#Benoît Bel
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ninovenus · 8 months ago
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Syberia : The World Before
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Cette fin d'année j'ai décidé de terminer le point & click The Longest Journey, découvert à l'époque en 99, puis de me refaire les Syberia. J'ai donc terminé l'excellent premier épisode que je ne me lasse pas de refaire, pour enchainer avec le deuxième et terminer avec l'assez décevant troisième opus qui se veut être un gros brouillon du, attention, superbe dernier épisode en date, The World Before.
Dès le lancement, le jeu se veut magnifique et il le restera jusqu'à la dernière seconde. C'est je pense, le plus beau jeu que j'ai pu essayer pour le moment sur la PS5 (je n'ai toujours pas fait Demon's Soul qui m'a l'air de tenir toutes ces promesses graphiquement parlant - mais j'ai bel et bien fait l'original à l'époque ! -). Plusieurs moments contemplatifs sont disponibles lors de notre aventure, notamment via les mises au point du personnage qu'on contrôle, où les déplacements en train. Les visages sont réussi plus précisément celui de Miss Walker qui apparait moins jeune et moins cliché que dans le précédent épisode. L'animation est bonne et le doublage de haute qualité, la talentueuse Françoise Cadol étant toujours de la partie. Le doublage de Syberia 3 était assez catastrophique.
L'histoire est surprenante mais captivante. Cette épisode s'enchaine plutôt bien avec les deux premiers et je dirais même qu'il est possible de le faire si on a terminé seulement le tout premier. Notre aventure se déroule de nouveau plus à l'Ouest de l'Europe, reprenant l'irrésistible esprit de Valadilène. Les environnements sont assez variés, très très détaillés, crédibles et plutôt restreints, ce qui est pour moi une véritable qualité, ça nous évite des aller-retours indigestes pour réussir à résoudre une énigme. L'ensemble dans sa construction est assez bien pensé, le déroulement du jeu se veut fluide sans aucunes énigmes tirés par les cheveux, ni la nécessité d'aller parler 150 fois à un personnage en espérant qu'il se passe quelque chose. La musique, de bon goût, englobe le tout et l'expérience se veut des plus agréable.
Du côté des points noirs je dirai que même si de gros efforts on été réalisé, la maniabilité à la manette est un peu foireuse. Notre personnage se cogne dans des éléments, il est laborieux de les contourner, la caméra n'aidant pas à certain moment. Pour ce type de jeu, il est très frustrant de ne pas se déplacer avec la souris en cliquant sur l'écran. Je sais que c'est assurément moins vendeur pour le grand public mais c'est tellement plus optimal. L'autre point négatif est la non mise en valeur des quêtes secondaires qui devraient être mieux annoncés à l'écran. J'en ai raté plusieurs en omettant d'appuyer sur la touche directionnelle du bas. Enfin, on ne peut pas faire de capture d'écran, le jeu se mettant en pause donc le menu apparaissant à l'écran lorsqu'on a appuie sur la touche share. C'est vraiment dommage, le jeu se voulant magnifique !
Je conseille vivement de vous plonger dans ce Syberia 4 pour tous les fans de la série ayant été assez dépité par le troisième épisode et moins enjoué par le deuxième mais aussi pour ceux qui veulent un jeu différent, qui ne se moque pas des joueurs de par sa réalisation des plus soigné. Je ne sais pas quel a été l'engagement de Benoît Sokal sur ce Syberia, quoiqu'il en soit, c'est une grande réussite et un très bel hommage. Bravo aux équipes.
19/20
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notrebellefrance · 2 years ago
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Entrée du Restaurant La Cour du Louvre - Avignon
Le Petit Louvre se dresse actuellement sur l’emplacement d’une ancienne Commanderie des Templiers édifiée en 1 273.
Cet édifice est d’un grand intérêt pour l’histoire de l’architecture gothique en Provence ; d’une part parce qu’il présente une architecture déjà aboutie d’inspiration septentrionale, qui paraît novatrice et assez isolée dans une région où les témoins conservés d’architecture religieuse du XIIIe siècle sont assez rares, d’autre part parce que son édification entre 1 273 et 1 281 en fait le seul témoin important d’une architecture gothique à Avignon antérieure à l’arrivée des papes. Il est le premier édifice de style gothique en Provence, avec l’église de Saint-Jean-de-Malte à Aix.
L’ordre des Templiers était un ordre religieux de moines soldats qui s’était donné pour mission de protéger les pèlerins se rendant en Terre Sainte.
Les Templiers deviennent rapidement un ordre de premier plan, au point d’être les créanciers des rois de France.
En 1 307, Clément V premier pape venu en AVIGNON abolit l’ordre des Templiers sur demande de Philippe le Bel Roi de France, envieux de la puissance et de la richesse de l’ordre. Les biens de l’ordre sont alors dévolus à l’ordre de Malte. L’ordre de Malte est encore aujourd’hui connu pour ses missions caritatives dans le monde entier
On dit que la construction du Palais des Papes, initié en 1 340 par le Pape Benoît XII, a été financée en partie grâce aux richesses dont l’ordre des Templiers a été dépouillé.
Sous la Révolution française la Commanderie des Templiers sera détruite, la chapelle seule restera le témoin de l’époque des Templiers.
La chapelle devient alors bien national.
En 1 875, Anselme Mathieu, un Avignonnais, rachète le lieu pour y construire un hôtel. Il l’appellera l’hôtel du Louvre. Anselme Mathieu, était un homme très proche du courant littéraire provençal appelé le Félibrige. Il accueillera ses plus illustres représentants, Frédéric MISTRAL, Théodore AUBANEL et Joseph ROUMANILLE. Ceux-ci, feront de l’hôtel du Louvre leur cercle de réunion.
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giandag72 · 7 months ago
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s-memorando · 10 months ago
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"Il gusto delle cose": il film
Mi è tornato il desiderio di vedere qualche buon film e allora oggi – in attesa che riapra la stagione in sala qui all’Antella – mi sono messa davanti alla TV e ho visto un bel film francese con Juliette Binoche e Benoît Magimel che guarda caso è anche il suo ex marito nella vita reale. Il film ha vinto un sacco di premi a Cannes l’anno scorso – e sì purtroppo in TV arrivano sempre un po’ in…
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christophe76460 · 1 year ago
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Vendredi de la deuxième semaine du Temps Pascal – Année B
Posté par diaconos le neuf avril 2024
# La multiplication des pains est le nom donné à deux miracles réalisés par Jésus de Nazareth selon les textes des évangiles : Matthieu, chapitre 14, versets 14 à 21, puis à nouveau 15, 32-38 ; Marc 6, 34-44, puis à nouveau Marc 8, 1-9 ; Luc 9, 12-17 ; Jean 6, 5-14. La première multiplication des pains intervient après la mort de Jean Baptiste sur ordre d’Hérode Antipas pour répondre au désir de sa fille Salomé, et de guérisons de malades.
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Une seconde multiplication des pains a lieu ultérieurement qui implique un nombre différent de gens. Matthieu et Marc sont les seuls évangélistes à la relater. Certains exégèses pensèrent qu’il s’agissait du même événement raconté deux fois. Toutefois, les deux miracles ne se déroulèrent pas au même endroit, dans un cas il y eut cinq mille personnes, dans l’autre cas il y en eut quatre mille. Le nombre de corbeilles de pains en surplus fut aussi différent.
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Par la suite, Jésus évoqua les deux miracles en les distinguant clairement (Mt 16:9-11). Pour le docteur de l’Église Jean Chrysostome, Jésus lors de ce miracle se posa bel et bien comme le créateur du ciel et de la Terre. Il incita par ce geste à prier avant tout repas, et il voulut montrer l’importance du partage. Des théologiens modernes diraient que la multiplication des pains est le symbole de la Parole donnée par le Christ, parole qui a nourri les peuples pour des siècles.
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Pour saint Éphrem, Jésus donna généreusement sans compter lors de ce miracle. Il donna tellement qu’il en resta douze corbeilles. Le saint compara également Jésus à Moïse, Moïse qui avait nourri le peuple libéré de l’esclavage avec la manne tombée du ciel. Pour Benoît XVI, dans l’Angélus du 31 juillet 2011, ce geste messianique est symbole de partage fraternel, mais aussi symbole du chemin que devront suivre les apôtres à savoir transmettre la Bonne Nouvelle.
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Dans l’Angélus du 29 juillet 2012, Benoit XVI met en exergue le fait que cette multiplication est le début de l’Eucharistie qui se perpétue jusqu’à aujourd’hui. Selon certaines interprétations théologiques, il préfigurerait la cène, dernier repas de Jésus avec ses disciples, établissant le rite de l’eucharistie dans lequel le pain est réputé incarner le corps de Jésus, donné en sacrifice sur la croix pour sauver les hommes. Pour les historiens, les événements évoqués par les évangélistes avec ces deux relations restent énigmatiques bien que certaines hypothèses aient été émises
De l’Évangile de Jésus Christ selon Jean
En ce temps-là, Jésus passa de l’autre côté de la mer de Galilée, le lac de Tibériade. Une grande foule le suivait, parce qu’elle avait vu les signes qu’il accomplissait sur les malades. Jésus gravit la montagne, et là, il était assis avec ses disciples.
Or, la Pâque, la fête des Juifs, était proche. Jésus leva les yeux et vit qu’une foule nombreuse venait à lui. Il dit à Philippe : « Où pourrions- nous acheter du pain pour qu’ils aient à manger ? »
Il disait cela pour le mettre à l’épreuve, car il savait bien, lui, ce qu’il allait faire.
Philippe lui répondit : « Le salaire de deux cents journées ne suffirait pas pour que chacun reçoive un peu de pain. »
Un de ses disciples, André, le frère de Simon-Pierre, lui dit : « Il y a là un jeune garçon qui a cinq pains d’orge et deux poissons, mais qu’est-ce que cela pour tant de monde ! » Jésus dit : « Faites asseoir les gens. » Il y avait beaucoup d’herbe à cet endroit. Ils s’assirent donc, au nombre d’environ cinq mille hommes.
Alors Jésus prit les pains et, après avoir rendu grâce, il les distribua aux convives ; il leur donna aussi du poisson, autant qu’ils en voulaient. Quand ils eurent mangé à leur faim, il dit à ses disciples : « Rassemblez les morceaux en surplus, pour que rien ne se perde. »
Ils les rassemblèrent, et ils remplirent douze paniers avec les morceaux des cinq pains d’orge,
restés en surplus pour ceux qui prenaient cette nourriture. À la vue du signe que Jésus avait accompli, les gens disaient : « C’est vraiment lui le Prophète annoncé, celui qui vient dans le monde. »
Mais Jésus savait qu’ils allaient venir l’enlever pour faire de lui leur roi ; alors de nouveau il se retira dans la montagne, lui seul. (Jn 6, 1-15)
Jésus nourrit la foule
Jésus étant passé de l’autre côté du lac de Tibériade, gagna la montagne et là il s’assit avec ses disciples. Il fut suivi de tous ses fans, avides de signes et de guérisons. Voyant cette foule nombreuse venue à lui, Jésus éprouva alors une immense compassion, une immense pitié pour cette foule, qui attendait tout de lui. Jésus vit les besoins des gens. Le miracle qu’il fit fut un geste d’amour. Jésus dit à Philippe : «Où pourrions-nous acheter du pain pour qu’ils aient à manger ?»
Cette question est toujours d’actualité. Jésus nous demande de regarder les besoins les plus naturels des personnes : qu’elles aient à manger ! Il nous dit : à manger, tout simplement ! Jésus nous ramène à notre vie de chaque jour, à notre pain quotidien. Aimer… C’est là, dans les services ordinaires de nos journées, qu’il nous faut aimer.
Il y avait là, dans cette foule, un jeune garçon qui avait cinq pains d’orge et deux poissons. Il avait des provisions et les autres n’avaient rien à manger. Jésus impressionné par la misère de la foule fit un miracle. Avant saint Vincent de Paul, avant l’Abbé Pierre, avant Coluche, il lança pour la première fois, les restos du cœur. Il servit à la foule un repas gratuit : pain et poisson et ce sans lésiné sur la quantité : les restes remplirent douze corbeilles !
Avant de nourrir l’esprit et le cœur, Jésus sait qu’il faut d’abord nourrir les corps. Nous ne devons jamais oublier ces besoins primordiaux : donner à manger ! Cette priorité aux pauvres dont parlait le pape Jean Paul II est une attitude profondément évangélique : «Je te donne ce pain parce que je t’aime.»
Jésus veut nous faire découvrir dans la multiplication des pains l’annonce de l’Eucharistie. Ainsi, dans ce récit, on était proche de la fête de la Pâque juive, date de la Cène et du sacrifice de la croix : Jésus prit du pain et rendit grâces (c’est le mot Eucharistie et le distribua comme il le fit le soir du Jeudi Saint.
L’ordre donné à Philippe de se procurer du pain pour nourrir la foule, et la présence des apôtres remplissant douze paniers des morceaux qui restent, sont une allusion à l’Église invitée à distribuer le Pain de vie (l’Eucharistie), aux personnes.
«Tous ont les yeux sur toi : ils espèrent et tu leur donnes la nourriture en son temps ; quant tu ouvres la main, tu combles et rassasie tous les vivants.» (Psaume 144) Á chaque célébration eucharistique, nous sommes invités à ce même geste de don que Dieu pourra multiplier. Réalisons-nous que nous sommes les invités à la table du Seigneur ?
Ce récit évangélique est un appel à la générosité et au partage. Mais il nous dit aussi que rien n’est dérisoire, et que nous ne devons jamais nous décourager devant la faiblesse de nos moyens. Offrons au Seigneur nos petites capacités, il saura, lui, les multiplier.
Diacre Michel Houyoux
Liens avec d’autres sites web chrétiens
◊ Opus Dei : cliquez ici pour lire l’article → Vendredi de la 2ème semaine de Pâques - Opus Dei
◊ Marche dans la Bible : cliquez ici pour lire l’article →Jean 6, 1-16 - La multiplication des pains
Vidéo Campus protestant : cliquez ici → https://youtu.be/y7QsvNmHZ1g
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kimludcom · 2 years ago
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Mythique Rumba (Live at Muziekpublique)
Mythique Rumba set the Molière theater on fire celebrating the 1 year anniversary of the inscription of the Congolese Rumba on the UNESCO list of intangible cultural heritage. Artists of all generations performed an amazing set of rumba music with a live band of incredible quality! Exactly one year ago, on 14/12/2021, the Congolese rumba was inscribed on the UNESCO list of intangible cultural heritage. The cradle of rumba is, of course, in the Democratic Republic of Congo (Kinshasa) and the Republic of Congo (Brazzaville), but some important pages of Congolese rumba were also written in our country. The Congolese group Mythique Rumba Congolaise International (MRCI), Mythique Rumba for short, is celebrating in the heart of Matonge and is inviting some of the most prestigious names in rumba for a first “anniversary concert”. The guests will be revealed on our website as they become available. Mythique Rumba Congolaise Internationale (MRCI) is an orchestra specialising in Congolese rumba. It is composed of talented performers, some of whom are internationally renowned. The orchestra never ceases to popularise the great classics of this mythical and danceable music that highlights the African scene and continues to conquer the world. It revives the work of such unmistakable artists as Kallé Jeff, Tabu Ley Rochereau, Franco Luambo Makiadi, Nico Kasanda, … Not forgetting those of subsequent generations: the Soki brothers, Nyboma, Pepe Kallé, Wuta Mayi, Papy-Tex and Josky. SETLIST 0:00:00 - "Africa mokili mobimba" ( Dechaud – African Jazz) 0:06:12 - "Congo avenir" (Tabu Ley – African Fiesta national) 0:11:39 - "Sola" (Mulembo – Bella Bella) 0:17:47 - "Fatimata" (Sam Mangwana) 0:25:45 - "Est-ce que" (Papa Wemba) 0:33:00 - "KSK" (Josky – Ok Jazz) 0:42:25 - "Chérie Bade" (Abeti Masikini) 0:48:36 - "Naïrobi" (Tabu Ley/Mbilia Bel) 0:54:57 - "Assana mwana mawa" (Nyboma) 1:01:57 - "Kamale + Double Double" (Nyboma) 1:15:00 - "Amena" (Pépé Kalle, Ppa Wemba, Emeneya) 1:20:59 - "Kizunguzungu" (Papa Noël – Ok Jazz) 1:36:03 - "Ayant droit" (Wuta Mayi – Ok Jazz) MUSICIANS - Vocals: Nana AKULU, Mélanie NYOKA, Grâce Nheema VANGU, Canta NYBOMA, Malage DE LUGENDO, Willy BULA, Chabrown LE MAHA, Hugues MOYABA. - Guitar: Caïen MADOKA (Direction artistique), Patient KUSANGILA, Jordan DIAPASON, - Bass: Jacquou ILUNGA, Pappy MUNTU - Brass section: Benoît DASSIE, Bert BERNAERTS, Didan DIBWIDI - Percussion : Tister IKOMO -Drums: Junior ILOKO TECHNICAL CREW Lights: Erik Janssens Sound: Christophe Loncour Video / editing: Elsa Audevart, Tom Coss Technical production: Mathieu Alexandre, Erik Janssens, Nathan Viboud, Jérémie Dupuy General Production: Klay Mahungu, Etoko vzw, Muziekpublique https://www.muziekpublique.be
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nofatclips · 5 years ago
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Gentry by Chris Garneau from Talk - Action = Zero: a Compilation benefitting Black Lives Matter by Rough Trade Publishing/Bank Robber Music
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oncleo · 2 years ago
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Quand ce texte de J.P. Michel est arrivé à l’Atelier, on a entendu tellement de voix, d’Augustin à Dosto en passant par Rimbaud, tout le Parlement des grands Tentateurs, qu’on a voulu le faire trembler et l’emmener encore autre part : le faire sortir en forêt, tout en restant à proximité des distorsions, des chantiers électriques des hommes. Après le Baptême, après aussi toutes les tentations du désert, le rebrancher sur le contemporain : « levée d’un alphabet vertical ». Il y a ici comme l’expérience d’une certaine forme d'escalade, le verbe est minéral, la roche est sèche, la découpe plutôt que la déchirure, pas du tout lyrique, pas du tout visqueuse. Et pourtant, un héroïsme du Signe - la force et la violence. Comment ne pas en faire un aveu ? Peut-être en faisant du poète un simple marchand d’or avec Oiseaux-Tempête. Oui, peut-être, la vie ne conquiert-elle sa vérité qu'en se sectionnant elle-même dans la découpe absolue. Manquer son sacrifice est un long apprentissage : un art de vivisecteur - la poésie. Vie ! 
Texte : J.P. Michel, « Une belle catastrophe, une surprise, un feu »
Montage audio, création sonore : S
Voix : L
Musique : Oiseaux-Tempête, « Buy Gold » Music composed and performed by Oiseaux-Tempête / Recorded live in three days by Benoît Bel at Mikrokosm, Lyon, in October 2012 https://soundcloud.com/oiseaux-tempete/03-buy-gold-beat-song
Image : Yang Yongliang Time Immemorial - The Brook, 2016 Giclee print on fine art paper 80×100 cm. https://www.paris-b.com/fr/artiste/yang-yongliang/
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fidjiefidjie · 3 years ago
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A voir "Les Volets Verts"
La BA 🎬 du film de Jean Becker avec Gérard Depardieu, Fanny Ardant, Benoît Poelvoorde, Stefi Celma
Bel après-midi 🙋‍♀️
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claudehenrion · 2 years ago
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L'Evangile selon le Manneken pis…
  La semaine dernière, en parlant des petites anglaises –qui seraient rousses, disait autrefois la vox populi (cette ex-référence devenue “objet de notre ressentiment”, la Gauche ayant fait le peuple ‘’cocu’’ avec des minorités (de préférence d'origine africaine), et “Vox dei’‘ se disant maintenant ’'vox minoritatum” (ce qui la prive de toute raison d'être)– nous avions laissé sous-entendre que les belges seraient ou pourraient être un peu trop comme ci ou pas assez comme ça… Mais il ne faut jamais sous-estimer l'humanité : elle déborde de ressources, et nos voisins d'outre Quiévrain n'ont décidément pas fini de nous surprendre et de nous épater une fois !
Non contents d'avoir été, en 2011, le pays qui était resté le plus longtemps sans gouvernement, avec 541 jours (qu'est-ce qu'on a pu les jalouser, de vivre dans un tel Nirvâna) (cf. le “PS”, ci-dessous) voilà-t-y pas que les belges viennent d'inventer le principe d'une “Réforme extra-légale” pour en finir avec le pataquès politico administrativo-linguistique qui bloquerait les velléités autonomistes de  Flandre…  C'est en tout cas ce que vient de proposer Bart De Wever, le président de l'Alliance néo-flamande, le plus grand parti politique de Flandre –et , d'ailleurs, de Belgique, sous le nom vernaculaire et pas très musical de Nieuw-Vlaamse Alliantie, N-VA. (“Nobody’s perfect”, disent les anglais !). En clair : “puisque la Loi nous met des bâtons dans les roues, asseyons-nous dessus”. Et voilà : c'est aussi simple que ça ! Je suis en train de me demander si les français ne devraient pas essayer ce truc, à propos de la loi sur “la retraite pour tous”, et surtout à propos du projet (vide) de loi (tout aussi vide) sur l'immigration (qui n'a rien à voir avec ce que nos sinistres ministres s'imaginent qu’elle puisse être, dans leur monde coupé de toute réalité).
La question qui se pose, même dans un pays qui “sait” se passer de gouvernement pendant 541 jours (en français “de France”, on dirait “qui peut”, mais ça veut dire la même chose), est, évidemment : “Mais où ce De Wever a-t-il été pécher cette drôle d'idée ?” Rassurez-vous, on a la réponse, et elle ressemble très fort à une “histoire belge”. Accrochez-vous bien à votre dentier :  ce leader a très benoîtement déclaré (NDLR :  rien à voir avec la disparition du regretté Pape Benoît XVI, j'ai vérifié !) : “Dans mon esprit, c'est une certitude évangélique : la Belgique, c'est fini”.
Dès que j'ai été au courant de cette certitude évangélique, je me suis précipité pour vérifier où il avait trouvé, dans les Evangiles, des références précises à la Belgique, aux belges, et aux flamands, roses ou pas, Vlaams ou pas. J'ai trouvé pas mal de notules assez proches, où Jésus fustigeait les scribes, capables d'inventer des trucs pas possibles, de s'arc-bouter sur les normes, les lois, les règlements, et sur les décrets d'application (NDLR :  imaginez ce qu'Il aurait vitupéré, s'Il avait connu nos énarques. Mais bon… Il a déjà tellement souffert comme ça, qu'Il est inutile de Lui rajouter cette insupportable torture supplémentaire), mais je n'ai rien trouvé où il était fait spécifiquement référence aux belgicains, à la Belgique, et à sa disparition.
Elargissant ma recherche, j'ai relu (enfin… un peu!) Daniel Rops, François Mauriac, Maurice Barrès, Georges Bernanos (dont nous reparlerons bientôt), Jean Guitton, Chateaubriand, Flaubert et Pascal… et même Françoise Cockenpot dont le seul nom me faisait miroiter mille promesses. Mais rien, ou si peu ! Et j'ai eu beau relire dix fois le récit des Noces de Cana et les Béatitudes, il n'est nulle part question de multiplication de moules, de frites, de bière, de chicons ou, même, de waterzoï…
Même César, dans son célèbre “best-seller” “De bello gallico” –ce qui, au contraire de ce qu'ont écrit des générations d'écoliers dans leurs versions latines, n'a jamais voulu dire “la jolie gauloise”, mais évoquait plutôt une guerre en Gaules– n'a rien trouvé à en dire, de ces belges. Il est vrai que, “in illo tempore” (= en ce temps-là), la Belgique était encore “Gallia belgica” et ses habitants des Trévires, des Lingons et des Ubiens, même pas Vlaams ! (NB - un détail vécu : au début de ma 4ème, lors des premières versions sur ce thème censé passionner des petits garçons, je m'étais imaginé qu'ils se tapaient sur la tronche avec de grands bâtons très longs… d'où ce nom de “guerre des gaules”, autrement injustifiable. J'ai été vite guéri !)
Pour tout vous dire, j'ai même eu un peu de peine pour mes nombreux amis belges, devant tant d'indifférence divine : personne n'a même demandé à Jésus ce qu'Il pensait d'eux et tant Luc que Marc ont eu l'air de “s'en fouter, une fois, sais-tu”… Je ne dis pas que c'est grave, ni triste… ni gai, d'ailleurs et encore moins “gay” : je me contente de raconter, c'est tout. Mais il n'en reste pas moins vrai que, de là à faire de la disparition de la Belgique une “certitude évangélique”… il y a un pas de géant que je me garderai bien de franchir… même si, dans l'effondrement général qui est la marque de notre temps (dies irae, dies illa !) la disparition plus ou moins rapide de nos Etats-Nations dans leurs frontières nées de tant de batailles, de guerres, de révolutions, d'héritages princiers ou de mariages royaux… ne soit pas impossible !
Il va d'ailleurs falloir que j'aille vérifier ce que les Livres Saints disent de la France, dans le genre “certitudes évangéliques”… parce que j'ai bien l'impression, comme un souvenir diffus, d'avoir lu, quelque part, que le Coran, pour la sienne (de part, bien sûr !) annonce sa disparition… et file même un coup de patte de temps en temps, histoire d'accélérer le mouvement. Mais de toute façon, avec ce qui se prépare à l'est, en Ukraine, ou à l'est de l'est, à Taïwan… on ne va pas tarder à être fixés. Ou même vaporisés. Mais ce n’est pas encore une ‘’certitude évangélique’’...
H-Cl.
PS : au sujet des 541 jours de vacance du pouvoir… Il faut dire à la décharge des belges que le gouvernement défaillant était présidé par un Yves Leterme, ce qui est un joli nom pour tout arrêter. Mais contre toute attente, cet enviable record a été battu, l'Irlande étant restée sans gouvernement 589 jours (janvier 2017- août 2018). “Pourquoi que c'est jamais nous qu'on gagne ?”, aurait sûrement dit Coluche…
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fansubber-for-life · 4 years ago
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Ciao a tutti!
Benvenuti nella mia pagina, dedicata ai vari progetti di traduzione e sottotitolazione che ho intenzione di realizzare. Il mio obiettivo è quello di creare sottotitoli per film (soprattutto film poco conosciuti o mai usciti in Italia), serie TV, video YouTube, ecc.
La pagina principale dedicata ai miei progetti di traduzione è la mia pagina Ko-fi. Se volete, potete “offrirmi un caffè” 😊 o fare una donazione mensile per accedere ai contenuti che pubblico.
                                 _____________________________
Eccomi con il mio primo post per il mio primo progetto di traduzione!
Questo è il trailer (tradotto e sottotitolato da me) del film belga “C’est arrivé près de chez vous”, uscito nel 1992, scritto e interpretato da Benoît Poelvoorde.
Trama (da comingsoon.it)
Ben si guadagna da vivere commettendo omicidi: senza odio né rimpianti, uccide un mucchio di gente tra pensionati, fattorini, poveracci e simili; mai però, assolutamente mai, si spinge più in alto: “Vedi, un tizio qualunque non fa mai rumore. Prova ad ammazzare una balena: avrai subito alle calcagna gli ecologisti, Greenpeace, il comandante Cousteau; stermina un banco di sardine, puoi star tranquillo che ti aiuteranno a metterle in scatola….” Il pazzo assassino ha anche accettato di essere seguito e ripreso da una troupe televisiva, interessata a realizzare un reportage su un personaggio d'eccezione come lui. Vengono filmate così tutte le prodezze di Ben, contrappuntate dalle molte testimonianze dei suoi vicini, nonché dai suoi stessi aforismi che rivelano una visione del mondo brillante e tremenda. Poiché i mezzi finanziari per realizzare il reportage rischiano di esaurirsi prima che il film possa essere portato a termine, Ben decide di aiutare la troupe uccidendo qualche vittima in più; ma nella vita non si fa niente per niente: in cambio alcuni operatori, membri dell'equipe, gli daranno una mano in alcune delle azioni più rischiose (due di loro ci lasceranno addirittura la pelle). Un bel giorno però Ben commette un'imprudenza: attacca una famiglia agiata e viene immediatamente arrestato (ricordate la storia della balena e delle sardine?). Riuscito ad evadere torna alla sua attività omicida, ma ormai la fortuna gli ha voltato le spalle: i suoi amici operatori vengono assassinati da una banda rivale. Ben stesso finisce per essere colpito, e muore (naturalmente non senza aver improvvisato, prima, uno dei suoi folli aforismi).
Trovate i sottotitoli del film qui  😉
Buona visione!  🍿🍿🍿
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hamlethyste · 5 years ago
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Bilan culturel de mon été 2020 (les doudous)
Après un an à trimer sur mon mémoire et mes dossiers scolaires, j’ai enfin pu respirer. En raison du temps d’écriture que représenterait le compte-rendu de toutes mes lectures, j’ai décidé de ne répertorier ici que ce qui a représenté pour moi les moments les plus doux de mon été. En attendant un prochaine article où je serai (je l’espère) davantage concise et où je pourrai peut-être parler plus globalement du reste.
✩  Harry Potter, J. K. Rowling   ✩
J’ai d’abord passé une longue partie de l’été à relire tous les Harry Potter en anglais – la culpabilisation de la relecture... – loin de tout, dans des endroits solitaires ou accompagnée d’un chat ou deux à ne penser à rien d’autre. J’ai attendu plusieurs années avant de m’accorder le plaisir absolu de retrouver cette saga qui, comme pour beaucoup de gens, a changé ma vie. Comme un travestissement, je lisais cachée. Je menais de front ma vie de lycéenne avec celle de lectrice comme un secret. Peu de livres finalement m’ont rendue aussi possessive, m’ont aussi peu donné envie de partager et pourtant...
En redécouvrant Harry Potter cette année, j’ai ressenti à nouveau ce que j’avais laissé en moi comme un doux souvenir de mes dix-sept ans. L’univers nous enveloppe de ce que l’on connaît déjà, ce qui en découle au fil des relectures et des années et ce que l’on retient différemment.
✩ She-Ra et les princesses au pouvoir, Noelle Stevenson ✩
J’ai probablement passé une semaine entière à bingewatcher She-Ra avec de la glace. Un univers de science-fiction vs fantasy où les femmes tiennent les premiers rôles. Fondée sur une série animée réalisée en 1985 aux codes bien vieillots (l’héroïne blonde qui combat en mini-jupe aux côtés des hommes, et qui obtient son pouvoir de son frère jumeau Adam1), She-Ra multiplie par cinq, dix, vingt les pouvoirs féminins et transforme l’histoire de la princesse du pouvoir en celle des princesses AU pouvoir.
L’univers fantasy vient légitimer une conception du corps politique utopique
Les femmes sont à la tête de plusieurs royaumes et dirigent des troupes. S’il y a conflit il y a avant tout volonté de protéger. Des alliances se créent alors dans un très bel éloge de la sororité. L’univers est volontairement empreint de stéréotypes  –les princesses, pégase, les couleurs pastel, les pierres de lune, les pouvoirs magiques etc. – mais il détonne pourtant dans la diversité de ses représentations. Des princesses ? D’accord. Mais des princesses grosses, noires, baraquées, lesbiennes etc. qui ne sont pas cantonnées à l’éternelle fragilité, blancheur et passivité habituellement mises en valeur chez les personnages de femmes. Elles incarnent parfaitement cette puissance guerrière allouée ordinairement aux hommes. Il ne s’agit pas d’inverser les rapports de force et de domination. Le système sur lequel se base Eternia n’est simplement pas patriarcal. Il s’agit donc de laisser les femmes s’exprimer dans un univers utopique dans lequel on leur donne la possibilité d’être puissantes. Outre les aspects purement politiques et les revendications super chouettes, She-Ra reprend bien-sûr des thèmes fondamentaux autour de l’amitié, de la solidarité, des disputes etc. et s’inscrit parfaitement dans la lignée des dessins-animés que l’on adore regarder de nos premières années de vie à l’âge adulte. L’amour purement sentimental n’est jamais un enjeu en soi. Il s’agit avant tout de respect fondamental. Les sentiments qui se développent entre les personnages ne prennent jamais trop de place et viennent très joliment agrémenter et parfaire l’atmosphère toute particulière de She-Ra. C’est une réussite totale.
✩ Le Chant d’Achille, Madeline Miller  ✩
La première fois que j’ai entendu parler du Chant d’Achille c’était à la rentrée de l’année dernière. Cet été, alors que mes lectures m’ennuyaient et que je n’arrivais pas à finir un seul livre, j’ai décidé de me le procurer. 
Une fanfiction légitimée par le statut professoral
Achille est une figure ambiguë. Si Homère ne met en aucun cas l’accent sur la potentielle bisexualité d’Achille dans l’Iliade, d’autres auteurs ont vu en son cri de désespoir devant le cadavre de Patrocle la preuve, ou du moins, la démonstration d’un amour intense. La récupération au Moyen-Âge du mythe troyen par l’Europe médiévale et des auteurs comme Benoît de Sainte-Maure2  a poussé notamment la transposition de figures héroïques en figures christiques, afin de légitimer le païen. L’ambiguïté de la relation entre Achille et Patrocle s’est alors conformée à l’idée d’une amitié exemplaire. Pourtant, comme le souligne Nicolas Evzonas :
De tous les deuils évoqués dans l’Iliade (deuils de Priam, d’Hécube, d’Andromaque…), celui d’Achille est le plus poignant et le plus furieux : errances solitaires au fil de nuits sans sommeil, cris terribles qui épouvantent Grecs et Troyens, lamentations déchirantes entendues par Thétis du fond de l’océan, provocation directe envers Apollon, violation des règles sacrées de l’hospitalité, tentation suicidaire, délire de vengeance, rage et carnages3.
Je trouve ce sujet passionnant, et il y a tant à dire sur ce que l’on considère comme vrai dans un mythe. Après tout, Eschyle et Platon ne portaient quant à eux aucun doute sur les sentiments d’Achille.
Il y a eu des longueurs, que je trouvais incroyablement bien menées si l’on pense à toute la richesse et tous les imbroglios que constitue ne serait-ce que l’épisode de la colère d’Achille. Il s’agit vraiment d’une prouesse synthétique. Hormis cela, j’ai adoré la linéarité de cet amour qui laissait plutôt présager une relation intense, passionnée et donc soumise à la violence. Peut-être était-ce facile de la part de Madeline Miller de proposer une relation davantage basée sur des sentiments purs mais j’ai aimé l’audace de ne pas tomber dans les pièges des stéréotypes. Achille est un demi-dieu et l’amour des deux amants semble indéfectible et porté au-delà des limites divines – il n’y a qu’à penser aux nombreuses et originales tentatives de Thétis pour séparer les deux garçons alors qu’ils sont adolescents –. Plus le récit défilait, plus je me demandais comme l’autrice allait intégrer Briséis sans pour autant tourmenter l’entièreté de son travail. Il est évident que son point de vue est influencé, et ce de manière entièrement assumée, par notre conception contemporaine des relations et des enjeux amoureux. Nous n’avons aucune difficulté à comprendre ou même s’immiscer entre eux.  Sans trop y croire, on aime voir Achille complètement désintéressé par Briséis ou Déidamie, on veut croire en cet amour absolu et le nombre incroyable de versions du mythe nous aide à accepter ce qui n’est finalement qu’une réécriture de plus. C’est donc un plaisir absolu que de suivre ces deux héros aux promesses d’amour sublimes à travers le point de vue de Patrocle.
1  Raccords bibliques relativement assumés. Adam crée Eve à partir d’une de ses côtés, Adam crée She-Ra à partir de l’épée.
2 Colette Beaune, “L'utilisation politique du mythe des origines troyennes en France à la fin du Moyen Âge”, Publications de l’Ecole Française de Rome, 1985, p. 331-355, https://www.persee.fr/doc/efr_0000-0000_1985_act_80_1_2792
3  Nicolas Evzonas, “Achille, un héros homérique épris d’absolu”, Topique, n°125, 2013, p. 139-155, https://www.cairn.info/revue-topique-2013-4-page-139.htm
©  hamlethyste
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espritdecontradiction · 6 years ago
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Une fille facile, Rebecca Zlotowski, 2019
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La simple évocation d’un nom fait grimacer et sourire. “Zahia Dehar triomphe à Cannes.” Celle que l’on appelle plus communément Zahia, car elle nous appartient un peu à tous, cette femme publique dont on ne retient que le prénom pour mieux la contenir dans son rôle de domestique, d’animal, de personnage. La priver de son nom de famille c’est souligner encore notre mépris et rappeler aux ouïes de tous la fameuse “Affaire Zahia”. Alors, la Croisette a-t-elle juste souhaité rescaper un petit animal de compagnie, choquer et s'emmitoufler encore dans son mépris de classe habituel ? Montrer à cette France d’en bas qu’en tant qu’’élite culturelle et politique elle s’octroie tous les droits, les plus iconoclastes mais surtout continuer de se dorer de la jolie patine du progressisme ?
Rebecca Zlotowski ne sort pas du ruisseau. Elle a dirigé des étoiles du cinéma français : Tahar Rahim, Léa Seydoux ou Denis Ménochet (Grand Central, 2013) mais peut aussi se targuer d’avoir ses entrées dans le beau monde Hollywoodien avec le plus récent Planétarium où Lily-Rose Depp donne la réplique à Natalie Portman. Aller chercher Zahia Dehar n’est pas pour elle un safari, c’est une nécessité artistique. Ce n’est pas juste l’empathie pour une toute jeune femme tâchée d’opprobre ni une fascination morbide pour une petite fille aux allumettes de l’autre côté de la vitre, c’est un vrai coup de foudre. La première fois qu’elle l’entend parler, Zlotowski se dit immédiatement séduite par son phrasé “anachronique, littéraire sans aucun argot qui rappelle une héroïne de Rohmer.” 
Et s’il est vrai que la critique étale tartine sur tartine sur une évidente et troublante ressemblance avec la Bardot de “Et Dieu Créa La Femme”, le saut étant rapide de St Tropez à Cannes, c’est aussi Anna Karina qui se joue sous l’eyeliner de Zahia Dehar. Son parlé, que l’on devine laborieux sous le ton maniéré, hésite sur un accent avec lequel elle a longtemps dû lutter. C’est évidemment Sofia Loren aussi, à qui le personnage n’emprunte pas juste le prénom, mais aussi l’oeil de chat, le port altier, les oeillades enflammées… On tombe instantanément sous le charme de cette beauté cannoise, la caméra de Zlotowski faisant tout pour construire un bel écrin à cette beauté sculpturale déjà beaucoup exposée.
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Rebecca Zlotowski réalise ici un film prétexte à montrer son égérie dans un cadre parfaitement seyant. Plan sur ses seins, ses hanches, son visage dans les eaux cristallines d’une calanque isolée. Balade d’épaules nues entre les pins d’un jardin italien. Chevelure incandescente dans les enfers des clubs niçois. La réalisatrice se donne du plaisir à multiplier de petits polaroïds tout à fait ravissants de son héroïne. L’une filme et l’autre sait jouer avec l’objectif. Le couple réalisatrice-actrice fond immédiatement dans une complicité qui aime se mettre en scène sur les plateaux. Cette fascination mutuelle prend à merveille la lumière et l’on reconnaît là un bel objet cinématographique prolongeant avec délice l’été déjà moribond.
Mais Une Fille Facile est-il aussi le plaidoyer féministe qu’il se veut être ? on a voulu tenir le manifeste du film en une réplique :
“Il te traite de pute et toi tu dis rien ? Et alors ? est-ce que c’est grave ?”
La légèreté, trait essentiel de Sofia, dans ses moeurs mais aussi dans son humeur, c’est aussi la quintessence de ce film. La trame n’est qu’un été, l’été des 16 ans de Naïma. Tout pour elle est léger, les aventures de sa cousine Sofia, ses amours et ses amitiés, ses fâcheries aussi. Le film se vit à travers ses yeux d’adolescente pour qui le lendemain n’a que peu de prise. Et pourtant, c’est une leçon essentielle que lui laissera Sofia cet été-là : les mots des autres et les noms qu’ils donnent n’ont qu’un but, celui d’emprisonner.
Les bonnes intentions du film finissent par s’échouer un matin sur la grève quand à la fin des vacances, Naïma accepte de “se ranger”. Elle n’embrassera finalement jamais la liberté de Sofia ni Philippe, la fixette amoureuse d’un été. Cet horrible vieux beau, en la personne de Benoît Magimel, toujours aussi mauvais, de lui dire “toi tu as des valeurs”. Zlotowski ruine en une phrase le travail d’1h30 de long dialogue avec nos préjugés pour retomber dans une espèce de drôle de morale valorisant le “vrai” travail. Et c’est là tout le péché du film, un vague soupir sur notre morale pudibonde. Pourtant il y a tant à dire sur notre féminité toxique et Clothilde Courau l’incarne si bien, ce regard réprobateur, ce mépris de classe, cette conviction d’être au-dessus de tout. A ces bassesses Sofia répond toujours par le charme “Moi, je rêve d’avoir ce que vous avez à votre âge”. Par-là elle lui signifie que primo, c’est l’aigreur de la vieillesse qui parle et secundo, que la riche épouse est une putain parmi les putains.
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Là où réside l’intention première de Rebecca Zlotowski, constitue en fait la plus grande réussite du film : son discours social. Car plus qu’un plaidoyer féministe, c’est véritablement un commentaire acerbe sur cette continuelle lutte des classes que le film propose. A l’origine, un étonnement : celui de la réalisatrice au milieu de la marina de Nice, d’un côté les touristes qui mangent leur pizza, de l’autre les milliardaires dînant sur leurs yachts dans un face-à-face absurde. Et durant tout le film se déroule cette chaîne humaine à laquelle nul ne doit déroger : tout en haut Andres, financier sans âme qui s’offre des amis-esclaves pour compenser son manque de vision, Philippe et Calypso, les-dits esclaves, cultivés donc de valeur, puis dessous la masse indifférenciée des personnels de bords, de michtonneuses d’été, des serveurs de palaces… 
Naïma ne questionne jamais son appartenance à cette dernière catégorie. Fille de femme de chambre, à l’aise en cuisines, battant la tong sur le bitume des quidams. Sofia lui montre comment court-circuiter le système, non sans encombres, car contourner l’échelle c’est s’attirer les foudres du lumpen-prolétariat. Avec effroi, nous constatons que pour toujours, ces classes ouvrières s’entre-dévoreront pour l’amour du patron. Elles ne questionneront jamais l’ordre du monde, elles feront tout pour le maintenir et se maintenir elles-mêmes dans l’ombre des grands, parce que c’est comme ça, parce que celui qui enfreint cette loi est une menace plus immédiate, une cible plus facile, une rage plus féconde que celle qui nous permettraient de renverser les riches.
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370220 · 6 years ago
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Samedi 28 décembre, les festivités de fin d'année à Angers
Prochaine étape, Angers par l'Ev6 en longeant la majestueuse Loire. La nuit a fait du bien. Malgré les dernières courbatures, le temps est ensoleillé et c'est bien motivant. En plus ce soir on retrouve nos potes d'Angers!
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Bye bye Saumur!
On sort de Saumur et on s'aventure en direction des grands prés de l'École Française d'Équitation. Des chevaux, de la verdure et des routes vélo, nickel.
Bon on fait des allers et retours un peu pour rien car la vallée de la Loire est inondée et plusieurs voies sont infranchissables.
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On passe par la route, qui reste très agréable et pas trop passante. On croise les maisons et caves troglodytiques et on a droit à de beaux panoramas sur la Loire.
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On pique-nique les pieds presque dans l'eau vers Gennes, à côté de l'île de Bessé.
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L'idée est de changer de rive à St Marhurin sur Loire et de rallier les Ponts de Cé. Le franchissement du pont offre une vue assez chouette! C'est con, on a oublié de passer voir le Château de Brissac, paraît qu'il mérite le coup d'oeil... tant pis!
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Sur la rive droite de la Loire, la route nous fait passer par les champs de maraîchers puis par la levée de la Loire, c'est vraiment facile et chouette! On met de la musique, on est à la coule !
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On fait une pause aux Ponts de Cé pour profiter de la sérénité des lieux. Après la route vélo est bloquée par les eaux, alors on remonte à travers ville et on entre dans Angers, direction notre bel hôtel !!! Et oui, en ce dernier moment de périple et pour la fin d'année, on se fait plaisir !
A tiens... un panneau "Nantes à 99 km"...
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On sera donc logés tout en haut d'un petit hôtel situé à côté du Château des Ducs d'Anjou.
Ce soir on mange chez Benoît, Aurore et Daphné et on se détend ! C'est parti pour 4 jours ici...
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extrabeurre · 6 years ago
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Gala Québec Cinéma 2019 : Les nominations
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Irlande Côté, Émilie Pierre, Jacob Whiteduck-Lavoie. Crédit photo : Julie Caron
Adoptant une nouvelle formule cette année, où le vote du jury est pondéré 50/50 avec le vote des membres votants de l'industrie, le Gala Québec Cinéma se retrouve avec des nominations qui offrent un bel équilibre entre le cinéma populaire et d'auteur.
Ainsi, dans la catégorie Meilleur film, les 7 finalistes incluent les gros succès 1991 de Ricardo Trogi (aussi Meilleure réalisation et Meilleur scénario) et La Bolduc de François Bouvier d'une part, et les productions acclamées par la critique À tous ceux qui ne me lisent pas de Yan Giroux (aussi Meilleure réalisation et Meilleur scénario), Genèse de Philippe Lesage, La grande noirceur de Maxime Giroux (aussi Meilleure réalisation), Répertoire des villes disparues de Denis Côté (aussi Meilleure réalisation), et Une colonie de Geneviève Dulude-De Celles (aussi Meilleure réalisation et Meilleur scénario).
La catégorie Meilleur scénario est complétée par deux excellents choix, Avant qu'on explose d'Éric K. Boulianne et Origami d'André Gulluni & Claude Lalonde.
Je me permets aussi de mettre en lumière ma catégorie préférée, Révélation de l'année, qui est dominée par les vedettes du brillant Une colonie, soit Émilie Bierre, Irlande Côté et Jacob Whiteduck-Lavoie, qui sont rejoints par Lévi Doré pour La chute de Sparte et Maripier Morin pour La chute de l'empire américain.
FINALISTES 2019 PAR CATÉGORIE 
Les finalistes sont présenté.e.s en ordre alphabétique 
MEILLEUR FILM Iris du Meilleur film
1991 - Go Films - Nicole Robert À tous ceux qui ne me lisent pas - micro_scope - Luc Déry, Élaine Hébert, Kim McCraw La Bolduc - Caramel Films - Valérie d'Auteuil, André Rouleau Genèse - L'Unité centrale - Galilé Marion-Gauvin La grande noirceur - Metafilms - Sylvain Corbeil, Nancy Grant Répertoire des villes disparues - Couzin Films - Ziad Touma Une colonie - Colonelle films - Fanny Drew, Sarah Mannering
MEILLEUR PREMIER FILM Iris du Meilleur premier film
Sera annoncé lors du Gala Québec Cinéma
MEILLEURE RÉALISATION Iris de la Meilleure réalisation
Denis Côté - Répertoire des villes disparues Geneviève Dulude-De Celles - Une colonie Maxime Giroux - La grande noirceur Yan Giroux - À tous ceux qui ne me lisent pas Ricardo Trogi - 1991
MEILLEUR SCÉNARIO Iris du Meilleur scénario
Guillaume Corbeil, Yan Giroux - À tous ceux qui ne me lisent pas Geneviève Dulude-De Celles - Une colonie André Gulluni, Claude Lalonde - Origami Eric K. Boulianne - Avant qu'on explose Ricardo Trogi - 1991
MEILLEURE INTERPRÉTATION FÉMININE | PREMIER RÔLE Iris de la Meilleure interprétation féminine dans un premier rôle
Josée Deschênes (Gisèle Dubé) - Répertoire des villes disparues Debbie Lynch-White (Mary Travers) - La Bolduc Brigitte Poupart (Marie-Claire Dubé) - Les salopes ou le sucre naturel de la peau Karelle Tremblay (Léo) - La disparition des lucioles Carla Turcotte (Sasha) - Sashinka
MEILLEURE INTERPRÉTATION MASCULINE | PREMIER RÔLE Iris de la Meilleure interprétation masculine dans un premier rôle
Jean-Carl Boucher (Ricardo) - 1991 Pierre-Luc Brillant (Steve) - La disparition des lucioles Martin Dubreuil (Yves Boisvert) - À tous ceux qui ne me lisent pas Patrick Hivon (Kevin) - Nous sommes Gold Théodore Pellerin (Guillaume) - Genèse
MEILLEURE INTERPRÉTATION FÉMININE | RÔLE DE SOUTIEN Iris de la Meilleure interprétation féminine dans un rôle de soutien
Sandrine Bisson (Claudette) - 1991 Céline Bonnier (Dyane) - À tous ceux qui ne me lisent pas Larissa Corriveau (Adèle) - Répertoire des villes disparues Mélissa Désormeaux-Poulin (Catherine Beauregard) - Dérive Natalia Dontcheva (Elena) - Sashinka
MEILLEURE INTERPRÉTATION MASCULINE | RÔLE DE SOUTIEN Iris de la Meilleure interprétation masculine dans un rôle de soutien
Robin Aubert (Henri) - Une colonie Pier-Luc Funk (Maxime) - Genèse Vincent Leclerc (Jean-Claude) - La Chute de l'empire américain Alexandre Nachi (Arturo) - 1991 Henri Picard (Marc) - À tous ceux qui ne me lisent pas
RÉVÉLATION DE L'ANNÉE Iris de la Révélation de l'année
Émilie Bierre (Mylia) - Une colonie Irlande Côté (Camille) - Une colonie Lévi Doré (Steeve Simard) - La chute de Sparte Maripier Morin (Aspasie / Camille Lafontaine) - La Chute de l'empire américain Jacob Whiteduck-Lavoie (Jimmy) - Une colonie
MEILLEURE DISTRIBUTION DES RÔLES Iris de la Meilleure distribution des rôles
Nathalie Boutrie (Casting NB) - La chute de Sparte Ariane Castellanos - Une colonie Chloé Cinq-Mars - Dérive Denis Côté - Répertoire des villes disparues Nolwenn Daste, Fanny Rainville, Kristina Wagenbauer - Sashinka
MEILLEURE DIRECTION ARTISTIQUE Iris de la Meilleure direction artistique
Sylvain Dion, Patricia McNeil - La grande noirceur Raymond Dupuis - La Bolduc Marie-Pier Fortier - Répertoire des villes disparues Marie-Claude Gosselin - À tous ceux qui ne me lisent pas Christian Legaré - 1991
MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE Iris de la Meilleure direction de la photographie
Steve Asselin - 1991 Ian Lagarde - À tous ceux qui ne me lisent pas François Messier-Rheault - Répertoire des villes disparues Sara Mishara - La grande noirceur Ronald Plante - La Bolduc
MEILLEUR SON Iris du Meilleur son
Mimi Allard, Sylvain Bellemare, Bernard Gariépy Strobl, Claude La Haye - Allure Claude Beaugrand, Michel B. Bordeleau, Luc Boudrias, Gilles Corbeil - La Bolduc Stéphane Bergeron, Olivier Calvert, Gilles Corbeil - La disparition des lucioles Luc Boudrias, Frédéric Cloutier, Stephen De Oliveira - La grande noirceur Sylvain Brassard, Michel Lecoufle - 1991
MEILLEUR MONTAGE Iris du Meilleur montage
Michel Arcand - La Bolduc Mathieu Bouchard-Malo - Genèse Mathieu Bouchard-Malo - La grande noirceur Elric Robichon - À tous ceux qui ne me lisent pas Yvann Thibaudeau - 1991
MEILLEURS EFFETS VISUELS Iris des Meilleurs effets visuels
Alchimie 24 - Jean-François "Jafaz" Ferland, Marie-Claude Lafontaine - La Bolduc Fix Studio - Aurélia Abate, Delphine Lasserre, Bruno Maillard | Oblique FX - Benoît Brière, Louis-Philippe Clavet, Valérie Garcia, Étienne Rodrigue - Dans la brume Fly Studio - Jean-Pierre Boies, Jean-François Talbot - 1991
MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE Iris de la Meilleure musique originale
Olivier Alary - La grande noirceur Philippe B - Nous sommes Gold Frédéric Bégin - 1991 Philippe Brault - La disparition des lucioles Peter Venne - Avant qu'on explose
MEILLEURS COSTUMES Iris des Meilleurs costumes
Caroline Bodson - Répertoire des villes disparues Mariane Carter - La Bolduc Mélanie Garcia - À tous ceux qui ne me lisent pas Anne-Karine Gauthier - 1991 Patricia McNeil - La grande noirceur
MEILLEUR MAQUILLAGE Iris du Meilleur maquillage
Audrey Bitton - À tous ceux qui ne me lisent pas Virginie Boudreau - 1991 Nicole Lapierre - La Bolduc Léonie Lévesque-Robert - Une colonie (ex aequo) Dominique T. Hasbani - Genèse (ex aequo) Dominique T. Hasbani - Répertoire des villes disparues
MEILLEURE COIFFURE Iris de la Meilleure coiffure
Nathalie Dion - À tous ceux qui ne me lisent pas André Duval - La chute de Sparte Daniel Jacob - 1991 Martin Lapointe - La Bolduc Dominique T. Hasbani - Répertoire des villes disparues
MEILLEUR FILM DOCUMENTAIRE Iris du Meilleur film documentaire
Anote's Ark - Matthieu Rytz | EyeSteelFilm - Matthieu Rytz L'autre Rio - Émilie Beaulieu-Guérette | Colonelle films - Fanny Drew, Geneviève Dulude-De Celles, Sarah Mannering Cielo- Alison McAlpine | Errante Producciones - Paola Castillo | Second Sight Pictures - Alison McAlpine Innu Nikamu : Chanter la résistance- Kevin Bacon Hervieux | Terre Innue - Ian Boyd Pauline Julien, intime et politique - Pascale Ferland | Office national du film du Canada - Johanne Bergeron
MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE | FILM DOCUMENTAIRE Iris de la Meilleure direction de la photographie | Film documentaire
Benjamín Echazarreta - Cielo Danae Elon, Itamar Mendes Flohr - A Sister's Song Sylvestre Guidi - New Memories Alexandre Lampron - Des histoires inventées Matthieu Rytz - Anote's Ark
MEILLEUR MONTAGE | FILM DOCUMENTAIRE Iris du Meilleur montage | Film documentaire
Mila Aung-Thwin, Oana Suteu Khintirian - Anote's Ark Natacha Dufaux - L'autre Rio Vincent Guignard, Alexandre Leblanc - A Sister's Song Catherine Legault - Les lettres de ma mère René Roberge - Pauline Julien, intime et politique
MEILLEUR SON | FILM DOCUMENTAIRE Iris du Meilleur son | Film documentaire
Claude Beaugrand, Luc Boudrias, Serge Giguère - Les lettres de ma mère Bruno Bélanger, Marie-Pierre Grenier, Francisco Heron De Alencar - L'autre Rio Cyril Bourseaux, Mélanie Gauthier, Simon Léveillé, Simon Plouffe, Lynne Trépanier, Jean Paul Vialard, Shikuan Shetush Vollant - Ceux qui viendront, l'entendront Olivier Calvert, Jean Paul Vialard - Pauline Julien, intime et politique Andrés Carrasco, Miguel Hormazábal, Mauricio López, Alison McAlpine, Rodrigo Salvatierra, Carlo Sanchez Farías, Claudio Vargas - Cielo
MEILLEUR COURT MÉTRAGE | FICTION Iris du Meilleur court métrage | Fiction
Brotherhood - Meryam Joobeur | Cinétéléfilms - Habib Attia, Sarra Ben-Hassen | Meryam Joobeur | Laika Film & Television - Andreas Rocksén | Midi La Nuit - Maria Gracia Turgeon Fauve - Jérémy Comte | Midi La Nuit - Maria Gracia Turgeon | Achromatic Media - Evren Boisjoli Lunar-Orbit Rendezvous - Mélanie Charbonneau | Hutte Films - Virginie Nolin Milk - Santiago Menghini | Newton's Cradle - Max Walker Mon Boy - Sarah Pellerin | La Boîte à Fanny - Fanny-Laure Malo, Annie-Claude Quirion
MEILLEUR COURT MÉTRAGE | ANIMATION Iris du Meilleur court métrage | Animation
Bone Mother - Dale Hayward, Sylvie Trouvé | Office national du film du Canada - Jelena Popović La chambre des filles - Claire Brognez | Les Films de l'Autre - Claire Brognez Mais un oiseau ne chantait pas - Pierre Hébert | Pierre Hébert Not Your Panda - Tigris Alt Sakda | Tigris Alt Sakda Le sujet - Patrick Bouchard | Office national du film du Canada - Julie Roy
PRIX DU PUBLIC Iris Prix du public
1991 - Ricardo Trogi | Les Films Séville | Go Films - Nicole Robert La Bolduc - François Bouvier | Les Films Christal | Caramel Films - Valérie d'Auteuil, André Rouleau La Chute de l'empire américain - Denys Arcand | Les Films Séville | Cinémaginaire - Denise Robert La Course des tuques - Benoit Godbout et François Brisson | Les Films Séville | CarpeDiem Film & TV - Marie-Claude Beauchamp La disparition des lucioles - Sébastien Pilote | Les Films Séville | ACPAV - Marc Daigle, Bernadette Payeur
IRIS HOMMAGE Iris Hommage
Sera annoncé ultérieurement
FILM S'ÉTANT LE PLUS ILLUSTRÉ À L'EXTÉRIEUR DU QUÉBEC Iris du Film s'étant le plus illustré à l'extérieur du Québec
La Chute de l'empire américain - Denys Arcand | Cinémaginaire - Denise Robert Cielo - Alison McAlpine | Errante Producciones - Paola Castillo | Second Sight Pictures - Alison McAlpine La Course des tuques - Benoit Godbout et François Brisson | CarpeDiem Film & TV - Marie-Claude Beauchamp La disparition des lucioles - Sébastien Pilote | ACPAV - Marc Daigle, Bernadette Payeur Eye on Juliet - Kim Nguyen | Item 7 - Pierre Even
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jogallice · 2 years ago
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Annecy Journée : mercredi 29 mars 2023.
See on Scoop.it - JamesO
Aujourd’hui, mercredi 29/03/23, Journée internationale des nuages ☁️
  Article très intéressant que celui de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes (publié à 6 heures dans notre fil jaune) qui s'interroge toutefois assez benoîtement dans le titre : l'équipe municipale d'Annecy apparaît divisée. Ce n'est pourtant plus un secret pour les annéciennes et les annéciens qui savent depuis maintenant assez longtemps que le mariage de la carpe et du lapin a bel et bien été consommé. Les observateurs les plus avisés savaient que la pré-campagne des municipales 2026 débuteraient dès début 2023, nous y sommes. Le tout est de plus accéléré par le départ de Benjamin Marias, le premier adjoint, qui va quitter, à sa demande, son poste auprès du maire d'Annecy. Le concept politique d'associer, ne serait-ce que temporairement, gauche et droite est délicat à appréhender en France mais penser qu'un tel accord aurait pu être durable à Annecy, comment dire, nous n'allons rien dire mais vous inciter à lire l'article 🏰
  Publication de 23 infos programmées de 3h à 21h 📣
  Bon troisième jour de la semaine à toutes et à tous 🎧
  📷 JamesO PhotO à Annecy le dimanche 26/03/23 📸
JamesO's insight:
  JamesO © AlPy News ® StudiO 147 ℗  2SC ™
  L’infO qu’il vous faut❗
Par JamesO (Presse & Édition)
Information - Expression - Opinion
⛲️ Depuis le lundi 29/02/88 🦢
  Annecy - Grand Annecy
Haute-Savoie - Savoie - France
Union Européenne - Europe - International
  #sélection #vérification #rédaction #agrégation #curation #éditorialisation #coopération #diffusion #animation
  🌐 Penser différemment 👈
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  Le fil blanc de JamesO.InfO
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