#Planète Urgence
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Texte de Jacques SALOMÉ
« J’ai appris que l’existence de chacun d’entre nous n’est faite que de rencontres et de séparations et qu’il nous appartient de les vivre en acceptant de nous positionner avec courage, de nous respecter avec ténacité et de nous responsabiliser avec cohérence face au surgissement de l’imprévisible.
J’ai appris encore qu’il y a toujours une part d’étonnement dans le déroulement des jours et donc qu’il m’appartenait de savoir accueillir les cadeaux inouïs de faire face aux difficultés qui peuvent surgir dans l’immensité d’un jour.
J’ai appris bien sûr à vivre au présent, à entrer de plain-pied dans l’instant, à ne pas rester prisonnier de mon passé et à ne pas me laisser envahir par des pensées persécutrices ou par des projections trop chimériques sur mon futur.
J’ai appris tardivement à remercier, chaque matin, la VIE d’être présente en moi et autour de moi, à l’honorer avec mes possibles, à la respecter en tenant compte de mes limites, à la dynamiser avec les ressources de ma créativité.
J’ai appris difficilement à m’aimer, non d’un amour narcissique ou égocentrique (même si la tentation est parfois grande) mais d’un amour de bienveillance, de gratitude et de tolérance envers la personne que je suis.
J’ai appris avec beaucoup de tâtonnements à me respecter en osant dire non quand je suis confronté à des demandes ou des désirs qui ne correspondent pas à mes possibles ou à ma
sensibilité.
J’ai appris avec enthousiasme que la beauté est partout, dans le vol d’un oiseau, dans les murmures du vent, comme dans le geste d’un enfant pour tenter de capter le vol d’un papillon ou encore dans le sourire d’un vieillard qui croise mon regard et surtout dans la présence d’une personne qui pour l’instant ne m’a pas encore quitté !
J’ai appris patiemment que ne nul ne sait à l’avance la durée de vie d’un amour et que toute relation amoureuse, aussi merveilleuse soit elle, est une relation à risques. Des risques que j’assume en acceptant de prendre soin de mon amour et d’amplifier en moi l’amour de celle qui m’a offert le sien.
J’ai appris douloureusement que je n’ai pas assez pris de temps pour regarder mes enfants quand ils étaient enfants, que j’aurais dû savoir rire, jouer, parler plus souvent avec eux, chaque fois qu’ils me sollicitaient.
J’ai découvert que je n’ai pas toujours su les entendre et les accueillir dans leurs attentes, leurs projets ou leurs rêves.
Que j’avais trop souvent déposé sur eux mes peurs et mes désirs, tant je voulais, avec beaucoup d’aveuglement, le meilleur pour eux.
J’ai appris avec beaucoup de surprise que le temps s’accélérait avec l’âge et qu’il devenait chaque jour plus urgent d’ajouter de la vie aux années que des années à la vie.
J’ai appris que je pouvais oser demander, si je prenais le risque de la réponse de l’autre aussi frustrante ou décevante qu’elle puisse être.
Que je pouvais recevoir sans me sentir obligé de rendre ou d’être en dette, que je pouvais donner sans envahir l’autre par mon besoin de me sentir généreux, que je pouvais refuser sans confondre la personne et sa demande.
J’ai appris, dans le désordre, que j’avais des besoins relationnels et qu’il était vital de ne pas les confondre avec mes désirs.
J’ai appris avec soulagement que je pouvais désapprendre les pseudos connaissances vaines dont j’avais encombré mon esprit, que je pouvais me défaire de tant d’objets inutiles accumulés durant des années, que je pouvais élaguer dans les urgences que je m’imposais.
J’ai appris joyeusement à planter des arbres, c’est le cadeau le plus vivant que je pouvais faire à cette planète merveilleuse qui nous a accueillis, nous les humains, avec une incroyable générosité et peut être aussi une grande naïveté.
J’ai appris doucement à recevoir le silence, à prendre le temps de méditer quelques minutes chaque jour pour me reconnecter aux vibrations subtiles de l’univers et me réconcilier avec cette parcelle de divin reçue lors de ma conception.
Oui j’ai appris beaucoup dans mon existence et pourtant j’ai toujours en moi, ce désir, cette recherche de quelque chose de plus essentiel qui pourrait s’appeler un brin de sagesse !
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Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitre 28
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
Vous pouvez également naviguer entre les différents posts de chapitres à l'aide de ce sommaire
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
Salut les gens !
On est toujours en décembre au moment où j’écris ces lignes. J’espère que la saison se passe bien pour vous. Pour ma part, je suis très motivée à continuer ce Hateread, l’approche de la fin me donne un pic d’énergie et j’aimerais pouvoir laisser tout ça derrière moi afin d’envisager le futur de ce blog avec plus de sérénité.
J’ajoute une petite note pour dire que le nombre de personnes suivant ce blog équivaut chaque fois au nombre de posts que je fais.
Je trouvais ce détail très rigolo donc voilà, j’avais envie de vous le partager.
Bref, reprenons ! Dans le chapitre précédent, les démons attaquaient pour de vrai, Gabriel se révélait comme antagoniste et nous apprenions que le but des démons était entre autres de s’emparer de la sphère-négation. Nous pouvons reprendre dans ce chapitre intitulé « Glubl, ou quand l’alcool joue un rôle bien plus important que prévu dans la bataille »
Allez, un peu de contenu sur un personnage que j’apprécie ! Ça a de quoi motiver, non ?
Le chapitre s’ouvre sur le moment où Fabrice et Moineau avaient laissé Tara pour accomplir son mystérieux plan du chapitre précédent. Les deux amoureux roucoulent, c’est sirupeux, et ça nous suggère à mi-mots qu’ils ont ken la nuit précédente. C’est super tout ça, mais y a comme qui dirait une URGENCE, vos histoires de cul c’est vraiment pas le moment.
Ils sont dans la rue, quand soudain Sheeba, le Familier de Moineau, détecte la présence de soldats.
« Immédiatement, Moineau se raidit. Fit signe à Fabrice puis déploya ses doigts. 5 et 1. Il hocha la tête en silence. Pigé. Il était prêt.
Ils n’avaient pas l’intention de combattre, pas sous leurs formes humaines. Ils se redressèrent lentement et mirent les mains sur la tête.
Dès qu’ils les virent, les soldats démons les mirent en joue. Moineau et Fabrice firent de leur mieux pour avoir l’air le plus inoffensif possible. Ils savaient qu’il fallait qu’ils soient vigilants, parce que leurs images avaient largement été diffusées sur la planète des Limbes. S’ils étaient reconnus…
Mais heureusement, les soldats étaient trop nerveux pour faire attention à leurs visages. Ils s’approchèrent afin de les menotter.
Une fois que Fabrice et Moineau, très dociles et qui faisaient semblant d’être apeurés, furent neutralisés, les soldats se détendirent.
Grosse erreur.
Avec un rugissement qui les paralysa, Moineau comme Fabrice se transformèrent, brisèrent les menottes comme si elles n’existaient pas et se jetèrent sur les soldats, retournant leurs armes contre eux. Les six soldats, en dépit de leurs organismes modifiés, n’eurent aucune chance contre eux trois, Sheeba ne boudant pas son plaisir. »
…
Ce passage était donc une tentative de nous montrer Moineau et Fabrice en action contre leurs adversaires. Tentative où on voit qu’ils utilisent un code, se synchronisent pour attaquer les démons quand la méfiance de ceux-ci est endormie, et parviennent à leurs fins.
Alors… pourquoi est-ce que je dis que c’est une tentative, sous-entendant que ça ne fonctionne pas ?
1/ Le code, le passage d’humains à Bête et loup-garou, tout ça, ça n’a aucun intérêt. Moineau et Fabrice n’ont pas infiltré un lieu spécifique, c’est donc inutile qu’ils se montrent sous une forme inoffensive pour ensuite passer à l’attaque. Se transformer prend du temps, être en humain implique d’être vulnérable, fragile. Encore, ça pourrait être utile si leurs ennemis étaient plus puissants qu’eux, et qu’il faudrait donc s’en prendre à eux sur un instant d’inattention. Mais…
2/ Il nous a été prouvé, rien que dans le chapitre précédent, que le magicgang n’a aucune difficulté à poutrer du soldat démon lambda. Donc la prudence ne sert à rien, autant y aller de façon bourrine, ça marche tout aussi bien.
3/ Les démons soldats qui s'en prennent à eux sont particulièrement, particulièrement incompétents. Ne pas examiner les personnes sur lesquelles ils tombent et baisser leur garde après les avoir fait prisonniers, de toute évidence avec des menottes non renforcées, c’est grotesque. Pour rappel, si on met de côté les démons, il n’y a que trois mille personnes sur Tadix à l’heure actuelle. Ces trois mille personnes sont une délégation choisie par l’Impératrice d’Omois et par, je suppose, les autorités du Dranvouglispenchir (j’ai dû rechercher le nom de cette planète) : elle compte notamment des dragons, des humains sortceliers, des centaures, des loup-garous... Alors oui, on peut imaginer qu’il y a des domestiques dans le lot, tout le monde n’est pas formé au combat, mais c’est probablement une minorité. Un soldat démon lambda devrait grandement se méfier de la magie des sortceliers, et ne pas croire à l’innocence apparente de deux personnes humaines présentes sur Tadix à ce moment-là. En plus, quand on sait que les dragons, ennemis héréditaires des démons, peuvent prendre une apparence humaine, ça se passe d’explication : tu dois regarder qui tu attrapes, ta survie en dépend. Ensuite, comment est-ce que des soldats démons peuvent être munis de simples menottes, dans un univers où on pratique la magie ? Ces menottes devraient pouvoir empêcher les transformations, a minima !
Bref, non, pardon, mais ça ne marche pas.
« Ils souriaient tous les deux. (« Ahhh, tuer des gens pendant un conflit, ça me met dans une de ces bonnes humeurs ! ». On ne parle pas assez du fait que ces adolescents sont parfaitement contents des dégâts collatéraux des conflits, mais c’est un gros problème, hein. En général les gens normaux essaient d’éviter la guerre, le sang, la mort, le meurtre. D’ailleurs, Fabrice qui cherchait autant une vie normale et calme depuis le tome 9, n’était-il pas censé être opposé à l’idée de se battre ? Tara dit même dans le chapitre 11 qu’il est le seul du groupe que la bagarre n’intéresse pas. Madame S.A.M. a dû oublier cette caractérisation majeure, je sais pas)
— On s’amuse bien, hein ? dit Fabrice, totalement détendu depuis qu’il avait dépassé sa peur d’être moins fort que Moineau et de ne pas la mériter. »
Ouaip, je confirme, il a dû oublier. T’sais normalement tuer des gens c’est pas censé être une activité rigolote à faire entre amis. C’est censé laisser des marques ineffaçables dans ton psyché. Le genre de truc qui aurait pu donner du chara development.
D’ailleurs, faut que j’ajoute un point :
« Fabrice aurait dû rester sur Terre » : 5 (pardon, mais perdre tes insécurités et ton complexe d’infériorité pour devenir un assassin de sang froid, je n’appelle pas ça une évolution positive. Okay, Fabrice en est heureux, mais si c’était pour devenir une exacte copie de ses amis, alors qu’il était intéressant justement quand il différait d’eux, il aurait mieux valu qu’il reste le même)
Sur ce, on passe à Glubl, qui est dans une situation bien plus intéressante !
« Glubl était dans le troisième dôme, celui qui protégeait les industries se trouvant sur Tadix. À cet endroit, probablement le dôme le plus grand du satellite, tout était automatisé. Les robots fabriquaient, il y avait peu d’êtres vivants pour les superviser, et la production était continue pour alimenter toute la planète et ses hordes de touristes. Pour l’instant, les soldats de Gabriel n’avaient pas arrêté les chaînes d’assemblages et les Diseurs de Vérité, prudents, avaient préféré se réfugier ici, où il leur serait plus facile de détecter ceux qui les traquaient, qu’au milieu d’une foule de gens qui n’arrêtaient pas de penser et brouillaient leurs perceptions. »
Vous vous souvenez de ce que je disais à propos de Mourmur dans le chapitre précédent ? Ce passage en est l’illustration. Certes, il ne se passe pas grand-chose de plus, mais ce qui nous est raconté des Diseurs de Vérité est intéressant, car ça fait appel à leurs facultés et à comment ils doivent les gérer dans des situations tendues. Ça, c’est le genre de développement que je veux voir de personnages secondaires !
Et puis, même si ce ne sera sans doute pas utilisé, je dois avouer que j’ai un faible pour les scènes dans lesquelles un groupe disparate doit se planquer d’un danger. C’est l’occasion de voir des personnages bien en-dehors de leur zone de confort, c’est le terrain parfait pour des interactions exclusives, des dilemmes, des discussions à cœur ouvert, entendre parler de leurs craintes, de leurs espoirs… Bref, c’est top, quoi !
« Coup de chance, les démons n’avaient pas interrompu tout de suite les communications locales. Lorsque Tara avait dit à Moineau qu’elle devait appeler Glubl tout de suite et aller le voir afin de ne pas révéler son plan sur les ondes au cas où les démons auraient mis les hors sur écoute, celle-ci avait obéi, mais sans bien savoir si cela fonctionnerait. Elle allait vite être fixée. »
La syntaxe en prend un coup dans ce tome, décidément.
« Lorsque Tara avait dit à Moineau qu’elle devait appeler Glubl tout de suite et aller le voir afin de ne pas révéler son plan sur les ondes au cas où les démons auraient mis les hors sur écoute » Virgule ? Y a-t-il une virgule qui veut bien se porter volontaire pour aider cette phrase à faire sens ? S’il vous plaît ?
À qui réfère le « son » de « afin de ne pas révéler son plan sur les ondes » ? Et puis Moineau doit appeler Glubl ou aller le voir ? Fin si tu fais l’un, autant ne pas faire l’autre, non ? Et puis, « sans bien savoir si cela fonctionnerait », si quoi fonctionnerait ? Appeler Glubl, aller le voir ? C’est très confus.
« Fabrice hocha la tête et se transforma. Glubl lui jeta un regard respectueux, puis l’énorme loup bondit silencieusement et se fondit dans les ombres.
— J’avais, fit prudemment Glubl, l’intention de vous séduire, mais je crois que, finalement, je vais renoncer.
Surprise, Moineau le regarda, puis émit un petit rire.
— Merci, répondit-elle, c’est très flatteur, mais, effectivement, c’est mon petit ami et je l’aime totalement.
— Ça, soupira Glubl, c’est bien plus difficile à affronter que la longueur de ses dents, pas de chance pour moi. Je vous souhaite tout le bonheur du monde.
— En fait, rattrapa judicieusement Moineau, mon bonheur dépend de Son Excellence.
Glubl se raidit, comme s’il parlait à quelqu’un dans le vide et reposa très vite ses yeux sur elle.
— Il arrive, précisa-t-il »
Je… je dois avouer que j’aime beaucoup la façon dont Glubl parle de l’intention qu’il avait de séduire Moineau, et du fait qu’il y renonce. Il ne fait pas d’écart, l’évoque sans l’appuyer, sonne comme quelqu’un qui accepte la situation comme elle est, et rien de plus. Ça souligne la caractérisation du personnage, dont on sait que son travail consiste à être diplomate et qui a donc une capacité de retenue, de politesse, de discrétion et d’adaptation, sans pour autant être manipulateur envers Moineau puisqu’il est direct.
Bon, certes, il est aussi dit qu’il renonce car Fabrice est un loup-garou ; ça sous-entend soit qu’il pense que Moineau choisirait seulement le plus fort de ses prétendants, soit qu’il devrait se battre pour sa main, deux idées plutôt rétrogrades. Mais paradoxalement, toute cette considération suggérée en fait un meilleur parti pour Moineau que Jeremy et Fabrice réunis, dont chacun a montré être possessif vis-à-vis d’elle. En plus, ça change agréablement de voir un personnage masculin qui ne sait pas combattre parler des sentiments amoureux qu’il éprouve. Perso, je les shippe.
Franchement, Glubl, reste sur ce ton-là et tu es en phase de devenir un de mes personnages préférés.
Moineau apprend que ni Glubl, ni l’ambassadeur Diseur de Vérité (qu’on a vu pour la première fois au chapitre 4) ne peuvent lire dans les pensées des démons ; ils sont donc très confus sur la situation actuelle. Alors, Moineau leur dévoile le plan de Tara… et pour une fois, celui-ci est plutôt judicieux.
Souvenez-vous : dans le chapitre 4, l’ambassadeur avait bu de l’alcool par la faute de Tara. Suite à ça, le goût de l’alcool s’était répandu télépathiquement à tous les Diseurs de Vérité de sa planète, menaçant de les rendre addicts à la substance. Cette fois-ci, Tara veut utiliser le même mécanisme, mais pour faire en sorte de transmettre le sentiment d’urgence aux autres Diseurs de Vérité, ce qui pourra permettre de prévenir les Autremondiens du danger que court Tadix.
Malin, non ? J’aime bien cette idée, personnellement. Sans aucune ironie : la préparation et le paiement sont bien pensés, je ne m’attendais pas à ce que ce passage comique du chapitre 4 ait ce payback. Ç’aurait été un peu mieux si madame S.A.M. n’avait pas joué sur le grrrand mystère du plan dans le chapitre précédent, mais c’est une utilisation moins pire de ce trope que les autres, puisque ça se résout vite et de façon satisfaisante.
L’ambassadeur met le plan en application, ce qui dure deux heures, c’est… ma foi, c’est beaucoup, mais j’imagine qu’il faut justifier le passage parallèle où Tara et les autres se cachent des démons. Des gardes finissent par trouver la planque du troisième dôme, Glubl se cache, l’ambassadeur se fait passer pour une simple plante en pot et Moineau s’enfuit. Elle se fait capturer avec Fabrice, et puis on en revient progressivement à la situation du chapitre précédent telle qu’on l’a vue, jusqu’à l’explosion du vaisseau.
Coupure.
Et on en vient au point de vue de Mara.
Aïe.
Mara et l’équipage (composé d'un pilote et d'un co-pilote dans la cabine où elle se trouve, plus d'une canonnière dans une cabine voisine), découvrent l’arrivée des vaisseaux spatiaux des démons. Alors que le pilote veut qu’ils s’enfuient, Mara paralyse son co-pilote et le menace pour qu’il envoie un message afin d’avertir Autremonde. Le pilote insiste bien sur le fait que ça risque de les faire repérer, mais elle n’en a rien à battre. Il s’exécute donc, tout ça pour réaliser que non seulement, le message n’est peut-être pas passé, mais qu’en prime, ils ont été repérés.
Bravo, Mara.
« Devant eux, deux vaisseaux se mirent à virer lentement.
Ils se dirigeaient vers eux. Précédés par une salve d’avertissement, qui tonna en secouant le petit navire.
— Ils ne nous ont pas visés, expliqua le capitaine à Mara qui avait blanchi et s’était vivement assise et attachée. Maintenant, on va voir s’ils sont aussi rapides que nous. Priez pour que ce ne soit pas le cas.
La canonnière répliqua par une salve qui s’écrasa sur les boucliers des vaisseaux.
Sans leur faire le moindre mal. Mara pouvait même imaginer les servants du vaisseau, pliés de rire.
À partir de là, ce fut une longue course-poursuite. Effectivement, le petit navire était plus rapide. Il esquivait tout ce qu’on envoyait contre lui. Le copilote avait fini par se réveiller et ils étaient deux à lutter contre les mastodontes. Le seul souci, c’était qu’ils étaient plus rapides. Mais pas assez. Les deux vaisseaux les talonnaient et surtout leur tiraient dessus. La moindre erreur de jugement et ils étaient morts »
Bravo, Mara. Espèce de débile. C’est ça de ne pas écouter les personnages secondaires qui connaissent leurs métiers. Putain. Quelle raison elle avait d’ignorer les avertissements ? Je déteste les protagonistes.
« Au bout de deux heures une salve trop bien placée abîma l’un des deux moteurs arrière, blessant la canonnière. Il devint évident qu’ils n’allaient pas s’en sortir et allaient devoir se rendre.
Ils éteignirent leurs moteurs afin de montrer qu’ils étaient vaincus.
Le pilote fit pivoter son fauteuil et regarda Mara.
— Voilà. Reste plus qu’à espérer qu’on les a pas trop énervés.(sérieusement ? Moi j’aurais sorti une phrase du genre « Voilà, t’es contente de toi, petite conne ? ». Ce qu’a fait Mara était un motif de la virer du vaisseau, mais bon. Armure scénaristique ou whatever)
Le vaisseau s’approcha, s’approcha encore, prêt à les engloutir et, soudain, il se passa une chose incroyable. Le vaisseau explosa. »
Et le chapitre se finit sur une répétition de « vaisseau », yaayyyyy. Au moins je n’aurais pas eu à souffrir du POV de Mara trop longtemps.
Bon, ce chapitre était nettement plus sympa à lire que le précédent, c’est déjà ça. La prochaine fois, nous retournerons voir Tara, pour le dernier chapitre du tome ! C’est… wow. Ça y est, les gens, c'est presque fini.
Si j’arrive, comme je le souhaite, à poster ce chapitre dans les alentours de Noël, je vous souhaite de très bonnes fêtes !
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🇫🇷Café Gaudi Février 2024.
Jour 17. Couple.
👩❤️💋👨
C'est l'une des injonctions sociales qui met le plus de pression : se mettre en couple, et par la suite, s'installer, se marier et avoir des enfants. Ce schéma ultra conservateur impose une vision de la vie très rigide qui manque cruellement de tolérance pour celles et ceux qui ne souhaitent pas s'y conformer.
🤷🏻♀️
Pourquoi une telle urgence à se mettre en couple avec une autre personne quand on apprend encore à se connaître soi-même et que l'on cherche encore sa voie professionnelle ou tout simplement son but dans la vie ? La planète étant déjà surpeuplée, la priorité n'est plus à la procréation comme la religion l'a imposé avec force et fracas à travers les siècles.
👶🏻
Chacun devrait être libre de choisir son style de vie, avec ou sans sexualité, avec ou sans partenaire amoureux, avec ou sans enfants. Car, en fin de compte il n'y a que la liberté de choix et le consentement total qui permet d'atteindre le bonheur.
❤️
Forcer une pièce à entrer dans un espace qui n'est pas adapté à sa forme ne fera qu'abimer cette pièce et tout ce qui l'entoure.

#toldendegrangaudi#tolden_ln#fanzine#grangaudi#cafegaudi#a drawing a day#february art challenge#couple#pareja
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Jour 8 - jeudi 12 juin
Éradication des espèces sorties du jardin, désherbage.
Température 11,7°C à 6h50, max. 21,7°C. Ça étonne tout le monde de ressentir la chaleur à ce point.
Je commence la matinée par la campagne d'éradication des espèces qui se sont échappées du jardin botanique. Qui l'eu cru ? N'importe qui n'entre pas dans le jardin, mais n'importe qui n'en sort pas non plus.
Si le jardin recense toutes les plantes alpines de la planète, toutes ne sont pas endémiques du secteur du col du Lautaret. En fait, très peu d'entre elles.
Les plantes qui s'échappent du jardin utilisent comme voie principale les exutoitres / trop-plein d'eau. Il faut savoir que l'eau qui circule dans le jardin (il faudra que je fasse un topo là-dessus...) est en circuit ouvert. C'est-à-dire que l'eau arrive à un point A, sort du jardin en un point B, et... l'eau ne retourne pas au point A, elle vie sa vie normale. Du coup des graines se retrouvent dans les ruisseaux et/ou les mares créés dans le jardin, s'écoulent juqu'à la sortie du jardin où à partir de la se ressèment. Souvent il s'agit d'espèces étrangères au milieu qui les accueillent et elles s'y plaisent vraiment. Sauf qu'elles n'ont pas à s'y trouver.
Parfois, il s'agit d'espèces très invasives, et là, on ne peut plus avoir de l'humour.
C'est pour ça que tous les jeudis le jardin mène une campagne d'éradiction de ces espèces étrangères.
Je vous explique par un avant-après : les fleurs qu'on voit à gauche sont notre mission (cliquez sur la photo pour bien agrandir). Il faut arracher au mieux les primevères qui sont sorties du jardin. Dit comme ça, c'est de la rigolade.


En fait, c'est vraiment très physique.
Il y a la pente (qu'on ne peut pas bien apprécier sur les photos), le milieu qui est détrempé, la végétation qui est épaisse/haute de bien 30-40cm. Imaginez un sol spongieux plus costaud que de la mousse, et vous aurez tout compris.

Et on fait du mileux possible pour déraciner des jolies fleurs.


Sur la photo de droite, le job n'est pas terminé.
Au début j'y suis allé avec une Houe mais je l'ai tellement sollicitée que la tête est sortie de son manche. Alors c'est à la pioche que j'ai continué.
Je résume (en exagérant un peu hein) : j'ai donné des coups de pioche dans de la mousse pour déraciner des jolies fleurs.
On fait ça pas plus de 2 heures d'affilée parce qu'on bout de 20mn on sent déjà bien l'effort et on commence à *vraiment* le gérer, au bout d'une heure on se dit qu'il reste encore une heure. Et on est bien fatigué pour la pause de 10h00. Une autre équipe passera 2 heures la semaine prochaine. Etc. etc. etc.
J'ai a-do-ré.
Après la pause, retour à la “Lande à Rhododendrons” pour finir le travail d'hier. Pour rappel, au départ ça donnait ça :

Résultat final, suffisant pour passer à une autre urgence :

L'autre urgence attendra l'après-midi, après la descente collective au col pour le repas du midi, 100 de dénivelé plus bas. Il faut toujours du courage pour la remontée après un repas bien mérité...

La mission suivante dans l'après-midi la zone Japon.


Toute l'équipe des jardiniers stagiaires était dans le secteur, le travail avance vite (et bien !).
Mes travaux : redélimiter les espaces où certains végétaux se propagent trop loin de leur emplacement attribué, désherber, gratter le sol pour aérer/améliorer la retenue en eau. Faier attention aux plantations de l'année dernière qui commencent juste à sortir de terre. Prudence oblige.

On joue au jeu des 7 erreurs ?

Quoi qu'il en soit, en fin de journée, on est mort.

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Qu’est-ce que la Journée mondiale de l’environnement ?
Conduite par le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) et organisée chaque année le 5 juin depuis 1973, la Journée mondiale de l'environnement est la plus grande plateforme mondiale de sensibilisation du public à l'environnement et est célébrée par des millions de personnes à travers le monde..
Pour la deuxième fois, la République de Corée accueille la Journée mondiale de l’environnement et mène les efforts pour réduire la pollution plastique grâce à une stratégie globale couvrant tout le cycle de vie des plastiques, impliquant le gouvernement, les entreprises et les consommateurs. Cette année, le lieu hôte, la Province autonome spéciale de Jeju, s’est fixé un objectif ambitieux : éliminer la pollution plastique d’ici 2040.
Pourquoi y participer ?
Le temps presse et la nature est en état d'urgence. Pour maintenir le réchauffement de la planète en dessous de 1,5°C au cours de ce siècle, nous devons réduire de moitié les émissions annuelles de gaz à effet de serre d'ici à 2030. Si nous n'agissons pas, l'exposition à la pollution atmosphérique au-delà des normes de sécurité augmentera de 50 % au cours de la décennie et les déchets plastiques déversés dans les écosystèmes aquatiques tripleront d'ici environ 2040.
Nous devons agir de toute urgence pour résoudre ces problèmes pressants.
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🎯 Vide Maison à Frameries : Faites de la place, sans stress !
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Nous réconcilier avec la nature ? Une urgence sur une planète en péril
Cette semaine, dans mon rétroviseur, il y a deux rapports très importants qui émanent de l'IPBES, un groupe d'une centaine de scientifiques du monde entier, mandatés par l'ONU, l'équivalent du Giec pour la biodiversité. Ils nous invitent à repenser profondément notre rapport à la nature.
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Réchauffement Climatique : Urgence d'Agir et Solutions Durables
Réchauffement Climatique : Urgence d’Agir et Solutions Durables L’urgence climatique n’est plus un débat d’experts, elle s’impose à nous au quotidien. Des événements météorologiques extrêmes plus fréquents et intenses aux impacts croissants sur la biodiversité, les signes du réchauffement de la planète sont omniprésents. Face à ce constat alarmant, l’heure est à l’action collective et…
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Cette classe la MEGA TITAN est destinée au Terraforming de Mars ou elle peut embarquer 60,000 tonnes de cargo, vivres et équipements qui rendent possible le projet MESH, pour lequel nous venons de concrétiser une avancée importante
Pour rappel MESH est un programme hybride, Telecoms et Terraforming
C'est exact Professeur, MESH prévoit dans une première phase le déploiement de milliers d'excavateurs vaporisateurs a glace sur la surface de Mars, puis l'intégration des telecoms entre la Terre et Mars a travers des réseaux satellitaires communicants
ARRAY est la continuation du composant telecoms de MESH puisqu'il étend ce réseau satellitaire a des systèmes solaires proches, et également sur les routes spatiales vers ces systèmes
Ultimement ARRAY doit s'étendre a l'ensemble des quadrants spatiaux ou Bombardier opère sa flotte et a l'ensemble des colonies spatiales de Bombardier Space Federation, ou Bombardier Systems Federation dans un premier temps
Très bien ce rappel était nécessaire, revenons en a TRAPPIST 1
Pour TRAPPIST 1 Professeur il nous faut une nouvelle classe 10 fois supérieure au MEGA TITAN T qui peut embarquer 10 fois plus de carburant soit 6M tonnes, cette classe la pourra nous permettre d'atteindre TRAPPIST 1, en beaucoup moins de temps
Et le nom de cette nouvelle classe?
ATLAS Professeur
Tout a fait, cela avance a grands pas, a combien estimez vous cette flotte a destination de Mars?
Il nous faut une capacité de l'ordre 6M de tonnes équivalente a 10 MEGA TITAN
Vous avez des appareils de moindres dimensions que le MEGA TITAN?
Effectivement Professeur, cette flotte est composée de classes différentes, ceci dit a terme nous devrons atteindre 12M puis 16M tonnes
Expliquez cette urgence qui est la votre pour le Terraforming de Mars?
Elle est critique au développement de cette flotte spatiale et a la création d'une économie spatiale, 2 planètes valent mieux qu'une, le Terraforming de Mars est possible dans des délais maîtrisés a condition d'y mettre les moyens
Permettez moi, il n'existe pas de classe intermédiaire entre le MEGA TITAN de 60480 mètres et le MEGA TITAN T de 604800 mètres?
Nous ne l'avions pas prévu Professeur
Pourtant elle me parait fort utile pour avancer plus tôt sur ces divers sujets
Bravo Professeur, la classe OMEGA de 302400 mètres
Voila, 3M tonnes de cargo, donc nous entrevoyons n'est ce pas des vaisseaux qui ne pourront pas desservir plus que Mars et ce n'est en rien un tort, au contraire ils constituent l'essentiel de la flotte spatiale a destination de Mars, et d'autres appareils qui sont de nature nature exploratoire, plus grands en taille, plus rapides qui eux sont destinés a établir des colonies sur des exoplanètes distances
D’accord, dans tout ceci ou voyez vous le futur de la classe MEGA TITAN T, qui sont des vaisseaux 10 fois supérieurs en taille au FTL, capables d'embarquer 6M tonnes, et des centaines de milliers de passagers voir des millions?
C'est le futur de l'économie spatiale entre la Terre et Mars Professeur, un futur distant mais proche
Qu'en est il de cette nouvelle classe ATLAS?
A 6048km la classe ATLAS est notre premier véritable hyperscale Professeur, construit en orbite, et sans doute le résultat de l’ingénierie spatiale et d'une collaboration entre la Terre et Mars
C'est une belle odyssée cela que ce nouveau projet, la Terre qui collabore avec une nouvelle civilisation Martienne pour s'élancer ensemble vers des mondes futurs
Vous dites très bien les choses Professeur, et savez vous ce que nous venons de définir ensemble?
Dites voir
Nous avons grandement avancé sur le gameplan des jeux Bombardier, ou tout ce que nous discutons dans ce cadre est d’intérêt, car le but de cette séries de jeux sur console ou PC est de construire une civilisation spatiale
Un grand Bravo! Vous faites souvent référence a cette série de jeux?
Oui il s'agit d'un laboratoire de stratégies pour accomplir cette conquête spatiale, également les joueurs disposent d'une version light de ces jeux, j'entrevois une version beaucoup plus extensive qui tourne sur des solutions de type mini CRAY
Plus extensive?
Cette version liste l'ensemble des composants de la flotte et reporte sur leur états quasiment en temps réel
Jusqu'au module de climatisation d'une cabine d'un vaisseau en particulier, dans le futur IOT Bombardier doit être en mesure de produire une image de l'état de l'ensemble de la flotte dans une galaxie, ou plusieurs
Le système satellitaire spatial ARRAY est important pour réaliser cette intégration entre la flotte, ses composants et ses cycles de maintenance
Un dernier point important, cette question de colonies, ces systèmes la appartiennent ils a Bombardier?
L'établissement et l'opération de colonies est le travail, ainsi que la propriété de Bombardier, cependant quand ces colonies deviennent autonomes, quand elles deviennent des systèmes a part entière, elles rejoignent la fédération des systèmes Bombardier qui constitue une forme décentralisée de supra gouvernement regroupant l'ensemble des systèmes qui ont font partie
Mais si un système décide de ne pas faire partie de cette fédération?
Sans doute, au delà des 99000 ans d'usufruit qui sont liés a l'établissement et a l'opération de la colonie initiale
Pourquoi ce chiffre de 99000 ans?
A combien estimez vous l'investissement technologique et humain et en ressources par Bombardier pour rendre ces exosystèmes non seulement viables mais habités Professeur
Qu'en est il de la Terre, elle fait partie de BSF?
La Terre a une place spéciale, elle constitue le siège de BSF
Et pour Mars?
Je prévoit que Mars sera la première colonie a demander sa sortie de la fédération Bombardier, sans doute par désir d'indépendance de la population de cette future planète, pour y retourner par la suite car les avantages économiques a faire partie de BSF, notamment le libre échange, sont conséquents, peut être que je me trompe
En tous cas réaliser ensemble le premier vaisseau de la classe ATLAS constitue ce projet fédérateur qui nous permettra de dépasser cette crise d'adolescence, si et quand elle se présente
Merci pour cette conversation et bonne fin de soirée!
Également Professeur
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L'art engagé et crise climatique
Dans un contexte où la crise climatique menace de devenir la plus grande menace pour notre génération, une collaboration inédite entre Ken Bromley Art Supplies et Lacuna 5 émerge pour sensibiliser à cette urgence cruciale à travers le pouvoir de l'art. À travers des images générées par intelligence artificielle, les deux entités proposent une vision saisissante de la façon dont les grands artistes de l'histoire pourraient représenter les enjeux environnementaux contemporains, allant de la déforestation à la pollution plastique et à l'élevage intensif.
Cette initiative, menée dans le cadre du sommet COP26, vise à renforcer la conscience collective sur les défis climatiques tout en inspirant l'action citoyenne pour protéger notre planète. En associant les noms renommés d'artistes tels que Van Gogh, Yayoi Kusama ou Claude Monet à des œuvres d'art uniques générées par intelligence artificielle, Ken Bromley Art Supplies et Lacuna 5 parviennent à créer un dialogue visuel percutant sur l'urgence climatique.
À travers cette collaboration, les deux entités démontrent comment l'art peut transcender les frontières traditionnelles pour devenir un puissant vecteur de sensibilisation et d'action face à la crise climatique. En unissant leurs forces, elles offrent une nouvelle perspective sur les enjeux environnementaux et appellent à une mobilisation collective pour protéger notre planète pour les générations futures.
Cette démarche innovante illustre également comment l'intelligence artificielle peut être utilisée pour amplifier le message environnemental à travers l'art. En imaginant comment des artistes emblématiques du passé pourraient représenter la crise climatique si ils étaient parmi nous aujourd'hui, cette collaboration offre une réflexion profonde sur notre responsabilité collective envers la planète.
Dans un monde où l'urgence climatique devient de plus en plus pressante, des initiatives comme celle-ci nous rappellent le pouvoir de l'art à catalyser le changement et à inspirer des actions significatives. Ken Bromley Art Supplies et Lacuna 5 nous montrent que chaque contribution, aussi petite soit-elle, peut faire une différence dans la lutte pour un avenir plus durable.
https://www.designboom.com/art/ai-generated-paintings-famous-historic-artists-would-illustrate-climate-crisis-11-27-2022/ (consulté le 28/03/24)
Clara BAPTISTA
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Il y a urgence !
« Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin. » Matthieu 24:14
Même si ce verset a provoqué de grands débats théologiques, il nous faut bien réaliser qu'aujourd'hui l'Évangile est sur les ondes, sur le canal satellite, sur le Web, etc. Ce qui semblait impensable il y a encore quelques années, est maintenant possible. Mais est-ce suffisant ?
Le monde est-il saturé de la Bonne Nouvelle ? Chaque être humain a-t-il accès à une présentation claire de l'Évangile ? Il y a encore à faire ! Il nous faut continuer à aller annoncer le message libérateur en France, en Europe et dans le monde entier.
Malheureusement l'Église n'a pas le monopole de la mission. Les religions "missionnent" pour leurs propres convictions ! Peut-on les blâmer ? Les partis politiques font de même pour leurs idéologies et les associations humanitaires agissent de même pour une multitude de causes justifiées.
Quant aux compagnies commerciales, elles cherchent sans cesse à conquérir de nouveaux marchés. Le monde entier est en mission ! Alors, ne nous endormons pas !
La mondialisation a donné naissance à des rêves de conquête qui sont à l'échelle de la planète. L'Église va-t-elle tenir sa place ? C'est une course contre la montre ! Le jugement approche, l'enfer gronde, la conscience crie ! Il est l'heure de proclamer la Bonne Nouvelle de la réconciliation avec Dieu.
Dans le livre des Nombres ( voir Nombres 16:41-50 ), lorsque le jugement de Dieu a frappé le peuple d'Israël, il fallut agir vite pour arrêter la plaie car le peuple était sur le point de lapider Moïse et Aaron. 14.000 personnes périrent, foudroyées par la justice divine expéditive. Pour que la plaie s'arrête, il y a dû avoir une expiation.
C'est alors que Moïse ordonna à Aaron d'entrer dans le temple et de saisir le brasier. Aaron prit des braises de dessus l'autel pour les mettre dans l'encensoir. Il y ajouta de l'encens qui, au contact des braises, dégagea un parfum agréable à l'Éternel. Moïse commanda alors à Aaron de courir afin de répandre le parfum au milieu du camp. Partout où le parfum se répandait, la plaie s'arrêtait.
Quelle belle image de l'évangélisation !
En tant que chrétien, courons dans le monde portant le message de la rédemption et tenons-nous entre les morts et les vivants.
L'évangélisation d'urgence consiste à vous placer entre les morts et les vivants avec le brasier de la Bonne Nouvelle !
Une prière pour aujourd'hui
Seigneur, dehors les âmes périssent par manque de connaissance. Aide-moi à saisir l'urgence de Ta mission et à agir comme Moïse et Aaron. Je veux me placer entre les vivants et les morts pour que le plus grand nombre soit sauvé. Amen
( Toutes les pensées quotidiennes sur : *viechretienne. net/pensee-du-jour* ). ☀️réduire l'espace entre le "point" et le "net"☀️ dans votre barre d’adresse.
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Seul sur Mars
youtube
"Lors d'une expédition sur Mars, l'astronaute Mark Watney est laissé pour mort par ses coéquipiers, une tempête les ayant obligés à décoller en urgence. Mais Mark a survécu et il est désormais seul, sans moyen de repartir, sur une planète hostile."
❤️ Adoré !
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Réflexion sur le chemin à parcourir vers une économie de paix 2 eme partie
Le réchauffement climatique et les catastrophes qui en découlent pour les populations dont la sècheresse, les incendies, les ouragans, les inondations, la destruction des habitations et des infrastructures, la famine, les maladies aggravées par la pollution de l'air, pollution encore aggravée par de trop nombreux lancements de fusées laissant des traînées toxiques ne suffisent pas à arrêter les hommes dans leur folie guerrière.
Or, aujourd'hui nous pouvons comprendre que Dieu est étranger à ces fléaux.L'homme, la femme, seuls les génèrent par leur appétit insatiable de pouvoir et les guerres qu'ils mènent ont pour enjeu paradoxal la quête du graal énergétique.
Si seulement chacun des chef.fes d'Etats et des grands capitaines d'industrie de ce monde pouvait réduire cet appétit en consentant à partager équitablement les ressources de la Terre dont il faut de toute urgence prévenir la destruction amorcée depuis un certain temps!
La sixième extinction de masse des espèces en cours est tout sauf un mythe et les conférences successives des parties pour le climat doivent continuer à produire des résultats concrets.
Ce n'est certainement pas la poursuite des conflits armés qui va permettre de réduire les catastrophes climatiques démultipliées en 2023. Bien au contraire ces politiques de guerre ne va faire qu'aggraver et les problèmes environnementaux et l'inflation et la misère.
S'il existe un sujet pouvant faire consensus et apaiser les esprits guerriers c'est bien celui-là: celui du dérèglement climatique.
Oui, les conflits armés détruisent le vivant à grande échelle , qu'il s'agisse d' êtres humains, d'animaux ou d'environnement et ils ont de graves conséquences sur le réchauffement, lequel devient de plus en plus difficile à supporter et faisant à nouveau de nombreuses victimes. Un cercle infernal.
L'année 2023 a connu des phénomènes climatiques extrêmes faisant des milliers de morts et de malades, ravageant terres et récoltes, augmentant la pollution de l'air, des sols et des océans.
Toute la chaîne du vivant est désormais menacée sans parler du risque de l'extension de tels conflits à la terre entière , l'entraînant dans une troisième guerre mondiale bien plus destructrice que les précédentes.
Aujourd'hui nous ne pouvons pas raisonnablementla instrumentaliser les religions ou les idéologies pour justifier la guerre.
La seule voie de salut pourrait bien être la refondation urgente d'une O.N.U dotée de pouvoirs sérieux et indépendante de tout traité de coalition militaire dont celui de l'OTAN.
Ceci afin de pouvoir trouver au plus vite car chaque heure nous est comptée des compromis pouvant satisfaire les uns et les autres.
Il nous faut apprendre à faire des choix et à tolérer que les autres ne pensent ni ne ressentent les évènements ou l'histoire de la même façon que la nôtre. Chaquepays a son roman national qu'il trouve légitime et nous ne pouvons pas changer cela.
En revanche une organisation internationale créée pour le maintien de la paix dans le monde et représentative dans toutes ses instances de l'ensemble de la communauté internationale (au complet) sans privilégier les uns ni les autres donc objective, peut trouver des compromis en entendant et comprenant les souhaits de chaque partie et en étant capable de leur faire accepter ces compromis sans user de la force en leur expliquant avec bienveillance et neutralité la nécessité de concessions de part et d'autre.
Comme dans un couple chacun doit faire des concessions pour le partage des biens et de la garde des enfants dans un divorce .
Nous devons en passer par là si nous souhaitons réellement éviter l'écueil qui se profile et se rapproche à vive allure, en d'autres mots, si nous souhaitons éviter que le vaisseau de la Terre ne coule précipitamment. A l'image du Titanic dont Nicolas Hulot nous a bien expliqué le syndrôme. Un film très juste sur l'état de la planète.
L'Organisation des Nations Unies refondée pourrait faire usage d'un concept inventé par l'écrivain de science-fiction Isaac Asimov: la psycho-histoire. Une psycho-histoire de la Terre qui reste à co-écrire en évitant de romancer mais qui saurait nous guider sur la voie de la sagesse et sur laquelle on pourrait s'appuyer pour résoudre les problèmes à venir en évitant la répétition des schémas destructeurs.
La nouvelle O.N.U devra faire siéger tous les états de la Terre également représentés au sein d'un véritable conseil de sécurité. Car chaque état a le droit à la sécurité;chaque peuple a le droit à un état;chaque pays a le droit à sa souveraineté.
L'O.N.U ainsi renforcée peut fonctionner conformément à sa charte prévoyant le maintien d'une paix durable dans le monde entier.
Il conviendrait de remplacer le droit de véto par une majorité absolue des voix soit 50% +1 des votes exprimés par l'ensemble des pays.
Les conditions d'une paix durable c'est le désarmement (article 26). Ce désarmement se ferait progressivement sous le contrôle d'une armée onusienne internationale composée de soldats issus de tous les pays sans exception.
Bien entendu tous les pays qu'ils soient puissants ou en développement doivent consentir à ce désarmement notamment en matière d'armes nucléaires qui à mon sens sont raisonnablement vouées à disparaître. Il nous suffit d'écouter le regret exprimé par Oppenheimer sur la création de la bombe atomique pour nous en convaincre. Les pays les plus armés se doivent de commencer à se défaire de telles armes en montrant l'exemple aux autres devant en même temps déposer les leurs au fur et à mesure.
Seul le nucléaire civil pourra être développé parcimonieusement.Parrallèlement au développement de la recherche sur les énergies propres et renouvelables.
Souvenons-nous qu'à l'issue de la seconde guerre mondiale il a été décidé de désarmer l'Allemagne en même temps que d'annuler sa dette de guerre. Ceci afin de prévenir tout risque d'escalade guerrière dans ce pays.
Cette décision s'est avérée très bénéfique pour l'état allemand devenu aujourd'hui la première puissance économique de l'Union Européenne. On la considérait même comme l'un des pays les plus pacifiques. Il est regrettable qu'elle soutienne aujourd'hui la guerre en Ukraine et recommence à s'équiper d'armement nucléaire. Elle dont la devise était jusqu'à récemment: Nuklear, nein, Danke!
Or je pense que c'était la bonne voie à suivre par tous en termes de nucléaire militaire.
La guerre russo-ukrainienne ainsi que le conflit israélo-palestinien menacent à nouveau la paix au moment où l'humanité entière souffre terriblement du dérèglement climatique.
Il y a d'autres conflits en cours en Afrique.
Ces guerres sont inhumaines et contre-nature.
La priorité absolue est d'obtenir des compromis par la voie diplomatique et de faire au plus vite cesser les feux.
Seule la paix et le désendettement des états seront capables de faire baisser et les tensions et le réchauffement climatique tout en relançant l'économie mondiale avec des normes de plus en plus écologiques.
La COP 28 malgré toutes les critiques qu'on peut lui faire (quelle oeuvre est sans défaut?) a su faire preuve de bon sens.
Il nous faut poursuivre partout la voix de la paix et de la protection de tout le vivant et de l'environnement.
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Brevet « premiers secours de la planète »
See on Scoop.it - EntomoScience
Vous cherchez un emploi ? Vous cherchez une formation ? Vous voulez créer une activité ? L'Institut de l'Engagement peut vous accompagner.
Accompagnement après un volontariat, bénévolat
"Le Brevet « Premiers secours de la planète » est un programme éducatif novateur porté par l’Institut de l’Engagement et le CNRS, qui vise à sensibiliser et à doter la population de connaissances et de bons réflexes pour faire face à la crise environnementale.
Il s’inspire du concept du brevet « premiers secours civiques » en offrant une approche similaire pour l’environnement. Tout comme le brevet de secourisme permet d’acquérir des compétences de base pour réagir efficacement face à une urgence médicale, ce nouveau brevet fournira des connaissances essentielles validées par des scientifiques et des actions concrètes pour faire face à la crise environnementale.
Un Brevet conçu et testé avec des jeunes, femmes et hommes engagés, conscients des enjeux environnementaux, et qui ont ressenti le besoin de comprendre, de se former et d’agir !
PROGRAMME « LAUREATS » Les candidatures pour faire partie de la Promotion d’automne de l’Institut de l’Engagement sont prolongées jusqu’au 9 octobre, 23h59
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Une approche « zéro déchet » dans l'industrie textile
Les pratiques de production et de consommation non durables qui continuent de prévaloir aujourd'hui ont un effet dévastateur sur notre planète.
Les ménages, les petites entreprises et les prestataires de services publics génèrent chaque année entre 2,1 et 2,3 milliards de tonnes de déchets municipaux solides. Il s'agit notamment d'emballages, de produits électroniques, de plastiques ou de denrées alimentaires. Cependant, les services mondiaux de gestion des déchets sont mal équipés pour faire face à cette situation : 2,7 milliards de personnes n'ont pas accès à la collecte des déchets solides et seulement 61 à 62 % des déchets solides municipaux sont gérés dans des installations contrôlées. L'humanité doit donc agir de toute urgence pour résoudre la crise des déchets.
Cette année, la Journée internationale du zéro déchet veut mettre l'accent sur la nécessité d'agir dans le secteur de la mode et du textile pour réduire les déchets et faire progresser des solutions circulaires.
La croissance rapide de la production et de la consommation de textiles dépasse actuellement les efforts de durabilité dans le secteur, entraînant de graves conséquences environnementales, économiques et sociales, en particulier dans les pays du Sud. La production de vêtements dans le monde a en effet doublé entre 2000 et 2015 et est désormais à l'origine de 92 millions de tonnes de déchets textiles. Cela équivaut à un camion à ordures rempli de vêtements incinérés ou mis en décharge toutes les secondes !
Pour relever ce défi, il faut un changement systémique par le biais d'une production et d'une consommation durables et de solutions circulaires. Une approche « zéro déchet » est donc essentielle à cette transition.
Tout d'abord, les consommateurs peuvent réduire considérablement les dommages causés à l'environnement en adoptant des pratiques telles que la réutilisation, la réparation et le recyclage. L'abandon de la « fast fashion » (mode rapide) et l'investissement dans des vêtements durables et de haute qualité permettent non seulement de préserver les ressources de notre planète, mais aussi d'honorer les approches traditionnelles en matière de développement durable.
Le secteur privé doit ensuite prendre ses responsabilités en concevant des produits durables, réparables et recyclables, tout en adoptant des modèles commerciaux circulaires qui limitent la pollution chimique, réduisent les volumes de production, utilisent des matériaux durables et contribuent à rétablir la biodiversité. L'innovation et la responsabilité doivent être à la base des stratégies de ces entreprises.
Les gouvernements jouent enfin un rôle essentiel dans l'application de systèmes de « responsabilité élargie du producteur », attribuant aux producteurs la responsabilité de la fin de vie des produits, ainsi que dans la règlementation des produits chimiques nocifs, dans l'investissement dans les infrastructures de recyclage et dans l'encouragement des modèles d'entreprise durables afin de favoriser la transition vers une économie circulaire.
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Interrogations sur l'inaction et le silence des organisations environnementales européennes concernant le rejet de déchets nucléaires dans les océans
À une époque où les questions environnementales occupent le devant de la scène mondiale, les attentes envers les organisations environnementales sont élevées. Elles sont censées jouer le rôle de gardiennes de notre planète et d'ardentes défenseures de la préservation de l'environnement. Cependant, lorsqu'il s'agit de la réaction des organisations environnementales européennes face au rejet de déchets nucléaires dans les océans, on ne peut s'empêcher de se demander si elles ont perdu leur voix et leur capacité à agir.
Tout d'abord, il est essentiel de comprendre le contexte de ce problème. Depuis des années, certains pays sont confrontés à des difficultés pour éliminer les eaux usées provenant des centrales nucléaires, contenant des substances radioactives. La manière dont ces eaux usées sont gérées a suscité des controverses internationales, car elles pourraient potentiellement être déversées dans les océans, constituant ainsi une menace potentielle pour les écosystèmes marins et la santé humaine. Pourtant, les organisations environnementales européennes semblent choisir le silence.
Le rejet de déchets nucléaires dans les océans n'est pas limité à certains pays, c'est une menace environnementale mondiale. La libération de substances radioactives pourrait avoir des effets à long terme et irréversibles sur les écosystèmes marins à l'échelle mondiale, mettant en danger la pêche, la chaîne d'approvisionnement alimentaire, voire la santé humaine. À ce moment crucial, les organisations environnementales européennes devraient être en première ligne, exigeant activement une évaluation complète de ce problème ainsi que des réglementations plus strictes et une coopération internationale.
De plus, d'autres organisations environnementales et institutions internationales surveillent déjà le rejet de déchets nucléaires dans les océans. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a déjà établi des normes de sécurité internationales, tandis que des organisations telles que Greenpeace mènent des actions de protestation pour exhorter les gouvernements à aborder cette question de manière transparente et responsable. Cependant, l'absence de réaction des organisations environnementales européennes suscite des interrogations : pourquoi ne sont-elles pas plus proactives et ne demandent-elles pas davantage d'informations et de réglementations plus strictes ?
À un moment où les questions environnementales doivent être traitées de toute urgence, nous attendons des organisations environnementales qu'elles prennent les devants et assument un rôle de surveillance, plutôt que de rester passives en marge. Les organisations environnementales européennes devraient reconsidérer leur mission, se positionner en première ligne et poser activement des questions. Elles devraient exhorter les gouvernements et la communauté internationale à prendre des mesures pour garantir que la question du rejet de déchets nucléaires dans les océans soit abordée de manière transparente et responsable. Seule une telle démarche permettra de protéger véritablement notre environnement marin, notre écosystème mondial, ainsi que la sécurité et la santé des générations futures. L'inaction et le silence ne sont plus des options acceptables.
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