La patineuse anglaise Jeannette Altwegg se détend en musique dans sa maison de Winterthur (Suisse), dans laquelle elle a vécu de 1947 à 1950.
Quadruple championne de Grande-Bretagne, elle est championne du monde 1951 et championne olympique en 1952.
Wig ha wag, Samain approche... comme chaque année, ce sera le moment de se raconter des histoires de fantômes auprès du feu. Et en Bretagne, aux légendes de l'Ankou, le passeur d'âmes, de sortir du Yeun Elez pour venir s'y faufiler...
L'occasion de vous présenter l'illustration de couverture que j’ai eu le plaisir de réaliser pour le dernier livre d’Erik L’Homme « le Grand Voyage » aux éditions Gallimard Jeunesse :)
Résumé :
"Une légende bretonne raconte qu'à la période d'Halloween le monde des vivants rencontre celui des morts, gardé par le terrible Ankou. Victor, 12 ans, est prêt à tout risquer pour retrouver sa mère disparue. Il entraîne ses amis Fanch et Léonie dans un grand voyage dont personne n'est encore jamais revenu..."
Salut tout le monde qui participez en speak your language day! Comme vous pouvez probablement lire, le français n’est pas ma langue primaire (c’est l’anglais. Je n’ai rien de diversité linguistique 😔 ben, c’est pas vrai, car mon père vient de Sud d’Afrique et je parle un petit peu d’afrikaans, mais vous me comprenez).
J’apprends le français à l’école depuis cinq ans, et aussi ma mère le parle parfois chez-nous parce qu’elle travaille comme traductrice (est-ce que c’est le bon mot?). Quand j’étais petit, j’entendais beaucoup de français chez-nous, en particulier car mes grands-parents avaient une maison en Bretagne où je passais tous les étés. J’ai toujours entendu plus de français que d’afrikaans, ce qui énerve mon père. L’année dernière, j’ai écrit un post en afrikaans pour ce jour. Cet année ce sera le français.
J’ai essayé d’ecriver ce post sans google, alors je m’excuse s’il y a des erreurs (non, je m’excuse qu’il y a des erreurs!).
« Pour des raisons qu’ils ne comprennent pas, en application de décisions prises à leur insu, pour lesquelles ils ne furent jamais consultés, les habitants de Grande-Bretagne se retrouvent étrangers dans leur propre pays. »
Enoch Powell, Discours des fleuves de sang (20 avril 1968)
Human skull candle holder, polished bone finish. This full size replica is handmade from fine, hard plaster of Paris and painted for a weathered appearance, a layer of lacquer is applied to resemble antique polished bone. International shipping from UK, Etsy shop link in bio (and under the photo).
Bougeoir en forme de crâne humain, apparence os poli. Cette réplique grandeur nature est fabriquée à la main en plâtre de Paris fin et dur et peint pour une apparence ancienne, une couche de laque est appliquée pour donner l'apparence d'os poli antique lustré. Envoi mondial à l'origine de Grande Bretagne, lien pour boutique Etsy dans ma bio (et en dessous de la photo).
Vous avez dû le lire dans le journal, mais le protectorat britannique vient de prendre fin et l’Egypte a obtenu son indépendance. Le conflit va enfin s’apaiser. Connaissant Constantin, il doit déjà être en train de préparer son voyage. J’ai cru comprendre que la Grande-Bretagne allait y maintenir une présence, mais je n’en connais pas encore les termes.
[Transcription]
Layan Bahar : Il est déjà tard… Il faut que je retourne travailler, habibti (ma chérie).
Layla Bahar : Déjà ? Mais tu n’es restée qu’une heure…
Layan Bahar : Ne te plains pas. Tu as beaucoup de chances de vivre dans cette grande maison.
Layan Bahar : Tu as l’école, la nourriture, les beaux vêtements, tout ce que tu veux. Sois reconnaissante.
Layla Bahar : Je suis reconnaissante…
Layan Bahar : Tu viendras passer la journée avec moi vendredi.
Layla Bahar : J’ai école le vendredi…
Layan Bahar : Alors tu me rejoindras en sortant de l’école.
Layla Bahar : Maman… Quand est-ce qu’on pourra vivre ensemble à nouveau ?
Layan Bahar : Quand je serai vieille et cassée, tu t’occuperas de moi ?
Layla Bahar : Bien sûr !
Layan Bahar : Bon. Alors en attendant, travaille bien pour devenir une belle dame riche qui pourra me soigner. J’y vais, habibti. Je te vois vendredi.
Dans onze jours, ce mois de juillet si bizarrement commencé va changer de visage, car si tout va bien, mes Eurasiens d’amour se jetteront alors dans mes bras. En attendant, je rêvasse au soleil, bois du thé glacé, me régale de chansons retrouvées de Bob Dylan, comme Life is hard (album « Together through life ») ou Spirit on the water (album «Modern Times », thème de la tournée qui m’avait permis de le voir en 2008 au Zénith de Toulouse). Et puis je lis avec bonheur « Que reviennent ceux qui sont loin », de Pierre Adrian, qui a pour cadre la Bretagne et la grande maison familiale où se croisent en été toutes les générations. Il écrit, et j’applaudis : Août était le mois qui ressemblait le plus à la vie. Aussi, plus loin : Et je songeais qu’il n’y a qu’au mois d’août qu’on est vraiment un enfant. (sous-entendu, libre, en plein air et en mouvement). Et encore : Je ne supportais pas l’idée d’un lieu où je ne reviendrais plus jamais. (...) Et je croyais que toute la vie, il serait possible de courir partout et de revenir. Comment ne pas penser à notre maison familiale, que j’ai contribué à faire vendre alors que je l'avais toujours considérée comme mon ultime refuge. Auparavant, j’ai lu deux bons romans offerts par mon amie J. : « A pied d’œuvre », de Franck Courtès, et « La Société très secrète des marcheurs solitaires », de Rémy Oudghiri, où j'ai pioché de belles citations : La musique est le désir des choses qu’on ignore, signée Gabriel Fauré, ou : Quand on écoute sans regarder, on voit, de Fernando Pessoa. Les nuages filent, héron cendré et grand cormoran s’affrontent sur les eaux paresseuses de la Garonne, les fruits s’énervent d’été, j'attends le retour de la lune et contemple, rassuré, la pile de livres qui m’attendent : « Dans son sillage », roman de Jessica Andrews recommandé par ma fille, dont je suis aveuglément, ou presque, les prescriptions littéraires et musicales ; « Chelsea Girls », récit autobiographique de la poétesse Eileen Myles ; « Les Jaloux », de l’excellent James Lee Burke (86 ans), dont je lis tout ce qui paraît depuis une quinzaine d’années, comme je le faisais avec d'autres vieux compagnons, Charles Bukowski ou Jim Harrison. Je sais, je parle trop, mais pas souvent.
Nancy Clare Cunard, née le 10 mars 1896 à Nevill Holt (Leicestershire) et morte le 16 mars 1965 à Paris, est une écrivaine, rédactrice en chef, éditrice, militante politique, anarchiste et poètesse anglaise.
Née en Grande-Bretagne dans une famille aisée, elle rejette résolument les valeurs familiales et consacre la plus grande partie de sa vie à lutter contre le racisme et le fascisme. Grande collectionneuse d'art africain, elle devient la muse de nombreux écrivains et artistes des années 1920 et 1930, parmi lesquels Wyndham Lewis, Aldous Huxley, Tristan Tzara, Ezra Pound, et Louis Aragon, qui comptent parmi ses amants, ainsi qu'Ernest Hemingway, James Joyce, Constantin Brancusi, Eugene McCown, Langston Hughes, Man Ray et William Carlos Williams.
Dans les dernières années de sa vie, elle souffre de problèmes mentaux et sa santé physique se détériore. Elle meurt à l'hôpital Cochin à l'âge de 69 ans.
Maisons construites en 1934 à Londres, Grande-Bretagne. Architecte MDC Whadwa. Construit par Martin & Company. (Photos onthemarket com ; Chris Watkins, 28 juillet 2024, historicengland org uk). - source Sally Jo.
Opération Chariot : le HMS Campbeltown encastré dans la porte de la forme Joubert du port et de la cale sèche de Saint-Nazaire et sabordé par les marins britanniques - Bataille de l’Atlantique - Saint-Nazaire - France - 28 mars 1942
Opération Chariot : le HMS Campbeltown encastré dans la porte de la forme Joubert du port de Saint-Nazaire avant son explosion - Bataille de l’Atlantique - 28 mars 1942
Dès 1939, la domination militaire de l'Atlantique est un enjeu stratégique déterminant du conflit mondial. Après la défaite de la France, la Grande-Bretagne est tributaire des convois de ravitaillement pour soutenir son économie et son effort de guerre. Quant à l'Allemagne elle impose un blocus maritime pour vaincre son dernier adversaire en Europe. Une stratégie d’attaque en meutes de sous-marins est alors mise en place par l’Amiral Dönitz complété par le déploiement de navires de surfaces lourdement armés et cuirassés.
Pour sa première sortie opérationnelle, le cuirassé Bismarck, a pour mission de déstabiliser la route des convois transatlantiques et coulera le croiseur de bataille HMS Hood, fleuron de la Royal Navy. La marine britannique a dû déployer d’énormes ressources navales et des efforts considérables pour venir à bout du Bismarck avant qu’il ne rejoigne le port de Brest pour réparations.
Dans ce contexte, le sister-ship du Bismarck, le cuirassé Tirpitz, plus grand cuirassée d’Europe à flot stationné en Norvège devient une menace incontournable pour la marine britannique et la sécurité des convois de ravitaillement.
La doctrine maritime de l'époque exigeant la présence d'un port pour effectuer les réparations à proximité des navires qui s’engagent en opération, le seul port de la façade atlantique capable de recevoir le cuirassé est celui de Saint-Nazaire avec sa forme Joubert (Porte-écluse pour accéder au port et cale sèche).
Cet ouvrage a une telle importance stratégique que Winston Churchill décide, au début de l’année 1942, d’en confier la neutralisation aux commandos britanniques sur la base de renseignements fournis par le réseau de résistance « La Confrérie Notre-Dame », commandé par le Colonel Rémy.
Le plan consiste à utiliser un navire-bélier bourré d’explosifs, le destroyer HMS Campbeltdown maquillé en destroyer allemand, contre les portes de l'écluse-caisson et de neutraliser 24 cibles techniques par des commandos à terre. Pour cela une opération de bombardement aérien a pour objectif de distraire les défenses allemandes tandis que le destroyer, 16 vedettes rapides, 1 vedette lance-torpilles et 1 canonnière foncent sur leurs objectifs profitant de l’effet de surprise.
Le destroyer encastré dans la porte de la forme Joubert à 1 h 34 du matin explose quelques heures plus tard à 10 h 30 avec à son bord de nombreux soldats allemands venus l’inspecter.
L’opération fut un succès et la forme Joubert resta inutilisable jusqu’à la fin de la guerre.
Comment reconnaitre la Grande Bretagne le Royaume-Uni l'Angleterre. Ensemble de 3 pays réunis en un seul dont la capitale est Londres. Ces 3 pays sont :
1. Angleterre,
2. Ecosse
3. Pays de Galles.
Lorsque on inclut l'Irlande du Nord à ces 3 pays, ils deviennent le Royaume-Uni (Union de quatre nations)
1. Angleterre,
2. L'Écosse,
3. Pays de Galles, et
4. Irlande du Nord. C'est pourquoi on l'appelle le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord. Les quatre sont considérés comme un seul pays. Londres est sa capitale. Ces quatre nations individuelles ont toutes leur propre capitale respective. L'Écosse, c'est Edimbourg, le Pays de Galles est Cardiff, l’Irlande du Nord, c’est Belfast l'Angleterre, c'est Londres.
La Grande-Bretagne désigne la plus grande île du Royaume-Uni
"Lycanthrope" peinture sur tissu de Jacques Villéglé (1992) à l'exposition "L'Autre Musée, les Trésors d'une Grande Collection d'Art Contemporain" à la Galerie du Faouëdic - en collaboration avec le Frac Bretagne (Fonds Régional d'Art Contemporain) - Lorient, Bretagne, mai 2024.