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#8e régiment d'infanterie
carbone14 · 1 year
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Les soldats américains du 8e Régiment d'infanterie, 4e Division d'infanterie américaine, franchissent la digue d'Utah Beach après avoir débarqué – Opération Neptune – Opération Overlord – 6 juin 1944
Photographe : Army Signal Corps photographer
©National Archives and Records Administration - SC 190062
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kabbal · 4 years
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Petit sketch d'un OC que j'avais un peu abandonné ces derniers temps : Émile Flament, caporal au sein du 8e régiment d'infanterie française en 1915
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reseau-actu · 6 years
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L'exercice militaire «Croix du Sud 2018» vient d'avoir lieu en Nouvelle-Calédonie, sur terre, en mer et dans les airs. Ces manœuvres, organisées par la France et auxquelles dix pays du Pacifique Sud ont participé, illustrent le grand retour de cette vaste zone dans le champ des priorités stratégiques définies par Emmanuel Macron.
Envoyé spécial en Nouvelle-Calédonie
La silhouette des quatre hélicoptères se détache sur le bleu étincelant du lagon. Deux Puma de l'armée de l'air et deux NH90 néo-zélandais volent vers Koumac, sur la côte nord-ouest de la Nouvelle-Calédonie. Ils vont y déposer un relais de transmission et des commandos qui se déploieront autour de cette bourgade de la «brousse» calédonienne. La première phase de «Croix du Sud» va commencer.
Cet exercice militaire, organisé par la France tous les deux ans depuis 2002, est l'un des plus importants du Pacifique Sud. Il a pris cette année une ampleur inédite: 2100 militaires sur le terrain, 11 bateaux, 13 avions et hélicoptères, 10 nations participantes, dont l'Australie, la Nouvelle-Zélande, les États-Unis et plusieurs petits États îliens de la région (Fidji, Tonga, Vanuatu). La manœuvre s'est déroulée, du 19 au 25 mai, sur la base d'un scénario détaillé dans un document de quarante pages.
Un tsunami frappe un État imaginaire, la Fédération du Nord, détruisant les capacités de pêche dans une économie déjà précaire. La sécheresse provoque ensuite un début de famine tandis que des tensions s'exacerbent avec le pays voisin, l'île unie du Koryphon - un État fragile, menacé de déstabilisation par les tensions ethniques et l'action de milices. Face à la détresse des sinistrés et à la dégradation de la situation sécuritaire, une force multinationale - placée sous mandat de l'ONU - est mise sur pied pour porter secours aux populations, évacuer des ressortissants et rétablir la stabilité.
La manœuvre d'ensemble est dirigée depuis un centre de commandement à Nouméa. Objectif: entraîner les forces armées françaises en Nouvelle-Calédonie (FANC), soit au total 1467 militaires, et pouvoir mener dans l'urgence une vaste opération multinationale de secours, sur terre, sur mer et dans les airs. Les autres nations participantes sont, elles aussi, intéressées par davantage de coordination.
Un scénario qui n'a rien d'une fiction
Car ce scénario, fruit d'un an de préparatifs, n'a rien d'une fiction: en 2017, la Nouvelle-Calédonie a été frappée par deux cyclones, bien réels ceux-là, nécessitant la mise en œuvre de moyens de secours importants. Cette même année, dans l'archipel du Vanuatu, 75.000 personnes ont dû être évacuées après une éruption volcanique. En 2015, le même Vanuatu a été frappé par le cyclone Pam, faisant 11 morts. Un an plus tard, c'était au tour des Fidji d'être dévastées par le cyclone Winston, d'une puissance inédite, faisant une cinquantaine de morts, des dizaines de milliers de sans-abri et mobilisant l'aide des pays de la région.
» LIRE AUSSI - «Chaque degré supplémentaire dans les océans donne plus d'énergie aux cyclones»
Au total, en trente ans, vingt-cinq interventions internationales ont été menées au profit des États insulaires du Pacifique à la suite de catastrophes naturelles. Elles se sont déroulées en bonne part dans le cadre des accords Franz, signés en 1992 entre la France, l'Australie et la Nouvelle-Zélande, visant à coordonner l'assistance civile et militaire entre ces trois pays. Les risques vont perdurer. Le Vanuatu et les Tonga sont les deux États les plus vulnérables de la planète, selon le classement établi par l'ONU. La région subit de plein fouet les conséquences du dérèglement climatique, qui ronge dramatiquement le territoire de certains États îliens et accroît les menaces environnementales, économiques et politiques.
«Le Pacifique a trop longtemps été considéré comme isolé, éloigné du destin du monde. Il est aujourd'hui au cœur de ses défis»
Emmanuel Macron
«Le Pacifique a trop longtemps été considéré comme isolé, éloigné du destin du monde. Il est aujourd'hui au cœur de ses défis», a déclaré Emmanuel Macron, le 2 mai, lors de sa visite en Australie. Dans son discours de Garden Island, le chef de l'État a exposé sa vision d'un «axe indo-pacifique» Paris-Delhi-Canberra - «une réalité géostratégique en construction», a-t-il insisté. Neuf des 11 millions de km2 de la zone économique exclusive française (ZEE, la deuxième au monde) se situent dans cet espace indo-pacifique.
Les puissances régionales, comme l'Australie, la Nouvelle-Zélande et l'Indonésie ont, elles aussi, engagé un redémarrage (reset) de leur politique dans le Pacifique pour prendre en compte ces nouveaux défis économiques, environnementaux et sécuritaires. La Chine, de son côté, est en passe de devenir un acteur majeur sur l'échiquier océanien. Son influence, jusqu'à présent essentiellement économique, se développe à travers des programmes d'aide, le commerce et le tourisme (1).
Coopération multinationale
Dimanche 20 mai, à 6 heures du matin, la 2e compagnie du 8e régiment parachutiste d'infanterie de marine (8e RPIMa) est larguée sur l'aéroport de Koumac par un C-27J Spartan de la Royal Australian Air Force (RAAF). Cet avion de transport effectue aussi un posé d'assaut, et une section d'infanterie du Vanuatu, intégrée dans les rangs français, est déployée. Le jour se lève à peine sur la Grande Terre. Les environs de l'aérodrome sont rapidement sécurisés. Un PC pour les opérations terrestres de «Croix du Sud» est installé en bordure de piste par le régiment d'infanterie de marine du Pacifique en Nouvelle-Calédonie (RIMaP-NC).
Les opérations aériennes, elles, sont dirigées depuis une cellule (appelée JFAC, pour Joint Force Air Command) située sur la base aérienne (BA) 186 de La Tontouta, à 50 kilomètres au nord de Nouméa. Tous les moyens de l'escadron de transport 52 (ET-52) ont été mobilisés pour les convoyages logistiques. Les deux hélicoptères Puma et les trois avions Casa CN-235 de l'escadron, dont un appareil venu en renfort de Tahiti, ne chôment pas.
D'autant plus que la «vraie vie» continue: la veille du début de l'exercice, un Casa a dû être dépêché en urgence sur l'île de Futuna (à 3000 kilomètres, soit plus de dix heures de vol aller et retour) pour évacuer un homme âgé et un enfant. Une vingtaine en moyenne de ces missions sont déclenchées chaque année, lorsque les moyens de la sécurité civile ne sont pas suffisants.
«Le discours du président de la République a ouvert des perspectives. Nous sommes au début d'une histoire»
Général de division Thierry Marchand, commandant supérieur des forces armées en Nouvelle-Calédonie
La Nouvelle-Zélande, outre deux hélicoptères, a envoyé deux avions de transports C-130 pour «Croix du Sud 2018». L'occasion de tester une nouvelle force de réaction rapide (Quick Reaction Force). En novembre dernier, un groupe de travail a été mis sur pied entre les armées de l'air française, australienne et néo-zélandaise pour harmoniser leurs procédures. «L'un de nous peut faire de la reconnaissance au profit des deux autres, par exemple pour identifier un terrain d'atterrissage sommaire, explique le commandant de la BA 186, le colonel Dominique Tardif. Nos avions sont complémentaires.»
Après l'opération aéroportée, la phase amphibie commence près du port de Koumac. Un bateau australien, le transport de chaland de débarquement (TCD) Choules, mouille au large. Ses barges lourdement chargées débarquent des petits véhicules blindés, des fantassins néo-zélandais et des marines américains (venus des bases de Hawaï et de Darwin, en Australie).
C'est depuis le Choules qu'est commandé le dispositif naval de l'exercice. La France y contribue avec la frégate de surveillance Vendémiaire, deux patrouilleurs P400, - La Glorieuse et La Moqueuse-, et le bâtiment multimissions D'Entrecasteaux. Les deux avions Falcon 200 Gardian de la marine nationale - la flottille 25F basée à La Tontouta - assurent des missions de surveillance le ciel (2).
Protéger les civils
En deux jours, le nord de l'île et ses grands axes de circulations sont sous contrôle grâce à 600 militaires déployés sur le terrain. Une deuxième phase commence, mêlant la sécurisation militaire - pour faire face à des éléments armés - et l'évacuation de populations en détresse. Une cinquantaine de personnes sont rassemblées dans un gymnase de Koné, sur la côte ouest de l'île, prêtes à être embarquées dans un C-130 néo-zélandais. Soudain, des rafales claquent. L'aéroport est pris sous le feu des tirs à blanc de «miliciens» juchés sur des camions. Les fantassins «kiwis» et des légionnaires du 2e régiment étranger de parachutistes ripostent et se placent en protection.
D'autres événements imprévus sont «injectés» dans le scénario pour le rendre plus réaliste: engin explosif improvisé, Zodiac transportant des armes et même… une manifestation indépendantiste près de la base aérienne.
Le référendum en ligne de mire
Le référendum sur l'avenir du territoire, le 4 novembre prochain, se profile. Des élections provinciales sont prévues en 2019. Dans la discrétion, les FANC se préparent à différents scénarios. Les militaires se disent avant tout en soutien des forces de sécurité intérieures. «Le discours du président de la République a ouvert des perspectives. Nous sommes au début d'une histoire», souligne le général de division Thierry Marchand, commandant supérieur des forces armées en Nouvelle-Calédonie. Selon lui, les Outre-mer devront avoir les moyens de jouer cette «nouvelle partition». «Il ne faut pas que ces territoires restent isolés par rapport au mouvement général de remontée en puissance», plaide-t-il.
«Croix du Sud 2018» permettra «d'aller plus loin», espère le général Marchand. La ministre australienne de la Défense, Marise Payne, est venue observer l'exercice. Les forces spéciales australiennes pourraient participer à la prochaine édition, en 2020. Le Japon, qui lui aussi montre un intérêt marqué pour la zone indo-pacifique, pourrait cette fois être présent.
Entre-temps, les entraînements conjoints se poursuivront. Trois avions Rafale (3) se joindront à l'exercice «Pitch Black», organisé en août par les forces aériennes australiennes . Les appareils français, venant de la base d'al-Dhafra, près d'Abu Dhabi, seront accompagnés par un ravitailleur MRTT australien, tout un symbole.
(1) Lire L'Océanie convoitée, ouvrage collectif, CNRS Éditions, 2017. (2) (3) Ces avions ont été construits par le Groupe Dassault, auquel appartient Le Figaro.
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reseau-actu · 7 years
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Lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, un officier qui a voué sa vie aux autres et à la Patrie - ouverture d'un recueil de condoléances | Gendarmerie nationale
Parmi les premiers engagés, à Trèbes, le 23 mars 2018, pour coordonner les opérations sur une prise d'otage dans le Super U, le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame conduit la négociation avec le terroriste. N’écoutant que son courage, l'officier de gendarmerie n'hésite pas à se livrer au terroriste en échange de la vie d'une jeune femme. Il est abattu quelques heures après par le terroriste, avant que ses camarades ne donnent l'assaut pour neutraliser le terroriste. Il décède des suites de ses blessures le 24 mars 2018.
22 années au service de la France
Né le 18 avril 1973 à Étampes (91), le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame a servi la France pendant plus de 22 ans.
Appelé à l'activité le 1er novembre 1995 en qualité d'officier de réserve au sein de l'école d'application de l'Artillerie à Draguignan (83), il se classe parmi les meilleurs de sa promotion à sa sortie, en mars 1996.
Nommé aspirant, il commande d'abord une section d'artilleurs parachutistes au 35e régiment d'artillerie parachutiste de Tarbes (65), avant de rejoindre le 8e régiment d'artillerie, à Commercy (55), où il prend la tête d'une section d'observation dans la profondeur en qualité d'officier de réserve en situation d'activité.
Une scolarité brillante
Résolument engagé dans l'action, apprécié de ses chefs et de ses subordonnés, il est admis sur concours à l'école militaire interarmes de Coëtquidan (56) en 1999, d’où il sort major de la promotion "Campagne d'Italie" en 2001.
Il fait preuve d’appréciations particulièrement élogieuses au terme d’une scolarité brillante : « Courageux, il se bat jusqu’au bout et n’abandonne jamais ». Ses cadres soulignent son « esprit résolument offensif face à l’adversité ».
Major de promotion à l’EOGN en 2002
Il choisit alors de servir en gendarmerie, où il termine, une fois de plus, major de la promotion "capitaine Gauvenet", en 2002.
Constant dans son goût de l'effort, il rejoint le Groupement blindé de gendarmerie mobile à Versailles (78), où il commande un peloton de VBRG à l'escadron 16/1 et prépare activement les tests d'entrée du GSIGN (GIGN actuel).
Intègre l’EPIGN en 2003
Énergique et doté d'un important potentiel physique et mental, il réussit en 2003 les difficiles tests d'entrée de l'escadron parachutiste d'intervention de la gendarmerie nationale. Il fait ainsi partie des quelques militaires retenus parmi les 80 candidats de la session.
Chuteur opérationnel, il assume les responsabilités d'adjoint au commandant de l'Escadron Parachutiste d'Intervention de la Gendarmerie Nationale. Il participe à de nombreuses missions sur le territoire national et à l'étranger.
Engagé en Irak en 2005
Il est notamment engagé en Irak comme chef du détachement gendarmerie en 2005, dans des conditions particulièrement dégradées en termes de sécurité. Il conduit ainsi, au péril de sa vie, une mission complexe de récupération d'un ressortissant français menacé par un groupe terroriste, qui lui vaut d’être décoré de la croix de la valeur militaire avec citation à l’ordre de la brigade.
2006 : au service de la sécurité du Palais de l’Élysée
En 2006, il rejoint la Garde républicaine en qualité de commandant de la compagnie de sécurité et d'honneur du 1er régiment d'infanterie à Nanterre (92). Il met au service de la sécurité du Palais de l’Élysée ses grandes compétences en matière de sécurité-protection et veille, par un engagement soutenu, à maintenir son unité à un haut niveau d’excellence. Il se distingue à de nombreuses reprises qui lui valent d'être récompensé par le commandant du régiment et le directeur général de la gendarmerie.
Aux commandes de la compagnie d’Avranches
Le 1er août 2010, il est nommé à la tête de la compagnie de gendarmerie départementale d'Avranches (50), où il réussit de manière remarquable. À la tête de 155 gendarmes, il commande efficacement le service de ses unités et s'engage personnellement pour combattre les phénomènes de délinquance ou organiser la préparation de grands événements, tel que le 100e Tour de France. Homme de terrain, il manifeste une grande disponibilité et se distingue par son autorité naturelle et son implication sans faille. Il reçoit à ce titre un témoignage de satisfaction du commandant de région.
Conseiller au sein du ministère de l’Écologie
Son excellente manière de servir, l'impression très favorable qu'il inspire et son MBA en Intelligence économique de l'ISC Paris lui valent d’être retenu, en 2014, pour servir au ministère de l'Écologie, du développement durable et de l'énergie comme conseiller auprès du secrétaire général. Référent en matière d'intelligence économique, il évolue avec beaucoup d’aisance dans un environnement interministériel de haut niveau, mettant en évidence ses belles qualités relationnelles et intellectuelles.
  Depuis l’été 2017 au groupement de gendarmerie de l’Aude
Nommé à l'été 2017 en qualité d'officier adjoint au commandant du groupement de gendarmerie départementale de l’Aude à Carcassonne (11), Il s’impose très rapidement comme un collaborateur précieux de son commandant de groupement, s’impliquant spécialement dans le développement de la capacité de contre-terrorisme des unités de gendarmerie de l’Aude, dans une excellente synergie interservices.
Plusieurs fois décoré
Décoré de la Médaille d'or de la défense nationale en 2009, il était par ailleurs titulaire de la médaille d'Honneur des Affaires Étrangères – Argent depuis 2006. Le lieutenant-colonel Beltrame s'était vu décerner en 2007 une citation à l'ordre de la brigade comportant l'attribution de la croix de la valeur militaire suite à son engagement en Irak. Il était chevalier de l'Ordre National du Mérite depuis 2012.
Hommage du président de la République
En s’offrant en échange, « le lieutenant-colonel Beltrame a sauvé la vie d’une otage civile, faisant preuve d’un courage et d’une abnégation exceptionnels », a déclaré, au matin du 24 mars, le président de la République, dans un communiqué de presse.
« Au cœur de l’action, il a fait preuve d’un sang-froid exceptionnel et a illustré les vertus militaires d’une manière éclatante, qui mérite respect et admiration de la Nation tout entière. [...] Le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame est mort au service de la Nation, à laquelle il avait déjà tant apporté. En donnant sa vie pour mettre un terme à l’équipée meurtrière d’un terroriste djihadiste, il est tombé en héros », a déclaré Emmanuel Macron, avant d’appeler « chaque Français à honorer sa mémoire ».
Mort en service commandé
Âgé de 44 ans, marié, le lieutenant-colonel Beltrame est mort en service commandé, dans l'accomplissement de sa mission au service de la France.
« Par son geste héroïque et son sacrifice, en toute connaissance du danger auquel il s'exposait, il est allé au bout de son engagement de soldat et de gendarme, a déclaré le général d’armée Richard Lizurey dans son hommage au gendarme décédé. Au nom de la Gendarmerie et en mon nom personnel, je lui exprime toute notre reconnaissance et notre admiration. Son sacrifice nous rappelle la valeur de l'engagement qui est le nôtre au quotidien, pour protéger la population ».
Ouverture d'un recueil de condoléances
Depuis le 24 mars, la gendarmerie reçoit de nombreux témoignages de soutien de toute la France et même au-delà. Des messages ou fleurs, déposés devant les brigades par des concitoyens anonymes ou postés sur les réseaux sociaux, aux messages officiels des autorités politiques, civiles, militaires et associatives, nationales, locales et étrangères.
Une nouvelle possibilité vous est offerte ici de déposer vos messages de condoléances et vos témoignages de soutien.
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