#décoincer
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soulthom · 1 year ago
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Les grands « décoinceurs » d’hier jouent les Grands Interdicteurs aujourd’hui : https://www.liberation.fr/checknews/2020/01/02/matzneff-les-signataires-d-une-petition-pro-pedophilie-de-1977-ont-ils-emis-des-regrets_1771174/ … au nom des mêmes mots : révolte, féminisme, gauche… tu choises ! Bref ils manipulent leur monde à longueur de temps avec leurs aller-retours indéfinis permissif / punitif et ça les amuse beaucoup !
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ciboulo · 1 year ago
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Tantôt Chouchoune à coincer une des ses griffes dans le tissu de sa cabane et j’ai essayé de la décoincer mais avec sa patte valide, elle m’a attaqué et une de ses griffes m’a coupé sur le bout du doigt. C’était une drôle de situation mais on était pas plus avancé dans la résolution de ce problème
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au-jardin-de-mon-coeur · 1 month ago
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Un peu d'humour pour décoincer les zigomatiques et montrer un joli sourire !
Aujourd'hui c'est vendredi 13 ! J'ai déjà croisé un chat noir, renversé mon café et perdu mes clés. Bref, la chance est visiblement en RTT ! 🍀😆
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
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The Definitive Guide à Facteur d'impact de la recherche en sciences environnementales et en pollution
Témoignage sur ces parcs agraire et agriurbains : rare maillage Parmi une paire de goût en compagnie de concevoir l’aménagement du territoire Entrez simplement votre préNom de famille après votre email malgré recevoir gratuitement Les essentiels por décoincer : « 7 solution simples malgré réduire l’exposition de vos enfants aux polluants du quotidien » Claude Grison met Parmi antérieurement…
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maybefrench · 1 year ago
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Est-ce que je suis tout seul à avoir une sorte de crise d'angoisse / crise existentielle si ( 2 conditions ) :
a) je me lève trop tôt ( ie: avant 10hrs ) b) quand je n'ai aucune contrainte sociale pour le faire
Ou y'a que moi ?
Ok, concrètement ça donne ça : je suis au chômage, et me lever avant midi est compliqué. Après 2 ou 3 semaines de bataille, j'arrive enfin à le faire. Mais alors dès que je suis réveillée, après le café, quand je pense à ma journée. C'est la crise. Une paralysie. Un "ça sert à rien". Un film maison de toutes mes erreurs. De toutes les pires choses qui vont arriver si je n'ai pas un job d'ici la fin de la journée. Et je vais somnoler une bonne partie de la journée et tout faire au ralentis. Bonus, je n'aurai pas le moral. Ca va se décoincer vers 15hrs, voir 16hrs. Mais j'aurai bien évidemment le sentiment d'avoir perdu ma journée. Ensuite détestation de moi, de ma vie, du capitalisme.
Après, je sais, on va me dire : fais-toi une routine et colles-y. J'ai essayé. J'ai tenté. J'ai planifié. Et je suis à peu près persuadée que c'est le cas en fait : que je suis une créature qui fonctionne mieux avec une routine. Mais si j'ai pas la contrainte sociale : y'a pas une routine positive qui tient. J'ai même des idées fabuleuses ( ie : tant que j'ai des refus, je vais à la salle tous les jours. Jour aller à la salle : 0. Jour sans refus : 0 )
Sinon c'est debout dans l'aprem, 2hrs de "sortir du brouillard/se réveiller", course, ménage, recherche d'emploi ( avec la joie de recevoir les mails automatique de refus et les suggestions éclatées de HelloWork ) et ensuite wishful thinking. La crise existentielle/angoisse est moins présente ou du moins, à coup de bingewatch je n'y pense pas trop.
Mais du coup, y'a que moi qui fonctionne comme ça ? Ou c'est typique des faibles d'esprits ? Ou j'ai une mauvaise config' de départ ? Comment ? Que ? Quoi ? Wtf ?!
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porcom · 1 year ago
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Sans Rancune
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"Maddie est sur le point de perdre sa maison d'enfance et pense avoir trouvé la solution à ses problèmes financiers : des parents fortunés cherchent quelqu'un pour sortir avec Percy, leur fils introverti de 19 ans, afin de le décoincer avant qu'il ne parte pour l'université. À la grande surprise de Maddie, Percy rend ce challenge plus compliqué que prévu et le temps est compté. Elle a un été pour relever ce challenge ou se retrouver sans toit."
👎 Bof!
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larrydufresne · 1 year ago
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Se décoincer. Un moment à la pièces. Des fois de trop. A trop battre le faire.
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streampourvous · 2 years ago
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Le challenge (2023)
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Regarder Le challenge 2023 Film en streaming complet français VF et gratuit – No Hard Feelings (2023) Maddie est sur le point de perdre sa maison d’enfance et elle pense avoir trouvé la solution à ses problèmes financiers lorsqu’elle tombe sur une offre d’emploi intrigante : parents fortunés cherchent quelqu’un pour emmener Percy, leur fils introverti de 19 ans, dans une série de « dates » afin de le décoincer avant qu’il ne parte pour l’université. A la grande surprise de Maddie, Percy rend ce challenge plus compliqué que prévu et le temps est compté. Elle a un été pour relever ce challenge ou se retrouver sans toit. Read the full article
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nope39zut · 2 years ago
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Jour 11
Calme
Impossible de me détacher de Stand still Stay silent
Mon cœur se sert quand je pense à ma mère, ma grand-mère et S
J'évite de penser à ce qui se passera dans deux cigarettes
Me faire passer avant les enfants me plonge dans la culpabilité
Impossible de me décoincer, même au concert difficilement. C'est le contraste avec le bloc de glace à côté de moi qui m'a permis de me lâcher. Prise de bec au retour et je prends sur moi. Garde tes préventions et tes insécurités pour toi. Arrête de me mettre dans du coton, je veux pouvoir me prendre la porte et arrêter de penser que je suis une incapable sans même avoir essayé de faire seule.
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antoningallo · 4 months ago
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Elle a tout dit (c’est pratique ces gens qui s’expriment bien). Voici mon croquis, qui n’a pas grand-chose à voir avec la consigne, mais je suis là pour me décoincer le poignet. C’est un croquis normal quoi. Demain, j’essaie d’aller sur qq chose de plus synthétique.
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On s'est lancé un petit défi avec @antoningallo afin de bosser nos bases entre deux boulots. Toute personne qui le souhaiterait peut participer (y a rien à gagner mais y a même pas besoin de nous citer ! C'est winwin !!!)
On l'appelle le #lazyafternoondrawingchallenge ou le #busymorningdrawingchallenge, question de point de vue...
Chaque semaine, l'un de nous donne un exercice de dessin à exécuter. Sujet et technique libres.
J'ai donné celui de la première semaine :
trouver la ligne de force/ligne directrice d'un sujet en mouvement.
J'avais envie de partir d'un sujet vivant mais par manque de temps aujourd'hui, je me suis rabattue sur la photo qu'Antonin a lui-même prise pour son croquis.
Le résultat d'Antonin est très différent et c'est bien chouette de voir ça (Je crois qu'il l'a posté sur son Instagram). Pour ma part, je suis influencée par un livre que j'aime bcp de Michael D. Mattesi "Force".
Je rajouterai sans doute une flèche de direction demain. J'ai envie de montrer ce qui pour moi donne toujours l'équilibre dans un corps en mouvement, soit une force bidirectionnelle.
On garde la même consigne toute cette semaine. Antonin donnera celle de la semaine prochaine.
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e642 · 3 years ago
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La quasi totalité de ma vie je me suis sentie comme un objet à caractère sexuel aux yeux des autres et notamment des hommes. Et mine de rien ça en a causé des traumatismes. Quand tu penses que les relations sexuelles sont dépourvues d'émotions, quand tu consommes les gens, quand tu es habituée à ce que l'on t'approche pour ton potentiel sexuel, tu écartes le côté affectif, émotionnel, fusionnel. Quand même toi tu ne sais pas si tu en as envie, c'est que ça en dit long. J'ai longtemps remis en question ce qu'était le consentement, ses limites, son contexte, quand et comment le manier et j'en ai conclu que c'était moi qui me posais trop de questions. Que c'était moi qui renvoyais les mauvaises impressions. Que c'était moi qui devait bosser pour éventuellement me décoincer. On m'a trop montré que je n'étais qu'un corps dont on avait envie à des fins sexuelles, jamais affectives ou sentimentales, que j'ai eu peur -encore maintenant- du contact. Ne sachant jamais comment le refus serait pris dans cette société qui ne valorise pas la manière dont s'est accepté mais plutôt dont s'est dit. Je redoutais chaque démonstration de tendresse ou juste de rapprochement par crainte de l'issue. Par angoisse de me dire que j'étais acquise, que c'était le feu vert pour beaucoup. C'est notamment pour ça que ça fait bien longtemps que je suis très froide dans ma manière de témoigner de l'intérêt aux autres. J'ai effacé ce côté affectueux car on n'a jamais donné suite de la bonne manière. On n'a pas souvent voulu me rendre cette facette platonique et je n'ai jamais réellement compris pourquoi je n'étais intéressante qu'en levrette et pas dans une discussion classique. Je m'en suis voulue trop souvent de me dire que c'était peut-être moi qui me sexualisais seule. Que je ne méritais peut-être aussi que ça. Tout ce bourrage de crâne qui me fait m'isoler pour éviter tout moment dont je n'aurais pas désiré les aboutissants en ayant toujours cette impression trop réelle que je n'avais pas la main sur les tenants. Maintenant, ça me pose problème dans mes relations car même si je veux être attentionnée, ou émotive, je ne peux pas me permettre de négliger la possibilité que l'on ne veuille que me baiser. C'est en ça que je suis persuadée que ça restera un sujet et des moments qui ne provoquent que de la gêne. Le paradoxe d'avoir toujours peur d'avoir un mot/geste moins mesuré que l'autre, de dépasser des limites alors qu'on a toujours dépassé les miennes sans trop de vergogne.
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bonheurportatif · 3 years ago
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Quelques trucs bien en octobre
1er octobre Manger un petit cake au chocolat avec un goût singulier (de la cannelle ?) Choper la dernière place du parking souterrain, sur un énorme coup de bol Tenir un rythme régulier à la rame 2 octobre Parsemer son bouquin de petites notes de lectures Expliquer facilement un exercice de géométrie à sa fille Croquer dans des gougères encore chaudes 3 octobre Se faire décoincer le dos par deux manipulations expertes du kiné Et gratuitement en plus Retrouver un peu de son père dans le très beau récit du libraire
4 octobre Ressentir un petit instant de plénitude en traversant la place vers la mer Voler quelques minutes dans l'après-midi pour lézarder au soleil dans la chaise longue Entendre au loin un air de flûte traversière 5 octobre Débuter la journée par un tour de vélo le long de la côte, au soleil levant Craquer pour quelques toasts Rédiger la moitié des articles attendus
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6 octobre Parler pour la première fois dans un micro-cravate Recevoir un mail annulant le rendez-vous chronophage du lendemain Voir le libraire aller vous chercher un bouquin qu'il a mis de côté spécialement à votre intention 7 octobre Se délecter des commentaires fielleux des lecteurs du Figaro après le Nobel d'Annie Ernaux Débloquer la rédaction d'un article Retarder d'une demi-heure le départ de sa chérie 8 octobre Abréger poliment le blabla matinal du voisin Se faire offrir des fleurs Dévoiler, par petits tâtonnements, la roue du vélo de sa fille 9 octobre Acheter les peut-être dernières grappes de Chasselas Reprendre prudemment un peu de sport, après une semaine d'interruption Apercevoir la queue touffue d'un renard dans les roseaux 10 octobre Trouver à faire imprimer les notes qu'on a oubliées avant l'atelier Trouver sur son bureau le nouveau numéro de son magazine Flâner au raz de l'écume de l'une des plus hautes marées de l'année
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11 octobre Accéder aux toilettes publiques grâce à la gentillesse de la dame-pipi, et malgré que l'on n'ait pas un sou de monnaie Avoir et prendre le temps de se promener dans les parcs d'un quartier où l'on va rarement Recevoir un mail chaleureux d'un auteur dont on suit le travail depuis des années 12 octobre Jongler, tant bien que mal, avec les différents boulots à avancer dans la journée Se resservir de tarte aux pommes Mettre en forme les premiers textes des étudiants 13 octobre Travailler face à un plan d'eau, avec la pluie qui tombe Laisser le cancer derrière soi Régler un à un tous les problèmes de câbles, prises, clés de l'atelier, et sortir un premier petit bouquin
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14 octobre Goûter au silence d'une bibliothèque absolument déserte Faire face et répondre au tir nourri de questions des collégiens Dormir profondément au moins une heure dans la voiture, entre deux ateliers 15 octobre Enfiler son pull chaud alors qu'il flotte et vente à l'extérieur Sentir dans la rue le premier feu de cheminée de l'automne Réaliser soudain qu'on n'entend plus l'acouphène auquel on semblait s'être habitué. 16 octobre Se promener sur la plage et jusqu'au village ostréicole voisin Manger un mini croque-monsieur maison Entendre un roulement sourd par-delà la forêt et réaliser que c'est la mer 17 octobre S'entendre confirmer la rémission Obtenir un délai pour deux articles dans une période de rush Assister à un (trop) court récital de sa fille
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18 octobre Faire un crochet avant l'atelier pour acheter un croissant Tester un nouveau take-away italien Profiter du soleil pour faire sécher son livre mouillé par l'eau de la gourde 19 octobre Finir enfin une très longue série d'interventions auprès de collégiens Se remettre à jour de ses mails et boulots en cours Recevoir son nouvel Atlas photographique 20 octobre Faire rouler sa dynamo dans les rues ensommeillées de la ville Ne pas voir le temps passer avec les étudiantes de l'atelier S'entendre confirmer que les ateliers seront maintenus
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21 octobre Changer de balance et ne pas changer de poids Faire toutes les lessives N'avoir eu aucun travail 22 octobre Manger au resto avec de bons amis Prolonger la discussion sur la plage Aller se baigner dans une mer fraîche 23 octobre Arriver juste avant la fermeture de la supérette et sauver le repas du soir Se sentir pousser par le vent dans la rue Manger une très bonne soupe de potiron
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24 octobre Acheter une nouvelle perceuse Poser une treille dans la cour Trouver des rouleaux de printemps végétariens 25 octobre Avoir du temps pour aller à la médiathèque Sentir l'odeur et la chaleur du sol après l'averse Manger des crêpes 26 octobre Remplacer la roue voilée du vélo de sa fille Manger juste une crêpe, avec la pâte restante Reprendre une crème au chocolat 27 octobre Avancer de manière plaisante sur un chouette texte collectif avec les étudiants Manger des frites, puis du Chasselas Entendre la mer depuis le salon 28 octobre Régler une chasse d'eau qui se rechargeait inopinément Réaliser une belle salade Faire du sport et bouquiner 29 octobre Goûter un peu de calme le cul sur le sable Courir 422 pages et ne jamais s’arrêter S'endormir vite 30 octobre Récupérer son grand fils à la gare Retrouver de vieux amis sur le quai Faire ses pâtes à pizzas 31 octobre Échanger des sms avec sa fille qu'on voit derrière la vitre du train Sentir le temps changer et s’accorder enfin à la saison Se préparer à gâter les dents des monstres de la ville
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Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. > Quelques trucs bien en janvier. > Quelques trucs bien en février. > Quelques trucs bien en mars. > Quelques trucs bien en avril. > Quelques trucs bien en mai. > Quelques trucs bien en juin. > Quelques trucs bien en juillet. > Quelques trucs bien en août. > Quelques trucs bien en septembre.
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wickedwitches · 4 years ago
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HELP
Hello :3
Je vous avais parlé y a quelques temps de mon pote photographe qui faisait surtout les red carpet et essayait de vendre ses photo... Well, ce même pote a besoin d’un travail de photographe assez urgent sinon il pourra plus se permettre de a) se nourrir b) tenter de vivre de sa passion :/ 
Il fait des photo de mariage, cosplay, fêtes, n’importe quel genre d’event. C’est, vous l’aurez compris, à payer (je ne connais pas du tout ses tarifs, en revanche).
Il peut se déplacer à travers la France et je sais que si ça peut lui permettre de commencer à décoincer sa situation, il traversera la France sans soucis. Donc si jamais vous connaissez quelqu’un qui organise un truc ou juste aurait besoin d’un photographe, svp, passez dans mes dm pour que je vous donne son contact. 
Merci de votre attention <3
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doomsnest · 3 years ago
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Juste une étude d’anatomie ... pour se décoincer les mains 
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littlesparklespixels · 4 years ago
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La partie 1 est ici
=====< https://50-nuances-de-demence.tumblr.com/post/663310110646484993/httpswwwyoutubecomwatchv-nngcjlnjh8e-tout TDI BONZOIIIIIIIIIIR!!!!!!!
On continue ???? Après des examens de routine, je nous fais sortir de là……elle semble toujours prostrée sans vouloir réagir , je l’entends complétement éteinte... comme une litanie elle murmure son prénom…. Je le déteste !!!! J’ai enfin le contrôle et pourtant j’en veux plus. Ca me semble d’un coup super compliqué d’etre Elle…. Je me casse au fond de la foret personne me fera chier…sauf un espèce de chevelu à lunettes… mais je peux lui dire merci… grâce à lui elle semble se raccrocher à nouveau au fil de sa vie…et parfois je la sens sous la surface… je me sens moins seule. …. Je suis pas habituée à tout ce silence et cette solitude moi !!!! Bref je ne sais pas ce qu elle a foutu mais voilà que je me retrouve à gerber comme une truie !!!!! Enceinte ?!!!!!!! mais vas y shit c’était pas au programme ça !!! D’où il vient ce gosse putain ???? Aux dernières nouvelles le dernier mec avec qui on a couché c’est un dinguo avec une tresse, je l’aime bien lui, même que j’ai eu des grandes discussions avec lui Sauf que ça fait mega giga longtemps et que j’aurais déjà du exploser !!!!! Je relis à tout hasard nos notes respectives, y a bien eu le frère de Maé mais par ce trou c’est pas possible…..je vois qu’un truc qui correspond… tous ses bleus , ses douleurs on a subi un …enfin vous voyez quoi ??!!!! Je voulais avorter elle en aurait rien su , …..mais après plusieurs semaines seule à bord la voilà qui revient à elle et qui nous emmene à Sulani….elle note « c’est ce que Jessy aurait voulu que je vive pour deux pas que je me laisse dépérir » Et là ??? aubaine pour moi dans nos notes respectives elle note projet mère porteuse…. Peut etre que c est l occas de faire passer cet alien pour le gosse de ce Hunter là ??!!! Elle semble tellement revenir à elle avec ce projet de porter la vie et de faire un truc positif, et de briller comme un phare pour les bateaux je chai pas quoi anyway moi je veux juste qu’on tienne le cap , donc ce chiard ca sera la 12eme merveille du monde tout le monde sera content !!!!! Puis comme je me suis super bien conduit en son absence, on arrive à plus ou moins s’entendre avec Harley, elle admet que j’ai tout autant la possibilité qu’elle de garantir notre sécurité physique et affective……et commence une cohabitation des Alters un peu plus à mon avantage...
Cet été là on a pris beaucoup de plaisir, dans tous les sens du terme.....moi j'aime aussi les femmes donc je me suis offert le plaisir d'en embrasser...combien de fois j'aurais aimé quand on était plus jeunes qu'Harley se réveille dans les bras d'une femme sans rien comprendre D'aileurs ma première fois à moi c'est avec Seth la sienne avec Liam à cette époque on permutait sans le vouloir et c'était parfois super marrant. Bref on a dit on refait pas tout les bails Comme elle avait envie de se remettre de la mort de l'autre fiote, bah wai on apprécie pas les mêmes gens , j'ai profité d'être plus souvent aux commandes pour la décoincer, plan culs Puis y a eu l'autre idiot de Lopez qui lui claque qu'il l'aime ... bouffon va deja à 16 ans t avais pas de service 3 pièces, et voilà qu'il me la replonge en pleine déprime ,..par chance y a ce mec qui la remonte un peu et l'aide à passer au dessus de sa perte... on aurait pu rester dans cet espèce d'équilibre et de grace, sauf qu'un abruti a squouicker Lenwëchou et là Harley elle s'est sentie vrillée... est ce que j'en ai profité? BAH CARREMENT !!!! j'ai demandé poliment pour prendre souvent le contrôle et moi qui suis plutot du type sans empathie j'allais mieux gérer J'ai tenté une vie normalisée, après tout elle a eu des tas d'histoires d'Amour pourquoi ca serait pas mon tour???? J'ai toléré ses mecs... elle allait tolérer le mien 😈😈😈😈sauf que moi j'ai juste fait des expériences sociales, puis je voulais faire mes preuves en tant qu'hôte principal, parce qu'en effet elle avait perdu de l’influence avec cette accumulation d’épreuves rudes. Si on voulait que le système perdure et survivre elle devait accepter de me voir comme celle capable de mener à bien le quotidien. Son empathie, sa bienveillance et son hypersensibilité c’est pas ce qui allait nous permettre de surmonter cette crise.
Alors pendant ce laps de temps, j’ai flirté avec un de nos plans culs et j’ai entamé une histoire, mais je le sentais pas vraiment ce type, et quand il a commencé à s’éloigner de nous, parce que oui elle a du accepter de vivre une histoire affective avec lui… je me souviens d’un jour ou elle s’est réveillée contre lui et a failli l’assommer , comment elle a rattrapé le coup la bougre en accusant le coq et un mauvais rêve
Donc je disais quand il a commencé à se la jouer détaché, et à nous faire des petits coups de tepu….j ’ai fait un truc machiavélique, à l’insu d’Harley j’ai stoppé notre contraception et j’ai porté ses gosses et j’ai poussé le vice en nommant notre fille Lyssie comme la nièce du mec qui n’a jamais quitté le cœur d’Harley, oui ca peut vous paraitre dingue mais c’est ainsi les Alters peuvent être en dormance des mois entiers, sans avoir conscience de ce que vivent, ressentent, les autres Alters ou l’hôte principal. Et en tant que pièce maitresse centrale l’hote a une grande capacité à pouvoir obstruer tout ou partie de ce qu’il vit. J’ai pris soin dans ces moments là de ne laisser le contrôle à Harley que dans des moments particuliers, le seul moment ou je ne pouvais pas agir c est dans les rêves…..et il a fallu que l’autre emplumé aille dire à Harley je t aime toujours non mourir m’a pas soulagé putaaaaaainnnnn le feuilleton à l’eau de rose de merrrde. Harley tellement chamboulée elle est partie au Canada on aurait pu laisser cette expérience sociale et les morveux derrière nous, sauf que le Darylou de mes cojones il a fait le trajet, ce con allait tout faire foirer , alors j’ai joué la fille perdue dans le passé , tu mérites mieux blablablablabla et direction l’exil , pendant plusieurs mois… jusqu’à ce que ce con de lapiloup se pointe, et parle de ramener Jessy…. Qui j’étais pour refuser à Harley qu’elle soit heureuse….
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alexar60 · 5 years ago
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Transparent le jour pour des amours nocturnes
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Comme d’habitude, elle ne me remarqua pas. Elle passa devant moi fixant du regard les élèves perturbateurs dans le couloir sans même un bonjour. Son air sévère, ses cheveux tirés en arrière, sa tenue de chef d’entreprise lui valurent le joli sobriquet de « peau de vache » des étudiants les plus respectueux, car pour les autres, c’était plutôt proche  de « la salope ». Et quand elle me croise, je ne peux pas dire le contraire puisqu’elle m’ignore totalement.
Mon statut de bibliothécaire ne me permettait pas d’entrer dans les petits papiers de la proviseure-adjointe. On ne fréquentait pas le même monde. Alors c’est tout à fait normal bien qu’impoli que de passer sans même un sourire ou un bonjour quel que soit l’endroit. Devant le CDI, dans les couloirs du collège, dans les bureaux administratifs, dans la cantine. Elle avait ses proches, j’avais les miens et c’était très bien.
Je la regardai crier sur les élèves. Ils devaient être en étude, dès lors, elle les amena directement en salle de surveillance. Les quatre adolescents ne faisaient pas les fiers. Elle avait la réputation de pratiquer la boxe française et ça chez les jeunes, ça se respecte. Avant d’ouvrir la porte de la bibliothèque, je la regardai marcher comme un homme dans son tailleur de grenouille de bénitier. A travers le hublot de la porte, je l’ai revue accompagnant une pionne qu’elle engueulait parce qu’elle venait de faire son taf. Un peu plus tard, elle entra dans le centre de documentation. Comme à chaque fois, elle passa devant moi ; assis derrière le bureau de l’entrée, j’enregistrai le prêt d’un livre. Elle ne répondit pas à mon salut mais à celui de l’élève qui attendait le livre. Elle partit afficher son sourire à ma supérieure, lui annonçant une bonne nouvelle dont on n’avait que faire. Puis, elle sortit sans même un regard dans ma direction.
Il en était de même à la cantine. Je mangeai avec les profs qui ne me considéraient pas comme un surveillant ou un banal assistant. J’étais leur égal. Avec eux, je m’amusais, nos discussions étaient délirantes. Soudain, elle entra avec son air pet sec. Elle prit un plateau avant de faire la queue et de se servir. Dans la salle voisine, à la table la plus proche des élèves, un troisième ne put retenir une connerie à son sujet: « Tiens, vlà peau de vache ! Elle va encore prendre de la salade pour garder la ligne... C’est normal pour une vache ! » A ses mots, s’ajoutèrent ceux de ses camarades à l’humour libidineux genre : « il serait temps qu’elle bouffe de la saucisse, ça la décoincerait » mais aussi, « je me ferai bien un sauté de vache…Faut la décoincer du cul, elle sera plus aimable » et j’en passe. Aucun prof n’intervint en jouant les sourds malgré leurs sourires pincés.
Pendant ce temps, Je relisais le petit mot: « Ce soir, devant le restau place royale ». C’était son écriture. Elle avait déposé le message discrètement sur mon bureau en entrant dans la bibliothèque. Il était volontairement chiffonné pour passer inaperçu et ne pas être lu par un autre. S’ils savaient qu’on était ensemble depuis la fac, ils me détesteraient ou l’apprécieraient. Je rangeai le mot, lorsqu’elle passa devant notre table sans jeter le moindre regard envers moi. Elle s’adressa à un prof d’anglais au sujet d’un projet pédagogique, à une prof de math lui demandant des nouvelles de son fils malade. Puis elle partit rejoindre la bureaucratie, des secrétaires gloussant autour du CPE à l’apparence de Johnny Depp version 21, jump Street. Elle accompagna les glouglous en riant avec elles sur les blagues à deux balles du bellâtre.
Dès qu’on se croisait dans la journée, elle faisait mine de ne pas me connaitre, marchant en faisant du bruit avec ses talons hauts. Ils étaient reconnaissables de loin et résonnaient dès qu’elle s’engouffrait dans un couloir désert. Mon après-midi se passa à conseiller, surveiller et gronder les élèves trop-bruyants. Puis vint la fermeture. Elle passa devant moi, la sacoche en épaulière. Elle entra dans la bibliothèque pour dire au revoir à la documentaliste en chef sans même jeter un œil sur moi. Après son départ, je remarquai un nouveau petit morceau de papier froissé sur le bureau que je venais de ranger : «Ne tarde pas ».
Elle attendait sagement sur la terrasse du restaurant, une cigarette à la main. Elle souffla de la fumée lorsque je me présentais. Elle se leva, nous nous embrassâmes sans se soucier de savoir si quelqu’un nous connaissait. Elle portait sa jolie robe rouge, celle que je lui avais achetée pour son anniversaire. Ensuite, je me suis assis en face d’elle, juste avant l’arrivée du serveur. Elle était souriante, me regardait avec des yeux qui pétillaient. Je vis le reflet de mon propre regard dans le sien. Elle me parla de la journée qu’elle a eue et que je connaissais déjà. Dès lors, je posai mon index sur ses lèvres rouges en signalant que maintenant, il n’y a plus de collège, il n’y a plus de travail. Il ne reste plus qu’elle et moi. Elle sourit de nouveau et me laissa prendre une bouffée sur sa cigarette. Pendant que nous choisissions dans le menu, elle s’amusait à me faire du pied.
Comme des amoureux, on picorait dans les deux assiettes, goûtant le plat de l’autre comme pour apprendre à se connaitre. Nous restâmes longtemps à manger et se parler tendrement. Quand vint l’addition, le cuistot, un cousin, nous rejoignit en apportant une  bouteille de cognac pour une dégustation digestive. Loin d’être amateur de ce genre d’alcool, j’appréciai toutefois son arôme fort et boisé. Elle taquina légèrement en disant qu’il y avait de la poire. Mon cousin répondit avec un air sérieux : « Il y en a !».
Les clients étaient tous partis depuis longtemps quand nous quittâmes le restaurant. La nuit s’offrait à nous sur cette place soudainement vide de gens et de voitures. Nous marchâmes, sans penser que la nuit était à nous. Elle commença par marcher sur le rebord de la fontaine pour en faire le tour. Elle semblait danser cherchant sans oser à tomber dans l’eau. Mais au dernier moment, je la retins et l’attirai vers moi. Alors, comme une folle envie, nous dansâmes au son d’une musique imaginaire et silencieuse. J’avais en tête : « I’m Kissing you » de Des’ree.
Nous sortîmes de notre slow en entendant les sifflements d’un groupe de jeunes qui se promenaient. Nous abandonnâmes la rue en se tenant par la main comme deux idiots amoureux. Puis, alors que nous arrivions devant chez moi, elle chuchota simplement qu’elle avait envie d’entendre la mer. Il était tard, pourtant, nous nous dirigeâmes vers ma voiture et partîmes pour une escapade nocturne. Il était définitivement fini le moment où j’étais transparent.
Il n’y avait pas beaucoup de circulation. Nous hésitâmes entre plusieurs endroits. Finalement, nous partîmes en direction de Pornic et ses plages isolées. Le trajet me parut agréablement long. Elle regardait l’obscurité du ciel qui se confondait avec le paysage. Tout était noir, impossible de reconnaitre quoi que ce soit. De temps en temps, elle frémit prise par le froid qui s’engouffrait dans la voiture ; elle utilisa mon manteau comme couverture et doucement, elle ferma les yeux en affirmant qu’elle se sentait bien. Les feux des quelques véhicules rencontrés m’éclairaient. Moi aussi, je me sentais bien !
Quand nous arrivâmes à destination, elle sortit de la voiture avant même que j’éteigne le moteur. Elle retira ses chaussures et courut sur le sable. L’odeur iodée m’enivrait agréablement. Le bruit des vagues l’attira comme une mouche sur un pot de miel. Je la cherchai au milieu de l’obscurité dans laquelle scintillait des milliers d’étoiles. On ne voyait rien à l’horizon, pourtant, par beau temps, on pouvait apercevoir l’ile de Noirmoutier. Soudain, elle m’appela. Je la retrouvai assise sur le sable. Elle écoutait la mer divaguer. Je m’assis à côté d’elle. Elle posa sa tête sur mon épaule. J’oubliai l’odeur iodé pour son parfum de vanille et de fleur d’oranger. Dans la tête, la voix de Des’ree continuait à chanter Roméo et Juliette.
Nous restâmes presqu’une heure à braver le froid et le vent sur la plage. Nous discutâmes de nous, de nos souvenirs d’étudiants, du weekend prochain. Elle proposa de rendre visite à sa famille, elle voulait que je vienne. Je demandai en souriant quel intérêt alors que d’habitude, on s’aime en secret. Elle laissa échapper un soupir et passa son bras contre ma taille pour mieux m’enlacer. Elle avait froid, moi aussi, mais on était bien.
Nous dormîmes dans la CORSA après avoir fait l’amour. C’était un jeu entre elle et moi. Nous commençâmes dans l’auto et finîmes complètement nus sur le capot. Entretemps, nous avions dansé nus sur le parking au son d’une playlist de chansons espagnoles. C’était une envie, une folie de s’afficher comme la fois où nous avons sauté par-dessus le portail fermé d’un parc parce qu’elle voulait baiser sur un banc public. Comme les nombreuses fois où nous avons baisé contre un mur dans une ruelle perdue, dans un champ sous le clair de lune. Comme la fois où nous sommes entrés au collège en pleine nuit et fait l’amour sur son bureau. Je ne fermai l’œil qu’une heure après, on se berçait sur la banquette arrière sans pouvoir vraiment dormir.
Le soleil se levait à peine quand nous retournâmes sur Nantes. Il sortait fièrement son jaune orangé  de l’arrière-pays. Je la déposai, rentrai chez moi prendre une douche. Ensuite, je partis travailler. Au collège, elle passa à côté de moi sans même dire bonjour, sans me regarder. J’étais de nouveau transparent jusqu’au soir, jusqu’à notre prochaine folie nocturne.
Alex@r60 – août 2020
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