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Cogitontos | Sam Legrand
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|| Instagram: Cogitontos || Poet with philosophical vibes / Philosopher with poetic vibes. Bienvenue dans une invitation à l'excitation des âmes (âme entendue comme enveloppe du corps / psycophysiologique), santé au Sublime. Brèves parcelles existentielles tirées des abymes d'un corps écorché vif. Ontologie de soi en poésie. Philosophie onto-corporelle au réel issue d'un empirisme historique et généalogique par prise de conscience de l'addition des changements subjectifs du corps qui met en lumière notre nature dans le devenir aux côtés d'un perspectivisme menant ainsi aux bases de la probité d'un scepticisme saint et de la béatitude existentielle philosophiques au sein de nos destins. / Le Versuch en continuum. Alchimies philosophiques et idiosyncrasiques/ Deviens ce que tu es/ Connais soi-toi même /Écris avec ton sang/Transfiguration des passions/ Libido Sciendi / À la recherche des perles bloguées/Photo by Corwin Prescott.
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cogitontos · 23 days ago
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Heureux comme un gosse à la vue du Père Noël sur le moment.
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cogitontos · 1 month ago
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"Mais si d’amour tu ne te laisses pas consumer,
Comment pourras-tu prétendre avoir vécu ?"
– Les Fragments Du Coeur
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cogitontos · 1 month ago
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Il y a dans l’air comme un soupir qui demeure,
Comme un silence plus lourd que mille douleurs,
Ton nom se pose au bord de mes pensées,
Tel un profond secret que je n’ose crier.
Toi ma moitié tu n’es plus là,
et pourtant tout parle de toi.
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cogitontos · 2 months ago
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– Tiré des Maximes de La Rochefoucauld
Éloge implicite de la solitude, les introvertis et autres solitaires sont souvent eux-même parce qu'ils expérimentent le temps seul suffisant pour plonger dans les abysses d'un soi connaissable, conscientisé et non détourné par autrui, en plus d'observer le monde en prenant du recul, mais il ne faut pas que cela soit pour trop longtemps non plus afin de ne pas atrophier la part sociale de l'animal humain. L'altérité lui étant nécessaire. Cela varie selon les individus certe et il faut savoir faire la part entre solitude et isolement.
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cogitontos · 2 months ago
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cogitontos · 2 months ago
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la manière dont les Américains courent après l’or : et leur course effrénée au travail – le vice propre au Nouveau Monde – commence déjà, par contagion, à rendre la vieille Europe sauvage et à répandre sur elle une absence d’esprit absolument stupéfiante. On a déjà honte, aujourd’hui, du repos ; la méditation prolongée provoque presque des remords. On pense la montre en main, comme on déjeune, le regard rivé au bulletin de la Bourse, – on vit comme un homme qui constamment « pourrait rater » quelque chose. « Faire n’importe quoi plutôt que rien » – ce principe aussi est une corde qui permet de faire passer de vie à trépas toute éducation et tout goût supérieur. Et de même que cette course des gens qui travaillent fait visiblement périr toutes les formes, de même, le sens de la forme lui-même, l’oreille et l’œil sensibles à la mélodie des mouvements, périssent également.
vivre à la chasse au profit contraint continuellement à dépenser son esprit jusqu’à épuisement à force de constamment dissimuler, donner le change et prendre de vitesse : la véritable vertu est aujourd’hui de faire quelque chose en moins de temps qu’autrui. Et ainsi il n’y a que bien peu d’heures où l’on se permet la probité : mais on est alors fatigué et l’on aimerait non pas simplement se « laisser aller », mais se vautrer de tout son long, et de tout son large et de tout son poids. C’est en conformité avec ce penchant que l’on écrit aujourd’hui ses lettres ; lettres dont le style et l’esprit seront toujours le véritable « signe des temps ». Si l’on prend encore plaisir à la société et aux arts, c’est un plaisir comme s’en organisent des esclaves épuisés à force de travail.
Le travail ne cesse d’accaparer davantage toute la bonne conscience : le penchant à la joie s’appelle déjà « besoin de se divertir » et commence à avoir honte de lui-même. « On doit faire attention à sa santé » – dit-on lorsqu’on est surpris en flagrant délit de partie de campagne. Oui, on pourrait bientôt en arriver au point où l’on ne céderait plus à un penchant pour la vita contemplativa (c’est-à-dire pour la promenade avec des pensées et des amis) sans mépris pour soi-même et mauvaise conscience. – Eh bien ! jadis, c’était l’inverse : c’est sur le travail que pesait la mauvaise conscience. Un homme bien né cachait son travail, lorsque la nécessité le contraignait à travailler. L’esclave travaillait écrasé par le sentiment de faire quelque chose de méprisable : – le « faire » lui-même était quelque chose de méprisable. « La noblesse et l’honneur n’habitent que l’otium et le bellum » : voilà ce que faisait entendre la voix du préjugé antique !
– Le Gay Savoir § 329
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cogitontos · 2 months ago
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"L'homme croit souvent se conduire lorsqu'il est conduit; et pendant que par son esprit il tend à un but, son cœur l'entraîne insensiblement à un autre."
"La force et la faiblesse de l'esprit sont mal nommées; elles ne sont en effet que la bonne ou la mauvaise disposition des organes du corps."
– Maximes 44 et 45
François De La Rochefoucauld
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cogitontos · 3 months ago
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cogitontos · 3 months ago
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T'emmener au delà du tragique destin.
Flottant entre mon torse et mes mains,
Ton corps vivant me tient en équilibre.
Nos yeux dansent, nos silences vibrent.
– S. Mi-Avril 2025
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cogitontos · 3 months ago
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Extrait de "Pourquoi j'écris de si bons livres"
Ecce Homo
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cogitontos · 3 months ago
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cogitontos · 4 months ago
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cogitontos · 4 months ago
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cogitontos · 4 months ago
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Tu mettrais l’univers entier dans ta ruelle, Femme impure!
L’ennui rend ton âme cruelle. Pour exercer tes dents à ce jeu singulier,
Il te faut chaque jour un cœur au râtelier. Tes yeux, illuminés ainsi que des boutiques
Ou des ifs flamboyant dans les fêtes publiques,
Usent insolemment d’un pouvoir emprunté,
Sans connaître jamais la loi de leur beauté.
Machine aveugle et sourde, en cruautés féconde!
Salutaire instrument, buveur du sang du monde,
Comment n’as-tu pas honte et comment n’as-tu pas
Devant tous les miroirs vu pâlir tes appas?
La grandeur de ce mal où tu te crois savante
Ne t’a donc jamais fait reculer d’épouvante,
Quand la nature, grande en ses desseins cachés,
De toi se sert, ô femme, ô reine des péchés,
— De toi, vil animal, — pour pétrir un génie ?
– Poème XXV Charles Baudelaire
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cogitontos · 4 months ago
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cogitontos · 4 months ago
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"Que tu viennes du ciel ou de l'enfer, qu'importe,
Ô Beauté ! monstre énorme, effrayant, ingénu !
Si ton œil, ton souris, ton pied, m'ouvrent la porte
D'un Infini que j'aime et n'ai jamais connu ?
De Satan ou de Dieu, qu'importe ? Ange ou Sirène,
Qu'importe, si tu rends, - fée aux yeux de velours,
Rythme, parfum, lueur, ô mon unique reine ! –
L'univers moins hideux et les instants moins lourds ?"
– Extrait d'Hymne À La Beauté de Charles Baudelaire
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cogitontos · 5 months ago
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"L'initiative individuelle est la matrice de l'attachement et du désir."
– La possibilité d'une Île
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