exilenpagaille
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J’ai mal parce que tu détruis tout ce que je pensais de lui.
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J’ai le sentiment qu’il aurait été plus logique que nos chemins ne se rencontrent jamais, pourtant je ne peux plus me passer de toi.
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Je n’ai pas envie que tu ne sois qu’une période de ma vie, je ne veux pas me rappeler de toi en t’associant qu’à un seul moment, un seul endroit. Je ne veux pas que tu ne sois qu’une anecdote, un passant de plus.
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28/05/25
Me voici dans le train, de nouveau finalement. Cela fait une semaine que je suis rentrée de Finlande. A peine le temps de process ces derniers mois que je repars déjà à l'autre bout du monde. La Polynésie, destination de rêve, pourtant cette année c'est différent, je crois que j'aurai préféré rentrer chez moi. J'ai conscience de la chance que j'ai, puis, au delà de cela, je vais pouvoir voir mes parents, rendez-vous annuel. C'est juste qu'au bout de la troisième fois, le voyage devient lourd, semblant encore plus long que le fois précédente. J'arrive jeudi à 4h50 du mat, je commence mon stage lundi prochain, et j'ai encore du mal à me situer. C'est la vie que je voulais mener.
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One day this will be our last walk together and we won’t even know it.
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Nous avions pris une trottinette, il m’avait accompagné pour faire un aller retour chez moi afin de récupérer ma carte d’identité pour rentrer en boîte. Mes mains autour de lui, me tête posée sur ses épaules, je regarde le paysage défiler. En face de nous, un croissant de lune parfait se dessine juste au milieu de notre chemin. Je souris, le vent sur mon visage me fait du bien. Je souris de nouveau, nous, toi, roulant dans le crépuscule de ma nuit qui ne tardes plus. Je voudrais rester ici pour l’éternité.
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Peut-être que c’était intense car nous savions qu’il y avait un temps imparti, une date de fin.
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Chaque jour qui passait, j’attendais le moment où cela allait arriver, où nous cesserions de nous regarder de la sorte, où nous mettrions de la distance entre nos lèvres. Chaque jours j’ai attendu celui où nous serions lassés l’un de l’autre, mais ce dernier n’est jamais arrivé. Pire encore, les choses n’ont cessé de s’intensifier. Nos regards plus longs, plus soutenus, nos étreintes plus fortes, nos mots plus posés et assurés.
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