#jeangenet

[abridurif]

Brassaï, Jean Genet assis tenant une cigarette, 1948

[silverscreensass]

🌈 #PrideFilm: #Un Chant D’Amour (Song of Love) (1950)

Two prison inmates in isolation try to communicate.

The film’s explicit homosexual content meant that attempts to release it failed, instead leading to it falling foul of obscenity laws and court case in France and America. It was only released in Denmark ... in 1972!

#JeanGenet #PrideMonth #PrideMovies #PrideFilms #LGBTFilms #LGBTQIAPlus #MovieBuff #FilmBuff #FilmLover #MovieLover #ClassicCinema #VintageMovies #RetroMovies #1950s #UnChantDAmour #SongOfLove

[delimagealatelier]

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Carte blanche | Ghada Sayegh POUR LA PALESTINE, SIMPLE SOURIRE Ce fut un bel échange, constructif et sensible en compagnie de @ghada_sayegh qui nous a présenté et choisi trois courts métrages de Jocelyne Saab et en présence de belles personnes qui ont enrichi la discussion autour d’une histoire imagée chargée de résistance, d’humanité et de poésie. La Palestine est dans nos coeurs, nos écrits et nos Images. Nous tenons à remercier Mathilde Rouxel et l’association @jocelynesaabasso Photos prises par @aichabousninaa & @mehebaaziz « Filmant sans relâche près de quarante ans de conflits et de révolutions, au Liban comme sur d’autres territoires, le geste cinématographique de Jocelyne Saab puise toute sa force dans l’engagement qui l’anime, celui du don de soi. Entièrement vouée à rendre compte de l’Histoire du point de vue des victimes et des persécutés, elle l’a non seulement vécue et documentée avec une analyse politique fine et exigeante, elle a également réussi à y puiser l’essence de la révolution et de la résistance : la poésie. Celle-là même qu’évoque Jean Genet pour qui « il ne saurait y avoir de vraie révolution sans qu’une transformation n’affecte le rapport avec les êtres ». A la question qu’il se pose « Pourquoi je suis avec les Palestiniens ? », il répond : « ce monde serait sans importance si je n’entrevoyais pas déjà entre les êtres des rapports que je ne peux dire que poétiques. Où la propriété et le pouvoir seraient remplacés par le don, étant bien entendu qu’il n’y a de réel que le don de soi, c’est-à-dire de rien, en échange de rien. Simple sourire ». Voir les films de Jocelyne Saab aujourd’hui revient à y déceler ce simple sourire, que l’on perçoit dans l’humanité qui les traverse ». Ghada Sayegh #jocelynesaab #ghadasayegh #delimagealatelier #freefreepalestine #résistance #gaza #palestine #jeangenet

[open24hours-backin5minutes]

So selecting Roses for the Spring planting of the garden in NOLA!

These are Love Song.

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The novel tells the story of Divine, a drag queen who, when the novel opens, has died of tuberculosis and been canonised as a result. The narrator tells us that the stories he is telling are mainly to amuse himself whilst he passes his sentence in prison – and the highly erotic, often explicitly sexual, stories are spun to assist his masturbation. Jean-Paul Sartre called it "the epic of masturbation".

Divine lives in an attic room overlooking Montmartre cemetery, which he shares with various lovers, the most important of whom is a pimp called Darling Daintyfoot ("Mignon-les-Petits-Pieds" in French). One day Darling brings home a young hoodlum and murderer, dubbed Our Lady of the Flowers. Our Lady is eventually arrested and tried, and executed. Death and ecstasy accompany the acts of every character, as Genet performs a transvaluation of all values, making betrayal the highest moral value, murder an act of virtue and sexual appeal.

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[robbialy]

From • @thisisthebeatgeneration William S Burroughs Outside His Room in Villla Moneria, Tangier, Morocco, 1961. Allen Ginsberg. #carlsolomon #garysnyder #allenginsberg #eileenkaufman #bobkaufman #jankerouac #joanhaverty #luciencarr #peterorlovsky #hettiejones #bobbielouisehawkins #nealcassady #annewaldman #jeangenet #joannekyger #michaelmclure #luciencarr #jackkerouac #williamburroughs #dianediprima #annewaldman #herberthuncke #carolyncassady #pattismith #williamburroughs #luannehenderson #ontheroad #salparadise #deanmoriarty #lawrenceferlinghetti #turnontuneindropout https://www.instagram.com/p/CixYcMCD21_yGhtydvLX2DT1EsD7XTlJIC-QNE0/?igshid=NGJjMDIxMWI=

[replicantwithoutgenitals]

I love you as if you were in my belly by rhaps0deep https://flic.kr/p/2nBqybF

[oscarangelreysoto]

"Nursed in Darkness" A man must dream a long time in order to act with grandeur, and dreaming is nursed in darkness. #Jeangenet Markers and tempera on paper. Un hombre debe soñar mucho tiempo para actuar con grandeza, y los sueños se nutren de la oscuridad. Jean Genet. Rotuladores y temple sobre papel. #roots#paper#Berlin#oscarrey#oscarangelreysoto#oscaratelier#art#arte#fineart#picassiano#marjers#artgallery#contemporaryart#tempera#painting#luxury#artgallery#contemporary#artcollector#artaddict#Malerei#zeichnungen#curator#fineart#artdealer# (hier: Berlin, Germany) https://www.instagram.com/p/CZWkDb8L-9K/?utm_medium=tumblr

[nicolasbrunet]

Collages du 19 avril 2020.

[abridurif]

Quand on est malin, on peut faire semblant de s’y retrouver, on peut faire semblant de croire que les mots ne bougent pas, que leur sens est fixe ou qu’il a bougé grâce à nous qui, volontairement, feint-on de croire, si l’on en modifie un peu l’apparence, devenons dieux. Moi, devant ce troupeau enragé, encagé dans le dictionnaire, je sais que je n’ai rien dit et que je ne dirai jamais rien : et les mots s’en foutent. Les actes ne sont guère plus dociles. Comme pour la langue, il y a une grammaire de l’action, et gare à l’autodidacte ! Trahir est peut-être dans la tradition, mais la trahison n’est pas de tout repos. J’ai dû faire un grand effort pour trahir mes amis : au bout il y avait la récompense. Le mime funèbre devra donc, pour la grande parade avant l’enfouissement du cadavre, s’il veut faire revivre et remourir le mort, découvrir, et oser les dire, ces mots dialectophages qui, devant le public, boufferont la vie et la mort du mort. Jean Genet, « L’étrange mot d’… », in Œuvres complètes, Éditions Gallimard, 1968

[delimagealatelier]

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Carte blanche | Ghada Sayegh POUR LA PALESTINE, SIMPLE SOURIRE « Filmant sans relâche près de quarante ans de conflits et de révolutions, au Liban comme sur d’autres territoires, le geste cinématographique de Jocelyne Saab puise toute sa force dans l’engagement qui l’anime, celui du don de soi. Entièrement vouée à rendre compte de l’Histoire du point de vue des victimes et des persécutés, elle l’a non seulement vécue et documentée avec une analyse politique fine et exigeante, elle a également réussi à y puiser l’essence de la révolution et de la résistance : la poésie. Celle-là même qu’évoque Jean Genet pour qui « il ne saurait y avoir de vraie révolution sans qu’une transformation n’affecte le rapport avec les êtres ». A la question qu’il se pose « Pourquoi je suis avec les Palestiniens ? », il répond : « ce monde serait sans importance si je n’entrevoyais pas déjà entre les êtres des rapports que je ne peux dire que poétiques. Où la propriété et le pouvoir seraient remplacés par le don, étant bien entendu qu’il n’y a de réel que le don de soi, c’est-à-dire de rien, en échange de rien. Simple sourire ». Voir les films de Jocelyne Saab aujourd’hui revient à y déceler ce simple sourire, que l’on perçoit dans l’humanité qui les traverse ». Ghada Sayegh #jocelynesaab #ghadasayegh #delimagealatelier #freefreepalestine #résistance #gaza #palestine #jeangenet

[consentingadult]

[mongraffito]

Our Lady of the Flowers Notre Dame des Fleurs Last 2019 oil touches #maleportrait #oilpaintingportrait #gay-art #eroticart #rose #jeangenet https://www.instagram.com/p/B6xyNsannyG/?igshid=ms2jc0bcatts

[ginzyblog]

William S Burroughs, Carol Kauffman, Allen Ginsberg, Jean Genet, Chicago 1986.   Some images from the new book  “Chicago 1968: The Calm Before the Storm” by Terry Southern and photographer Michael Cooper,  edited by their sons, Nile Southern and Adam Cooper, available from Genius Books.

From the publishers notes  “In the late summer of 1968, writers Terry Southern, William S. Burroughs, and Jean Genet were deployed by Esquire magazine to cover the Democratic Convention in Chicago. With photographer Michael Cooper and poet Allen Ginsberg inseparable parts of their coterie, the “fab 5” (as Michael Simmons dubs them in his introduction) were unflappable, capturing the calm and riding out the storm…”

Terry Southern’s original Esquire text “Grovin’ in Chi” is there in its entirety and Allen is quoted throughout, alongside ones by Abbie Hoffman, Jean Genet, Richard Seaver and others.

#terrysouthern #michaelcooper #nilesouthern #adamcooper #Chicago1968TheCalmBeforetheStorm #allenginsberg #williamsburroughs #jeangenet (at Grant Park, Chicago IL)

[paoloxl]

Jean Genet nacque a Parigi da Gabrielle Genet e da padre sconosciuto e subito venne lasciato alle cure della pubblica assistenza. Affidato ad una famiglia adottiva della regione del Morvan, crebbe in un ambiente protetto e amoroso e frequentò le scuole comunali.

Il suo primo furto risale all'età di dieci anni, ed è l'atto fondante della mitologia di Genet che, fustigato per la sua cattiva azione, la trasformò in modo del tutto esistenzialista santificando il suo gesto ed erigendola a simulacro del suo vizio e della sua profonda anti-socialità.

A quest'epoca risalgono i suoi primi turbamenti maschili nei confronti di uomini più adulti, bracconieri di passaggio o emarginati.

Genet lasciò il Morvan per seguire una formazione di tipografo, ma fu licenziato a causa di un furto. Bambino senza fissa dimore, fu recluso nella colonia penitenziaria di Mettray, dove si cristallizzarono le sue inclinazioni omosessuali. Lasciò Mettray a 18 anni per arruolarsi nella Legione Straniera dove scoprì per la prima volta l'Africa del Nord e il Vicino Oriente che gli fecero una grande impressione a causa delle passioni che lì imperavano, il carisma volutamente virile dei suoi abitanti, le sofferenze dei popoli oppressi dalla Francia colonizzatrice. Ritornato a Parigi, vivendo di piccoli furtarelli ai suoi amici bibliofili, a dei librai, a degli antiquari, Genet frequentò molte prigioni, tra cui quella di Fresnes.

E fu proprio in prigione che Genet concepì i suoi più grandi libri. Il sogno della scrittura rappresentava infatti per lui una via di fuga, un mezzo – forse il solo – per gettarsi definitivamente oltre le sbarre. Genet scrisse i suoi primi lavori su una carta ruvida da pacchi: questa carta veniva consegnata ai detenuti per le loro esigenze pratiche, e l'amministrazione carceraria vigilava perché non se ne servissero altrimenti. Egli compose alcune poesie servendosi proprio di quella carta ma venne scoperto e punito, e i manoscritti dati alle fiamme.

La produzione romanzesca di Jean Genet comprende sei testi, cinque dei quali scritti in prigione, tra i trentadue e i trentasei anni, ed uno (Un Captif amoreux) scritto dopo i settant'anni, e completato pochi mesi prima della morte.

I suoi primi romanzi furono censurati perché pornografici e quindi distribuiti sottobanco: "Il diario del ladro" descrive le sue scorribande adolescenti fuori di Francia, "Il miracolo della rosa" mette in parallelo i suoi anni di prigione e la sua fascinazione per un assassino con i suoi anni alla colonia di Mettray, "Notre Dame des fleurs" (Nostra Signora dei Fiori) evoca l'infanzia e le creature ambigue nella notte degli omosessuali della Parigi dell'anteguerra.

Trascurando per qualche tempo la scrittura, si impegnò in molte lotte: le Pantere Nere negli Stati Uniti e i Palestinesi dell'OLP (fu il primo occidentale a entrare a Chatila dopo i massacri perpetrati dalle milizie cristiane, alleate con l'esercito israeliano del comandante Ariel Sharon. Ne trasse il suo principale testo politico "Quattro ore a Chatila".

Ritornò in seguito al teatro, poi alla scrittura di romanzi. La morte del suo compagno Abdallah (che gli aveva ispirato la poesia "Il funambolo") e la sua tossico dipendenza dai barbiturici degenerarono la sua vita vagabonda. Genet, fino alla fine, visse in camere d'hotel sordidi, spesso vicini alle stazioni, viaggiando solo con una piccola valigia piena di lettere dei suoi amici e di manoscritti.

Le lotte politiche l'occuparono fino alla fine della sua vita, sistematicamente schierato dalla parte degli oppressi, dei deboli, dei poveri dimenticati dalle ricchezze del mondo.

Jean Genet morì di cancro al Jack's Hotel (Parigi) nella notte del 15 aprile 1986 e venne seppellito, secondo il suo volere, in Marocco.

[karinesauzedde]

Brassaï (Hongrois / Français, 1899-1984)

Jean Genet, Paris, 1948

[larsfredriksvedberg]

#jeangenet https://www.instagram.com/p/BtJuEhpBfV5/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=8bxobbnextyr