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C'est toujours sur le bout de ma langue, et pourtant je te garde comme un secret, comme un serment.
19/04/2023 22:42.
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Il est possible que je t'aime Mais je me demande toujours si je t'aime assez pour te le dire.
19/04/2023 22:41.
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Lara as-tu une playlist du moment à partager ?
Ma playlist un peu fourre-tout du moment
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Some people be like « I am the kindest until you try me »
You can «try me» if you want to, I will still be kind.
You being « mean » doesn't mean that we have to be too.
You being mean can let me try to find out if I am as kind as I thought, since kindness, true kindness coming from a place of awareness, doesn't depend on the behaviors of others.
It's a state of mind, a strength when embraced, a pure emotional intelligence from the source of heart and a strong connexion with ourselves and the world.
25/08/2022 20:02
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Je suis partie parce que je ne pouvais faire semblant. J'ai pleuré en partant, partout dans cet appartement. Je suis parvenue à te regarder dans les yeux pour te dire au revoir, tu n'as pas pu lever les tiens vers mon visage défait. Je n'ai retenu aucune larme, je n'ai essuyé aucun drame. Peut-être que tu te sentais digne dans cette rupture, et que par là ma tristesse était une atteinte à cette beauté dont tu t'entourais. Elle te contournait, extérieure à toi, elle ne pouvait t'atteindre en ma présence. Peut-être un jour, tu aurais la sensation de ce qu'elle est. Pour ce qu'elle est. Quand tu as préféré me dire "tu es la meilleure personne qui m'a aimé" plutôt que "tu es la meilleure personne que j'ai aimé", j'ai souri parce que c'était vrai. Et qu'après neuf mois avec toi - mais surtout sans moi, je me sentais tout à coup assagie, grandie, pas sur la pointe des pieds, la valise près de la porte, prête à être aimée. Neuf mois. Neuf mois pour apprendre que tu n'étais pas capable d'amour de l'autre, puisque tu étais aussi cet autre que tu n'avais jamais rencontré. Neuf mois. J'accouchais d'une rupture, et tu avais l'air désolé. Tu étais désolé. Pas de m'avoir menti ; tu étais désolé parce que maintenant je l'avais appris. Il me semblait que tu te plaisais façonné, ne supportant pas l'erreur, tu la niais, tu t'en lavais les mains, tu t'en cachais l'effroi. Tu t'es mis à porter des gants, et tu as confondu tes gants avec tes mains. De l'effroi tu n'as jamais appris, et à presque trente ans, ton âme boitait, quand toi tu pensais courir. Il fallait te dire, que des froids apparaissent parfois des soleils nouveaux, qui brûlent, et en brûlant, peuvent réchauffer des corps engourdis. On m'avait pourtant prévenu, tu es un esthète. De ceux qui font mentir la photographie. J'ai cessé de contempler le cliché - cette image faussée de nous, et j'ai recommencé à observer : de l'intérieur vers l'extérieur, de l'extérieur vers l'intérieur, ce mouvement constamment circulaire, qui engage l'autre et soi au même moment, les sens et l'esprit, et parvient à distinguer l'amour du déni. Avoir trois yeux, deux pour regarder, un pour voir. Délaisser l'appareil, et me tendre une plume. Au passage, souffler sur les lignes. Je n'ai jamais eu honte de mon émotion, ni même de mes joues souvent humides, de mes mains qui parfois tremblent et qui t'écrivent. Je n'ai pas eu honte de t'avoir aimé, de t'avoir cru quand toi-même tu te mentais, d'avoir puisé en moi la grande force du pardon quand tu ne savais pas comment te regarder. Les personnes sensibles sont faites ainsi. Tu aurais pu penser, qu'après tant de duplicité de ta part, je ne referai plus confiance en personne ; j'ai confiance en l'humanité entière comme au commencement de ma vie. Si le monde est double et qu'il s'est joué de moi, je l'embrasse comme le serpent, et chéris ma morsure. Parce que c'est ce qu'ils disent. Les personnes sensibles feront toujours tout avec le coeur et une énergie débordante de vivre même quand elles paraissent désespérées, parce que ce n'est pas un choix mais un hommage à la création, un lien à la vie, un pouvoir en ce qu'elles sont, un impératif d'être, elles ne savent pas faire autrement. Et elles vivent de tout ce qui t'empêchent de vivre, et tes fêlures, elles l'appellent forces, et ce qui est pour toi un exploit, peut sembler parfois absurde à la volonté ingénue de leur âme et de leur foi.
30/04/2020 22:10.
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Je n’avais pas encore vingt ans, que je me souviens avoir aimé très fort, très vite, un garçon plus jeune que moi que je ne connaissais pas, d’un amour que je ne me reconnaissais pas.
Partout où se posaient mes regards, ses grands yeux bruns me rencontraient.
On m’apprenait que c’était ce qu’on appelait un coup de foudre, un coup de main de l’existence, un grand coup de maître du destin, et moi je réalisais plus tard que le fruit du hasard était souvent plein de pépins.
13/07/2022, 9:49.
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Quels sont tes poèmes préférés ?
Ceux de Sappho, certains de Baudelaire, et j’aime énormément la poésie de Nietzsche et de Rumî
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J'ai pris conscience de ma douleur en la brandissant à la vue de tous comme une vipère au poing afin qu'elle ne me morde plus jamais aussi fort. Si pour blesser ils évoquent un passé, alors ils tentent de brûler des maisons qui ne sont plus habitées.
04/06/2021 15:14.
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"On dit que lorsque deux étoiles sont trop proches et que l'une explose en supernova, il arrive qu'elle condamne l'autre à errer sans trajectoire. On les appelle les étoiles vagabondes." Notre amitié a longtemps puisé son essence dans cette science physique si particulière. Cette tension unique, cette régularité pure dans l'espace, cette tentation magnétique de vouloir se rapprocher encore, tout en prenant garde à ne pas détruire l'autre ; puisque cela revenait à perdre un repère.
24/07/2021 18:57.
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Vous avez beau dire les mêmes mots pour me persuader, les répéter sans cesse pour me convaincre : ce que vous faites parle si fort que je n'entends plus rien à ce que vous dites.
24/07/2021 18:43
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Acceptons nous aussi, mon amour, que nous soyons quelques fois prévisibles, parfois ennuyants ou bien ennuyeux ; que l'on soit légèrement grincheux et même de temps en temps, un peu attendus : sinon cela voudrait dire que l'on ne sait vivre que des débuts.
24/07/2021 18:24.
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Mon cerveau pense, mais mon coeur sait.
22/06/2021 17:26
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Il faudrait
réaliser que l’espace et le temps ne sont pas des conditions dans lesquelles nous vivons, mais des modes de pensées par lesquelles nous pensons
me retrouver dans toutes les dimensions
savoir que l’on doit à un lien éternel notre rencontre
t’aimer au passé au présent et à l’avenir que je connais déjà puisqu’ils n’existent pas
Il faudrait célébrer la bonté et la gentillesse comme on a glorifié le reste
Pleurer de joie pour irriguer nos fleurs de peaux
Ramasser de nos mains le bonheur qui a volé en éclat
Et tant pis si l’on s’écorche les doigts
- Écrire alors de nos sangs ce que nous dicte la voix étrange et familière à nos oreilles
Lui ouvrir une porte pour la laisser s’exprimer dans nos corps
Il faudrait
célébrer nos existences en des lieux de résonance
les laisser appeler ça des coïncidences
Ne pas croire au miracle mais l’héberger en son coeur
observer les jeunes enfants jouer avec ces gardiens invisibles
Il faudrait
Ne pas avoir peur des vagues que l’on provoque en étant soi
Se rappeler que la lune le fait constamment parce qu’elle est lune
Se sentir univers tout-puissant qui épouse une nuit d’étoiles
Et parvenir par l’amour comme on parvient à soi
15/05/2020 21:34
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Ton âme boite, mais toi, tu crois courir.
29/03/2021 21:18
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