Tumgik
#yvon surpris
Text
Lorient vs Monaco : Compos probables et pronosctic du 11/01/23
Tumblr media
Lorient vs Monaco se rencontrent au stade du Moustoir lors de la prochaine journée de Ligue 1. Il s'agira d'un match à enjeu avec une place de qualification en Europa Conference à la clé. Les deux équipes chercheront à s'imposer face à un prétendant direct aux places européennes. État de forme des deux équipes Depuis le début de saison, Lorient a surpris tout le monde en marquant des points dans 11 de ses 12 premiers matchs. Leur triomphe 6-0 ce week-end a été la marge de victoire la plus importante en un seul match pour eux depuis qu'ils ont battu Bourg-en-Bresse par le même score lors d'une rencontre de Ligue 2 lors de la saison 2017-18. Mercredi, ce sera la première fois depuis début novembre qu'ils affronteront une équipe du top 5. Lorient a perdu deux de ses trois matches contre ces équipes jusqu'à présent cette saison. Leur record à domicile en Ligue 1 cette saison est de trois victoires, deux nuls et deux défaites. Lire aussi : Qui est Eliesse Ben Seghir ? Portrait du nouveau Kylian Mbappé ! Monaco, quant à lui, a été confronté à une défaite surprise en Coupe de France le week-end dernier. Ils ont perdu contre une équipe de deuxième niveau, leur première élimination à ce stade depuis 2012. Leur défense n'était pas au niveau samedi et c'est quelque chose avec lequel les Monégasques ont eu du mal en Ligue 1 cette saison. Ils ont le troisième plus grand nombre de buts encaissés parmi les équipes actuellement dans la première moitié du tableau. Leur bilan en déplacement en Ligue 1 cette saison est de trois victoires, deux nuls et deux défaites. https://www.youtube.com/watch?v=IK1DOOPYGmA Lorient vs Monaco : Les compos probables Yvon Mvogo sera absent jusqu'à début mars en raison d'une blessure aux ischio-jambiers. Théo Le Bris souffre d'une entorse à la cheville et Julien Laporte pourrait ne pas être disponible avant fin janvier en raison d'une lésion aux ischio-jambiers.  Alexandre Nubel est en tête de la Ligue 1 pour les arrêts avec 68. Embolo de Breel, le meilleur buteur de Monaco, n'a pas marqué lors de ses trois derniers matches à domicile. Tandis qu'Eliesse Ben Seghir est devenu le plus jeune joueur de l'histoire de la Ligue 1 à marquer deux fois lors de son premier match dans l'élite française. Monaco a perdu Benoît Badiashile, qui a signé un contrat de sept ans et demi avec Chelsea. Willem Geubbels pourrait être bientôt disponible malgré une blessure musculaire. De son côté, Kevin Volland pourrait ne pas être de retour avant le milieu du mois en raison d'une blessure aux côtes. Lire aussi : Notes FIFA 23 Ligue1 : Les joueurs les mieux notés ? Voici les compositions de départ possibles : Lorient : Mannone ; Le Goff, Talbi, Matsima, Kalulu ; Boisgard, Abergel ; Cathline, Le Fée, Ouattara ; Moffi. Monaco : Nübel, Vanderson, Disasi, Maripan, Caio Henrique, Camara, Fofana, Golovine, Ben Sehir, Embolo, Ben Yedder. Pronostic et conseil de paris de Lorient vs Monaco Il est clair que Monaco a été en grande forme ces derniers mois en Ligue 1, avec une série de victoires impressionnante. Les Monégasques sont redoutables dans leur capacité à marquer des buts. Cependant, leur défense a été un point faible cette saison, ce qui a conduit à un nombre élevé de buts encaissés. Si Monaco veut continuer à performer, ils devront travailler pour améliorer leur défense. Si les Monégasques parviennent à renforcer leur défense tout en maintenant leur capacité à marquer des buts, ils ne devraient pas voir de mal à s'imposer face à Lorient. Lire aussi : Quel est l'avenir de l'équipe de France après la finale perdue ? En termes de prévisions et de paris pour Lorient-Monaco, les bookmakers donnent légèrement l'avantage à Monaco. Le club de la principauté est favorite pour remporter le match. Néanmoins, Lorient a été solide à domicile cette saison et a une chance de surprendre Monaco s'ils jouent de manière agressive et utilisent leur avantage de jouer devant leur public. Lorient est en bonne forme ces derniers temps, mais n'a pas encore affronté d'équipes redoutables cette année. Leur défense devra faire face à une équipe de Monaco pleine d'options offensives et probablement de mauvaise humeur après leur récente défaite en Coupe de France. Nos pronostiqueurs experts prévoient moins de 3,5 buts dans ce match. ________ Pour retrouver toute l'actu foot, rendez-vous sur notre site web ou sur notre page Twitter. Read the full article
0 notes
zehub · 2 years
Text
Le don du patron de Patagonia est différent de celui d'autres milliardaires 
Un geste philanthropique rare et révolutionnaire. Le mercredi 14 septembre 2022, Yvon Chouinard, le fondateur de Patagonia, a surpris en déclarant que lui, comme ses héritiers, légueraient ​​​​​​son entreprise ainsi que tous les futurs bénéfices de celle-ci
0 notes
reseau-actu · 4 years
Link
Face au rebond spectaculaire de l’épidémie de Covid-19 en France, de nombreux spécialistes pointent les défauts de la stratégie adoptée par le gouvernement. Explications.
Tumblr media
Interrogée le 7 septembre par la présentatrice Jackie Long sur la chaîne de télévision britannique publique Channel 4, l’épidémiologiste Catherine Hill est catégorique : « Ne faites pas ce que les Français sont en train de faire ! » Connue pour le rôle important qu'elle a joué dans l’émergence du scandale du Mediator, la chercheuse multiplie depuis plusieurs semaines les interventions médiatiques, mettant à chaque fois en garde contre une stratégie de lutte contre la Covid-19 qu’elle juge « inefficace » dans l'Hexagone. Un constat qui semble, désormais, de plus en plus partagé.
Car avec 5 000 à 10 000 nouveaux cas recensés quotidiennement, la France doit actuellement faire face à un rebond de l’épidémie que d’autres pays, européens mais pas seulement, ont réussi à éviter. Un bref coup d'œil sur certaines statist iques permettent d’ailleurs de se rendre compte que la situation sanitaire française est désormais comparable, à certains points de vue, à celle des États-Unis, pourtant considéré comme l’un des pays éprouvant le plus de difficultés face à la crise. Au 15 septembre, le pays dirigé par Donald Trump comptait ainsi, en moyenne, 111,6 nouveaux cas de contaminations par million d’habitants, contre contre 126,9 pour la France (même si le nombre de décès causés par le virus reste largement supérieur côté américain).
Courbes de l'évolution du nombre de nouveaux cas recensés par million d'habitants, aux Etats-Unis et en France. © Capture d'écran / Financial Times.
Le taux de positivité (la proportion du nombre de personnes positives par rapport au nombre total de personnes testées) continue, lui aussi, d’augmenter : il atteint 5,4 % ces derniers jours en France, soit un peu plus que celui recensé de l’autre côté de l’Atlantique (environ 5,3 %). Au rang des « mauvais élèves » mondiaux du contrôle de l’épidémie, la France apparaît dorénavant aux côtés d’Israël, de l’Espagne ou encore du Brésil dans les tableaux dressés par les spécialistes du sujet.
Le président du Conseil scientifique lui-même, Jean-François Delfraissy, mettait en garde le gouvernement le 9 septembre dernier : « On peut être faussement rassuré » parce que l’augmentation de la circulation du virus a « peu de retentissement actuel » sur le système de soins, mais il peut y avoir « une augmentation très rapide, exponentielle, dans un deuxième temps », prévenait-il alors. Comment expliquer une telle situation ? Faut-il s’en inquiéter ? Et surtout quelles mesures adopter (ou ajuster) pour éviter que la propagation du virus continue d’augmenter au même rythme ? Décryptage de ces signaux peu rassurants à partir des trois « points-clés » considérés comme cruciaux pour endiguer le coronavirus : « tester », « isoler » et « tracer ».
« Tester » : un dépistage massif mais incohérent
L’un des principaux arguments avancés par l’épidémiologiste Catherine Hill pour justifier ses critiques concerne la stratégie de dépistage adoptée par les autorités françaises. Ou plus exactement « l’absence », selon elle, de stratégie. « La France a très vite annoncé que n’importe qui pourrait venir se faire tester grâce aux tests PCR, explique-t-elle dans son interview à Channel 4. Sauf que c’est cela qui a créé des files d’attente interminables et des délais d’attente rallongés avant d’obtenir son résultat. Nous avons affaire à un virus qui se transmet très rapidement donc, aujourd’hui, la plupart des gens obtiennent le résultat de leur test au moment où ils ne sont peut-être plus contagieux. » Laissant, juste avant et juste après le jour du test, une période d’incertitude où la prudence n’est pas forcément de mise chez tout le monde. « C’est un gâchis d’argent considérable, et l’exemple même de ce qu’il ne faut surtout pas faire », tranche la spécialiste.
Pour améliorer la situation, certains spécialistes souhaiteraient donc que le gouvernement communique davantage sur les cas dans lesquels le test PCR est indispensable. Reconnaissant des « temps d’attente trop importants, notamment dans certaines villes », le Premier ministre Jean Castex a établi vendredi 11 septembre trois catégories de personnes prioritaires : celles qui ont des symptômes, celles ayant eu un contact rapproché avec un cas positif, ainsi que les personnels soignants. Pour ces derniers, le chef du gouvernement l’a promis : « Nous allons renforcer les circuits dédiés de dépistage, avec certains créneaux horaires. »
Mais ces ajustements n’auraient-ils pas pu être anticipés en amont ? Fallait-il à ce point mettre en avant une politique de « très grande ouverture des tests » sans en préciser les critères ? « Il fallait certainement prévoir les moyens et ensuite faire l'annonce, reconnaît sur France Culture François Blanchecotte, le président du Syndicat national des biologistes. On a eu l'annonce d'abord. Et puis maintenant, les moyens, il faut les mettre en adéquation. Tout ça n'a pas été forcément pensé au départ (...) L'annonce nous a surpris comme tout le monde. Elle a été très rapide et en fait, on n'était pas forcément prêts à absorber le nombre de patients. »
Conséquence de cette mauvaise appréhension des tests, des situations anodines font parfois l’objet de décisions peu compréhensibles. Exemple qui a retenu l’attention : le 3 septembre dernier, la Fédération Française de Football annonçait que Steve Mandanda venait d’être testé positif et devait donc immédiatement quitter le rassemblement des joueurs de l’équipe de France auquel il participait à Clairefontaine, alors même qu’il avait déjà été testé positif mi-août. La faute… à de très probables traces de virus résiduelles encore présentes dans son organisme et détectées par son test PCR. Un phénomène tout à fait bénin et dont le Conseil scientifique pointait déjà l’existence dès le 27 juillet, ajoutant que cela « n'est que le reflet d'une persistance non infectieuse d'ARN viral, et ne doit pas être considéré comme une réinfection ou une persistance virale ».
Parfois pointés du doigt pour de mauvaises raisons, les tests PCR demeurent donc tout à fait efficaces… à condition de bien les utiliser, c’est-à-dire de ne pas les considérer comme des indicateurs de la contagiosité d’un patient mais seulement de la présence, ou pas, de virus chez ce dernier. « Les patients non contagieux portant de très faibles quantités de virus ou de simples débris de virus peuvent être positifs à la PCR, expliquait ainsi le médecin Yvon Le Flohic dans une interview accordée au média spécialisé Industries et Technologies, au début du mois de septembre. Il ne s’agit pas de faux positifs, mais de l’usage à contre-emploi d’un test diagnostic comme un test de contagiosité. »
« Mener des tests PCR plus rapidement, plus facilement et de façon répétée dans le temps permettrait d’être le plus réactif possible » Partager sur Twitter Partager sur Facebook
Faudrait-il, dans ce cas, multiplier les autres types de tests ? Pas forcément car, pour le spécialiste, « il n’y a pas vraiment d’alternative à la détection du virus par son matériel génétique via la PCR » (même si des tests antigéniques qui permettent d’obtenir un résultat en quelques dizaines de minutes sont en train d’être déployés). C’est donc plutôt pour une utilisation des tests PCR « différente » que plaide Yvon Le Flohic. Comprendre : tenir compte des données disponibles sur la contagiosité, dont on sait qu’elle est nettement plus probable dans les espaces clos ou lors des grands rassemblements. Et identifier, par conséquent, les lieux où pourraient potentiellement se développer des foyers de contamination : écoles, entreprises, aéroports… Et universités ? Celle de Cambridge, en Angleterre, a en tout cas annoncé qu’elle allait tester chacun de ses étudiants chaque semaine, de même que plusieurs grandes universités américaines. Rien de comparable n’a pour l’instant été annoncé côté français, alors que mener des tests PCR « plus rapidement, plus facilement et de façon répétée dans le temps » permettrait d’être « le plus réactif possible, voire préventif », insiste Yvon Le Flohic.
« Isoler » : trop peu respecté et trop peu expliqué au grand public
Comment lutter, en attendant, contre cette spirale de dépistage tardif ou désorganisé ? « Il ne faut surtout pas attendre la réponse du test pour commencer l’isolement, et continuer à avoir une vie normale dans l’intervalle, affirme, entre autres, le virologue Bruno Lina. C’est justement dans cette période que se produisent le maximum de contaminations. » Préconisées jusqu’à récemment sous forme de « quatorzaine », les modalités de mise à l’isolement décidées en France ont par ailleurs fait l’objet, début septembre, d’un bilan très sévère de la part du Conseil scientifique, qui a estimé qu’elles étaient à la fois de moins en moins respectées et trop peu expliquées au grand public. Les treize experts jugent qu’elles n’ont fait l’objet d’aucun cahier des charges « précis », d’aucun budget dédié et d’aucune « évaluation nationale chiffrée disponible ».
C’est notamment pour ces raisons que l’hypothèse d’un passage à seulement sept jours d’isolement a été validée par le Premier ministre Jean Castex le 11 septembre. Une telle proposition peut sembler paradoxale au vu du contexte actuel, mais le Conseil scientifique a pris soin d’en préciser les détails dans son avis du 3 septembre : « sept jours à partir du début des symptômes pour les cas confirmés, sans attendre les résultats du test » ; « sept jours à partir du jour du prélèvement positif pour les cas asymptomatiques » ; et enfin « sept jours à partir du contact avec un cas confirmé, suivi d’un test réalisé au septième jour » (l'isolement devant logiquement être prolongé si ce dernier s’avère positif). Des recommandations plutôt cohérentes, sur le papier, avec les observations selon lesquelles une personne infectée reste généralement contagieuse quelques jours avant le début des symptômes et jusqu’à six jours après, mais que l'OMS juge malgré tout trop précipitée.
youtube
Lors de son allocution, Jean Castex a par ailleurs annoncé des vérifications renforcées du respect de l'isolement, sans en dire davantage. « Il est primordial que chacun respecte strictement cette durée d'isolement, ce qui donnera lieu à des contrôles » , a-t-il simplement évoqué. Le ministère de la Santé devait annoncer dans le courant de la semaine les modalités de ces nouveaux contrôles mais, à l’heure où nous écrivons ces lignes, aucune précision n’a été donnée. « Beaucoup d'éléments sont prêts, mais on affine le dispositif », confiait le 12 septembre au Parisien l'entourage du ministre, expliquant que « le contrôle sera fait dans un esprit de concertation en respectant les logiques territoriales. »
Mais au-delà de la question de la surveillance, il faut souligner que le nombre de personnes mises à l’isolement augmente mécaniquement avec le nombre de cas recensés. D’où l’importance d’éviter la formation de potentiels clusters dans les lieux clos, comme le souligne le professeur à Harvard Miguel Hernán dans cette analyse comparée des situations à Madrid, où le nombre de cas augmente, et New York, où le nombre de cas baisse.
Image d'illustration. © Governor Tom Wolf / Flickr (CC BY 2.0).
Dans le cas où des clusters sont malgré tout identifiés, certains spécialistes tels que le virologue allemand Christian Drosten préconisent d’adopter des mesures exceptionnelles. Plutôt que de retracer et tester laborieusement les cas contacts pour mettre les positifs en quatorzaine, ce dernier suggère d’isoler immédiatement tous les cas contacts « sans les tester, mais seulement pendant 7 jours » : « Après quoi, on les teste par RT-PCR en définissant un niveau d’amplification, c’est-à-dire un nombre de cycles de PCR, au-delà duquel on considère qu’il n’y a plus de risque significatif. Ils peuvent alors reprendre leurs activités », explique Yvon Le Flohic dans son interview à propos de cette suggestion. Une hypothèse originale mais dont la viabilité (notamment sociale, au vu du nombre de clusters recensés chaque jour en France) reste à prouver. Elle n’a en tout cas pas été reprise, pour l’instant, par les gouvernements européens.
« Tracer » : un processus laborieux et des manques de moyens
Dernier point du fameux triptyque pour lutter contre la propagation du coronavirus, le traçage des « cas contacts », ces personnes ayant été à proximité d’individus contaminés et potentiellement touchées, à leur tour, par le virus. En mai, à la sortie du confinement, le ministre de la Santé Olivier Véran annonçait le lancement de deux outils numériques à la disposition des médecins, de l’Assurance Maladie et des Agences régionales de santé, chargés chacun à leur manière « de la lutte contre la propagation du virus » : le téléservice « Contact Covid » pour l’identification et la prise en charge des personnes malades et des personnes contacts, d’une part ; et « SI-DEP » (système d’information de dépistage), pour l’enregistrement systématique des résultats des tests pratiqués
Mais là encore, quelques mois plus tard, le bilan paraît pour le moins mitigé. Faute de données disponibles, le délai précis entre l’identification d’un cas positif et l’information des cas contacts reste souvent « inconnu », selon Le Monde. « Cela dépend des zones, de la tension, de la circulation du virus », admet le ministre de la santé Olivier Véran. Contrairement à la procédure initialement prévue, l’Assurance-maladie n’attend donc plus forcément que les données soit renseignées par le médecin dans « Contact Covid » pour agir et retracer le parcours des contacts : « On les remonte maintenant directement dans “SI-DEP” », reconnaissait fin août Sébastien Debeaumont, directeur adjoint de l’ARS PACA.
youtube
Statistique pour le moins éloquente à cet égard : en avril, alors qu’il détaillait son plan de déconfinement, l’ancien Premier ministre Édouard Philippe chiffrait de 20 à 25 le nombre de cas contacts identifiables pour chaque patient contaminé par la Covid-19. Or la moyenne s’élève aujourd’hui à 2,3. « Lorsqu’il s’agit de patients qu’on connaît, établir la liste des cas contacts n’est pas compliqué, on sait parfois même où nos patients font leurs courses, témoigne le médecin Jean-Christophe Nogrette dans Ouest France. Mais avec la possibilité de se faire tester sans prescription, on se retrouve avec des patients dont on ne sait parfois rien, et avec lesquels on doit retracer les déplacements, avec beaucoup de difficulté s’ils sont positifs. »
« On peut considérer que notre système de tracing est dans un état agonique, en particulier quand l’incidence augmente et qu’il devient d’autant plus indispensable à contenir l’incendie, renchérit Yvon Le Flohic sur son compte Twitter. Le tracing doit être mis à l’honneur et en avant, ciblé sur les lieux et les groupes vecteurs, avec un investissement massif, du big data, de l’analyse évolutive des territoires et des policies locales, de leur impact. » Le contraste est en effet saisissant avec les méthodes très rigoureuses appliquées dans certains pays d’Asie, que nous évoquions déjà dans cet article au début de la pandémie. D’un point de vue technologique, mais aussi humain : en Corée du Sud, par exemple, le dispositif mobilise en moyenne une vingtaine d’enquêteurs par cas confirmé, et il passe par un processus de « vérification des données » afin de recouper les informations livrées lors d’un entretien téléphonique préalable : examen des retraits et paiements par carte bancaire, vérification du port du masque sur les caméras de vidéosurveillance disponibles, analyse des données de géolocalisation…
« Certains pays d’Asie et d’Afrique ont eu plus de succès dans la lutte contre la Covid-19 car ils ont plus d’expérience dans la lutte contre d’autres épidémies » Partager sur Twitter Partager sur Facebook
Faut-il nécessairement en arriver là en France ? Un tel dispositif n’est évidemment pas sans poser questions du point de vue des libertés publiques, mais il donne une idée des différentes façons d’appréhender la gestion de l’épidémie selon les pays. Le site de l’université Northeastern de Boston, qui recense les solutions mises en place dans chaque pays pour lutter contre la propagation du coronavirus, salue de son côté les cas de l’Éthiopie, du Rwanda ou encore de Cuba, où « les agents de santé communautaires recherchent et identifient des cas contacts, tout en leur apportant des informations sur la Covid-19 ». « Certains pays d’Asie et d’Afrique ont eu plus de succès dans la lutte contre la Covid-19 que les États-Unis ou l’Europe, car ils ont plus d’expérience dans la lutte contre d’autres épidémies, telles que le SRAS, le MERS, Ebola ou Zika », en conclut l’article.
Au-delà des appels au « sens des responsabilités » de chacun, les autorités françaises sauront-elles tirer des leçons des situations observées ces dernières semaines ? L’analyse de la stratégie nationale d’endiguement de l’épidémie montre en tout cas qu’elle dépasse la simple question des « mesures trop contraignantes » qu’il conviendrait — ou pas — d’adopter. D’autant que, comme le rappelle certains médecins, par rapport au début de l’année, la population a de son côté bel et bien « pris l’habitude de vivre avec la maladie » en adaptant rapidement son niveau de protection. Reste à savoir si les décisions prises récemment par le gouvernement concernant la priorisation des tests ou encore le recrutement de 2 000 « contact tracers » supplémentaires seront suffisantes.
0 notes
dusudaunord · 5 years
Text
Escapade Gourmande au domaine de Capelongue
S’il y a bien une chose que j’adore, ce sont les découvertes culinaires. En voici une que je me dois de vous partager !
Le Luberon est une région riche en gastronomie et en vignobles. En un instant, le temps d’un repas, ce sont toutes les saveurs de cette terre ensoleillée de Provence qui vous viennent aux papilles.
Lors de ma visite dans cette belle partie de notre douce France, nous avons entendu parler du domaine de Capelongue. Une magnifique demeure familiale qui a su garder toute son authenticité. Nous étions proches de Bonnieux alors, ma famille et moi, avons décidé d’aller savourer un bon repas dans l’un des deux restaurants du domaine : La Bergerie.
Le restaurant « La Bergerie » à Capelongue
En ce samedi 8 février, le soleil était au rendez-vous. On avait l’impression de vivre une belle journée de printemps. Ma famille et moi avons donc décidé de passer un agréable moment à la Ferme de Capelongue. Quand nous sommes arrivés sur place, j’ai été agréablement surpris par le cadre magnifique. Un véritable havre de paix. La grande bâtisse est entourée de bois et de champs de lavande. Au cœur de la ferme se trouve le restaurant La Bergerie. Il est idéalement situé, au beau milieu d’un parc de 3 hectares, composé de jardins et de potagers.
Ce restaurant pourrait se définir comme traditionnel. On y mange de la cuisine de haute qualité. La vraie bonne cuisine de nos mères.
Nous nous installons à une table, avec une vue magnifique sur la forêt. Un endroit calme, paisible et très chaleureux. Nous avons hâte de goûter à la cuisine du chef Édouard Loubet.
Ce grand chef est réputé pour savoir manier à la perfection les produits les plus simples. Des produits qu’il trouve parfois sur son chemin, lors de ses balades au beau milieu des collines du Luberon. C’est également une des raisons pour lesquelles il dispose de plusieurs potagers. Il cuisine avec ses propres légumes, ou aime se fournir chez les meilleurs petits producteurs locaux. Il manie les herbes, plantes, légumes et autres épices à la perfection. Un véritable jongleur des saveurs !
La carte de La Bergerie
Si vous décidez de venir manger à La Bergerie, sachez que plusieurs choix s’offrent à vous. Vous avez, dans un premier temps, la possibilité de manger à la carte. Puis, vous pouvez également prendre un menu truffe, une des spécialités du restaurant.
Manger à la carte
Pour accompagner votre apéritif, rien de tel que de gouter la fameuse pizza à la truffe du chef Édouard Loubet. C’est ce que nous avons choisi. Un délice. Il n’y a pas de secret ! Lorsque les produits sont frais et de qualité, les saveurs sont uniques.
Vous aurez aussi le choix entre pissaladière, planche de fromage de chèvre de la région, assiette de jambon de porc de Bigorre, terrine de campagne maison, ou alors l’assiette de grignotage d’entrées provençales. (Pour être honnête, cette assiette était très tentante !).
Pour suivre, plusieurs entrées vous sont proposées. De la soupe paysanne, à la tartine de champignon en passant par le carpaccio de bœuf et artichaut confit…il y en a pour tous les gouts !
Les plats sont principalement cuisinés à la cheminée. Tajine de légumes, carré de porc du Ventoux, daube de sanglier. Ici aussi, le choix est vaste puisque sept plats vous seront proposés.
La carte des desserts est, elle aussi, très alléchante. Tarte tatin du grand-Père Yvon, marquise au chocolat et glace maison. Le fait de vous en reparler me donne envie d’y retourner !
Le menu truffe
Nous étions cinq à table ce jour-là. Et deux personnes ont choisi de prendre le menu truffe de La Bergerie. C’est un menu exquis, très apprécié des amateurs du diamant noir, évidemment !
En dégustation à partager, vous retrouvez la pizza aux truffes Tuber Melanosporum. S’en suit une brouillade à la truffe et salade des champs en entrée. Puis, vous poursuivez votre repas par un banon crémeux et un saladier gourmand à partager.
Le dessert est, lui aussi, à la truffe. Il s’agit d’un dessert glacé Jivara.
Ce menu pour deux personnes est à 118 € (hors boissons). Un prix tout à fait correct pour les prestations qui vous sont proposées. (Que ce soient les prestations culinaires, ou encore la gentillesse du personnel et la qualité du lieu).
Nous avons passé une excellente après-midi à la Ferme de Capelongue et dans son restaurant La Bergerie. Si un jour je repasse dans le coin, je peux vous assurer que je réitérerai l’expérience avec grand plaisir !
https://ift.tt/39LbDmU
0 notes
Text
Expression politique de janvier 2018
Nous avons reçu le texte ci-après provenant d’un groupe de militants politiques de l’agglomération s’intitulant « CGS » expliquant qu’il recherche le dialogue avec d’autres groupes politiques.
« Loire Antlantique : “Travaillons ensemble”, un appel à un collectif unitaire, ouvert et pluraliste GDS·mardi 12 décembre 2017
Après le bilan désastreux du quinquennat de F.Hollande, la politique d’E.Macron, qui apparaît comme le président des riches, est aujourd’hui contestée.
Le rejet massif de la loi El Khomri en 2016 se retrouve aujourd’hui dans le refus des ordonnances anti sociales qui aggravent la casse du droit du travail. Le social reste au cœur des préoccupations d’une majorité de jeunes, de salariés, de retraités.
La remise en cause des APL, des emplois aidés, du financement du logement social et des dotations de l’État aux collectivités locales, l’augmentation de la CSG et les menaces sur la protection sociale ont été très vite contestées. La baisse de popularité d’un Président élu par défaut s’explique d’abord par cette réalité.
Quant aux attentes en termes de transition écologique, de démocratie, de solidarité avec les migrants ... elles risquent, sans aucun doute, d’être tout autant déçues par la politique gouvernementale.
Travailler ensemble à une alternative sociale et écologique
Face à une politique gouvernementale clairement de droite, nous appelons et œuvrons au développement des mobilisations sociales, écologiques, féministes et démocratiques.
Ensemble nous voulons travailler au rassemblement de toutes les forces disponibles pour faire reculer les politiques libérales et autoritaires. Une convergence d’action des forces de gauche, associatives, écologistes et du mouvement social peut être de nature à redonner confiance.
Les propositions d’alternatives ne manquent pas pour répondre aux urgences sociales et écologiques, et transformer la société. A partir de nos dynamiques diverses, faisons en sorte qu’une alternative majoritaire existe. Nous sommes une force et nous avons besoin de passerelles de débats entre mouvements tant sur le plan politique, syndical qu’associatif ou citoyen !
Ensemble, nous pouvons faire reculer le gouvernement Macron et obtenir des avancées pour améliorer la vie, les conditions de travail et d’existence de nos concitoyen.ne.s, pour privilégier l’intérêt des salarié.e.s à celui de la finance, pour défendre les services publics, pour imposer une transition écologique et pérenne respectueuse de l’Humain et de notre planète, pour l’égalité de toutes et tous et le même accès aux droits, pour développer les solidarités locales, nationales et internationales ...
Constituer un collectif unitaire, ouvert et pluraliste
C’est pourquoi nous appelons à la constitution d’un collectif départemental de liaison ouvert et pluraliste. Un collectif unitaire de la gauche sociale, écologiste, féministe, intellectuelle, culturelle.
Toutes les forces peuvent y contribuer ! Quels que soient nos engagements politiques, syndicaux, associatifs, que l’on soit salarié.e, jeune, retraité.e, sans emploi, intellectuel.le, artiste ... le ciment de notre rassemblement c’est la volonté de vivre mieux, de transformer ensemble notre société.
Se rassembler, échanger, débattre et lutter
Sans attendre, nous appelons à rejoindre toutes les initiatives unitaires, notamment les mobilisations intersyndicales, de lutte contre une politique libérale qui accroît les inégalités et accentue les cadeaux au profit d’une minorité aisée.
Sans attendre, nous nous engageons à organiser, dans les semaines et les mois à venir, tous les débats, toutes les rencontres, tous les échanges qui contribueront à l’émergence d’une alternative de gauche et écologique en Loire-Atlantique, respectueuse des sensibilités de chacun-e. »
Les premier signataires sont des militants syndicaux ou associatifs ainsi que des mlitant.e.s politiques de différentes sensibilités appartenant à des partis (Europe écologie les verts, Parti communiste, Parti socialiste) ou à des mouvements (Gauche démocratique et sociale, Génération.s) :
Fabrice Bazin (Elu, St-Nazaire), Michel Bedel (ancien élu, Rezé ; militant associatif), Emilie Bellin (syndicaliste), Marie-Annick Benatre (élue, Nantes), Emmanuelle Bizeul (élue, Saint-Nazaire), Nathalie Blin (élue, Nantes), Emilie Bourdon (syndicaliste), Hervé Braire (élu, Saint-Nazaire), Philippe Brard (militant associatif), Michel Brochu (ancien élu, Rezé ; militant associatif), Jean Brunacci (syndicaliste), Sandrine Buchoux (élue, Saint-Herblain), Catherine Bassani (élue, Nantes), Nicolas Carrey (syndicaliste), Joël Castex (élu,Bouguenais), Mahel Coppey (élue, Nantes), Bertrand Corvez (syndicaliste), Eric Couvez (syndicaliste), Dominique Duclos (élu, Bouguenais), Katell Favennec (élue, Nantes), Maëlle Fougère (syndicaliste), Brice Giraudet (syndicaliste), Alain Gralepois (ancien élu, Région), Vincent Grenier, Marcel Guille (syndicaliste), Thibaut Guiné (syndicaliste), Brigitte Héridel (élue, Vertou), Michel Laboureur (syndicaliste), Pauline Langlois (syndicaliste), Nicolas Lecoq, Martine Lejeune (élue, Bouguenais), Judith Leray (élue, Saint-Etienne de Montluc), Gauthier Lorthiois (élu, Bouguenais), Véronique Mahé (élue, Saint-
Joachim), Pedro Maia (élu, Gorges), Alain Manara (élu Saint-Nazaire), Valentin Marchand (militant associatif) , Gilles Nicolas (élu, Nantes), Laurent Noblet (élu, Saint- Herblain), Franck Noury (élu, Nantes), Nicolas Martin (élu, Nantes), Mireille Pernot ( élue Rezé), Pascal Pontac (syndicaliste), Pascal Pras (élu, Saint Jean de Boiseau), Yvon Renevot (CC Carene), Marie-Claude Robin (syndicaliste), Catherine Rouge (élue, Saint-Nazaire), Robin Salecroix (élu Nantes), Aymeric Seassau (élu, Nantes), Jérôme Sulim (ancien élu, Nantes), René Seiller (syndicaliste), Maurice Suriray (militant associatif), Jean-François Tallio (élu, Saint-Herblain), Hervé Tessier(militant associatif), Jacques Testard, Eric Thouzeau (élu, Région), Nina Tilmont (syndicaliste), Catherine Touchefeu (élue, Département), Jean-Luc Tréberne (ancien élu Rezé ; militant associatif), Sarah Trichet-Allaire (élue, Saint-Nazaire)
Ce qui nous pose problème c’est qu’un certain nombre de ces militants proviennent de la majorité politique de notre conseil municipal qui réduit notre espace d'expression dans la presse de la commune.
C’est pourquoi dans le texte ci-dessous nous répondons « oui au rassemblement » mais avec quelques réserves.
          Saint HERBLAIN10 Janvier 2018
Travaillons ensemble…
Madame, Monsieur;
CherE Camarade;
Réuni en assemblée générale le 14 décembre 2017 le collectif citoyen Saint Herblain à Gauche Toute (ci-après SHàGT) a été interpellé par votre appel « travaillons ensemble ».
Si nous sommes d’accord sur les constats que vous nous livrez dans les premières lignes de votre document, nous sommes très surpris au regard des signataires de vous voir dénoncer cette situation avec autant de virulence.
Les éluEs signataires de votre texte sont tousTES des éluEs du P.S ; du P.C.F. et/ou d’EELV qui de fait sont à minima co-auteurs du bilan désastreux de François HOLLANDE et de sa majorité présidentielle.
Mais ce qui nous surprend le plus, voire ce qui nous inquiète, c’est que vous semblez découvrir la nécessité d’un travail collectif de « toutes les forces disponibles pour faire reculer les politiques libérales et autoritaires ».
Cela fait plus d’une décennie que dans les communes de la métropole des centaines, des milliers de citoyenNES se mobilisent autour de collectifs pour s’opposer à ces politiques libérales et autoritaires, sans votre soutien et souvent même en opposition avec vous, dans les conseils municipaux, les assemblées départementale et régionale.
Soutenus, suffrage après suffrage, par un électorat de plus en plus nombreux, nous avons représenté depuis toutes ces années une opposition de gauche aux projets de vos majorités locales qui étaient le pendant de la politique nationale dont vous qualifiez le bilan de désastreux.
Vous ne nous avez pas vu… ? À Bouguenais, À Couëron, À la Montagne, Rezé ou Saint Herblain…etc !
Cette cécité nous inquiète.
Que nous proposez-vous ? « De construire un collectif unitaire de la gauche sociale, écologiste, féministe, intellectuelle, culturelle… »
Mais cela existe ! Encore faut-il voir et prendre en compte toutes ces femmes et ces hommes qui depuis plus de dix ans résistent pour infléchir une politique qui c’est vrai marginalise, exclut les plus démunis d’entre nous.
Mais peut être pensez-vous, que votre proposition ne consiste pour nous qu’à se « ranger » derrière vous ?
Vous voulez nous rassembler mais vous même où en êtes-vous ???
Ne faudrait il pas d’abord que vous tiriez les leçons de ce bilan que vous avez accompagné pendant toutes ces années ?
L’urbanisation de la métropole et sa gentrification ?
La question de Notre Dame des Landes ?
Les questions d’énergie,
La protection sociale?
La démocratie locale et la nécessaire évolution concernant la désignation des conseillers métropolitains ?  
Alors oui nous voulons travailler à la construction d’une alternative éco-socialiste Mais avec des Femmes et des Hommes qui s’écoutent et se respectent… ! et dans la diversité qui est la nôtre.
Vous voulez « organiser dans les semaines et les mois à venir tous les débats, toutes les rencontres pour contribuer à l’émergence d’une alternative de gauche et écologique en Loire Atlantique respectueuse des sensibilités de chacunE ». Cette alternative a déjà émergé, la première forme de respect serait de le reconnaître.
C’est indispensable à tout projet de rassemblement citoyen auquel, nous aussi, nous aspirons.
Saint Herblain à Gauche Toute
0 notes