authi21-blog

[authi21-blog]

Séance 11: De nouvelles pratiques

Depuis toujours, les individus qui ont des convictions semblables vont se réunir en groupe pour partager leurs idées ou pour poser des gestes. À l’ère des médias sociaux, il est maintenant facile plus que jamais que des groupes se forment puisqu’il n’y a plus de contraintes géographiques. Les militants d’une cause ou partageant les mêmes idéologies peuvent se trouver aux quatre coins de la planète et utiliser Facebook en se créant un groupe. Certains seront plus passifs et échangeront seulement sur cette plateforme sans jamais se rencontrer. D’autres passeront à l’action en se réunissant pour discuter ou même pour aller manifester.

Nous pouvons par exemple penser au groupe québécois La Meute lequel est formé de personnes ayant des allégeances politiques de droite. La Meute est une communauté très sérieuse et le seul moyen qu’elle utilise pour rassembler ses membres est le réseau social Facebook. D’ailleurs, elle a un groupe ouvert au public et un groupe « secret » dans lequel le processus pour l’intégrer est très sérieux. Les gens qui peuvent s’y joindre passent par l’administrateur puisque n’importe qui ne peut pas l’intégrer.

Il est certain que les réseaux sociaux sont un outil très utilisé par les militants d’un groupe puisqu’il s’agit d’un moyen rejoignant les gens facilement. Il est tout de même fascinant de voir qu’un groupe Facebook inoffensif se retrouve maintenant dans les médias à cause de leurs idéologies et leur présence dans une manifestation. C’est d’ailleurs pour le mieux que La Meute s’est retrouvé dans l’actualité puisque « [d]es observateurs externes admettent que c'est La Meute qui a gagné la bataille de l'opinion publique. Le groupe a même fait le plein de membres depuis les événements » (Tremblay, 2017, En ligne : 1er par.), ces derniers font référence à une manifestation qui a eu lieu le 20 août dernier.

Source : http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1051518/analyse-manifestation-quebec-la-meute-retombees-mediatiques-contre-manifestants

[authi21-blog]

Séance 10: Informer comme jamais

Avec l’arrivée et l’engouement des dernières années pour les téléphones intelligents, il est maintenant facile plus que jamais d’accéder au réseau Internet peu importe où on se trouve. Tout le monde est connecté et cela touche également les habitudes de consommation de l’actualité des gens. Certains énumèrent (un peu trop!) souvent les inconvénients de l’omniprésence des technologies dans nos vies. Toutefois, un de ses avantages est, selon moi, que la population est plus à l’affut de l’actualité. Pratiquement, tous les médias ont maintenant leur propre application sur laquelle on peut consulter les nouvelles du jour, mais surtout en continu. Parce qu’après avoir ouvert La Presse Mobile le matin, quand je la consulte en fin de journée, le contenu n’est pas le même puisqu’il est mis à jour au fil des heures. Encore plus en direct, les applications envoient également des notifications aux gens lorsqu’une nouvelle d’envergure sort. Je trouve cela personnellement génial! J’ai l’impression que je ne rate rien de ce qui se passe! Il est clair que de s’informer n’est plus la même chose qu’il y a une dizaine d’années, mais c’est pour le mieux. En plus de son accessibilité, l’application mobile est gratuite ce qui permet aux gens de ne pas débourser pour obtenir la version papier du journal. Il y a également La Presse + qui offre un format différent, accessible seulement sur une tablette, elle présente des dossiers spéciaux sur des éléments de l’actualité. Elle d’ailleurs récemment gagné le prix «Best News Mobile Service» au au gala nord-américain des Digital Media Awards (La Presse, 2017, En ligne : 1er par.). Je suis « fan » des médias numériques, mais cela ne m’empêche pas de consommer les médias traditionnels. Je crois que les deux sphères se complètent tout simplement bien.

Source : http://www.lapresse.ca/techno/201710/19/01-5140621-la-presse-se-distingue-aux-digital-media-awards.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_applications_3851290_section_POS1

[authi21-blog]

Séance 8: Comment se protéger les cerveaux?

Photo, parole, vidéo, musique, texte, article, la liste peut être longue, mais voici quelques exemples d’éléments qui peuvent faire l’objet de propriété intellectuelle. La propriété intellectuelle, un sujet sensible pour les créateurs qui sont derrière les œuvres et qui ne savent plus comment se protéger. Il y a tellement de manière de « contourner » les règles et les mécanismes de protection mis en place que c’est devenu un vrai casse-tête pour les artisans de protéger leur travail. L’ère du numérique va-t-il tuer la créativité au dépend de la propriété intellectuelle? Bien sûre que non, il y aura toujours des gens pour écrire pour composer ou pour créer. Toutefois, l’industrie a été bouleversée par l’ère du numérique. Comme le mentionne l’auteur Yann Moulier Boutang, «[l]’apprentissage, l’invention, l’innovation, la création artistique qui possèdent des caractéristiques des biens publics tels que les définit l’économie deviennent le cœur de la valeur économique. Ils ne peuvent cependant être transformés en biens marchands que par l’attribution juridique d’un monopole de détention à une entité privée (marque, brevet, droit d’auteur) » (2010, En ligne : 6e par.). La propriété intellectuelle qui était autrefois une question de reproduction matérielle ne tient plus. Alors que les technologies sont présentes plus que jamais, est-il possible de protéger la propriété intellectuelle? Il est certain que les règles ou mesures peuvent empêcher de violer les droits, mais il y aura toujours des gens pour les « hacker ». Je crois qu’il serait plus important de s’attaquer à la prise de conscience des utilisateurs. Ces derniers ne savent pas nécessairement qu’ils volent des droits intellectuels quand ils le font. Toi, c’est quand la dernière fois que tu as violé la propriété intellectuelle de quelqu’un? Source : http://www.cairn.info/revue-multitudes-2010-2-page-66.html#s1n3

[authi21-blog]

Séance 7: N’allez pas sur mon profil!

Il n’est pas rare d’entendre qu’une personne sent que sa vie privée est violée par le réseau social Facebook. Tout individu peut avoir accès à notre profil avec toutes les photos et informations qu’il contient, et ce, sans notre consentement. Mais ce n’est pas ça un peu le but de Facebook? Écrire des statuts et publier des photos pour que les gens puissent voir et « aimer » notre contenu? Il est un peu contradictoire d’avoir un compte sur Facebook et de sentir sa vie privée violer. En effet, quand une personne décide de s’inscrire à ce réseau et d’y être actif, il est censé savoir que son intimité sera violée d’une certaine manière.

Et le contraire est-il aussi vrai? Facebook viole-t-il la vie privée de ses utilisateurs? Il n’est pas facile de répondre à cette question puisque la législation est différente d’un pays à un autre. Facebook intercepte la navigation web via son bouton « J'aime », et que des données sont à la fois envoyées au site consulté et au réseau social (Pépin, 2017, En ligne : 6e par.). Aux États-Unis, il a été décidé que c’est la responsabilité des internautes de prendre les mesures nécessaires pour protéger leurs données.

Source: http://www.phonandroid.com/vie-privee-vendriez-vous-la-votre-pour-100-dollars-par-mois.html

Dans les deux cas, il est difficile de dire quand la limite est dépassée en termes de violation de vie privée puisqu’elle n’est pas la même pour tout le monde.

Source : https://www.nextinpact.com/news/104730-vie-privee-facebook-victorieux-aux-etats-unis-sous-surveillance-en-europe.htm

Source: 

[authi21-blog]

Séance 5: L’e-réputa...quoi?

La réputation d’une entreprise ou d’une personnalité est difficile à construire, mais tellement facile à détruire. Avec l’arrivée des médias numériques, l’image d’une entité peut être encore plus rapidement anéantie.

En 2017, bien sûre il y a des exceptions, mais il est pratiquement inconcevable qu’une entreprise ne soit pas sur Facebook ou qu’elle ne possède pas un site Web. Étant d’ailleurs moi-même dans le domaine des communications, il n’est pas rare de conseiller mes clients de créer par exemple une page Facebook dans le but d’augmenter la notoriété de leurs services.

Cette nouvelle pratique vient toutefois avec des responsabilités qui influenceront directement la e-réputation. D’abord, il est important de définir ce terme : « L’e-réputation peut être définie comme l’image véhiculée et/ou subie par une entreprise ou une marque sur Internet et autres supports numériques. L’e-réputation peut également s’appliquer à un produit ou service » (Bathelot, 2017 : En ligne : 1er paragraphe).

Déjà que la réputation peut être parfois difficile à gérer, avec l’ère des nouvelles technologies est l’est encore plus. Pourquoi? Eh bien, monsieur et madame tout le monde est maintenant un média et il importe de le considérer dans l’écosystème dans lequel l’entreprise évolue. Par conséquent, un client, un fournisseur, un employé peut devenir une mauvaise publicité. Aussi, la vitesse à laquelle l’information voyage désormais via le numérique est un facteur à considérer. Tout le monde est connecté et il suffit de quelques minutes pour qu’une nouvelle se propage.

Doit-on absolument être sur le net en tant qu’entreprise ou personnalité? Pas nécessairement, mais si on le fait on doit le faire pour les bonnes raisons et planifier le tout.

Source : https://www.definitions-marketing.com/definition/e-reputation/

[authi21-blog]

Séance 4: L’insouciance numérique