Don't wanna be here? Send us removal request.
Photo

Cette affiche pour la comédie musicale “West side Story” a été réalisée en 1996 par le designer Hongrois István Orosz, ou Utisz, pour le théâtre Petőfi de Veszprém. Elle était initialement imprimée en offset au format 70 X 100 cm.
D’abord scénographe et réalisateur de films d’animation, István Orosz s’intéresse par la suite au monde de l’affiche. Il crée des visuels influencés par des techniques traditionnelles comme la gravure sur bois qui évoquent l’image impossible, l’illusion d’optique et l’anamorphose.
Ainsi la perspective est détournée dans cette affiche afin de créer un visuel surréaliste à la M.C. Escher qui donne un sentiment d’inconfort visuel : le regard n’arrive pas à se fixer entre le bas et le haut de l’affiche car les points de fuite sont différents. L’image est construite comme un oxymore qui illustre parfaitement la thématique de la comédie musicale, l’amour impossible entre 2 personnes issues de groupes différents dans le quartier Upper west side à New York. Les protagonistes peuvent d’ailleurs être représentés par les colombes. Celles-ci symbolisent également la paix et le fait qu’elles soient mises en cage évoque la violence sous-jacente à une pression sociale forte.
http://utisz.blogspot.fr/
#IstvánOrosz#Utisz#westsidestory#1996#Petőfidevesprém#perspective#oxymore#symbole#MCEscher#illusiond'optique#surréalisme#affiche#offset
0 notes
Photo






L’artiste Phillip K Smith III a construit en Californie cette cabane qui associe du bois, des miroirs et des LEDs colorées pour donner l’impression qu’elle disparaît dans le paysage de jour alors qu’elle devient une oeuvre multicolore la nuit.
La cabane en bois en question a été construite dans les années 1940 en plein désert Californien. Servant de refuge à l'époque, elle avait été abandonnée depuis de nombreuses années. Avant l'arrivée du projet de Phillip K Smith III, cette maisonnette n'était qu'une carcasse boisée.
Phillip K Smith III l'a rendu "invisible" grâce à un jeu de miroirs et de lumières très étonnante. Sur les morceaux de bois, des miroirs ont été installés à raison d'un tronçon sur deux. Les espaces vides correspondant à la porte et aux fenêtres ont également été dotés de miroirs. Le résultat est tel qu'on dirait qu'on voit à travers les morceaux de bois. En réalité, il s'agit simplement des images réfléchies dans les miroirs. Et, pour couronner le tout, Phillip K Smith III a placé des lumières LED pour que, la nuit tombée, la cabane s'illumine de toutes les couleurs.
Smith explique : « Lucid Stead exploite le calme et le rythme des changements du désert. Lorsque vous prenez le temps et que vous vous placez face au désert, le projet commence à prendre forme devant vous. Il relève les jeux d’ombre et de lumière, la lumière réflêchie, la lumière projetée, et tout leurs changements ».
http://royaleprojects.com/lucid-stead
http://pks3.com
1 note
·
View note
Photo




IDENTITÉ VISUELLE DE CHARLEROI
Charleroi est une ville Belge. Leur identité visuelle a été redéfinie après un appel à projet européen en 2014. Le studio qui a finalement été choisi est Pam & Jenny, un studio de graphisme Belge, installé à Bruxelles.
Pam & Jenny ont réussi à donner une identité visuelle forte à la ville mais surtout contemporaine. Charleroi est une ville industrielle dont l’économie est en forte baisse. C’est pourquoi la ville a voulue donner un élan de dynamisme à travers cette identité. Elle veut aussi démontrer à travers cette image contemporaine une ouverture vers les arts mais surtout vers la culture pour attirer de potentiels investisseurs.
Ce logo se base sur l’Histoire de la ville. La lettre “C” apparaît pour créer un parallèle entre le nom de la ville et le prénom du roi d’Espagne Charles II à qui la ville doit son nom. La typographie de cette lettre et l’univers graphique ont été influencés par l’identité visuelle des ateliers de constructions électrique, patrimoine industriel de la ville. L’élément visuel qui se trouve au dessus de la lettre représente la crête d’un coq, symbole de la Wallonie, région dans laquelle s’inscrit la ville. Cet élément fait aussi référence à la forme des terrils, résidus miniers emblématiques. La typographie utilisée a été créée par Michael Mischler, typographe berlinois.
Un des points forts de cette identité est que sa simplicité s’adapte à de nombreux support, à des composition simples qui mettent en valeur le contenu. L’identité visuelle a du caractère, tout ce dont à besoin une ville selon l’agence de graphisme qui la réalisée.
http://etapes.com/charleroi-le-logo-aspire-a-la-couronne
http://www.pametjenny.be
1 note
·
View note
Photo




BONS BAISERS de MARTINIQUE
Projet issu de la collaboration de Calepino et de l'Atelier Bingo, réalisé en juin 2015. Calepino est un fabricant français de carnet basé à Nantes. L'Atelier Bingo est l'association de Maxime Prou et Adèle Favreau, deux illustrateurs et designers graphiques français, qui apprécient beaucoup la sérigraphie ainsi que la couleur et les formes abstraites. L'Atelier Bingo s'est chargé de réalisé les illustrations pour la troisième Édition Éphémère de Calepino. La demande était de faire de la couleur « en veux-tu en voilà » et par association d'idée (« plein de couleurs » = « été » = « vacances » = « Martinique »), l'édition de l'été fut créée. Les couleurs sont chaudes et festives et les formes tendent à rappeler notamment des fruits, tels que l'ananas ou la passion, ainsi que la technique du papier découpé.
« BONS BAISERS de MARTINIQUE » comprend 9 carnets de poche, une affiche, et quelques cartes postales (des Caraïbes) . Sources : http://atelier-bingo.fr/Calepino-x-Atelier-Bingo http://www.calepino.fr/s/33184_223019_bons-baisers-de-martinique
#Calepino#AtelierBingo#2015#BonsBaisersdeMartinique#Carnet#Affiche#CartesPostales#Couleurs#été#PapiersDécoupés
1 note
·
View note
Photo










Caroline Pera, illustratrice, s'intéresse à la phase qui précède la perception consciente des symboles et de la langue, ce que le psychanalyste Jacques Lacan appelle « la phase miroir ». C'est la phase où l'enfant commence à reconnaître des images et à développer son imagination. C'est dans ce temps-là que l'enfant se reconnaît dans le miroir et se différencie de la mère.
Elle a mis en place un exercice ludique dans un orphelinat au Népal, dans la vallée de Kathmandu, où elle travaillait à mi-temps. Elle a ainsi représenté les visages des douze enfants sur de grandes toiles et les a laissés représenter leur corps avec des pigments purs du Népal.
Ce projet s'appelle « Painted Identity » et a été réalisé en 2015. Cet exercice ressemble à celui d'un anthropologue où il est intéressant de confronter :
celui qui observe/celui qui participe
le portrait/ l'auto portrait
la vision de Caroline Pera sur ces enfants/celle qu'ils ont d'eux mêmes
La vision de jeunes enfants/ celle de plus âgés.
Les enfants peuvent alors se questionner sur eux-même et créer une image d'eux-même. Elena Orlandi, psychologue, aide à analyser et interpréter par la suite ces dessins avec ses symboles, ses couleurs et ses compositions. Les plus grands se dessinent des costumes, des muscles, écrivent, alors que les plus jeunes préfèrent les formes abstraites, les touches de couleurs, les lignes spontanées.
Le contraste fort entre la représentation de Caroline Pera et celle des enfants illustre le traumatisme causé par la séparation qu'a vécu Caroline Pera en les quittant. Elle a voulu laisser une trace, unir une partie d'elle à chacun de ces enfants, et les figer dans le temps avec ces portraits très réalistes, comme une mère désirant que ses enfants ne grandissent pas.
http://carolinepera.com/painted-identity/
1 note
·
View note
Photo


Le projet Dot One a été imaginé par la graphiste londonienne Iona Inglesby, qui s’intéresse très généralement à la rencontre entre le design et les sciences. Ce projet en est la preuve, car il permet de retranscrire graphiquement l’ADN humain. En effet, chaque être humain a un ADN qui diverge de 0,01% des autres humains, et c’est ce pourcentage que la graphiste a voulu faire ressortir. C’est grâce à un algorithme que l’on peut découvrir ces séquences d’ADN, ce qui aboutit à des trames colorées et régulières, personnelles, qui peuvent être utilisées sur textile.
http://etapes.com/dot-one-l-adn-pour-generer-des-motifs-uniques
http://www.dotone.io
http://www.ionainglesby.com
1 note
·
View note
Photo



BOUGIES UTOPIA
Imaginez le monde comme vous aimeriez idéalement qu'il soit. (slogan)
Ce packaging retrace l’histoire de la bougie, témoin passif des avancées historiques et des projets utopiques des Hommes. Les images noires et blanches de l’emballage évoquent un souvenir historique, des grandes étapes des sociétés européennes. À travers ces visuels on peut percevoir une évolution chronologique, les bâtiments et valeurs de la société évoluent.
Les designers de ce packaging s’inspirent des grands écrivains et philosophes de l’Histoire, qui avaient en tête des modes de vies utopiques. “Walden” s’inspire du livre “Life in the woods” écrit en 1854 par l’américain Henry David Thoreau. Dans ce livre il explique son expérience, celle de construire une cabane dans les bois pour voir ce que serait la vie seul, sans appartenir à une communauté, vivre avec simplicité. “City of tomorrow” s’inspire d’une des théories du Corbusier. “The republic” s’inspire d’une des théories de Platon.
Le parfum de ces bougies s’inspire des histoires de leur packaging. Elles sentent la baie sauvage, l’agrume, le géranium, le cassis, l’ambre et le bois de santal. Ce sont des pots en céramique. Une fois déballé le pot de la bougie est très simple, c’est une invitation à imaginer notre propre théorie utopique.
Le tout mesure 80 mm par 90. Cette gamme de bougie peut s’acheter sur le site http://www.theschooloflife.com/shop/utopiacandlewalden/ .
Ces bougies ont été créées pour la marque Londonienne “The school of life”, qui existe depuis 2009. Cette entreprise s’étend dans le monde entier, elle fabrique des objets qui ont pour but d’enrichir notre culture personnelle mais aussi qui nous aident à nous épanouir. La directrice artistique de “The school of life” est Morgwn Rimel.
Morgwn travaille dans de nombreux domaines, elle a réalisée des films, des spots tv et des livres.
0 notes
Photo






Ella & Pitr sont deux artistes qui forment le couple des Papiers Peintres. Ils se sont rencontrés en 2007 alors qu’ils collaient à Saint Etienne. Ils ont aujourd’hui deux enfants.
Ils ont réalisés de nombreux collages de rue représentant notamment des colosses ensommeillés, de gros oiseaux aux ailes lourdes, des ramasse-poussières, des mangeurs d’enfants, des tas de pierres, des chaises ou encore des grosses mamies.
Ce qui les intéresse dans le papier est d’investir l’espace public : ils aiment l’interactivité avec les acteurs des villes, ses habitants. Parfois, ils choisissent le lieu avant l’illustration parce qu’ils estiment important que les murs choisis aient une histoire ou un contexte particulier et crée un lieu avec leurs papier-peints. Toutes leurs illustrations se racontent comme un récit. Ils utilisent pour leurs collages du papier et des encres chinoises
Ils ont exposés dans plusieurs galeries sur toile mais aussi directement sur les murs extérieurs, puisque c’est là que tout a commencé pour eux. Ils estiment que l’art de rue est pour eux le meilleur moyen d’entrer en contact avec le public.
Leur tumblr : http://ellapitr.tumblr.com/
0 notes
Photo








Designer : Louise Skafte Client : The Yogurt Shop, bar situé à Copenhague au Danemark. 2013 L’idée principale derrière ce graphisme était de créer une identité avec une palette de couleurs limitée, une typographie propre avec des formes simples. Le tout fignolé par une touche féminine (car le bar appartient et est tenu par deux femmes), et une référence évidente au style nordique. Tous les éléments du magasin viennent de fournisseurs danois bio et de grande qualité. Cela se reflète dans chaque aspects de l’identité de la marque, donnant alors une image positive, proche de son client par rapport à l’intérêt qu’il lui donne. C’était aussi important que l’identité soit dans un style nordique pour qu’il soit alors facile de l’exporter dans d’autres pays de Scandinavie. sources : https://www.behance.net/louiseskafte + le livre Eat&Go
2 notes
·
View notes
Photo





Le concept repose sur l'idée de l'effraction. Dans le language des cambrioleurs le losange signifie « maison inoccupée ». Il est généralement dessiné en tout petit à la craie sur le chambranle des portes à hauteur d’homme. >> L'achat comprend: + 1 CD numéroté et sérigraphié + 1 drapeau en voile de coton sérigraphié 2 faces (90x120) cm + 1 fanzine 24 pages avec les paroles (41x30) cm + 1 éclat de porte du studio d’enregistrement + 1 exemplaire digital haute définition (48k-24b) NB: dédicacé et expédié par le groupe. CONFECTION: La rondelle CD est emballée dans un fanzine, puis enveloppée dans un tissu imprimé sur les deux faces. Un éclat de porte en bois est posé sur l'ensemble et le tout est scellé sous vide à la main. >> L'objet final s'apparente donc à un carré solide, emprisonné dans du plastique, sur lequel se retrouve figé un bout de porte du studio d’enregistrement désossé à la pince.
Odezenne renouvelle le concept d’album en tant que “musique a emporter”. Ici, les possesseurs de ce coffret détiennent un morceau de la création du groupe au sens littéral. Le pack symbolise la “maison innocupée” dans lequel l’auditeur rentre comme par infraction, et découvre des objets (fanzine, eclat de porte, voile) témoins d’une présence. Comme lorsque l’on entre dans une maison habitée mais inoccuppée, on essaye de s’imaginer les personnes qui l’habitent en fonction de ce qu’elle possedent.
Ils renforcent ainsi le lien déjà fort entre la musique et tout le visuel qui l’acompagne, en les rendant dépendant l’un de l’autre. On sent ici un album intime, poétique, et en un sens tragique : comme si les éditions limitées de l’album étaient des éclats d’une oeuvre qui appartient au passé, dont la conception ressemble à une relation fusionnelle
https://odezenne.bandcamp.com/album/dolziger-str-2
1 note
·
View note
Photo





SAGMEISTER & WALSH - Campagne FW15 - 2015
Cette série de photo fait partie d’une campagne publicitaire réalisée en 2015 pour Aizone : un magasin de vêtements du moyen orient à Dubaï. Les supports mesurent 4 mètres par 3 mètres.
Les visuels sont basés sur l’idée du trompe l’oeil, mais en inversion. Le concept est de rendre une image 3D en 2D. L’agence reprend les codes de l’illustration et du dessin en deux dimensions. Les créatifs retravaillent des décors directement à la peinture en accentuant et en cernant les formes des objets : Contours des sacs, aplatissement des rendus, etc...
Cette campagne peut faire référence à Roy Lichtenstein par les jeux de trames et de couleurs très vives.
Source :
http://www.sagmeisterwalsh.com/work/project/aizone-campaign-fw15/
0 notes
Link
Max Cooper, est musicien, Tom Hodge est artiste Vjing (”Vi Djing”). En très gros le Vjing consiste a créer un programme qui va donner une forme au son. En fonction de la note, de intensité, du tempo etc.. Les couleurs et les formes seront différentes. Le VJ peut ensuite de la même manière qu’un DJ sur la musique influer sur la vidéo en live. Dans celle si Tom Hodge a voulu exprimer ce qui se passe dans notre cerveau quand on écoute de la musique. Comme la lumière et les images avec nos yeux (persistance rétinienne RPZ la biquette) , la musique marque un court instant notre petite cervelle. Un liens vers une autre collaboration des deux artistes : https://vimeo.com/141570036 Des liens vers d’autres musique de Max Cooper mais avec d’autres VJ : https://vimeo.com/113036062
https://vimeo.com/98435385
https://vimeo.com/84950688
0 notes
Link
Don’t hug me I’m scared ou “Ne me câline pas j’ai peur”, est une série de vidéos créées par les artistes Becky Sloan et Joseph Pelling. La production a commencé en 2011 et ils en sont aujourd’hui à leur 5ème vidéo, bientôt 6. Les 5 vidéos abordent chacune un thème, la créativité, le temps, l’amour, la technologie, et la diète. Dans ces vidéos l’atmosphère est enfantine, comme ces séries que les enfants regardent le matin. La différence, c’est que l’ambiance devient rapidement glauque, oppressante voir gore. Les deux designers graphique, on créer cette série pour montrer je cite “Comment ne pas apprendre quelque chose” et aussi pour dénoncer (dans le premier épisode) le fait qu’un concept abstrait comme la créativité soit enseigné comme une matière et en devienne alors stupide. Becky et Joseph savent ce pendant que toute les personnes visionnant ces vidéos les interprètent différemment et ne s’en plaignent pas du tout. Perso, j’ai pensé à une critique envers les personnes laissant leurs enfant regarder n’importe quoi.. Voilà, amusez vous bien.
0 notes
Video
vimeo
Le projet In the eyes of the Animal a été imaginé par le collectif londonien Marshmallow Laser Feast, principalement orienté vers le design numérique.
Basé dans la forêt de Grizedale (parc national du Lake District) dans la partie nord de l’Angleterre, cette expérience permet de voir la forêt à travers les yeux de ses habitants. Grâce au port d’un casque, il est possible de visualiser ces zones à 360°, et même de survoler les bois (grâce à des captations de drônes). Le son du casque permet d’être totalement immergé dans cette expérience, qui peut être accompagné d’un SubPac, sorte de gilet en contact avec le corps qui vibre en fonction du son.
Ces captations surréalistes sont possibles grâce à la combinaison de trois procédures : le scanner (retranscription par rayons X), la télédétection par laser (mesure à distance par laser visible), et la photogrammétrie (modélisation d’un endroit grâce à des images de différents points de vue.
Aucun site n'explique précisément le rendu visuel, qui semble dépasser l’entendement humain.
Pour plus d’infos : http://www.creativeapplications.net/maxmsp/in-the-eyes-of-the-animal-mlf-virtualise-a-forest-through-the-eyes-of-its-creatures/
http://marshmallowlaserfeast.com
#video#design numérique#in the eyes of the animal#marshmallow laser feast#bivouac du futur#2015#angleterre
1 note
·
View note
Photo






Avec le rappeur Snoop Dogg, Pentagram a imaginé l’identité de la ligne de produits de cannabis Leafs by Snoop, en respectant un style « California Cool ». Ces boîtes colorées réunissent des « Dogg Treats » : des chewing-gums, 6 barres chocolatées aux goûts différents, des bonbons et une notice (sur laquelle on peut lire « Grind it, Roll it, Light it ») à destination des consommateurs du Colorado, un état américain dans lequel le cannabis est légal. Le logo représente une feuille de marijuana abordée de manière graphique avec un effet de facettes. Les visuels rassemblent des images de feuilles de palmiers verts, de plages ensoleillées et de piscines bleues.
0 notes
Photo










Les Sales Gosses est un restaurant qui a récemment ouvert ses portes au Québec. C’est Figure Studio, un studio de création québécois, qui s’est occupé de la création de son identité visuelle, qui devait traduire l’image “rebelle et élégante” du restaurant.
L’identité, qui mélange peinture, photographie et travail à la main, réussit à traduire subtilement et intelligemment les deux aspects contrastés que revendique le restaurant. Le noir et blanc, pour l’élégance, des coulures, des déchirures, et un logo qui utilise une typographie style pochoir pour l’aspect rebelle.
L’identité est décliné sur des affiches publicitaires, annonce presse, cartes de visites et autres goodies en lien avec l’univers de la restauration.
Source: http://www.figure-studio.com
#LesSalesGosses#FigureStudio#2015#design graphique#design d'identité#Rebelle#Elégant#Volontairement décalé#Identity#Branding
0 notes
Photo



Campagne de communication à destination des familles concernées par la maladie d’Alzheimer réalisée par le studio suisse Fulguro en 2010. Prendre soin d’une personne atteinte par Alzheimer peut être difficile pour les personnes proches. Chaque affiche de la série de 3 posters montre une personne de génération différente pouvant être concernée par la maladie. Les échelles dont il manquent plusieurs barreaux illustrent une situation qui devient lentement impossible. C’est une façon de représenter le sentiment d’impuissance auquel doivent faire face les proches des victimes de la maladie d’Alzheimer. Ce projet a été fait en collaboration avec Plates Bandes Communication.
http://www.fulguro.ch/
0 notes