Je vous partage mes leçons de vie, peut être que sa pourrait t’aider?
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L’amour
Depuis peu, j’ai rencontré un jeune homme. Un jeune homme pour qui je tombe de plus en plus en amour. Ça faisait quatre ans que je n’avais eu personne dans ma vie. Quatre ans dans la vingtaine, ça équivaut à 10 ans dans la vrai vie. J’ai passer au travers de tellement de choses, mais surtout, j’ai appris ce que je voulais dans la vie et à m’aimer comme personne. Fack bref, j’ai rencontré l’amour. Ça m’amène tellement de sentiments positifs. Les premiers papillons, les premiers colleux, le premier baiser, les premières fois. Mais plus le temps avance, plus j’ai peur. Dans mes deux dernières relations, j’ai eu l’impression de me faire niaiser. Des relations qui n’ont pas durer, avec des personnes qui n’étaient pas prête à être en couple. J’ai peur d’être retomber dans ce pattern. Il est parfait à mes yeux, différents des autres, mais s’il me cachait quelque chose? S’il voulait juste me niaiser? Mais il est différent des autres, il n’a pas beaucoup de relation à son actif, prends son temps et surtout me respecte dans tous les aspects de la vie. Je peux autant rire avec lui que pleurer s’il le faudrait. C’est ma troisième relation sérieuse et je voudrais avoir une relation qui dure plus que trois mois, une vrai relation. Une relation dans laquelle tu vit des hauts, des fous rires, des cris et dans laquelle on peut aussi vivre des bas qu’on surmontera à deux toujours, même si on ne s’aime pas trop la face sur le moment. Bref, qu’est-ce qui me dit qu’il est le bon? Je crois que je le saurai réellement jamais, mais l’amour est un sentiment tellement fort et puissant que nous ne pouvons pas vraiment le décrire en mots. Il faut le vivre pour comprendre. Je vous souhaites de vivre se sentiment de joie, de stress, de colère et de tristesse envers cette personne qui est devenu votre priorité depuis les derniers mois. Bref, je vous souhaites de trouver l’amour.
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La crise de la vingtaine
Depuis que j’ai vingt ans, tout a changé dans ma vie. J’y croyais pas avant qu’on avait une crise à vingt ou bien à quarante ans. Avant de pogner mon vingt ans, j’étais focusser sur le travail et avoir une belle carrière. Le avoir l’air quoi. C’était vraiment important pour moi que les autres personnes me voient comme une personne qui a réussi sa vie. Je travaillais des 25h par semaine sans compté l’école (j’avais peut-être une trentaine d’heure par semaine d’école/d’études). Je suis arrivé à un point dans ma vie où j’étais à bout de tout ça, de rendre les autres heureux. J’ai frapper un bon mur. À ce moment j’avais deux choix. 1, je faisais un burn out ou 2, je lâchais soit le travail ou l’école pour ralentir mon rythme de vie et me retrouver. J’ai choisis l’option 2. Comme il était impossible pour moi d’arrêter de travailler (considérant que j’avais un appartement à payer) j’ai décidé de faire pause sur mes études. La vie a bien fait les choses et j’ai pu travailler dans mon domaine d’étude. Mon mindset à changer du tout au tout à ce moment là; je voulais être heureuse. Qu’est-ce qui me rend heureuse? Il y a longtemps que j’avais mis mes hobbies de côtés pour donner tous mon temps au travail. J’ai retrouvé ce qui me rendais heureuse, lire, prendre des photos, passé du temps de qualité avec mes proches. Suite à cela, j’ai vécu mon premier voyage à vie au Portugal. J’ai découvert un souhait de découvrir le monde le plus possible. Je veux visiter le plus de pays possible. À 21 ans, je suis en Gaspésie seul pendant 10 jours. J’ai toujours attendu les autres pour vivre des expériences et j’ai fais le choix aujourd’hui, d’arrêter d’attendre les autres et de vivre ce que je voulais vivre. Que ça soit seule ou accompagné. Ensuite, les questions existentielles ont prisent place dans mon esprit. J’aimerais avoir des enfants, mais est-ce que je suis prête à avoir des enfants? Et au font est-ce que j’en veux vraiment? Je gère des enfants à longueur de journée (étant T.E.S) et je suis brûler à la fin de ma journée, est-ce que je me vois continuer à gérer d’autres enfants en arrivant à la maison? Est-ce que je veux une vie stable ou bien en mouvement? Si j’opte pour la vie stable, je m’achèterai une maison, mais je ne voyagerai pas dans les prochaines années. Par contre, si j’opte pour la vie en mouvement, je voyagerai, mais je fais le deuil de probablement jamais m’acheter de maison. Depuis que j’ai 12 ans que j’ai voulu être T.E.S. C’est bien la seul chose qui a toujours été encrée en moi. Maintenant que je sais c’est quoi ce travail, je me dis est-ce que je veux vivre cette vie où j’arrive brûler à tous les soirs? Si je n’étais pas T.E.S qu’est-ce que je ferais? Est-ce que ça me rendrais autant heureuse?Il y a 2 ans de cela, j’habitais chez mes parents, j’avais jamais voyager, je me prenais pas soins de moi. J’habite maintenant en appartement avec un de mes meilleur ami, j’ai déménagé de ville, je m’entraîne de la maison et j’ai voyagé 2 fois plutôt qu’une. Je me sens plus heureuse que jamais même si j’ai toujours des questionnements. Si tu es dans cette passe aussi, je t’assure que tu es normale et qu’on passe toutes par là! C’est questionnement feront de toi la meilleure version de toi-même.
- Ta bestie de la vingtaine🤍
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Le jugement des autres
Le jugement des autres nous affecte tous. J’écoutais un documentaire d’un couple lesbien qui se sont cachés pendant des années parce que les autres disaient que c'est mal. Aujourd’hui, elles ne se cachent plus. Assez fou ! Cela me fait penser à notre génération à nous, les jeunes. Dès l’adolescence, nous basons notre vie sur la vision des autres. Qu’est-ce que les autres penseront si je mets une robe ? Et, si je n’en mettrai pas ? Qu’est-ce que les autres vont penser des photos que je mettrai sur Instagram ? Et, des mots que j’emploierai ? Nous vivons pour des likes et des beaux commentaires des autres dès le jeune âge. Ceci peut mener à des blocages dans les relations sociales avec les autres. Les paroles dites seront repensées avant de parler, même que des actions ne seront pas prises puisque nous risquons de nous faire traiter de « pute » ou de « conne ». J’ai 21 ans et je commence à faire des activités qui me plaisent à MOI, j’achète des vêtements qui me plaisent, mais je peux t’avouer que je fais toujours attention à ce que je dis par peur de la réaction des autres. Je commence tout juste à laisser faire les autres et faire ce que MOI, j'aime. Je suis une des personnes les plus heureuses depuis. À la suite de ce texte, je t’invite à te poser la question suivante ; est-ce que je ferai cette activité parce que j’aime cela ou parce que mes amis/mes proches le feront ? Est-ce que je choisis ce plat au restaurant parce que j’aime ou parce que les autres penseront que c’est un bon choix ? Est-ce que je choisis ces vêtements parce que je les aime ou parce que les autres trouveront que ces beaux ? Bref, je t’invite à trouver qui tu es TOI et d’essayer de vivre le plus possible pour TOI !
J'espère que ce texte fera son chemin dans ta tête .
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Ma maison des jeunes
Le bien matériel ne m’as jamais causé de tristesse ou quoi que ce soit chez moi. Mais aujourd’hui je termine ma journée avec une boule à la gorge. La page est close. La maison des jeunes aka nous avons officiellement déménager dans notre nouvelle maison. Je suis supposé être heureuse, mais je ne le suis pas. Il y avait tellement d’histoire, d’émotions qui ont été vécus dans ce local. J’ai grandi à cette place là et c’est en grande partie à cause de la maison des jeunes que je suis la personne que je suis aujourd’hui. Les moments vécus à ce local sont inoubliables, ils sont gravés dans ma mémoire. J’en ai vécu des souper parents-ados, des AGA, des camps, des nuits blanches, des conversations sérieuses quand les anims n’étaient pas fier de nous et même beaucoup trop d’implication que j’ai fait avec eux. Les anims qui étaient toujours là pour nous écouter et les conversations philosophiques en fin de soirée qu’on avait. Aujourd’hui j’ai l’impression qu’il y a un chapitre qui se ferme, c’est comme si je mettais de côtés tous mes souvenirs liés à cette place. Je suis contente de posséder une nouvelle maison beaucoup plus grande que ce qu’on avait qui peux accueillir plus de gens et qui est certainement mieux pour maison des jeunes, mais aujourd’hui je suis triste de fermés ce chapitre auquel que je n’étais pas tout à fait prête à fermer.
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L’anxiété
Pour être honnête avec vous, l’anxiété prend une grande place dans ma vie. Il y a des phases plus faciles auxquelles je gère bien l’anxiété et il en a d’autre plus ruf auxquelles mes pensées sont plus fortes que tout. Mais dans le fond c’est quoi vivre de l’anxiété? Je le vois un peu comme une petite personne qui te suit partout où est-ce que tu vas et analyse tous les jugements, toutes les situations qui serais possible d’arriver. Vivre avec de l’anxiété c’est ruff. Plusieurs personnes autour de vous en vive probablement, mais vous ne le remarqué tout simplement pas, car la société a mis un stéréotype de personne sur l’anxiété. Selon la société c’est quelqu’un de timide qui reste dans son coin et qui ne parle presque pas. Oui sa pourrais être ce genre de personne, mais sa pourrais être aussi la personne qui parle le plus dans ta classe, car c’est comme cela qu’elle est capable de gérer ses petites pensées chiantes qui te disent que tout va mal aller, que le monde autour de toi vont rire de toi, que tu vas te faire virer de ton travail à cause du minime erreur ou que tu n’es qu’une bonne a rien, en fait une folle. À quelque reprise l’anxiété peut devenir tellement forte que tu ne contrôle plus rien, tu as de la misère à respirer, tu trembles de partout et tu peux aller à même t’évanouir. Si cela arrive à un ou une de tes ami/e laisse le respirer, fait de grande respiration avec lui/elle et il/elle devrais revenir à lui-même. Si cela ne marche pas vas chercher un adulte qui pourras t’aider (un professeur, un parent un intervenant). On rit bien de l’anxiété, mais l’affaire c’est que c’est vraiment un problème de santé mentale et on doit apprendre à vivre avec. Si tu à besoin d’aide vas là chercher, je crois que sa serais mon meilleur conseil que je pourrais te donner. Je sais que ce n’est vraiment pas facile, mais je sais que sa peut vraiment t’aider. Si tu veux en apprendre plus sur le sujet je te propose le roman «taguée» de la série tabou qui explique vraiment bien qu’est-ce que c’est d’avoir un trouble d’anxiété généralisé!
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L’intimidation
Vendredi passé le 10 septembre était la journée mondiale de la prévention suicide. Je suis moi-même passé par ses pensée noir. J’étais en secondaire 1 j’étais dans un programme que je croyais aimé avec du monde que e croyais qu’il m’aimais, mais ce n’est pas sa qui est arrivés. Avant de rentrer au secondaire je jouais dans une équipe de basket avec des filles que je croyais qu’elles m’aimaient, elles étaient super fine avec moi et nous sommes pomale toutes rentrées dans ce programme de sport. Ce programme coutait cher, vraiment cher et mes parents n’ont jamais été les plus riches du monde, mais ils étaient capable de subvenir a nos besoins. Ils ont pris beaucoup d’argent pour que je rentre dans ce programme. Dès le premier jour d’école j’ai sue que je n’étais pas a la bonne place, tout le monde était habillés avec du linge de marque comme nike, adidas, under armour, calvin klein et moi non je n’avais pas ce genre de linge là, j’avais du linge qui coutait moins cher. Je me suis dit tu es a la bonne places cela ne signifie rien. Pour moi les marques de linges ne signifiais rien, mais a longue des journées qui avançaient je me suis aperçue que pour les autres les marques signifiais beaucoup. Plus les jours avançaient plus je perdais des amies, plus le monde a chaque fois qui me voyaient me trouvais bizarre me lançais des insultes sans savoir ce qui ce passais en dedans. Vers le milieu de l’année j’en pouvais plus j’appelais toujours ma mère en lui disant que j’avais mal a la tête, mal au coeur juste pour sortir de là. Un soir que ma mère était partie j‘ai fait une tentative, mais je me suis fait un scénario a mes funérailles, j’ai imaginés tout le monde qui serait là et qui pleureraient sur ma mort et j’ai compris que se n’est pas a cause de 20 personnes que je vais mourir, parce que il y en minimum 50 si ce n’est pas plus qui serait triste de ma mort. Après cette tentative j’ai décider de changer de programme l’année d’après et de me reprendre en main. Pendant l’année que j’ai été là j’ai eu des amies formidable quand même qui était la pour moi, pour me faire rire. Surtout si tu pense a cela aide toi, parle en. Si tu vis de l’intimidation vas en parler a un prof ou le directeur. Les profs ne peuvent pas tous voir ce n’est pas des super héros, mais ils font de leur possibles. Si tu as besoin d’en parler tu peut contacter Jeunesse j’écoute 24h/24 au 1-800-668-6868. Tu peut aller voir un intervenant/e de ton école ou d’ailleurs et même le service de prévention suicide au 833-456-4566.
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Heart broken
Il y a 3 ans de cela, j’ai eu mon premier heart broken. Cette relation n’as durer que 3 mois, mais sa m’as parue comme si sa faisait 3 ans qu’on était ensemble. C’était mon prince charmant, j’étais sur que j’allais passer ma vie avec lui. J’ai tellement grandi après cette rupture. J’ai compris que cette relation était peut être plus toxique que je le croyais pour moi. C’était un gars de mon école, il ne voulait jamais qu’on se vois hors de l’école. Il passais seulement les midi et les récré avec moi et mes amies et surtout il ne voulait jamais me parler quand sa n’allais pas. Il avais plusieurs problèmes dans sa vie à ce moment là. Il avait surtout plusieurs amie fille que j’en devenais jalousement folle. J’ai jamais été très jalouse dans vie, mais avec lui je suis devenue jalouse. Il était tout le temps entrain d’aller faire des câlins a c’est filles et il avait un comportement super proche avec c’est filles. Sa m’as rendu folle. Après c’est 3 ans je constate qu’il n’était pas vraiment en amour avec moi et il m’as utilisé. Je le remercie quand même d’avoir été mon vrai premier chum, car sa m’as fait grandir en tant que personne. J’ai compris qu’une vrai relation amoureuse ne devrais pas être cela. Une vrai relation amoureuse est que les deux personnes sois là l’une pour l’autre quoi que ce sois qui arrive, que ce sois des meilleurs amis. Il faut que sa sois sain pour toi que tu sois heureux/se dans cette relation si tu ne l’est pas sors de là tout de suite, un jour tu rencontreras la bonne personne qui seras à tes côtés jusqu’à la fin de tes jours. Mais n’oublie pas tu est ton seul meilleur ami quoi que ce sois qui arrive tu doit être heureux/se avec toi même avant de t’embarquer dans une relation.
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Ma meilleure amie...
Il y a un ans j'ai perdu une être chère, ma meilleure amie. Elle était le genre de personne toujours souriante, toujours heureuse quoi que ce sois qu'il ce passe dans sa vie. Elle était une sorte de mentor pour moi, je me disait je veut devenir une femme heureuse. Pendant un long moment je m'en suis voulue de ne pas y avoir dit bye avant qu'elle parte pour de bon. Je m'en suis voulue, car j'étais sur que j'allais mourir avant elle. Les quelques premiers mois après qu'elle soit partis je ne croyais pas que j'allais m'en sortir. Je pleurais a tout les soirs dans mon lit jusqu'à en être tannés de pleurer. Je ne sais pas encore comment j'ai fait pour aller travailler a tout les jours sans que personne s'aperçoivent que j'étais au moment le plus ruff de ma vie. Je crois que c'est sa qui m'as aidée a surmonté cette montagne que je croyais insurmontable. J'ai continuer a travailler et voir du monde qui savais que sa allais pas, mais savais aussi que j'avais pas besoin d'en parler. Cette femme voyait tout aux positifs, j'ai donc pris exemple sur elle et commencé a vivre ma vie a 100% comme si j'allais mourir dans les prochaine heure. Ce que j'ai appris de sa mort, c'est que tu ne sais pas quand, ou et comment tu vas mourir donc profite de ta vie et essaye de garder le plus de positif dans ta vie. Fait le ménage des personnes plus toxiques dans ta vie et je te jure que tu seras plus heureux/se. Je n'ai pas fait la paix encore avec sa mort, elle me manque beaucoup, mais je crois que j'ai fait un bon bout de chemin.
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