodros et pillée par les Anglais lors de leur expédition militaire en 1868 en est un bon exemple.
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Malgré le manque de considération des archives actuellement, il faut effectivement souligner que l’histoire éthiopienne témoigne paradoxalement d’une très longue tradition de conservation des registres et autres actes royaux. Si ces pratiques ne peuvent être que supposées pour la période axoumite (Ier-VIe siècles), elles sont en revanche confirmées par les sources en ce qui concerne la période du royaume de Gondar (XVII-XVIIIe siècles). À l’intérieur de l’enceinte des palais des différents rois de Gondar, deux bâtiments construits sous le règne de Yohannès Ier (1667-1682) étaient dédiés à la conservation des archives et des manuscrits : la chancellerie royale d’une part et la bibliothèque d’autre part. La présence de ces témoignages architecturaux ne doit toutefois pas masquer l’importance de la tradition orale comme source de l’histoire de la royauté en Éthiopie. Toutes les décisions royales étaient proclamées publiquement et seulement une partie consignée dans un registre[7].
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Chancellerie royale du royaume de Gondar, aussi lieu de conservation des archives
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Au premier plan, pavillon de la bibliothèque dans l’enceinte royale de Gondar
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AH : Il faut comprendre que lorsque la NALA a été créée par l’empereur, elle était vouée à être à la fois une bibliothèque et un musée. Cette dernière fonction, qui ne fait plus partie des attributions de la NALA aujourd’hui, a donné naissance au Musée national d’Addis-Abeba.
Le département des archives, quant à lui, existe seulement depuis 1973. Depuis cette date, un grand nombre d’archives extrêmement importantes pour l’histoire du pays ont été collectées, non seulement celles des administrations publiques mais aussi celles de personnalités politiques. Aujourd’hui, le volume total de ces fonds est estimé à 600 000 dossiers [files]. Parmi les collections d’archives publiques, nous conservons les fonds du ministère du Palais [Ghebi Minister], du ministère de l’intérieur, des finances, de la fonction publique [civil service], de la santé ainsi que de la culture et du tourisme. Nous comptons parmi nos collections les fonds privées de personnalités telles que l’ambassadeur Zewd Gebreselassié, Dejazmach Kebed Tesma, Bilata Merse Hazen Weldewrikos et Aleqa Taye Gebremariam.
La quantité d’archives ne cesse d’augmenter, notamment la série du ministère de l’intérieur qui représente 203 000 dossiers. Le gouvernement a pris en considération le problème d’espace posé par ce volume grandissant et un nouveau bâtiment d’archives est en cours de construction à quelques pas de l’édifice actuel. La fin des travaux a été annoncée pour 2020.
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La construction de ce nouveau bâtiment est bien le signe de la volonté de la part de la NALA d’assumer à l’avenir sa mission première, celle de collecter de manière plus systématique les archives des ministères et administrations publiques.
L’évaluation matérielle d’un fonds est toujours exprimée en nombre de dossiers qui semblent être l’unité de conservation de référence. La taille d’un dossier étant variable, cette méthode pose évidemment un problème d’exactitude
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Selon vous, quels sont les défis principaux de l’Éthiopie en matière d’archives ?
AH : En termes de conservation du patrimoine, l’Éthiopie doit faire face à de très nombreux défis. Selon moi, il y a de grandes difficultés à surmonter. La première d’entre elles concerne le manque de formation. Aucune université ne propose aux étudiants un master en archives. Les personnes qui travaillent à la NALA possèdent au mieux un master en histoire.
Les archives souffrent également d’un manque cruel de considération, que ce soit de la part des autorités, du gouvernement, des administrations publiques qui les produisent comme de la société civile. De grands efforts ont été entrepris pour changer cette attitude générale envers le patrimoine écrit mais le résultat n’est pas satisfaisant. Cette situation met en danger la conservation des archives.
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Il existe des sessions de sensibilisation aux archives pour les membres de différentes administrations. Ici, j'explique aux participants mon travail de classement du fonds italien
Le manque de budget alloué à la culture et au patrimoine est aussi un problème de premier ordre car le travail archivistique s’avère relativement couteux.
Les échanges d’expérience avec le reste du monde sont assez faibles. Nos archivistes [experts] n’ont pas souvent la possibilité de comparer nos pratiques avec ce qu’il se fait en dehors de l’Éthiopie.
Enfin, il faut souligner le manque d’encadrement législatif pour la conservation des archives en Éthiopie. Malgré une tentative pour renforcer le cadre législatif des institutions productrices d’archives, ces décisions ne sont pas mises en application aujourd’hui.
Parmi tous ces problèmes évoqués, je tiens à souligner que celui du manque de formation est le plus préoccupant aujourd’hui. La NALA fonctionne ainsi sans la présence de vrais professionnels. Je crois fermement que c’est le problème qui doit être résolu en premier.
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À ces difficultés, j’ajouterai celle du matériel à laquelle je suis confrontée tous les jours de mon stage. Le matériel de conservation est soit extrêmement couteux soit impossible à se procurer, ce qui s’explique tout simplement par l’absence d’une filière industrielle du papier en Éthiopie. Les cartons d’archives sont par exemple introuvables ici. La NALA utilise des sortes de classeurs [folders], loin d’être satisfaisants en termes de conservation préventive. Le problème du matériel étant souvent souligné par les archivistes éthiopiens, la première session formation organisée par l’Ambassade de France[8] et à laquelle j’ai eu la chance de participer s’est concentrée sur des questions de conservation matérielle. Une séance a été dédiée à la construction de boîtes d’archives à partir d’un carton plat, ce qui pourra être une solution pour pallier à l’avenir le manque de matériel adéquat.
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Une travée des magasins d'archives de la NALA
La prochaine session de formation concernera la méthodologie du classement, complétement absente des pratiques archivistiques aujourd’hui en Éthiopie. À la NALA, les archives sont laissées dans l’ordre dans lequel elles ont été reçues et la mission de l’archiviste se résume à la description du contenu dossier par dossier.
--
Éloi Ficquet a ensuite sollicité l’expertise de l’École nationale des chartes
Stoler Ann Laura, Au cœur de l’archive coloniale. Question de méthode, Paris, EHESS, 2019 (ed. anglaise 2009)
Région Amhara
Région Oromia
Région Oromia
Ancêtre de l’amharique encore utilisé comme langue liturgique
Ces digressions historiques sont issues de la conférence donnée par Éloi Ficquet lors de la formation en archives à l’Institute of Ethiopian Studies le 21 octobre 2019
Formations organisées dans le cadre du volet archives de la coopération entre la France et l’Éthiopie sur le patrimoine, signée en mars 2019
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360ofopera · 6 years ago
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S O N G E S
NOW LISTENING 🎧 🎶
Sébastien Guèze - Tenor - S O N G E S ✨
You probably remember le Frenchy Tenor from his epic #360ofOperaTakeover at Opera Omaha ’s Faust earlier this year.
Well... now his debut album is out and it is a beautiful collaboration with Quatuor Zaïde @qiaochulipiano & friends. Part of his album is dedicated to Spanish composer Joaquín Rodrigo, for the 20th Anniversary of his death. Sebastien’s interpretation of “En Aranjuez con tu amor” & “Adela” are our favorite tracks in the CD, his singing travels easily from passionate to delicate and is uniquely beautiful. There is something for everyone in this album: Rodrigo, Massenet, Puccini, Tosti, Strauss, Rachmaninov, Dvorak & more! We invite you to listen for yourself:
https://wiseband.lnk.to/Sebastien-Gueze-SONGeS
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😌🌹 Thank you to Sebastien and his team for sending us a copy of the CD and for the beautiful media kit and packaging! Bravo le Frenchy! 💪🏼🇫🇷
#360ofOpera
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plumedepoete · 6 years ago
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       Fête de la musique ou faites de la musique....    Cet « autrefois  beau » Jack LANG répondrait à sa propre question « on est jamais si bien asservi que par soi-même....c'est chier non ? »  à la façon de Laurent GERRA  qui ajouterait : "ce Loupzen quel bel homme ! ".    Surnommée parfois fête de la Mère -guèze (ben alors...on ne parle jamais du père ?) cette grande messe représente une rare opportunité pour le rapprochement des peuples et l'éloignement des populations.    Quel charivari arrive et quel tohu-bohu ce fut … de bière, hier.    Ce mélange des genres s'est fait une bonne place parmi les libations orgiaques, permettant le mariage des épices du Nord de l'Afrique et des jus blonds du Nord de l'Europe.    Imaginez devant le Wali de la wilaya de la rue des Martyrs lors de la cérémonie de mariage :    Sur fond de ''youyou'' et only ''youyou '' Séfarades et Orientaux, je cite :    « - Mademoiselle CHICHA, ici présente, acceptez-vous de prendre comme époux le sidi BRAHIM ...et de le suivre et l'accompagner à chaque fête...et de le servir à table à la bonne température ».    Voilà une union qui aurait pu être parfaite, tant les futurs provenaient d'un même continent et entretenaient de bonnes relations en parlant la même langue...chargée.    Mais non , trop simple car demoiselle CHICHA , la brune épicée venait de convoler en noces osées avec une Gretchen blonde de houblon.....la Merguez et la Bière... La Belle et la Bête... les Laurels et Hardy de la gastronomie.    En vous rappelant que lors de vos derniers reflux gastriques la Merguez et sa cousine Chicha (petite saucisse ronde ) se sont donné la main pour vous amener direct vers l'armoire à pharmacie et plus si affinités.    Ce soir c'est « After » avec comme D.J, le fameux GAVIS CONELL.    Quant à la Chipolata, absente ce soir là de vos fantasmes « swingers in the night » (les connaisseurs savent de quoi j’éructe) elle vous réserve un de ses tours de vache vicieuse, pour accompagner l'apéro du lendemain, froide comme la justice, customisée à la Mayonnaise à outrance, pour glisser un peu mieux dans votre intimité d 'ex-weight-watcher....il faut savoir choisir manger et grossir.    Moi c'est fait, j'ai de la peine à déglutir.    Il nous serait facile de surligner en gras les dangers de ces redoutables compagnes de nos soirées camping, mais le gras ici présent, sous l'effet de mes touches de clavier, serait de trop, et risquerait de voir déraper mon doigt accusateur vers je ne sais quelle direction.    Voici donc l'union sacrée mais incompréhensible du Sud et du Nord au moment précis où une des blondes de l'empire britannique quitte la fête (je parle de la bière et du Breixit ) laissant le champ libre à la blondeur des belles du Ch'Nord ...je reparle des bières.    Et la frite dans tout çà ?    Elle est dans tous ses états et pas qu'une fois !    Fidèle maîtresse de nos soirées échangistes (c'est la bonne copine qui tient la chandelle) elle patiente dans son jus, délaissée à la fin des échanges, car mal présentée ou fort peu appréciée.    Triste faim (jeu de maux) pour cette « belle de Fontenay » qui mériterait plus d'attention.    Verrons-nous un jour, enfin, une levée de boucliers (Arverne et Bremus confondus) pour défendre le sort de la frite ?    Je rappelle que par le passé, une bande de zigotos, avait imaginé une association de défense de la feuille de salade perdue lors des repas...véridique .    On y entendait même le cri de la carotte à son dernier supplice et pourquoi pas le cri du billet de 20 euros qui se fait casser pour régler ces sandwichs-merguez-frites ? (çà c'est moi qui l'ajoute ).    Vous l'aurez compris, la musique n'est qu'une excuse parmi tant d'autres, pour vous faire avaler n'importe quoi, le roi de la fête étant le Kebab.    C'est quand même étrange que tout ce qui pourrait ( je reste dans le conditionnel) apporter un désagrément et un net changement dans note tour de taille, a des effluves et des senteurs de l'autre coté de la Méditerranée. Attention danger ?    N' y voyez aucune attaque politico-raciste, Sainte Jeanne d'Arc, porte drapeau d'une certaine FRANCE patriotique, a été cuite puisqu'elle elle n'avait pas été crue !    Cela n'a aucun rapport avec le fait que ce grand tintamarre a été mis en place par un ministre de gauche.    De là à penser que......bref,  je stop et Destop. C''était de l'humour.    Le Kebab.... l’ordre des choses est enfin respecté. Ce n'est plus la f��minine Merguez qui a le devant de la Cène (autre jeu de maux) mais un mâle tout puissant « LE » kebab. Enfin la suprématie masculine est reconnue !    C'est donc bien « UN » et non « UNE » qui nous fait mal. (voir le sketch de Roland MAGDANE sur le féminin et le masculin ).    Et la muse dans tout ce galimatias ? Elle reste au stade de contrepèterie : Je citerais les mots d'un autre gros mangeur, mais de crustacés cette fois : la moule dans tous ses états , le bon pépère Hugo, Victor de son prénom.: ''La Muse m'habite '' et celle d'une de mes amies, reine du frichti : ''Ces frites me bottent disait la cuisinière''     Je vous laisse chercher la solution. Car c'est bien de solutions dont il est question.    Qu'en serait-il de ces fêtes de la (zikmu si vous ne comprenez pas ce mot et son sens, c'est que vous êtes âgés ou plein de bon sens) si elles devaient être cantonnées ( il n'est plus question de frites mais de riz cantonnais, encore un jeu de maux ) aux régions de FRANCE métropolitaine.    Imaginez encore une fois : plus de tam-tam de cris stridents de bongo congas djembé ukulélé flamenca guitare boites à rythmes    Et pour accompagner ce Waterloo morne plaine, ce monde du silence, que me proposez-vous : choucroute daube gratin dauphinois tripes potages divers Crêpes Bretonnes    Boaf...! pas mauvais non plus, mais difficile de déambuler au beau milieu d'une foule sans être décoré de l'ordre « du polo souillé ».    Et l’exotisme ? où se situe ce déphasage, ce dépaysement qui vous transforme, vous le mangeur d’Aligot, en boloss swager du samedi soir ?    Et question zouz, quel seum !    Alors frère z'y va à donf et pas oublier que YOLO grave...WESH .    Je sens que je vais en perde mon argent, ma santé et gagner des emmerdes    Miladiou ! La tradition avait du bon . . ©Philippe X - 22/06/2019
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elmartillosinmetre · 4 years ago
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Mi crítica de Carmen el domingo en el Maestranza
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perry-tannenbaum · 6 years ago
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Stars of Opera Carolina’s Eugene Onegin Shine Brightest in Act 3 Showdown
Stars of Opera Carolina’s Eugene Onegin Shine Brightest in Act 3 Showdown
Review: Opera Carolina’s Eugene Onegin By Perry Tannenbaum
Opera Carolina subscribers have never been as fervid about Peter Ilyich Tchaikovsky as their Charlotte Ballet counterparts. On opening night of Opera Carolina’s Eugene Onegin, you could calculate the difference by gazing at the empty seats at Belk Theater. Artistic director James Meena, with a generous deployment of musicians from the…
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hinge · 27 days ago
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Hinge presents an anthology of love stories almost never told. Read more on https://no-ordinary-love.co
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gourmetsandco · 6 years ago
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Christophe Guèze - Une vie de cochon…
Christophe Guèze – Une vie de cochon…
[author] [author_image timthumb=”on”]http://www.gourmetsandco.com/wp-content/uploads/2011/03/patrick2.jpg[/author_image] [author_info]
Christophe Guèze
Une vie de cochon…
par Patrick Faus
[/author_info] [/author]
Sa vie est une véritable saga autour et avec les cochons. Une sorte de destin, de prédestinée, d’avenir incontournable mais qu’il a assumé avec joie et…
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reseau-actu · 6 years ago
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Les églises sculptées dans la roche, qui attirent chaque année des cohortes de chrétiens orthodoxes, souffrent de l'érosion. Emmanuel Macron, qui veut accroître la coopération culturelle bilatérale, doit visiter le sanctuaire en mars prochain.
À Lalibela (Éthiopie)
Éclairés par les myriades d'étoiles du ciel éthiopien, des centaines de fidèles affluent vers Lalibela. Malgré leur âge souvent avancé, ils marchent, des heures durant, pour se recueillir chaque jour dans ce lieu saint du christianisme orthodoxe. À mesure qu'ils s'approchent des onze églises construites au XIIe siècle, ils forment une procession de silhouettes fantomatiques, drapées d'une couverture à la blancheur ternie par la poussière amassée sur les chemins de terre.
Les édifices dépassent à peine du sol: ils ont été taillés d'un bloc dans la roche. Colonnes, fenêtres et sculptures ont été façonnées au fur et à mesure de la descente. Des tunnels souterrains relient les églises entre elles. L'édification de ce qui se veut une représentation de Jérusalem, alors rendue inaccessible par la prise de la ville sainte par Saladin en 1187, a été décidée par le roi Lalibela. Selon les croyances locales, ce travail de titan a été facilité par l'aide d'«anges blancs» relayant les ouvriers la nuit.
» LIRE AUSSI - Éthiopie: 10 sites et attractions incontournables
L'ensemble a été inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco en 1978. Cependant, certains éléments présenteraient un «grand risque de s'effondrer», estime Esayas G. Yohannes, professeur à l'Institut technologique d'Addis-Abeba. Très abîmées par l'érosion, cinq églises ont été recouvertes d'un abri à la lourde structure métallique en 2008. Sortes de gigantesques préaux au style de cour de récréation qui tranche avec la majesté du lieu, ils ne devaient rester en place que cinq ans, le temps de restaurer les édifices. Dix ans plus tard, la rénovation n'a pas même commencé. Leurs imposants piliers sont situés à quelques mètres des églises, contrairement au plan original validé par l'Unesco, moins intrusif.
Complète impuissance
Selon Esayas G. Yohannes, les «préaux» n'ont pas été conçus pour résister aux vents forts qui s'abattent parfois sur la ville, située à 2 600 mètres d'altitude. Les calculs auraient pris en compte des rafales de 22 mètres par seconde, mais elles atteindraient souvent 28 m/s. Dès lors, la prudence aurait voulu que la construction puisse supporter des bourrasques de 35 m/s. Certains fidèles affirment que des vis sont tombées de la structure, par soir de grand vent. La situation est d'autant plus préoccupante que les églises sont reliées entre elles. Si l'abri de l'une d'elles venait à tomber, il détruirait un monument, et endommagerait les autres. C'est un «désastre qui ne demande qu'à arriver», alerte le professeur dans son rapport commandité par l'Autorité pour la recherche et la conservation de l'héritage culturel (ARCHC).
L'annonce d'Emmanuel Macron d'accroître la coopération culturelle entre la France et l'Éthiopie, en particulier à Lalibela, a été accueillie avec un grand soulagement
Getaye Tesfaye, le directeur de l'ARCHC à Lalibela, se désole. Depuis que certains se sont mis en tête de restaurer les églises, «ils font plus de dégâts que les éléments naturels». Après la pose des abris financés par l'Union européenne pour un coût de 5,5 millions d'euros, les fissures se sont multipliées. Dans son immense bureau, lui aussi construit sur les deniers bruxellois, il donne le sentiment d'une complète impuissance. Le terme «finances» revient constamment dans son discours. Selon l'ancienne ministre de la Culture et du Tourisme Hirut Woldemariam, le retrait des abris coûtera environ 17,5 millions d'euros. Une somme considérable pour un pays dont le produit intérieur brut était de 70 milliards d'euros en 2017.
Pour visiter la «nouvelle Jérusalem», les touristes, venus d'Allemagne et de France pour la plupart, doivent débourser 44 euros. Selon le père Mengiste Worku, secrétaire général du clergé de Lalibela, cette manne représente 1 à 1,2 million d'euros par an… dont pas un centime ne finance la restauration ou l'entretien du patrimoine. «Cet argent est versé aux 700 servants de l'église, et à 200 personnes en grande difficulté.» De ce fait, l'annonce d'Emmanuel Macron, en octobre, d'accroître la coopération culturelle entre la France et l'Éthiopie, en particulier à Lalibela, a été accueillie avec un grand soulagement. Mekonnen Gebremeskel, membre du comité local de surveillance des restaurations, pointe l'urgence de la situation. «On envisageait de collecter l'argent auprès de la communauté. Les croyants sont prêts à contribuer, mais cela prendrait du temps. Si la France finance le retrait des abris, on pourra passer directement à la restauration.»
Contentieux historique
Assis face à l'église Mariam, le nom éthiopien de Marie, le père Kidale Mariam lit la Bible. Il prie Emmanuel Macron de «bien veiller à ce que l'argent arrive ici. D'importantes sommes d'argent données pour l'infrastructure des églises sont allées remplir des poches privées par le passé.» Le vieil homme aux lunettes rafistolées par du Scotch que le temps a rendu marron souligne son propos par l'incessant va-et-vient d'un repoussoir à mouches en crin de cheval. Il ne mâche pas ses mots: «Les employés du bureau du tourisme à Lalibela se comportent comme des hyènes, ils prennent tout pour eux.» Habtamu Tesfaw, le directeur du bureau, estime quant à lui que «dans le futur une partie de l'argent donné par les touristes devrait être utilisé pour la restauration des églises». Il dénombre 30.000 visiteurs étrangers. Un guide local s'insurge: «Ils mentent sur les chiffres!» Chaque touriste indique sur un papier son nom et sa nationalité. Cette année, il a participé au comptage organisé par l'Église. «De fin septembre 2017 à fin avril 2018, 57.000 touristes étrangers ont visité Lalibela», assure-t-il.
La construction des «préaux» ayant été effectuée par des Italiens, les théories conspirationnistes vont bon train
Autre difficulté: les locaux ne disposent ni de l'expertise nécessaire pour retirer les abris, ni du «manuel» laissé par les ingénieurs, qui expliquerait la procédure. La construction des «préaux» ayant été effectuée par des Italiens, les théories conspirationnistes vont bon train. Le père Kidale Mariam en est convaincu: «Ils ont volontairement abîmé les églises. La preuve, ils ont utilisé de gros engins qui ont fait des vibrations. Ils veulent qu'elles s'effondrent.» Deux nonnes au visage émacié par les multiples jeûnes qu'elles ne cessent de s'imposer malgré leur âge et la chaleur du lieu approuvent silencieusement. Le contentieux entre les deux pays est historique. L'Italie a occupé l'Éthiopie de 1936 à 1941.
Terhi Lehtinen, chef adjointe de la délégation de l'Union européenne (UE) à Addis-Abeba, écarte toute perte volontaire, mais confirme qu'«il n'est pas impossible que certains documents manquent». Almaz Mengesha, responsable des secteurs économiques et sociaux (qui incluent la culture) à la délégation de l'UE, remarque: «Le sujet n'avait pas été abordé en détail avant cette année. Lors d'une récente réunion, l'Unesco et l'ARCHC nous ont demandé si l'on avait une objection au retrait des abris.» L'ambassade de France en Éthiopie a quant à elle tenu à consulter des documents archivés à la délégation, en préparation de la venue d'Emmanuel Macron à Lalibela, prévue pour le mois de mars 2019.
Le comité local de lutte pour la préservation des églises aurait adressé 21 lettres restées sans réponse aux autorités compétentes à Addis-Abeba. Ils ont également envoyé des délégués dans la capitale, mais aucun responsable ne leur a en retour rendu visite à Lalibela. Le maire de la ville et le directeur administratif de l'Église, qui font en théorie partie du comité fédéral pour la préservation des édifices, ne seraient pas même invités aux réunions. Lassés, des résidents ont manifesté le 7 octobre. Depuis, le premier ministre Abiy Ahmed, nommé en mars, s'est rendu dans la «nouvelle Jérusalem» et a fait part de la situation au président français lors de son premier voyage en Europe. Mi-décembre, un envoyé du ministère de la Culture et du Tourisme a effectué le déplacement depuis Addis-Abeba.
Dès leur arrivée, les pèlerins baisent le sol à trois reprises
Échaudés par l'expérience des abris subventionnés par l'UE, les habitants ont créé un comité local de surveillance lorsque l'ambassade des États-Unis a financé les travaux de restauration de l'église Rafael-Gabriel en 2015-2016. Discrets, sans dommages apparents pour l'église, ceux-ci sont vus comme un succès. Le professeur Yirga Gelaw Woldeyes, de l'université de Curtin, en Australie, note cependant l'inconséquence de certaines décisions. Ainsi, par exemple, le produit chimique Xb avait été validé par le comité scientifique, mais les ouvriers ont utilisé du Xa, sans qu'aucune étude préalable n'ait validé ce composant.
En cette fin décembre, sept maçons s'affairent sur le perron de l'église. Truelle à la main, ils en rebouchent les trous en prévision de l'arrivée massive de pèlerins pour le Noël orthodoxe, le 7 janvier. Ces travaux ont été commandités par l'Église pour éviter les chutes sur un sol auparavant glissant et accidenté. Les ouvriers disent appliquer les procédures apprises durant la rénovation, mais travaillent sans supervision. Les pèlerins commencent quant à eux à arriver, après avoir marché durant des centaines de kilomètres. Nombre d'entre eux dorment à même le sol dans l'enceinte des murs sacrés. Dès leur arrivée, ils baisent le sol à trois reprises. Puis se mettent à scander des prières en guèze, la langue ancienne d'Éthiopie, selon une liturgie inchangée depuis des siècles.
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kilvinwats0n-blog · 14 years ago
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Italians have always had a special attitude toward music.
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hinge · 15 days ago
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Hinge presents an anthology of love stories almost never told. Read more on https://no-ordinary-love.co
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