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365 jours pour l'Arménie
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Du 24 avril 2014 au 24 avril 2015, nous commémorons le centenaire du génocide des Arméniens.
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countdown365jours · 10 years ago
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Robert Guédiguian filme les dissonances phil'Arméniques
Dans cette émission de RFI Robert Guédiguian présente son dernier film Une histoire de fou et Maya Guérian son livre L’Arménienne, l’indestructible fil de la vie.
C’est un cinéaste que l’Histoire politique et sociale passionne. Un artiste engagé au service d’une certaine idée de l’Homme et des hommes, et notamment ceux des quartiers populaires de Marseille, sa ville natale qui est devenu le décor de prédilection de ses films. Il y raconte les petits bonheurs de la classe ouvrière, les vertus du mouvement social et du combat collectif ; ou des pages d’Histoire comme les derniers jours de François Mitterrand ou les actes héroïques des Résistants du groupe Manouchian.
Près de 10 ans après « Le Voyage en Arménie », Robert Guédiguian nous parle à nouveau du pays de ses origines. Ou plutôt du peuple arménien, toujours pas remis 100 ans après d’un génocide dont les coupables refusent toujours de dire le nom. Un film sur le poids de l’Histoire, mais aussi sur le pardon et la vengeance. « Une histoire de fou » de Robert Guédiguian sort mercredi 11 novembre 2015 en France.
Gaya Guérian publie son témoignage aux éditions XO Document. Un livre intitulé « L’Arménienne, l’indestructible fil de la vie », un document à la fois personnel et historique qui raconte la vie de sa famille, sur plusieurs générations dans les tourments et les horreurs du génocide arménien.
Émission à télécharger ici
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countdown365jours · 10 years ago
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“Le prodigieux roman d’un rescapé de l’Holocauste sur le génocide arménien”
Nous profitons de ce billet de Jean-Pierre Filiu publié sur son blog Rue89 pour mettre le lien vers ce livre de Edgar Hilsenrath.
En cette année marquée par le centenaire du génocide arménien, il n’est pas trop tard pour découvrir, ou redécouvrir, « Le Conte de la pensée dernière », (édité au Livre de poche et au Tripode), un extraordinaire roman consacré en 1989 à cette tragédie par un rescapé de l’Holocauste. (...)
Pour lire la suite du billet
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countdown365jours · 10 years ago
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The Cut de Fatih Akin aux Cinémas du Grütli - Genève - 25 juin, 20h, lors d’une soirée: 100 ans du génocide des Arméniens.
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countdown365jours · 10 years ago
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L’Histoire n’est pas finie!
Pendant un an, à 13h, un billet a été publié sur ce tumblr. Il s'agissait de poster chaque jour un billet en relation avec l'Arménie dans un esprit de compte à rebours de la commémoration du centenaire du génocide des Arméniens. Le contenu s’élaborait en collaboration avec la petite-fille de l’écrivain franco-arménien,Victor Gardon, la gestion du tumblr au quotidien était assurée par @berkati. Un compte Twitter (@24avril15) était associé au blog. Le compte Twitter va continuer son activité, celle du blog ne sera plus que ponctuelle lorsqu’une actualité politique, historique ou culturelle s’imposera.
Merci de nous avoir suivi pendant une année! Le combat pour une reconnaissance universelle du génocide continue...
Malik Berkati et C. Gardon
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countdown365jours · 10 years ago
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24 avril 1915 - 24 avril 2015 : Les génocides vous regardent! En attendant la reconnaissance par la Turquie et la communauté internationale du génocide des Arméniens, Assyriens et Grecs pontiques -  et de manière générale de tous les génocides qui ont été perpétrés dans ce monde.
[Photo @berkati - motif @Collectif_Van]
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countdown365jours · 10 years ago
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Cent ans après le génocide arménien : de nouvelles perspectives, de nouveaux enjeux
22 avril 2015  - Par Michel Wieviorka
Il y a cent ans, les communautés arméniennes furent victimes de massacres de masse qu’il faut appeler par leur nom : un génocide. Et depuis, les descendants des survivants, qui forment désormais une importante diaspora, dans plusieurs pays du Moyen-Orient, en Russie, aux États-Unis, en France, au Canada, en Argentine, etc., attendent de l’État turc qu’il reconnaisse ce crime.
(...)
Ce réveil s’est d’abord effectué loin de la Turquie, aux États-Unis, au Canada, en France notamment, exerçant sur les gouvernements de pays à forte présence diasporique arménienne une pression pour que leur diplomatie pèse sur Ankara. Puis il s’est développé aussi en Turquie, sous l’impulsion d’intellectuels d’origine arménienne soutenus par des pans de plus en plus larges de l’intelligentsia laïque turque. La plus haute figure du mouvement, le journaliste-écrivain Hrant Dink,  a été assassinée devant la porte de son journal à Istanbul, en janvier 2007, par un jeune nationaliste turc, et ce meurtre a suscité un formidable élan où se mêlaient bien des démocrates, amoureux de la justice et de la vérité, et des  descendants d’Arméniens. Dans le même contexte, une redécouverte du passé arménien en Turquie et, pour beaucoup, de leurs propres origines arméniennes a façonné l’image d’une vie culturelle et d’une histoire jusque-là ignorées. Officiellement, il est exclu de parler de « génocide », mais le tabou a commencé à sauter dans la société civile turque.
(...)
Pour lire l’article: http://wieviorka.hypotheses.org/382
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countdown365jours · 10 years ago
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http://www.franceculture.fr/emission-sur-les-docks-nous-sommes-tous-des-armeniens-hrant-dink-ou-la-mobilisation-contre-le-deni-2
Le paria c’est celui qui voit ce que la masse aveugle ne voit pas. Hrant Dink était le paria conscient de  la société turque. Depuis cette position, il a bâti une vision   politique lucide de la société. Il soulevait à lui seul avec courage, le  voile du tabou jeté sur le génocide des Arméniens. Ses déclarations lui  valurent l’hostilité du gouvernement turc tandis que sa mort était programmée par les milieux nationalistes. Grâce à sa parole si franche,  si viscérale, Hrant sut émouvoir beaucoup de ses concitoyens turcs. Il  racontait à la fois son origine arménienne et sa citoyenneté turque   toutes deux assumées et révélait sans détour dans des débats télévisés, ce que la société, dans sa grande majorité, refusait de reconnaître :   une culture du déni.
Hrant Dink était un homme de paix, un militant de la réconciliation. Avec son journal Agos en langue turque, il a donné à lire le traumatisme des Arméniens de Turquie aux Turcs. Il disait qu’il fallait que les Arméniens osent exprimer leurs opinions, n’aient plus peur, qu’ils disent leurs souffrances, leur identité, leur joie et leur culture.
Mais que reste-t-il du combat de cet homme, de son idéal de réconciliation entre les peuples difficilement compris par les turcs et aussi parfois dans sa propre communauté ? Comment progresser avec les acquis de son combat dans la Turquie actuelle ?  Le président Erdogan a présenté, l’année dernière, ses condoléances aux victimes arméniennes des massacres de 1915, sans nommer les coupables ni le crime.
Un portrait en filigrane de Hrant Dink, son combat, son journal Agos, sa femme, ses amis, avant et après sa mort. Un portrait aussi d’une certaine Turquie démocrate qui fait face à son propre passé et à son déni.
Lectures par Jean-Yves Berteloot de Deux peuples proches, deux voisins lointains : Arménie-Turquie, Hrant Dink, Ed. Actes Sud
Avec les témoignages de :
Sarkis Seropyan, rédacteur des pages en arménien du journal Agos
Rakel Dink, veuve de Hrant Dink
Hasan Cemal, un des journalistes les plus connus de Turquie, et petit fils de Djémal Pacha, l’un des trois dirigeants du Comité Union et de Progrès qui en 1915 avait commandité le génocide.  
Et :
Hamit Bozarslan,  historien
Cengiz Aktar,  politilogue
Ali Bayramoglu,  politologue
Nazan Maksudyan, historienne
Robert Koptas, ancien rédacteur en chef du journal Agos
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countdown365jours · 10 years ago
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Le charnier natal On n’a pas compris que s’organisait une machinerie de mort. Qui peut imaginer cela ? On l’apprend lorsqu’on est déjà dans la masse. L’ampleur d’un désastre se mesure trop tard. Chaque province, chaque ville, chaque bourg, chaque village vivait sa mort sans savoir comment on mourrait ailleurs. Les convois s’organisent. Femmes, vieillards, enfants. L’État déporte ses sujets devenus indésirables. Ils se mettent en route. Pour mourir en chemin. Marche à la mort, vers les déserts de Syrie, encadrés par des agents de l’État, convoi livré en route aux pillages et aux viols. Femmes, vieillards, enfants dont les cadavres sont laissés aux chiens avant de pourrir au soleil. Objets de soins particuliers, les prêtres. Leur arracher la barbe en public. Y mettre le feu. Les humilier : on leur fait traverser le bourg à quatre pattes, chevauchés par des brutes qui leur piquent les flancs à coups de poignards. Leur proposer la conversion. Devant leur refus, couper les mains et les pieds, avant la mise à mort. Après, on joue au ballon avec leurs têtes tranchées. Des jeunes filles et des femmes sont violées, encore et encore enlevées ou vendues. Des vieilles atterrées assissent à tout cela, se jettent de la terre sur le visage et se signent en gémissant. Des enfants sont raptés pour servir au plaisir. Parmi les tout-petits, il y a ceux qu’on lance en l’air avant de les embrocher. Il y a des artistes à ce jeu de bilboquet infernal. Comme une digue qui crève, le délire sexuel, né de la constante frustration, ne peut se contenter du viol. Il faut, dans l’échauffement collectif, pouvoir trancher les seins, éventrer les femmes, plonger la lame dans la chair vive avant d’égorger. Au soir, les cadavres des femmes couchées les unes à côté des autres ressemblent à des moutons au repos. Les vieillards qui protestent ou s’interposent sont attachés par grappes à des troncs d’arbres et lapidés. On leur coupe le nez, les oreilles, les testicules : « De toute façon, ça ne te servait plus ! » D’autres sont crucifiés et on leur applique des fers rougis. Et ce prêtre insoumis qu’on punit, après l’avoir longuement tourmenté, dont on arrache les yeux avant de verser quelques gouttes de pétrole et d’y mettre le feu. Aujourd’hui je revois les vieilles de mon enfance, toujours vêtues de noir ; les yeux secs désormais, rivés sur un deuil aux cendres encore vives. Chœur muet de l’impossible oubli.
In Mémoire de ma mémoire, Gérard Chaliand, édition Julliard, Paris, 2003.
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countdown365jours · 10 years ago
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Cahier d’Aghavni Gakavian, née Ketendjian, contenant des proverbes et fables de Van. (en cours de traduction) Archives C.Gardon.
Aghavni Gakavian, née Ketendjian 1879-1963), mère de l’écrivain Victor Gardon, est née à Van, région de Vasbouragan. Lors du génocide des Arméniens, en 1915, la famille quitte la ville et se réfugie tout d’abord à Tiflis, puis à Vladikavkaz où son mari Haroutioun Gakavian, membre du parti Armenagan, décède en 1918. C’est dans les années 20, tout d’abord à Istanbul, puis plus tard en Belgique où elle vivra, qu’elle se met à noter ces textes, témoignages inestimables d’une culture disparue.
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countdown365jours · 10 years ago
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Conférence MuCEM: A propos du génocide arménien
Avec Gaïdz Minassian (journaliste au Monde) et Vincent Duclert (historien)
Documentaires, reportages, JT… Au fil des commémorations du génocide et des événements d’actualité, la question arménienne fut largement évoquée à la télévision française durant les dernières décennies.
Ce Temps des Archives sera l’occasion de replonger dans l’histoire des relations entre la France et l’Arménie, ainsi que dans celle de la communauté arménienne de France.
Cette rencontre s'inscrit dans le cadre du cycle Le temps des archives.
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countdown365jours · 10 years ago
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« Je ne supporte pas les gens qui se plaignent. Or, il n’y a que ça, sur cette terre. C’est pourquoi j’ai un problème avec les gens. Dans le passé, j’aurais eu maintes occasions de me lamenter sur mon sort mais j’ai toujours résisté à ce qui a transformé le monde en grand pleurnichoir. Jusqu’à mon dernier souffle et même encore après, je ne croirai qu’aux forces de l’amour, du rire et de la vengeance. Ce sont elles qui ont mené mes pas pendant plus d’un siècle, au milieu des malheurs et, franchement, je n’ai jamais eu à le regretter. »
Le roman débute comme un policier et se poursuit par un voyage à travers le xxe siècle…
Lire la suite sur : http://www.gallimard.fr/Media/Gallimard/Entretien-ecrit/Entretien-Franz-Olivier-Giesbert-La-cuisiniere-d-Himmler
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countdown365jours · 10 years ago
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Elle allait serrer une dernière fois sur son cœur le corps ensanglanté, quand Chukry Bey l’attrapa par les cheveux et la tira violemment en arrière, essayant de l’entraîner dehors. Almaste s’accrocha à la table. Adèle, l’aînée des trois fillettes, sa frêle silhouette de poupée blonde dressée face aux Turcs, les mains étendues en arrière vers Annig et Arpig, voulait les défendre, les couvrir de son petit corps. Saleh Bey fit feu sur les fillettes qui, la tête cachée dans leurs bras, hurlaient… Leurs petits corps en tombant s’entremêlèrent et leur sang gicla sur le mur. Chukry Bey essayait toujours d’arracher Almaste de sa table et de l’entraîner dehors. Brusquement, il la poussa et la renversa sur le divan. Alors il se mit à arracher ses vêtements. Son corps de nacre, que personne n’avait jamais vu, apparaissait aux yeux de Vahram. A mesure que sa nudité se découvrait, Almaste paraissait de plus en plus jeune. Vahram ne voulait pas regarder, mais il ne pouvait s’empêcher de voir. Malgré les efforts d’Almaste pour se dégager, malgré ses cris : « Tuez-moi, tuez-moi donc, monstre, assassin, bandit », les vêtements s’en allaient en lambeaux, quand, dans un effort surhumain, laissant entre les mains du bandit un jupon, elle se libéra, se jeta en bas du divan, prit la hache sur le lit de Thomas et en assena un coup terrible sur l’épaule de Chukry Bey. Plusieurs coups de revolver éclatèrent, Almaste s’écroula en gémissant. Presque aussitôt, une foule furieuse fit irruption dans la pièce, les fenêtres furent ouvertes, et les cadavres jetés dehors. Tout ce qui était transportable dans la maison fut pillé, puis brusquement, le bruit cessa. Le molosse Gaïl se mit à hurler à la mort. Dans la chambre, il ne restait que le sang qui avait tracé de longs sillons rouges sur le mur.
In Le Vanetsi de Victor Gardon,Stock, 2008.
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countdown365jours · 10 years ago
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Cartoon of Chappatte about the Armenian Genocide.
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countdown365jours · 10 years ago
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The Armenian Genocide Message by Kev Orkian 
The Armenian Genocide happened. A personal message from Kev Orkian. Kev introduces his ancestors that were barbarically slaughtered by the Turkish Ottoman government.
This year marks the 100th commemorations of the Armenian Genocide. People all over the world are remembering and commemorating the 1.5 million massacred Armenians.
I implore all Armenians around the world to post pictures of their ancestors.
Let's flood the net with what really happened.
http://www.kevlive.com
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countdown365jours · 10 years ago
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Grand Reportage RFI: 100 ans après le Génocide, les Arméniens souffrent toujours
Grand Reportage vous emmène aujourd’hui en Arménie. Le 24 avril 2015, le pays célébrera le centième anniversaire du Génocide arménien, qui a fait environ un million et demi de victimes. Aujourd’hui, la mémoire de cette tragédie reste vive dans chaque famille arménienne, tout comme la souffrance de ne pas être reconnus comme victimes d’un génocide partout dans le monde, notamment en Turquie. Piotr Moszynski s’est rendu en Arménie.
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countdown365jours · 10 years ago
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Pour la première fois, un pape reconnaît le "génocide" arménien
Le pape François est devenu, dimanche, le premier pape à reconnaître publiquement le génocide arménien de 1915-1917. Le souverain pontife a estimé qu'il s'agissait de l'une des "trois tragédies massives" du XXe siècle.
Le pape François a utilisé, dimanche 12 avril, dans le cadre solennel de la basilique Saint-Pierre de Rome le terme "génocide" pour décrire le massacre des Arméniens il y a cent ans, au risque de fortement perturber ses relations diplomatiques avec la Turquie.
"Au siècle dernier, notre famille humaine a traversé trois tragédies massives et sans précédent. La première, qui est largement considérée comme 'le premier génocide du XXe siècle' a frappé votre peuple arménien", a déclaré le pontife en citant un document signé en 2001 par le pape Jean Paul II et le patriarche arménien.
(...)
Pour voir la vidéo ainsi qu’une vidéo d’explication de Jean-François Colosimo,  théologien et historien des religions: http://www.france24.com/fr/20150412-pape-francois-reconnait-genocide-armenien-turquie-armenie-vatican/
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countdown365jours · 10 years ago
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Québec: Je me souviens – Centenaire du génocide arménien -1915 – 2015
Une importante communauté arménienne s’est implantée depuis fort longtemps dans notre quartier du nord de Montréal, Ahuntsic-Cartierville, ainsi qu’à Saint-Laurent et à Laval. Plusieurs de nos fidèles lecteurs sont donc d’orgine arménienne. Ils nous ont appris, par leurs demandes et leurs sélections, à découvrir cette culture millénaire fort riche ainsi que les souffrances que le peuple arménien a subi il y a cent ans.
Nous aimerions rendre hommage à la communauté arménienne de Montréal en vous présentant ces essais et oeuvres littéraires qui témoignent du génocide arménien, un épisode tragique de l’Histoire du XXe siècle. Je me souviens …
La grande sélection de livres de la librairie Monet à Montréal à voir ici.
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