#Samir Langus
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saga: Soumission & Domination 325
Marc - Diversification des ressources : JoĂŁo
Quand Marc revient le WE suivant, Ludovic ne peut s'empĂȘcher de lui raconter ce que j'ai fait pour son frĂšre.
Cela me vaut une discussion en tĂȘte Ă tĂȘte ! Je suis obligĂ© de lui expliquer le dossier de A Ă Z. A la fin de mon rĂ©cit, il me demande ce que j'aurais fait si je n'avais pas eu les ressources de mes amis. Sans ambages je lui avoue que je l'aurais peut ĂȘtre battu Ă mort.
Il me prend dans ses bras et me dit que j'ai bien fait alors.
Nous passons un WE que tous les 4. Samir et Ammed nous ont demandé la maison de campagne pour se faire un WE " Domi " avec Amaury. Ils nous ont préparé tous les repas et laissé la liste à respecter sauf que Marc compte bien nous emmener diner au restaurant le samedi soir.
Mais nous sommes vendredi. On retrouve PH et Ludovic et décidons ensemble qu'un bain serait bien agréable. A poil nous grimpons sur la terrasse et allons nous tremper dans la piscine. Ludovic chahute et glisse entre nos jambes, en s'arrangeant pour nous faire bander aux passages. Marc cÚde le premier, il l'attrape et le balance hors de l'eau sur l'herbe synthétique. Excité, Ludovic prend des poses jusqu'à ce que nous aussi, excités, sortions de l'eau. Ce qu'il n'avait pas prévu c'est que nous serions trois contre un. Marc le prend aux épaules, moi aux jambes et nous l'étalons sur l'herbe. PH se charge des chatouillis et il se tord pour essayer de nous échapper. Il cesse quand je lui attrape les couilles et tire doucement dessus.
Marc enjambe son torse et Ludovic lui mange la bite. PH m'aide et, Ă deux, nous soulevons ses fesses pour pouvoir : PH le pomper et moi, lui manger la rondelle.
OccupĂ© de partout notre nouvel ami prend grave son pied. Quand Marc recule le bassin pour le laisser respirer un peu, c'est lui-mĂȘme qui l'attire Ă nouveau dans sa gorge.  Je bande comme un malade. Je m'enfonce dans sa caverne chaude et moite de ma prĂ©paration. PH continue de le pomper. J' profite bien de sa rondelle musclĂ©e et de sa chaleur interne. Je m'enfonce Ă chaque fois plus loin et avec encore plus de plaisir.
Comme je vois ses couilles remonter contre sa bite, je sors vite avant qu'il ne jouisse. PH arrĂȘte aussi ses caresses buccales. Marc se retourne et nous demande pourquoi nous avons cessĂ© d'exciter le petit.
On lui montre ses couilles qui lentement redescendent. Il se retire. Ludovic s'Ă©tire et nous dit de continuer que c'est trop bon ! On s'en doutait un peu !! On attaque Ă nouveau. C'est le tour de Marc d'enculer ce beau jeune homme. Moi, je joue avec sa queue. Je suçote son gland, passant ma langue sur chaque mmÂČ de cette peau si douce quand elle est tendue par le sang en furie. Je la passe sous la couronne pour toucher le frein et jouer avec. Je la fais fine pour essayer de l'enfiler dans le petit trou d'oĂč jaillira tout Ă l'heure son sperme chaud.
Je descends sur ses couilles. Elles ont juste de la bonne taille pour que je puisse les prendre ensemble dans ma bouche. Je les fais rouler sous ma langue. Elles grossissent et je retourne Ă sa queue. Elle me rentre toute seule dans la bouche et dans la gorge, poussĂ©e par les coups de rein de Marc. Je me colle les lĂšvres Ă son pubis et masse son gland par mes dĂ©glutitions. Il kiffe ça et la bite de PH qui lui obstrue la bouche n'est pas suffisante pour l'empĂȘcher de crier son plaisir.
Marc le lime plus vite, je sens qu'il ne va pas tarder à lùcher la premiÚre salve. C'est Ludovic qui part le premier. Il me remplit la gorge et j'ai juste le temps de reculer pour pouvoir en garder dans la bouche. Marc le secoue d'un dernier et puissant coup de main qui me renfonce son gland dans ma gorge !  PH se vide à son tour mais dans la bouche de Ludovic. Il a juste le temps de se retourner et de me prendre en bouche qu'à mon tour je largue la purée. Une fois dés-emboités, nous nous roulons des pelles aux spermes. Marc nous regarde faire. Dans notre monde, nous nous léchons le museau jusqu'à ce qu'il ne reste plus un spermatozoïde hors de nos estomacs.
Allongés cotes à cotes sur le dos, nous regardons le ciel noir et constellé. On voudrait faire des voeux mais pas d'étoiles filantes pour nous aider. Marc rit de nos enfantillages et nous dit qu'il descend mettre le diner au chaud.
Petite douche et nous le rejoignons. Nos hommes de service avait prévus le coup, les quantités sont généreuses et malgré cela, nous finissons les plats !
Marc nous raconte ses conquĂȘtes locales. Avec HervĂ© qui l'accompagne de plus en plus, depuis qu'il a bien vu que cela n'altĂ©rait pas sa relation avec Ernesto, ils trainent les bars gays et rentrent rarement tout seul.
Il nous montre quelques photos des petits mecs qu'ils mettent dans leurs lits ?  Ils ne se font pas chier ! Mais faut dire que nous non plus nous ne sommes pas des anges ! Tous ces asiatiques sont mignons, ça me fait penser que j'en ai pas encore dans mon équipe. Mais faut dire que j'ai principalement du blanc hormis Jimmy qui est mon seul beur en activité.
C'est d'ailleurs la remarque que mon fait PH et Ludovic aprĂšs le visionnage du portable de Marc.
C'est décidé mes prochaines recrues devront sortir du stéréotype " petit blanc ".
Le samedi soir, Marc nous " sort " au restaurant. Il a réservé dans le meilleur de la ville. Etoilé au Michelin, il n'usurpe pas sa distinction. Ses plats de crustacés et de poissons sont délicieux.
La clientÚle est sélecte (vu les prix c'est pas étonnant), mais nous ne détonnons pas vu que Marc nous avait demandé de laisser les jeans au placard. Notre table attire comme souvent pas mal de regard. Je reconnais autour de nous quelques clients de ma société. Certains sont accompagnés de femmes de leur ùge, probablement leurs femmes.
J'ai juste eu le temps, quand nous sommes entrés, de retenir Ludovic qui allait saluer à une table Viktor et Nicolaï qui travaillaient en duo avec un de mes clients. J'ai juste le temps de lui glisser que quand nous rencontrons nos " amis " en prestation, nous devons faire comme si nous ne les connaissions pas sauf exception.
Le client me fait quand mĂȘme un clin d'oeil quand mon regard parcours la salle.
Depuis quelques mois, ces deux-là me sont souvent réclamés ensemble. Comme 1+1=3 chez moi, ça ne me pose aucun problÚme. L'homme est aussi blond qu'eux. Si je ne savais pas, ils pourraient passer sans problÚme pour un pÚre et ses deux fils.
Quand je vais aux toilettes, je suis rejoint par Viktor. Il me dit que tout se passe bien comme d'habitude avec ce client. Par contre ce dernier voudrait étendre la prestation jusqu'à dimanche soir mais que ce n'était pas prévu. Oui, je me souviens maintenant, c'était juste " soirée + ". Je lui demande si cela les dérange tous les deux de rallonger la prestation. Il m'assure que non, j'accepte et lui dis de prévenir le client de mon accord.
Le diner se passe, le vin est bon et pour une fois que je ne conduis pas j'en profite. C'est quand nous reprenons nos manteaux que nous croisons le client. Il me fait un signe. Je traine et laisse partir devant mes amis. Il me fait remarquer qu'il ne pourra rĂ©gler la diffĂ©rence que lundi prochain, le temps d'aller Ă sa banque (ce client me paye toujours en liquide pour ne pas laisser de trace). Je lui signifie qu'il n'y a aucun problĂšme, j'ai confiance en lui. Il me remercie et pousse les deux benĂȘts qui l'assurent qu'il va passer un dimanche merveilleux.Â
La semaine qui suit, je prends un peu de temps pour rechercher dans le fichier des PremiÚres années de Facs (et mecs de 18ans) mes recrues " ethniques ", (fichier récupéré auprÚs de DGSE). J'effectue un premier tri avec les boursiers et les revenus parentaux faibles en sus des origines hors caucasiennes.
Il m'en sort un nombre encore trop important. Je resserre les critÚres, ajoute le ratio taille/poids (la taille seule n'est pas intéressante) et la pratique d'un sport. Là , j'obtiens une sélection de 100 jeunes hommes.
AprĂšs c'est la lecture fiche par fiche. Ejections faites des mecs trop moches, des physiques irrĂ©guliers (faut bien des critĂšres quand mĂȘme), des porteurs de lunettes, des sportifs en compĂ©titions quoique certains soient quand mĂȘme assez canon, il me reste 20 dossiers.
6 physiques asiatiques petits formats mais musclés, adeptes de boxe thaï et autre sports de combat,
5 blacks stĂ©rĂ©otypĂ©s, grands, trĂšs black, suspectĂ© d'ĂȘtre trĂšs bien montĂ©s,
4 " brésilien " métis, belles gueules et slips remplis,
3 beurs, peau bronzée, noir de poil, massifs de tous cÎtés,
2 blacks des iles, teint plutÎt chocolat au lait, traits européens,
Avant de les approcher je demande Ă Jona et François de vĂ©rifier leurs prĂ©fĂ©rences sexuelles. S'ils sortent dans le milieu ou pas et de se renseigner pour voir oĂč je pourrais les harponner.
Retour d'enquĂȘte, j'ai la chance d'en avoir 4 dans ma sĂ©lection. 2 asiatiques, 1 des " BrĂ©siliens " et un des DOM-TOM.
Autant commencer par ceux-lĂ .
Le brĂ©silien, JoĂŁo 20ans, est un adepte de la Capoeira qui enseigne aux jeunes de son club, j'irai donc y faire un test un jour oĂč je serais sĂ»r qu'il y soit. Il ne sort pas dans le milieu gay et n'a pas de petit copain connu. De temps Ă autres traine les lieux de drague oĂč il se laisse branler par des vieux (enfin des 30-40ans) et pratique la rĂ©ciproque. Parfois il accepte un billet quand le mec est trop vieux. En chambre de citĂ© U, il n'a pas l'air d'avoir beaucoup d'amis et travaille le soir avec un ou deux de ses collĂšgues de 1Ăšre annĂ©e de Science. Il se dĂ©place en bus et n'a pas de vĂ©hicule Ă lui.
Ok au moins ça le choquera pas de taffer sexe pour du fric.
Je m'arrange pour aller tester ce sport de façon à ce que je sorte dans ses propres horaires.
L'accueil au club est chaleureux. Le dirigeant (la 40aine) discute une bonne demi-heure avec moi pour savoir mes motivations (ça je brode un peu) et si j'ai une pratique des sports de combat. Quand j'aligne, karaté (appris auprÚs de PH), Krav Maga (auprÚs de Jona), close combat militaire et quelques notions de boxe française (avec CÎme et Ludovic), il me demande franchement ce que je fais chez lui.
Je lui souris et lui dis que j'étends mes connaissances. Il me dit que le plus dur sera de tout oublier de ces derniÚres pratiques pendant les cours.
On visite son club. Vestiaires classiques, placard à cadenas, sanitaires avec douces communes, là un " sympa vos installations " m'échappe, puis la salle proprement dite. Elle est suffisamment grande pour que le cours que donne mon Brésilien s'y passe et que deux autres groupes travaillent aussi.
Il me pousse vers le vestiaire et je me change tout en continuant à discuter avec lui. Quand je suis à poil, il mate ma cicatrice et me demande ce que c'est. Toujours nu, je me tourne et avance la jambe. Accident de moto l'année derniÚre ! Il siffle et me dit que je ne m'étais pas loupé. Il me passe un pantalon et me dit que je peux rester nu dessous si je préfÚre. Lui opte plus pour un jock, ça évite de les avoir ballotant entre les cuisses. J'avais prévu le coup et de toute maniÚre tout le sport se fait en jock chez moi !  Il tourne autour de moi et me trouve trÚs large d'épaules. Je lui dis que c'est la conséquence de 6 mois sans les jambes !
Torse nu, je le suis dans la salle. J'ai la chance qu'il m'emmÚne à cÎté de mon futur escort. Il me montre les mouvements de base et me dit que contrairement aux sports de combat que je pratique déjà , là , c'est l'évitement du corps du partenaire qui est recherché. Evidement ça change !!
J'ai beau faire attention, une ou deux fois je suis en contact avec mon prof. A la fin de l'initiation, il sourit des réflexes que j'ai eus. Il y voit un troublant mélange des techniques que je lui avais cité. Comme le cours des juniors venait de finir, nous sommes rejoint par mon brésilien. Il vient voir qui est l'hurluberlu qui attaque la capoeira d'une façon un peu asiatique et un peu autre chose. Gagné !
Le gĂ©rant me laisse entre ses mains ce qui me va encore plus. Alors que nous rejoignons les vestiaires, JoĂŁo me questionne sur mon parcours en sport de combat. Il est impressionnĂ© par la liste. Cela me permet de glisser que j'ai acquis ces compĂ©tences auprĂšs de divers amis avec lesquels je continu Ă m'entrainer. Tout en marchant, je le mate sĂ©rieusement. Il a une peau cuivrĂ©, il y a surement de l'indien local dans sa gĂ©nĂ©tique en plus du blanc et du noir. Le fait que j'ai l'impression qu'il soit imberbe naturellement appui cette idĂ©e, ses cheveux noir et lisse me le confirme. Question masse musculaire, il est trĂšs bien foutu mĂȘme si moins large que moi. Il est aussi plus petit dans les 1,80 maximums.
Pendant que je le scrute, il me donne les infos sur le club, je le félicite pour sa patience. Il me retourne un sourire à se damner illico. Son accent de là -bas est enchanteur.
TrĂšs naturellement on se retrouve cotĂ© Ă cote sous les douches. Ăa me permet de voir que sa peau est colorĂ©e uniformĂ©ment, qu'il n'a pas de poils sur les jambes et seulement au-dessus du sexe. Il se rase dĂ©jĂ les couilles ! Le sexe, lui, est gĂ©nĂ©reux bien qu'au repos, dans les 12cm. Le frein cassĂ© laisse son gros gland dĂ©couvert et un bourrelet de peau Ă sa base.
Je sens son regard sur mon dos. Je me retourne pour qu'il puisse mater la bĂȘte.
Il capte ma cicatrice et me demande lui aussi comment ça m'est arrivé. Je lui raconte en deux mots et quand j'ajoute que ça aurait été pire si mon ami n'avait pas été derriÚre moi et s'il n'avait mis sa voiture en travers de la rue pour me protéger, il laisse échapper un " un ami !? ". à mon tour de lui envoyer un grand sourire et de confirmer " " oui, l'homme que j'aime ".
Il est sensible car il se met déjà à bander rien qu'à l'évocation que je sois gay.
Comme il se tourne pour le cacher, et que nous sommes seuls, je m'approche et par les épaules le fait pivoter. Les yeux dans les yeux, je lui dis de ne pas me cacher l'effet que je lui fais. Il bande carrément et c'est impressionnant !
Je prends les choses en main, non pas son service trois piÚces bande d'obsédés, et lui dis qu'on prend un verre aprÚs. Il bande encore quand on se rhabille. On sort du club et il me propose un bar pas trop loin car sans véhicule, il fait en fonction des lignes de tram et de bus.
Je lui montre ma voiture et lui dis de grimper. Impressionné par la MercédÚs, il grimpe dedans en me disant que c'est la premiÚre fois qu'il voit en réel une telle voiture. Je l'emmÚne au Blockhaus autant y aller direct. Comme il s'inquiÚte de son retour à sa cité U, je lui dis que je le reconduirais aprÚs.
On grimpe au 4Ăšme. Il a des yeux comme des soucoupes. Il en reste muet bien 5mn !! De la cuisine je lui demande ce qu'il veut biĂšre, alcool, jus de fruit... Il choisit un jus d'orange, je l'accompagne.
Je le fais s'assoir de façon à ce qu'il soit en face des projections du " déjeuner sur l'herbe ". Du coup il a du mal à se concentrer sur mes questions ! J'apprends qu'il est en France suite à une sélection d'une organisation charitable qui l'a tiré de sa favela, qu'à part les dirigeants de l'association et quelques collÚgues de sa Fac, il ne connait que les pratiquants du club.
L'enquĂȘte disait qu'il Ă©tait seul mais c'est plutĂŽt " ermite " qui aurait dĂ» ĂȘtre inscrit !
PH choisit ce moment-là pour rentrer. Il salut notre invité et se penche sur moi pour me rouler une bonne grosse pelle qui nous laisses les lÚvres brillantes avant d'aller se chercher un rafraichissement au frigo.
Il nous rejoint et aprĂšs les prĂ©sentations, discute avec nous. Questions sur son dĂ©racinement, sur ses conditions de vie, et de vie gay aussi. JoĂŁo essaye mollement de se dĂ©fendre d'en ĂȘtre. Mais PH le coupe et lui dit que vu comme il bande alors qu'il n'y a pas l'ombre d'une meuf chez nous, sa dĂ©fense est un peu dĂ©sespĂ©rĂ©e.
Là -dessus c'est au tour de Ludovic d'arriver. Comme il le salut aussi avant de nous rouler un patin, c'est l'incompréhension que je vois paraitre sur son visage.
Je m'excuse et présente Ludovic comme mon " ami " aussi. Quand Ludovic entend que João pratique la capoeira, il s'exclame qu'avec le karaté, le krav maga, le close combat et la boxe française, c'est en véritable dojo que je vais transformer le second étage !
Je lui dis qu'il va un peu trop vite en besogne et que João n'est pas encore au courant. Ce dernier me demande " au courant de quoi ? ".
OK je me lance. Je lui dis que je l'avais repĂ©rĂ© pour faire partie de ma sociĂ©tĂ© d'escort. Que je savais pertinemment qui il Ă©tait et qu'il Ă©tait comme nous, homosexuel et qu'il tirait le diable par la queue. LĂ sa comprĂ©hension du français a fait que j'ai dĂ» reformuler, que tout ce que j'avais appris en le rencontrant physiquement me l'avait confirmĂ© et que oui, je serais trĂšs heureux qu'il accepte : notre amitiĂ© et le taf que je lui proposais. J'ajoute que s'il refusait le travail, trĂšs bien rĂ©munĂ©rĂ© au passage, il pourrait quand mĂȘme ĂȘtre notre ami.
Il est scié mais ne se sauve pas en courant, c'est déjà ça !
Nous le laissons réfléchir. Il boit son verre à petites gorgées pour se donner une contenance.
Quand il prend la parole, c'est pour me demander s'il a bien compris quand je lui ai parlé d'Escort. Je lui dis que par " Escort " j'entendais accompagnement d'hommes influents et relations sexuelles avec le plus souvent. Je précise le salaire mensuel moyen pour quelques prestations et là , heureusement qu'il était assis sinon il serait tombé.
Il rĂ©flĂ©chit de nouveau et me demande s'il pourra continuer ses cours au club, il n'en donne qu'une fois par semaine. Je l'assure que ce ne sera pas incompatible. Il aura mĂȘme de nouveaux Ă©lĂšves, adultes cette fois ci, et de lui expliquer notre " club sportif privĂ© ". PH complĂšte en lui disant qu'il n'est pas que sportif ce " club ", c'est aussi une " famille " dans le sens oĂč chacun est solidaire de l'autre et l'aide en cas de besoin.
C'est la premiÚre fois que je l'entends en parler comme ça de notre petit groupe, et c'est pas faux. Ludovic confirme qu'on est tous là pour les uns pour les autres et que lui c'est ses 5 ans de boxe française qu'il met à disposition. Il ajoute qu'il est intéressé par une initiation à la capoeira et qu'il ne sera sûrement pas le seul.
En attendant Ludovic le fait se lever et sans que personne ne s'y attende, il roule un gros, trĂšs gros patin Ă notre invitĂ©. Il le laisse Ă bout de souffle et nous dit de ne pas ĂȘtre hypocrite, nous en mourrions tous d'envie !
Pas faux ça non plus !!
Comme il y retourne, je vois le sexe de JoĂŁo reprendre du volume. Le mien comme celui de PH n'avait pas dĂ©bandĂ© depuis un moment. Ăa part en baise torride.
Les vĂȘtements volent, les sous-vĂȘtements les rejoignent et mes deux acolytes restent baba devant le corps de JoĂŁo. Enfin pas longtemps avant de lui sauter dessus.
Notre invitĂ© n'est pas en reste. La souplesse acquise dans son sport est mise Ă profit pour le bien de tous. J'ai le plaisir de tester sa bouche. J'aime ses lĂšvres lĂ©gĂšrement Ă©paisses, elles font merveilles autour de ma bite. Je n'ai pas connaissance de son expĂ©rience sexuelle (hors l'enquĂȘte) mais il avale mes 20cm sans sourciller. Son jeu de langue sur mon gland dĂ©note une pratique de la fellation qui ne date pas d'hier non plus. Par contre mes doigts rencontrent une bonne rĂ©sistance de la part de sa rondelle. Un actif seulement oĂč un manque de pratique ? Quand il sent que j'insiste, il me dit d'y aller doucement, il ne s'Ă©tait pas fait enculer depuis qu'il Ă©tait en France.
Avec l'aide de mes deux amours, je le prĂ©pare bien pour son nouveau dĂ©pucelage (aprĂšs 5 ans sans utilisation c'est quasiment le cas !). Lorsque je le pĂ©nĂštre PH lui roule une pelle et Ludovic le suce. La progression est difficile il est bien serrĂ© Ă l'intĂ©rieur aussi. Chacun de mes cm est pressĂ© par sa rondelle. J'ai conscience comme jamais de l'excitation due aux frottements de nos surfaces en contact. Quand mes hanches touchent ses fesses, il revient dans le monde du sexe complet. Il repousse PH le temps de me dire que c'est trop bon et que ça lui manquait grave. Avec mes amis, nous prenons un soin extrĂȘme Ă faire monter son plaisir et Ă le maintenir au bord de l'explosion le plus de temps possible. DĂšs que ses couilles remontent, nous cessons nos sollicitations et le reprenons dĂšs qu'elles redescendent. Je reste dans son cul alors que mes deux amours s'Ă©changent leurs places. Ils sont d'accord avec moi et trouve sa bouche et sa gorge d'une douceur parfaite. Sa mĂąchoire assez large laisse ses dents en dehors du trajet de nos bites. Il fera merveille sur les bites TTBM de mes clients. On arrive Ă le maitriser 3 Ă 4 fois avant qu'il ne bascule et qu'il jute.
Ludovic s'Ă©carte juste avant et JoĂŁo se couvre le ventre de sperme. PH qui Ă ce moment-lĂ , n'avait pas quittĂ© ses lĂšvres en reçoit mĂȘme sur la joue. JoĂŁo nous surprend en lui attrapant la tĂȘte et en lĂ©chant sa joue couverte de son sperme. A mon tour j'explose dans un dernier coup de rein qui m'enfonce au plus profond de son intimitĂ© (sous kpote bien sĂ»r).
João sort de notre petite partie enthousiasmé. Nous sommes encore avachis sur les canapés du salon qu'arrivent Samir et Ammed pour le service du soir. LégÚre surprise pas plus de notre invité. Quand Ludovic s'en étonne, lui qui en était tombé sur le cul, João lui répond qu'aprÚs la derniÚre heure qu'il vient de passer, plus rien ne peut l'étonner venant de ma part.
Pas mal vu pour un mec qui ne me connais que depuis quelques heures !
Je le retiens pour diner. Il apprécie la cuisine et nous dit qu'habitué au Restaurant Universitaire WE et jours fériés compris, ça faisait longtemps qu'il n'avait aussi bien mangé.
Je le raccompagne Ă sa CitĂ© U. En chemin je lui propose au cas oĂč il intĂ©grerait mon Ă©quipe (analyses Ă faire avec rĂ©sultats nĂ©gatifs obligatoires), il pourrait dĂ©mĂ©nager pour une colocation avec d'autres 1Ăšres annĂ©es qui bossent aussi pour moi. Mais j'ajoute qu'il n'est pas question quand mĂȘme de louper ses Ă©tudes pour autant.
Il me dit qu'à ce propos, la femme de son directeur de club l'aide en Français. Je lui dis que ce sera à lui de voir mais qu'il trouvera aussi ce type d'aide dans notre équipe, ce sera à lui de voir. Si sa réponse est positive !
Jardinier
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Moroccan Spiritual Trance Music Joins Forces With Balkan Dance Music on Stage at Flushing Town Hall
The Mountain Lions and Samir LanGus Popular âGlobal Mashupâ Series Continues in July When Morocco and The Balkans Join Forces on Stage â Samir LanGus and the Mountain Lions collaborate in an exciting fusion of talent and cultures â Flushing Town Hallâs most popular series, the Global Mashups, will continue its summer run with the Morocco Meets The Balkans concert on July 15, featuringâŠ
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đ±đ§ Emmanuel Albach đ«đ·
Nous avons posé quelques questions à Monsieur Albach concernant son engagement au Liban et nous le remercions pour ses réponses riches d'enseignements!
-Vous ĂȘtes parmi les deux premiers volontaires Français Ă partir pour le Liban, quelles ont Ă©tĂ© vos motivations?
La honte de voir la France abandonner encore un peuple ami auprĂšs duquel notre honneur Ă©tait engagĂ© depuis mille ans, probablement, a Ă©tĂ© le dĂ©clencheur. Mon camarade Philippe, et moi, qui militions depuis dĂ©jĂ trois ans au Groupe Action Jeunesse -et pour ma part au MJR avant- nous sommes retrouvĂ©s un matin de dĂ©but dĂ©cembre Ă une terrasse de cafĂ©, prĂšs de notre fac. Il avait achetĂ© Paris-Match. Sây Ă©talaient, en doubles pages intĂ©rieures, des photos des grands hĂŽtels oĂč des poignĂ©es de combattants chrĂ©tiens luttaient contre des hordes de « palestino-progressistes ». Nous avons dit ensemble : « Et la France les laisse tomber ! Et le serment de Saint Louis est bafouĂ©, sur la terre des croisades ! ». LâĂ©vidence nous est apparue. Je crois que jâai dit : « Lâhistoire ne doit pas pouvoir Ă©crire quâaucun Français nâest venu combattre avec eux. Il faut y aller.» Et Philippe a dit : « Chiche ? On part ? Je vais cet aprĂšs-midi au bureau de la MEA, Ă lâOpĂ©ra. » « Jâai simplement dit : oui, vas-y ! ». Jâai pensĂ© : « Si moi, je nây vais pas, avec la conscience que jâai du devoir qui nous incombe, qui ira ? ». Nous avons trouvĂ© un Libanais Ă la fac, un chrĂ©tien dâAchrafieh, dont le cousin Ă©tait dans les Phalanges. Il nous a fait une lettre de recommandation et nous a communiquĂ© le numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone de son cousin. Nous avons pris nos billets, tarif Ă©tudiant, pour le 4 janvier 1976, lendemain de mon anniversaire, afin que je sois majeur et libre de voyager. Nous nâavions pas le sentiment dâĂȘtre des hĂ©ros, ça, vraiment pas, mai juste de faire notre devoir, comme nos ancĂȘtres avaient toujours su le faire. -Racontez nous vos sĂ©jours. HolĂ ! Je pourrais vous en Ă©crire des centaines de pages. Je vais essayĂ© de rĂ©sumerâŠNous Ă©tions hĂ©bergĂ©s dans un collĂšge protestant, pensionnat dĂ©sertĂ© par ses Ă©lĂšves , le « Good Sheperd College » accrochĂ© Ă flanc de la colline dâAchrafieh, face au sud de la ville, dont les Phalanges avaient fait une caserne. Ses bĂątiments, qui dataient des annĂ©es 20, ont Ă©tĂ© dĂ©truits par lâartillerie syrienne en 1987. Pendant deux jours, Philippe et moi avons Ă©tĂ© soumis Ă interrogatoire sur interrogatoire. Ils avaient du mal Ă y croire. Et puis des infos ont dĂ» leur venir de Paris, et ils ont compris finalement Ă qui ils avaient Ă faire. Le troisiĂšme jour nous avons Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©s Ă Pierre Gemayel, vieux monsieur magnifique dâallure, Ă la vois trĂšs grave, qui nous a chaleureusement serrĂ© la main. Dans la foulĂ©e, dans les sous-sols de la maison des KataĂ«b, nous avons rencontrĂ© son fils, Bachir Gemayel, le chef des combattants phalangistes de Beyrouth, qui a fondu en larmes quand nous lui avons certifiĂ© que nous Ă©tions prĂȘts Ă mourir avec eux, pour eux. Il nous a dit, tandis que coulaient sur son visage des larmes quâil ne cherchait pas Ă cacher : « La France, câest tant pour nous. Câest notre mĂšre. Elle nous a laissĂ© tomber, mais vous, ses fils, vous ĂȘtes lĂ ! Merci. Merci. »Le sous-sol de notre caserne, lui, regorgeait alors dâarmes tĂ©moins des luttes passĂ©es, de 1860, 1920, 1958 : un vrai musĂ©e des combats menĂ©s pour leur survie par les chrĂ©tiens du Liban. CâĂ©tait trĂšs Ă©mouvant. Au fond dâun couloir sombre, se trouvait lâarmurerie de 1976. LĂ nous choisissions lâarme -le fusil dâassaut- que nous voulions pour notre mission du jour â ou de la nuit. Nous avons ainsi pu tester -longuement et en situation rĂ©elle - tout le matĂ©riel disponible ces annĂ©es-lĂ : Kalach (russe, allemand de lâest,âŠ), Slavia, FAL belge ou sud-africain, M-16 (provenance du Sud-Vietnam), ou des engins plus lourds et meurtriers, et pas toujours jeunes, comme des mitrailleuses lĂ©gĂšres PKM, des MG-42 (avec les bandes de cartouches autour du cou, vous voyez le clichĂ©, je supposeâŠ) ou des engins impossibles comme le Mau-Mau chinois avec son gros chargeur camembert. Une fois jâai mĂȘme eu une Thompson, calibre 45, pour quelques heures (idiot !). Notre groupe -nous avons rarement Ă©tĂ© plus de huit en mĂȘme temps- Ă©tait lestĂ© aussi de quelques LAW (ou « bazooka kleenex », amĂ©ricain), ou dâun RPG et trois roquettes, et nous gonflions nos poches de grenades russes quadrillĂ©es (dĂ©fensives). TrĂšs vite chacun sâest fixĂ© sur une arme. Moi, jâai trouvĂ© un kalach de mon annĂ©e de naissance, fabriquĂ© en Allemagne de lâest. Bien entendu, une image de la Vierge Ă©tait collĂ©e sur la crosse. Je nâai jamais portĂ© de casque ou de gilet pare-balles. Nous partions avec deux cents cartouches chacun, plus nos trois chargeurs de 30 cartouches, scotchĂ©s tĂȘte-bĂȘche, garnis partiellement de traçantes pour les combats de nuit (câest trĂšs efficace Ă cinquante ou cent mĂštres de distance, dans la pĂ©nombre des rues, jâai ainsi fait quelques cartons bien venus). La population nous aimait comme des frĂšres, comme leurs enfants. Nous Ă©tions sans cesse invitĂ©s Ă dĂ©jeuner ou dĂźner chez des gens dâAchrafieh, chaleureux et si reconnaissants de notre prĂ©sence. On nous donnait une petite solde, lâĂ©quivalent de deux cents euros dâaujourdâhui, qui nous permettait dâaller de temps Ă autre boire une biĂšre dans un bistro de la place Sassine. Nous Ă©tions toujours guidĂ©s -au moins pendant les premiĂšres heures de combat- par un gars de la caserne. Souvent deux ou trois gamins libanais se joignaient Ă nous. Les combattants kataĂȘb Ă©taient des Ă©tudiants, des lycĂ©eens parfois, des gamins de milieux modestes autant que de familles plus aisĂ©es. Comme nous Ă©tions en gĂ©nĂ©ral de service la nuit, pour des positions dĂ©fendant le premier bassin du port de Beyrouth, ou dans le centre-ville, ou Ă Achrafieh sur la « ligne verte », oĂč il fallait faire du bruit comme si nous avions Ă©tĂ© nombreux, nous consommions beaucoup de munitions.  Nous Ă©tions de retour vers huit heures du matin Ă la caserne, sauf que, la situation se tendant sĂ©rieusement Ă partir de la mi-mai, nous sommes parfois restĂ©s nuit et jour sur le front, avec presque rien Ă manger et contraints de boire lâeau dâune canalisation Ă©clatĂ©e. Heureusement, cĂŽtĂ© munitions et matos, nous nâĂ©tions jamais oubliĂ©s !Au combat, dans ces rues, ces escaliers dâimmeubles inconnus, quand chaque fenĂȘtre est une menace, la peur devient une sensation permanente que lâon finit par dominer. La mort est toujours lĂ , soit en fin de journĂ©e dans le cadavre dâun combattant quinquagĂ©naire trouĂ© de plusieurs balles, qui le matin mĂȘme plaisantait avec nous en fumant sa cigarette, ou celui dâun jeune homme, Ă©tudiant en pharmacie, quâun RPG reçu en plein corps a transformĂ© en un amas de chairs fumantes, Ă©clatĂ©es, atroces. Il y eut les cadavres dâennemis abandonnĂ©s, pourrissants sous le soleil si chaud de cette annĂ©e-lĂ , mal brĂ»lĂ©s, parfois dĂ©membrĂ©s, et cette odeur Ă©coeurante, si pĂ©nĂ©trante, dâun lambeau de cervelle Ă©crasĂ© par inadvertance et qui sâest imprĂ©gnĂ© dans la semelle dâun pataugas pour y pourrir⊠Il y a aussi le vacarme conjuguĂ© des armes automatiques, des obus, des explosions de toute sorte quand, le front sâĂ©tant soudain rĂ©chauffĂ©, dans les rues du centre-ville soudain saturĂ©s de dĂ©chirements sonores, tous tirent ensemble dâun cĂŽtĂ© contre lâautre, que des canons bitubes de 23mm, avec leurs gros pointilleux lumineux, entrent dans la danse, avec leurs « bam-bam, bam-bam » assourdissants, et quâon se demande quand lâun de ces obus, de ces RPG, finira par nous trouver⊠On serre les dents, et lâon tient sa place dans la barricade, et lâon essaye dâallumer lâennemi qui tente une percĂ©e sous le couvert de cette prĂ©paration cacophoniqueâŠ
-Comment cet engagement est il perçu en France à ce moment là ?
Nos camarades du GAJ nâont pas apprĂ©ciĂ© notre dĂ©cision. La propagande gauchiste avait son effet : se battre avec les chrĂ©tiens du Liban, câĂ©tait devenu rejoindre IsraĂ«l qui, dans nos milieux, nâavait pas souvent bonne presse. Nous, nous partions en croisade et sauver lâhonneur de la France. Le reste, nous nous en fichions. Mais quand nous sommes revenus en fĂ©vrier, une longue trĂȘve sâĂ©tant installĂ©e, lâhumeur avait changĂ©. Nos camarades avaient compris et les volontaires ne manquaient plus. CĂŽtĂ© gauche et majoritĂ© fausse droite, nous Ă©tions simplement des fascistes, quand ils nous citaient. Plus couramment, nous nâexistions pas.
-Quels liens gardez-vous avec le Liban ?
Au retour du Liban, jâai fait les Langues Oâ en arabe littĂ©ral (jâai Ă©tudiĂ© le coran trois ans !), arabe de presse et de radio (jâai travaillĂ© quatre ans pour An Nahar)  et arabe oriental (parler syro-libano-palestinien). Jâai Ă Paris, collaborĂ© Ă Saout El Arz (la Voix du CĂšdre, radio parisienne des FL), et jâai vu Bachir quelques mois avant sa mort Ă Beyrouth. Quand les FL sont venues en exil en France, aprĂšs 1990, je les ai aidĂ©es Ă se remettre en selle, en communication. De cĆur, dâĂąme, sans cesse je me suis efforcĂ© dâaider mes amis, mes camarades de combat. Je vais au Liban au moins deux fois par an. Jây ai vu ces derniĂšres annĂ©es tous les responsables des partis chrĂ©tiens, sauf bien sĂ»r, le funeste Aoun. Notamment Samir Geagea qui mâhonore de son amitiĂ© et aussi lâancien prĂ©sident Amine Gemayel et son fils Samy Gemayel et des anciens responsables des commandos KataĂ«b, comme Samy Khoueiry, dont la sĆur, une combattante incroyable, est partie vers Dieu fin juillet.
-Vous ĂȘtes le prĂ©sident et un des fondateurs de lâAmicale des Anciens Volontaires Français au Liban, quel est le but de cette amicale ?
Entretenir et garder des liens trĂšs Ă©troits avec les anciens combattants des milices chrĂ©tiennes, KataĂ«b et FL. Transmettre aux jeunes la flamme de cette amitiĂ© combattante, de ce goĂ»t de la lutte et de la libertĂ©. En 2014, au cours dâune Ă©mouvante et grande cĂ©rĂ©monie, le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du parti KataĂ«b, Samy Gemayel, a remis, Ă Bickfaya, au Liban,  à douze dâentre nous la mĂ©daille du Combattant KataĂ«b « Pour fait de bravoure ». Je suis revenu avec une trentaine de mĂ©dailles Ă transmettre, avec un certificat, aux camarades qui nâavaient pas pu faire le dĂ©placement, et dont la bravoure Ă©tait absolument incontestable. Je la leur ai remise, parfois ce sont leurs enfants qui en ont Ă©tĂ© les dĂ©positaires. Ces mĂ©dailles gagnĂ©es au combat valent mieux pour moi quâune LĂ©gion dâHonneur distribuĂ©e par des politiciens. Nous en avons fait coller une sur une dalle de marbre noir, sur la tombe de notre camarade StĂ©phane Zannettacci, tuĂ© au combat Ă Tall El Zaatar le 19 juillet 1976 et enterrĂ© Ă CargĂšse, en Corse, oĂč nous Ă©tions une dizaine, en octobre dernier pour une belle cĂ©rĂ©monie. Nous avons aussi un drapeau frappĂ© de notre logo et qui est prĂ©sent Ă toutes sortes dâĂ©vĂ©nements ou commĂ©morations, comme les funĂ©railles de Roger Holeindre ou la rĂ©union annuelle sur la tombe de Jean Bastien-ThiryâŠ
-Parlez nous de votre carriÚre aprÚs cette expérience, quels ont été vos engagements depuis ?
Je crois que jâai rĂ©pondu ci-dessus, au moins partiellement. Jâai Ă©tĂ© journaliste, puis consultant en communication (et chef dâentreprise). Jâai eu quatre enfants dont le sang me semble bien fort.
-Un dernier mot ?
PrĂ©parez-vous au combat ! Beyrouth, bientĂŽt, sera transplantĂ© Ă Paris. JâespĂ©rais pouvoir consacrer mes jours restants Ă Ă©crire sur des sujets plus lĂ©gers, mais je ne suis plus trĂšs sĂ»r dâavoir encore le temps dâĂ©crire beaucoup. Je crois que le combat nous appelle encore. Et puis quoi ? Mourir au combat, pour un vrai Français, pour un gaulois, quelle meilleure fin, Ă tout Ăąge, et quoi de plus exemplaire pour les gĂ©nĂ©rations futures ?
Bibliographie :
Emmanuel Albach, "Beyrouth 1976, Des Français aux cÎtés des Phalangistes."
https://www.livresenfamille.fr/histoire-du-monde/14605-emmanuel-albach-beyrouth-1976-des-francais-aux-cotes-des-phalangistes.html
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English language, still learning more Darija. âMusicians from Simo Errebbaa, Bnat Gania, Samir LanGus, Maalems Mahmoud Gania, Hamid el Kasri to Abdelkebir Merchane, Abdelouhed and Rida Stitou preserve styles as they create further Gnawa expression that is something all its own.Â
Diaspora nuances music! An audial median exists between the player and spiritual world. But apply the same logic to regional sounds.â
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Disparition
 Wilhem Roark fixait lâoeil hagard la multitude dâĂ©crans qui tapissaient les murs du poste de commandement bunkerisĂ© quâil avait rejoint depuis le dĂ©but des Ă©vĂ©nements. Tous ses conseillers tant scientifiques que militaires partageaient sa stupĂ©faction. Dâune certaine maniĂšre, voire fleurir des champignons nuclĂ©aires sur les panneaux ultra-HD, ne lâaurait pas autant terrifié⊠LâobĂ©lisque de Columbia venait de disparaĂźtre, lâĂ©difice glorieux venait littĂ©ralement de se volatiliser sous leurs yeux, et tandis quâil tentait de reprendre ses esprits, une voix de femme lâinterpellait avec force via le vid-Ă©cran allumĂ© en face de lui.
__ Mr le PrĂ©sident ! Mr le PrĂ©sident ! Le Capitole, ilâŠ
__ Quoi !? Quâest-ce que vous dĂźtes agent Polaski ?!
__ Un halo lumineux a commencĂ© Ă se former tout autour de la structure du bĂątiment etâŠ
__ Donnez lâordre dâĂ©vacuation immĂ©diatement, se ressaisit-il en un instant.
__ Câest en cours, Monsieur.
 Dieu tout-puissant, songea-t-il, faĂźtes que nous ayons encore le temps. Les touristes en visite Ă Paris qui sâĂ©taient retrouvĂ©s dans lâenceinte de la Tour Eiffel une heure plus tĂŽt nâavaient pas eu cette chance. Le phĂ©nomĂšne invraisemblable qui avait dĂ©butĂ© Ă 7 heure 00 ne touchait, directement, quâĂ des structures inertes, les victimes de ces dĂ©sintĂ©grations nâĂ©taient que des victimes collatĂ©rale du processus extraordinaire auquel il assistait en direct depuis maintenant deux heures.
 De toute sa vie, jamais il ne sâĂ©tait senti si impuissant, lâennemi, quel quâil soit, Ă©tait invisible, introuvable, et son pouvoir Ă©tait sans commune mesure avec celui de quelque nation que se soit⊠Il devait sây rĂ©soudre, le phĂ©nomĂšne Ă©tait mondial et aucun groupe terroriste nâaurait jamais pu dĂ©velopper une telle technologie et la garder secrĂšte⊠Lâattaque venait des Ă©toiles. Dâune puissance extra-terrestre ! Mais dans quel but dĂ©truisaient-ils les plus belles crĂ©ations du gĂ©nie humain ? Et dâailleurs, les dĂ©truisaient-ils vraiment ? Les pyramides dâĂgypte avaient Ă©tĂ© les premiĂšres Ă disparaĂźtre⊠Puis les Palais dâAngkor⊠Les Temples Mexicains⊠Le ParthĂ©non⊠La Grande Muraille...  En quelques heures, lâespĂšce humaine sâĂ©tait faite dĂ©pouiller des vestiges de son Histoire sĂ©culaire⊠Pourquoi ?
                                   **
  Samir Bruchecâh fixait lâĂ©cran de son PC, complĂštement dĂ©pitĂ©. Le court paragraphe quâil venait de terminer, ne le satisfaisait en rien. AmpoulĂ©, mal amenĂ©, rythmiquement faible⊠Il avait toujours eu du mal Ă bien achalander les phases descriptives de ses romans, mais lĂ , il touchait le fond. Aussi, quand  Â
retentit la sonnette de la porte, accueillit-il le signal sonore sans rouspĂ©ter. Son voisin Raymond lui apportait sans doute le surplus de mĂ»res de sa collecte du matin et certainement aussi diverses inepties quâil se faisait une joie de partager avec qui voulait bien les entendre, ça tombait bien, Samir avait besoin de faire le vide. Mais ce ne fut pas Raymond qui apparut dans la lumiĂšre de ce dĂ©but dâaprĂšs-midi, mais une jeune femme, physiquement quelconque et revĂȘtue dâun survĂȘtement informe. Une touriste qui sâest perdue⊠songea-t-il avant quâelle ne se prĂ©sente Ă lui.
__ Oui�
__ Vous ĂȘtes bien Samir Bruchecâh, lâĂ©crivain ? Â
__ Ăa dĂ©pend, se mĂ©fia-t-il, câest pourquoi ?
__ Il faut que nous ayons une petite conversation, puis-je entrer ?
__ Heu⊠Câest pas pour me vendre quelque chose, hein ? Parce que jâai tout ce quâil me fautâŠ
__ Non, ce qui mâamĂšne est dâune nature toute diffĂ©rente. Puis-je ?
__ Vous nâĂȘtes pas une fan en manque de reconnaissance non plus ?
__ Non⊠écoutez nous nâavons pas le temps pour ce genre de trivialitĂ©s, sâimpatienta-t-elle.
__ Bon⊠Quâest-ce que vous voulez alors ?
__ Avez-vous allumé votre téléviseur au cours des deux derniÚres heures ?
__ Non, moi la tĂ©lĂ©âŠ
__ Ăcoutez la radio ?
__ Encore moins⊠DĂźtes câest pour un sondage ou une connerie du genre ? Parce que si câest pour çaâŠ
__ Vous ne disposez de connexion internet, nâest-ce pas ?
__ Non, ça me gĂȘnerait dans mon travail⊠Bon, Ă©coutez, ça suffit cet interrogatoire, jâai du travail etâŠ
__ Allumez votre téléviseur.
__ Quoi⊠Bon, au-revoir ! Allez sonner chez Raymond, la maison mitoyenne : lĂ voyez, dit-il en dĂ©signant du pouce le domicile de son voisin, vous faĂźtes le tour. Il adore parler de tout et de rien avec nâimporte qui, vous devriez vous entendre Ă merveille !
__ Allumez-le. Ensuite vous accepterez certainement de me parler, conclut-elle, stoĂŻque, tandis quâil fermait la porte Ă son nez.
  Samir soupira en sâasseyant sur une des chaises du salon et se saisit de son paquet de cigarette quâil dĂ©lesta dâune unitĂ©. Il sâalluma sa clope puis se rendit dans lâespace cuisine pour se servir un nouveau cafĂ©. Il demeura un instant perdu dans ses pensĂ©es, maugrĂ©ant diverses imprĂ©cations Ă lâendroit des femmes et de lâinconnue Ă sa porte avant de se dĂ©cider Ă suivre son conseil, malgrĂ© le concert de reproche que sâapprĂȘtait Ă lui servir les voix de la raison dans lâespace confinĂ©e de sa boĂźte crĂąnienne. Nâimporte quoi⊠Tout pour Ă©viter de bosser⊠Non mais tu tâes vue lĂ !? lâagressĂšrent-t-elles, tandis quâil se saisissait de la tĂ©lĂ©commande poussiĂ©reuse du tĂ©lĂ©viseur quâil nâallumait jamais. Constatant que lâĂ©cran nâavait quâun flou neigeux et criard Ă offrir, il se rendit Ă ses cĂŽtĂ©s pour effectuer les branchements  nĂ©cessaires Ă son bon fonctionnement.
  Il resta incrĂ©dule un moment, zappant de chaĂźne en chaĂźne pour constater quâelles nâavaient quâun seul type de programme Ă offrir, des flash spĂ©ciaux dâinformation relatant de la soudaine et inexplicable disparition de tous les monuments de France et du nombre de victimes effroyables que ce phĂ©nomĂšne tragique autant quâinexplicable, avait engendré⊠Au bout de trois minutes, il se leva en trombe de sa chaise et ouvrit violemment la porte dâentrĂ©e. La jeune femme Ă©tait toujours lĂ , installĂ©e sur le banc accolĂ© au mur de sa maison.
__ Quâest-ce que câest que cette histoire !? Comment Stephâ a rĂ©ussi Ă monter un canular pareil !?
__ Un canular ? Quâest-ce que vous voulez dire, rĂ©pondit-elle en ombrant son regard vers lui.
__ Oh ne jouez pas la plus fine avec moi ! Ăa ne peut pas ĂȘtre vrai⊠Câest Stephâ ou alors le gouvernement !?
__ Bon... puis-je entrer maintenant ?
__ Mais je vous en prie⊠lâinvita-t-il, une sale grimace au lĂšvres.
  Elle sâinstalla sur sa chaise et lâinvita Ă le rejoindre dâun geste du bras, il ferma la porte plus calmement quâil ne lâavait ouverte et accepta son invitation, tout en la fixant lâoeil noir. Elle regardait le tĂ©lĂ©viseur en hochant de la tĂȘte avec contrition, zappant dâune chaĂźne Ă lâautre rapidement.
__ CâĂ©tait malheureusement le seul moyen, dĂ©clara-t-elle tant pour elle mĂȘme quâĂ lâattention de Samir.
__ De quoi vous parlez lĂ , quâest-ce que câest que ces conneries et⊠Comment vous faĂźtes ça !? SâĂ©berlua-t-il en constatant que si les chaĂźnes dĂ©filaient les unes aprĂšs les autres sur lâĂ©cran au bon vouloir de lâinconnue, la tĂ©lĂ©commande Ă©tait toujours lĂ oĂč il lâavait laissĂ©e, et non sous le contrĂŽle de la jeune femme.
__ Ah⊠oui, je peux influer sur ce type dâondes mineures au moyen de mon esprit, mais lĂ nâest pas le sujet, nous devonsâŠ
__ Ahahaha⊠Mais jâai compris ! sâexclama-t-il, vous ĂȘtes une transhumaine !
__ Pardon ?
__ Mais oui, câest ça⊠Jâaurais dĂ» y penser avant, toutes mes excuses ! Cela dit, je vous tire mon chapeau, câest un canular de trĂšs haut niveau etâŠ
__ Bien, nous avions envisager ce scĂ©nario. Tout dâabord, je mâexcuse par avance pour ce que je vais vous faire subir, il nâen rĂ©sultera aucune sĂ©quelle physique, je vous rassure, un vague sentiment dâhumiliation, peut-ĂȘtre. Mais puisque vous nâĂȘtes toujours pas disposer Ă mâĂ©couter, je me vois obliger de vous y contraindre.
__ Quâest-ce queâŠ
 Mais avant quâil ait pĂ» rĂ©pondre quoi que se soit, il constata avec horreur que sa langue ne lui obĂ©issait plus, ni ses jambes, ni ses bras. Sa tĂȘte restait fixe, et seuls ses yeux et ses oreilles continuaient Ă fonctionner normalement. Le souffle de sa respiration lui parvenait clairement, ainsi que les battements de son coeur et il implora du regard lâinconnue de stopper son attaque psychique, tant la peur accĂ©lĂ©rait le rythme de ses organes vitaux.
__ Bon, battez des paupiĂšres deux fois,et je vous libĂ©rerais de mon Ă©treinte sensorielle⊠Seulement si vous vous pensez maintenant prĂȘt Ă mâĂ©couter sans me couper la parole. Dâaccord ?
 Il cligna des yeux de toutes ses forces, et comme promis, la jeune femme le libĂ©ra de son terrifiant Ă©tat dâimpuissance. AussitĂŽt, il serra les poings pour vĂ©rifier de la dextĂ©ritĂ© de ses doigts et ahana quelques voyelles dans le mĂȘme temps avant de tourner ses yeux vers lâinconnue. Il peina Ă garder son calme, mais se dĂ©cida Ă rĂ©tablir le dialogue, il fut le premier surpris des mots quâil prononça :
__ Dâaccord, murmura-t-il le souffle court, je suis prĂȘt Ă vous Ă©couter.
__ VoilĂ qui est mieux, acquiesca-t-elle au bout dâun sourire qui se voulait rassurant mais qui nâeut quâun effet mĂ©diocre sur lâĂ©tat dâesprit de Samir. Je vais vous expliquer ce qui se passe en ce moment, mais pour se faire, il faut que je vous raconte tout depuis le dĂ©but⊠Si un aspect de ce que je vais vous exposer vous semble trop complexe, nâhĂ©sitez pas Ă me poser des questions, mais nâoubliez pas que nous ne disposons que de peu de temps.
__ DâaccordâŠ
__ Bien. Cette histoire dĂ©bute il y a 65 millions de vos annĂ©es terrestres quand unâŠ
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[CP] Tower of Fantasy révÚle une nouvelle bande-annonce
Level Infinite et Hotta Studios, les crĂ©ateurs du jeu d'aventure en monde ouvert Tower of Fantasy, dĂ©voilent aujourd'hui une nouvelle bande-annonce sur ses personnages. Elle prĂ©sente des hĂ©ros exaltants et uniques qui seront prĂ©sents dans le jeu, dĂšs sa sortie prĂ©vue cette annĂ©e.https://www.youtube.com/watch?v=7vVKX5q8g4ETower of Fantasy est un jeu de rĂŽle en monde ouvert, dotĂ© d'un style artistique vibrant et inspirĂ© de l'animation Japonaise. Avec un cadre et une histoire de science-fiction exaltants, cette nouvelle bande-annonce prĂ©sente les armes et les techniques uniques de chacun des personnages jouables, leurs montures originales et leurs designs artistiques alors qu'ils Ă©voluent dans le monde d'Aida.Les personnages prĂ©sentĂ©s dans la bande-annonce :- Meryl - Une exĂ©cutrice Hykros de haut rang qui excelle dans les missions de niveau S grĂące Ă son Ă©pĂ©e et ses compĂ©tences de combat. Elle se montre plutĂŽt froide et il est difficile de savoir ce qu'elle pense vraiment. - Shiro - SurnommĂ©e « la solitaire amoureuse de la mer » et passionnĂ©e par l'Ă©tude de l'ocĂ©an et de tout ce qui le compose. Shiro voyage seule et scrute l'ocĂ©an dans ses moindres dĂ©tails depuis plusieurs annĂ©es. Ses travaux ont largement contribuĂ© Ă approfondir les connaissances de l'humanitĂ© sur Aida. - Samir - Une exĂ©cutrice Hykros qui agit de maniĂšre indĂ©pendante et aime jouer des mauvais tours inoffensifs aux autres. Elle est plutĂŽt apprĂ©ciĂ©e parmi les exĂ©cuteurs d'Ă©lite. - King - HabituĂ© Ă rĂ©soudre les problĂšmes et Ă obtenir ce qu'il dĂ©sire par la force, seul l'argent compte pour King : son comportement impĂ©tueux et ses accoutrements extravagants reflĂštent bien sa personnalitĂ©. - Crow - De nature optimiste et joyeuse, Crow rĂ©pond toujours prĂ©sent quand il sâagit de sâamuser. Il connaĂźt des numĂ©ros de poignards impressionnants et vous montrera volontiers la collection qui fait sa fiertĂ©. Il vous racontera Ă lâoccasion ses blagues douteuses quand vous ne vous y attendrez pas. - Zero - Un gĂ©nie de l'informatique qui a dĂ©libĂ©rĂ©ment - et efficacement - dĂ©truit toutes les traces de son vrai nom et de son passĂ©. Intelligent, orgueilleux et dotĂ© dâun fort esprit de compĂ©tition, il ignore tout ce quâil considĂšre comme sans importance pour lui. - Cocoritter - La confiance inconditionnelle qu'elle accorde Ă tous ceux qu'elle rencontre peut lui causer quelques soucis. Mais cette innocence n'a d'Ă©gal que sa dĂ©termination Ă venir en aide Ă son prochain grĂące Ă ses dons de guĂ©rison. - Nemesis - AprĂšs avoir Ă©tĂ© modifiĂ©e par les HĂ©ritiers d'Aida, Shirli sâest transformĂ©e en lâAnge de la clĂ©mence connu sous le nom de Nemesis. GĂ©nĂ©ralement discrĂšte et introvertie, elle devient une tueuse impitoyable sous le contrĂŽle mental du Sage, le chef des HĂ©ritiers d'Aida. Un monde ouvert immersif : DĂ©couvrez un vaste monde extraterrestre rempli de magnifiques paysages et de structures futuristes imposantes. Un contenu localisé : Tower of Fantasy prendra en charge huit langues au lancement. Des personnages uniques : MaĂźtrisez les armes propres Ă chaque personnage et les divers styles de gameplay qu'elles offrent tandis que vous assistez aux histoires poignantes de vos hĂ©ros. Ăvolution et exploration en Ă©quipe : Rejoignez vos amis en ligne et vivez d'incroyables aventures dans un monde ouvert collaboratif. Un systĂšme de combat Ă©pique : Prenez part Ă des affrontements Ă©piques contre des ennemis de toutes tailles et formes. Changez d'arme et de gameplay Ă la volĂ©e pour dĂ©velopper votre propre style de combat. DĂ©couverte et interaction : Interagissez avec un monde dĂ©bordant de vie tout au long de votre extraordinaire pĂ©riple.
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CHALLENGE APP AFRIQUE 2021: QUI SONT LES DIX FINALISTES?
Le jury de la 6e édition du Challenge App Afrique a livré son verdict. Les dix candidatures sélectionnées viennent notamment du Cameroun, de Mauritanie ou encore du Rwanda.
DĂ©butĂ©e le 8 octobre dernier, la sixiĂšme Ă©dition du Challenge App Afrique dĂ©voile ses dix premiers laurĂ©ats. L'idĂ©e cette annĂ©e Ă©tait d'imaginer le service numĂ©rique qui contribuera Ă lâĂ©ducation des enfants. Un peu moins de 1 000 projets ont Ă©tĂ© reçus et dix ont Ă©tĂ© sĂ©lectionnĂ©s pour poursuivre lâaventure.
Les finalistes sont invitĂ©s Ă peaufiner leurs projets afin dâespĂ©rer ĂȘtre le grand laurĂ©at d'une dotation de 15 000 euros.
Les projets retenus sont les suivants :
Owona MarylÚne (Cameroun) : Notre objectif est de créer une génération de jeunes Africains qui ont des apprentissages alternatifs liés aux besoins de leur environnement et dans leurs langues locales.
Saba Fatimata (Burkina Faso) : Educt-us est une plateforme éducative pour enfant. L'une de ses fonctionnalités, c'est la chaßne de télé en ligne qui propose des programmes d'apprentissage aux enfants de 07-12 ans en bande dessinée.
Cho Nkarimbi ValĂ©rie (Cameroun) : Miya Academy est un assistant Ă©ducatif Ă©lectronique intelligent et objectif qui fonctionne mĂȘme sans connexion internet.
Segnon Michel (Benin) : Notre projet est un ensemble dâapplications Ă©ducatives qui permet aux Ă©lĂšves des classes du secondaire dâapprendre de façon intelligente les mathĂ©matiques et la physique tout en leur donnant lâimpression dâĂȘtre en train de jouer.
Hien-Kouame Christelle (CÎte d'Ivoire) : AccÚs au programme scolaire sous le format de résumés de cours par chapitre et par matiÚre, suivi d'une série de questions à choix multiples pour évaluer la compréhension de l'apprenant.
Niyizibyose Confident (Rwanda) : Augmented Future permet un apprentissage autonome et amusant pour les élÚves du primaire de l'autre cÎté, en résolvant le problÚme des parents qui n'ont pas accÚs à du matériel d'apprentissage supplémentaire pour soutenir leurs enfants.
Djigui Derick (Bénin) : MySchool Life est une plateforme de suivi parental et de gestion d'école intégrée qui rapproche parents, enseignants et administrations d'écoles primaires, secondaires et autres comme jamais auparavant.
Sidi Camara (Mauritanie) :  L'objectif de KhrankompĂ© est de produire tous les cours du primaire expliquĂ©s en langue locale et accessibles en offline sur smartphone et support USB tout en conservant la langue dâĂ©criture de lâenseignement.
Kitio Arielle (Cameroun) : abcCode est un programme pédagogique et environnemental de codage ludique et intuitif qui développe la créativité et initie tout enfant dÚs le bas ùge à la programmation créative.
Kone Raki (Mali) : L'application met à disposition des enfants des cours en vidéo en deux langues (français et bambara) réalisés par les meilleurs enseignants et professeurs du pays que nous avons pris soin de sélectionner. L'application est une premiÚre au Mali.
Le jury de cette premiĂšre sĂ©lection est composĂ© d'Emmanuelle Bastide, journaliste Ă RFI, prĂ©sentatrice de lâĂ©mission 7 milliards de voisins ;  Guillaume Grallet, chroniqueur tech sur France 24 ; Carole ROKOTONDRAINIBE, directrice de Next A, incubateur du rĂ©seau Axian ; Aphrodice Mutangana, directeur des opĂ©rations de Digital Afriva ; Pierrick Chabi, fondateur de Wakatoon, une start-up qui dĂ©veloppe des technologies dans le but de modĂ©rer le temps dâexposition des enfants aux Ă©crans ; Filip Kabeya et Idriss Mangaya, responsables du Lumumba Lab en RĂ©publique DĂ©mocratique du Congo ; Ninon Duval, directrice gĂ©nĂ©rale de lâincubateur Bondâinnov ; Mohamadou Diallo, fondateur de Cio Mag ; Raissa Malu, Ambassadrice du Next Einstein Forum ; Hannah Leling Banla, Coordonnatrice Togo sur le programme de financement WIDU-Africa ; Kamahunda MULAMBA, directeur de l'entreprise Kanieba Interactive, crĂ©atrice d'Africatik ; Aly KOUMA, responsable des programmes au sein DoniLab au Mali ; Adam Yamoussa, chargĂ© dâaccompagnement Ă La Fabrique au Burkina Faso ; Samir Abdelkrim, le fondateur d'EMERGING Valley et Djeneba Gory, co-fondatrice de Suadela, une organisation Ă but non lucratif qui forme les jeunes femmes et adolescentes aux techniques de nĂ©gociation afin de dĂ©fendre leurs intĂ©rĂȘts en matiĂšre dâĂ©ducation et de santĂ©.
LancĂ©e par RFI et France 24 et ses partenaires Axian, Orange, Digital Africa,  Emerging Valley et AIMS, la sixiĂšme Ă©dition du Challenge App Afrique a pour objectif de rĂ©compenser les innovations numĂ©riques permettant dâamĂ©liorer lâĂ©ducation des enfants en Afrique.
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Manchester City : Samir Nasri raconte son incroyable embrouille avec Roberto Mancini
L'ancien milieu des Cityzens a confessĂ© s'ĂȘtre mĂ©chamment pris le bec avec son entraĂźneur de l'Ă©poque, Roberto Mancini.
Samir Nasri a toujours été rangé dans la catégorie des joueurs avec beaucoup de caractÚre. Et la derniÚre anecdote dévoilée par l'ancien joueur de l'Olympique de Marseille ne risque pas de changer cela. Dans l'émission Big Five de Canal Plus, accompagné par Robert PirÚs, Olivier Dacourt, Habib Beye et Florent Sinama-Pongolle dans une ambiance de camaraderie, Samir Nasri s'est livré sans langue de bois sur sa relation avec Roberto Mancini. L'ancien international français a révélé que sa relation a été tendue avec l'Italien lors de la saison du titre, au point de virer carrément au clash.
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Plusieurs personnes me demande la signification du nom SAJA. C'est lâabrĂ©viations de â samir jamai â., Et par coĂŻncidence ce nom a un sens : Dans le monde arabe: Ce nom a une signification qui est prĂ©cieuse et belle et ne viole pas la doctrine de la charia et ne porte pas un sens insultant au nom. SAJA signifie des sens liĂ©s en arabe je cite : couvrir, voiler, inhumer, enrober, ensevelir, recouvrir. Aussi du sens calmer, faire apaiser, soulager, apaiser, tranquilliser, RevĂȘtir. Les CaractĂ©ristiques de la personne porteur de ce nom a un bon coeur, trĂšs intelligente, sensible, calme et aime les endroits calmes, ambitieuse, poursuit ses objectifs, aime lire et dessiner. DANS L'ISLAM : La signification du nom de SAJA dans le Saint Coran. Le nom de SAJA Ă©tĂ© mentionnĂ© dans le Saint Coran dans le verset de Sourate Al-Duha. Dieu a jurĂ© Ă son prophĂšte Mohammed (qu'Allah le bĂ©nisse et le salue) Par le Jour Montant ! Et par la nuit quand elle couvre tout (ŰłŰŹÙ SAJA) ! Ton Seigneur ne t'a ni abandonnĂ©, ni DĂ©testĂ©. (sourate AL-Duha). Ce la rĂ©vĂšle lâacte divine avec son prophĂšte. Le nom «SAJA » vient de l'hydronia latin Salia , dont l'origine remonte Ă des langues đźđ© indo-europĂ©ennes telles que les Celtes et peut signifier un cours d'eau ou d'eau salĂ©e. dans lâAsie đźđł comme nom fĂ©minin. En Europe đȘđș Par contre ce non SAJA et trĂšs reconnu et depuis 2010 en France đ«đ· le nom est devenu populaire. Aussi il y a une commune en France sur le nom de sajaa. Le SAJA est une riviĂšre du versant cantabrique de la pĂ©ninsule ibĂ©rique , qui s'Ă©tend entiĂšrement Ă l'intĂ©rieur de la Cantabrie ( Espagne đȘđž ). Pour moi c'est la naissance spirituelle dâun concept de crĂ©ation de tout ce qui est beau. @umm_hiba_al_rahman #ig_fotografdiyari #likers #followers @_louk__man_ #designer #artiste #russia #mode @roksanamirzoeva #fashionblog #lp #love #life #moscow @amira_lumiere #artistsoninstаgram @anzor.95 #beautyqueen #aliaa #dimples @moroccan_karakou @popugram @le_roi_mohamed6 @leodicapmethodofame @iamkingwalesagain
#mode#artiste#fashionblog#beautyqueen#russia#moscow#artistsoninstаgram#likers#ig_fotografdiyari#lp#dimples#life#aliaa#love#followers#designer
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saga: Soumission & Domination 319
Amaury au taf
Avec Samir et Ammed, nous recherchons ce qui pourrait faire monter Amaury en gamme.
Samir propose qu'on pourrait commencer par le faire sodomiser par mon black le plus membré. Lui, un aristocrate, ça devrait bien le faire kiffer de se faire dominer par un ancien indigÚne des colonies! Il souhaite y aller progressivement et faire durer le plaisir qu'il prend avec Amaury.
Je suis OK avec ça. C'est son soumis, c'est lui qui décide.
Je fais affaire avec mon black TTTBM. Sa bite de 28x8,5 me pose souvent un problĂšme mĂȘme avec mes escorts entrainĂ©s. Il le sait bien mais je suis le seul qui peut lui fournir oĂč mettre sa bite (si on peut appeler ça une bite !). Surtout qu'on pourrait penser qu'elle est un peu molle et bien non le colosse de 2m la fait raidir comme si elle ne faisait que 20x5 !
Je l'appelle et lui propose un plan sodomie directe. Il hallucine de m'entendre lui proposer cela. D'habitude j'insiste bien sur le fait qu'il prenne le temps de bien préparé mon escort, qu'il y aille lentement dans sa pénétration et qu'il ne casse pas son " jouet " car il ne payera jamais assez pour ça.
Je lui explique que j'ai rentré un nouvel escort aux capacités adéquates. Négo sur le tarif. Samir me dit que c'est pour moi, lui il aura le kiff de gérer Amaury. Je refuse et de toutes les maniÚres il aura une prime sur son salaire normal. Je précise qu'il sera amené par son maßtre et que ce dernier aura toute autorité de ma part pour gérer la prestation. Le client accepte trÚs excité par les possibilités qui s'offrent à lui.
Récit de Samir :
J'emmĂšne Amaury Ă son premier contrat pour Sasha. Avant de monter en voiture, je l'ai prĂ©parĂ©. Un lavement en profondeur, graissage et maxi plug (longueur 20cm, diamĂštre au blocage 5) avant que je lui pose sa cage de chastetĂ©. Pour ĂȘtre sĂ»r qu'il ne bande pas celle-ci comporte des picots vers l'intĂ©rieur sur toute la pointe qui emprisonne son gland. Dans la voiture, assis dessus, Amaury bascule le bassin pour faire bouger le plug. Il gĂ©mit dĂ©jĂ de l'effet sur sa prostate. Je lui dis de se calmer qu'il garde des forces pour se faire dĂ©foncer tout Ă l'heure.
Nous arrivons chez le client. Grosse maison isolée. Amaury va pouvoir gueuler, y'aura pas de voisins dérangés. Il n'a sur le dos qu'un short de course trÚs échancré sur les cÎtés auquel j'ai retiré le slip intérieur puisqu'il n'y a rien à retenir. Pour le haut un simple marcel de muscu, lùche.
C'est le client qui ouvre. Impressionnant mĂȘme pour moi qui suis pourtant carrĂ©. Le mec fait dans les 2m et bien 120Kg. Il est en tenue de sport lui aussi. Ses bras nus sont comme les cuisses d'Amaury (ok c'est pas non plus ce qu'il travaille le plus !). Ils sortent d'un t-shirt blanc gonflĂ© Ă l'extrĂȘme. Son sexe est emprisonnĂ© dans un cycliste Ă©lastique qui le moule comme une 2Ăšme peau. Il est tellement moulant qu'on devine qu'il est circoncis et porte un gros cockring.
Je pousse Amaury vers le sol qu'il se mettre Ă 4 pattes. Je serre la main du client et prĂ©sente mon slave. Il nous demande de le suivre. Amaury reste Ă 4 pattes et nous suit jusqu'au donjon du mec. Pas aussi bien Ă©quipĂ© que celui du Blockhaus, mais pas mal quand mĂȘme. Le principal est lĂ , une croix de saint AndrĂ©, une selle Ă gode motorisĂ© et un cheval d'arçon avec menottes pour mains et pieds. Une Ă©tagĂšre avec une collection de gode de taille croissante occupe un des murs. Je comprends leur utilitĂ© quand mes yeux reviennent sur le client qui maintenant bande franchement.
Amaury est hypnotisé par le boa qui s'est développé. Le gland a cherché une issue et s'est faufilé sur la jambe gauche jusqu'à sortir du tissus juste au-dessus du genou.
Je lui dis d'y aller. Il se jette dessus et tourne la tĂȘte pour prendre en bouche le gland violacĂ©. A la tĂȘte du client, je devine qu'Amaury tourne sa langue dessus comme il sait si bien le faire. Je suis sĂ»r qu'il doit mĂȘme essayer d'enfiler sa langue dans le petit trou. Le client ne tient plus, il s'Ă©carte et descends le cycliste. Sa lourde bite remonte plus haut que l'horizontale ce qui est pas mal vu le poids qu'elle doit faire. Elle ne reste pas longtemps sans couverture. Amaury se jette dessus et s'en enfiles les 3/4 pour sa premiĂšre plongĂ©e. Je connais mon gourmand, il n'aura de cesse que de poser ses dents sur le pubis crĂ©pu. il plonge et replonge sur la queue loirs et il ne lui faut que 10mn pour y arriver. Le client est ravi. Il me dit que c'est une premiĂšre pour lui, en gĂ©nĂ©ral les autres escorts callent Ă 3 cm de l'arrivĂ©e.
Mon Amaury se donne Ă fond. Je crois qu'il kiff de rĂ©aliser son phantasme de pute. Il se plante le gros noeud dans sa gorge et insiste mĂȘme quand il est bien au fond. Je le vois se cambrer de plus en plus. Son cul est un vĂ©ritable appel au viol.
Le client s'en aperçoit lui aussi. Il se dĂ©gage de la bouche d'Amaury et l'attrape par les hanches. Il le tourne et remarque le plug. Il me jette un coup d'oeil et je lui dis qu'il peut y aller. Du coup il l'arrache d'un coup sec, faisant hurler Amaury par la mĂȘme occasion. Quel comĂ©dien ! Vu la dose de gel que je lui avais mis, il a dĂ» glisser quasiment tout seul.
Le trou n'a pas le temps de se refermer que le client pousse sa bite kpotĂ©e dedans. Je suis en face. Je vois els yeux d'Amaury sortir des orbites. C'est sĂ»r que sans trop de prĂ©paration il mange grave le gamin ! Je vois ses yeux se remplir de larmes mais elles sont de plaisir vu le sourire qu'il m'envoi. En attendant c'est pas pire que nos deux bites ensembles Ă Ammed et moi question diamĂštre. Parce que cĂŽtĂ© longueur c'est sĂ»r que c'est beaucoup plus long, sauf le bras d'Ammed ! Le client me prend plusieurs fois Ă partie et me fĂ©licite de la salope que j'ai entre les mains. En mĂȘme temps qu'il bourre Amaury il discute avec moi. C'est assez troublant mais c'est lui le client ! Je pense que ça doit aussi l'empĂȘcher de partir trop vite.
Il me dit qu'avec les meufs, il n'arrive rarement Ă en mettre que les deux tiers et encore quand elles ne se sauvent pas en courant. Je le fĂ©licite d'ĂȘtre aussi bien outillĂ© et dis que je comprends, ce sont plutĂŽt parmi les juments qu'il devrait trouver son bonheur. Eclats de rire, mĂȘme d'Amaury qui recule sur le mat qui le perfore comme le client ralentissait le rythme.
Un changement impressionnant de position. Amaury est loin d'ĂȘtre une crevette ce qui ne l'empĂȘche pas d'ĂȘtre soulevĂ© comme une plume, et le colosse noir de le planter sur sa bite debout. Reflexe, Amaury serre ses jambes aux hanches du mec pour se soutenir. Dans cette position, les fesses d'Amaury sont Ă©cartĂ©es au maximum et il se prend jusqu'au dernier millimĂštre la bite noire. C'est impressionnant la diffĂ©rence de couleur. Le noir est trĂšs noir et Amaury Ă le cul trĂšs blanc !
Ils tiennent la position plus d'un quart d'heure avant que le black pose le dos d'Amaury sur la table et l'encule violement jusqu'à jouir. Je remarque qu'Amaury laisse échapper de son gland compressé un long filet blanchùtre de sperme. Je suis content qu'il ait pris son pied lui aussi.
Le client se barre en nous indiquant la salle d'eau attenante. Je m'occupe d'Amaury. Je libĂšre sa bite. Elle est couverte de son jus. Dans un souffle rauque, il me dit avoir jutĂ© au moins deux fois. Je le soutiens jusqu'Ă la douche. Il est mort. J'ĂŽte le haut pour le laver. Il se laisse faire comme un enfant. Je le savonne, le rince et le remet debout pour le sĂ©cher. Au passage je vĂ©rifie la fermeture de son anus. Comme d'habitude, il est quasiment Ă la taille " non utilisĂ© autrement que naturellement ". Je retrouve les quelques vĂȘtements qui le couvraient. Il est renfile et alors que nous nous apprĂȘtons Ă partir, Le client nous rattrape et me file un enveloppe. Je sais par Sasha que c'est une pratique assez courante de ses clients quand ils sont contents.
Avant de dĂ©marrer, j'ouvre l'enveloppe et compte vite fait. Je sais que les clients sont aisĂ©s mais lĂ se prendre 5k de plus que le contrat c'est fou !! J'en touche deux mots Ă Amaury qui me dit de tout garder, lui n'en a pas besoin. Il a pris grave son pied et me dit qu'il est prĂȘt Ă recommencer quand je veux.
Je vois bien qu'il a kiffé grave le plan mais je dois faire attention pour lui. Il serait capable d'enchainer les plans pour le plaisir.
Je le ramĂšne chez lui et rentre au blockhaus. Je discute avec Sasha du plan qu'Amaury vient de faire.
Samir revient de chez mon client. Il me tend une enveloppe pleine et me dit qu'Amaury n'en n'avait pas voulu. Je le lui rends et lui dis que du coup c'est tout pour lui. Il me dĂ©briefe le client. En conclusion il me dit qu'Amaury est prĂȘt pour un gang bang la prochaine fois. Sa rondelle s'est refermĂ©e parfaitement. L'entrainement qu'il s'est auto-infligĂ© depuis des annĂ©es fait son effet.
Je lui dis que je le tiens au courant pour le gang bang. Ce genre de plan demande un peu d'organisation. Le lieu est tout trouvĂ©, le gite habituel est rarement utilisĂ© en fin d'automne. Le proprio sera content de se faire un peu de blĂ©.Â
Quand je revois Amaury, c'est en cours. Il a les yeux un peu tirés mais personne ne pourrait s'imaginer qu'il s'est fait monter par un étalon black pendant des heures la nuit passée.
Il me rejoint à la machine à café. Je lui tends celui que j'avais commandé et m'en prends un autre. On papote de tout et rien en attendant que les collÚgues s'éloignent. Je lui demande alors comment il a encaissé sa premiÚre prestation. Il me répond que c'était trop fort. Le plus qu'il ait jamais connu, encore plus que ses plans avec Samir et Ammed. Avant de rentrer dans l'amphi, il me dit qu'il peut aller plus loin encore et que si j'ai des clients partants, il est mon homme.
Je le retrouve aprĂšs les cours et l'emmĂšne boire une biĂšre. Quand je lui dis que j'ai reçu un appel de son client, je le vois inquiet. Tout de suite je le rassure et lui dis qu'il le redemande dĂšs que possible. Je lui explique qu'il est le seul de mes escorts Ă part Jimmy mon phĂ©nomĂšne beur, Ă rĂ©ussir Ă le prendre en entier. Et qu'il a trop aimĂ© son corps plus formĂ©. Il rougit c'est charmant ! Je lui demande si plusieurs black ça lui ferait peur. Il me fixe et me dis que de toutes maniĂšres, je sais qu'il est une grosse chaudasse en manque de queue. Que c'est pas nĂ©cessaire de lui demander, il sera partant pour tous mes plans possible les plus hards. Je n'aime pas trop son ton. J'entends sous ses propos une rĂ©signation Ă n'ĂȘtre bon qu'Ă se faire dĂ©foncer. Trop nĂ©gatif comme Ă©tat d'esprit !
Comme je sais que ce soir il n'y aura que PH Ă la maison, je l'embarque avec moi.
Mon homme est Ă©tonnĂ© de le voir surgir derriĂšre moi du monte-charge. Il l'accueille avec chaleur car lui aussi a vu la tĂȘte qu'il fait. Pour qu'Amaury soit Ă l'aise, je ne me mets pas en shorty comme PH. Samir nous rejoint avec l'apĂ©ro et je lui dis de rester et appelle Ammed de venir avec deux verres de plus.
Quand on est tous assis, je déclare ouvert la réunion de guerre. Personne à part moi ne comprend, mais moi si ! C'est le principal. Ils attendent tous la suite.
Je prĂ©ambule : on se connait, on connait Amaury est ses envies, et bien on est lĂ pour lui faire prendre conscience que si personne autour de cette table ne le juge, il n'a pas non plus Ă le faire lui-mĂȘme. On n'est pas des psys mais on doit pouvoir chasser ses idĂ©es noires de sa cervelle.
Amaury se récrie qu'il est bien. J'affirme que non et que les autres sont d'accord avec moi. Nous discutons une bonne heure. Je confronte les expériences sexuelles d'Amaury avec le plaisir qu'il en retire. Ammed lui confie que lui aussi adore se soumettre à Samir lorsqu'ils font l'amour ensemble. C'est pas pour ça qu'il n'avait plus sa fierté et que Samir ne le respectait pas. Je confirme que si le client a rappelé, ce n'était pas pour demander quand la salope serait dispo mais quand il pourrait bénéficier des prestations du dernier escort que je lui avais envoyé. Et c'était avec des propos admiratifs qu'il avait parlé de son travail.
Je lui dis encore que quelques soient les plans que je lui organiserais, mĂȘme s'il y a soumission totale, mĂȘme s'il y a des pratique sado-maso ou s'il sert de vide couilles Ă un rĂ©giment africain en rut, ça ne le placera pas comme une sous merde dans l'esprit d'aucun de mes clients.
Il me dit que c'est des craques, que lui se cachait la vĂ©ritĂ© mais qu'il est comme ça depuis l'enfance. Se faire saillir par son Pinocchio Ă la pubertĂ©, ça dĂ©notait quand mĂȘme son niveau de dĂ©pravation. C'Ă©tait pas la peine de faire un dessin ! Mes trois acolytes se taisent, eux viennent d'apprendre ses pratiques ancillaires. Ăa plus de se faire dĂ©foncer par le jardinier TTBM, jusqu'Ă 3 fois par jour, c'est pas un parcours normal !
LĂ , Ă©clats de rires gĂ©nĂ©ral. Il redresse la tĂȘte pour comprendre. Je lui montre Samir et Ammed en Shorty cuir, PH et moi, le film de mes amis qui singent le " dĂ©jeuner sur l'herbe " de Renoir en poussant plus loin l'aprĂšs-midi et lui dis que normal ça ne veut rien dire !! On est tous le dĂ©viant de quelqu'un. Evidemment c'est maintenant que ça se joue pour lui car il n'est plus tout seul et qu'il partage son " originalitĂ© " avec d'autres mecs. Que s'il ne s'accepte pas tout de suite, ce sera un siĂšcle de psychanalyse, une femme malheureuse et des enfants futurs tueurs en sĂ©rie. Ma derniĂšre assertion les fait tous se tourner vers moi, interloquĂ©s. Ben quoi ! Faut bien des circonstances attĂ©nuantes Ă ces meurtriers !
Ce coup-ci quand les rires éclatent, ils viennent aussi de lui. L'abcÚs est percé. Enfin on va pouvoir diner tranquille.
Pour assurer sa rémission, il reste dormir exceptionnellement au Blockhaus avec Samir et Ammed.
Au petit dĂ©jeuner le lendemain matin c'est un autre garçon. Son assurance n'est plus exagĂ©rĂ©e, artificielle comme elle l'Ă©tait avant. Pour preuve, il arrive alors que nous sommes tous dĂ©jĂ levĂ©s et aprĂšs nous avoir embrassĂ©s sur la joue, il roule un patin Ă Samir et fait de mĂȘme avec Ammed. Quand je lui propose de l'emmener avec moi Ă l'Ă©cole, il me dit qu'il doit passer se changer chez lui. On n'a pas trop le temps. Il accepte que je lui prĂȘte des vĂȘtements et nous partons ensemble. Notre arrivĂ©e est remarquĂ©e. C'est uniquement de le voir sortir de ma voiture qui interpelle nos collĂšgues. Maxou m'interroge du regard ? Je lui fais signe qu'on en parlerait plus tard.
Amaury, lui, doit faire face Ă son groupe de fans. Ils lui demandent ce qu'il peut bien faire avec moi. En quelques mots il dompte ses troupes et avance.
Maxou vient aux nouvelles. Je ne révÚle pas la teneur de la soirée de la veille. Je lui dis juste que notre Amaury s'est enfin trouvé. Maxou comprend à demi-mot. Et n'insiste pas. Lui aussi a bénéficié de mes " services " qui lui ont permis de s'affranchir des bùtons qu'il avait dans ses roues.
Jardinier
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Anderlecht : les langues se délient sur le fiasco Samir Nasri
Anderlecht : les langues se délient sur le fiasco Samir Nasri


Huit apparitions toutes compĂ©titions confondues, deux buts. Le bilan sportif de Samir Nasri (33 ans) lors de sa saison du cĂŽtĂ© du RSC Anderlecht, entre mĂ©formes et pĂ©pins physiques Ă rĂ©pĂ©tition, restera globalement trĂšs dĂ©cevant. Les Mauves pouvaient toutefois sây attendre. Vincent Kompany, entraĂźneur adjoint-joueur au moment de la signature du milieu de terrain français, rĂ©cemment intronisĂ©âŠ
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Ighzer Amokrane, la Grande RiviĂšre dans l'Atlas blidĂ©en by Ath Salem Cet affluent de l'Oued Chiffa change plusieurs fois de nom au cours de son voyage Ă travers les reliefs de l'Atlas blidĂ©en. En effet, cette riviĂšre prend sa source dans les montagnes des AĂŻt Messaoud qui lui ont donnĂ© son premier nom : Ighzer n'AĂŻt Messaoud (Oued Beni Messaoud). GonflĂ© par de plus petites riviĂšres, le cours d'eau devient la Grande RiviĂšre (Ighzer Amokrane - Oued El-Kebir). Enfin, peu avant de rejoindre l'Oued Chiffa, la riviĂšre est appelĂ©e Oued El-Djir. --------------------------------------------- SituĂ© au centre de l'Atlas tellien et s'Ă©tendant sur plus de 5000 kmÂČ, l'Atlas blidĂ©en recĂšle une multitude de joyeux naturels et culturels. L'un de ces trĂ©sors est sans conteste le Parc National de ChrĂ©a (266 kmÂČ), créé en 1983, renfermant plusieurs cĂ©draies; riviĂšres; cascades et sources dĂ©licieuses. L'Atlas blidĂ©en (ou Petit Atlas) dont le sommet Koudiet Sidi Abdelkader culmine Ă 1629 mĂštres, est limitĂ© gĂ©ographiquement par : la plaine de la Mitidja (au Nord); la plaine des Beni Slimane et le Titteri (au Sud); l'Oued Isser (Ă l'Est) et l'Oued Djer (Ă l'Ouest). D'un point de vue administratif, le massif s'Ă©tale sur 5 wilayas, Ă savoir : Blida, MĂ©dĂ©a, Bouira, Boumerdes et AĂŻn Defla. Par ailleurs, ces montagnes sont peuplĂ©es depuis des millĂ©naires par une population berbĂšre zĂ©nĂšto-sanhadjienne regroupĂ©e en plusieurs tribus et confĂ©dĂ©rations (ex : AĂŻt Saleh, AĂŻt Messaoud, AĂŻt Ouzera, MouzaĂŻa etc...). Malheureusement, durant le XXĂšme siĂšcle, deux Ă©vĂšnements majeurs ont mis Ă mal le patrimoine linguistique local (tamazight de l'Atlas blidĂ©en) : la Guerre de libĂ©ration nationale et la DĂ©cennie noire. En effet, ces pĂ©riodes de violence et d'insĂ©curitĂ© ont engendrĂ© un exode massif qui a eu pour consĂ©quence le recul progressif de cette langue ancestrale. De nos jours, certains dont le chercheur indĂ©pendant Samir El-Arifi, tentent de garder en vie ce patrimoine immatĂ©riel algĂ©rien. El-Hamdania - Wilaya de MĂ©dĂ©a - AlgĂ©rie Mars 2018 https://flic.kr/p/QBc56r
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Voici quelques photos du tournage du film Deglet Nour, réalisé par Sofiane Halis dans le cadre des travaux de fin d'études de La Résidence, produits par la Femis.
Dix jours de tournage passionnants dans des dĂ©cors trĂšs sonores, urbains et vivants (chantier, banlieue, rueâŠ) avec de nombreux enjeux de prise de son.
La majeure partie des dialogues était en arabe dialectal algérien: une excellente occasion pour moi d'enregistrer une langue étrangÚre dans de trÚs bonnes conditions techniques, à l'aide d'un Cantar X3, de liaisons HF Wisycom (MTP41 et MCR42 en AES), de microphones Schoeps (CMIT 5u, MK41, LCR tripiste) et DPA (4060), et de suspensions Cinela (Piano, Zephyx et Osyx). La caméra utilisée était une Sony F5.
J'assurerai également le montage des sons directs du film.
Acteurs principaux: Samir Harrag et Driss Ramdi Producteur: Paul Lavaud Directeur de production: Vivien Ferrand Chef opérateur: Kristy Baboul-Gremeaux
Matériel de prise de son: DCA Perchman: Mathias Arrignon Ingénieur du son: Guilhem Domercq
#tournage#short film#audio#cantar#aaton#cinéma#short movie#court métrage#femis#wisycom#dpa#schoeps#sony#sonyf5
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Mercato â Lâagent de PĂ©pĂ© appelle Ă la patience et annonce « lâobjectif, câest dâaller vers ce qui se fait de mieux » 78682 homes
http://www.78682homes.com/mercato-lagent-de-pepe-appelle-a-la-patience-et-annonce-lobjectif-cest-daller-vers-ce-qui-se-fait-de-mieux
Mercato â Lâagent de PĂ©pĂ© appelle Ă la patience et annonce « lâobjectif, câest dâaller vers ce qui se fait de mieux »
Depuis que Samir Khiat, agent de Nicolas PĂ©pĂ©, a annoncĂ© que le Paris Saint-Germain « est une possibilité » pour lâailier de 24 ans du LOSC, les mĂ©dias sâagitent un peu. Et il Ă©tĂ© invitĂ© Ă faire le point au micro de La ChaĂźne LâEquipe. « Sans langue de bois, Nicolas est revenu de la CAN. Il va [âŠ]
homms2013
#ParisSaint-GermainFC
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Entertainment: A Quebec comedian is happy to offend in multiple languages
For Christmas,â it said, âIâd like a complaint from the Office de la Langue Française,â the Quebec watchdog responsible for preserving the French language. His plea did not go unnoticed.
MONTREAL â A few years ago, the Quebec comedian Sugar Sammy put a giant ad on a Montreal subway billboard. â
For Christmas,â it said, âIâd like a complaint from the Office de la Langue Française,â the Quebec watchdog responsible for preserving the French language. His plea did not go unnoticed.
In Quebec, a French province surrounded by an English majority in the rest of Canada, sensitivities about language are profound, and large billboards must typically be only in French. Beyond prompting a complaint to the agency from an irate Montreal lawyer, the stunt spawned a loud debate about language, along with a death threat from a Québécois nationalist at his next show.
A fearless comic with a talent for provoking both laughter and outrage, Sammy, born Samir Khullar, is a 42-year-old son of Indian immigrants. He is also a child of Bill 101, the polarizing Quebec law behind the sign infraction, which requires immigrants to send their children to French schools. As a result, he glides effortlessly between English and French in his shows, and has made Quebecâs tortured identity politics his main preoccupation.
âHumor allows you to address taboos,â said Khullar, whose parents came to Montreal from northern India in the 1970s and who is far more soft-spoken in person than his swaggering, expletive-fueled stage persona would suggest. âIn Quebec the ultimate taboo is identity,â he added.
At a recent packed show in a former 1920s cinema in Montreal, Khullar bounded across the stage, before diving into his favorite subject: those who want Quebec to separate from the rest of Canada.
âAre there any separatists here?â he asked in perfectly accented QuĂ©bĂ©cois French. âCome on, donât be shy.â
After a dozen people raised their hands, he continued, âAre you happy with where you are sitting, or do you want to separate from the rest of the audience and create your own section?â The mixed Anglophone and Francophone audience, including the hand-raisers, exploded with laughter.
He switched to English for a joke on President Donald Trumpâs security strategy on the Mexican border. âWe donât have a lot of Latinos in Canada,â he said. âItâs too cold. We donât need a wall. We have winter.â
When he first came up with the idea of doing a bilingual act, âYouâre Gonna Rireâ (âYouâre Gonna Laughâ) in 2012, comedy producers told him he was crazy: The Anglophones wouldnât understand the jokes in French, and the English humor would be lost on the Francophones.
So he produced it himself, and the show became an overnight sensation. It transformed Khullar, a virtuoso improvisor whose looks have been likened to Elvis, into a household name in Quebec, garnering him coveted comedy awards and making him a millionaire.
This being Quebec, he was also pilloried by some French-speaking Quebec nationalists for bastardizing the language of MoliĂšre by speaking Franglais. Anglophones who didnât speak French were annoyed at feeling left out.
He was variously labeled a dangerous âFrancophobe,â a federalist âfanatic,â and a political activist masquerading as a comedian.
âIf Sugar Sammy is the future of Quebec, then Quebec has no future,â Mathieu Bock-CĂŽtĂ©, a prominent Quebecois columnist, wrote in Le Journal de MontrĂ©al.
Khullar has performed in 31 countries, including Switzerland, Malaysia and France, where GQ enthused that âthe funniest person in France is Quebecois.â
He recently opened a show in Paris, where he is living for a time, with the line, âIâm happy to be in France. You guys are my favorite Arab country.â
Louise Richer, director of L'Ăcole nationale de lâhumour in Montreal and a leading critic, said Khullar occupied a unique place by bridging Quebecâs cultural divide. âHeâs a good barometer of a society that has come of age and can now laugh at itself,â she said.
Khullar embodies a new generation in Quebec less burdened by the language and culture wars of the past, said Marc Cassivi, a columnist for La Presse, a leading French-language newspaper, who wrote a book about bilingualism in Quebec.
âIt is doubtful that Sugar Sammy wouldâve survived as a comedian in Quebec of the 1970s, and wouldâve left on the first train to Toronto,â Cassivi said.
Khullarâs humor was deeply informed by being the son of immigrants; his father sold juice out of the back of a truck before opening two convenience stores. His mother worked in a textile factory before eventually staying at home to raise the family. Growing up in a basement apartment in CĂŽte-des-Neiges, a gritty multicultural neighborhood in Montreal, Khullar worked as a cashier at his fatherâs shops, which sold beef jerky and cigarettes and were called âAu Gourmet International.â
âThere was nothing gourmet or international about it,â he said, laughing.
Immersed in French in school, Khullar and his younger brother spoke Punjabi and Hindi at home, and learned English on the street and by watching âThe Dukes of Hazzard.â At his high school, where he was anointed the class clown at age 15, his best friends were Jewish-Moroccan, Haitian, Guatemalan and Chinese â a comedic focus group of sorts that he credits for his ability now to cross borders and make people laugh.
He said he was largely sheltered from racism âbecause we were all immigrant kids,â adding that his Indian parents always supported his comedy. âIf you come to my parentsâ place youâre not leaving without watching a Sugar Sammy video,â he explained. âThe guy will be, âIâm just here to deliver the mail.'â
His decision to become a comedian was clinched when he first saw Eddie Murphyâs 1983 stand-up comedy television special âDeliriousâ as a teenager and was attracted by his raw, unbridled humor. âHere you had this guy in bright red leather owning the stage with the charisma of a rock star,â he said. âI wanted to be that guy.â
Eager to find an original stage name, he settled on the nickname his female friends had given him when he was a party promoter while studying at McGill University: Sugar Sammy.
His political awakening as a comic came in 1995 during areferendum that asked Quebecers whether the province should become an independent country. After the ânoâ camp won with a bare 50.6 percent of the vote, Quebec Premier Jacques Parizeau, a leader on the âyesâ side, blamed the result on, among other things, âthe ethnic vote.â
The comments stung Khullar, who was 19. âHere I was a teenager who was doing everything to be part of Quebec society and I was being told that I was responsible for the failure of Quebecâs dream of statehood,â he recalled. âI realized that I would always be the âotherâ in Quebec, no matter what language I spoke.â
Instead of stewing, he used his sense of alienation as fuel for his comedy.
One of his first big breaks came in 2004 when his show attracted attention at the Montreal-based âJust for Laughsâ festival, the largest international comedy festival in the world. He became co-creator in 2014 of a successful French television sitcom called âCes gars-lĂ ,â (âThose Guysâ) in the spirit Larry Davidâs âCurb Your Enthusiasm,â and began crisscrossing the globe.
An ardent federalist who believes Quebec should remain a part of Canada, he takes mischievous pleasure in skewering those who he calls âseparatists,â many of whom prefer to be identified as âsovereigntists.â
âI like picking on separatists because itâs fun!â he said in a performance of âYouâre Gonna Rire.â
He brought up the referendum at a recent sold-out performance here. âThere are two kinds of Quebecers,â he mused. âThere are Quebecers who are educated, cultivated, well-brought up. Then you have those who voted âyes.'â
Determined that his comedy have the whiff of authenticity, he obsessively prepares for his shows abroad by observing people on the subway, doing his laundry at public laundromats and eating at restaurants.
He has taken his acerbic humor to, among other places, the American Midwest. âI nearly got killed in Missouri because they think Canadians are communists,â he said. He has performed in English, Punjabi and Hindi in his parentsâ India. And he traveled to Saudi Arabia to perform at a remote venue, where men and women sat together.
âPeople had such a good time â for that one hour they were free,â he said, recalling the performance. He added with cackle: âIf only we felt that way in Quebec.â
This article originally appeared in The New York Times.
Dan Bilefsky © 2018 The New York Times
source http://www.newssplashy.com/2018/08/entertainment-quebec-comedian-is-happy_12.html
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