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Promo de l’édition du 20e anniversaire du Festival Jazz & Blues de Saguenay

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2 exemples de stratégie d’engagement.

Bell (externe)

Bell est un des commanditaires les plus importants du Festival Jazz & Blues du Saguenay. Sans son appui, il serait difficile de faire perdurer le festival. Nous devons donc être transparent avec lui, et lui relayer toutes les informations que nous avons par rapport à notre festival, les statistiques, les finances, le taux de satisfaction de nos clients. En échange, Bell donne au festival une certaine notoriété, mais surtout une aide financière, en échange de laquelle le festival se doit de répondre à certains critères pré-établis avec le partenaire financier. Cela peut aller d’exposition du logo, à des bénéfices corporatifs (billets gratuits à offrir à ses employés). Si Bell se sent bien traité lors de l’événement, et s’il sent que sa marque rayonne de manière positive, il sera alors tenté de revenir et de répéter l’expérience pour la saison prochaine.

Employés (interne)

Le festival compte grandement sur la participation de ses bénévoles et de ses employés afin de rendre possible l’événement. Le festival a avantage à ce que les employés aient une fierté de travailler pour l’organisation, rendant ainsi leur travail plus productif, effectif, et permettant d’offrir la meilleure expérience client. Les organisateurs de l’événement doivent donc s’assurer d’une bonne communication entre les différents employés. Aussi, puisque les représentations des spectacles se font dans des salles intérieurs, possédant déjà leurs propres employés, l’organisation doit s’assurer que tout se passe dans les meilleurs conditions afin que les salles de spectacles renouvellent leur implication pour la saison suivante.

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Cartographie des parties prenantes du Festival Jazz & Blues du Saguenay

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Le Festival Jazz & Blues du Saguenay et ses parties prenantes

Voici une liste des parties prenantes du Festival Jazz et Blue du Saguenay

            -Employés et bénévoles

            -Artistes invités

                       Jacques Kuba-Séguin

                       Michel Cusson

                       Jack Broabent

                       Marie-Noëlle Claveau

                       Martha Wainwright

                       Ben Caplan

                       Angel Forrest

                       Jesse MacCormack

                       …

           -Population

                       Clients

                       Non-Clients

            -Salles de spectacle

                       Théâtre Banque Nationale

                       Hôtel Chicoutimi

                       Espace Côté-Cour

                       Le Dôme La Capitale

                       L'entrée Resto Club

                       Le Sous-Bois

                       Le Merlin

            -Partenaires

                       Bell

                       Belle Gueule

                       Hydro Québec

                       Banque Nationale

                       Ville de Saguenay

                       …

            -Médias

                       TV

                       Radio

                       Web

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Le projet de transport d’électricité à travers le village de Saint-Adolphe-d’Howard sème la controverse. 

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Que vous évoque le concept d'acceptabilité sociale?

Selon moi, trois idées qui pourraient bien résumer ma réflexion et compréhension du concept d’acceptabilité sociale seraient : processus, appropriation sociale et dialogue.

Tout d’abord, l’acceptabilité sociale est un moyen afin de s’assurer, ou du moins faciliter l’appropriation sociale d’un projet par les parties prenantes. En effet, si une société s’approprie un projet, lui donne sa bénédiction, le projet pourra alors se concrétiser plus facilement. Toutefois, nous ne sommes jamais à l’abri d’un faux-pas, d’un accident, d’un déraillement. Si un problème ou une crise est mis au grand jour, le fait d’avoir mis dès le départ à participation les parties prenantes permettant de réduire grandement les dégâts, puisque la population se sentira écoutée, et incluse dans le projet.

De plus, il est important de préciser selon moi que l’acceptabilité n’est pas une finalité, ou une recette préconçue permettant de faire passer la pilule. Il s’agit d’un long processus. Ce processus ne doit pas être en branle à la fin de l’élaboration d’un projet, lorsque ce-dernier est présenté au public. Ce processus doit guider le développement du projet, dès le départ. L’acceptabilité sociale peut vite se transformer en indifférence sociale, voir en forte opposition sociale si le public est informé et mis en compétition que trop tard.

Finalement, un principe primordial à l’acceptabilité sociale est qu’il s’agit d’un dialogue. Il ne s’agit pas de seulement transmettre de l’information aux différentes parties prenantes. Il faut les impliquer directement dans le processus et écouter ce qu’ils ont à dire. Ils apportent une expertise qu’aucun expert ne peut apporter : l’expertise terrain.

L’acceptabilité sociale est donc un processus dialogique visant à permettre une appropriation sociale d’un projet.

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The National Cancer Institute annual budget is $1.8 billion, only 5 percent goes for cancer prevention. Help us wake up our legislators and America by wearing this ribbon.

Charlotte Haley

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Le ruban original de Charlotte Haley

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En vous référant au code de déontologie de la SQPRP, que vous inspire le passage du ruban orange au ruban rose?

Originellement, le ruban représentant la conscientisation de la cause du cancer du sein était d’une couleur pêche, et fait à la main par une dame : Charlotte Haley. Avec les rubans venaient la phrase suivante : «The National Cancer Institute annual budget is $1.8 billion, only 5 percent goes for cancer prevention. Help us wake up our legislators and America by wearing this ribbon.» Estée Lauder et le magazine SELF approchèrent la dame, voulant acheter et commercialiser le ruban. Toutefois, Charlotte Haley refusa, en faisant  état que les entreprises n’y voyaient qu’un moyen de faire du profit, et non de servir la cause. La solution pour laquelle opta l’entreprise corporative : changer la couleur du ruban du pêche au rose.

 On constate ici que la grande corporation Estée Lauder n’a pas eu de difficulté, avec l’aide de leurs avocats, afin de trouver un moyen d’outrepasser le désir et les intérêts de la dame créatrice du ruban.  En faisant fi de l’intérêt du public et de la dignité de la dame, la compagnie Estée Lauder est allée à l’encontre de la  Constitution canadienne et de la Charte des droits et libertés. Cela contrevient directement à l’article 1 du code de déontologie de la Société québécoise des professionnels en relations publiques. 

1.   Tout membre doit pratiquer les relations publiques conformément aux plus hauts standards professionnels.

Les membres doivent exercer leur profession conformément à l’intérêt public et dans le respect de la dignité des personnes, tel que le prévoit les dispositions pertinentes de la Constitution canadienne et de la Charte des droits et libertés. (Source : SQPRP)

De plus, en s’appropriant ainsi le concept  d’autrui, sans son consentement, l’entreprise Estée Lauder a démontré un très grand manque d’éthique. Selon le code de déontologie de la SQPRP, tout membre se doit d’être honnête et de ne pas diffuser des informations fausses ou teintées de malhonnêteté.  

3. Tout membre doit s’astreindre aux plus hautes normes d’honnêteté, d’exactitude, d’intégrité, de vérité et ne doit pas sciemment diffuser des informations qu’il sait fausses ou trompeuses.

Les membres ne doivent pas soutenir de prétentions exagérées ou faire des comparaisons injustes, ni s’approprier la paternité d’idées ou de déclarations d’autrui. Tous les membres doivent éviter une conduite professionnelle ou personnelle qui jette le discrédit sur eux-mêmes, la Société ou la pratique des relations publiques.  (Source : SQPRP)

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Les éléments de la RSE contemporaine de Pasquero

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En regard des éléments de la RSE contemporaine de Pasquero, considérez-vous Toms comme une entreprise responsable? Si oui, pourquoi?

Selon Pasquero, afin qu’une entreprise soit considérée comme étant responsable, elle se doit d’exceller dans les 8 éléments de la RSE contemporaine. Ces éléments sont les suivants : gestion efficiente, philanthropie, sollicitude, limitation des nuisances, réceptivité sociale, rectitude éthique, reddition de compte et participation citoyenne. Dans le cas de TOMS, on peut affirmer que les aspects gestion efficiente/philanthropie/sollicitude sont largement comblés par le biais de l’implantation de fondations et de dons philanthropiques par TOMS, démontrant  l’existence de profits élevés par l’entreprise et son envie de d’aider au bien-être et la protection des gens dans le besoin. En ce qui a trait aux éléments limitation des nuisance/réceptivité sociale, TOMS a lancé une ligne de souliers véganes, sans cuire animal (Source: tomsproj.weebly.com). Ainsi, l’entreprise démontre qu’elle tient à limiter ses effets nocifs, tout en s’adaptant aux grandes tendances (ici le végétalisme) chez les consommateurs. Finalement, pour les aspects rectitude éthique/reddition de compte/participation citoyenne, on constate que TOMS fait très bien les choses, en s’assurant du bien commun, en faisant preuve de transparence dans son éthique d’entreprise.

Bien évidemment, afin de confirmer que TOMS est une entreprise réellement responsable, il faudrait fouiller en profondeur chaque aspect afin de valider l’implication de TOMS. Mais de ce qui se trouve lors d’une recherche de surface de l’entreprise, tout laisse à croire que TOMS est une entreprise qui tend fortement vers une entreprise responsable.

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Le but n'est pas combien d'argent vous gagnez, mais dans quelle mesure vous aidez les gens.

Blake Mycoskie, fondateur de TOMS