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Sans mots significatif
Pour le temps que je possède, je n’ai pas peur de toi, je t’embrasse, te caresse et t’apprivoise
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J'habite ou tes yeux brille
Lors d'une pleine lune, j'ai vu tes yeux loins dans le noir se camouflant avec le vert feuillage des arbres. Me promettant de ne jamais pensé à allé te rejoindre je me mentais à moi même biens évidemment. Tu ma empoisonné pour m'attirer dans l'ombre de la grande forêt de mes pensé
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You, YOU and you
Ce que tu leur faisais en riant du haut de ton arbre, un coup tombé plus bas que tes ombres ils t’envoient les balles de tes péchés en riant plus fort que toi seul tu n’as jamais eu la force de rire. Rampant pour fuir tes péchés, tu oublies chacun de tes souvenirs comme au matin les rêves qui s’évaporent dans le tunnel de tes pensés. Cours, cours mais tu sais bien que pour remonté là-haut tu devras aller plus bas que la dernière fois.
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L’amour d’un lampadaire
Que veux-tu que j‘en fasse, de tout cet amour, je te le porte anyway, il t’appartiendra à jamais, à nous ce souvenir de ta conscience ultra violente, de ce regard cerné, nerveux, qui se rend, j’en rêve, que tu te rende à l’amour, sans l’amour, la vie est faite d’argent.
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Cage carré, tourne en rond
Chez moi, laisse la laideur disparaître et la paix te mordre le cœur
les lames acérées pour la chair vont au ciel,
tu apparais entre les draps étendus à la clarté,
tu laisses les broderies dorée te caresser la peau
et les couleurs du jours entrer dans tes yeux,
en finis cristaux, de grâce, qu’enfin aucune autre violence ne te plaise désormais.
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Échecs et Maths
Mais quelle sorte de serpent suis-je?
Couleuvre de feuille mortes, des cendres je veux mordre ton cœur au bon endroit pour qu’il se tranquillise et que ta mort partout projeté en nous devienne douce et pardonnée que tu t’effondre au milieu des pins de la paix et que tu t’adresse à Dieu, enfin ta mort est trop violente, regarde la mienne est douce.
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On nait pour mourir¦À quoi bon courir¦
Mi-mai 2016
Si ta voix opère, toute la chair de mes sens se suspend à sa langue, elle dépêche les images avec ta trame en douleur, désherbe de ton livre tous les détails navrés et les discours de violence, elle raconte une histoire que je dois moi-même ordonner pour en extraire le sens. Ta voix est navrée pourtant, oui, le visage que tu montre ici sous nos nez, laisse tomber derrière les ténèbres et la puissance, mais surtout il laisse tomber l’horreur et la haine, il laisse tomber le cauchemar, la folie, les excès
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Avec un incontestable besoin?
Love is a mystery and I'm so good in its maze
Le soleil m’avait plongé dans un état de solitude si parfaite qu’en me levant pour partir, j’eus la surprise de constater que les banc du quai s’était remplis de têtes apaisées et du regard perturbant de toutes sortes de lunettes fumées.
Le pont semble plus rapide à rebrousser, les moulins d’enfants sur l’asphalte disent bonjours; pas - au revoir - on ne les regarde qu’en allant au fleuve et leurs couleurs ternes ravit la vraie tristesse du Moulin auquel on tourne le dos.
En allant jeter ma cigarette dans la poubelle sous la lanterne, je contournais un couple de cycliste essoufflées qui retiraient leur casques et en me rangeant près du bord dans mon angle mort surgirent deux pêcheurs au dossard jaunes. J’entendis quelqu’un dire “oh, il fait froid finalement” et la machine à réponse dans ma tête fut surprise de l’ironie derrière la question du Froidi. Le soleil, mon amour, défait ses cheveux dans le ciel et je l’aime tant que je me détend sous sa face et ferme les yeux pour mieux l’aimer. Toute sa chaleur est pour moi. La machine à réponse sourit et dans ma vision se dessine en même temps la silhouettes costaude du pêcheur de droite retirer fermement la canne à pêche des mains de ton petit compère. Tranquillement, leurs voix me parviennent et je ralentis le pas en posant toute mon attentions sur le pêcheur de droite
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Triske
C’est simplement à mon plus bas que j’ai réalisé ma juste valeur
“On entrait comme à l’habitude au donjon”
D’un sourire arrogant je défiais ton regard silencieux en attendant ma réprobation
En me balancant un violant coup en arrière des genoux je m’éffondra sous ta volonté
En gardant ce sourire arrogant, j’ai levé ma tête vers le plafond pour que tu puisse délicatement ajusté mon collier et enfilé ma laisse.
Suite à sa comme à l’habitude je suis allé me dénudé partiellement pour que tu puisse savouré mon délicieux corps.
Tu m’ordonna à venir au station de corde pour m’y attaché les mains en m’invitant à allé au toilette avant de m’attaché, je profita de mon instant de liberté pour y allé avec plaisir
à suivre.
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Carry on
If you ever read this text, you then know I wrote it for you
Un beau matin, tu auras disparu,
Laissant au moins un joli souvenir derrière toi,
Des amis au quels tu n’auras rien arraché.
Tu repartiras brusquement,
Comme un rêve que j’aurai fait
Dans la brume et le déchirement de mes passions
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God (aka whatever you want)
I warned you
Nous voyons tous les deux le piège de la nature tendu,
Toi ta domination suprême et moi, ma soumission arrogante, ma fragilité,
Tu brûle d’envie de la casser, de voir mon sang apparaitre, chaud et riche après
que tu aies pénétré la lame en moi, celle que tu gardes pour la nuit.
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4 mai
Run rabbit run
Un beau matin, tu arriveras tout dégainé et propre
On pourra voir tes bras et la courbe de ton dos
Tu auras laissé le cuir pour le lin,
La hache pour un crayon de bois,
Les roues pour les pieds
Et en marchant dans les sentiers battus de la forêt
Tu pleureras pour chaque arbre que tu as frappé
De toute tes forces et pour chaque hurlement
Que tu as fait de ta colère ardente, ton exès
De vivre, ta malédiction, ta tragédie, sans mots doux est une horreur vive.
Tu me craindras comme je t’ai crains!
Quand j’oserai t’atteindre dans ton cauchemar
Avec encore l’amour qu’on porte aux orphelins, misérables
Avec les mots que j’aurai fait parler pour toi,
Tu me craindras en me voyant sortir de l’ombre les bras ouverts
Te montrant la lumière à l’intérieur
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Hearthstone
J’étais censé me foutre de tout, surtout de toi.
Dans mes rêves tu pleures, tu ris, tu chuchotes, tu caresses les endroits doux avec intérêts, pourquoi tout ce calcul de la beauté, je l’ignore, mais sa pousse au bien, à l’amour.
Tu sors des ténèbres en essuyant la graisse avec un torchon, lève la tête et je ne peux voir tes yeux transparaître car ils sont voilés derrière les lunettes, ton petit nez lève au ciel, tes lèvres tendent aussi gentiment vers le haut, ta peau noircie de saleté et ton expression guerrière, quel voyage dans le temps que d’assister à toi, à ta guerre, quelle guerre, ta guerre me fascine.
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David
You fucking sick dumb
Ton visage a changé, il m’empêche de m’en effrayer. Il n’exprime plus de fortune démesurée ni cette puissante mort logée dans ton oubli.
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Et tout ce sens que tu crée à toi seul, d’où le prend tu?
J’ai pris main invisible et l’ai guidées vers la douceur. Tu as pris le chemin de l’étang, t’es enfouis sous l’eau avec fatigue, étudiant mentalement les allures du silence collectif
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May 12th
À force de m’exprimer désespérément,
Je deviens l’eau, étendue, écho d’image, dépotoir, medium, lit de franges mortes
et je glisse en catimini vers la berge,
déployé par le vent, mais quel vent ne sachant quel corps.
Une brise brûlante plutôt, je danse vers les rochers
ondulant noire et grise à l’ombre du quai,
entre moi et le ciel, l’excès se perd
dans les forme divines des nuages,
ma lecture se lave et se crève, j’ai vu l’école partout,
l’école des corps, l’école des mots et des couleurs
mais pas d’école de la mort
pas d’école de Dieu
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Octobre, la même date que...
J'étais assis au pied d'un jeune bouleau, le vent soufflait dans mes oreilles une sensation que j'appréciais énormément, le silence en quelque sorte. J'avais eu l'idée de sortir seul étant donné la magnifique journée et le temps que j'avais, enfin un peu de temps pour soi Pas n'importe quel temps, du bon temps, le genre de moment qu'on ne prend pas assez souvent bien malheureusement. Je regardais les arbres qui grâce à leurs couleurs m'informa que l'hiver approcha à grands pas, déjà. Je crois bien que cette saison de l'année est ma favorite, l'odeur est bonne les gens sont heureux, le soleil, les nuages, le vent. Tout semble si parfait, si seulement ça pourrait toujours être ainsi.
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