#Jeun Mi Do
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165. Hospital Playlist
“When your brain and heart are saying two different things, your heart is right. Just follow your heart, then you won't regret it.”
★★★★★(❤)
#hospital playlist#dorama#doramas#watchlist#kdrama#quotes#korean drama#jo jung suk#yoo yeon seok#jung kyoung ho#kim dae myung#jeun mi do
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La Mode nationale, no. 4, 27 janvier 1900, Paris. No. 12. — Groupe de toilettes et de manteaux pour dames et enfants. Bibliothèque nationale de France
(1) Manteau de promenade ou de voyage pour fillette de 8 ans, en drap gris zinc, à deux pèlerines. Au bord deux biais de 2 centimètres. Col et poignets en velours gris sours.
(1) Walking or traveling coat for 8-year-old girl, in zinc gray cloth, with two capes. On the edge two 2-centimeter biases. Collar and cuffs in sour gray velvet.
Matériaux: 3 mètres de drap.
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(2) Robe pour fillette de 8 et 10 ans, en cover-coat mousse clair. Jupe en forme unie; corsage blousé décolleté en carré sur un plastron en taffetas mousse plissé. Revers en velours mousse foncé; même col et ceinture. Deux pattes ferment le corsage avec deux boutons de nacre.
(2) Dress for girls aged 8 and 10, in light moss cover-coat. Plain skirt; bloused bodice with square neckline on a pleated moss taffeta bib. Lapels in dark moss velvet; same collar and belt. Two tabs close the bodice with two mother-of-pearl buttons.
Matériaux: 3m,50 de lainage.
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(3) Redingote pour jeune femme, en drap bois, bordé de biais piqué. Cette redingote très ajustée forme jupe et collet. Trois bandes de fourrures posées en V l'ornent à mi-hauteur. Le collet court est fait d'un col très montant etd'un plastron de fourrure à larges revers, d'un volant de drap en forme, et d'un volant de fourrure en forme également.
(3) Young woman's frock coat, in wood cloth, edged with stitched bias. This very fitted frock coat forms a skirt and collar. Three fur strips placed in a V adorn it halfway up. The short collar is made of a very high collar and a fur plastron with wide lapels, a shaped cloth flounce, and a shaped fur flounce.
Matériaux: 6m,50 de drap.
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(4) Robe de dîner pour dame d'âge moyen, en velours glacé turquoise. La tunique princesse, drapée à la taille tombe sur une jupe bordée d'un haut volant plissé. Cette tunique est richement ornée de Venise el fermée par des pattes de velours bleu foncé et des boutons de strass. Le grand col forme berthe et s'ouvre en fichu sur un drapé de mousseline de soie bleu turquoise. En faisant monter le drapé jusqu'au cou, on aurait une très jolie toilette de ville.
(4) Dinner dress for a middle-aged lady, in turquoise glazed velvet. The princess tunic, draped at the waist, falls over a skirt edged with a high pleated flounce. This tunic is richly decorated with Venice lace and closed with dark blue velvet tabs and rhinestone buttons. The large collar forms a berthe and opens into a fichu on a drape of turquoise blue silk muslin. By raising the drape to the neck, one would have a very pretty city outfit.
Matériaux: 18 mètres de velours.
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(5) Dos de la figure 6.
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(6) Collet mi-long en drap rouge brique. Grand col en châle et revers en astrakan; bord dentelé en astrakan. Trois biais piqués suivent les contours de la bordure. Haute frange de mongolie.
(6) Mid-length cape in brick red cloth. Large shawl collar and lapel in astrakhan; serrated edge in astrakhan. Three stitched biases follow the contours of the border. High Mongolian fringe.
Matériaux: 2 mètres de drap.
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(7) Tailleur en drap prune. La tunique bordée d'un biais piqué de blanc recouvre la jupe ornée de deux volants en forme. Jaquette courte derrière et sur les côtés, les pans de devant un peu plus longs. Col et revers découpés en deux pointes; parements crispins doubles. Col montant en velours.
(7) Plum cloth suit. The tunic edged with a white stitched bias covers the skirt decorated with two shaped flounces. Short jacket at the back and sides, the front panels a little longer. Collar and lapels cut into two points; double crispin facings. High velvet collar.
Matériaux: 7m,50 de drap.
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(8) Dos de la figure 7.
#La Mode nationale#20th century#1900s#1900#on this day#January 27#periodical#fashion#fashion plate#color#description#bibliothèque nationale de france#dress#cape#collar#children#devant et dos#january color plates#fav january
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La liberté ou la mort, extrait
Robespierre jouait à lancer des branches à Brount avec Elisabeth, à quelques distances devant eux. Il courrait pour entraîner le molosse derrière lui, et jetait le bâton de toutes ses forces, ne se souciant pas de voir s'il risquait de tacher ses bas blancs de boue. Brount partait comme un fou avec ses grandes pattes désordonnées, la langue pendant sur le côté et la queue frétillante. Quand il revenait avec le morceau de bois, Elisabeth et Maximilien devaient s'escrimer à le lui récupérer et tiraient de toutes leurs forces pour le lui arracher de la gueule. Le jeu recommençait ensuite, pour la plus grande joie des trois participants.
Saint-Just marchait les bras croisés dans le dos, au rythme d'Eléonore.
-Eléonore, maintenant que nous sommes bons amis, puis-je me permettre une question?
La jeune fille lui sourit d'un air indulgent.
- Voyons la question.
Saint-Just se racla la gorge et fixa son regard sur la pointe de ses bottes.
- Eh bien... je ne comprends pas que tu ne sois pas amoureuse de lui.
Eléonore laissa échapper un petit rire. Elle ne paraissait pas particulièrement vexée ou embarrassée par cette question indiscrète.
-Et pourquoi cela ? demanda-t-elle.
Saint-Just redressa la tête et fit un geste de la main vague vers Brount qui s'était mis à aboyer joyeusement, et Elisabeth qui faisait semblant de jeter le bâton pour la troisième fois.
- Je ne sais pas, regarde le... Tout à l'heure il faisait un travail de géant pour la patrie, et maintenant il se contente d'une récompense si simple ! Jouer avec son chien, nourrir ses oiseaux, manger le potage de ta mère ce soir, lire quelques pages de Rousseau au coin du feu...
-... quelques oranges, une visite de son cher Saint-Just...
- Si nous parvenons à installer et à protéger notre république, il ne cherchera aucune récompense pour lui même. Il ne faudra pas davantage que ces quelques plaisirs que nous avons évoqués pour faire son bonheur. Quand on en vient à le connaitre, il est si doux, si sincère. Parfois, cela me noue le coeur quand j'y pense.
- Certainement, approuva Eléonore en venant prendre le bras d'Antoine, et c'est pour cela que mes parents le considèrent comme leur fils et moi comme mon frère. Le sang ne me le rendrait pas plus cher.
- Un frère, oui...Mais imagine le comme époux, ne serait-ce pas mieux encore ? La voix de Saint-Just s'était réduite à un murmure rêveur. Il est si loyal, si dévoué. Non vraiment, tu ne trouveras pas mieux que lui.
-Pour ce qui est du physique... commença Eléonore
- Du physique ! répéta-t-il, le cri qu'il ne réussit par à réprimer attirant un instant l'attention de Brount vers lui. Comment peux tu parler du physique face à une telle âme ! Et puis de toute façon la physionomie de Maximilien n'a rien de désagréable, regarde, il est petit certes, mais il a les mollets bien fait, une mine intelligente, des yeux verts, un joli nez...
- Tu ne trouves pas qu'il a un style un peu démodé?
- Maximilien s'en fiche des fariboles de la mode! Il prends soin de ses vêtement et il est toujours bien mis. On ne peut pas en dire autant des trois quarts des députés qui siègent à la Convention avec les cheveux gras et les bottes crottées. Son style est très respectable.
Eléonore se mit à rire de bon coeur devant l'air révolté de Saint-Just.
-Antoine... Si moi je ne suis pas amoureuse de lui, rien ne t'empêche de l'être, toi.
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saga: Soumission & Domination 372
Noël 2015-2, l'annexe 1
24 au soir.
Nous sommes tous invités chez Emma. Pablo (frère d'Ernesto et son cuisinier) a demandé l'aide de Nathan. Comme ce dernier a commencé sa journée chez Julien afin d'honorer toutes les commandes de la boutique, il est un peu fatigué quand nous arrivons vers les 18h.
Pour faire plaisir à Emma nous sommes tous " habillés " c'est-à-dire costume cravate. Pour nos trois invités, j'ai tapé dans les placards de mes escorts pour trouver leurs tailles adéquates.
Duke est un peu troublé, pour lui c'est la première fois qu'il porte ce type de vêtement, plus habitué au style décontracté de la côte Ouest. Quand il s'aperçoit qu'il peut quand même bouger et que le tissu suit ses mouvements, ça va mieux.
Emma est ravie de parler Anglais. Mes amis s'étaient fait une tout autre idée de ma " mère " même si je leur avais dit qu'elle faisait encore très jeune !!
Diner délicieux bien sûr, Pablo et Nathan s'étant surpassés comme toujours. Nous aidons tous au service afin qu'ils ne passent pas tout leur temps en cuisine mais puissent être avec nous tous.
Au moment de partir, je reste avec Ernesto, PH et Ludovic sur place. Nathan rentre au Blockhaus fêter Noël avec ses deux amis
Nous passons les 3 heures qui suivent à faire l'amour à Emma. L'intensité est d'autant plus forte que notre séparation a été longue (je compte par notre passage rapide de mi-novembre). Nous investissons sa chambre avant de faire de même avec son corps. Elle est bouillante ! Nous n'avons pas fini de la déshabiller que ses tétons sont durs comme de la pierre. Le premier je pose ma main sur son sexe et je sens son clitoris dans le même état. J'arrache sa culotte en dentelle et plonge ma tête sous sa jupe. Mes trois comparses se charge de lui faire garder l'équilibre que l'aspiration dans ma bouche de ce petit appendice compromet.
Le sol se jonche de nos différents vêtements jusqu'à ce que, nus, nous nous pressions contre elle. Sa bouche, sa chatte et son oignon reçoivent la visite de nos sexes turgescents. Bien que glissant avec facilité dans ses trois trous, nos bites se trouvent bien serrées par ses muscles internes hypertoniques. Aux doubles pipes s'enchainent les prises de chatte par deux queues tout comme les doubles sodo. L'optimum est atteint alors que je la sodomise avec Ernesto (tous les deux couchés sur le dos, elle nous chevauche en se couchant dos sur mon torse pour dégager sa chatte. PH s'agenouille au-dessus du nombril d'Ernesto pour enfiler le vagin Emma. Il ne reste plus à Ludovic devenir se faire pomper pour que chacun trouve sa place.
Les mains sur les haches d'Emma je donne le tempo de cet enchevêtrement de corps. Ses cris de plaisir doivent traverser les murs. Les nôtres ne sont pas moins retenus. Heureusement que Pablo loge au-dessus des garages sinon il n'aurait pu tenir de nous entendre baiser pareillement.
Je suis le premier à venir. J'englue le gland d'Ernesto mais bientôt ses spermatozoïdes rejoignent les miens. Puis c'ets au tour d'Emma de partir en vrille. PH jouit de se faire serrer la queue par ses muscles vaginaux alors que Ludovic, à nous entendre tous, part à l'autre extrémité du corps supplicié de plaisir.
Désemboitage lent, nos queues encore excitées ne débandent pas rapidement. Sur le dos, deux de ses hommes de chaque côté, Emma nous remercie. C'est à ce moment-là que je remarque un nouvel aménagement : le plafond tapissé de glaces, réfléchissant son corps alanguis.
C'est Ernesto qui lui demande si esthétiquement notre dernière position sortait du lot des positions " classiques ". Réponse : " je n'ai pas vu grand-chose avec Ludovic qui me tenais la tête pour me défoncer la gorge ". Excuses de ce dernier, vite acceptées.
25 décembre :
Réveil difficile quelques heures plus tard. Douche glacée pour achever de retrouver nos esprits, petit déjeuner léger en prévision du repas de Noël au Blockhaus. On dévalise ma garde-robe locale puisque le dresscode est " casual ".
On arrive à la maison en même temps que Côme avec ses parents. C'est la première fois qu'ils viennent. Ils sont impressionnés par l'extérieur. Cette façade aveugle, juste percée d'étroites " meurtrières " verticales explique le surnom de la maison. Le fait qu'à droite mon acquisition reprenne le même type d'ouverture ainsi que le bâtiment de notre voisin de gauche (ce que je n'apprécie pas particulièrement même si elles sont disposées horizontalement !), renforce encore l'effet.
Nous entrons. J'explique l'usage des différents niveaux sans épiloguer sur celui de ma société. Ce n'est qu'en ouvrant la porte du monte-charge à l'étage de vie que je pense aux projections des " déjeuner sur l'herbe " joués par mes amis. Trop tard !
Alors qu'Enguerrand embrasse ses parents, je m'avance et m'aperçois que quelqu'un y avait pensé aussi et le mur ne reflète qu'une vue du golden gate de San Francisco depuis Télégraph Hill.
Il ne reste pas moins les deux cariatides aux hanches pudiquement recouvert de serviettes très étroites pour une fois. Heureusement la lumière en provenance de la piscine surplombant la cuisine attire leurs premiers regards.
Comme je m'étonne de ne pas voir de grande table, Samir exceptionnellement vêtus pour l'occasion (tout comme Ammed) m'explique que tout est installé sur la terrasse. Nous restons donc à ce niveau le temps que les derniers invités arrivent. Ils font connaissance avec les autres habitants de la maison. Côme leur avait déjà expliqué qu'ils n'y auraient qu'Emma et la mère de Max comme éléments féminin en sus de sa mère et, j'ai su plus tard, qu'il leur avait aussi demandé de ne pas trop poser de question sur qui était avec qui, ce qui leur éviterait de se faire des idées déplacées !
Les parents de Max arrivent enfin. Leur fils va les accueillir au rez-de-chaussée. Le père, qui était déjà venu pour suivre ma convalescence s'était chargé d'avertir sa femme. Malgré ça, je l'ai vue tourner la tête dans tous les sens dès sa sortie du monte-charge.
Les bouchons de champagne sautent et les verres se remplissent comme les petits fours arrivent. Les jeunes aident mes Hommes de service le tout dans une ambiance assez bruyante.
Pour les cadeaux nous sommes priés d'accéder à la terrasse, enfin !!
Pas de sapin décoré, ils m'ont bien eu ! Par contre je découvre que le mur mitoyen avec notre nouveau voisin a été abattu et que l'espace des deux cours a été redistribué. Le grand tatami et les agrès de gymnastique ont migré de l'autre côté, laissant de nouveau un espace plus conséquent à la végétation.
Là, mes amours (Marc, PH, Ludovic et même Ernesto) me souhaitent un joyeux Noël et m'expliquent qu'ils avaient fait l'acquisition du bâtiment voisin pour y installer un parking + au premier étage une salle d'art martial plus conséquente que le petit espace du Blockhaus et au second un appartement communautaire destiné à remplacer la colocation que je louais et permettre à plus de mes escorts d'y loger.
Les fous !!
Emma sort du sac qu'elle avait amené avec elle, 13 boites étroites recouverte d'un papier glacé noir. Pablo fait la distribution. Les américains sont ravis mais un peu gênés d'avoir le leur. On ouvre pour y trouver une grosse montre Suisse. Le même modèle pour tous juste gravé d'un " 2015 ". Elles rejoignent toutes les poignets et chacun d'admirer l'effet qu'elle fait sur le sien.
Moi je distribue aux deux couples (parents de Max et ceux de la fratrie) des enveloppes. Dedans j'ai mis un bon pour un séjour à San Francisco voyage compris évidement. Pour les autres, mes amours un nouveau jonc en or, gris cette fois qui rejoignent aussitôt ceux précédemment offerts à leur bras droit. Mes deux escorts de maison (Joao et Romain) reçoivent un I-phone 6 tout comme Pablo. Pour les invités d'outre atlantique, j'avais demandé à PH d'aller chercher chez mon joailler de Paris trois anneaux en or, plats gravé du 25-12-15. En plus pour Duke qui avait dit à la triplette combien il kiffait trop le fait que j'ose porter des bracelets en plus des différents anneaux, chevalière et pendant d'oreille, un beau saphir à accrocher à son percing d'oreille. Dane me dit que j'ai fait une folie et que son garnement de frère ne valait pas ça. Quand je le lui accroche, sa couleur rehausse celle de ses yeux. Il me saute au cou et me dit qu'il y avait pensé mais n'avait pas osé faire le pas.
Mes trois " petits frères " sont ravis de sa surprise vu qu'ils étaient à l'origine de ce cadeau. Ils l'entourent et Côme doit aller leur dire de mettre un peu de discrétion à leurs effusions rapports aux parents. Leurs bisous avec la langue ça finirait par choquer.
Emma reçois de ma part des boucles d'oreilles de chez Tiffany.
Je reçois des parents de Max et des 3 frères une caisse de 6 bouteilles de Romanée-Conti. Une folie pour eux ! Je les engueule gentiment.
Je prends un peu de temps avec eux, heureusement qu'Emma les avait " coachés " à leurs arrivées. Après m'avoir remercié une nouvelle fois, surtout quand je leur ai dit qu'à San Francisco ils auraient un véhicule pour se promener, ils admirent ce que nous avons fait de cet ensemble d'entrepôts industriels. Pour les sculptures d'Alban, ils sont moins fans mais trouvent amusant que j'ai repris l'utilisation de cariatides pour le soutien de la piscine à l'étage en dessous.
Le déjeuner est merveilleux et je suspecte Pablo d'y avoir mis son grain de sel. C'est confirmé par l'intéressé quelques minutes plus tard.
Dès le café avalé, avant la visite de mon " voisin ", j'ai juste le temps de sodomiser Enguerrand venu me retrouver alors que je faisais mes ablutions de sortie de table.
Ce petit obsédé m'avait collé aux basques et alors que je me lavais les mains, il m'a descendu pantalon et slip avant d'emboucher ma bite qui déjà se remplissait de sang. Raide en moins d'une minute, je le retourne et l'enfile coincé contre le lavabo. Il tend sa tête en arrière pour qu'on se roule un patin pendant l'action. Mes vas et vient sont rapide mais profond et il ne peut retenir, à chacun de mes coups de rein, un gémissement significatif. On va se faire griller si nous restons trop longtemps absents. J'accélère le rythme, ses gémissements suivent jusqu'à ne plus être entrecoupés de silence. Quand il jute dans le lavabo, sa rondelle me bloque et me fait éjaculer. Trop bon ce petit coup en douce !! Je pilonne encore deux trois fois son cul pour bien propulser mon sperme tout au fond et je ressors brutalement. Ça tire un dernier gémissement d'Enguerrand qui me dit que ça lui fait tout d'un coup froid. On se nettoie un brin, se réajuste l'un l'autre pour effacer les traces de nos turpitudes puis on rejoint le monde.
Je me fais direct grillé par PH et Ludovic qui voient dans mes yeux comme un reflet de satiété !! Tout bas ils me traitent d'obsédés et quand Enguerrand nous rejoint, ils savent qui en a bénéficié.
La nouvelle Annexe 2:
L'entrepôt fait 30m de façade sur 15 de profondeur. Le rez-de-chaussée est organisé en parking. Ici aussi le monte-charge existant a été rénové mais pas transformé en ascenseur comme au Blockhaus.
Le premier étage : un sas d'entrée pour isoler la salle de sport. Un seul plateau organisé en trois grands tatamis et au fond contre le mur mitoyen les sanitaires séparés de la grande salle par une paroi en verre juste sablée au niveau des hanches. On voit quand même 2 portes pleines cachant des WC et une série de douches (pommes zénithales) sans séparation couvrant le reste du mur soit pas loin de 11m avec devant un lavabo circulaire à 4 robinets.
Le mur côté rue est recouvert de glaces et celui de la cour est percé de grandes fenêtres du plafond à 50cm du sol, la partie basse servant de banc. Quelques barres d'assouplissement, sont réunies en faisceau à chacun des trois tatamis.
Le 2ème étage : on sort du monte-charge sur un palier occupé de grands placards pour mettre manteaux et chaussures. On entre directement dans un grand séjour avec cuisine ouverte sur la gauche. Toute équipée avec 3 blocs de cuisson et 4 frigos américains. La salle doit faire dans les 200m². Elle est séparées en plusieurs coins salon/détente avec chacun leur grand écran plat (avec chacun 4 séries d'écouteurs) et une énorme table haute du côté de la cuisine pouvant accueillir une 15aine de convives.
Un sas contenant 4 WC sépare le côté jour du côté nuit. Puis viennent 8 chambres d'environ 25m² et au fond une salle d'eau commune sur le modèle de l'étage inférieur.
L'installation est encore vide, mes amours me laissant le choix des futurs " locataires/bénéficiaires ".
Alors que la triplette se verrait bien être les premiers occupants, levée de bouclier chez les parents. Déjà que quand ils sont chez eux (semaine chez Max et WE chez Enguerrand) ils se plaignent de ne pas les voir beaucoup, ici ils ne les verraient plus du tout.
Partie remise pour les jeunes !!
La cour, qui est couverte comme la nôtre, a récupérée toute la partie Gymnastique et les postes de musculations.
La soirée s'avance et c'est avec impatience que certains attendent le départ des invités (Emma et les parents).
Jardinier
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📺 Quand j’étais jeune et timoré , je me souviens du choc ressenti lorsqu’une femme, dans une rue de Belo Horizonte (MG, Brésil), avait menacé de me frapper car elle avait cru reconnaître le personnage d’une telenovela en me voyant à la terrasse d’un bar. À l’époque, je ressemblais de façon troublante à l’acteur Dan Stulbach.
Il faut dire que le personnage de Marcos, qu’il incarnait dans la série « Mulheres apaixonadas » (femmes amoureuses) alors suivie tous les soirs par des millions de téléspectateurices, était un tyran domestique qui frappait son épouse avec une raquette de tennis.
L’émoi provoqué par ce personnage n’est guère étonnant vu la position du pays dans le classement des violences faites aux femmes. C’était du reste une des premières fois que le sujet était abordé aussi frontalement (et pas forcément de manière très fine) dans ce genre de programmes.
À force d’être invectivé dans des lieux publics, Dan Stulbach avait dû intervenir dans la très populaire émission hebdomadaire « Domingão do Faustão » afin d’expliquer que dans la vraie vie, c’était un chic type. Sa propre grand-mère était venue en attester.
N’ai-je pas moi-même occasionnellement pris des personnages de séries pour des personnages réels ? « QUOI !? Ils ont tué OMAR LITTLE ?! » (J’ai mis du temps à m’en remettre…) Ci-dessus, le personnage mythique de la série « The Wire », génialement incarné par l’acteur Michael Kenneth Williams, qui, malheureusement, décéda le 6 septembre 2021, suite à la consommation d’héroïne coupée au Fentanyl. Dans cette course de relais, une fois de plus, la réalité dépasse la fiction.
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The Preface of this edition of Les Mis (Le Livre de Poche, Édition de Guy Rosa et Nicole Savy) is really good, but I wanted to highlight one passage in particular:
[...] la question de savoir ce qui en lui mobilise la conscience de vivre en société. -- La loi et l'ordre, répond Javert; rien, dit Thénardier; des souveniers pours Gillenormand, l'avenir pours les jeunes étudiants révolutionnaires... Jean Valjean se tait condamné à temps mais exclus à vie, la société ne lui autorise aucune réponse à cette question qu'elle ne cesse pourtant de lui poser violemment.
In English:
[...] the question of knowing what moves him to live in society. -- Law and order, replies Javert; nothing, says Thenardier; memories for Gillenormand; the future for the young student revolutionaries... Jean Valjean stays quiet. Condemned for a time, excluded for life, society does not allow him a single response to the question which it continues to demand of him.
(Sorry if the translation's a bit janky/if you speak French and notice it's not perfect word-for-word. I'm doing it myself, I'm going more for comprehension than word-for-word literalism. Translating decisions are so scary, have mercy.)
I didn't really think about this too much my last time reading through. Of course Valjean was a stoic character to me, but connecting his reticence to the fact that his voice has so long been crushed by society is a bit of a revelation. After all, no one can know who he is. And speaking is dangerous. Nor does the Law want to hear his opinions. Instead they punish him for what he has already done, not giving him the chance to discover the answer for himself.
There are other things mentioned that struck me, this one just did particularly.
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Welcome to the 47th installment of 15 Weeks of Phantom, where I post all 68 sections of Le Fantôme de l’Opéra, as they were first printed in Le Gaulois newspaper 115 yeas ago.
In today’s installment, we have Part II of Chapter 20, “Le Commissaire de police, le vicomte et le Persan” (The Commissary of Police, the Vicomte, and the Persian).
This section was first printed on Tuesday, 7 December, 1909.
For anyone following along in David Coward's translation of the First Edition of Phantom of the Opera (either in paperback, or Kindle, or from another vendor -- the ISBN-13 is: 978-0199694570), the text starts in Chapter 19, “Since the crowd around the two Directors and Inspector Mifroid were observing an impressive silence, Richard went on,” and goes to, “In fact, it’s all very simple once you’ve realized that it’s all about getting the work of the police done by people who are not members of the force!”
There are some differences between the Gaulois text and the First Edition. In this section, these include (highlighted in red above):
1) Chapter 20 in the Gaulois text is Chapter 19 in the First Edition, etc.
2) Compare the Gaulois text:
répond-il
Translation:
he replies [here Leroux used the historical present]
To the First Edition:
répondit-il
Translation:
he replied
3) Compare the Gaulois text:
qui, cependant, n'auraient point protesté
To the First Edition:
qui, cependant, n'eussent point protesté (here Leroux used the imperfect subjunctive)
Translation:
Both mean: who, however, would not have protested
4) This sentence appeared in the Gaulois text, but was omitted from the First Edition:
de voix d'homme dans la loge de la diva
Translation:
of the man’s voice in the diva’s dressing room
5) This text did not appear in the Gaulois, and was added to the First Edition:
et certainement le magistrat eût mis fin à ces propos désordonnés, dont nous avons donné un aperçu dans la première partie de ce récit
Translation:
and certainly the Magistrate would have put an end to these incoherent ramblings, which we have outlined in the first part of this account
6) This text did not appear in the Gaulois, and was added to the First Edition:
— A la sortie du théâtre ?
— Oui, monsieur le commissaire.
— Toutes vos dispositions étaient prises pour cela ?
— Oui, monsieur le commissaire.
— La voiture qui vous a amené devait vous emporter tous les deux. Le cocher était prévenu… son itinéraire était tracéà l'avance… Mieux ! Il devait trouver à chaque étape des chevaux tout frais…
— C'est vrai, monsieur le commissaire.
Translation:
“When the crowd was leaving the theatre?”
“Yes, M. Commissary.”
“All of your arrangements had been made for this?”
“Yes, M. Commissary.”
“The carriage that you took was to carry you both away. The coachman was informed … his route was mapped out in advance… What’s more, there were to be fresh horses at each stop along the journey…”
“That’s true, M. Commissary.”
7) Compare the Gaulois text:
… il s'est jeté dans sa voiture qui a fourni une course furibonde à travers Paris.
Un cri rauque s'échappe de la bouche crispé de rage du malheureux jeune homme.
Translation:
… “he jumped into his carriage, which raced furiously across Paris.”
A hoarse cry, contorted with rage, escaped the lips of the wretched young man.
To the First Edition:
… il s'est jeté dans sa voiture qui a fourni une course furibonde à travers Paris.
— A travers Paris ? râla le pauvre Raoul… Qu'entendez-vous par à travers Paris ?
— Et hors de Paris…
— Hors de Paris… quelle route ?
— La route de Bruxelles. »
Un cri rauque s'échappe de la bouche du malheureux jeune homme.
Translation:
“… he jumped into his carriage, which raced furiously across Paris.”
“Across Paris?” groaned poor Raoul… “What do you mean by ‘across Paris’?”
“Out of Paris…”
“Out of Paris … which road?”
“The road to Brussels.”
A hoarse cry escaped the lips of the wretched young man.
8) Minor differences in punctuation and capitalization.
Click here to see the entire edition of Le Gaulois from 7 December, 1909. This link brings you to page 4 of the newspaper — Le Fantôme is at the bottom of the page in the feuilleton section. Click on the arrow buttons at the bottom of the screen to turn the pages of the newspaper, and click on the Zoom button at the bottom left to magnify the text.
#phantom of the opera#poto#gaston leroux#le fantôme de l’opéra#le gaulois#phantom translation#15 weeks of phantom#phantom 115th anniversary
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saga: Soumission & Domination -531
Valentin and Co
Denis et sa famille s'est installé dans un appartement que je leur ai trouvé à 200 m du blockhaus. Le quartier est plus sain et la surface de l'appart triple. Quand ils y emménagent, j'ai fait le nécessaire pour la partie ameublement. Ils n'ont eu qu'à apporter leurs effets personnels et les souvenir auxquels ils sont attachés. Soit le volume d'une petite camionnette, du coffre de la C300 et de la petite voiture de leur mère. Ils se rapprochent, elle de l'hôpital où elle travaille encore et les deux jeunes du lycée privé où ils vont faire leur fin d'année scolaire. Le directeur ne peut plus rien me refuser depuis que je lui ai offert une nouvelle salle de langue. Et aussi, le fait que ceux que je lui ai fait admettre ont tous eus des résultats aux examens supérieurs à la moyenne de l'établissement. Si pour Denis, le changement s'est fait sans encombre dans la même terminale qu'Ewen et Milo, pour Valentin il y a eu quelques remous !
1 semaine après son entrée, je le vois arriver au Blockhaus pour son entrainement avec un oeil au beurre noir et la pommette associée bien gonflée. Prise en charge par un des internes en train de s'entrainer. Il nous rassure qu'il n'y a rien de cassé et procure les premier soins. J'attends qu'il ait fini pour questionner notre petit bagarreur. Valentin : C'est un des gars de ma classe, après le sport on était sous les douches et il n'a pas arrêté de me mater. Quand j'ai fait pareil j'ai bien vu qu'il bandait. J'ai fini ma douche et suis parti me sécher. Quand il est arrivé à son tour, il m'a direct traité de gros Pd qui n'avait pas arrêté de le mater sous la douche. Moi : il est comment ce mec ? Val : un peu plus grand que moi, plus large d'épaule car en gym il est plutôt bon mais je suis meilleur que lui en foot. Moi : c'est tout, rien d'autre ? Valentin rougit un peu. Val : Si, il est plutôt beau mec et pas con en plus, enfin on s'entendait pas mal jusque-là ! Moi : Ha Ha. Tu ne crois pas qu'il a senti qu'il te faisait kiffer ? Val : Non je fais super attention à pas me faire remarquer. Déjà qu'arriver en cours d'année et venant d'un lycée de banlieue, ça craint ! Moi : Je pense quand même qu'il a dû ressentir quelque chose avec toi, même si bander sous les douches c'est pas forcément un signe. Val : oui surtout qu'il ne s'est mis à bander que quand je suis arrivé à côté de lui ! Moi : OK il te kiffe sûrement un peu mais il ne doit pas vouloir l'admettre Val : encore un refoulé, grave !! Moi : et alors comment t'as récolté cet oeil ? Val : Ben, je veux bien me faire traiter de Pd mais pas de gros ! Moi : t'es con toi ! Val : peut-être mais pas gros ! donc je lui ai dit d'aller se faire foutre que si j'étais gros lui était énorme sauf concernant nos bites où la mienne est plus grosse que la sienne. Moi : évidemment ç'a pas plu !! Val : ben non, il m'est tombé dessus sans avertissement Moi : et tes cours de self-défense alors ? Val : il les a sentis tout de suite après, je l'ai étalé entre les bancs mon pied sur son dos et son bras droit vertical prêt à luxer l'épaule. Les copains nous ont séparé mais j'aurais pas été plus loin de toute façon. Moi : ça fini comment ? Val : ben dans le bureau du proviseur avec TIG : rangement de la salle de sport tous les deux jusqu'à la fin de l'année. Il m'a dit qu'il t'appellera car tu t'étais porté garant pour moi. A moitié en pleur il ajoute, Je suis désolé Sasha. Vraiment. Je promets de plus recommencer même si je me fais insulter. Moi : pas question de te laisser faire. Tu as expliqué au proviseur ? Val : non, je suis pas une balance. Moi : Bon, tu vas devoir assumer alors. Je le prends dans les bras et l'assure que je suis de son côté. J'ajoute qu'il devrait profiter de leurs moments à deux pour persuader le mecque baiser entre hommes c'est ce dont il a besoin Val : oui je pense comme toi, qu'il a envie mais que qu'il pense c'est pas bien !! Il me quitte rassuré. Quand je le croise en plein effort sous une barre de 50Kg il n'y pense plus c'est sûr. Il rentre chez lui avec quand même dans ses poches une bonne 10aine de kpote au cas où la situation évoluerait rapidement^^ Denis, au courant de l'aléa, vient en discuter avec moi. L'altercation de son frère avec son collègue a fait le tour de l'établissement. C'est plus le fait qu'il ait immobilisé le mec aussi rapidement que son outing qui est le sujet du moment. Il se charge de rassurer leur mère. Le BAC approchant, il ne travaille plus pour moi mais exclusivement pour lui-même. Avec Ewen et Milo, il bosse pour une belle mention. Mes escorts ont à coeur qu'ils réussissent tous les trois et ils contribuent tous à leur manière. Soutient en math, physique mais aussi en décompression et pour cela rien ne vaut une bonne baise. Ils font en sorte qu'une fois par semaine ces trois-là participent à une touze locale qui leur est dédiée. Elle dure rarement plus de deux heures mais ils en ressortent l'esprit vidé.
Valentin suite : Récit direct de l'intéressé. Comme me l'a suggéré Sasha je teste mon co-condamné. La semaine qui a suivi, en fin de notre séance de sport (PM), le prof nous rappelle que nous devons tout ranger. Comme on ne s'est pas encore reparlé avec l'autre couillon, je commence dans un coin et lui dans l'autre. Silence complet, je me demande bien comment je vais attaquer la falaise. 1/2 h le prof passe la tête dans la salle, s'aperçoit que tout va bien et nous informe qu'il se casse et qu'il nous fait confiance pour pas nous écharper. On confirme chacun. Même si certaines choses auraient été plus faciles à 2, on ne s'est pas entraidé. Quand j'ai fini la moitié, je me casse aux vestiaires et me coule à poil sous les douches. La pièce a juste le temps de s'embuer un peu que l'autre arrive. A poil lui aussi, il prend place sous la pomme d'à côté (alors qu'il y en a 6 autres au choix !!). Savonnages dans le silence, je lui tourne le dos. Si les mecs l'intéressent, ça devrait pas le laisser de marbre^^ Quand je me rince j'ai réussi à ne pas bander encore. Je pivote vers lui et ce n'est pas son cas. Sa bite lui colle aux abdos, beau morceau de 17 épais comme moi. Moi : va pas dire que mon cul ne t'intéresse pas. Axel : y'a que toi qui me fait bander. Avant j'ai jamais bandé devant un mec. Moi : c'est que je suis trop bo ! Axel : je comprends pas c'est les filles qui me font cet effet-là. Moi : faut croire que pas seulement car je fais pas meuf surtout à poil ! Axel : non, c'est pas ce que j'ai voulu dire. Juste que c'est la première fois pour un mec. Excuse-moi pour l'autre fois mais ça m'a fait un choc. Moi : et moi donc, en me frottant la joue
Axel se rapproche et tend le bras. Sa main vient remplacer la mienne. Je retiens un mouvement de recul. J'ai bien fait car c'est une caresse qu'il fait à ma joue. S'il est dans cet état d'esprit, je tente. Je place ma main sur la sienne, rapproche nos deux visages et pose mes lèvres sur les siennes. Pas de recul. Je penche un peu la tête et ouvre la bouche. La sienne (de bouche ndlr) fait de même et ma langue part à la recherche de la sienne. Quand elles entrent en contact, c'est comme un choc électrique. Son autre main vient derrière ma tête et il me retient alors que nos langues jouent à, t'es là, t'es pas là, t'est où, par là... Si j'ai un peu d'expérience, lui aussi même si ça n'a de l'être qu'avec des meufs. De mon bras libre, j'attire son bassin contre le mien et colle nos deux queues raides de plaisir. On se pelle un bon moment sous l'eau des douches qui coule sur nos corps collés et augmente le brouillard qui nous isole du monde extérieur. Putain qu'il est bon ! On finit quand même par se décoller. Axel : t'es plus kiffant que Chloé ou Manon Deux filles de notre classe Moi : Je sais, j'ai un plus beau cul
Il éclate de rire et me le confirme, puis il me sort un " qu'est-ce que je vais faire ?!? " qui me dit que c'est pas encore gagné. Moi : toi je sais pas mais moi j'ai une petite idée. J'ai envie qu'on fasse l'amour ! Il recul un peu. Je le rattrape par les hanches et le recolle à moi. Il n'a pas débandé. Moi : écoute ton envie pas le qu'en dira-t-on Je force un peu et nos langues se retrouvent. Il se perd dans notre baiser. Je surprends une ombre coté vestiaire. Je ne bouge pas et fini par deviner le proviseur qui se retire sans nous avoir engueulé. Je me décolle de ses lèvres et le prévient qu'on vient de se faire griller. Panique chez lui. Je le rassure que ce n'était que le Proviseur et qu'il nous avait laissé tranquille. Axel ne comprend pas. Je dois lui mettre les points sur les i que le proviseur préfère surement nous voir comme ça plutôt que de finir l'année en nous foutant sur la gueule. Axel : t'es sûr qu'il ne va pas nous balancer à nos parents ? Moi : à 99,99 %. S'il est con il est quand même plutôt tolérant d'après ce que je sais d'autant plus qu'on tient tous les deux dans le 1er quart de la classe. Axel : merde quand même ! Moi : puisqu'on sait qu'on sera plus dérangé, j'ai bien envie d'aller plus loin. Axel : non ! Moi : ta bite dit le contraire, car elle n'a pas débandé
Sans lui laisser le temps de réfléchir, je l'entraine dans le vestiaire, utilise une chaise pour coincer la porte et le rattrape avant qu'il ne change d'avis (enfin il n'en avait pas encore trop d'avis !!) On se sèche mutuellement mais vite nous sommes repris par l'envie de baiser. Je me penche et lui fait direct une gorge profonde. Il faut bétonner auprès des futurs homos ! Axel : putain que c'est bon ! Elles ont jamais réussi ça ! Moi : y'a pas qu'à ça qu'on est meilleurs. Je lui demande s'il est clean. Il me répond qu'il n'a jamais baisé que 5 fois les meufs ci-dessus désignées et toujours sous capote. Idem de ma part que sous capote ou avec les mecs " certifiés " de chez Sasha. Je me couche dos sur un banc et l'attire par les hanches. C'est plus confortable pour qu'il me défonce la gorge. En plus ça lui met ma propre bite à dispo. Il comprend et me gave copieusement. Il met quelques temps mais je le sens se pencher au-dessus de moi et timidement il s'attaque à mon gland. Ok c'est pas aujourd'hui qu'il va me rendre la pareille mais il y met du coeur. Pour une première, il ne tient pas longtemps surtout quand je commence à déglutir (lol). Je sens ses couilles remonter contre sa queue et il largue la sauce. 8 jets de jus qui me gave l'estomac. A son deuxième, je jute aussi. Il avale mais en laisse tomber, pas encore habitué à avaler en direct. Je le repousse et garde en bouche la dernière salve. On se relève et je lui roule un patin baveux de son propre sperme. On ne se détache que les bouches vides. Il m'avoue qu'il adore boire son propre sperme depuis qu'il avait testé pour savoir pourquoi les meufs refusaient de le faire. Retour aux douches. Alors qu'on se sèche en discutant, surtout lui qui se/me demande comment gérer " ça ", la porte s'ouvre et le proviseur entre.
Avant qu'on ait pu ouvrir la bouche, il nous dit qu'il venait voir si nous étions dans de meilleurs sentiments l'un et l'autre car il ne comptait pas passer la fin de l'année scolaire à gérer notre animosité. Il ajoute qu'il avait calculé le temps nécessaire à notre punition et pensait qu'avec 1 h de rangement plus 1/2 heure d'ablutions cela devrait être suffisant. Axel et moi le rassurons sur ce point. En Jeans, toujours torses nus, j'attrape Axel par la taille et le colle contre ma hanche. J'ajoute qu'en plus, comme il l'avait sûrement deviné quand il était passé précédemment, notre différent s'était plutôt transformé en différence. Sourire du proviseur. Il nous demande de rester discret et, regardant Axel, surtout avec tes parents qui sans vouloir te vexer ne sont pas parmi les parents d'élève les plus tolérants. Comme il nous a laissé, j'attrape mon nouveau copain et lui roule un patin qu'il me rend bien.
Jardinier
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Dispute avec mon copain hier, qui a finie par moi faisant mon sac et claquant la porte à 1h du matin. Deux jours avant qu'on soit sensés signer un contrat pour un appartement ensemble. Ça m'a pris 2 minutes, je pouvais pas faire autrement. J'avais dit "J'ai envie de rentrer chez moi", à quoi il avait répondu "Fais-le alors, mais saches que je t'arrêterai pas et que j'appèlerai pas." Alors j'ai bondis hors du lit - il faut protéger sa fierté... Le seul truc qui aurait pu m'arrêter c'est le fait que j'avais déjà pris ma dose de mélatonine. Bref, je me retrouve à sangloter sur la route, avec mon petit sac sur le dos. Je voyais des couples qui sortaient de leurs Ubers et rentraient chez eux main dans la main, tous beaux. Moi je faisais peur, je le sais parce que j'ai vu mon reflet dans le miroir de l'ascenseur. J'étais plus en colère contre moi-même que contre lui. C'est ça le plus douloureux dans l'histoire. Des disputes on en a eues, mais cette fois-ci le coupable est à l'intérieur de moi, c'est mon anxiété sociale et la façon dont elle me paralyse, me gâche la vie. C'est elle qui est responsable du petit drame d'hier.
Ça a commencé par une soirée Monopoly avec ses soeurs. Ça rend la dispute presque drôle. À chaque fois que je rencontre sa famille je suis paralysée par l'angoisse, et le fait de parler suédois avec eux arrange pas les choses. Les mots sortent pas, je suis silencieuse et m'en veux d'être silencieuse. Je me force à parler et tout ce que je dis est maladroit, les larmes me montent aux yeux, je veux rentrer chez moi, respirer à nouveau. Bref, hier ça avait malgré tout bien commencé, même si j'étais fatiguée après une journée de boulot. Ça a mal tourné quand elles ont mis de la techno, monté le son et se sont mises à danser autour du Monopoly. Là mon corps tout entier s'est paralysé et j'ai fixé le plateau de jeu pendant ce qui m'a semblé être une éternité. Dans la voiture sur la route du retour mon copain m'a à peine adressé la parole et la paranoia a commencé à faire son petit bonhomme de chemin dans ma tête. Je pouvais rien dire parce que sa soeur était dans la voiture avec nous. Mais je savais qu'il trouvait que j'avais été désagréable avec ses soeurs. C'est super important pour lui que ça se passe bien avec ses amis et sa famille, que je sois intégrée.
"L'intégration", le concept autour duquel ma vie tourne depuis que je suis arrivée en Suède. J'ai essayé de m'intégrer dans ma coloc, au boulot, à l'université, avec sa famille et ses amis. J'essaie de parfaire mon suédois à côté des études et du boulot, je m'adapte, je regarde personne au supermarché et je dis pas "bonne journée au revoir" à la caisse du supermarché. Je dis juste "merci" comme tout le monde et je me casse. Je coupe plus la parole, j'attends mon tour pour parler et quand je le fais je regarde tout le monde dans le groupe. J'ai des opinions modérées. Je me place à un mètre de distance des autres quand je fais la queue et je marche jamais sur les pistes cyclables. J'ai perdu mes couleurs, et pour régler ça je suis une thérapie cognitivo-comportementale dans un CMP suédois. Je paie 200€ par mois pour faire du yoga avec des jeunes mamans qui travaillent dans le domaine de la culture et adorent la France, c'est à dire Aix-en-Provence et Paris. Mais hier j'ai fais l'erreur d'être silencieuse à la table du Monopoly, et maintenant mon copain est inquiet, il se demande si je réussirai un jour à m'intégrer.
Hier il m'a demandé de prendre mes responsabilités. Je sais pas si c'est le fait d'avoir fait l'armée, d'être capricorne ou tout simplement suédois qui le fait dire ça. Peut-être un mélange des trois. Selon lui, il faut avoir besoin de personne dans la vie. Il vis pourtant à 10 minutes de chez ses parents et a un papa qui est allé le chercher chez le médecin la semaine dernière, avant de lui faire des courses. Tous ses amis sont des amis d'enfance sur qui il pourra compter toute sa vie. Ce que je veux dire c'est qu'il a un filet de sécurité immense en dessous de lui. Et maintenant je vais comparer sa situation avec la mienne, je sais que je devrais pas comparer mais je vais le faire. Je suis partie à l'étranger toute seule et ai réussi à m'en sortir toute seule et la semaine dernière je devais noter le numéro de téléphone d'une personne de confiance quelque part, et j'avais que lui. Hier quand je faisais ma petite crise d'angoisse silencieuse devant le Monopoly j'attendais juste une main sur mon épaule, parce que je sais qu'il a vu. Mais j'ai eu que du silence en retour, et dans le lit il était presque collé contre le mur pour être trèèèès loin de moi. Il est presque midi et je sais qu'il appèlera pas aujourd'hui, et demain on doit signer le contrat. Ou plutôt, il doit signer le contrat parce qu'ici c'est pas mon pays.
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L'auto stoppeur
Lors d'un week end ou nous avions 3 heures de route, nous avons croisé un auto stoppeur sur le bord de la route.
Le pouce bien en l'air, 25 ans, le gros sac a dos, les cheveux aux vent, le short multi poches, la chemise ouverte, le débardeur blanc.
Nous le faisons monter a l'arrière, et commençons à discuter de tout, de rien.
Il nous dit partir rejoindre des amis et que nous sommes fort sympathiques de l'emmener.
Pour l'occasion de notre weekend, j'avais mis une jupe assez volante et un débardeur près du corps. Il faisait chaud.
Mon mari a fait dévier la conversation, en demandant à notre invité, s'il avait une petite amie, si cela faisait longtemps qu'il était parti, s'il avait été pris en auto stop par denombreuses personnes, si parfois cela avait dévié....
Nous avons vite compris que notre nouvel ami n'était pas contre un peu d'action.
Mon mari lui a donc demandé de glisser sur le siège derrière lui afin de pouvoir me regarder a sa guise.
Il m'a fait ouvrir mes cuisses et enlever mon string.
Tout en conduisant (vive les voitures automatiques), mon mari a commencé à me caresser la peau de mes cuisses.
Il faisait chaud, très chaud...
Il a alors demandé à notre invité de se mettre sur le siège derrière moi et lui a donné feu vert pour me peloter autant qu'il le souhaitait sans restriction....
J'ai vite senti ses mains se promener le long de mes seins, glissant sous mon débardeur afin de les soupeser, de les pincer, faisant rouler mes tétons entre ses doigts.
Elles ont continué leur chemin vers ma jupe, et il n'a pas fallut longtemps a ce jeune homme pour trouver l'entrée.
Il a senti mon excitation, l'humidité de mon antre et y a très vite glissé ses doigts.
Il se les aient léchés puis en a fait de même avec ma bouche.
Une main sur un sein, l'autre sur mon clitoris, il a commencé sa stimulation, tout cela sous le regard de mon mari qui faisait courir sa main sur ma cuisse.
Il n'a pas fallut longtemps pour que mes cris remplissent l'habitacle de la voiture.
Mon mari a arrêté la voiture sur le bas côté, m'a embrassé goulûment puis m'a dit de passer a l'arrière pour remercier notre auto stoppeur le temps de finir la route. Il ne restait que 15 minutes pour le faire venir avec ma bouche.
Au vue du niveau d'excitation, vous pouvez imaginer qu'il n'a pas fallut 15 minutes a notre ami pour venir entre ma bouche sur son sexe et mes mains sur ses boules...
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la mécanicienne et le glaçon ll ft. sunghoon



Quand on me demande ce que je fais dans la vie, j'aime me décrire comme une mécanicienne de l'être humain. Dit comme ça, ça pouvait paraître bizarre mais je n'étais pas très loin de la vérité. Après tout, mon travail consistait techniquement bien à réparer les gens.
Là où ils avaient des clés à molette pour démonter des carrosseries, je n'avais que mes deux mains pour retaper des squelettes endoloris. Mais pas besoin de clé de douze quand on avait de l'huile de coude et qu'on connaissait les deux-cents six os qui composaient notre corps sur le bout des doigts. Néanmoins, j'aimais définir mon métier comme celui d'une garagiste pour humains. Faire rouler les mécaniques internes d'un seul geste, dénouer les tensions avec quelques mouvements précis. Dans un sens, c'était presque un art. Savoir où se trouvaient exactement les organes qui nous remplissaient et pouvoir les manipuler sans même les voir n'était pas donné à tout le monde. Et plus que ça, j'aimais pouvoir me dire que j'étais capable d'apaiser la souffrance des autres, que je pouvais les accompagner sur le chemin de la guérison.
Les véhicules dont je m'occupais étaient divers et variés, chacun avec leurs propres soucis. Parfois, ce n'était qu'une simple pièce à remonter ou à bouger pour la remettre à son emplacement d'origine. Un moteur à faire ronronner plusieurs fois et à différentes vitesses pour le décrasser et lui permettre de rouler à nouveau, en toute sérénité. D'autres fois, c'était plus compliqué et il fallait soulever le capot pour vérifier s'il n'y avait pas d'autres problèmes en profondeur. Réitérer les séances de mécanique pour trouver où se trouvait la faille et la réparer en douceur, un outil après l'autre. Et ce n'était pas toujours facile. Au contraire. Néanmoins, s'il y avait bien un mot pour me décrire c'était la persévérance.
Même si parfois, il y avait des engins plus complexes à diagnostiquer.
Comme le jeune homme qui me faisait face et m'observait intensément depuis bien cinq minutes. Le tout, sans avoir ouvert la bouche une seule fois depuis qu'il avait mis un pied dans le cabinet.
« Il ne parle pas ? » je m'enquiers auprès de l'homme qui l'accompagne, les lèvres étirées par une grimace. Celui-ci laisse échapper un rire avant de donner un léger coup d'épaule au plus jeune. « Sunghoon ? » Oh. La statue de glace qui se trouvait dans la chaise à ses côtés s'appelait donc Sunghoon. « Il n'est pas muet. A vrai dire, il est même plutôt bruyant quand il s'y met. » C'est à mon tour de pouffer, une main couvrant ma bouche. L'objet de notre discussion fronce les sourcils avant de croiser les bras sur son torse. « Je vous entends, vous savez. » bougonne-t-il à voix basse et mes lèvres frémissent à nouveau. Je pose mon menton sur le dos de ma main, mes yeux parcourant les contours de son visage. Il semblait comme taillé à la serpe, avec des traits délicats mais indubitablement masculins. « Enchantée, Sunghoon. » je souffle, avec un sourire avenant. Il me jette un coup d'oeil furtif avant de porter son attention sur l'aquarium installé dans un coin de la pièce. « Dr Eu-nil n'est pas là ? C'est lui s'occupe de moi, d'habitude. » m'interroge-t-il du bout des lèvres, observant le mouvement des poissons dans leur cage de verre.
Je vois. Il avait décidé de jouer les récalcitrants. Très bien. S'il pensait que ça allait m'atteindre, il pouvait se fourrer un doigt dans l'oeil. Même si je pratiquais pas depuis longtemps, j'en avais connu des plus coriaces. « Il est en arrêt maladie pour une durée indéterminée. C'est moi qui reprends ses rendez-vous pendant son absence. Pourquoi ? Ça pose un problème ? » je demande avec un rictus amusé. Tout en le fixant sans ciller. Il doit sentir le poids de mes iris dardés sur lui parce qu'il se risque à une nouvelle œillade dans ma direction avant de plisser les lèvres. « Aucun. » Je souris plus franchement, me redressant sur ma chaise avant de taper mes mains l'une contre l'autre. « Alors c'est parfait ! D'ailleurs, je ne me suis pas présentée. Je suis Y/n. » Il ne bronche pas et ça ne fait qu'approfondir mon amusement. « Tu permets que je te tutoies ? Il paraît qu'on va passer un bon moment ensemble, toi et moi. » Ses yeux sombre croisent à nouveau les miens, insondables. « Si vous...Si tu veux. » Mes paupières se plissent et je me demande un instant s'il y a quelque chose chez moi qui le gêne. Il ne semblait pas mal à l'aise à proprement parler, mais j'avais l'impression qu'il restait sur la défensive sans savoir quelle en était l'origine. J'allais avoir largement le temps de creuser, de toute façon.
Je baisse enfin les yeux sur le dossier ouvert sur mon bureau. Park Sunghoon. Né le 8 décembre 2002. Activité : patinage artistique de compétition. Un frisson remonte le long de ma colonne vertébrale et je ferme les yeux une seconde avant de reprendre ma lecture. Syndrome fémoro-patellaire et élongation de la cuisse gauche après une chute. Antécédents d'abutement à la hanche. Des termes qui m'étaient familiers et qui me tirent une nouvelle grimace. « Ça ne doit pas faire du bien. Tu peux encore marcher ? » je lance à son intention, penchant la tête sur le côté. À priori, je n'avais pas remarqué de béquilles quand ils étaient entrés dans la pièce mais ça ne voulait pas dire qu'il ne peinait pas à mettre un pied devant l'autre. Il était très facile de faire comme si tout allait bien. J'en étais le premier exemple. Sunghoon hausse les épaules, le dos bien droit. Il se trouvait de profil et je note la présence d'un grain de beauté sur le côté de son nez pointu. Il hoche la tête pour acquiescer et je note quelques informations sur mon calepin.
Charmant mais pas très bavard. Doit souffrir le martyr mais ne laisse rien paraître.
Je continue de l'interroger sur ses antécédents pour obtenir le plus de données possibles, cochant des cases ou non sur mon dossier en fonction de ses réponses. J'aimais avoir une estimation générale du patient qui se trouvait en face de moi avant toute autre chose et ça me permettait de le cerner avant d'en arriver à la partie pratique. De pouvoir agir en prenant tout en considération, pour que la séance se passe le plus mieux possible pour tout le monde. De toute façon, peu importe que les mots puissent être manipulés, le corps finissait toujours par dire la vérité. Alors autant que l'on parte sur une base de confiance, vu que nous allions nous revoir à de nombreuses reprises.
« Très bien, je crois que j'ai tout ce qu'il me faut. » je reprends, en tapotant mon calepin sur le bord de la table avant de le repousser en son centre. Puis je lève les yeux vers son entraîneur. « À priori, je pense qu'on en aura pour moins d'une heure. Je vais faire un examen global pour voir s'il n'y a pas autre chose qui se cache là-dedans et je vous le rends. » j'explique, en désignant Sunghoon d'un geste de la main, le tout additionné d'un clin œil malicieux. « Après ça, on pourra établir un diagnostic et voir ensemble pour programmer les prochaine séances. » Il hoche la tête avant de me confier le jeune homme et de prendre la sortie pour effectuer des achats pendant que je m'occupe de son poulain.
Nous nous retrouvons tous les deux seuls et je recule dans ma chaise, la faisant rouler sur le sol pour contourner mon bureau. Enfin, le bureau d'Eu-nil. Qui était devenu le mien, pour le moment. Lui n'avait pas bougé d'un pouce. Ses mains étaient nonchalamment posées à plat sur ses cuisses mais son regard n'était pas aussi détendu que le reste de son corps. Je sentais ses yeux me suivre au moindre mouvement et je m'arrête en plein milieu de la pièce. « Je vais me laver les mains et on pourra commencer. Tu peux aller t'installer tranquillement sur la table, en attendant. » Je me lève de mon siège, grimaçant à la sensation lancinante qui tiraille ma hanche gauche. Elle était devenue familière, avec le temps mais ça ne voulait pas dire qu'elle n'en était pas moins douloureuse. L'instant d'après, mon visage a retrouvé son expression habituelle et je disparais dans la pièce de l'autre côté pour me désinfecter.
Je reviens une poignée de minutes plus tard, les manches de ma blouse désormais relevées au niveau des coudes et je constate qu'il en a profité pour suivre ma directive. Il se tenait toujours aussi droit et je ne peux pas m'empêcher de me dire qu'il y a quelque chose de profondément princier chez lui.
Ce n'était pourtant pas quelque chose d'inhabituel quand on pratiquait le patinage artistique. Les entraînements portaient autant sur la pratique des figures et la maîtrise de la glace que sur la prestation scénique. Savoir effectuer un triple axel était, certes, impressionnant mais ça n'avait jamais autant d'effet que lorsqu'il était réalisé avec grâce. Ceux qui réussissaient n'étaient pas les plus doués au niveau technique, mais ceux qui avaient compris qu'il fallait allier celle-ci avec une élégance certaine pour éblouir tant le public que les juges.
Et Sunghoon semblait l'avoir intégré. Ou peut-être que ça faisait simplement partie de sa personnalité. Je n'en savais pas suffisamment à son propos pour pouvoir affirmer quoi que ce soit.
J'approche, attrapant mon tabouret à roulettes pour me rasseoir dessus et je me poste à côté de la table. « Je vais commencer par la partie inférieure, vu que c'est la raison pour laquelle tu es là. Si tu ressens une gêne, une douleur ou quoi que ce soit d'inconfortable, fais moi signe, d'accord ? » je déclare à son intention, la tête penchée sur le côté. Il hoche la sienne, acquiesçant à mes paroles. « Pardonne-moi mais ça risque d'être un peu frais. En tout cas au début. » je rajoute, avec une grimace. Ses yeux se dirigent vers mes mains, les miens suivant sa trajectoire et je ne peux pas m'empêcher de serrer les poings par réflexe. Mais je secoue la tête, me redressant sur ma chaise. « Est-ce que tu peux te remettre debout un instant ? » Il s'exécute, toujours sans un mot.
Je débute mon inspection, mon cerveau repoussant aussitôt toutes les questions que je me posais à son sujet pour se concentrer sur l'essentiel. Aussi intrigant soit-il, mon objectif principal était de déterminer s'il n'y avait pas autre chose à traiter, en plus du reste. J'accompagne mes gestes de commentaires pour le prévenir de mes intentions ou pour le faire se mouvoir d'une manière précise, afin d'observer ses mouvements. Je gardais néanmoins un œil sur son visage, à l'affût de la moindre crispation.
Une fois allongé sur la table, je survole ses jambes et je prends le temps de tester toutes ses limites. Flexion, extension, torsion. Quand je me penche pour vérifier qu'il n'y a pas de fissure quelconque au niveau du bassin, plusieurs choses se produisent simultanément.
Mes doigts se posent sur sa taille, effectuant volontairement une pression plus forte sur le côté droit et mon souffle se coupe aussitôt lorsque quelque chose rentre en collision avec mon sternum. Je recule de quelques pas à cause de la puissance de l'impact, les yeux écarquillés et j'ai l'impression de manquer d'air. Mes mains se posent sur ma poitrine et j'essaye d'inspirer tant bien que mal. Mais tout ce que j'arrive à faire, c'est imiter le poisson hors de l'eau, des larmes de douleur perlant au coin de mes yeux. « Doc ? Doc ? » La voix de Sunghoon me paraît lointaine, comme étouffée. Il s'était redressé sur la table de massage, les yeux écarquillés et une profonde inquiétude s'affichait sur son visage. « Je suis désolé, je ne voulais- » Je secoue la main devant lui, ma tête suivant le même mouvement. J'aimerais lui dire que ce n'est pas grave, que ce n'était qu'une réaction de son corps face à la douleur mais je suis incapable de lui répondre par des mots en cet instant. Calme toi, y/n.
Je ferme les yeux, pinçant les lèvres et je pose une main sur mon ventre. « Qu'est-ce que- » Sans le regarder, je lui fais signe de ne pas bouger de l'autre main. Puis j'essaye de faire redescendre le peu d'air contenu dans mes poumons vers mon diaphragme avant d'inspirer un court instant et de répéter le processus jusqu'à ce que mon souffle revienne à la normale. Ce qui se produit après de longues secondes, mes paupières se rouvrant d'elles-mêmes lorsque je retrouve enfin la paix. « Est-ce que...ça va ? » m'interroge Sunghoon, le visage plissé par la culpabilité. Je déglutis, avançant pour m'appuyer contre le bord de la table. « Je... » je débute, la voix enrouée après avoir manqué si subitement d'air. « Ça va. Enfin...Je crois. » Puis je ris, sans pouvoir m'en empêcher. Le jeune homme qui me fait face m'observe comme si une corne s'était mise à pousser sur mon front et ça fait redoubler mon hilarité, mes gloussements pareils à des bris de verre. J'essuie les larmes qui étaient venues naître au coin de mes yeux avant de reprendre mon souffle une seconde fois. « Désolée. Je me disais simplement que notre rencontre aura été percutante. » je plaisante, levant le nez dans sa direction. Il rougit aussitôt, déviant les yeux avant de plisser les lèvres. « Je... Je suis désolé. Pardon. » Je souris devant son air profondément gêné, tapotant gentiment son tibia. « Ce n'est pas grave, Sunghoon. C'est même un très bon indicateur de ta condition, dans un sens. » Si il avait réagi comme ça, c'est que la blessure était importante. « Mais je crois que je vais quand même éviter de réitérer l'expérience. Question de survie. » Une fois suffisait. Si ça avait été plus brutal, je n'étais pas sûre d'avoir tenu sur mes deux jambes. « On va y aller plus doucement, d'accord ? N'hésite pas à me dire si j'appuie trop fort. » Il hoche la tête et je lui fais signe de se rallonger. Puis nous reprenons la séance en douceur, mes doigts se faisant plus légers contre sa peau.
Néanmoins, je sens ses muscles se tendre ici et là sur mon passage. « Est-ce que tu peux enlever ton haut ? » je demande, en le faisant se rasseoir sur la table après un certain temps. Il se raidit et je vois ses pommettes rosir. « Mon quoi ? » demande-t-il, les yeux légèrement écarquillés et je retiens de justesse le petit rire qui menaçait de passer la barrière de mes lèvres. « Ton haut. Est-ce que tu peux l'enlever ? Ça sera plus facile pour moi, pour travailler. » Il mâchonne sa lèvre intérieure pendant un instant et j'en profite pour étudier son profil de plus près. Puis il marmonne de manière indistincte avant de relever les bords de son pull fin pour le passer au-dessus de sa tête. Je ne peux pas m'empêcher d'admirer les muscles sec qui roulent sous sa peau pâle à mesure de ses mouvements. Comme la plupart des patineurs, il était tout en longueur et il avait été affûté pour le mouvement et la vitesse. Préparé à subir des sauts et diverses pirouettes, à retomber sur ses pattes avec élégance et à ne faire qu'un avec le mouvement de balancier qu'imposait ce sport.
Sunghoon avait posé ses mains sur ses cuisses, ses yeux regardant absolument partout sauf dans ma direction. Et je n'arrivais à le décrire autrement que comme adorable. « Respire, Sunghoon. » je souffle, non sans dissimuler mon amusement. « Je vais juste vérifier l'équilibre de ta colonne. Histoire de voir s'il n'y a pas quelques vertébrales ou des dorsales qui se sont déplacées. C'est assez fréquent à cause des réceptions à répétition. » je lui explique, avant de contourner la table pour me placer dans son dos. « Je vais partir des épaules et descendre petit à petit. » Mes gestes suivent aussitôt mes paroles et je suis le chemin indiqué, débutant par la haut de son torse avant de presser mes doigts le long de sa colonne, disque après disque.
Il devient raide quand je m'attaque aux lombaires et je me stoppe aussitôt, avançant ma tête au-dessus de son épaule pour apercevoir son visage. « Tu as ressenti quelque chose ? » je demande, les sourcils froncés. Mais il secoue imperceptiblement la tête et je fais la moue, dubitative. « Alors qu'est-ce qu'il y a ? » Il gigote et j'aperçois ses poings désormais serrés. « Tes mains. » murmure-t-il et je hausse un sourcil. « Mes mains ? Qu'est-ce qu'elles ont ? » je l'interroge, en baissant les yeux sur mes dix doigts. Il semble vouloir dire quelque chose avant de se raviser, d'essayer encore et de ravaler ses paroles à nouveau. « Elles sont...froides. » finit-il par lâcher après un certain temps et je pouffe, frottant mes paumes l'une contre l'autre. « Désolée. » Il secoue les épaules sans un mot et j'attends d'avoir les mains plus chaudes pour reprendre mon inspection. « C'est mieux comme ça ? » Il marmonne une réponse dans sa barbe et j'en conclus que ça devait faire l'affaire parce qu'il ne bronche pas davantage.
Je termine l'auscultation de son dos avant de le faire se rallonger pour m'occuper de la partie cervicale. Assise sur mon tabouret, je glisse sur le parquet pour me retrouver au niveau de sa tête et je glisse mes deux mains sous celle-ci pour la prendre en coupe. Ses cheveux soyeux chatouillent ma peau et je pose mes pouces à la naissance de sa mâchoire. « Tout va bien ? » je murmure, en baissant la tête vers lui. Ses yeux croisent les miens une seconde et il hoche la tête sans un mot. « J'imagine que oui. » je réponds, avec un léger sourire. Je poursuis alors mon travail en commençant par sa nuque, ses paupières se fermant très vite sous la sensation.
Un frisson le traverse lorsque j'entame le haut des cervicales, disque après disque et mes lèvres frémissent à cette vue. Puis sa voix brise le silence qui s'était instauré jusqu'à présent, mes mouvements s'arrêtant presque aussitôt.
Tu as pratiqué le patinage artistique ?
Le temps semble se figer. Ou s'allonger. Je n'arrivais pas vraiment à le savoir. Sa question semble résonner encore et encore dans la pièce, rebondissant entre les quatre murs. Et je prends une profonde inspiration, mes doigts immobiles entre les mèches épaisses à la base de son cou. « Qu'est-ce qui te fait dire ça ? » je demande, en passant ma langue sur mes lèvres. « Tu as l'air d'en connaître beaucoup sur cette discipline. Plus qu'une simple kinésithérapeute, en tout cas. »
Son ton était égal mais sans le moindre jugement. Et je sentais une pointe de curiosité dans sa voix, des questionnements simples et désintéressés. À mon plus grand étonnement, ça suffit à apaiser la morosité qui pointait le bout de son nez à chaque fois que j'évoquais cette partie de ma vie. Il ne me connaissait pas. Encore moins celle que j'avais été avant et ça avait quelque chose de rassurant, dans un sens. « J'en ai fait pendant quasiment onze ans. » je finis par confier, mes dents triturant ma lèvre inférieure. « Pourquoi est-ce que tu as arrêté ? » m'interroge-t-il, après une poignée de secondes. Un triste sourire étire le coin de ma bouche et je regarde fixement le mur devant moi. « Si ça ne tenait qu'à moi, je serais encore sur des patins. » je débute, avant de laisser échapper un rire que j'aurais aimé moins cynique. « Mais la vie a décidé que ce n'était pas fait pour moi. Alors je fais du mieux que je peux pour aider ceux qui en ont encore la possibilité. »
Je me rends compte à cet instant des cheveux sombres entortillés autour de mes doigts et je déglutis avant de leur rendre leur libert��. L'instant d'après, mes yeux croisent ceux de Sunghoon.
Débordants de nouvelles questions, de réflexions et de tant d'autres choses encore. Il n'était pas bavard mais son regard exprimait tant d'émotions à la seconde qu'il était facile de s'y perdre.
« Est-ce que ça te manque ? » Son interrogation apporte avec elle son lot de souvenirs et je soupire. « Parfois, pas du tout. Mais il y a des jours où c'est douloureux de ne plus pouvoir faire ce que j'aimais le plus au monde. » J'avais rarement remis les pieds dans une patinoire, depuis mon accident. Parce que ça aurait été comme se trouver devant la vitrine d'une pâtisserie sans pouvoir goûter le moindre gâteau. Et que je n'avais pas la moindre envie de m'infliger ce supplice. « Comme si j'avais perdu l'un de mes membres, tu vois ? Une sorte d'extension de moi-même. » je poursuis, avec un air très certainement nostalgique. « Après, il y a des choses plus graves au monde. J'ai fini par l'accepter, avec le temps. Et mon métier actuel me convient très bien. » je termine, en haussant les épaules. « Je fais des rencontres étonnantes et je me prends des coups de genou dans le sternum ? Que demander de plus ? »
L'humour, ma marque de fabrique pour changer subtilement de sujet. Enfin, je n'étais pas certaine que ce soit si subtil que ça mais il a la délicatesse de ne pas rebondir dessus, se contentant de plisser les lèvres à la suite de ma remarque.
Son entraîneur réapparaît à la porte un peu avant la fin de mon examen et nous le rejoignons une fois que celui-ci est terminé, Sunghoon rhabillé et toujours assis aussi droit sur sa chaise. Je fais un résumé de mes observations suite à la séance et elles ne sont pas bien longues. Outre les problèmes indiqués au préalable sur son dossier, il n'y avait pas grand chose à remettre en place. Mais le plus important allait mettre un certain temps à être traité correctement, s'il voulait pouvoir gambader à nouveau sur la glace. « Tout s'est bien passé ? » me demande le plus âgé et je pouffe, une main devant la bouche. Nous échangeons un regard avec Sunghoon, qui ne passe pas inaperçu de son accompagnateur et celui-ci fronce les sourcils. « Comme sur des roulettes. » je réponds, en retenant une furieuse envie d'exploser de rire. À la place, je m'accoude au bureau et je pose mon menton sur mes mains entrelacées. « Je dirais même que c'était à couper le souffle. » je rajoute, avec un large sourire. Sunghoon, lui, m'envoie des éclairs avec les yeux avant de reprendre une expression tout ce qu'il y a de plus composée en apercevant le regard suspicieux de son entraîneur. « Je ne sais pas si j'ai envie de savoir ce qui s'est passé, en fin de compte. » Je presse mes lèvres l'une contre l'autre, amusée. « Rien dont vous n'avez à vous inquiéter, promis. » Petit clin d'oeil en direction de mon patient, qui fronce les sourcils et croise les bras sur son torse. « On a terminé ? » lâche-t-il avec une moue contrite. Je pousse le planning que j'ai griffonné à la main dans leur direction, élaboré en fonction du nombre de séances que j'estime nécessaires pour le soigner correctement. « Je vous laisse coordonner ça avec son emploi du temps et me contacter pour poser les prochains rendez-vous. »
Je me lève de mon siège avec une grimace, m'appuyant imperceptiblement au bord du meuble pour soutenir mon poids. Puis je désigne Sunghoon d'un geste du menton. « Si vous constatez la moindre aggravation dans sa démarche, ligotez-le et amenez-le moi, d'accord ? » Nouveau regard meurtrier de la part du concerné et je glousse devant son air contrarié. « Ou passez-moi un coup de fil et je me débrouillerai pour faire le déplacement. » Son entraîneur hoche la tête, complice et ils se redressent à leur tour, rejoignant la porte de mon cabinet. Je contourne le bureau pour aller à leur rencontre.
Et mon cœur tressaille involontairement en sentant une nuance dans la poignée de main de Sunghoon. Celle que j'avais reçu à son arrivée avait été froide et vite expédiée. Là, ses doigts étaient tièdes contre les miens et ils restent plus longtemps que la première fois, insufflant une douce chaleur sur ma peau. Nos regards se croisent à nouveau et je vois des choses que je n'arrive toujours pas à interpréter dans ses sombres iris. Sa main effleure la mienne en se retirant, faisant naître un frisson à la base de mon dos. Sa haute stature se détournant pour quitter la pièce à la suite de son entraîneur, s'éloignant petit à petit le long du couloir.
Mais la sensation de ses doigts pressés contre les miens persiste bien après son départ. Et je me dis qu'en fin de compte, « percutante » était peut-être bien la définition adéquate pour définir ma rencontre avec Park Sunghoon.
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La Mode nationale, no. 9, 6 mars 1897, Paris. No. 14. — Toilettes d'intérieur et de visites. Bibliothèque nationale de France
(1) Costume de visites en lainage vert amande. Corsage plat, orné sur le côté par un large galon ouvragé descendant jusqu'au bas de la jupe, même galon sur le dos, forme princesse; sur le corsage, grand col de guipure de Bruges, col montant en galon avec ruche au-dessus; manches Empire. Jupe princesse, ornée de galons. Chapeau rond en feutre noir garni par une draperie de satin, montante, du milieu de laquelle s'échappe une plume d'autruche en aigrette.
(1) Visiting suit in almond green wool. Flat bodice, decorated on the side with a large ornate braid going down to the bottom of the skirt, same braid on the back, princess shape; on the bodice, large Bruges guipure collar, high braid collar with ruffle above; Empire sleeves. Princess skirt, decorated with braids. Round black felt hat trimmed with a rising satin drapery, from the middle of which escapes an egret-shaped ostrich feather.
Métrage: 9 mètres lainage grande largeur.
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(2) Toilette de satin bleu pâle Liberty. Corsage bouillonné recouvert par une dentelle blanche pailletée, avec nœuds de satin à l'ouverture et sur les épaules; manches Empire, ceinture de satin; jupe boutonnée sur le côté, tout unie et plissée derrière.
(2) Liberty pale blue satin toilet. Bubbled bodice covered with glittery white lace, with satin bows at the opening and on the shoulders; Empire sleeves, satin sash; skirt buttoned on the side, all plain and pleated behind.
Métrage: 15 mètres satin Liberty bleu pâle.
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(3) Toilette d'intérieur. Corsage formé d'entre-deux de valenciennes et de chantilly noir, mis sous ceinture rose; col semblable avec ruche au-dessus; manches Empire formées d'entre-deux; transparent de taffetas rose sous le corsage. Jupe de velours noir forme nouvelle.
(3) House dress. Bodice made of valenciennes and black whipped cream, placed under a pink belt; similar collar with ruffle above; Empire sleeves formed from in-between; transparent pink taffeta under the bodice. New shape black velvet skirt.
Métrage: 10 mètres velours noir.
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(4) Toilette d'intérieur en faille bleu bluet. Corsage plat recouvert par un boléro en broderie de jais garni par un volant plissé et coquillé en mousseline de soie rose; manches petit ballon retenues par un nœud semblable, col montant avec nœuds de velours derrière. Jupe princesse remontant devant en pointe sur la poitrine.
(4) House dress in bluet blue faille. Flat bodice covered by a jet embroidery bolero trimmed with a pleated and shell ruffle in pink silk chiffon; small balloon sleeves held in place with a similar knot, high collar with velvet bows behind. Princess skirt rising in front to a point on the chest.
Métrage: 13 mètres faille bleu bluet.
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(5) Toilette de visites. Corsage en mousseline de soie noire plissée, sur transparent vieil or sous empiècement de soie brochée vieil or avec petit volant en mousseline; bretelles semblables, col de satin noir, ruche de mousseline. Manches Empire avec jockeys de soie brochée. Jupe de satin noir unie. Toque de satin vieil or, composée d'un fond mou et de choux faisant la passe, et surmontés par une grande plume et une aigrette.
(5) Visiting ensemble. Bodice in pleated black chiffon, on transparent old gold under yoke of old gold brocaded silk with small chiffon ruffle; similar straps, black satin collar, muslin ruffle. Empire sleeves with brocade silk jockeys. Plain black satin skirt. Old gold satin hat, composed of a soft background and cabbages making the pass, and topped by a large feather and an egret.
Métrage: 10 mètres satin noir.
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(6) Toilette d'intérieur (jeune fille). Corsage de mousseline en soie paille plissée. Boléro en lainage vert grenouille brodé en galon à plat et faisant grand col. Jupe tout unie avec galon sur les côtés, manches Empire.
(6) House dress for a young girl. Pleated straw silk chiffon bodice. Frog green wool bolero embroidered in flat braid and making a large collar. Plain skirt with braid on the sides, Empire sleeves.
Métrage: 9 mètres lainage grande largeur.
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(7) Toilette de visites. Corsages cuirasse en satin blanc recouvert d'applications blanches; sur le côté, volant coquillé en application en point d'Angleterre, manches Empire en velours gris souris, jupe semblable. Toque de velours gris souris composée de coques doubles sur le devant, fond mou et double oiseau de Paradis en dessus.
(7) Visiting ensemble. Plastron bodices in white satin covered with white applications; on the side, shell flounce in English point appliqué, Empire sleeves in mouse gray velvet, similar skirt. Mouse gray velvet hat made of double shells on the front, soft bottom and double bird of paradise on top.
Métrage: 12 mètres velours gris souris.
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(8) Toilette d'intérieur en lainage, genre tailleur. Corsage-veste en tissu à carreaux beige et marron; grands revers de drap beige, boutonnés sur des jockeys semblables encadrant un gilet brodé en appliques, col drape montant, jupe unie plissée derrière.
(8) House dress in wool, tailor-made. Corsage-jacket in beige and brown checked fabric; large lapels of beige cloth, buttoned on similar jockeys framing an embroidered applique vest, high draped collar, plain pleated skirt behind.
Métrage: 9 mètres lainage beige grande largeur.
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(9) Toilettes de promenade. Robe princesse en drap satin suède, corsage croisé à la taille, revers de drap blanc entourés de velours dalhia, encadrant une chemisette brodée, col montant rabattu, manches Empire, jupe plissée derrière avec bas garni par un feston de drap blanc. Petite toque de satin bleu formée par une passe bouillonnée, et grande aigrette sur le devant.
(9) Walking ensembles. Princess dress in suede satin cloth, crossed bodice at the waist, white cloth lapels surrounded by dalhia velvet, framing an embroidered shirt, turn-down high collar, Empire sleeves, pleated skirt behind with hem trimmed with a white cloth festoon. Small blue satin hat formed by a bubbled pass, and large egret on the front.
Métrage: 7 mètres drap satin.
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(10) Toilette de fillette en lainage bleu pervenche. Corsage bretelle ouvert sur un empiècement brodé en drap paille, ruche autour du cou; manches Empire, petits velours bleu foncé sur les hauts poignets, ceinture drapée, jupe courte avec broderie dans le bas.
(10) Little girl's toilet in periwinkle blue wool. Strap bodice open to an embroidered straw cloth yoke, ruffle around the neck; Empire sleeves, small dark blue velvet on the high cuffs, draped belt, short skirt with embroidery at the bottom.
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(11) Toilette d'intérieur en satin aubergine. Corsage cuirasse, avec col montant et ruche au-dessus; sur le corsage, trois rangs de guipure blanche coquillée jusqu'à la taille. Même guipure sue les épaules; ceinture de satin paille, nouée en longs pans sur le côté; manches Empire, jupe unie plissée derrière.
(11) House dress in aubergine satin. Breastplate bodice, with stand-up collar and ruffle above; on the bodice, three rows of white shell guipure up to the waist. Even guipure sweats on the shoulders; straw satin belt, tied in long sections on the side; Empire sleeves, plain pleated skirt behind.
Métrage: 14 mètres satin aubergine.
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(12) Toilette d'intérieur en lainage orange. Corsage court, mis sous ceinture de soie orange et verte, grands revers et draperies au-dessus, en soie verte encadrant un plastron rayé orange et vert, et retenu par un nœud sur le devant, ruche de dentelle autour du cou, manches Empire; jupe plissée derrière, tout unie et cerclée dans le bas par vingt-cinq petits galons de laine noire.
(12) House dress in orange wool. Short bodice, placed under an orange and green silk belt, large lapels and draperies above, in green silk framing an orange and green striped bib, and held by a knot on the front, lace ruffle around the neck, Empire sleeves; skirt pleated behind, all plain and circled at the bottom by twenty-five small braids of black wool.
Métrage: 9 mètres lainage grande largeur.
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heyyy, j'ai vu la lumière du ask game et je suis vraiment trop curieuse ✨
1. qui était le tout premier personnage que tu as créé pour le rp
15. ton top cinq des personnages que tu as aimé/aimes le plus jouer, avec un petit mot sur chaque ?
<3
Hey, mais viens donc 👀
Alors. En vrai le tout premier est pas giga intéressant, c'était un personnage sans trop de personnalité sur un forum danny phantom et j'étais beaucoup trop jeune (ptdr en fait j'ai quasi tout oublié de ce perso). CEPENDANT, je peux parler de mon premier perso sur forum à avatars réel et là... On est sur du twilight (oui je sais), avec une vampire mary-sue qui s'appelait... Mary (non c'est pas une vanne) avec keira knightley en faceclaim.
15. Ok faut pas me lancer sur mes enfants préférés, vous allez le regretter mdr (en vrai c'est HYPER DUR de choisir). - Déjà mon number one, top du top et énorme chouchou, j'ai nommé Galahad de son petit nom. Il s'agit d'un personnage né en 2016, sur mon feu forum imaginariae curiositates et qui continue de vivre dans mes écrits personnels (si bien que je crois que le re-jouer en rp serait impossible). Gal, c'est un jeune médecin de 29 ans figé dans le Londres de 1941, un curieux énergumène aux chaussettes dépareillées, aux vestes en tweed et à la pipe indissociable qui vit dans un grenier où s'entassent un tas de babioles (dark academia vibe, vous l'avez). Un énorme fouineur à ses heures, amateur de photographie argentique, qui se plaît à mener l'enquête sur un tas de choses afin d'élucider des mystères. Sa particularité ? À chaque fois qu'il effleure un individu ou un élément organique, il devient cette personne : physiquement, mais également avec des relents de mentalité. C'est ce genre de personnage couteau-suisse avec qui on peut tout faire, du touchant, du farfelus, du sérieux. Après j'vais m'arrêter là parce que je pourrais faire une disert sur en quoi je l'aime d'amour. Vraiment mon comfort character. - Ensuite, il y a eu Wallace, un personnage que j'ai joué trois ans sur noctivagus et un petit peu de temps sur Crimson veil, bien que j'en ai fait le tour et ai mis un point à son histoire (même s'il reste ce que je considère comme un de mes meilleurs persos). Détective débusquant de vilaines créatures sur base d'affaires sordides œuvrant pour le gouvernement, (tw amputation) la jambe croquée par une sirène, un grincheux dans l'archétype du flic tout cassé qui retrouve peu à peu son chemin grâce à une môme qu'il a pris sous son aile et adoptée. - Puis Naëstarath, un vieux vieux perso issus d'un forum appelé Magna Veritas (basé sur les jeux ins/mv). Il s'agissait d'un démon des cauchemars, qui n'avait clairement rien à foutre en enfer (bien qu'il avait une très bonne conscience de son rôle et de sa place). Le mal, il le provoquait essentiellement par maladresse. Je crois que c'est l'un des persos que j'ai le plus fait évolué en jeu. - En vrai, en y réfléchissant, je me dis que mon perso actuel (j'suis ce genre de meuf mono-perso qui arrive pas à se focus sur plusieurs à la fois), Eliyaz, en fait partie aussi. À la base, c'était une énorme vanne avec lune (coucou) mode "viens on fait deux colocs chaotiques complètement cons façon "bloqués"/"cousins croûtes" et en vrai j'sais pas, jouer un perso frais comme ça qui se prend pas au sérieux, c'est tellement ce dont j'avais besoin pour bien revenir dans le rp game, fin je l'aime d'amour. C'est un énorme looser qui enchaîne les taff, une personnalité hyper colorée avec paillettes dans le package, un peu couteau-suisse aussi niveau émotions histoire de pas jouer que des débilités. - Et parce que parfois j'aime bien jouer les énorme saloperie, il y a eu Melberith, encore une fois un démon, mais cette fois on est sur un gaillard plus haut placé dans la hiérarchie et du genre qui fait froid dans le dos. De la crasse incarnée dans un prêtre romain pour pourrir toute une paroisse et se la jouer infiltré. Par contre méchant charismatique, oui, mais seulement si on peut de temps à autre le ridiculiser du genre jouer aux échecs avec son familier bernache du canada.
Bon pardon pour la tartine, j'avais prévenu 🫠
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saga: Soumission & Domination 315
Ludovic, Ernesto et Emma...
La rencontre avec Ernesto s'est faite plus tard lors d'un WE où Marc et Hervé étaient en déplacement.
Nous sommes allés tous les trois le chercher à l'aéroport. Petite appréhension dans la voiture de la part de Ludovic qui nous dit qu'il est peut-être de trop ! PH en rajoute en disant que c'est vrai, nous avions oublié de parler de lui au dernier membre du trio.
Nous sommes en avance et l'avion en retard. Nous prenons un Coca en attendant. Ludovic nous fait parler encore une fois d'Ernesto. J'ai beau lui dire que c'est un mec super sympathique ouvert d'esprit puisqu'il nous aimait tous les trois (Marc, PH et moi), il stresse. PH ajoute que comme il me ressemble question sexe, il ne pourra pas s'empêcher de l'apprécier comme nous. Et de lui rouler une pelle devant tout le monde. Quand ils se décollent, je vois Ludovic regarder autour de nous si quelqu'un ne le connaitrait pas.
Je lui dis de se détendre et nous partons vers les arrivées.
Ernesto passe les portes et nous cherche du regard. Quand nos yeux s'accrochent, j'y vois une interrogation. Seulement chargé d'un petit sac à dos (il pique toujours dans nos affaires quand il est en France), il court vers nous. Je l'intercepte le premier et nous nous roulons un patin aussi avides l'un de l'autre. PH passe après et quand il attrape Ludovic pour en faire autant, c'est limite si ce dernier de tombe en syncope !
Comme d'habitude il y en a que nos effusions dérangent. Ludovic est étonné de la façon dont nous rembarrons nos détracteurs. PH lui confie que ce n'est pas parce qu'on est homo qu'on doit fermer nos gueules. Quand nous partons, comme nous passons devant les quelques mecs qui avaient proféré les insultes (de pauvres types moches et petits), je m'arrête juste le temps de leur demander si c'était la bêtise ou la jalousie qui les faisaient parler ainsi. Je n'attends pas leur réponse sachant que c'est la première assertion qui est la bonne !
Pendant le retour, Ernesto fait connaissance avec Ludovic. Il se fait raconter notre rencontre, éclate de rire quand il s'aperçoit que je me suis pris à mon propre jeu. Il s'excuse s'il l'a gêné à l'aéroport mais c'était pour me surprendre moi (Sasha).
Il salut Samir et Ammed dès son entrée dans le blockhaus avant de se mettre à l'aise c'est-à-dire en shorty. Je fais de même comme PH. Ludovic est surpris. C'est vrai que c'est la première fois qu'il va résider au blockhaus plus longtemps qu'une soirée où jusqu'à présent nous avons passée à faire l'amour.
Mais à côté de ça, avec Samir et Ammed toujours en shorty cuir, c'est logique un peu ! Il se met à l'unisson et comme il arrivait de chez lui (après une journée de Fac), il est apparu en DIM. Du coup c'est moi qui me suis fait engueuler par Ernesto pour avoir laissé Ludovic avec ça sur le cul. Sans attendre une explication, il l'emmène à l'étage d'en dessous pour faire l'échange de sous-vêtement.
Comme ils ne remontaient pas vite je suis descendu et je les ai surpris dans les bras l'un de l'autre, tous les deux arborant des érections triomphantes. Ils se roulaient une pelle du type si je me détache je meurs ! J'ai crié dans l'escalier " PH " pour qu'il revienne. Et le temps qu'il arrive je me suis glissé entre les deux déjà présents. PH n'a pas tardé et nous avons commencé à faire l'amour. Tous les deux à genoux, nous avons commencé par pomper les deux bites raides. Puis je me suis redressé et j'ai pris Ludovic par le cou pour le plier devant Ernesto. Il s'est redressé brutalement pour le regarder dans les yeux. Le " c'est à toi tout ça " qui est sorti de la bouche de Ludovic en disait long sur la surprise qu'il venait d'avoir. Puis il a replongé et cette fois s'est mis à pomper notre espagnol comme si sa vie dépendait de ce qu'il en sortirait. Ernesto commentait la prestation. Quand il s'est aperçu qu'il ne rentrait pas tout dans sa gorge, il m'a demandé ce que j'avais fait depuis que j'avais chopé ce jeune homme. Pour ma défense je ne suis monté que de 20cm moi ! Ernesto a passé sa main sous le menton de Ludovic et l'a relevé jusqu'à pouvoir le regarder dans les yeux. Là il lui a posé la question qui tue : veux-tu apprendre à manger gros ? Délicat s'il en est, non ?
Devant le oui muet de Ludovic, il l'a attrapé, décollé de PH et jeté sur le lit. Avec PH on le regardait faire. Il l'a tourné sur le dos, tiré par le cou jusqu'au bord du matelas et poussé sa tête en arrière. En faisant ça, il lui expliquait la finalité de la position. Une fois en place, il lui a remis son gland dans la bouche et lentement a basculé son bassin pour faire pénétrer sa longue bite. Du premier coup, il lui a mis ses 24cm dans la gorge ! Pendant qu'il le faisait, il m'expliquait qu'il avait développé la technique avec les Escorts de ma filiale Espagnole dont il était le gérant. Comme ses clients étaient du même type que les français, il devait préparer nos employés et les mettre au format. Pour lui c'est plus facile puisque sa propre bite correspond à la moyenne de la clientèle. En France, je suis obligé de passé par les godes et parfois c'est vrai, je fais aussi appel à Pablo son frère et cuisinier d'Emma qui est monté pareillement.
En attendant, Ludovic " mange gros " selon l'expression d'Ernesto. Je me couche à ses coté dans la même position et Ernesto peut ainsi alterner les amygdales ! PH de son côté nous mangeait nos bites.
Après un bon gavage, nous nous sommes mélangés différemment. Ludovic s'est très vite mis au diapason et il a partagé sa bouche, son sexe et sa rondelle avec nous tous quand Ernesto l'a enculé, c'était après s'être fait manger le cul puis sodomisé par PH et moi. Mais les 24x6 de notre ami ont quand même eu leur petit succès. Déjà, il l'a reçu lentement, bien graissé mais d'une seule et unique poussée.
Devant lui, son visage à 5 cm du mien, j'ai vu au fond de ses yeux le plaisir qu'il avait à chaque cm de bite supplémentaire qui le défonçait.
Il m'a attrapé la tête et a écrasé ses lèvres sur les miennes avant d'essayer de me manger la langue. PH s'est glissé sous lui en 69 et s'est occupé de le sucer comme Ernesto commençait ses allers et retours. A nous trois nous avons donné à Ludovic sont premier orgasme de partout à la fois (j'entends par là, par le cul, la queue et la bouche). Pour sa bouche, après nous être repais de la langue de l'autre, il a rendu le service de PH en pompant ses 19 merveilleux centimètres de chair. Pour ne pas être en reste je l'ai aidé et nous avons alterné les pipes, les roulages de pelles et les pipes à deux bouches où nous nous roulions des pelles avec le gland de PH en centre d'intérêt. En modulant nos " activités ", PH, Ernesto et moi avons réussi le tour de force de l'exciter sans le faire jouir pendant plus d'1 heure 30. C'est lui-même, qui ne pouvant plus tenir, a donné les coups de bassins fatals. J'ai eu le plaisir de les voir tous les trois exploser quasiment en même temps. Ernesto, les mains agrippés aux hanches de Ludovic, se vidait en tassant son jus au fond de son cul, PH déglutissait le jus de Ludo et je voyais sa pomme d'Adam monter et descendre à chaque fois qu'il en avalait une rasade et son propre jus, déborder des lèvres rouges de Ludo et couler lentement le long de sa hampe.
Spectacle bandant n'est-ce pas ? Même sans avoir moi-même juté, j'étais heureux que notre séance de sexe se soit passée avec autant de naturel. Même si j'étais sùr que la rencontre Ernesto / Ludovic se passerait bien, j'étais quand même soulagé que cela se soit révélé vrai.
Ils se sont aperçu quelques minutes plus tard que je n'avais pas joui. Faut dire que j'étais le seul avec la bite encore raide ! Ils mes ont tous les trois tombé dessus et je me suis fait défoncer, pomper, embrassé, bouffer les tétons. Des doigts sont même venus s'accoler à la bite plongée dans mon trou. Après une bonne sodo de la part d'Ernesto, alors que je chevauchais Ludovic, j'ai senti le gland de PH venir titiller l'entrée basse de mon corps pourtant déjà occupé. Deux respirations du poppers placé sous mes narines par Ernesto et je me suis ouvert comme la salope que je sais devenir parfois. Dès que PH a senti que je relâchais mon sphincter, il s'est engouffré au côté de Ludovic. Ce dernier m'a ruiné le tympan droit en hurlant dans mon oreille quand les deux glands se sont frottés, compressés par mon boyau. Heureusement que ça les a méga-excité car ils ont jutés assez vite et ma dilatation extrême n'a pas été trop longue. Cela a suffi à me faire exploser aussi et mon jus est venu couvrir le torse et le cou de Ludovic. Il m'a servi de matelas le temps que je récupère. Quand on s'est décollé, mon jus en train de sécher s'est partagé entre nos deux peaux. Rapidement, il a rejoint les égouts en passant par l'évacuation de la douche. C'est affamés que nous sommes remontés au 4ème où mes hommes de service attendaient pour servir.
Ils avaient prévu le coup et préparé en quantité un couscous royal qui, ils le savent, plait toujours à Ernesto. Si nous avons calé sur la semoule, les viandes ont toutes disparues, le poulet et l'agneau ont été avalés tout comme les merguez et les boulettes. Quand Samir est arrivé avec les desserts, nous étions déjà repus. Mais servis accompagnés d'un thé à la menthe, nous avons honoré son travail.
Même si nous avons passé la nuit dans le même lit, nous n'avons plus baisé. Entre la séance apéritive et le diner, nous étions morts ! Par contre caresses et tendresse ont précédé notre endormissement.
Je suis le premier à me réveiller. Enclavé entre Ernesto et Ludovic, leurs bras croisés sur ma poitrine, j'ai un peu de mal à m'extraire.
Quand c'est fait, je monte et trouve un café chaud tout comme les croissants frais. J'appelle Marc. Avec le décalage horaire, c'est la soirée pour lui. Il est avec Hervé. Il me demande comment s'est passé la rencontre entre tous mes amours. Au soupir que j'ai avant de répondre, il sait. Il me dit de ne pas oublier de faire venir un menuisier pour nous faire construire un lit plus grand. C'est vrai qu'à 6, même notre lit de plus de 2m x 2 va être petit.
Je pense qu'avec 4 m de matelas, nous devrions pouvoir tous réussir à dormir un peu lors de nos retrouvailles. Le délai d'exécution du châssis des sommiers à lattes laissera le temps à la couturière qui réalise tous nos draps spéciaux (ceux de notre campagne !) d'en faire à la bonne taille.
Mes amours me rejoignent ensemble. Ludovic a le bras d'Ernesto sur ses épaules. Je suis content, j'aime quand les gens que j'aime s'aiment !
Alors que je prends un second café avec eux, Ernesto me demande s'il pourra m'emprunter Ludovic pour certains de ses clients. Il me dit qu'avec son physique de dieu grec, il augmenterait son compte en banque de fortes sommes. Quand je lui fais part du montant qu'avait atteint sa mise aux enchères, il n'en revient pas. J'ajoute que le temps qu'il se fasse toute ma clientèle, il devra faire avec ses ressources propres d'autant plus que je ne comptais pas le faire travailler trop souvent.
Emma nous a invités pour la soirée. Elle reçoit chez elle quelques amis dont Henri le " père " de Kev et des relations d'affaire qu'elle souhaite me présenter. PH passe un smoking à Ludovic. Ils sont plus proches en taille de veste. Nous prenons les deux Mercédès. Nous arrivons alors que tous sont déjà là. Kev nous attendait avec impatience. Seul de son âge, il se sentait un peu isolé même s'il soutenais sans problème les discussion avec les invités. Quand nous entrons, tous les regards se tournent vers nous et Ludovic coupe le souffle de quelques-uns. Heureusement que nous ne sommes pas jaloux. Emma nous rejoint. Je l'embrasse très filialement sur ses joues alors que les 3 autres se penchent légèrement sur sa main. Pas question qu'un seul invité ne se pose de question. Henri et Kev nous rejoignent. Henri me demande où je trouve autant de beautés pour m'accompagner. Il ajoute que, célibataire, il m'aurait demandé si Ludovic aurait pu lui consacrer un peu de temps. Kev qui entend cela alors qu'il salut PH et Ernesto, nous dit que, sans problème il partagerait bien mon dernier protégé.
Nous nous dispersons dans la foule des invités. En bon fils héritier de l'empire, je délaisse mes amis pour accompagner Emma et saluer tout ce qu'il y a d'importance (encore plus que la moyenne présente) parmi les invités. Henri nous accompagne soulignant par-là l'estime dans laquelle il me tient.
Du coin de l'oeil, je vois PH et Ernesto " protéger " Ludovic. En même temps Ludo profite d'une leçon en réel du comportement d'Escort en situation de représentation. Même si mes clients préféreront dans un premier temps le côté sexuel de ses prestations.
Son éducation paye et même s'il sortait plus souvent dans l'aristocratie que dans le milieu industriel (grands patron quand même !), il ne commet pas d'impairs.
Je repère au moins deux capitaines d'industrie qui en feraient bien leurs " 4 heure " de mon Ludovic ! Mais ils sont discrets et il faut mon regard de professionnel pour le déceler, d'autant plus que l'un est accompagné de bobonne embagousée à chaque doigt.
Nous apercevons Pablo s'activant dans sa cuisine quand les serveurs en passent la porte.
Le buffet est fantastique et plusieurs femmes demandent à Emma qui est le traiteur. Elles sont jalouses quand Emma leur dit que c'est son cuisinier personnel qui s'est chargé du buffet.
Kev me coince et me reproche de ne rien lui avoir dit concernant Ludovic. Ils ont discuté un peu ensemble et hors le coté sexuel, il le trouve plus que charmant. Quand je lui avoue que Ludovic a quasiment rejoint le blockhaus, il devine qu'il a déjà pris une place prépondérante dans mon coeur d'artichaut. Il me dit qu'il le découvrira alors à la prochaine touze. Comme ça fait longtemps que nous nous sommes vus, il me demande si ma jambe ça va. Je le rassure qu'elle se porte à merveille même si j'ai gardé la ferraille.
Je fais connaissance avec de nouveaux grands patrons utiles pour le développement des affaires d'Emma. Courbettes à leurs femmes qui trouvent charmant ma dégaine de voyou bien sapé ou de fils de bonne famille dévoyé, rapport à la pendeloque qui orne mon oreille. Dans les grandes circonstances, je sors le diamant que m'a offert Emma. Avec sa montre encadrée de diamants roses libres (cf. mes prestations avec elle 2010) ça décoince le visuel propret du smoking sur chemise blanche !
Ils sont quand même surpris du niveau de discussion que j'arrive à tenir. Je pense qu'ils s'attendaient à tomber sur un fils à papa. Entre mes études, mes participations aux conseils d'administration, mes cours particuliers sur la finance que j'ai régulièrement avec André mon banquier préféré, je tiens la distance ! Non mais !!
La soirée se termine tard où plutôt tôt. Henri et Kev sont logés sur place et quand il ne reste qu'eux, les cols se desserrent et les vestes tombent. Henri est dans la confidence me concernant. Tout au moins sur ma " famille " et l'apparition de Ludovic dans mon entourage ne l'a surpris qu'à moitié. Par contre il ne sait rien quant au fait que nous soyons parfois 4 à faire décoller son amie Emma !!
Pablo nous rejoint. Il est sur les rotules mais retrouve de l'énergie quand il voit Ludovic. Ernesto lui dit que c'est chasse gardée pour le moment. Mais qu'il en profitera surement à notre prochaine touze.
Henri et nous tous le félicitons pour son buffet. Comme il essaye de faire le modeste en nous disant avoir embauché pour l'occasion, Emma précise que toutes les recettes venaient de lui.
Jardinier
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Waiting
DURING those hours of waiting, what did they do? We must needs tell, since this is a matter of history.
While the men made bullets and the women lint, while a large saucepan of melted brass and lead, destined to the bullet-mould smoked over a glowing brazier, while the sentinels watched, weapon in hand, on the barricade, while Enjolras, whom it was impossible to divert, kept an eye on the sentinels,

Combeferre, Courfeyrac, Jean Prouvaire, Feuilly, Bossuet, Joly, Bahorel, and some others, sought each other out and united as in the most peaceful days of their conversations in their student life, and, in one corner of this wine-shop which had been converted into a casement, a couple of paces distant from the redoubt which they had built, with their carbines loaded and primed resting against the backs of their chairs, these fine young fellows, so close to a supreme hour, began to recite love verses. What verses?

These:
Vous rappelez-vous notre douce vie, Lorsque nous étions si jeunes tous deux, Et que nous n'avions au cœur d'autre envie Que d'être bien mis et d'être amoureux, Lorsqu'en ajoutant votre age à mon age, Nous ne comptions pas à deux quarante ans, Et que, dans notre humble et petit ménage, Tout, même l'hiver, nous était printemps?

Beaux jours! Manuel etait fier et sage, Paris s'asseyait à de saints banquets, Foy lançait la foudre, et votre corsage Avait une épingle où je me piquais. Tout vous contemplait. Avocat sans causes, Quand je vous menais au Prado dîner, Vous étiez jolie au point que les roses Me faisaient l'effet de se retourner.

Je les entendais dire: Est elle belle! Comme elle sent bon! Quels cheveux à fiots Sous son mantelet elle cache une aile, Son bonnet charmant est à peine éclos. J'errais avec toi, pressant ton bras souple. Les passants crovaient que l'amour charmé Avait marié, dans notre heureux couple, Le doux mois d'avril au beau mois de mai.

Nous vivions cachés, contents, porte close, Dévorant l'amour, bon fruit défendu, Ma bouche n'avait pas dit une chose Que déjà ton cœur avait répondu.
La Sorbonne était l'endroit bucolique Où je t'adorais du soir au matin. C'est ainsi qu'une âme amoureuse applique La carte du Tendre au pays Latin.
O place Maubert! ô place Dauphine! Quand, dans le taudis frais et printanier, Tu tirais ton bas sur ton jambe fine, Je voyais un astre au fond du grenier. J'ai fort lu Platon, mais rien ne m'en reste; Mieux que Malebranche et que Lamennais Tu me démontrais la bonté céleste Avec une fleur que tu me donnais.

Je t'obéissais, tu m'étais soumise; O grenier doré! te lacer! te voir Aller et venir dès l'aube en chemise, Mirant ton jeune front à ton vieux miroir. Et qui donc pourrait perdre la mémoire De ces temps d'aurore et de firmament, De rubans, de fleurs, de gaze et de moire, Où l'amour bégaye un argot charmant? Nos jardins étaient un pot de tulipe; Tu masquais la vitre avec un jupon; Je prenais le bol de terre de pipe, Et je te donnais le tasse en japon.

Et ces grands malheurs qui nous faisaient rire! Ton manchon brûlé, ton boa perdu! Et ce cher portrait du divin Shakespeare Qu'un soir pour souper nons avons vendu!

J'étais mendiant et toi charitable. Je baisais au vol tes bras frais et ronds. Dante in folio nous servait de table Pour manger gaîment un cent de marrons. La première fois qu'en mon joyeux bouge Je pris un baiser a ton lèvre en feu, Quand tu t'en allais décoiffée et rouge, Je restai tout pâle et je crus en Dieu! Te rappelles-tu nos bonheurs sans nombre, Et tous ces fichus changés en chiffons? Oh que de soupirs, de nos cœurs pleins d'ombre, Se sont envolés dans les cieux profonds!(1)

The hour, the spot, these souvenirs of youth recalled, a few stars which began to twinkle in the sky, the funeral repose of those deserted streets, the imminence of the inexorable adventure which was in preparation, gave a pathetic charm to these verses murmured in a low tone in the dusk by Jean Prouvaire, who, as we have said, was a gentle poet.

In the meantime, a lamp had been lighted in the small barricade, and in the large one, one of those wax torches such as are to be met with on Shrove-Tuesday in front of vehicles loaded with masks, on their way to la Courtille. These torches, as the reader has seen, came from the Faubourg Saint-Antoine.
The torch had been placed in a sort of cage of paving-stones closed on three sides to shelter it from the wind, and disposed in such a fashion that all the light fell on the flag. The street and the barricade remained sunk in gloom, and nothing was to be seen except the red flag formidably illuminated as by an enormous dark-lantern.
This light enhanced the scarlet of the flag, with an indescribable and terrible purple.
(1) Do you remember our sweet life, when we were both so young, and when we had no other desire in our hearts than to be well dressed and in love? When, by adding your age to my age, we could not count forty years between us, and when, in our humble and tiny household, everything was spring to us even in winter. Fair days! Manuel was proud and wise, Paris sat at sacred banquets, Foy launched thunderbolts, and your corsage had a pin on which I pricked myself. Everything gazed upon you. A briefless lawyer, when I took you to the Prado to dine, you were so beautiful that the roses seemed to me to trn round, and I heard them say: Is she not beautiful! How good she smells! What billowing hair! Beneath her mantle she hides a wing. Her charming bonnet is hardly unfolded. I wandered with thee, pressing thy supple arm. The passers-by thought that love bewitched had wedded, in our happy couple, he gentle month of April to the fair month of May. We lived concealed, conent, with closed doors, devouring love, that sweed forbidden fruit. My mouth had not uttered a thing when thy heart had already responded. The Sorbonne was the bucolic spot where I adored thee from eve till morn. 'Tis thus that an amorous soul applies the chart of the Tender to the Latin country. O Place Maubert! O Place Dauphine! When in the fresh spring-like hut thou didst draw thy stocking on thy delicate leg, I saw a star in the depths of the garret. I have read a great deal of Plato, but nothing of it remains by me; better than Malebranche and than Lamennais thou didst demonstrate to me celestial goodness with a flower which thou gavest to me. I obeyed thee, thou didst submit to me; oh gilded garret! to lace thee! to behold thee going and coming from dawn in thy chemise, gazing at thy yourg brow in thine ancient mirror! And who, then, would forego the memory of those days of aurora and the firmament, of flowers, of gauze and of moire. when love stammers a charming slang? Our gardens consisted of a pot of tulips; thou didst mask the window with thy petticoat; I took the earthenware bowl and I gave thee the Japanese cup. And those great misfortunes which made us laugh! Thy cuff scorched, thy boa lost! And that dear portrait of the divine Shakespeare which we sold one evening that we might sup! I was a beggar and thou wert charitable. I kissed thy fresh round arms in haste. A folio Danto served us as a table on which to eat merrily a centime's worth of chestnuts. The first time that. in my joyous den, I snatched a kiss from thy fiery lip, when thou wentest forth, dishevelled and blushing, I turned deathly pale and I believed in God. Dost thou recall our innumerable joys, and all those fichus changed to rags? Oh! what sighs from our hearts full of gloom fluttered forth to the heavenly depths!”
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Kure ar Manegwenn
Kure ar ManegwennTraditional songSonennoù projet
Selaouit 'ta tud yaouank hag ar re gozh ivez, Ha me 'ya da gontiñ deoc'h ur c'hontig a-nevez./ Ha me 'ya da gontiñ deoc'h a-nevez kompozet, Àr kure ar Manegwenn 'lârer' emañ savet./ Àr kure ar Manegwenn 'lârer' emañ savet ; Lakaet en doa ba e soñj d'ober un drapo gwenn./ Lakaet en doa ba e soñj d'ober un drapo gwenn, Da lakaat da zeiz ar pardon e begig ur favenn./ Da lakaat da zeiz ar pardon e begig ur favenn Ha da baotred Lannarstêr da vonet d'en diskenn./ Ha da baotred Lannarstêr da vonet d'en diskenn ; An hani (1) en diskenno 'n do pemp kant skoed a-benn./ Paotred yaouank Lannarstêr a oa paotred ken fin, Int 'heskenne 'r barrig-se ha stagas doc'h rousin./ « Kerzhit-c'hwi, aotrou kure, da ziskenn ho trapo, Ho pemp kant skoed a vo deoc'h ha c'hwi en diskenno ! »/ Komañs an aotrou kure da zilas e votoù, Eñ 'bigne er we'nnig-se, eñ 'yae a-dammigoù./ P'oa arru 'n aotrou kure, arru e-kreiz ar barr bras A oa staget g'ar rousin, koue't ar c'hure d'an diaz !/ Toud an dud a oa eno ha mem ar re 'oa dall 'Skrigne o bouelloù 'c'hoarzhet o laosk' kure 'tiskrapal.
FR. LE VICAIRE DE MANÉGUEN. Écoutez donc, jeunes gens, et les anciens aussi, je vais vous raconter une petite histoire récente. / Je vais vous raconter (quelque chose) de composé récemment au sujet du vicaire de Manéguen. / Au sujet du vicaire de Manéguen qui s'était mis en tête de fabriquer un drapeau blanc. / Il s'était mis en tête de fabriquer un drapeau blanc pour le mettre, le jour du pardon, au sommet d'un hêtre. / Pour le mettre, le jour du pardon, au sommet d'un hêtre, et aux gars de Lanester d'aller le descendre ! / Aux gars de Lanester d'aller le descendre, et celui qui le descendra aura immédiatement cinq cents écus. / Les jeunes garçons de Lanester qui étaient des gars rusés scièrent la branche et la collèrent à la résine. / "Allez donc, monsieur le vicaire, descendre votre drapeau ; vos cinq cents écus seront à vous si vous le descendez !" / Monsieur le vicaire commence à délacer ses chaussures, il grimpa dans ce petit arbre, il y allait petit à petit. / Lorsque monsieur le vicaire était arrivé au milieu de la branche qui était collée par la résine, il tomba en bas ! / Tous les gens qui étaient là, et même les aveugles, ricanaient sans discrétion en laissant le vicaire se dépêtrer.
EN. THE VICAR OF MANÉGUEN. So listen, young men, and the elders too, I will tell you a little recent story, composed about the vicar of Manéguen. / About the vicar of Manéguen who had taken it into his head to make a white flag. / He had taken it into his head to make a white flag to put it, on the day of pardon, at the top of a beech tree. / To put it, on the day of pardon, at the top of a beech tree, and for the boys of Lanester to go and take it down! / For the boys of Lanester to go and take it down, and whoever takes it down will immediately have five hundred crowns. / The young boys of Lanester who were cunning lads sawed the branch and stuck it with resin. / "Go on then, Mr. Vicar, take down your flag; your five hundred crowns will be yours if you take it down!" / Mr. Vicar begins to untie his shoes, he climbed this little tree, he went there little by little. / When Mr. Vicar had reached the middle of the branch which was glued with resin, he fell down! / All the people there, even the blind, sniggered as they left the vicar to extricate himself.
(1) hani = hini
+ : Song collected in Lanester.
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