#XIX siècle
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Devil paper opener, bronze, 19th century
#bizarre au havre#art#devil#paper opener#bronze#dark#sculpture#19th century#le diable#coupe papier#XIX siècle
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Les récits du désenchantement du monde
Rimbaud in Harar, der Punk, der Waffenhändler wurde.

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Albert Guillaume (1873–1942) - advertising poster for French magazine “Le Diable au XIXe Siècle”, c. 1890s
#albert guillaume#le diable au XIXe siècle#the devil in the 19th century#19th century art#19th century#fin de siècle#demons#devils#occult#paranormal#horror art#poster art#vintage posters
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youtube
« Ce qui distingue le rêve de la réalité, c’est que l’homme qui songe ne peut engendrer un art : ses mains sommeillent. L’art se fait avec les mains. Elles sont l’instrument de la création, mais d’abord l’organe de la connaissance [...] Allons à l’extrême opposé, que notre pensée se reporte à des œuvres où respirent entre toutes la vie et l’action, considérons les dessins, qui nous donnent la joie de la plénitude avec le minimum de moyens. Peu de matière, et à peu près impondérable. Aucune de ces ressources de dessous, de glacis et de pâtes, aucune de ces riches variations du pinceau qui donnent à la peinture l’éclat, la profondeur et le mouvement. Un trait, une tache sur l’aridité de la feuille blanche, dévorée de lumière ; sans se complaire à des artifices techniques, sans s’attarder à une alchimie compliquée, on dirait que l’esprit parle à l’esprit. Pourtant tout le poids généreux de l’être humain est là, et toute sa vivacité d’impulsion, avec le pouvoir magique de la main que rien, désormais, n’entrave ou ne retarde, même quand elle procède avec lenteur, soucieuse de l’étude. Tout instrument lui est bon pour écrire ses signes, elle s’en fabrique d’étranges et de hasardeux, elle les emprunte à la nature – une brindille de bois, la plume d’un oiseau. Hokousaï dessinait avec la pointe d’un œuf, avec le bout de son doigt, cherchant sans cesse des variétés nouvelles de la forme et de nouvelles variétés de la vie. » Éloge de la main, Henri Focillon Texte intégral
#Pratique et théorie du dessin : XVe-XIXe siècle#Jacqueline Lichtenstein#Dessin#Henri Focillon#Éloge de la main
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Clarence H. White. Girl with mirror. 1898
Follow my new AI-related project «Collective memories»
#Black and White#Preto у Branco#Schwarzweiß#Noir et Blanc#白黒#Clarence H. White#mirror#1898#1890s#espelho#Spiegel#miroir#ミラー#鏡#19th Century#XIX Century#Neunzehnten Jahrhundert#XIXe siècle#Século dezenove#19世紀#Siglo XIX#19세기#XIX wiek#reflections#reflets#Reflexionen#reflexos#反射#espejo#reflejos
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OH YEAH LET'S GO ANOTHER WIP 😍😍😍😍😍
IF YOU'RE JUST AS OBSESSED AS I AM WITH HEATHERS, YOU'VE PROBABLY ALREADY GUESSED THAT THIS IS RELATED TO "I WAS MEANT TO BE YOURS"
Anyway this time I swear bro I'm finishing this (It's been one year since I started working on this thing I'm going to combust)
Seara bună lume
#istorie#historia#history#histoire#historical figures#historical art#history art#xix century#19th century#19th century history#early 19th century#siglo xix#19e siècle#napoleon bonaparte#tsar alexander i#alexander i of russia#napoleonic era#wip animatic#wip animation#wip art#art wip#wip#heathers#heathers the musical#napoleon
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Le dernier sacre, exposition au mobilier national, sur le le sacre de Charles X en 1825.
Source photo: point de vue et l'Union
#french monarchy#french history#france#mobilier national#charles x#sacre#coronation#2025#19th century#xixe siècle#couronnement
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"Nous sommes devenus très pauvres en expérience des seuils. S'endormir est peut-être la seule qui nous est restée. (Mais aussi s'éveiller)." W. Benjamin, Das Passagenwerk, 1982.
#walter benjamin#passages#Das Passagenwerk#Arcades project#Paris capitale du XIXe siècle#gradblr#litblr
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Portrait of a Lady by Laurits Tuxen, 1894
This is the essence of Victorian wedding look of late XIX century, i.e. La Belle Epoque. Puffy sleeves, high neck, modest skirt and incredibly thin waistline - like a dragonfly.
#wedding dress#vintage wedding dress#bride#bridal#vintage bride#wedding gown#bridal gown#1800s#xix century#victorian era#victorian fashion#19th century#19th century fashion#art#classical art#portrait#woman portrait#oil on canvas#laurits tuxen#fin de siècle#la belle époque#late 1800s
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Louise Abbéma (1858-1927), Jeune femme dans un jardin, fin du XIXe siècle, huile sur toile.
[Young woman in a garden, end of the nineteenth century, oil painting]
Louise Abbéma se fait connaître par le portrait qu’elle exécute de son amie Sarah Bernhardt en 1875. Elle réalise des portraits mondains qu’elle expose au Salon mais aussi des panneaux décoratifs et des illustrations. [Musée des Beaux-Arts de Dijon]
#louise abbema#woman artist#jeune femme dans un jardin#young woman in a garden#huile sur toile#oil painting#fin xixe siècle#end of 19th century#musée des beaux-arts de dijon
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Prayer in the moonlight, by Giuseppe Bisi
#xviiie siècle#xviii century#xviii#art#painting#classic art#illustration#traditional illustration#xix#xix century#night art#night#moon art#moon#prayer#moonlight#giuseppebisi
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Le flâneur est un personnage du seuil ; sa présence témoigne encore d’une possibilité de protestation et de résistance, qui disparaîtra progressivement avec la rationalisation et le quadrillage de la ville, ordonné par le baron Haussmann sous le Second Empire.
#la capitale du XIX siècle#haussmann#Walter Benjamin#charles baudelaire#edouard manet#gustave caillebotte
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La fabuleuse destinée d'Anna Bloch

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#19th century#Anna Boch#art#Belgique#Belgium#Eugène Boch#femme artiste#Georges Seurat#impressionism#impressionnisme#Paul Signac#pointillisme#Vincent Van Gogh#woman artist#XIXe siècle
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Laura Ingalls Wilder

#Laura Ingalls Wilder#née le 7 février 1867 à Pepin dans le Wisconsin et morte le 10 février 1957 à Mansfield dans le Missouri#est une femme de lettres américaine#auteur de la série de romans pour enfants La Petite Maison dans la prairie#inspirée par sa propre enfance au sein d'une famille de pionniers américains à la fin du xixe siècle. Le succès de cette série de romans a#dont la première a été la série américaine La Petite Maison dans la prairie#dans laquelle l'actrice Melissa Gilbert jouait le rôle de Laura.#Biographie#Fille de Charles et de Caroline Ingalls#Laura Elizabeth Ingalls naquit le 7 février 1867 près de Pepin#dans le Wisconsin. Elle est la deuxième de leurs cinq enfants : Mary#Laura#Carrie#Freddy et Grace. Bien qu’étant une élève intelligente et brillante#son éducation fut sporadique étant donné que sa famille déménagea de nombreuses fois à travers le Midwest et vivait souvent dans des endroi#En 1868#les Ingalls quittèrent Pepin pour s’installer à Chariton County dans le Missouri. Un an plus tard#ils s’installèrent à Independence#dans le Kansas#où Laura apprit à écrire[réf. nécessaire]. En 1871#ils retournèrent à Pepin#où Laura et sa sœur Mary furent inscrites à la Barry Corner School. Au bout de trois ans#ils quittèrent définitivement la ville et partirent pour Walnut Grove#dans le Minnesota. Ils habitèrent d’abord dans une maison creusée dans la berge d’un ruisseau1#jusqu’à ce qu’ils eussent fini de construire leur maison. Ils quittèrent brièvement la ville#de 1876 à 1877#pour vivre à Burr Oak#dans l’Iowa#où Charles Ingalls travailla dans un hôtel puis dans un moulin#puis ils déménagèrent dans le Dakota où ils passèrent leurs hivers en ville
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Alfredo et Georgette
Chronique de "Ô mon George, ma belle maîtresse...", extraits de la correspondance 1833-1835 d'Alfred de Musset et George Sand, présentés et annotés par Martine Reid, 2010
Publier après leur mort la correspondance d'écrivain.e.s, pose toujours question. Qui plus est dans une collection aussi accessible que la collection "Folio 2€". Lesdit.e.s écrivain.e.s avaient-ils conscience que leurs échanges seraient un jour rendus publiques ? S'étaient-ils opposés au dévoilement de leur intimité ? Quel est l'intérêt patrimonial et/ou littéraire de leur correspondance ? Et surtout qu'est-ce qui, à l'intérieur, est susceptible d'intéresser, non pas seulement des universitaires, des experts et des biographes, mais aussi le grand public ?
Cette dernière question, on a tout le temps de se la poser lorsqu'on lit ce recueil de lettres d'Alfred de Musset et George Sand, échangées entre juillet 1833 et mars 1835. Précisons d'emblée que la préface de Martine Reid, claire et concise, nous donne de précieux outils de compréhension et de contextualisation des échanges que nous nous apprêtons à lire. George Sand (29 ans) et Alfred de Musset (20 ans) se rencontrent lors d'un dîner en juin 1833 et tombent rapidement amoureux. Lors d'un voyage en Italie de plusieurs mois au début de l'année 1834, les deux amants se séparent une première fois et retournent en France chacun séparément. De retour en France, ils se remettent à nouveau ensemble pour quelques mois, puis se séparent à nouveau, renouent encore pour un temps, puis rompent définitivement en janvier 1835. La particularité de leur correspondance durant cette période, c'est qu'elle rend assez peu compte de leurs idylles : en effet, Sand et Musset ne s'écrivent pratiquement pas lorsqu'ils sont ensemble. Leurs lettres se multiplient en revanche lors de leurs séparations (souvent assorties d'un grand éloignement géographique) et rendent compte de leurs états d'âme, aussi bien positifs que négatifs, après chaque période de liaison passionnée. Comme l'écrit Martine Reid dans sa préface,
Cette correspondance est principalement occupée de discours sur l'amour ; Sand et Musset plaident leur cause à tour de rôle, raisonnent et se justifient. Fins analystes d'eux-mêmes, les amants s'aiment à la vie à la mort, crient au sublime, désespèrent et prennent Dieu à témoin du caractère inéluctable de leur amour. (p.9)
Il y a sans contexte dans ces lignes, ainsi que dans l'existence même de cette édition (la quatrième de couverture parle de "la plus célèbre correspondance amoureuse de l'époque romantique"), une volonté de renforcer le caractère iconique de l'histoire d'amour entre Sand et Musset. D'une certaine manière, je ne vois pas pourquoi cela serait à blâmer, et même je le comprends : il y a bien, par endroits, de grandes envolées sentimentales qui confinent au sublime (ou à l'excès ridicule, selon la sensibilité et l'humeur du lecteur), notamment à partir de septembre 1834, qui ouvre selon moi un acmé lyrique, peu de temps avant la fin définitive de leur relation.
Cependant, je trouve cela un peu trompeur de présenter cette correspondance comme remplie de fulgurances amoureuses. Dans un très grand nombre de lettres, il faut le dire, la majorité du texte est occupée par le récit de la vie quotidienne et par la description de la logistique des courriers et des colis. Bien sûr, on en apprend aussi sur l'entourage des deux écrivain.e.s, et il faut d'ailleurs mentionner que certaines de leurs autres relations sont éclairantes sur la complexité de leur histoire amoureuse (ex : les autres amants de George Sand, sa situation de mère, etc.). Néanmoins, je dois avouer que certaines lettres m'ont profondément ennuyé, au point d'aller jusqu'à en lire en diagonale. Mon engouement, nourri par la légende du couple Sand-Musset, est quelque peu retombé devant tous ces passages, et même, je dois dire, devant les déclarations passionnées de l'un.e ou de l'autre, que je cherchais et attendais pourtant, mais qui m'ont parfois lassé et fait lever les yeux au ciel tant je les ai trouvées dégoulinantes à l'excès de mièvrerie et d'immaturité. Les longs lamentos torturés, ou à l'inverse les déclarations romantiques transies d'un amour absolu et divin, ça me va bien cinq minutes, mais au bout d'un moment ça me donne de légères nausées. Mon rapport au courant romantique est ambivalent : d'un côté j'y reste sensible, mais j'en ai aussi digéré la critique.
Par contre, un aspect de cette correspondance qui m'a surpris et que j'ai trouvé étonnamment moderne, c'est la manière dont George Sand et Alfred de Musset se nomment et se désignent, avec une certaine fluidité, dans leurs échanges. Tantôt Sand est pour Musset "Georgeot", et il la genre ainsi au masculin ; tantôt elle est pour lui "George", et il la genre indifféremment au masculin ("mon ami") ou au féminin ("ma bien-aimée"). Parfois les deux à la suite, dans la même phrase (cf. la formule reprise dans le titre du recueil : "Ô mon George, ma belle maîtresse"). Les deux écrivains jouent, d'une certaine manière, avec les codes du genre (aussi bien le genre social que le genre grammatical). En tout cas c'est vraiment l'effet que cela m'a fait, même s'ils n'appréhendaient très certainement pas le concept de genre de la même manière que nous l'appréhendons aujourd'hui. Ajoutons qu'ils jouent aussi à s'attribuer des rôles, conformes ou non avec leur statut relationnel ou social, et à en changer. Tour à tour ils se considèrent comme les amants qu'ils sont ou bien comme des frères ou des amis. Parfois ils se considèrent même comme une mère et son enfant (rappelons que Sand a presque dix ans de plus que Musset, et a déjà deux enfants), dans un jeu explicitement qualifié d'incestueux, pour le plus grand malaise du lecteur d'aujourd'hui.
Il y a en définitive dans cette correspondance à prendre et à laisser. Loin de la légende des amants maudits, certaines lettres sont d'une grande banalité ; tandis que quelques pages plus loin, d'autres concurrent à bâtir cette même légende. Intéressant, mais en grande partie oubliable.
#George Sand#Alfred de Musset#correspondance#lettres d'amour#amour#passion#littérature française#XIXe siècle#romantisme
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