Réseau Scientifique Thématique Philosophie Architecture Urbain
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Le Philotope

À quoi pense l'architecture ?
Exercices de philosophie architecturale
Lire en ligne le numéro 15 ou le télécharger en .pdf
Nombreux sont les liens qui unissent l’architecture et la philosophie à la langue. Dans ce numéro 15 du Philotope, la revue du réseau PhilAU a le plaisir de témoigner des fructueuses coopérations qui se sont établies depuis de nombreuses années avec l’Université de Liège. Le dossier conçu par Céline Bodart et Stéphane Dawans, intitulé « À quoi pense l’architecture ? », est une belle opportunité pour mettre en lumière les enjeux majeurs des francophonies et des francophilies, chères au réseau PhilAU qui ambitionne de poursuivre cette dynamique sur les cinq continents. Elles donnent lieu à des fêtes de l’ouverture grâce au partage d’une langue commune, le français, mais aussi grâce à la pluralité des langues et des traductions, pouvant œuvrer aux diversités précieuses des rencontres culturelles et linguistiques. Elles sont au cœur de la toile qui se tisse au fil du temps pour faire place à la parole de l’autre et de soi, et faire tenir ensemble la polyphonie du monde.
« À quoi pense l’architecture ? » est alors un numéro doublement important. Important par la richesse d’une rencontre francophone enfin publiée après un long moment de fragilité et de perturbation covidienne… Important par la remise sur le métier du tissage, du métissage, entre architecture et philosophie, et de ce qui peut aussi les séparer.
Ce numéro, également, accueille les œuvres et dessins d’Antoine Bégel pour une expérience poétique du monde, porte le regard vers l’héritage des propos d’Hugo Conventz déjà très attaché à la question de la ville et de la nature, et offre une traduction inédite d’un chapitre de l’ouvrage Derrida’s Haunt de Mark Wigley, ainsi qu’un résumé de la recherche doctorale « Déplacements. Quand Derrida ré-adresse la déconstruction à ses hôtes-architectes ». Voilà de quoi nourrir l’attente de notre prochain numéro qui sera consacré à la notion d’engagement en architecture.
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Prendre soin par l’architecture, la ville, le paysage
Appel à communication pour les
Rencontres du RST PhilAU
École nationale supérieure d’architecture de Clermont-Ferrand
9 et 10 décembre 2021
Le Réseau Scientifique Thématique PhilAU, œuvrant depuis 1984 pour la mise en mouvement d'une exploration des liens entre architecture, urbain et philosophie, organise de nouvelles rencontres à Clermont-Ferrand les 9 et 10 décembre 2021 sur le thème du prendre soin. Cette problématique pourra être abordée soit sous forme de retour d’expérience, soit sous forme de proposition à dominante théorique.
Comment prendre soin au cœur de la tourmente des menaces climatiques, de la chute de la biodiversité, des précarités, migrations et exclusions, dans la reconsidération du faire établissements humains ? Avec démesure, ont été extrêmisées les séparations et les surexploitations, épuisant les milieux naturels et habités, multipliant les fragilités et les risques. Alors que les dystopies prolifèrent, saturant l’imaginaire collectif, des dynamiques fictionnelles et situationnelles de renouvellement sont à l’œuvre en architecture, ville et paysage. Le prendre soin y indique un sursaut dans les manières de se tenir au monde, des manières plus attentionnées, solidaires et empathiques. Révéler, relier, réconcilier, réparer, réemployer, recycler, réhabiliter, réinventer, bref ménager, autant de formes de sollicitude en jeu.
À l’occasion de ces deux journées de colloque, des investigations théoriques et pratiques présentées et discutées s’articuleront autour de trois manières de prendre soin du devenir des territoires urbains et ruraux à partir de ce qui nous est donné comme nouvelles matières de projet en architecture :
- Comment ouvrir d’autres possibilités de monde à partir des vulnérabilités ?
- Quels imaginaires et réenchantements à partir desreliances avec le vivant ?
- Quelles nouvelles formes de codesign écologique et solidaire à partir de l'incertitude des temps à venir ?
Calendrier :
- 8 septembre 2021 : date limite d’envoi des propositions de communication (2000 à 3000 signes) à : [email protected]
- Fin septembre 2021 : réponses du comité scientifique
- 8 novembre 2021 : transmission des communications finalisées pour le colloque
Modalités :
Les propositions de communication (2000 à 3000 signes) seront envoyées à :
sous format word, accompagnées d’une présentation de l’auteur.e de 30 mots. Les références bibliographiques seront indiquées en notes de bas de page.
Comité d’organisation :
Céline Bodart, architecte, docteure en architecture, enseignante ENSA Paris-la-Villette, laboratoire Gerphau(EA 7486)
David Marcillon, architecte, MC ENSA Clermont-Ferrand, laboratoire Ressources, directeur du RST PhilAU
Chris Younès, docteure et HDR en philosophie, professeure ESA (Paris), présidente du conseil scientifique du RST PhilAU, membre fondatrice d’ARENA (Architectural Research European Network)
Comité scientifique :
Céline Bodart, architecte, docteure en architecture, enseignante ENSA Paris-la-Villette, laboratoire Gerphau(EA 7486)
David Marcillon, architecte, MC ENSA Clermont-Ferrand, laboratoire Ressources, directeur du RST PhilAU
Chris Younès, docteure et HDR en philosophie, professeure ESA (Paris), présidente du conseil scientifique du RST PhilAU, membre ARENA
Jean-Baptiste Marie, architecte, docteur en architecture, professeur ENSA Clermont-Ferrand, directeur du laboratoire Ressources
Xavier Bonnaud, architecte, docteur et HDR, professeur ENSA Paris-la-Villette, directeur du laboratoire Gerphau (EA 7486), membre d’ARENA
Stéphane Bonzani, architecte, docteur en philosophie, professeur ENSA Clermont-Ferrand, laboratoire Gerphau/ associé laboratoire Ressources
Sophia Meeres, paysagiste, professeure University College Dublin, School of Architecture, Landscape Architecture, membre fondatrice d’ARENA
Maelle Tessier, architecte, docteure en histoire de l’architecture contemporaine, professeure ENSA Nantes, laboratoire Gerphau
Secrétariat PhilAU / Rencontres :
Nathalie Sabaté : [email protected]
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Les synergies à l’œuvre pour faire recherche en architecture
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A la recherche de synergies…
Etre à l’écoute, comprendre, partager, est un fil conducteur du Philotope, qui interroge ce qui a lieu. Le RST PhilAU a souhaité donner la parole aux doctorant.e.s, post-doctorant.e.s ou jeunes chercheur.e.s pour explorer les synergies à l'œuvre dans les dynamiques de recherche émergente en architecture, urbain, paysage, territoire, que ce soit en termes de discipline, d'interdiscipline, de rencontres, de méthodes, de terrains ou d'expérimentations. Ce numéro 14 du Philotope constitue le deuxième volet d'un triptyque du programme triennal du RST PhilAU sur la notion de "synergie", après la journée d'études à la Cité de l'architecture « Synergic Design » en novembre 2017, et en amont du prochain colloque international du réseau en préparation à l'ENSA de Clermont-Ferrand.
Ce nouveau numéro apporte une pierre à l’édifice épistémologique des processus de recherche en architecture. A cette étape de l’histoire du Philotope, s’imposait l’exigence de participer aux chantiers des questionnements et modalités portés par les chercheur.e.s et tout particulièrement des plus jeunes, contextualisant démarches, croisements, problématiques et interactions. Les textes réunis témoignent des interdépendances et intrications entre disciplines scientifiques et créatives… de ce que peuvent être l’aventure et le parcours d’une recherche, d’un doctorat, d’une publication. Alors, nous espérons que vous trouverez dans les écarts entre les manières de faire, les expériences et les terrains, l’émergence d’un paysage hybride et riche d’engagement pour la recherche architecturale. « Penser synergie », c'est penser les interactions et les processus en jeu, dont aucun confinement, aucune volonté séparatrice, mutilante, ne saurait en arrêter les réalités, les fertilités.
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Le Philotope
“Faire Philotopie” Une rétro-prospective en revue
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« Passage en revue d’un activisme philotopique… »
Voici un numéro spécial : une rétrospective du Philotope qui rend compte d’une déjà longue traversée… Elle démarre en juin 1996 – date de première publication de la revue. S’ouvre un nouveau champ partagé entre Architecture et Philosophie, à partir de notre foyer d’animation actif depuis 1984 au sein de l’Ecole d’Architecture de Clermont-Ferrand, qui avait édité une première série de 4 titres dans la collection « Vers une architecture appropriée »[1].
Philosophies des lieux et lieux des philosophies sont à l’œuvre et mis à l’épreuve à travers les contributions d’auteurs amateurs et amoureux de ce lien… alors toutes et tous des philotopes.
Répondant aux demandes réitérées de rendre accessibles les textes des six premiers numéros sur la période de 1996 à 2007, nous avons également sollicité de nouveaux auteurs sur cette ligne vivifiante qui relie Architecture et Philosophie. Nous remercions Daniel Payot, Pierre-Antoine Chardel, Richard Scoffier et Mikaël Labbé pour leurs contributions inédites, grâce auxquelles s’élargissent le cercle des partenaires et le palimpseste des regards face au nouveau monde qui vient et à l’intranquillité des savoirs, des expertises et des orientations… Ayant ‘carte blanche’, ces témoins et ‘activistes en philotopie’ apportent une réponse à notre invitation et envie de prospective…
Le Philotope est cette aventure collective ouverte qui se réinvente entre situations, créativité et recherche. Les strates qui le constituent au fil du temps manifestent à quel point les thématiques de l’expérience et des ‘en-commun’ se répètent et se renouvellent pour penser et rendre compte, avec le souci de l’écologie comme fil directeur, des paysages, territoires et milieux habités.
Ce Philotope ‘rétro-prospectif’ est un temps de suspension pour mieux préparer le numéro suivant qui sera consacré aux synergies disciplinaires et transdisciplinaires explorées par les doctorants, docteurs et post-doc en architecture.
Nous vous invitons encore et encore à nous rejoindre et à faire de la revue du RST PhilAU une agora de points de vue critiques et d’émergences de nouveaux possibles.
[1] Aux éditions EACF : L’architecture entre nos sens et le sens (colloque 1984), 1986 ; Architecture, espace du temps (colloque 1987), 1989 ; Donner l’habiter (colloque 1990), 1992 ; Chaos – Harmonie – Existence (colloque 1992), 1994.
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Appel à articles
Terminé
Le Philotope n°14 : « Les synergies à l’œuvre pour faire-recherche en architecture »
Numéro piloté par Céline Bodart et Chris Younès
Le RST PhilAU souhaite donner la parole aux doctorant-e-s, post-doctorant-e-s ou jeunes chercheur-euse-s pour explorer les synergies à l'œuvre dans les dynamiques de recherche émergente ou doctorale ou post-doctorale en architecture, urbain, paysage, territoire, que ce soit en termes de discipline, d'interdiscipline, de rencontres, de méthodes, de terrains ou d'expérimentations. Ce prochain numéro 14 du Philotope constitue le deuxième volet d’un triptyque du programme triennal du RST PhilAU sur la notion de ‘Synergie’, après la journée d’études à la Cité de l’Architecture « Synergic Design » en novembre 2017, et avant le colloque international « Synergies Architecture & Philosophie » en décembre 2020 à l’ENSA de Clermont-Ferrand. Penser synergie, c'est penser les interactions et les processus en jeu. L'objectif est de témoigner des questionnements croisés, des hybridations, des transferts et des interférences, ouvrant largement le spectre des effets produits – qu'ils soient positifs ou négatifs, désirés ou subis – afin d'en montrer le caractère critique et heuristique. Interroger les synergies à l'œuvre dans nos pratiques de recherche, c'est une manière de partager des expériences liant des questions théoriques avec des trajectoires singulières. Et si pointe ici la voie scientifiquement proscrite du personnel et de l'anecdotique, il faut apprendre à s'y aventurer, risquer de l'emprunter pour rendre compte de ce qui s'y fabrique. Toujours à la marge de ce qui se trace comme le récit dominant et convenu de la recherche, l'anecdote est moins parasitaire que nécessaire ; elle « nous rend les choses spatialement proches, elle les fait entrer dans notre vie[1] ». Plus encore : « vive l'anecdote, car elle est en prise sur l'essentiel[2] »… pour dire ce qui se vit aujourd’hui dans le « faire-recherche en architecture »…
Faire-recherche…
Depuis plusieurs années, en architecture, le faire est effectivement à l'honneur. Dans l'enseignement du projet, de nombreux ateliers et workshops remettent au goût du jour des dispositifs pédagogiques qui encouragent l'expérience physique et directe de la pluralité des modalités du faire de l'architecture ; dans la pratique professionnelle, se multiplient les initiatives qui tentent (par nécessité ou volonté) de déjouer les codes de la commande classique en engageant un entremêlement étroit des phases de conception et réalisation afin d'occuper et réinventer l'ensemble du processus de transformation ; et dans la recherche, en forçant de rebattre les cartes des traditionnels positionnements épistémologiques et méthodologiques, les promesses du « by design » ont véritablement pignon sur rue. Cet engouement autour du faire est loin d'être un phénomène qui ne concernerait que les pratiques de l'architecture ; au contraire même, le faire est dans l'air du temps, y laissant résonner le bruit de fond d'un monde inquiet et soucieux de pouvoir se (re-)donner les moyens de répondre à ce qui lui arrive. Pour les pratiques plurielles de l'architecture, le faire apparait désormais comme un motif récurrent, un motif animé par la volonté et la nécessité de défaire les présumées seules façons de faire ; défaire et faire hésiter nos habitudes d'œuvrer, former et penser ; défaire et remettre en jeu le travail de l'imagination en se méfiant de tout « c'est comme ça qu'il faut faire parce qu'on a toujours fait comme ça ».
Le faire est donc avant tout affaire de transgression. Il s'instaure selon des rapports de transgression des limites établies par l'habitude, la tradition et les institutions ; non pas une transgression qui dissout ou confond de telles limites, mais plutôt les donne à penser en entretenant avec elles un « rapport en vrille dont aucune effraction simple ne peut venir à bout[3] ».
Autour de ce motif du faire et au détour de ses nombreuses reprises, il est question à présent d'en suivre plus spécifiquement les fils à travers la fabrique de la recherche en architecture. Non pas « la recherche par le faire » (qu'il s'agisse de recherche-création, recherche-action ou autres modes de recherche par-le-projet), mais plutôt comment se fait, se fabrique, s'invente et se bricole la recherche en architecture ? Comment se façonne-t-elle et selon quels rapports de transgression aux limites du academically correct ? Osons ouvrir la boîte noire du faire-recherche. Quand ça hésite ou ça piétine, quand ça surprend ou ça déçoit, qu'est-ce qu'on fait ? Quels sont nos « trucs » pour réajuster nos pratiques et hypothèses, pour repenser nos manières de faire-recherche et réinterroger ce qu'elles peuvent nous faire faire, faire dire, faire sentir, faire penser ? Ouvrir la boîte noire, pour démystifier le sérieux prétendu et imposé par ce vieux souvenir d'une recherche perchée sur sa tour d'ivoire. Ouvrir la boîte noire, et aller y chercher ces moments où ça dérape, où ce qu'on nous avait vendu comme des méthodologies sûres et prêtes-à-l'emploi ne tiennent tout simplement plus la route. Ouvrir la boîte noire et, face aux bricolages que nous y trouverons, des plus raffinés au plus crasseux, ne plus avoir pour seul réflexe de descendre en flèche toute prétention épistémologique de la recherche en architecture, mais au contraire interroger comment celle-ci s'invente et s'apprend en se fabriquant chemin faisant. Quand et comment se construit la rencontre avec d'autres formes de savoirs (non-)disciplinaires pour équiper conceptuellement et/ou physiquement son terrain de recherche ? Quand et comment s'élabore la volonté d'explorer plus d'une forme d'expression pour donner à voir et à penser les spécificités, ambiguïtés et subjectivités de ses objets de recherche ? Quand et comment s'énonce le besoin d'expérimenter d'autres genres d'écriture pour rendre compte de manière critique et créative de ce qu'on fait et défait ?
Faire (re-)réfléchir nos pratiques en termes de synergies, c'est aussi explorer des pistes ouvrant des possibles d'un autre type dans la fabrique en recherche d'écologies créatives des pratiques de l'architecture. Pour la philosophe des sciences Isabelle Stengers, « l'écologie des pratiques », c'est « un outil pour penser ce qui est en train d'arriver » ; un outil qui entretient la singularité des pratiques et opère en composant avec leurs différences ; un outil non neutre, qui prend soin de ce qu'il peut faire advenir et transformer ; un outil situé, qui se fabrique par et pour une situation problématique spécifique, refusant de participer à la mise en circulation de quelconques solutions prêtes-à-l'emploi[4]. À sa suite, la théoricienne de l'architecture Hélène Frichot reprend le concept par sa mise au pluriel, questionnant comment les pratiques architecturales peuvent engager de nouvelles formes d'écologies d'actions[5] : entre le drawing (renvoyant autant au domaine de la conception qu'à celui de la formation et de l'enseignement du projet), le writing (renvoyant à la recherche et toutes ses médiations, qu'elles soient discursives ou non), le building (renvoyant aux pratiques professionnelles, ainsi qu'aux transformations nécessaires de leurs manières de (re-)construire le devenir des milieux habités), comment inventer et expérimenter de nouveaux liens esthétiques, éthiques et politiques, de nouveaux dialogues créatifs et effectifs, fictifs et critiques ?
Dans le cadre de cet appel à contributions, nous proposons à des chercheur-e-s, engagé-e-s dans des recherches doctorales ou post-doctorales, ou émergentes, de prêter attention à ces modes écologiques de (re-)construction entre les pratiques : quelles sont ces synergies à l'œuvre dans le renouvellement des modes de co-existence et d'inter-action entre les pratiques en charge de la transformation des milieux, qu'elles soient architecturales, territoriales ou paysagères, et qu'elles s'amorcent depuis les champs de la recherche, de l'enseignement ou de la pratique.
Attendus et calendrier
§ Remise d’une proposition d’article (5000 à 8000 signes maximum) explicitant les enjeux théoriques et méthodologiques de telles synergies préfigurant le futur article final, accompagnée des références bibliographiques ciblées et d’une courte biographie de l’auteur-e (une demi-page maxi).
§ Au plus tard le : 2 février 2020
§ À l’adresse : [email protected]
§ Examen des propositions par le comité de lecture et de sélection composé des personnalités suivantes :
. Céline BODART (Architecte, Docteure en architecture, Maîtresse de Conférences Associée ENSAPLV et Université de Liège, GERPHAU- EA 7486)
. Xavier BONNAUD (Architecte, Docteur en urbanisme, Professeur ENSAPLV et Ecole Polytechnique, directeur du GERPHAU-EA 7486, membre ARENA)
. Céline BONICCO-DONATO (Docteure en philosophe, Maîtresse de Conférences ENSAG, équipe CRESSON UMR AMBIANCES ARCHITECTURES URBANITES)
. Aglaee DEGROS (Urbaniste, Professeure et Directrice de l’Institut d’Urbanisme, Université de Technologie de Graz)
. David MARCILLON (Architecte, Directeur du RST PhilAU, Maître de Conférences ENSACF, RESSOURCES)
. Jean-Baptiste MARIE (Architecte, Professeur ENSACF, Directeur de l’équipe de recherche RESSOURCES, Directeur du programme POPSU au PUCA)
. David VANDERBURGH (Architecte, Professeur UC Louvain, Vice-doyen LOCI, membre ARENA)
. Chris YOUNES (Philosophe, Professeure ESA, Présidente du conseil scientifique RST PhilAU, GERPHAU - EA 7486, associée RESSOURCES, membre ARENA)
§ Les réponses et avis du comité de lecture seront diffusés le : 2 mars 2020
§ La date limite d’envoi des articles définitifs par les auteur-e-s retenu-e-s : 15 mai 2020
§ Les articles seront publiés dans le n°14 du Philotope en septembre 2020 et les auteur-e-s pourront être par ailleurs invité-e-s à participer au 3ème volet du programme ‘Synergic Design’ du RST PhilAU – Colloque International ‘Synergies Architecture & Philosophie » en décembre 2020 à l’ENSA de Clermont-Ferrand.
Références:
[1] Walter Benjamin, Paris capitale du XIXe siècle. Le livre des Passages. Paris : Cerf, 1989, p.561
[2] Barbara Cassin, Eloge de la traduction : compliquer l'universel. Paris : Ed. Fayard, 2016, p.73
[3] Michel Foucault, « Préface à la transgression » (1963), in Dits et écrits, 1954-1988, Tome 1. Paris :Gallimard, 1994, p. 237.
[4] Isabelle Stengers développe ce concept dans sa série des Cosmopolitiques, publiée en sept volumes entre 1996 et 1997 (Paris : La Découverte, Les Empêcheurs de penser en rond) ; réédité en deux tomes à La Découverte (2003). Voir également Isabelle Stengers, « Introductory Notes on an Ecology of Practices ». In Cultural Studies Review, Vol. 11 N°1 : Desecration, 2005, pp.183-196.
[5] Hélène Frichot, Creative Ecologies : Theorizing the Practice of Architecture. London : Bloomsbury, 2019.
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Événement
L'archaïque et ses possibles aujourd'hui
Colloque international – Cycle Architecture et Philosophie
A l’initiative du laboratoire Gerphau – EA 7486 (ENSA PLV)
Cité de l’architecture et du patrimoine
Auditorium & Salle Anatole de Baudot
Les 15 et 16 juin 2018
Programme et inscription (gratuite mais obligatoire) sur le site de la cité de l’architecture (cliquer ici)
Présentation
Transition, incertitudes et pratiques d’initialité
En même temps qu’elles fragilisent les territoires, les nouvelles conditions d’incertitude et de désorientation contemporaines voient conjointement l’émergence, peut-être la résurgence, de pratiques de recommencements, de reprises, de réinitialisations. Par-là nous pensons à un champ très large de démarches qui proposent de répondre à l’incertitude et à la complexité du monde contemporain par la reprise du geste de bâtir dans sa dimension archaïque. Ces pratiques d’initialité prennent des formes très diverses et s’expriment dans des milieux variés :
- réactivation de figures d’installation archétypales (cabane, grotte, monolithes, etc.) - reprise du geste primitif du « construire » (logiques d’empilement, d’assemblages simples, d’excavation, etc.), - approche phénoménologique et redéfinition de l’architecture comme fabrication d’atmosphères, mettant entre parenthèses les conditions culturelles, au profit de l’expérience corporelle, - réinvestissement de la matière première (terre, pierre, bois...) et de sa mise en œuvre... - ressourcement par des nouages à la nature dans sa double dimension physique et symbolique (géographie, éléments, etc.).
Portées par de grandes figures de l’architecture contemporaine, comme Peter Zumthor ou Aires Matheus, par des professionnels ou des collectifs tournés vers l’empowerment d’habitants-constructeurs, comme Rural Studio, Francis Kéré ou l’Atelier d’Architecture Autogérée, ces pratiques partagent toutes, malgré les immenses différences qui les séparent, la confiance dans ces gestes archaïques pour redonner du sens, et cherchent moins leurs références dans la riche culture savante de l’architecture et de la ville que dans l’expérience originaire et anhistorique de l’installation humaine. Se replacer dans des conditions initiales, pari presque impossible dans un monde fortement marqué par l’anthropisation.
L’hypothèse qui est soutenue dans ce colloque est que ces stratégies, ou plutôt ces ruses de l’initialité, loin d’une régression, d’une approche rétrograde, en même temps qu’elles « font boussole » en proposant des actions simples, visent toutes à résister à des puissantes formes de déliances, de découpages, de dissociations qui fragilisent les milieux habités. Ces déliances, à l’œuvre tant dans les modes d’action (spécialisation des taches et des « experts », découpages administratifs, sectorisation des instances de gestion) que dans les modes d’intelligibilité des milieux (disciplines, sciences de la nature et sciences de la culture...), dont Edgar Morin a analysé les effets délétères, entrent en conflit avec les alliances et les nouages fondamentaux nécessaires à l’acte de bâtir et aux pratiques habitantes. Le geste archaïque, c’est-à-dire initial
(arkhè), inaugural, viserait ainsi à se réapproprier ce moment privilégié, en-deçà des divisions et des partages, qu’ils passent entre les établissements humains et le substrat géographique, ou entre les diverses dimensions biologique, psychique, sociale, symbolique et culturelle de l’habitation. Se dessine ainsi une forme alternative, mais peut-être finalement primitive et essentielle, de l’intelligence territoriale, certes loin des smart cities, mais engageant une relation au monde plus créative et plus originaire.
L’archaïque aujourd’hui
La formule peut sembler paradoxale. L’archaïque n’appartient-il pas à une « époque » révolue ? Ne sommes-nous pas très loin de ces origines ? L’architecture, l’urbanisme, le paysagisme ont-ils encore quelque chose à voir avec ce qui apparaît au premier abord premier, primitif, brut ou pré-historique ? Et nos territoires ne sont-ils pas des palimpsestes chargés d’une histoire longue et complexe qui les éloignent infiniment des temps premiers ?
L’emploi du terme archaïque n’est pas neutre et nécessite d’opérer d’emblée une distinction conceptuelle cruciale. Pour la pensée historienne, l’archaïque est effectivement une période, une ère, un âge qui précède d’autres époques, classiques, modernes, post-modernes... L’arkhè dont le terme découle insiste en effet sur l’origine, le point de départ, le début. Selon cette conception, et dans une perspective progressiste, l’archaïque est ce qui nous ramène à l’ancestralité, et aux obscurités dont notre civilisation nous aurait débarrassé. L’archaïque n’est alors convoqué, dans le contexte contemporain, que pour désigner des inerties, des formes, comportements, modes de pensées rétrogrades, au mieux périmés et obsolètes, au pire dangereux. Selon l’ordre de la temporalité historique et les valeurs du progressisme, l’archaïque est ainsi ce dont nous nous éloignons inexorablement, origine lointaine à l’aune de laquelle nous mesurons notre évolution.
En philosophie, mais aussi dans le champ des sciences de la nature, de la génétique ou encore en psychanalyse, l’archaïque ne revêt pas le même sens. S’il s’agit bien par-là de qualifier un état, une phase naissante ou commençante, celle-ci n’est pas rejetée dans le passé lointain ; au contraire elle opère encore et toujours. Cellules souches, inconscient, principes ont en commun cette qualité d’agir au cœur même de l’actualité. C’est même le propre de l’archaïque de perdurer et de résister au passage du temps, aux contingences du moment, du présent. Il s’agit donc d’une catégorie anhistorique, d’un commencement certes mais d’un commencement continué. Dans un sens, c’est son inactualité qui le rend paradoxale- ment actuel.
Un des enjeux théoriques du colloque consistera alors à mieux identifier les figures d’expression relevant de l’archaïque dans le champ de l’architecture contemporaine, mais aussi chercher les motifs plus ou moins conscients de ces résurgences.
Avec l’archaïque nous sommes d’emblée plongés dans une ambiguïté : le retour de l’archaïque est-il une forme de conservatisme ou est-il au contraire une nouvelle célébration de l’invention ?
Programme et inscription (gratuite mais obligatoire) sur le site de la cité de l’architecture (cliquer ici)
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Publication
Au tournant de l’expérience
Interroger de qui se construit, partager ce qui nous arrive
Cet ouvrage fait suite au colloque international « Au tournant de l’expérience. Interroger ce qui se construit, partager ce qui nous arrive », organisé à Paris les 11 et 12 mars 2016, et qui est la seconde rencontre du cycle « Architecture et philosophie » initié par laboratoire Gerphau en partenariat avec la Cité de l’Architecture. Chris Younès et Céline Bodart en assuraient l’orchestration.
« Bien sûr, l'expérience n'est pas une ligne droite ; elle est toujours et déjà constituée de tournants, de tourments et de retournements. Mais d'où vient cette intuition que ce tournant, aujourd'hui et maintenant, mérite de s'y arrêter pour le penser ?
Au croisement de l'architecture et de la philosophie, nous avons invité des auteur.e.s à rendre compte de la diversité des trajectoires de pensée et des actions, multipliant ainsi les prises et reprises pour interroger ce qui se construit et partager ce qui nous arrive. »
Avec les contributions de Guy Amsellem, l'agence ateliergeorges (par Mathieu Delorme), l'agence Base (par Franck Poirier et Alexandra Arenès), Antoine Begel, Céline Bodart, Xavier Bonnaud, Stéphane Bonzani, Martine Bouchier, Aysegul Cankat, la coopérative Cuesta (par Agathe Ottavi et Alexandra Cohen), Didier Debaise, l'agence Fabriques Architectures-Paysages (par Pierre Janin), Catherine Grout et Micheline Lelièvre, François Guery, François Jullien, Bruno Latour, David Marcillon, Jim Njoo, Daniel Payot, Frédérique Peyrouzère, Philippe Rahm, Emmanuelle Roberties, Matthias Rollot, l'agence Claire Schorter (par Claire Schorter), Antonella Tufano, Chris Younès.
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Appel à communications
Terminé
L’ARCHAÏQUE ET SES POSSIBLES AUJOURD’HUI
Architecture et philosophie
Colloque à la cité de l’architecture et du patrimoine - 15 et 16 juin 2018
Ce colloque, organisé par le RST PhilAU et par le GERPHAU, vise à explorer l’émergence, peut-être la résurgence, de pratiques de recommencements, de reprises, de réinitialisations dans le champ de l’architecture, de l’urbanisme, du paysage. Ces pratiques partagent toutes, malgré les immenses différences qui les séparent, la confiance dans ces gestes archaïques pour redonner du sens, et cherchent moins leurs références dans la riche culture savante de l’architecture et de la ville que dans l’expérience originaire et anhistorique de l’installation humaine. Comment penser ces figures émergentes, comment en dresser une cartographie ? Un des enjeux théoriques du colloque consistera alors à mieux identifier les figures d’expression relevant de l’archaïque dans le champ de l’architecture contemporaine, mais aussi chercher les motifs plus ou moins conscients de ces résurgences.
Afin de nourrir ce débat, de cartographier ces pratiques d’initialité et de déployer les diverses significations qu’elles impliquent, nous proposons une rencontre à la Cité de l’architecture, croisant architecture et philosophie.
Cet appel à communication est lancé :
aux architectes urbanistes paysagistes, pour qui cette notion est active et qui souhaiteraient présenter et partager leurs interrogations,
aux enseignants et chercheurs dont les enseignements et/ou les recherches croisent ces pratiques d’initialité,
aux philosophes qui voient dans l’architecture une occasion d’approfondir des réflexions autour de ce concept et de son actualité.
Les propositions de communication, ne devant pas excéder 300 mots, en français ou en anglais, sont à adresser avant le 31 janvier 2018 à l’adresse mail : [email protected]
L'annonce des sélections par le comité scientifique aura lieu aux alentours du 20 février 2018. En cas de sélection de l'abstract, le comité d'organisation tiendra l'intervenant informé du dispositif proposé pour sa présentation. Le colloque se déroulera dans l'auditorium de la Cité de l'Architecture et du Patrimoine. La participation au colloque est gratuite et les inscriptions (obligatoires) se feront en ligne via le site internet de la Cité de l'Architecture et du Patrimoine.
Pour toute information complémentaire, n'hésitez pas à nous contacter [email protected]
Les communications présentées feront l'objet de publications.
CONSEIL SCIENTIFIQUE.
Xavier BONNAUD, Stéphane BONZANI, Marie-Hélène CONTAL, Philippe MADEC, David MARCILLON, Daniel PAYOT, David VANDERBURGH, Chris YOUNES
COMITÉ D'ORGANISATION.
Xavier BONNAUD, Stéphane BONZANI, Dimitri SZUTER, Chris YOUNÈS
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Événement
SYNERGIC DESIGN
Journée d’étude organisée par le Laboratoire Gerphau (ENSA Paris La Villette), en partenariat avec la Cité de l’architecture & du patrimoine. Avec le soutien du réseau PhilAU (réseau scientifique thématique : Philosophie, Architecture, Urbain), le réseau ARENA et l’esalab east-t+_��b
À l'heure de l'impératif écologique, les transformations des milieux habités appellent à de nouvelles reprises et mises en œuvre synergiques. La reprise, elle, fait appel à l'invention d'autres formes d'interactions avec les milieux, remettant activement en question l'héritage d'une certaine modernité qui a privilégié la séparation et l'exploitation, et épuisé les milieux naturels et humains. La synergie, nous la proposons donc comme une reprise vivifiante de nos manières de faire et de penser la transformation des territoires : en termes de projet, comment les choses (re-)travaillent-elles ensemble ? Que font ces mises en synergie font au projet : problématiser, représenter, réaliser ? Comment la reprise des synergies permet-elle de ré-investir nos modes de conception ?
Cette journée d'étude est composée d'une série de rencontres inter-disciplinaires et transpratiques. Chaque rencontre se déroulera selon un même protocole : un.e architecte / urbaniste / paysagiste ouvre la discussion par la présentation d’un projet et d'une référence, vus comme des interprétations possibles de synergies à l'oeuvre dans les processus de conception du projet en architecture, urbain, territoire, paysage. Des chercheurs et chercheuses du laboratoire Gerphau sont ensuite invité.e.s à réagir et discuter de ces différentes propositions. Par ce protocole, nous tentons de mettre nos modes de discussion à l'épreuve de nouvelles formes de synergies, entre architecture et philosophie, mais aussi entre praticien.ne.s et théoricien.ne.s.
Infos et inscription (obligatoire):
https://www.citedelarchitecture.fr/fr/evenement/synergic-design
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Le Philotope
MaT[i]erre[s]
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Ce Philotope « MaT(i)erre(s) » veut expliciter le lien établi par l’architecture entre l’esprit et la matière et celle du rapport entre nature et technique, renvoyant à l’idée insistante de l’interrogation nietzschéenne de savoir quel monde on veut habiter. L’art d’articuler les forces vives naturelles et culturelles se révèle être un des enjeux cruciaux du XXIe siècle ; où méconnaître les lois naturelles, les transgresser par ignorance, inconscience ou arrogance prométhéenne, représente une forte menace pour les établissements humains.
Nos conditions planétaires d’existence et nos relations aux ressources évoluent, en tout sens et à toute vitesse, et devront être « résilientes ».
Ce n°12 du Philotope, coproduit avec amàco (atelier matières à construire), entre Matières et Terre, présente des textes ouvrant sur ces horizons divers qu’affectionne partager le Réseau Philau avec tous ceux qui désirent, imaginent, construisent, vivent des mondes habités encore possibles… Cartographie des résistances et des ressources potentielles, imaginaires et poétiques des matières en leurs récits constructifs ou territoriaux, art du geste et économie du faire, mise en œuvre par communauté d’action, autant de pistes explorables… empruntées maintenant…
Ce dossier très dense est structuré en trois parties : « Matière(s) entre expériences et concepts », « Matière(s) à l’œuvre » et « Matière(s) à apprendre ».
Et l’on retrouve bien sûr les trois rubriques qui articulent le Philotope : « Œuvre », « Héritage » et « Recherche doctorale ».
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Appel à articles
Terminé
Le Philotope n°12: « MaT(i)erre(s) »
« Dans une société qui privilégie une appréhension du monde via nombres d’artifices, subterfuges d’une proximité croissante avec l’ensemble de la planète, l’homme semble tendre vers une perte de contact avec son milieu, un désenracinement de son existence concrète. Il se dépossède, peu à peu, de l’expérience corporelle qu’il fait du monde.
Dans ce contexte, se poser la question - de quoi est fait le monde ? - en ce qu’il a de plus élémentaire, le plus à la source de nos ressources, outrageusement exploitées ou épuisées, passe d’une évidente pertinence à une absolue urgence : apprendre à re-garder profondément le monde et ses matières, de tous nos sens, reprendre contact avec la dimension poétique du réel pour qu’enfin le ré-enchantement devienne une éthique partagée de notre être au monde !
Alors comment penser, construire et habiter le monde à partir de ce qu’il est le plus élémentairement fait - terre, eau, air, feu, etc. ? Quelles intelligences de situations, quelles innovations, quels milieux habités se fabriquent ou sont en capacité d’être imaginés, d’être créés pour demain… ou dès maintenant ? A l’ère de l’anthropocène, comment penser et construire l’habiter par la renaissance des éléments ?
C’est donc la matière en tant que « ressource de vivre et de penser »* qu’il s’agit ici d’interroger, sous forme de partage d’expériences et de pensées.
Le Philotope n°12 s’ouvre alors à un large champ d’expériences de la matière - sensorielle et kinesthétique, artistique, spatiale, expérimentale, socioculturelles, cosmogoniques, scientifique, etc. - en questionnant ce en quoi elles proposent une expérience intense du monde et de la fragile appartenance terrestre de l’homme ?
Cette thématique pourra être abordée soit sous forme de retour d’expérience, soit par des articles à dominante théorique. »
Calendrier :
30 Mai 2016 : Date limite d’envoi des propositions d’articles sous forme de texte court de 3000 signes maximum et d’une bibliographie à [email protected]
27 Juin 2016 : Réponses et avis du comité de lecture
12 Septembre 2016 : Date limite d’envoi des articles définitifs
Parution prévue pour Novembre 2016
Modalités :
L’article définitif, entre 8000 et 15 000 signes, sera envoyé sous format word accompagné d’une présentation de l’auteur de 30 mots. Les références bibliographiques seront indiquées en notes de bas de page.
Images :
Les illustrations référencées dans le texte doivent impérativement être libres de droits et seront légendées. Elles seront envoyées au format .jpg et auront une définition d’au moins 300 dpi (format réel).
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Publication
Encore l'architecture - Encore la philosophie
sous la direction de Chris Younès et Céline Bodart
éditions Hermann
Cet ouvrage fait suite à la tenue du colloque Encore l'architecture - Encore la philosophie (Paris, mars 2015), une initiative du laboratoire Gerphau, organisée en partenariat avec la Cité de l'architecture et du patrimoine, et avec le soutien du Lavue et du réseau PhilAU. Cet événement international fut la première conférence ARENA, réseau européen pour la promotion et le développement de la recherche en architecture.
Avec les contributions de Aurosa ALISON, Guy AMSELLEM, Manola ANTONIOLI, Giorgia AQUILAR, Manuel BELLO-MARCANO, Céline BODART, Xavier BONNAUD, Stéphane BONZANI, Léonor CHABASON, Cécile CHANVILLARD, Pierre CLOQUETTE, Alice FINICHIU, Murray FRASER, Benoît GOETZ, François GUÉRY, Pauline LEFEBVRE, Jean-Pierre MARCHAND, David MARCILLON, Luca MERLINI, Pasquale MIANO, Daniel PAYOT, Renaud PLEITINX, Richard SCOFFIER, Jean STILLEMANS, Pieter VERSTEEGH, Chuan WANG, Chris YOUNÈS.
+ d’info:
http://www.gerphau.wordpress.com
http://www.editions-hermann.fr/4925-encore-larchitecture-encore-la-philosophie.html
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Publication
A l’épreuve d’exister avec Henri Maldiney
sous la direction de Chris Younès et Olivier Frérot
Philosophe majeur de notre époque, Henri Maldiney a élaboré une phénoménologie de l’existence centrée sur l’Ouvert. Préconisant un « retour aux choses mêmes », il réfute radicalement la séparation instaurée entre sujet et objet, insistant sur l’expérience de la rencontre comme signifiance insignifiable, transpossibilité et transpassibilité, recueil et déploiement. A partir notamment de Binswanger, Straus, Freud, Szondi, Heidegger et plus largement des textes classiques grecs, allemands, chinois, accordant une importance toute particulière à l’art, il a contribué de manière décisive à une philosophie du sentir, du rythme et de l’avènement.
Lors du colloque de Cerisy, qui a réuni chercheurs, praticiens et artistes, chacun s’est mis à l’épreuve de cette œuvre magistrale. Les contributions rassemblées ici manifestent l’évolution et l’impact de cette pensée fondamentale pour le xxiè siècle.
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Événement
Première rencontre VAD Auvergne Rhône-Alpes
Le Réseau Philau est partenaire des premières rencontres de l’Association Ville & Aménagement Durable à Clermont-Ferrand le Lundi 25 Avril // Programme bientôt disponible - participation par invitation // Informations complémentaires à venir...
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Biennale de Venise
Nouvelles du front, nouvelles richesses?
Suite à l'appel à candidature lancé au sein des Ecoles Nationales Supérieures d'Architecture par les commissaires du pavillon français sous la responsabilité de Frédéric Bonnet, pour la 15ème Biennale internationale d'Architecture de Venise 2016 “ Reporting from the Front ” dont l’architecte chilien Alejandro Aravena est le commissaire général de la Biennale, nous sommes très heureux d'avoir été retenus et de participer à cet évènement - A suivre…
Plus d’infos - ici
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Colloque
Au tournant de l’expérience
Interroger ce qui se construit, partager ce qui nous arrive
colloque Architecture & Philosophie, acte II. 11&12 mars 2016
Auditorium Cité de l’architecture et du Patrimoine de Paris. 7, Avenue Albert de Mun – 75016 Paris
À l’occasion de ce colloque, nous posons l’hypothèse que l’architecture peut se définir comme mode d’enquête pour une nouvelle expérience du monde.
Parce qu’elle donne accès avec une grande précision aux modalités de l’expérience du monde construit, soutenons qu’elle puisse à son tour rendre compte de ce changement de paradigme en cours dans la fabrique des établissements humains. Il s’agit de ré-investir et questionner ces dispositifs de représentation qu’elle déploie sur le territoire pour tenter de traduire en récit et en projet le devenir de celui-ci. Pour discuter autant de ces dispositifs que de ces traductions, nous invitons des chercheurs et des praticiens, des architectes et des plasticiens, des expérimentateurs et des expérimentés, à présenter ces dispositifs architecturaux qui nous permettent d’interroger ce qui se construit et de partager ce qui nous arrive. The proposal of the conference AT THE TURN OF THE EXPERIENCE is to start with the hypothesis that the architecture could be conceive as a way of enquiring on this new experience of the world. Because it provides precisely access to the experience modalities of the building world, we argue that it could in return reveal such a processing paradigm shift in the making of human settlements. We invite to re-invest and re-question its representation apparatus that it used to deploy on territories in order to translate in fictions and projects what these ones could become. To discuss about these apparatus just as such these possible translations, the conference is addressed to all researchers and practitioners, architects and creators, the experienced ones and the experiencing ones as well, whose works attempt to question what we build and to share what we face.
Colloque soutenu par ARENA (Architectural Research in Europe Network Association). Co-organisé par la Cité et le laboratoire GERPHAU, groupe d’étude et de recherche en Philosophie, Architecture, Urbain (ENSAPLV, UMR-Lavue 7218). Avec le soutien de l’UMR-Lavue CNRS 7218 et du réseau philAU (réseau scientifique thématique : Philosophie, Architecture, Urbain) et de la Maison des Sciences de l’Homme de Paris-Nord. En partenariat avec l’École spéciale d’Architecture et la Faculté d’Architecture de Liège.
Entrée gratuite. Inscription : ici.
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Conférence
COP 21 / VAD
14 décembre 2015 de 13h30 à 19h – Institut Lumière – Lyon
Conférence COP21, à l'initiative de l'organisme "Ville & Aménagement Durable", « Quand l'humain reste le moteur premier du changement : Quelle action, pour quelle société ? Quels modes de pensée et modes de faire ? », en présence d'invités d'exception. Rencontre accompagnée de l'exposition « Aménagement frugal », de la présentation des lauréats du concours d'idées sur la frugalité, et de stands de partenaires pour la découverte d'initiatives, dont le Réseau PHILAU...
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