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#cri du marabout
yattrasix · 1 year
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Le chasseur et le Genie.
Il y avait un génie qui volait la femme des nouveaux mariés. Quiconque se mariait, se voyait privé de sa nouvelle épouse, enlevée par le génie.
Un brave et téméraire chasseur apprit la nouvelle et annonça qu'il irait chercher une femme dans ce pays, afin de savoir si les hommes y sont sans valeur.
Après avoir dit cela, il se prépara et partit. Quand il arriva dans la cité, on le reçut avec faste. Le roi lui demanda le motif de sa visite. Le chasseur lui dit qu'il venait prendre femme.
Le roi lui dit :
- Ici tu ne peux obtenir une femme, car à tous ceux à qui on a donné une épouse, le génie l'a enlevée et toutes ces épouses ont été ainsi perdues à jamais.
Le jeune homme répondit au roi :
- Moi je suis un chasseur. Si tu me donnes ta fille en mariage et si le génie me la prend, je lutterai avec lui. Toi, observe-moi simplement ; ne te préoccupe que de moi.
- Ce que tu dis, est-ce que c'est sûr ? demanda le roi.
- C'est sûr, répondit l'homme.
Le roi lui donna une femme. Le mariage fut célébré durant trois jours. Lorsque les invités furent partis, le jeune homme rentra avec son épouse dans leur chambre. Dès qu'ils se couchèrent, le mari tenta de la toucher dans l'obscurité, mais ne trouva rien. Il s'inquiéta. Il se leva et alla voir le père de la mariée. Il lui dit qu'en effet, il avait eu raison. Le génie était venu voler son épouse!
Le matin, il alla trouver un marabout et lui dit : - J'ai épousé une femme et le génie est venu la prendre.
Le marabout regarda les signes et lui dit :
- Le génie, toutes les personnes qu'il a enlevées d'ici, il les a emportées au-delà du fleuve. Si tu peux dépasser le fleuve, tu pourras tuer les génies. Les génies se trouvent dans une antilope-
jument. Dans cette antilope, il y a un kewel. Dans cette petite antilope, il y a un corbeau. Dans ce corbeau, il y a un œuf. Cet œuf, si tu l'écrases, les femmes volées par
le génie vont t'apparaître. Le marabout dit encore :
- L'antilope Koba quitte son logis vers onze heures pour aller boire à la roche qui se trouve dans le fleuve. Louti est son nom.
Le chasseur prit sa gibecière, y mit sa nourriture et partit, accompagné de son chien.
Aussitôt qu'ils furent sortis de la ville, un lion les vit, rugit et courut vers eux. L'homme
s'agenouilla pour tirer, mais le lion lui demanda :
-Que vas-tu faire ?
-On a volé ma femme, je suis à sa recherche; si tu veux m'attaquer, je te tue ! Le lion lui dit : - Partons donc, je m'en vais t'aider. Ce que peut faire un ou deux, trois le feront mieux.
Aussitôt qu'ils furent sortis de la ville, un lion les vit, rugit et courut vers eux. L'homme
s'agenouilla pour tirer, mais le lion lui demanda :
-Que vas-tu faire ?
Ils marchèrent longtemps; un aigle venant on ne sait d'où, plana au-dessus du chasseur. L'homme voulut le tuer, l'aigle dit :
- Que vas-tu faire de moi ?
- On a volé ma femme, je suis à sa recherche. Si tu m'attaques, je te tue tout de suite
L'aigle lui dit :
- Allons-y, je vais t'aider. Ce que deux ou trois peuvent faire, quatre le pourront mieux.
L'homme, avec les trois animaux, chemina dans la brousse. Quand ils arrivèrent au bord du fleuve, le lion creusa un trou profond; ils s'y tapirent, bien cachés.
Vers 11 heures, l'antilope-Koba arriva pour boire au rocher du fleuve. Le lion bondit et tomba sur elle; il l'éventra. La petite antilope sortit du ventre et se mit à courir. Le chien la poursuivit. Ils coururent sur deux longueurs de sas, le chien l'attrapa et l'éventra. Un corbeau en sortit et s'envola. L'aigle le rencontra en l'air et le percuta : le corbeau tomba, l'aigle l'éventra. Un œuf en sortit et roula sur le sol, le chasseur l'écrasa.
Aussitôt on entendit de l'autre rive du fleuve, les cris de nombreuses femmes.
L'homme retourna à la ville pour appeler les habitants. Quand ils vinrent, chacun prit sa pirogue. Le chasseur, lui, monta sur le lion et ils traversèrent le fleuve. Là-bas, il reconnut sa femme, la reprit et rentra avec elle.
Le chasseur n'a pas manqué d' associé tous les animaux qui l'ont aider a vaincre le génie, a la cérémonie organisée par les villageois enbson honneur. #yattra_six
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christophe76460 · 1 year
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PAIN DU JOUR…✍🏻
Matthieu 26 v 41: Veillez et priez, afin que vous ne tombiez pas dans la tentation; l’esprit est bien disposé, mais la chair est faible.
🔥 À manger 🔥
⚛️ Comme je l'ai mentionné dans ma publication précédent : La prière est la clé de tout impossibilités.
⚛️ un adage dit: une bouche fermée est une destinée morte ; c'est en effet ta bouche qui donne une portée à ta destinée.
⚛️ Le matin, pris ; à midi, pris ; dans l'après midi, en soirée, la nuit, faut prendre la peine de prier ; quand tu manges, te lave, dors ou te réveilles pris;
⚛️ Cultives une vie de prière et crois moi tu seras épargné de bcp de malheurs, de bcp de catastrophes.
⚛️ La prière éveille ton esprit, elle te sanctifie, te met permanament en feu, elle éloigne de toi toutes pensées charnelles, toutes formes de convoitises...
⚛️ Vous serez tentez de péché par tout les manières ; mais la prière vous donne assez de puissance pour vaincre tout les tentations.
⚛️ Un Homme qui n'a pas une vie de prière stable est exposé à tout forme de péché : la masturbation, la colère, le mensonge...tu dois veiller dans la prière.
⚛️ Frères, nous les enfants de Dieu ne fréquentons pas les marabouts, l'homme non plus n'est pas un secours fiable ; lorsque nous sommes abattus, faibles, peinés, malheureux... Notre seul voix de secours c'est Dieu
⚛️ Si nous prions en regardant qu'à lui, c'est parceque nous savons que se n'est qu'en lui seul que nous pouvons être consolé, soulagé, fortifié, chargé par sa puissance pour de nouvelles combats; nous savons qu'il peut nous accorder la victoire sur des situations accablante.
⚛️ Un Homme qui ne prit pas mais toujours à chercher des raccourcis, manque de foi envers Dieu et cela est un péché.
⚛️ Un Homme qui ne prit pas est fier de sa situation, de sa condition ; Dieu respecte l'intimité ; il ne viendra pas dans ta vie si tu ne lui fait pas appel
⚛️ Une remarque que j'ai déploré : c'est que bcp ne cris à Dieu que pendant les temps de malheurs; quand tout va bien, personne ne cherche Dieu ; c'est quand les choses vont de mal en pire, que bcp cherchent Dieu
⚛️ Dieu n'est pas un marabout ; changes cet façon de faire et apprends à partager dans le secret avec ton Dieu tes joies, tes sentiments, tes peines, tes souffrances...
⚛️ Un conseil : avant la prière, si tu manques de puissance pour te lancer, suits les adorations et stp pas de récitation dans la prière, Ouvres ton cœur juste à Dieu.
🔥Sois béni 🔥
%Brice De Jésus%
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PRIÈRE POUR RETROUVER L'AMOUR PERDU CONTACTER MOI SUR WHATSAPP OU SUR SIGNAL: 00229 691 02375
Ce Psaume permet de retrouver l’union perdue en amour. Après le départ du copain, de l’amant ou de l’époux, on doit le réciter à l’heure de l’angélus (c’est à dire à midi) face à une église. A la fin du Psaume, on peut réciter à nouveau le verset 42:02 et le verset 42:12 du Psaume et enfin allumer un cierge en l’honneur. PSAUME 42 Au chef des chantres. Cantique des fils de Coré. Comme une biche soupire après des courants d'eau, Ainsi mon âme soupire après toi, ô Dieu! Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant: Quand irai-je et paraîtrai-je devant la face de Dieu? Mes larmes sont ma nourriture jour et nuit, Pendant qu'on me dit sans cesse: Où est ton Dieu? Je me rappelle avec effusion de cœur Quand je marchais entouré de la foule, Et que je m'avançais à sa tête vers la maison de Dieu, Au milieu des cris de joie et des actions de grâces D'une multitude en fête. Pourquoi t'abats-tu, mon âme, et gémis-tu au dedans de moi? Espère en Dieu, car je le louerai encore; Il est mon salut et mon Dieu. Mon âme est abattue au dedans de moi: Aussi c'est à toi que je pense, depuis le pays du Jourdain, Depuis l'Hermon, depuis la montagne de Mitsear. Un flot appelle un autre flot au bruit de tes ondées; Toutes tes vagues et tous tes flots passent sur moi. Le jour, l'Éternel m'accordait sa grâce; La nuit, je chantais ses louanges, J'adressais une prière au Dieu de ma vie. Je dis à Dieu, mon rocher: Pourquoi m'oublies-tu? Pourquoi dois-je marcher dans la tristesse, Sous l'oppression de l'ennemi? Mes os se brisent quand mes persécuteurs m'outragent, En me disant sans cesse: Où est ton Dieu? Pourquoi t'abats-tu, mon âme, et gémis-tu au dedans de moi? Espère en Dieu, car je le louerai encore; Il est mon salut et mon Dieu. NB: Lorsque le besoin est urgent, l'accompagnement d'un médium voyant est beaucoup plus conseillé. Contacter le Médium Voyant Marabout spécialiste des rituels d'amour, d'argent et de déblocage. Wossou Dogboli Contactez moi sur WhatsApp ou sur télégram 00229 691 02375 Que les bénédictions soient...
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PRIÈRE POUR RETROUVER L'AMOUR PERDU CONTACTER MOI SUR WHATSAPP OU SUR SIGNAL: 00229 691 02375
Ce Psaume permet de retrouver l’union perdue en amour. Après le départ du copain, de l’amant ou de l’époux, on doit le réciter à l’heure de l’angélus (c’est à dire à midi) face à une église. A la fin du Psaume, on peut réciter à nouveau le verset 42:02 et le verset 42:12 du Psaume et enfin allumer un cierge en l’honneur. PSAUME 42 Au chef des chantres. Cantique des fils de Coré. Comme une biche soupire après des courants d'eau, Ainsi mon âme soupire après toi, ô Dieu! Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant: Quand irai-je et paraîtrai-je devant la face de Dieu? Mes larmes sont ma nourriture jour et nuit, Pendant qu'on me dit sans cesse: Où est ton Dieu? Je me rappelle avec effusion de cœur Quand je marchais entouré de la foule, Et que je m'avançais à sa tête vers la maison de Dieu, Au milieu des cris de joie et des actions de grâces D'une multitude en fête. Pourquoi t'abats-tu, mon âme, et gémis-tu au dedans de moi? Espère en Dieu, car je le louerai encore; Il est mon salut et mon Dieu. Mon âme est abattue au dedans de moi: Aussi c'est à toi que je pense, depuis le pays du Jourdain, Depuis l'Hermon, depuis la montagne de Mitsear. Un flot appelle un autre flot au bruit de tes ondées; Toutes tes vagues et tous tes flots passent sur moi. Le jour, l'Éternel m'accordait sa grâce; La nuit, je chantais ses louanges, J'adressais une prière au Dieu de ma vie. Je dis à Dieu, mon rocher: Pourquoi m'oublies-tu? Pourquoi dois-je marcher dans la tristesse, Sous l'oppression de l'ennemi? Mes os se brisent quand mes persécuteurs m'outragent, En me disant sans cesse: Où est ton Dieu? Pourquoi t'abats-tu, mon âme, et gémis-tu au dedans de moi? Espère en Dieu, car je le louerai encore; Il est mon salut et mon Dieu. NB: Lorsque le besoin est urgent, l'accompagnement d'un médium voyant est beaucoup plus conseillé. Contacter le Médium Voyant Marabout spécialiste des rituels d'amour, d'argent et de déblocage. Wossou Dogboli Contactez moi sur WhatsApp ou sur télégram 00229 691 02375 Que les bénédictions soient…
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tahwan · 3 years
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À la fin tu es las de ce monde ancien
Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin
Tu en as assez de vivre dans l’antiquité grecque et romaine
Ici même les automobiles ont l’air d’être anciennes La religion seule est restée toute neuve la religion Est restée simple comme les hangars de Port-Aviation
Seul en Europe tu n’es pas antique ô Christianisme L’Européen le plus moderne c’est vous Pape Pie X Et toi que les fenêtres observent la honte te retient D’entrer dans une église et de t’y confesser ce matin Tu lis les prospectus les catalogues les affiches qui chantent tout haut
Voilà la poésie ce matin et pour la prose il y a les journaux Il y a les livraisons à 25 centimes pleines d’aventures policières Portraits des grands hommes et mille titres divers
J’ai vu ce matin une jolie rue dont j’ai oublié le nom Neuve et propre du soleil elle était le clairon Les directeurs les ouvriers et les belles sténo-dactylographes Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour y passent Le matin par trois fois la sirène y gémit Une cloche rageuse y aboie vers midi Les inscriptions des enseignes et des murailles Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent J’aime la grâce de cette rue industrielle Située à Paris entre la rue Aumont-Thiéville et l’avenue des Ternes
Voilà la jeune rue et tu n’es encore qu’un petit enfant Ta mère ne t’habille que de bleu et de blanc Tu es très pieux et avec le plus ancien de tes camarades René Dalize Vous n’aimez rien tant que les pompes de l’Église Il est neuf heures le gaz est baissé tout bleu vous sortez du dortoir en cachette
Vous priez toute la nuit dans la chapelle du collège Tandis qu’éternelle et adorable profondeur améthyste Tourne à jamais la flamboyante gloire du Christ C’est le beau lys que tous nous cultivons C’est la torche aux cheveux roux que n’éteint pas le vent C’est le fils pâle et vermeil de la douloureuse mère C’est l’arbre toujours touffu de toutes les prières C’est la double potence de l’honneur et de l’éternité C’est l’étoile à six branches C’est Dieu qui meurt le vendredi et ressuscite le dimanche C’est le Christ qui monte au ciel mieux que les aviateurs Il détient le record du monde pour la hauteur
Pupille Christ de l’œil Vingtième pupille des siècle il sait y faire Et changé en oiseau ce siècle comme Jésus monte dans l’air Les diables dans les abîmes lèvent la tête pour le regarder Ils disent qu’il imite Simon Mage en Judée Ils crient s’il sait voler qu’on l’appelle voleur Les anges voltigent autour du joli voltigeur Icare Enoch Elie Apollonius de Thyane Flottent autour du premier aéroplane Ils s’écartent parfois pour laisser passer ceux que
transporte la Sainte-Eucharistie Ces prêtre qui montent éternellement élevant l’hostie L’avion se pose enfin sans refermer les ailes Le ciel s’emplit alors de millions d’hirondelles A tire-d’aile viennent les corbeaux les faucons les hiboux D’Afrique arrivent les ibis les flamants les marabouts L’oiseau Roc célébré par les conteurs et les poètes Plane tenant dans les serres le crâne d’Adam la première tête L’aigle fond de l’horizon en poussant un grand cri Et d’Amérique vient le petit colibri De Chine sont venus les pihis longs et souples Qui n’ont qu’une seule aile et qui volent par couple Puis voici la colombe esprit immaculé Qu’escortent l’oiseau-lyre et le paon ocellé Le phénix ce bûcher qui soi-même s’engendre Un instant voile tout de son ardente cendre Les sirènes laissant les périlleux détroits Arrivent en chantant bellement toutes trois Et tous aigle phénix et pihis de la Chine Fraternisent avec la volante machine
Maintenant tu marches dans Paris tout seul parmi la foule
Des troupeaux d’autobus mugissants près de toi roulent L’angoisse de l’amour te serre le gosier Comme si tu ne devais jamais plus être aimé Si tu vivais dans l’ancien temps tu entrerais dans un monastère Vous avez honte quand vous vous surprenez à dire une prière Tu te moques de toi et comme le feu de l’Enfer ton rire pétille Les étincelles de ton rire dorent le fond de ta vie C’est un tableau pendu dans un sombre musée Et quelquefois tu vas le regarder de près
Aujourd’hui tu marches dans Paris les femmes sont ensanglantées C’était et je voudrais ne pas m’en souvenir c’était au déclin de la beauté
Entourée de flammes ferventes Notre-Dame m’a regardé à Chartres Le sang de votre Sacré Cœur m’a inondé à Montmartre Je suis malade d’ouïr les paroles bienheureuses L’amour dont je souffre est une maladie honteuse Et l’image qui te possède te fait survivre dans l’insomnie et dans l’angoisse
C’est toujours près de toi cette image qui passe
Maintenant tu es au bord de la Méditerranée Sous les citronniers qui sont en fleur toute l’année Avec tes amis tu te promènes en barque L’un est Nissard il y a un Mentonasque et deux Turbiasques Nous regardons avec effroi les poulpes des profondeurs Et parmi les algues nagent les poissons images du Sauveur
Tu es dans le jardin d’une auberge aux environs de Prague Tu te sens tout heureux une rose est sur la table Et tu observes au lieux d’écrire ton conte en prose La cétoine qui dort dans le cœur de la rose
Épouvanté tu te vois dessiné dans les agates de Saint-Vit Tu étais triste à mourir le jour où tu t’y vis Tu ressembles au Lazare affolé par le jour Les aiguilles de l’horloge du quartier juif vont à rebours Et tu recules aussi dans ta vie lentement En montant au Hradchin et le soir en écoutant Dans les tavernes chanter des chansons tchèques
Te voici à Marseille au milieu des Pastèques
Te voici à Coblence à l’hôtel du Géant
Te voici à Rome assis sous un néflier du Japon
Te voici à Amsterdam avec une jeune fille que tu trouves belle et qui est laide Elle doit se marier avec un étudiant de Leyde On y loue des chambres en latin Cubicula locanda Je m’en souviens j’y ai passé trois jours et autant à Gouda
Tu es à Paris chez le juge d’instruction Comme un criminel on te met en état d’arrestation
Tu as fait de douloureux et de joyeux voyages Avant de t’apercevoir du mensonge et de l’âge Tu as souffert de l’amour à vingt et à trente ans J’ai vécu comme un fou et j’ai perdu mon temps Tu n’oses plus regarder tes mains et à tous moments je voudrais sangloter Sur toi sur celle que j’aime sur tout ce qui t’a épouvanté
Tu regardes les yeux pleins de larmes ces pauvres émigrants
Ils croient en Dieu ils prient les femmes allaitent des enfants Ils emplissent de leur odeur le hall de la gare Saint-Lazare Ils ont foi dans leur étoile comme les rois-mages Ils espèrent gagner de l’argent dans l’Argentine Et revenir dans leur pays après avoir fait fortune Une famille transporte un édredon rouge comme vous transportez votre cœur Cet édredon et nos rêves sont aussi irréels Quelques-uns de ces émigrants restent ici et se logent Rue des Rosiers ou rue des Écouffes dans des bouges Je les ai vus souvent le soir ils prennent l’air dans la rue Et se déplacent rarement comme les pièces aux échecs Il y a surtout des Juifs leurs femmes portent perruque Elles restent assises exsangues au fond des boutiques
Tu es debout devant le zinc d’un bar crapuleux Tu prends un café à deux sous parmi les malheureux
Tu es la nuit dans un grand restaurant
Ces femmes ne sont pas méchantes elles ont des soucis cependant Toutes même la plus laide a fait souffrir son amant
Elle est la fille d’un sergent de ville de Jersey
Ses mains que je n’avais pas vues sont dures et gercées
J’ai une pitié immense pour les coutures de son ventre
J’humilie maintenant à une pauvre fille au rire horrible ma bouche
Tu es seul le matin va venir Les laitiers font tinter leurs bidons dans les rues
La nuit s’éloigne ainsi qu’une belle Métive C’est Ferdine la fausse ou Léa l’attentive
Et tu bois cet alcool brûlant comme ta vie Ta vie que tu bois comme une eau-de-vie
Tu marches vers Auteuil tu veux aller chez toi à pied Dormir parmi tes fétiches d’Océanie et de Guinée Ils sont des Christ d’une autre forme et d’une autre croyance Ce sont les Christ inférieurs des obscures espérances
Adieu Adieu
Soleil cou coupé
Zone de Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913 English trans
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sylvieat · 4 years
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Du Prince charmant au chacal puant : la couverture ! Vous nous l'avez demandée, réclamée à grands cris : voici donc en avant-première mondiale (si, si !) la couverture de notre BD à paraître - si tout va bien - début juin aux éditions Marabout, avec Camille Burger aux pinceaux !
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grandsilence · 7 years
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Rencontre avec Diaryatou Bah, excisée à huit ans et ambassadrice de l'association “Excision, parlons-en”.
“Si je me bats contre l'excision, c'est aussi pour ma petite Aïcha. Mais je dois rester vigilante. Il suffit qu'on parte en vacances en Guinée, que je la laisse une minute sans surveillance pour qu'elle soit excisée”, raconte Diaryatou Bah d'une voix douce.
Excisée à l'âge de 8 ans près d'un village de Guinée, Diaryatou a été mariée à un quadragénaire, cinq ans plus tard. Elle me raconte son histoire autour d'une tasse de thé à la menthe. Nous sommes chez elle, à Montreuil (Ile-de-France). Des jouets d'enfants sont rangés dans un coin du salon, au pied de la table à manger.
Sa fille Aïcha, coiffée de cinq petites couettes, nous regarde, l'air perplexe. Née il y a un an et demi, elle ignore tout des épreuves que sa mère a dû traverser.
L'ÉTÉ, PÉRIODE PROPICE
A 31 ans, Diaryatou Bah est l'ambassadrice d’“Excision, parlons-en”. Au début du mois de juillet, l'association a lancé une campagne contre l'excision, menée en corrélation avec le Secrétariat d'Etat en charge de l'égalité des femmes et des hommes.
Une vidéo publiée sur Internet met en garde les jeunes filles. L'été est une période particulièrement propice à cette pratique ancestrale.
“L'excision, c'est l'ablation du clitoris, parfois des petites lèvres, voire même des grandes lèvres”, explique l'Unicef dans une infographie.
“L'idée de cette campagne est venue parce qu'on s'est rendu compte que l'on s'adressait peu aux jeunes filles, alors qu'elles sont les premières concernées”, relate Diaryatou.
En 2016, l'Unicef et l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) comptabilisent plus de 200 millions de femmes victimes d'excision dans le monde, 500 000 en Europe et 50 000 en France. Toujours selon les mêmes sources, 30 millions de jeunes filles pourraient l'être ces dix prochaines années dans le monde.
La Guinée, le pays d'origine de Diaryatou, est le deuxième pays avec le plus haut taux de prévalence (97%) derrière la Somalie (98%) et devant Djibouti (93%).
Les conséquences physiques et psychologiques sont graves. Certaines femmes ont leurs règles pendant une semaine voire deux. D'autres ont des rapports intimes très douloureux. Les fausses couches ne sont pas rares. La stérilité non plus.
“Dans cette lutte, j'appelle tous les hommes à nous rejoindre. Il faut qu'il y ait une prise de conscience de la part des hommes, des femmes, des enfants”.
INTERNET PERMET LES QUESTIONS
Pour Diaryatou, “Internet peut changer les choses”. La Guinéenne reçoit une multitude de messages de jeunes filles sur la page Facebook de son association “Espoirs et combats de femmes”.
Une association qu'elle a fondé en 2006.
“Grâce à Internet, les jeunes filles peuvent plus facilement s'identifier à mon parcours. Elles me demandent quoi faire pour éviter l'excision.”
Si certaines lui demandent conseil, d'autres l'insultent : “Tu es lesbienne”, “le blanc t'a payé pour raconter ces bêtises”, “tu ne respectes pas notre culture”. Mais pour elle, ces injures permettent d'ouvrir le débat.
“Mon témoignage dérange. Cette vidéo dérange. Je dérange ma famille. Je dérange les intégristes. Je dérange les traditionalistes. Mais ils sont ignorants. C'est à moi de leur expliquer. Et tant mieux si Internet leur permet de se questionner”.
DES FEUILLES SUR LE VISAGE
C'est à Sakilé, un village “loin de la capitale”, en Guinée, que Diaryatou passe une première partie de son enfance. Elle est élevée par sa grand-mère maternelle. Un matin, “une sorcière avec de gros couteaux” se présente à leur case. Diaryatou, sa grand-mère et la vieille dame marchent toutes les trois vers la savane.
“L'exciseuse m'a allongé par terre et a couvert mon visage de feuilles fraîches. Je ne voyais plus rien. Je ne savais pas ce qui allait m'arriver. Je n'oublierai jamais le cri que j'ai poussé ce jour-là.”
Diaryatou n'a que 8 ans. Sa grand-mère la soigne avec des remèdes naturels pendant un mois. Par chance, la petite fille n'a pas d'infection.
“Etre excisée, c'est être confrontée à l'inconnu, au mariage forcé, au viol.”
L'excision est une première étape. Le mariage est la suivante, poursuit-elle. A la mort de sa grand-mère, Diaryatou rejoint son père, sa mère, les trois autres épouses de son père et ses 32 frères et soeurs, à Conakry.
Ils vivent tous dans une immense maison, en plein coeur de la ville. Elle a 10 ans.
“Un jour, je marchais dans les escaliers et un homme venu rendre visite à mon père m'a dit : “je vais te marier”. Je pensais qu'il rigolait.“
BATTUE POUR UN RIEN
Mais Ousam, de 30 ans son aîné, ne plaisante pas. Habillé à l'occidentale, il vit en Hollande, “travaille pour l'Union européenne” et lui promet une belle vie. Sous la pression familiale - “ta vie sera meilleure là-bas”, “tu pourras étudier en Europe”, “c'est un homme sérieux” -, Diaryatou finit par accepter.
“J'avais 13 ans, je ne savais pas ce qu'était le mariage, Mes parents m'ont dit de l'épouser, je les ai écoutés.”
L'arrivée à Amsterdam est brutale. Dès les premiers jours, son mari exige qu'ils aient des rapports intimes. La jeune fille lutte pendant plusieurs jours puis finit par céder. Elle souffre affreusement.
“Il m'a fait croire que je n'étais pas vierge. Il a menacé de le raconter à mes parents et de me renvoyer chez eux. Ça aurait été la honte pour toute la famille, ma mère aurait pu être répudiée. Bien-sûr, c'était un mensonge mais je le croyais.”
Alors Diaryatou se tait, baisse les yeux et amasse les coups sans broncher. S'en suit une longue descente aux enfers.
“Il me battait pour n'importe quelle raison. Quand je brûlais le riz ou que j'essayais de me débattre par exemple”.
Diaryatou devient progressivement l'esclave domestique et sexuelle de son époux. Parallèlement, elle découvre les mensonges de ce mari “fou et violent” : c'est un marabout sans papiers. Se confier à sa mère est inutile.
“Tu dois écouter ton mari”, lui répond-t-elle constamment au téléphone.
LE DÉCLIC EN FRANCE
Trois ans et deux fausses couches plus tard, le “couple” s'envole pour la France et s'installe aux Lilas “dans un 15m2 où il n'y avait pas d'eau chaude”.
Après une troisième fausse couche, son mari lui annonce qu'il part deux mois en Afrique, “pour la naissance du fils d'une de ses femmes”. Il lui laisse 100 euros.
Diaryatou se retrouve seule, sans papiers, avec à peine de quoi manger. Un soir, elle allume la télévision, “comme tous les soirs” et à l'écran, une femme battue raconte son histoire. Une histoire similaire à celle de la jeune guinéenne.
“J'ai appris l'existence d'assistances sociales et d'associations. Je ne savais même pas que des gens pouvaient aider des femmes dans ma situation”.
Diaryatou a un “déclic”. Elle frappe à la porte de sa voisine Corosa - avec qui elle s'entend bien - et lui demande où peut elle trouver des “assistantes (sociales)”. La voisine lui indique le chemin de la mairie. “C'était juste à côté”, se rappelle Diaryatou.
La jeune fille alors âgée de 17 ans et demi raconte toutes ses péripéties à Hélène, une assistance sociale. Problème : son acte de naissance se trouve en Guinée. Elle demande donc à son mari de le lui envoyer “pour s'inscrire à l'école”. Entre temps, elle est suivie par une psychologue, apprend le français et rencontre les membres de l'association de femmes battues “Voix d'Elles Rebelles”, à Saint-Denis. Nous sommes en décembre. Elle a pris la décision de quitter son mari.
“Quand il est revenu, je lui ai dit que je le quittais. Il a sorti sa ceinture, m'a collé contre le mur, comme il avait l'habitude de le faire. Là, je lui ai dit que j'étais suivie par plusieurs associations et qu'il risquait 20 ans de prison. Ce n'était pas vrai. Mais il m'a cru. Il a pris un sac poubelle, a mis le peu d'affaires que j'avais dedans. Et il m'a jeté à la rue.”
“ON M'A VOLÉ MON ENFANCE”
Pendant six mois, Diaryatou dort dans le métro ou dans des cabines téléphoniques. Parfois, elle trouve une place dans un centre d'hébergement. Après six mois de galères, Diaryatou perçoit enfin l'Aide sociale à l'enfance et ce, jusqu'à ses 21 ans. Logée par l'Etat français, elle apprend à lire et à écrire. Puis elle décide de retracer son histoire dans un livre. “On m'a volé mon enfance” a été publié en 2006.
“Tout commence avec l'excision. Mon histoire, c'est celle de milliers de femmes.”
Alors pour mettre fin à cette pratique ancestrale, Diaryatou “qui n'en veut à personne”, tient son rôle d'ambassadrice à coeur. L'an prochain, l'association “Excision, parlons-en” se rendra en Guinée et dans d'autres pays d'Afrique afin de sensibiliser la population sur place.
“J'aimerais dire à toutes les jeunes filles que l'on peut être libre. J'aimerais leur apprendre la liberté de choisir parce que le mot “choix” n'existe pas là-bas. C'est un schéma qui se répète de génération en génération, et qui se répètera tant qu'on ne le brisera pas. Il est temps que ça s'arrête”.
En parallèle, Diaryatou travaille tous les jours dans un centre d'insertion sociale. Elle vit avec sa fille Aïcha dans un appartement, à Montreuil. Son compagnon lui, réside à Londres. L'envie de faire un enfant s'est “naturellement” imposé à eux, malgré une peur persistante “tout au long de la grossesse”. La trentenaire accouche finalement de sa fille sans aucune complication.
“Je raconterai mon histoire à Aïcha dès qu'elle sera en âge de comprendre. Je ne lui cacherai rien.”
Son conjoint l'encourage à se tourner vers la chirurgie réparatrice. Mais pour le moment, Diaryatou n'est pas allée au bout de ses démarches.
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rentscoot · 5 years
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BigFlo et Oli, -M- et Jain surchauffent Valmy pour la soirée inaugurale des Déferlantes 2019
Retour sur la soirée inaugurale des Déferlantes 2019 qui a mis à l’honneur ce qui se fait de mieux sur la scène française.
La chanson française a-t-elle de quoi rivaliser avec ce qui se fait de mieux du côté de l’industrie musicale anglo-saxonne ? De prime abord, on aimerait répondre par la négative. Mais cette première soirée des Déferlantes nous a fait semer le doute. On vous explique.
-M- le marabout
Il est arrivé tout seul, accompagné  par les poursuites, sa guitare en main. Sans lunettes lumineuses, sans sa perruque légendaire, juste une grande veste noire et blanche. Sur les écrans géants, les images en noir et blanc plongent les spectateurs dans une drôle d’ambiance. Les trois premiers accords de Mama Sam suffisent à faire chavirer Valmy. Le public entre dans la galaxie -M-. Comme un sorcier, il joue avec son pédalier et réenchante ses propres compositions. Une ambiance poétique, où la scénographie composée d’un écran géant en forme « M » arrive à captiver Valmy. Mais un seul instrument peut-il suffire au public des Déferlantes ? Non. Alors Matthieu Chedid fait rentrer ses musiciens électroniques. Des batteries, un piano, des percussions, où la baguette est reliée à un ordinateur. Un orchestre programmé, du « rock algorithmique ».
« -M-, je suis pas forcément fan mais c’est un bon zicos », évalue un festivalier quelque peu entamé par la chaleur. Son analyse est peut-être troublée, mais elle est loin d’être fausse. Il enchaîne les riffs, les solos et va montrer son talent à tout Valmy en s’accoudant sur les barrières de la fosse. La fosse lève les bras et se déhanche. Jusqu’au titre final Machistador, où le patron accueille, sur sa scène, la relève. Jain et BigFlo & Oli viennent improviser sur le tempo du tube. Valmy vacille. La tête d’affiche s’en va en parlant de partage entre les artistes. Ce vendredi soir, Matthieur Chhedid aura bien partagé toutes les facettes de -M-.
BigFlo et Oli en famille
Dire qu’ils étaient attendus serait un euphémisme. Dans la fosse, des jeunes – beaucoup  de jeunes – avec des panneaux #TeamToulouse, et même avec des photos des deux rappeurs. BigFlo & Oli n’avaient pas mis les pieds à Valmy depuis leur ascension fulgurante. Une occasion de mettre le paquet. Une maisonnette qui trône au milieu de la scène, de grands panneaux qui entourent leur écran géant. Après une introduction où Jamel Debbouze, Michel Drucker et même Will Smith donnent des conseils aux Toulousains pour réussir leur show, les premières punchlines sont balancées.
Des fumigènes, des étincelles, BigFlo et Oli veulent chouchouter le public. Qui en redemande et se voit chanter en espagnol quand le père de la fratrie débarque sur la chanson Papa. Une tension jusqu’à la chanson finale, produite avec le DJ Petit Biscuit. Jusqu’à la fusion totale.
Jain, l’histoire d’amour avec les Déferlantes continue
C’est – déjà – sa troisième prestation à Valmy. En l’espace de quatre ans. Blasé, le public des Déferlantes ? Pas le moins du monde. Vêtue de sa désormais emblématique combinaison bleue, Jain a ensorcelé le public en un rien de temps. Dès la deuxième chanson, issue de son dernier album de surcroît, les festivaliers crient et sautent en harmonie.
Comme d’habitude, la Française n’utilise que son « pad magique », où elle diffuse en boucle les rythmiques et les chœurs. Son sourire ne quitte quasiment jamais son visage, et enchaîne sur une setlist qui devient de plus en plus solide au fil du temps. La scénographie, très épurée mais efficace, permet à  la chanteuse de ne pas se sentir trop seule sur une scène sans musiciens.
La force de Jain, c’est que le public soit partie intégrante du concert. Elle joue avec, utilise les cris des fans pour en faire des chansons. Même si, parfois, le surplus de partage avec les spectateurs peut couper le rythme du show. Quand elle se rend dans le public, elle peine à faire chanter un à un les festivaliers. Mais qu’importe, dès les premières notes de Makeba le public des Déferlantes lui pardonne tout.
Début en douceur, un final electro et électrique
Si ces trois mastodontes de la chanson française auraient suffi à une grande majorité des personnes présentes ce vendredi, les autres artistes présents se sont plutôt bien défendus. Delgres pour commencer, qui a ouvert le bal cette année. Le groupe, avec sa guitare rythmique et sa batterie d’enfer, a fait le job en proposant une belle session au public qui venait de s’installer.
De son côté, Dadju a mis un peu plus de temps pour conquérir le cœur des festivaliers. Le frère de Gims, qui n’a pas hésité à distribuer moult cadeaux aux gens du premier rang, a peut-être pâti de la chaleur. Pas forcément aidé par le son qui flottait – ce qui rendait sa voix quasiment inaudible – Dadju s’est défendu tant bien que mal pour emporter la foule. Le jeune public présent près des barrières s’en est bien sorti pour soutenir le jeune rappeur. 
En guise de final, Feder a sorti l’artillerie lourde. À grand renfort d’écran géant et de lumière, le prodige de l’electro qui travaille aujourd’hui avec Mylène Farmer – s’il vous plaît – a envoyé du lourd pour ambiancer les derniers festivaliers. Car ils n’étaient plus trop nombreux au moment d’applaudir Feder, un peu trop transcendés par la prestation de -M-. 
Si quelqu’un avait encore des doutes sur la qualité des artistes français du moment, il y avait de quoi les effacer avec cette soirée.
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christophe76460 · 2 years
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Ils entrèrent à Capharnaüm. Aussitôt, le jour du sabbat, Jésus se rendit à la synagogue, et là, il enseignait. On était frappé par son enseignement, car il enseignait en homme qui a autorité, et non pas comme les scribes. Or, il y avait dans leur synagogue un homme tourmenté par un esprit impur, qui se mit à crier : « Que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ? Es-tu venu pour nous perdre ? Je sais qui tu es : tu es le Saint de Dieu. » Jésus l’interpella vivement : « Tais-toi ! Sors de cet homme. » L’esprit impur le fit entrer en convulsions, puis, poussant un grand cri, sortit de lui. Ils furent tous frappés de stupeur et se demandaient entre eux : « Qu’est-ce que cela veut dire ? Voilà un enseignement nouveau, donné avec autorité ! Il commande même aux esprits impurs, et ils lui obéissent. » Sa renommée se répandit aussitôt partout, dans toute la région de la Galilée. Mt 1, 21-28
Heureuse année 2023 à vous chers frères et sœurs !
l'Évangile de ce jour nous confirme que le démon ne résiste pas devant Jésus ; tout esprit mauvais fuit devant la Lumière qui est Jésus Lui-même. Si nous sommes réellement attachés au Seigneur et que nous le laissons habiter notre cœur en vérité, aucun esprit mauvais n'aura le courage de venir chercher asile en nous. Mais si nous avons un pied chez les marabouts en même temps, les choses peuvent se compliquer. Il est question de faire pleinement confiance en Dieu en toute circonstance.
Tournons-nous vers "Dieu seul", en qui se trouve le vrai bonheur, tout esprit mauvais fuira à notre présence, et nous deviendrons ainsi des acteurs et actrices de la bienveillance dans nos milieux de vie toujours et partout, car avec Jésus, c'est le bien qui prévaut.
Merci Seigneur d'être Lumière sur ma route. J'AI CONFIANCE EN TOI !🙏🙏🙏
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sylvierf-blog · 7 years
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Nouvelle namibienne
Nouvelle namibienne avril 2017 Cela faisait plusieurs jours que mon pied gauche avait commencé à me gêner jusqu’à progressivement devenir préoccupant: Il était de plus en plus enflé sans que je réussisse à en trouver la cause. Ma marche en était entravée et même si je n’en parlais pas, les autres avait remarqué mon problème. C’est ainsi que Pierre, notre guide s’approcha de moi après le repas pour me proposer de m’amener à minuit rencontrer un marabout de sa connaissance. Expérience unique et à tenter mais comme je craignais qu’il rende responsable un membre du groupe ou de ma famille de mon problème, j’ai préfèré m’abstenir. Je crois en la sorcellerie des africains et ne souhaitait pas voir l’une de ces personnes maraboutée!! J’ ai continué le pied toujours enflé, mais je commençais à comprendre un peu plus ce qui se passait: J’avais été prise par la magie non pas de l’Afrique que je ne connais pas assez mais certainement par celle de la Namibie et ceci dès le début du voyage. Ma marche entravée m’obligeait à faire du sur place car une partie de moi sans aucun doute n’avait aucune envie de quitter ce pays envoûtant. Dès le premier matin, la beauté des paysages sauvages entre désert du Namib et montagnes de Naukflut nous a saisi, nous laissant le souffle coupé. Les couleurs subtiles se succèdent, donnant envie de sortir une boite d’aquarelle pour immortaliser tant de nuances jamais rencontrées et inégalées: Couleurs chaudes et envoutantes qui ont créées une sensation qui ne m’a plus jamais quitté tout au long du séjour. Pourtant la vie semble impossible dans ce plus vieux désert du monde où seuls scorpions, serpents et insectes prolifèrent ainsi que hyènes et chacals dont les cris ont bercé nos nuits. Plus loin nous rencontrerons des zèbres de montagnes et des impalas. Le sable des dunes est tellement chaud suivant l’heure de la journée qu’une personne du groupe a du malheureusement se faire rapatriée, brûlée au deuxième degré et recevoir des greffes de peau. Elle avait tellement envie de ce voyage qu’elle a tenté durant plusieurs jours de dépasser sa douleur , gardant le sourire et ne faisant jamais peser sur le groupe ses difficultés. Elle a véritablement forcé l’admiration de tous. Pierre nous avait prévenu. L’Afrique c’est la chaleur, la poussière et les bestioles. Nous avons poursuivi ensuite notre route passant par la ligne du capricorne et la ville balnéaire de Swakopmund, très marquée architecturallement par la colonisation allemande. Une échappée en mer ( l’océan est froid à cet endroit car des courants remontent de l’antarctique), nous a permis d’échapper à la chaleur des jours précédents et de découvrir des colonies de flamants roses, de pélicans, d’otaries et d’observer les dauphins. Les baleines, ce jour là ,n’étaient pas au rendez -vous. Direction ensuite vers les terres arides recouvertes de savanes ou aux paysages digne de l’apocalypse, restes d’anciens volcans et de forêts pétrifiées du Damaraland. Mais c’est un soir à Okaukuejo que l’enchantement , véritablement , a eu lieu. Les campements et les lodges sont en pleine nature, sécurisés par des clôtures et ce campement jouxtait un point d’eau où les animaux viennent s’abreuver le soir ou tôt le matin. La nuit tombe rapidement dans cette partie du monde et à cette période de l’année et le ciel y est d’une pureté incroyable. Nous avons donc naturellement eu envie , Daniel et moi de profiter d’un beau clair de lune pour aller jusqu’au point d’eau. C’est à cet endroit , qu’une scène époustouflante , suspendue hors du temps, s’est déroulée devant nos yeux incrédules. Un rhinocéros ( il en reste peu) que la lueur de la lune caressait, semblait s’amuser à observer comme Narcisse son reflet dans l’eau. Le tout dans un silence absolu. Emerveillée telle Alice, je restais immobile, touchée et sous l’emprise de l’atmosphère irréelle qui nous entourait, tout droit surgie d’un rêve. Je suis rentrée dans un état second, incapable de m’endormir craignant de perdre ces images enchantées que je tenais à garder gravées et ne jamais oublier. Il me semble que trois liens d’inégale intensité se sont tressés et ont fini entrelacés de sorte que je reste subjuguée par cet inoubliable voyage. Le premier lien , ce sont les paysages si variés, fabuleux spectacles au milieu d’une nature vierge et préservée, qui l’ont tissé. J’en ai évoqué déjà certains plus avant et je vous laisse découvrir les autres sur la vidéo si jointe. Un paysage succède à un autre environnement et ceci en permanence, source d’émerveillements, de découvertes et de surprises toujours renouvelées. La Namibie est grande comme une fois et demie la France, peuplée de seulement deux millions d’habitants. Le tourisme reste peu développé et les 11 ethnies qui l’habitent ont toutes un territoire bien spécifique et surprenant. Nous avons notamment rencontré des Himbas et des Herreros, peuplades qui m’ont suscitée beaucoup de questionnements et de gène sur notre position de voyeurs. Le second lien, à ma grande surprise, a été la découverte des animaux dans toute leur beauté, leur majesté, leur quiétude et qui m’ ont profondément émue, alors que jusqu’à présent le règne animal soit m’effrayait, soit m’ était indifférent. Elephants, girafes, lions, springboks, impalas, bobals, zèbres, suricates, gnous, koudous à Etosha évoluent dans ce magnifique et paisible parc. Le lac salé asséché, le pan, attire aussi de nombreux oiseaux et juste après la saison des pluies, la verdure prédomine et les jeunes antilopes s’ébattent sans crainte. C’est ce sentiment de parfaite liberté, d’animaux coexistants les uns à côté des autres dans toute leur grâce, leur élégance, leur rythme qui a constitué ce puissant second lien et qui s’est renforcé lors de la visite d’autres parcs aux paysages exceptionnels tels ceux de Chobé ou de Mahango où j’ai eu la sensation de parcourir le paradis terrestre. Verdure, eau, espace, les animaux y étaient en nombre et tous arboraient puissance et pelages brillants. Nous avons pu y croiser des oryx, des koudous, des cobes, des girafes et le lent ballet de leur cou, des buffles impressionnants, des éléphants étonnamment gracieux et dansants dans leurs déplacements, des phacochères en pagaille, des autruches, des singes, dont des « bouinboins » comme les appelle Pierre! Nous avons parcouru énormément de kilomètres sans jamais nous ennuyer tant il y a à découvrir, à saisir. Tous les sens sont à l’affut et la fin de la journée nous laisse épuisés mais ravis, conscient d’être tolérés et non l’inverse, par une faune intemporelle. Les oiseaux aussi sont remarquables et très nombreux: Les républicains modestes nommés ensuite républicains sociaux, le go away bird,la cigogne, le marabout, le calao, l’autruche, la pintade, l’aigle, l’outarde et le splendide oiseau bleu dit le rollier. Et puis il y a eu les fleuves avec d’autres paysages, d’autres animaux, les mangoustes, les crocodiles, les hippopotames, les varans bref un inventaire sans fin. d’autres végétations. Sur le fleuve Okavango, notamment la promenade en mokoro (pirogue traditionnelle) nous a entrainés dans des décors superbes et délicats parmi les nénuphars et un coucher de soleil somptueux. C’est sur la rivière Chobé que nous avons connu un autre moment très intense et très touchant, celui du bain de deux éléphants à quelques mètres de nous. Chaque membre de notre groupe a ressenti qu’il assistait à un évènement privilégié. Devant tant de beauté ,les paroles se sont arrêtées, chacun retenant son souffle, bonheur absolu, enfants redevenus, nous observions les deux pachydermes transformés dans ce nouvel élément inattendu , indifférents à notre présence. Les deux éléphants s’ébrouaient et cueillaient avec leur trompe les herbes au fond du fleuve, dont ils sont très friands. Ensuite ils les lavaient et les secouaient avant de les mettre dans leur bouche. Actions répétées sans heurts, communion parfaite entre les bêtes, l’eau et la végétation. De temps en temps, leurs trompes servaient aussi à expulser l’eau ingurgitée ou pour se doucher: A notre grande joie!! Le troisième et dernier lien, qui a contribué à tisser cette jolie corde relève plus de l’humain et a trait à la solidarité rencontrée ou vécue. Solidarité que Pierre, Moïse et Honoré ( les encadrants) ont mis en oeuvre pour s’occuper de nous et faire montre tout du long du voyage. Conduire puis cuisiner, pendant que l’un installait le matériel et qu’un autre encore nous aidait pour notre installation. Solidarité encore lors d’ arrêts évidents pour un Namibien, et combien exceptionnel pour nous européen , de les observer stopper le véhicule pour aider un camionneur en panne ou s’étonner d’une voiture arrêtée sur le bord de la piste et s’assurer que tout va bien. Il est vrai que les enjeux ne sont pas les mêmes! Il y est rapidement question de survie. Même si la Namibie est un état africain riche, certains ont très peu et sûrement ne mangent pas à leur faim. La distribution systématique aux populations locales de nos repas non consommés et préparés en large quantité relevait d’une autre forme de soutien toujours très apprécié. Ainsi, rien n’a été jeté. Nous avons assisté à une surprenante solidarité aussi envers les animaux en difficulté. Nos accompagnateurs, voyant un jeune impala coincé dans un grillage se sont arrêtés , pour le libérer et lui permettre de reprendre sa course et de rejoindre son groupe. Mais aussi solidarité entre nous. Seul, monter et démonter sa tente aurait pu devenir une épreuve mais avec la force de notre petite équipe c’est presque devenu un jeu. Ces moments privilégiés , si proche de la nature, nous ont rapprochés et ont permis de vrais échanges. Merci à Marie et Patrick toujours fiables et fidèles en amitié. A Nancy et Alain, nos nouveaux amis que nous avons eu la chance de rencontrer dans de si belles conditions. Merci à Pierre dont l’humour, la joie communicative emprunte de la philosophie africaine nous a séduit. Merci à Odile et Pascal que nous aimerions revoir et quant au reste du groupe, la volonté évidente d’éviter les tensions et de vivre aussi de beaux moments partagés laisse à tous le sentiment d’avoir participé à un voyage exceptionnel et inoubliable. Sylvie Roux-Féron
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songedunenuitdete · 8 years
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Aujourd’hui découvrons les sorties de Mars d’une maison d’édition que j’aime beaucoup : Marabout ! Ce n’est pas forcément celle à laquelle on pense en premier pour les romans ou les BD car elle est plus souvent associée aux livres pratiques, bien-être, activités etc, ce qui est vraiment dommage car elle publie aussi des petites pépites littéraires ! Voyons ça ! 
⭐ Les titres en couvertures
⭐ Les romans
Une enquête de Beth Huntly, Les disparues de Fleshket’s Close de Anne Beddingfeld
Nouveauté – 01/03/17
Son résumé : 
Automne 1900. La famille Hewes se rend à Edimbourg pour un héritage et arrive dans une ville traumatisée par des disparitions inexpliquées d’adultes et d’enfants, sans cadavres ni demandes de rançons. Beth rencontre par hasard Fanny Van de Grift, l’épouse de l’écrivain Stevenson, persuadée que le ou les criminels s’inspirent d’un roman de son époux, «Le voleur de cadavres».
Je te vois de Clare Mackintosh
Nouveauté – 22/03/17
Son résumé :
Le jour où Zoe Walker découvre son portrait dans les petites annonces d’un journal londonien, elle décide de mener sa propre enquête. L’image floue n’est accompagnée d’aucune explication, juste d’une adresse Internet et d’un numéro de téléphone. Pour les proches de Zoe, c’est la photo d’une femme qui lui ressemble vaguement, rien de plus. Mais le lendemain et le surlendemain, d’autres visages féminins figurent dans l’encart publicitaire. S’agit-il d’une erreur ? D’une coïncidence ? Ou quelqu’un surveille-t-il leurs moindres faits et gestes ?
Angel after dark, Volume 1 de Kahlen Aymes
Nouveauté – 15/03/17
Son résumé :
Profiler et psycho-clinicienne de son état (l’une des plus brillantes de Chicago), le Dr Angeline Hemming, une jeune femme à la beauté incendiaire, est reconnue pour son sérieux et ses compétences.En échange de publicité au secours des causes humanitaires qu’elle soutient, elle anime une émission radio de questions-réponses avec les auditeurs sur leur vie de couple et leurs relations amoureuses.Alexander Avery, un homme d’affaires aussi séduisant que brillantissime, refuse toute implication sentimentale. Furieux que sa petite amie du moment (avec qui il entretient une relation de convenance) ait appelé Angeline pour vider son sac, il prend à partie l’animatrice, qu’il accuse de donner des conseils bidons. S’ensuit  entre ces deux fortes têtes une bataille d’ego sur tous les plans, intellectuel, émotionnel, sentimental et… sexuel. Commence alors une lutte continuelle et acharnée pour un oui pour un non, chacun s’arc-boutant sur ses convictions qui donnent un sens à leur vie.
⭐ Les Bandes dessinées et romans graphiques
Bla bla queens de Anne Wehr
Nouveauté – 01/03/17
Son résumé : 
Pipo et Pipa, deux Parisiennes névrosées osent tout, essaient tout – sans jamais tenir leurs bonnes résolutions – et commentent tout à travers des tonnes de textos : mode, beauté, culture, vie sexuelle, régime… tout y passe, sans filtre, sans fioriture, avec élégance. Elles se moquent de tout … et surtout d’elles-mêmes.
Le but est atteint : vous souriez, riez des choses les plus futiles mais aussi de certaines, plus graves.
Varsovie, Varsovie : ils vont sauver les archives de l’oubli de Didier Zuili
Nouveauté – 01/03/2017
Son résumé :
Cette fiction prend naissance dans la résistance du ghetto de Varsovie qui aboutira à la révolte d’avril 1943. Elle s’appuie sur l’histoire d’Emmanuel Ringelblum, militant social et politique, homme de sciences qui entrepris la rédaction collective d’un journal, arme de résistance, dissimulé des dans bidons de lait enfouis sous terre. Ces archives, 27 000 pages et documents rassemblés en 1669 dossiers, retrouvés en 1946 et 1950, dites « archives Ringelblum » font aujourd’hui partie du Patrimoine Mondial de l’Unesco. Le personnage central, l’historien Emmanuel Blum, décide de rester à Varsovie bien qu’il ait les moyens de fuir la Pologne ; il veut sauver de la destruction, avec ses amis du collectif Oyneg Shabbos, des millions de témoignages écrits qui racontent l’histoire des habitants du ghetto. Ils sont traqués par les nazis qui ont appris l’existence du collectif.
Parmi les archives, il y a le journal d’une jeune fille Inge Perlmann qui raconte aussi celle de son ami Jonasz, coursier dans le ghetto qui après avoir sauvé une enfant, devient passeur d’armes……
La complainte du marin moderne de Nick Hayes
Nouveauté – 08/03/2017
Son résumé :
Cette BD est une relecture d’un célèbre poème de Samuel Taylor Coleridge (1772-1834) qui fut l’un des premiers poètes romantiques anglais. Écrite en 1797, La Complainte du vieux marin, fut l’une des toutes premières fables écologiques. Dessiné en 2010, La Complainte du marin moderne  est un roman graphique dont l’action se déroule principalement dans l’Atlantique nord et dont le message résonne comme un cri d’alarme pour sauver les océans de la pollution humaine.
Si le texte de Nick Hayes n’est pas aussi riche que celui de Coleridge, ses illustrations sont à couper le souffle et donnent une dimension quasi sacrée à cet ouvrage. L’histoire de ce jeune divorcé vivant dans une ville polluée et dont la rencontre avec un vieil et étrange marin  va bouleverser sa vie est menée de main de maître par l’auteur. Le rythme de la narration, la poésie des illustrations, la justesse du trait font de cet album un véritable petit chef d’œuvre.
Famille nombreuse de Chadia Chaïbi-Loueslati
Nouveauté – 08/03/2017
Son résumé :
Chadia Chaibi Loueslati signe ici son premier roman graphique.
Elle raconte l’histoire de sa famille et de ses parents, le Daron et Omi, qui ayant quitté la Tunisie, sont venus s’installer en France dans les années 1960. C’est une saga familiale, la découverte d’un pays et de toutes ses bizarreries culturelles et administratives au travers de l’épopée d’une famille immigrée. La ténacité et le courage, l’humour et la chaleur de cette famille nombreuse, le talent de l’auteure font de ce livre une œuvre originale et passionnante.
Alors, certains titres ont-ils retenu votre attention ?? En tout cas je vous conseille fortement de découvrir les romans de Clare Mackintosh, si vous aimez les thrillers à suspense, nul doute que vous adorerez les siens ! J’ai très hâte de lire Je te vois !!
[Article - Lily] De jolis romans et BD chez Marabout pour ce mois-ci ! Dont un nouveau roman de Clare Mackintosh que j'adore !! Aujourd'hui découvrons les sorties de Mars d'une maison d'édition que j'aime beaucoup : Marabout ! Ce n'est pas forcément celle à laquelle on pense en premier pour les romans ou les BD car elle est plus souvent associée aux livres pratiques, bien-être, activités etc, ce qui est vraiment dommage car elle publie aussi des petites pépites littéraires !
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