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loonadsr · 2 years ago
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loonadsr · 2 years ago
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loonadsr · 4 years ago
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Disparaître
Bon, Aller. Essayons.  
2 pommes et 2 boîtes de raisins plus tard;
Pourquoi pas publier, les réseaux sociaux ont du bon pour partager, pour se dévoiler autant vulnérable que superficielle.  
Utilisons cet espace pour se libérer, du moins lâcher hors de mon corps quelque chose d’envahissant, ou, des restes. Un processus est, dans la création et le partage, je sais que la distance se produit, la compréhension, le recul autant que la confusion du temps qui m’emporte dans ces vies !  
Alors, enfants, je ne sais ce que cela produira en vous, en moi, au monde ou ce que cela ne produira pas, mais essayons, de danser autour de la souffrance, non ?  
Dois-je retracer l’histoire ? Enfin, mon histoire ? Mon ? Cette. Cette histoire.  
Doit-on lui donner un nom ? Dois-je donner un nom à mon passé ? Anorexie ? Disparaître ? Invisible ? Ou plutôt besoin incontesté d’                  
ÊTRE en grand  (en grand, “normalement”)
Un sentiment encore ici en moi, vouloir disparaître de honte, de souffrance, de cœur lourd. (tu te libéreras dans l’art Enfant, l’art de grandeur). Le sentiment d’oppression, de répression, le sentiment qui arrive après l’envie de vivre, le besoin d’exister, le pouvoir de faire en grand, en beau, en soi, l’habilité de prendre de la place, de prendre sa place. L’oppression qui semble arriver du vent et qui étouffe toute vie, toute gorge, tout corps.  
Aujourd’hui, j’apprends, j’ai appris que la vie en soi - la vie en moi - est invincible (contraste à toi invisible disparâtre) , un peu oppressée parfois, mais merci au corps, à l’art, la Danse, à l’Islande, le Népal, merci aux grands espaces de lui donner place sans jugement.  
The Truth is that, I am fucking scared, so damn scared, but I promise to myself few years ago than my fears will not have full control on me, I am learning to dance with it.
Wait a minute, I’ll just try to let this here. Now. And probably it will continue. Just needed to start.  
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picture of me by Ysatis GrosClaude, 2017
Well, come on. Let's give it a try.  
2 apples and 2 boxes of grapes later;
Why not publish, social networks are good for sharing, for revealing oneself as vulnerable as superficial.  
Let's use this space to free ourselves, at least let go of something invasive, or, leftovers, out of my body. A process is, in the creation and sharing, I know that distance occurs, understanding, hindsight as much as the confusion of time that carries me into these lives!  
So, children, I don't know what it will produce in you, in me, in the world or what it won't produce, but let's try, to dance around the suffering, shall we?  
Shall I retrace the story? I mean, my story? My? This. This story.  
Shall I give it a name? Should I name my past? Anorexia? Disappear? Invisible? Or rather the undisputed need to                  
TO BE big  
A feeling still here in me, wanting to disappear out of shame, pain, heavy heart. (you will free yourself in the art Child, the art of greatness). The feeling of oppression, of repression, the feeling that comes after the desire to live, the need to exist, the power to do great, beautiful, in oneself, the ability to take up space, to take one's place. The oppression that seems to come from the wind and that suffocates all life, all throat, all body.  
Today, I am learning, I have learned that life in itself - life in me - is invincible (in contrast to you, the invisible one), a little oppressed at times, but thank you to the body, to art, to dance, to Iceland, to Nepal, thank you to the great spaces to give it room without judgment.  
The Truth is that, I am fucking scared, so damn scared, but I promise to myself few years ago that my fears will not have full control on me, I am learning to dance with it.
Wait a minute, I'll just try to let this here. Now. And probably it will continue. Just needed to start.  
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loonadsr · 5 years ago
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loonadsr · 5 years ago
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écrits 2018-2019
                            DOSSIER ANTHROPOLOGIQUE
Auteur : Loona Dusser
DESCRIPTION DE PAYSAGE
  Nous nous plongeons dans un Univers détaché de tout conditionnement Occidental. Le peuple du sable nous accueille en nous faisant découvrir la terre de ses racines ancestrales : le Sahara, une étendue vieille comme la planète bleue, un lieu allant au-delà des limites basiques de l'espace et du temps.   Notre arrivée se fait en synchronicité avec l'expression de la sensibilité solaire : c'est à ce moment que je ressens l'arrêt de l'écoulement d'une certaine notion temporelle. De mes petits yeux, perdue dans l'immensité dorée, je perçois l'explosion émanante de l'astre solaire, peignant toute la surface du ciel d'un rouge éclatant. C'est une intense lueur qui s'adoucit à travers l'étendue du firmament en virant vers un bleu délicat. Dans la continuité et la paradoxale extrémité de la toile les dunes légères, composées d'un sable infiniment doré, m'accompagnent dans la berceuse de l'astre de feu par un écho orangé venant éclairé mon être tout entier. Portés par la même valse, quelques nuages immobiles dansent au-dessus des ombres lointaines des montagnes d'argiles, semblables à des volcans en fusion. Le crépuscule endort doucement les éléments terre et vent pour laisser place au royaume silencieux et majestueux des astres. Les Touaregs, au rythme de la nature, allument silencieusement un feu terrestre dans une cheminée construite artificiellement de terre argileuse et d'eau. Avec une grande délicatesse ils commencent à préparer le thé traditionnel à la menthe, "le whisky berbère" afin de supporter la nuit froide en réchauffant leurs corps tant par la substance liquide que par la convivialité que cette coutume permet.   Après avoir partagé un moment de chaleur immuable avec ses hommes, je suis prise de sensations jusqu'alors inconnues et, pourtant, si familières ; au milieu de cet océan asséché et dénué de tout repère matériel, l'immensité et la puissance de la nature sont indubitablement ressentis. L'Homme est ici livré contre son gré à sa propre infinité et à l'immensité de l'univers l'entraînant vers une émotion étrangement réconfortante.
DESCRIPTION D'UN OBJET
  C'est un étrange boîtier noir aisément manipulable. Mes mains s'y modèlent parfaitement ; elles y trouvent leur place. Transportable assez facilement, il reste tout de même encombrant de par sa masse assez volumineuse. La masse noire est devancée par un œil artificiel précédé par une petite fenêtre sur la face opposée. Cette dernière permet à mon organe visuel de s'y transcender et de voir le monde à travers l'œil de verre. Appelé "objectif" il projette la réalité similairement à l'œil humain mais présente une différence fondamentale avec son jumeau organique : il est doté d'une capacité de zoom et de mise au point que le diaphragme naturel ne permet pas. Cette construction humaine est, pour moi, la continuité et la complémentarité de l'exhaustivité de ma perception sensorielle (pas uniquement visuelle). Grâce à l'obturateur, je peux moduler la sensibilité de la lumière et l'adapter à ma propre sensibilité. En appuyant sur un simple bouton, je peux capturer une partie de l'espace et du temps dont je suis désormais maîtresse.   La photographie me fait don de la possibilité d'exprimer ma propre sensibilité, ma propre subjectivité au travers d'une danse émotionnelle et gestuelle. Elle permet à mon être de se manifester matériellement, au travers d'une image construite tant physiquement qu'intérieurement. Bien que cette technique peut s'avérer dangereuse lorsqu'elle est utilisée à des fins politiques ou manipulatrices (étant donnée qu'elle permet à l'utilisateur d'imposer une vision particulière de la réalité qui l'entoure), elle est, pour moi libératrice et instructive car elle offre la possibilité de percevoir une réalité tout autre que celle que nous avons l'habitude de voir. C'est ainsi que d'une part l'introspection la plus profonde et d'autre part l'ouverture d'esprit, la décentralisation sont rendues possible au travers de cette invention.
L'ART DU PORTRAIT
  Au bout d'une dizaine d'heures de route le bus s'arrête. Je descends, à moitié endormie, me demandant dans quel pays le chauffeur a décidé de s'arrêter cette fois-ci. Dans la nuit silencieuse, la petite station-service expose ses écriteaux lumineux sur lesquels je peux aisément deviner des mots rappelant les langues de l'Est.   Nous sommes seuls, un petit groupe d'endormis affamés de liberté, dans une station-service au milieu d'un nulle part. C'est là que je le vois, immobile, les jambes écartées, le buste droit et la tête haute. Sa position particulièrement stable fait émaner de lui une lumière singulière, le distinguant des autres silhouettes fantomatiques. Grâce à la vision nocturne permise par les lumières artificielles je perçois son teint basané, ses dreadlocks gracieusement élevées sur le sommet de son crâne. Il fume machinalement une cigarette, le regard fixé loin devant lui ; il paraît venir d'un ailleurs.   Je m'approche doucement de lui, comme attirée non pas par la lumière de la station mais par l'étrange lueur provenant de la présence devant moi. "Salut, t'aurais une cigarette, par hasard ?". Son regard se tourne dans ma direction ; c'est là que je remarque la chaleur envahissante que son être tout entier semble véhiculer. Ses yeux ainsi que ses mains sur lesquelles des tatouages "faits maisons" ont été confectionnés avec une aiguille manipulée par des mains agiles et vagabondes sont le véhicule d'une douceur particulièrement féminine.   "Tiens" me dit-il en me tendant une cigarette. Sa voix semble soudainement provenir des limbes, il me parait brusquement perdu.   Damien.
DESCRIPTION D'UNE INTERACTION
  C'est le début de l'année scolaire et ma première année à Aix-en-Provence, une petite ville du sud de la France, à une trentaine de bornes du grand Marseille. Je suis partie dans le sud pour construire une nouvelle vie, dans un endroit où rien ni personne ne m'est familier. Je me suis fait un ami, Valentin, passionné d'histoire et assez introverti. En cette après-midi ensoleillée du mois de septembre je l'emmène au parc près de l'université, sous un arbre que j'aime beaucoup afin de nous revitaliser de choses simples entre deux cours. Un ami à lui qu'il qualifie d'assez "chelou et asocial" a prévu de nous rejoindre.   Quelques minutes après que l'on se soit assis l'individu en question fait son apparition, il s'assoit silencieusement en tailleur en face de moi en lançant un "salut" timide. Nous sommes assis tous les trois sous cet arbre, sans que qui que ce soit ne prononce un mot. L'ami de Valentin fixe le sol, la tête baissée, comme s'il ne voulait pas faire partie de la réalité, ou, du moins, d'une réalité ; comme s'il fuyait notre regard, notre regard véhicule de sa propre existence. Par cette supposée fuite, chercherait-il à s'éviter lui-même ?   Étrangement, à son arrivée, j'ai ressentis une énergie qui éveilla une douceur instinctive si longtemps ignorée. Moi qui ne parle pas beaucoup et ai aussi du mal avec les interactions sociales, je me surprends à sortir un "pourquoi tu ne me regardes pas dans les yeux quand je te parle" après lui avoir demandé son prénom. Cette question semblait venir tout droit des entrailles de mon intériorité. L'envie et le besoin de briser une frontière et de plonger dans cet être qui, par sa simple présence, éveille ma sensibilité la plus essentielle, prirent le dessus sur mes peurs sociales. "Je ne regarde jamais personne dans les yeux, pas même ma mère." me lance-t-il doucement en levant ses paupières vers les miennes. Je perçois maintenant son regard, son âme semble se dévoiler en laissant la confiance s'installer sans bruit. Son œil gauche paraît s'échapper vers une autre planète ; le jeune homme est en fait aveugle d'un œil. Il me regarde longuement par son œil droit et une étrange sensation s'empare de moi ; nous dévoilons tous deux notre sensibilité à l'autre, notre histoire, nos profondeurs, nos émotions les plus enfouies. J'ai l'impression d'être mise à nue et, paradoxalement, d'être complètement à l'aise, d'avoir une entière confiance. J'ai l'étrange sensation que l'âme que je viens de rencontrer sous cet arbre partage tout de mes ressentis. Je sais désormais que lui et moi pouvons nous comprendre au-delà des mots, au-delà des limites conventionnelles, et qu'une simple ouverture à l'autre peut créer un univers infini fait de simplicité, de compréhension, un univers basé sur la sensibilité et la bienveillance. Comme si le temps, l'espace, le monde matériel n'existaient plus, comme si nous étions plongés dans l'immensité et que cela ne nous faisait aucunement peur, comme si l'inconnu nous était familier.
DESCRIPTION D'UNE CHAÎNE OPERATOIRE
  Chez Tito la vie semble rythmée dans sa perfection. Chaque mouvement est en synchronicité avec le moment. Tito "calcule" tout instinctivement ; il accompagne chacun de ses gestes avec minutie et délicatesse. Le cuisinier atteint ses objectifs grâce à une douce persévérance bercée par la précision et l'instantanéité.   Arrivée chez lui, je me suis laissée emporter dans le flot d'une vitesse que je ne qualifierais ni de trop "rapide" ou de trop "lente", ces deux adjectifs enlèveraient toute symbiose du mouvement, la vitesse à laquelle il agit est une vitesse complètement naturelle.   La nuit s'est couchée il y a quelques heures déjà. Tito et moi-même nous posons près du feu crépitant. Le silence de la nuit et de la campagne nous accompagne. A gauche de notre chauffage, des amandes encore dans leurs coquilles attendent sagement dans un panier en osier que l'on vienne les libérer de leur enveloppe naturelle. Mon ami, en me tendant un saladier, me fait signe de le remplir de fruits à coque ovoïdes. Je le remplis à ras-bord, il me regarde et dit "Tu l'as rempli, on le finit. Je fais les choses jusqu'au bout moi !”.   À l'aide d'un mortier retourné et d'un pilon en marbre nous commençons le travail. Tito prend délicatement le fruit encore enveloppé entre son pouce et son index gauches, il le pose de manière à ce qu'il soit perpendiculaire au point d'appui. Afin que l'amande ne bouge pas il est nécessaire de tourner le côté plat du fruit contre le mortier et le côté plus arrondi vers le plafond. De la main droite, tout en tenant le fruit avec l'autre main, il attrape le mortier et tape d'un coup sec sur le côté ligneux de la coque. Elle s'ouvre automatiquement, il en sort la graine oléagineuse de forme plate et ronde. L'amande est couverte d'une deuxième enveloppe, cette fois-ci plus fine et de couleur marron. Tito pose le fruit dans le saladier jette de son autre main les épluchures dans le feu et recommence son geste. Il m'explique que c'est ça "sa méditation", qu'il n'a pas besoin de faire du yoga, des exercices de respirations ou toutes ces choses "tendances" mises à disposition pour les citadins en dépossession de leur âme. Je le suis dans ses mouvements et après quelque temps (je ne saurais préciser les minutes écoulées tellement il me sembla être concentrée et en harmonie avec l'instant) le geste se fit automatiquement dans un rythme fluide et naturel. Une fois le saladier fini, les amandes toutes décortiquées Tito m'indique de faire bouillir de l'eau dans laquelle nous allons déposer le résultat de notre "travail" afin de dénuder les amandes de leurs peaux de velours. Les graines sont désormais mises à nues dans leur forme la plus brute, elles sont d'une couleur vacillante entre le blanc et le doré et semblent aussi lisses et douces que la peau d'un nouveau-né. Nous les plongeons désormais dans de l'huile de friture bouillante, les mélangeant de temps à autre. L'odeur qui exalte de cette préparation est une odeur chaleureuse, une odeur délicate de grillé et de braisé rappelant quelques moments passés dans les cuisines de nos grand-mères à les observer et à intercepter chaque nouvelle saveur venant aiguiller le moindre de nos sens juvéniles. Les amandes prenant une couleur légèrement dorée, Tito les sort de l'huile à l'aide d'une spatule et les dépose délicatement sur du papier absorbant. Cela permet au papier de s'imbiber de l'huile afin que les fruits ne soient pas trop gras. Viens désormais la note finale : le gros sel avec lequel le chef d'orchestre vient saupoudrer les graines encore chaudes. 
DESCRIPTION D'UNE EXPERIENCE SENSITIVE
  C'est le jour du carnaval. Tous déguisés, nous avons passés notre journée dans les couleurs jouissives des peaux artificielles et des chars, dans le brouhaha des trompettes et des tambours venant rythmer nos corps en les entraînant dans des mouvements symbiotiques. Nous vibrons à l'unisson. L'euphorie générale est une atmosphère douce et chaude, une atmosphère venant ouvrir les yeux et les cœurs et où les sourires s'y dévoilent naturellement. La bienveillance est au rendez-vous, pas de débordements, pas d’agressivité ; tout le monde rit et danse aux éclats dans une intention de pur partage. J'y ressens une sensation de chaleur et d'amour immuable et incontestable et me sens submergée par cet amour surpuissant, par cet envie de prendre tous les êtres dans mes bras. La danse, prenant possession de mon corps, transforme cette pulsion incontrôlable en un mouvement irréfléchis, instinctif. Je me sens entrée dans la vibration générale, en unité avec le cortège dans son exhaustivité.   Nous sommes désormais au cour Julien, il fait nuit, je n'ai pas vu le soleil se coucher, il doit être déjà minuit passé. La foule s'est évaporée soudainement mais semble toujours resplendir de joie, une joie bercée par le son des instruments et le cœur des gens. Le mistral frappe à la porte mais personne ne se laisse déstabiliser par sa présence (une présence froide venant contraster avec la chaleur ambiante des corps) ; il est accueilli à cœur ouvert et entre même dans la danse addictive. C'est là que je le vois, du moins, que nous nous voyons. Je ne le connais pas et pourtant nos regards se croisent et ne se lâchent plus. La connexion faite est si puissante que tout mouvement s'envole, comme si le bruit, la foule, les danses disparaissaient comme par enchantement. Une bulle atemporelle et aspatiale prend place, amenée par un simple regard pourtant si puissant. Elle amène avec elle une sensation toute nouvelle, une sensation d'élévation. Mon corps devient tout d'un coup étrangement léger, comme si je flottais, mon plexus semble émaner d'une chaleur immatérielle. Détachée de la foule et des tambours, je ressens l'étrange impression d'être enveloppée et entourée d'une présence familière, l'extérieur ne comptant plus, le mouvement étant devenu irréel. On dit souvent que "les yeux sont le reflet de l'âme", et bien, à ce moment précis, je pense que nos deux âmes se sont retrouvées.
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loonadsr · 5 years ago
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autoportraits Net factory - Islande 2020
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loonadsr · 5 years ago
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photo d un rêve de route - autoportraits, Islande printemps 2020
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loonadsr · 5 years ago
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pushed by a common need
by a need of white clearness
as one whole growing seed
we went empty our chess
to the way to the frozen lake
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loonadsr · 5 years ago
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come and dance with us
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loonadsr · 5 years ago
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un jour
une nuit
un temps
un instant
un présent
perdue
dans le blanc de tes yeux
dans l’immensité de l’atemporalité
de l’aspatialité
sur le chemin des retrouvailles
avec la déconstruction
je t’aime ma douce, je t’aime et je crierai ces mots de la violence de mon coeur
Islande tu ré so n ne
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loonadsr · 6 years ago
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Organique
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