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lemme just... *1000 yard stare*
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He/They // wit so dry the Sahara drowns // "If nothing matters, why *shouldn't* you try?"
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whatsinablogname · 15 hours ago
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I wouldn't say I'm a lapsed cultist. I still accept the basic worldview--I believe that Cthulhu lies in R'lyeh in a deathlike sleep, I believe his Star-spawn shall one day cleanse the earth and usher in an age of shouting and killing and reveling in joy, yada yada--but I'm not, y'know, religious about it. Cthulhu has lied sleeping for, like, countless aeons, he's probably not waking up in my lifetime. I doubt giving up my Friday nights to chant "Cthulhu fhtagn" with a bunch of naked old guys in a basement is gonna wake him up any faster. I mean, if I ever have kids, I'll probably start going again, but that's more about teaching good morals.
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whatsinablogname · 15 hours ago
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whatsinablogname · 2 days ago
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I HECKIN LOVE BLORBO!!!!
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whatsinablogname · 2 days ago
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Anyone know a good entry-level explainer for this? I've only recently had to account for every aspect of what I eat (previously, it was a combination of roommates who were better at cooking than me/access to a cafeteria that provided varied food) and I'm trying my best, but idk what aspects I might be blind to. 😅
I heard on the radio that sugars and carbs work better when they bond to fiber and protein, so I thought id make more conscious decisions around that when I choose my lunch options. Its early yet, but I do feel like I don't get the afternoon crash that I used to.
So like... yes its okay for me to have the coke with lunch, but not the coke by itself. I should also be having meat or a grain or both. Yes, the candy bar is okay, but one with nuts in it is more likely to be what I need for the day.
Like... yes, balanced meals. But sometimes convenient is what you got, so learning how foods bond together made that work better.
Anyways, thanks NPR, for telling me some food science that wasn't body shame-y!
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whatsinablogname · 2 days ago
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Something else to remember is that those peoples (the Irish, Italians, Scottish, and Germans) only became "white" once enough progress had been made towards racial justice that their reinforcement was needed to counteract it.
Your race will always* be "what is least convenient to you"/"what is most advantageous to the powers-that-be."
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whatsinablogname · 5 days ago
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if you think about it, it’s pretty fucked up that Mary-Kate got two first names and no last name, but Ashley Olson gets one of each
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whatsinablogname · 14 days ago
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You promise? 👀
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Like to charge reblog to cast
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whatsinablogname · 18 days ago
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*the only difference between Italy's and Canada's flags is the leaf*
if i worked at nintendo i would try so hard to make it canon that mario and luigi are red/green colourblind and think theyre wearing the exact same outfit
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whatsinablogname · 19 days ago
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Video of Tama
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whatsinablogname · 19 days ago
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😂❤️
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whatsinablogname · 23 days ago
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Doing calculus homework, and was trying to remember the name of some property, and typed in "Zero Product Principle" to my search bar. (DuckDuckGo)
And the AI response started describing what the Principle was. But I'm trying to figure out the thing's name.
And I got the name wrong. It's "Property," not "Principle."
The AI response didn't acknowledge that I had gotten the name wrong. It just fed me info. It didn't say "hey, you got the name wrong, but here's the info for what you probably mean." Just "here's the info."
It feels like a yes-man? Like it's not wanting to give me a response in the negative for... reasons???
But yes-men are completely fucking useless.
Idk. This is one of the many. Many. Reasons why I don't use them.
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whatsinablogname · 26 days ago
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Tumblr, I don't know French.
I took it in high school, and haven't made an attempt to engage with it since.
Tumblr. I don't know French.
Why is this on my dash???
Nos folies et notre rapport au corps
Tw: pedocriminalité, viol, parties génitales, automutilation, TCA, racisme
J'ai toujours détesté mon corps. Détesté profondément, viscéralement, comme l'envie de m'arracher tous les organes, un par un. Les moments où je lâche prise par rapport à mon corps sont rares. Et mon cerveau saisit toutes les occasions possibles et imaginables de nous détester.
Surtout ceux qui veulent dire que je suis adulte. Les seins. Les hanches. Le visage. La taille. La grandeur générale. Que je suis un corps adulte et mature, et donc, la disparition du corps désiré par nos abuseurs. Ça dépasse. Je suis devenue trop. Je ne suis plus celle que j'ai été conditionnée à être. Je dois redevenir minuscule pour leur plaire. Car une petite voix au fond me dit que c'est la seule chose qui importe.
Et les littles catalysent ce sentiment, et bien plus encore. Pour les littles, le corps adulte est aussi le douloureux symbole que l'enfance est passée et ne repassera pas. C'est fini. Nous sommes grandes et l'enfance est gâchée. Oui, c'est du gâchis. C'est pas juste. Leurs sensation corporelles sont violentes. Le corps, immense réceptacle vide dans lequel leurs corps ressentis d'enfants se noient, se perdent, se meurent. Les membres ressentis plus petits de moitié se désagrègent dans le void froid et sombre du corps adulte. C'est comme ne pas avoir de frontières et se fondre dans le néant dans une douleur infinie, et pour tenter d'en regagner, un de mes littles aime bouger, faire des roulades, sauter.
Combattre le néant. Toujours. Pour nous, le corps, bien souvent, c'est un gigantesque néant flou. Nous nous percevons souvent comme des fantômes, sans âme, sans corps, sans genre, qui flottent dans l'existence. On reconnaît souvent pas notre reflet, car on existe pas. On oublie souvent qu'on a un corps, et quand on s'en rappelle, au détour d'un miroir, c'est presque toujours, passé l'étonnement initial, atroce à vivre.
Atroce car nous sommes un ensemble cosmopolite de personnes ayant des apparences diverses dans le monde intérieur, et que spoiler, peu d'entre nous collent au corps, bien que cela ait une importance plus ou moins grande pour chaque individu. Déjà parce qu'on est un système racisé et que pour des raisons de survie psychique, un nombre non négligeable d'entre nous sont blancs. Faut bien s'imaginer un peu qu'on est blanc et donc privilégié pour pas qu'on vrille trop face au racisme. Les entités blanches se sentent en sécurité, inclues, protégées, représentées, et ça nous aide. Ce déni racial de survie a pourtant des effets pervers. Si le racisme intériorisé tabasse déjà notre image de nous, les identités blanches sont ressenties comme une colonisation de l'intérieur. Une énième victoire blanche. Une prise d'otage de notre corps racisé par la blanchité. Il se peut que les identités blanches voient notre corps racisé comme un obstacle au corps blanc ressenti comme parfait et idéal. Pour certain-es d'entre nous, c'est une vraie frustration. On travaille donc sur le fait de modifier l'apparence des identités blanches (puisqu'on peut le faire, avec plus ou moins de difficultés).
N'oublions pas non plus qu'être un système, c'est être, de fait, presque systématiquement et inevitablement, genderfluid, et je dirais même, être la définition de la genderfluidité. Chez nous, environ 40% des identités ne peuvent pas être identifiées comme des femmes, et un certain nombre d'entre nous sont des mecs. Cela n'est pas sans impact sur le système, même si je ne développerai pas trop cette partie, par honte et illegitimité. Celui qui en porte le plus grand mal être est notre colocatete Nathan. Il ne supporte pas le corps, et là où c'est "drôle", c'est que ses rejets convergent avec ceux des littles: sur les seins, les hanches, ce qui se combine de manière tout à fait amusante (non). Souvent, Nathan a envie purement et simplement de s'arracher les seins.
Mais aussi, les parties génitales. On donnerait beaucoup pour raser cette partie de la carte de notre anatomie. Pour l'effacer. Parce que pour Nathan c'est pas possible. Et chose tout à fait séparée, parce que pour nous, les fronteuses principales, c'est le lieu du viol. C'est le lieu de l'effraction. De la domination. Et qui continue de vivre malgré cette mort. Et on souhaite souvent découper cette vulve à la lame de rasoir et la jeter à la poubelle tellement elle nous dégoûte.
Tout notre corps en fait. Tout notre corps nous donne envie de gerber et mériterai d'être découpé et jeté à la poubelle. Les viols nous ont rendues ignobles et sales. Sales sales sales. La crasse est tellement profondément insunuée dans notre etre qu'il est impossible de nous nettoyer. Corps sur ou dans lequel nos violeurs ont ejaculé. Pendant des années. C'est partout. Partout sur mon corps. Surtout sur mon visage. Ça dégouline partout, je le sens. Donc déjà mort.
La mort. Et à défaut de l'atteindre, la simuler. S'ouvrir pour voir son sang couler. Couler couler couler. Ne pas manger pour se voir crever lentement. Dans d'atroces souffrances. Et aimer se regarder mourir, se voir aux frontières de la mort. Aimer la faim, aimer perdre du poids, aimer devenir un ange blême avant l'heure, sans ailes, donc toujours au sol. Le corps mort. Le corps que j'ai essayé de tuer. Lentement. Plus rapidement parfois.
Aujourd'hui je suis sortie du pire de ce cycle mortifère mais j'en garde des séquelles. Souvent, je pense à la manière dont mon corps, et par extension moi, est de trop, trop vivant, trop existant, trop trop trop. Trop moche, aussi. Le harcèlement scolaire sur le physique. Mon père qui me viole en me disant que je suis laide. Le racisme reçu ou intériorisé. Les marques de ma folie et de mon passé sur mon corps (dents, cicatrices). La vision déformée que j'ai de mon corps. Je suis trop moche. Laide. C'est même pas vrai. Mais j'en suis persuadée. Je me trouve jamais belle sur les photos. Le reflet me renvoie sous tous les angles comme je suis vilaine. Comme je serais mieux si j'étais blanche, si j'étais çi, si j'étais ça. En réalité, je suis une métisse tout ce qu'il y a de plus banale (sauf pour les fétichistes). Mais je n'arrive pas à l'intégrer, tellement j'ai été construite mentalement comme une figure folle monstrueuse et rebutante.
Car la folie rend laide. Être folle c'est ne pas savoir comment se rendre désirable et belle au regard de la société. C'est avoir des façons de se tenir, de parler, de bouger, qui sont perçues comme anti-sexualisées et non humaines. C'est avoir les bras rayés et le casque antibruit sur les oreilles. Tout ce qui fait la folie est perçu comme un enlaidissement. Tu n'es pas une femme, tu es une folle. Quand j'étais ado ou jeune adulte, j'étais cette folle laide. Pas parce que mon corps était spécialement laid en soi, mais parce que c'était un corps habité par un esprit fol, loin des standards de la meuf baisable. Et maintenant, je dirais que ça a changé, pas parce que je suis moins fol mais parce que je relationne exclusivement avec des folles, qui me voient desirable selon leurs propres standards, dans nos magnifiques marges.
Pour nous, en conséquence de toutes ces problématiques qui se croisent et parfois s'explosent les unes contre les autres, il est très difficile d'aimer notre corps, d'en développer une image saine et durable. C'est le chaos (surtout en ce qui concerne le genre), ça fluctue et change sans cesse, on déteste toujours notre corps pour une raison aléatoire tirée au sort plusieurs fois par jour. Notre corps est comme le miroir déformant de toutes nos peurs, nos angoisses, nos identités personnelles, nos traumas. On ne sait pas comment s'aimer. Pourtant l'une d'entre nous montre la voie. Ivy. Elle aime notre corps pour nous toustes. Elle aime notre corps pour les 149 autres.
Rédigé par une identité non identifiée et par Amethyst Spiralis
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whatsinablogname · 29 days ago
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I bet octopuses think bones are horrific. I bet all their cosmic horror stories involve rigid-limbs and hinged joints.
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whatsinablogname · 1 month ago
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"Why not just ChatGPT it?"
Because I'm not just hear to learn the answer, but to learn how to find the answer.
And ChatGPT does neither.
"why don't you use chatGPT to find out that instead of googling it yourself?"
because I glance at the AI overview of shit I'm searching before scrolling down and it's always wrong.
ALWAYS.
to sometimes hilarious degrees.
I don't think chatGPT can be better than my fine tuned googling skills that earned me the title of God Emperor of Search Engines by my friends because I can find fucking anything including the most obscure shit you can think of if you give me enough time.
also, googling things is fun. it's enjoyable.
it's riddle solving but with a maze of reddit posts.
I genuinely derive joy from doing that.
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whatsinablogname · 1 month ago
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“If autism isn’t caused by environmental factors and is natural why didn’t we ever see it in the past?”
We did, except it wasn’t called autism it was called “Little Jonathan is a r*tarded halfwit who bangs his head on things and can’t speak so we’re taking him into the middle of the cold dark forest and leaving him there to die.”
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whatsinablogname · 1 month ago
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Why are you, a grown-ass adult, yelling at/hitting/bullying that child??
They only just got here, and you're a grown-ass adult!!!
kids deserve so much more respect and it turns out that saying that is a great way to locate the horrible people in any community <3
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whatsinablogname · 1 month ago
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This is so ridiculous, it skips sounding like The Onion straight to "goddamn horrifying." 🙃
I know we are all used to hear bad news from the USA or UK when it comes to trans rights but this time Germany wants to play in the same league.
Our idiots at home ministry came up with the fucking idea to start a register for all transgender and nonbinary people which would mean every person working at some public position could always at any given time see your assigned gender at birth, your deadname, your address and who knows what else.
We had been there in the past. Hitler Germany called it the "Travestite Law" back then. Our politicians didn't learn.
We all know this is unacceptable.
Please, if you are German, sign it. If you are not, spread it wide and far.
This had been stopped once a few years ago. It needs to be stopped again.
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