#Des gens exceptionnels
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selidren · 24 days ago
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Eté 1943 - Malvern College
2/5
Ma chère Maman,
Je préfère vous prévenir tout de suite, l'école sera de nouveau déplacée d'ici la fin de l'année, et risque de s'ensuivre le plus grand des chaos. Il risque d'être compliqué pour moi de vous écrire à partir de l'hiver, ou alors vous recevrez mes courriers avec énormément de retard.
Transcription :
Marc-Antoine « Que fêtons-nous ? »
Marie-Claire « Rien de particulier, j’avais simplement envie de prendre une bonne bouteille et de trinquer avant le repas. »
Marc-Antoine « Du Weston’s ? C’est un choix particulier. Les gens préfèrent d’ordinaire un bon vin rouge ou du champagne. Un whisky ou du brandy, à la rigueur, si vous êtes britannique. »
Marie-Claire « Je n’ai pas un palais très fin pour les alcools. Je préfère le cidre. Vous n’aviez pas remarqué que je ne buvais presque pas ? »
Marc-Antoine « Si, si, bien sur… C’est amusant. »
Marie-Claire « Qu’est-ce qui est amusant ? »
Marc-Antoine « Avant que mon grand-père ne fasse fortune dans le pinot noir, son père ne produisait presque que du cidre. Et pas très bon avec ça ! Ce n’était pas un très bon entrepreneur et il n’a jamais réussi comme il le souhaitait. Cependant, ma sœur Noé en produit encore aujourd’hui par tradition. Il n’est pas exceptionnel, mais il se vend bien. »
Marie-Claire « Vous parlez régulièrement de votre famille. De votre femme, de vos garçons, de votre adorable petite Louise. Mais presque jamais de Noé. Je croyais d’ailleurs que c’était votre oncle qui gérait l’affaire familiale. »
Marc-Antoine « Oncle Adelphe ? Il est encore dans les parages mais… enfin bref, je pensais vous avoir beaucoup parlé de Noé. C’est ma sœur aînée, et celle de laquelle je suis le plus proche. »
Marie-Claire « Plus que de votre frère ? »
Marc-Antoine « Oh oui ! Et je parle pourtant de l’époque où il ne me haïssait pas cordialement. »
Marie-Claire « Vous vous faites des idées... »
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notesdunevieordinaire · 1 month ago
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Ce regard !
Aujourd'hui, au milieu de la foule des Médiévales de Bayeux, j’ai croisé un homme, et il a eu sur moi ce regard… Celui qui ne trompe pas. Celui dans lequel on lit la surprise mêlée à l’admiration, quand on rencontre quelqu’un qui correspond exactement à ce qu’on rêve secrètement. Non, je ne parle pas du regard des hommes qui aperçoivent une jolie femme et l’oublient aussitôt. Je parle de ce regard rare, sincère, celui de quelqu’un touché en plein cœur. Quelqu’un qui, à cet instant précis, pensait à tout autre chose, et qui, d’un coup, croise un regard qui allume son âme.
Je ne suis pas une femme qui attire les regards. Je ne l’ai jamais été, même jeune. Je suis très ordinaire. Et pourtant, ce regard-là, c’est la troisième fois que je le croise. Trois fois dans une vie, ce n’est pas beaucoup, non ? Et pourtant, c’est énorme quand on n’a pas l’habitude d’être regardée avec une telle intensité. C’est si exceptionnel que ça marque à vie. Je n’ai jamais oublié le regard de ces trois hommes. La première fois, j’avais 18 ans. C’était lors d’une fête sur la plage. Un jeune homme que je ne connaissais pas m’a vue arriver, et j’ai vu son regard. J’ai vu combien il était bouleversé. J’ai vu le "wow" dans ses yeux. Cela m’a fait sourire, comme chaque fois qu’un homme pose ce regard-là sur moi. Un sourire tendre, qui dit : "Moi aussi, je t’ai vu."
Ce soir-là, ce jeune homme et moi avons passé la soirée à nous rapprocher, et nous avons fini par nous embrasser. Nous ne nous sommes jamais revus. Il était là en vacances. À l’époque, pas de téléphone portable. Et il avait trop bu pour vaincre sa timidité. Nous n’avons pas échangé nos numéros. La deuxième fois, c’était il y a quelques années, en bas de chez moi, en promenant mon chien. Des jeunes gens jouaient aux boules, et quand je suis passée près d’eux, j’ai vu ce regard. Il devait avoir moins de trente ans. Il ne m’a pas quittée des yeux pendant toute la promenade. Quand je suis repassée devant lui, il m’a souri, et moi aussi. Je ne l’ai jamais revu.
Ce sera sans doute pareil avec l’homme grand, mince, Black que j’ai croisé aujourd’hui. Un simple instant. Mais un beau souvenir, quelque chose qui réchauffe le cœur et l’âme. Un regard qui m’a fait du bien. Si un jour je dois vivre une autre histoire d’amour, j’exige qu’on me regarde ainsi. Oui, je l’exige. Plus jamais d’"à peu près", de "pourquoi pas", d’"on verra bien". Plus jamais de "elle ou une autre, c’est pareil". Je veux être unique dans le regard de celui qui m’aimera.
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uneessencesensible · 2 months ago
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Dessin réalisée en 2027/2018 pour mes deux meilleures amies de lycée avec qui je suis toujours amies aujourd'hui. Cela fera 16 ans en septembre.
ℕ°𝟚𝟛𝟟𝟛 – 𝕄𝕒𝕣𝕕𝕚 𝟘𝟠 𝕒𝕧𝕣𝕚𝕝 𝟚𝟘𝟚𝟝
Mot inspiré : l'amitié
Avec l’âge, je remarque que le nombre d’amis peut rapidement chuter. Le nombre de personnes qui se disent être ton ami et qui le sont réellement est aussi faible que je ne pourrais l’imaginer. Jeune, je pensais en avoir beaucoup. Des personnes fiables. Loyales. Je me rappelle d’une professeur, en cours d’espagnol, qui m’avait demandé combien d’ami j’avais. J’ai dit une dizaine. Elle a hoché la tête, surprise et elle m’a demandé si c’étaient de vrais amis et j’ai répondu que oui. C’étaient des amis du collègue. J’avais un grand groupe d’amis et je pensais que cela durerait dans le temps. Or, cela n’a pas été le cas. Loin de là. Je me suis vite trouvée prise au dépourvue. Certains ont profité de ma naïveté. D’autres ont dévoilé leur vrai visage quand ils ont commencé à me harceler. Il y a ceux qui ont arrêté de me parler du jour au lendemain. Bref. Tant de personnes qui ne sont plus dans ma vie désormais. La liste est longue. Ceci étant dit, cela ne m’a pas empêché de garder espoir de m’entourer de bonnes personnes et ce fut le cas au lycée. J’ai rencontré deux personnes avec qui je me suis liée d’amitié dans l’année qui a suivi notre première rentrée ensemble. Nous avons eu de merveilleux moments en classe. Des escapades pour se rendre au MacDo. Tant de souvenirs majestueux, que je garde précieusement dans ma tête. Bien sûr, nous avons eu nos moments d’éloignement, mais notre relation n’a jamais été remise en cause, quelque soit la raison de notre éloignement. Aujourd’hui, je suis beaucoup plus proche d’une d’entre elles, dû à des changements de vie, de comportements, mais cela n’empêche pas d’aimer l’autre personne. Elle reste une personne importante à mes yeux.
Au fil des années, il y a eu d’autres personnes qui sont rentrées dans ma vie et qui en sont ressorties. Parfois, plus vite que je ne l’aurai imaginé. Certains ont abusés de ma gentillesse, qui m’ont montré un certain manque d’empathie à mon égard. Mais surtout, certains m’ont prouvé que la vie pouvait se montrer surprenante. Que les vrais amis peuvent ramener les meilleurs souvenirs au monde. J’ai des amies sur qui je peux compter à toute heure de la journée ou de la nuit. Des personnes avec qui je peux être moi-même et qui ne m’ont jamais trahi, ni même jugé. Des personnes avec qui passer du temps devient un réel plaisir, où le temps file si vite que je ne le vois pas passer. Elles ont été d’une grande aide, d’un soutien sans faille. Ces personnes me sont chères et je pourrais, sans doute, faire n’importe quoi pour elles. Elles me le rendent bien. Elles comprennent mes silences, mes passages à vides, mes moments d’anxiété. Elles ne m’ont jamais reprochées de trop parler ou de me confier mon trop plein de pensées, même si parfois, je radote. C’est sûrement les personnes en qui j’ai la plus grande confiance. Pourtant, je suis si méfiante. Je me pose tellement de questions sur les gens qui rentrent dans ma vie. Et si elle voulait abuser de ma gentillesse ? Et si elle me l’a fait à l’envers ? Tant de questions. Mais là, c’est loin d’être le cas. Au contraire. Mon esprit est serein quand je me trouve avec elles. Je peux les compter sur les doigts d’une main et cela me va très bien. Il vaut mieux avoir peu d’amis, mais des personnes exceptionnelles, que plusieurs amis et ne pas savoir sur qui compter.
Puis, à côté, il y a les potes, les copains. Les personnes que j’ai rétrogradées, car elles abusent des bonnes choses. Elles me cachent, parfois, la vérité, pour éviter d’assumer ce qu’elles pensent. Le pire dans tout ça, c’est qu’elles ne se rendent pas compte qu’elles me donnent des cartes. Des billes en cas de problème. Car je retiens tout. Je n’oublie pas les promesses, surtout celles qui ne sont pas faites avec le cœur, mais plutôt par dépit ou pour mieux m’endormir. Ce sont des personnes qui comptent encore pour moi, mais qui ne seront jamais à la hauteur de mes amis.
L’amitié, c’est une des plus belles choses. Une chose qui peut vous pousser le haut. Qui peut vous donner toutes les cartes pour embrasser le bonheur, pour devenir plus fort et devenir celle que l’on veut devenir. L’amitié, c’est une forme d’amour, plus doux, plus linéaire.
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e642 · 1 year ago
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Je me sens triste, surtout le soir quand je suis dans mon lit et que j'attends le lendemain. Les journées, les moments, les gens ne sont pas satisfaisants. Je ne crois pas avoir déjà eu un entourage si minable et transparent. Je vois les gens, par dépit, par politesse, et je ressens une vague de léthargie à chaque fois. Je n'ai pas commencé à parler que je me demande quelle excuse je vais dire pour partir. J'ai souvent entendu que la "somme" des 5 personnes les plus proches de nous, nous représentait beaucoup... c'est affligeant dans ce cas. J'ai beaucoup de chagrin parce que je n'ai aucune conversation ou aucun esprit à qui le confier, ou plutôt, qui saurait l'accueillir. Je côtoie des gens qui n'ont rien à voir avec moi, dont les dissemblances sont presques bruyantes, dont le regard n'a pas de douceur quand il bute sur ma silhouette. Un garçon -à qui j'accorde autant- ne m'aura jamais fait me sentir aussi banale. En fait, quand tu sens que la personne t'aime comme elle aimerait n'importe qui alors tu te demandes à la fois ce que vaut son amour et ce que tu vaux toi. Si j'écris sur Tumblr depuis autant de temps, sur les mêmes sujets, les mêmes personnes, les mêmes émotions c'est bien que ça n'a jamais pu être verbalisés ailleurs qu'ici. Il m'arrive souvent d'avoir envie de pleurer avec les gens ces derniers temps mais au dernier moment, je me mords la lèvre au sang et je me rappelle qu'ils ne méritent pas ma faiblesse. J'ai pas trouvé quelqu'un capable. Capable de tout. Capable d'être le minimum syndical requis pour un être humain. Je ne suis pas exceptionnelle, je le sais, jprefere le dire, je peux laisser l'impression de l'inverse. Je regarde tout se casser la figure et je suis la personne qui me dit "tu vois, je te l'avais dit" en prime. Je sais pas si je me déteste ou si j'ai pitié de moi. J'aurais juste réellement besoin d'une étreinte si délicate et pointue, quelle viendrait recoller certaines choses, peu importe si ça ne dure que quelques secondes. J'attends de ressentir cette bonté et cette sincérité dans les liens mais je ne l'aperçois pas ou seulement quand la personne a quelque chose à se faire pardonner. C'est si ingrat de faire mieux juste pour empêcher la remémoration du faire de la merde. Voilà ce qui m'attriste au fond, et ça marche pour tout, c'est la motivation des gens à se comporter comme ils le font. Ce n'est jamais désintéressé. Ce n'est jamais pur. Ce n'est jamais clair. Ce n'est jamais bienveillant. Il y a forcément un moment où c'est plus tentant de se permettre l'inacceptable. J'aimerais bien savoir ce qui donne ce sentiment de légitimité pour faire ça.
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Alors que le peuple est cordialement invité à rester chez lui pendant la cérémonie d'ouverture des JO, le squatter de l'Élysée organise une petite sauterie au Louvre pour lancer sa "parenthèse dorée". Bref, une belle fête olympique de l'entre-soi bourgeois dans une ville bunkérisée, loin de tous ces "gens vulgaires" qui veulent plomber l'ambiance en demandant une issue rapide à la crise politique française et en parlant des injustices sociales
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Après le dîner exceptionnel organisé dans l’enceinte de la Pyramide du Louvre, réunissant plus de 500 invités triés sur le volet. Découvrez le plateau repas réservé aux forces de l'ordre chargés de sécuriser les JO
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Et que de la conserve
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emiesphere · 5 months ago
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Attention : si vous n’avez pas envie de lire des complaintes de meuf qui râle alors qu’elle a la chance d’être en tour du monde passez votre chemin. Sinon je vous invite à continuer votre lecture pour voir à quel point je suis encore bien française.
Cela fait maintenant 7 mois que je suis partie de France et ça me parait une éternité. Les expériences que je vis sont exceptionnelles et inoubliables. Sauf que parfois il y a aussi des moments de down où on a beau faire les trucs les plus fous qu’on ait jamais fait on arrive pas vraiment à profiter. Ça peut aller du petit coup de blues style « j’ai un peu la flemme de faire ça » au vrai mal du pays où tout semble trop nul parce que c’est pas français et où on a plus envie de sortir de se chambre (ou de son lit dans son hostel).
Depuis quelques jours c’est ce que je ressens. Je pense que le contraste Nouvelle-Zélande avec les Fidji n’a pas aidé mais il y a aussi une certaine lassitude.
D’abord je pense qu’à force de faire des choses nouvelles tous les jours on finit par « user » son capital émerveillement et ce qui nous semblait incroyable au début fini par paraître banal soit parce qu’on le compare à autre chose qu’on a vu ailleurs soit parce qu’on s’est tellement habitué à voir des choses inattendues qu’on finit par s’émerveiller pour les choses ordinaires. Pour vous donner un exemple, j’étais aux anges de voir une 307 Peugeot grise en NZ la semaine dernière. C’est là que je suis contente d’avoir des amis qui me rejoigne pour certaines étapes et qui n’ont pas encore entamer leur capital « wouah ».
Ensuite il y a la fatigue que peut provoquer le voyage. J’ai lu quelque part que voyager n’est pas toujours synonyme de vacances, en effet il faut en permanence prévoir, planifier la suite du voyage, gérer un budget, faire des benchmarks pour tout, ne pas se tromper dans les dates, choisir les meilleures activités. Et c’est d’autant plus difficile quand on est tout.e seul.e parce qu’on ne peut pas partager les tâches.
Il y aussi des trucs où j’ai atteint un point de non retour. Je veux parler du sac à dos. Être niveau 57 en Tetris pour fermer le sac, marcher avec le tiers de mon poids sur le dos, avoir l’impression de me balader avec une tonne de trucs alors que je porte les mêmes fringues tout le temps (rotation de 7 jours max). Et je veux aussi parler des trajets en avion avec son nombre d’étapes infini : aller jusqu’à l’aéroport, déposer son bagage, passer la sécurité et parfois l’immigration, attendre, payer un café aussi cher qu’une nuit d’hotel, attendre, embarquer, avoir la place du milieu, ne pas arriver à dormir, écouter les enfants hurler, manger des trucs beurk, sortir complètement décalqué.e, attendre son bagage, passer la douane, se faire fouiller son sac, parfois dormir sur le sol en attendant son prochain vol, devoir calculer les fuseaux horaires, etc. Tout ça saupoudrer de gens qui découvre la vie et savent pas faire fonctionner un sèche main Dyson, alors vous imaginez les portails d’immigration électroniques! Le seul point chouette de l’avion, enfin des gros avions, c’est que c’est le seul endroit où je regarde des films en ce moment.
Et puis il y a une fatigue plus insidieuse moins évidente. On dit que l’homme est un être d’habitudes et il y a une bonne raison à ça. Prendre des décisions demandes de l’énergie, il faut réfléchir aux options, les évaluer, en choisir une et la réaliser. Quand on pense à prendre des décisions on pense à choisir ses études post-bac ou la dates de ses vacances. Mais ce qu’on ne se rend pas compte c’est que le quotidien le plus simple est fait de micro décisions : comment vous vous brossez les dents, ce que vous mangez au petit-dej, l’ordre dans lequel vous vous habillez, etc. Et les habitudes permettent au cerveau d’économiser une quantité folle d’énergie en écrivant un programme qu’on suit sans se rendre compte. Heureusement sinon on arriverait au boulot sur les rotules. Dans un environnement familier on ne s’en rend pas compte et on est hyper efficace. Sauf qu’en voyage on change de pays et de culture tous les mois, de logements tous les deux jours. Il faut constamment réinventer son quotidien pour l’adapter et on ne se rend pas compte mais ça demande énormément d’énergie. On ne mange pas la même chose partout, on ne fait même pas les courses de la même manière partout! Avant de prendre une décision il y a donc une étape supplémentaire c’est savoir comment on fait ici. Je vous raconte même pas quand il faut faire les lessive, surtout dans les pays pas très développés où il faut demander au voisin du village d’à côté pour laver ses petites culottes avec les boxers d’un inconnu.
C’est épuisant et à ça s’ajoute la nostalgie des spécialités françaises (je vais pas vous mentir ce matin j’ai regardé des photos de croissants pendants 5 min) et la solitude. Ce voyage j’ai choisi de le faire seule et je ne regrette pas parce que je sais qu’un voyage partagé du début à la fin aurait été impossible pour moi comme pour l’autre personne. Et même si je rencontre plein de gens, c’est pas à chaque coin de rue qu’on rencontre des gens avec qui ça clique. Et parfois ce dont on a envie c’est pas forcément d’une échange hyper intense mais juste quelqu’un qui est là pour te tenir compagnie quand tu conduis, pour dire que la bouffe est bonne (ou pas), pour se marrer ou pour surveiller tes affaires quand tu vas aux toilettes.
Parfois le seul truc dont je rêve c’est de me réveiller chez la daronne en mode automatique et vivre une journée classique. Faire un puzzle en buvant un bon thé, faire un câlin à ma mère, un croissant bien beurré pour le goûter, faire les courses chez Auchan, refaire le monde avec mes sœurs, boire un coup dans un bar et une bonne nuit de sommeil avec un BON OREILLER!
J’ai mis des photos nostalgie du coup.
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alexar60 · 2 years ago
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Café
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Voilà plusieurs semaines que je la vois.
Elle vient tous les jours à la même heure, après le déjeuner. Elle s’assoit à la même table près de la fenêtre. Chaque fois, elle commande un café allongé. Elle remercie gentiment, par un sourire, le serveur. Puis, tranquillement, elle boit doucement, à petites gorgées le contenu de la tasse. De temps en temps, elle observe la rue, regardant les gens qui passent. Mais jamais, elle ne sort de téléphone ni ne lit un livre.
Je reste au comptoir à boire mon café avec les collègues. J’aime bien la regarder. Elle n’est pas exceptionnellement belle, Cependant, elle dégage quelque-chose de remarquable. C’est à la fois du charme, de la tendresse, énormément de bonté. En fait, je la trouve magnifique malgré ses défauts, et elle porte de nombreux défauts.
Je n’ai jamais osé lui adresser la parole. Parce que je n’ai pas envie de le faire. Je l’observe, je l’admire en train de boire son café. Elle n’a jamais de regard dans ma direction, se contentant de profiter de la rue quelque-soit le temps. En hiver, elle tient sa tasse entre ses mains pour profiter de la porcelaine chaude. En été, elle croise les mains ou elle frotte ses bras nus.
C’est une étrange sensation que d’apprécier autant quelqu’un, sans chercher à la connaitre réellement. Peut-être est-elle folle ou stupide ? Elle zozote ou s’exprime avec une voix criarde ? Je ne sais pas. Je sais juste qu’elle a un beau regard, que sa bouche porte très bien le rouge à lèvre, que sa coiffure est toujours impeccable,  et qu’elle adore venir boire un café après l’heure du repas.
Au début, j’avais essayé de voir par où elle arrivait. J’ai essayé de regarder vers quel endroit, elle repartait. J’ai imaginé sa vie. J’ai inventé son mari, ses enfants. J’ai cherché à deviner son métier. Seulement, je veux lui laisser ses secrets. Alors, je reste à la regarder tout en écoutant les collègues. Je les écoute sans prêter attention à leurs paroles car mon intérêt va automatiquement  vers cette femme.
Puis, elle se lève, se dirige vers le bar et paye son café. C’est à ce moment que nos yeux se rencontrent. Elle me sourit, je rougis et détourne la tête. En même temps, elle s’adresse au cafetier : « Au revoir, bonne journée et à demain ». Chaque fois, j’ai l’impression que sa phrase est pour moi. Alors, je regarde son dos pendant qu’elle s’éloigne.
Lorsqu’elle sort du bistrot, elle s’arrête d’abord devant le trottoir. Elle regarde à gauche puis à droite et s’en va disparaissant de ma vue pour le reste de la journée, jusqu’au lendemain.
Et j’ai toujours hâte d’être au lendemain.
Alex@r60 – août 2023
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claudehenrion · 1 year ago
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L'Histoire telle qu'en elle-même
S'il existe un mot qui a été maltraité, ''baladé'', insulté et dénaturé à travers les âges, c'est bien celui de ''Histoire'', et ce n'est pas un citoyen français vivant sous Macron qui va vous dire le contraire. Dans les ''éditoriaux'' que je prépare à votre intention avant de vous en infliger un jour ou l'autre la lecture, le thème revient souvent, dans toute sa dramatique aridité : l'Histoire est devenue ''un grand n'importe quoi'' que chacun réinvente au gré de la mauvaise idée qu'il cherche à imposer... et notre Président est ''top'' à ce petit jeu pourtant reconnu mortifère...
Comme on a parfois l'impression qu'il n'y a pas que dans notre pauvre France, macronisée à n'en plus être elle-même, que cela se passe, je me suis récemment demandé s'il n'existerait pas un réseau de forces mauvaises (j'aurais écrit ''de virus'', si les mensonges sur le covid --et leur persistance contre toutes les preuves qui s'accumulent-- n'avaient rendu l'usage de ce mot trop marqué, politiquement), qui agissent ''en douce'' dans les structures humaines et les empêchent de voir ce qui devrait crever les yeux. A ma plus grande honte, je dois avouer qu'il a fallu que je tangente le grand âge de 90 printemps pour me rendre compte que ce n'était pas uniquement ''parce que''... mais qu'il existe bel et bien une volonté occulte derrière tous ces dérapages.
J'étais comme tétanisé par l'histoire romaine qui, telle qu'elle nous a été transmise par nos bons maîtres, semblait vierge de toute intention et libre de toute influence extérieure. Or, la chute de Rome éveillant des rapprochements indéniables avec ce que nous vivons aujourd'hui (c'est-à-dire  depuis une soixantaine d'années, selon que l'on prend 1962 ou 1968 comme ''année zéro'' du début de notre chute), je me disais ''c'est comme ça, la chute d'une civilisation''. Ce blog qui n'avait aucune autre prétention que de dialoguer avec quelques milliers de gens plutôt ''plus'' que ''moins'', m'a donné des idées d'approfondissement et a orienté mes lectures vers des sources et des points de vue que je n'avais jamais eus auparavant.
Par exemple, la célèbre année 1789, qui est indéniablement une date-clé de notre ''roman national-- tome II'', a entraîné une réécriture, majeure et restée pérenne, de notre ''roman national –tome I'', la République parée de toutes les vertus triomphant de l'immonde ''Ancien régime'', qui n'était que la somme de tout ce qui peut être négatif sur terre : l'influence énorme des encyclopédistes et des ''Lumières'' (tu parles !), reposant sur une trame qui pouvait alors, compte tenu de l'état des connaissances du temps, sembler rationnelle, économique, sociale et, on pourrait dire, ''logique''... a coïncide avec un accident historique exceptionnel : après tant de dizaines de ''jacqueries'', de révoltes, de dissidences, pourquoi celle-là a-t-elle eu un tel succès, jamais connu avant et jamais réédité depuis ?
Car il faut rappeler que la simple ''prise de la Bastille'' (qui n'était rien en soi, ni un arsenal, ni une réserve d'or, ni un symbole sérieux (ce qu'elle est devenue par la suite, mais très longtemps après, grâce à la propagande des républicains et à l'imagination débridée des romantiques) fit couler des torrents de sang à travers toute l'Europe, durant près d'un quart de siècle, au nom d'une soi-disant ''libération des peuples opprimés'' (Question : préféraient-ils vraiment la mort à une liberté relative ? Le débat n'est pas tranché... s'il l'est un jour !). En fait, ces deux ''révolutions'' ont eu peu ou rien à voir l'une avec l'autre, ce qui explique la suite des événements : la folie robespierriste, les massacres, la ''veuve noire'' du Docteur Guillotin pour les uns... et l'enthousiasme napoléonien avec la grandeur retrouvée, pour les autres... Moralité : il ne faut jamais oublier les grandes vérités éternelles. Metternich disait : ''Un gouvernement quasi-légitime peut disparaître en quelques jours, presque sans résistance''. N'est-ce pas, cher Louis XVI ? Ne tremblez-vous pas, M Macron ?
Parmi les animateurs secrets des forces qui traînent l'attelage du temps qui passe, il y a certainement le fait qu'un pouvoir naît en général de besoins des citoyens (peur, nourriture, insécurité, envahissement –nous vivons tout ça, en permanence !), et qu'un pouvoir fort naît de la taille exagérée qu'ont pris ces problèmes. Les mauvais généraux de Nicolas II ont exaspéré le peuple, dégoûté de voir mourir ses fils... . La ''crise'' née de l'accumulation des horreurs communistes a entraîné la terreur stalinienne... La sévérité du traité de Versailles a amené Hitler au pouvoir... La corruption des ''Seigneurs de la guerre'' a fait triompher Mao de Tchang-Kaï-Check... la liste est interminable : chaque forme de pouvoir contient à la fois une justification de ce qu'il est, mais aussi sa propre fin, en lui, car il finit toujours (je n'en connais pas la raison) par générer ce contre quoi il a été mandaté. Et cela aussi, nous le vivons en permanence, hélas !
Les progrès finissant par devenir autant d'échecs et le monde étant, lui, devenu... ce que nous voyons, hélas encore, il fait de moins en moins de doute que de toutes les révoltes en cours (et Dieu sait s'il y en a, ces temps derniers !), la plus fréquente et la plus violente est le gouffre qui a été creusé sciemment entre les gouvernés et les gouvernants, par ces derniers. Pour parler des problèmes-du-jour, si le cas de la France est caricatural, l'Algérie, les USA, l'Iran, Israël, l'anti-duo russo-ukrainien, etc... sont à peine moins ridicules que nous et notre soi-disant ''Union européenne'', dont certains se gargarisent encore, alors qu'elle a égaré ou détruit tout ce qui pouvait ressembler à un avantage pour les européens, au profit d'idéologies qui ne nous laissent aucune chance : en vingt ans, c'est l'équivalent d'un ''membre'' (= un pays entier, et de bonne taille, en plus) qu'ils ont laissé entrer, sans la moindre surveillance, sans la moindre justification, sans la moindre intelligence, sans le moindre espoir de participation à notre ex-''œuvre commune'' ! Mais tout le monde se tait, et eux, ils persistent !
Ce monstre bruxellois, déformé par un pouvoir aristo-copino-technocratique largement usurpé et hors de toute ''raison sensée'', symbolisé par la dangereuse Ursule von der Leyen, n'est que la juxtaposition d'intérêts opposés, défendus becs et ongles par des gens qui, au mieux, ne s'aiment pas et, au pire, ne voient leur propre salut que dans la chute de l'autre (c'est le cas du pseudo ''couple franco-allemand'', qui a divorcé avant même d'avoir dit ''oui''... ce qu'est incapable de réaliser notre Président actuel qui persiste à confondre la réalité avec ses idées, toutes largement périmées et démontrées fausses par le temps qui passe !). Hegel, après Hérodote, voyait un sens à l'Histoire... Moi (qui ne suis rien, mais tant pis : j'ose le dire !), j'y vois un non-sens, invisible mais pervers... qui est en train de devenir mortel. Très rapidement.
H-Cl.
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empiredesimparte · 2 years ago
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Napoléon V: You're not going to spend all our vacations revising, are you? Charlotte: Unlike some people, I'm not planning to repeat my year
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Napoléon V: Joachim and I have it all planned: revise at the last minute, like all normal people Charlotte: A real duo of losers
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Napoléon V (ignores, charms): We could rather… go for a picnic on a white sandy beach... then lie against each other and…
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Charlotte: Louis, please, I'm trying to concentrate. Why don't you go for a swim for an hour or so, until I finish? Napoléon V: Come on, darling Charlotte: That's a categorical no
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Napoléon V: Then I'll go and study too, I want to stay with you Charlotte: Really? Napoléon V: Of course, it's a honeymoon, love
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Charlotte: Okay Napoléon V: What are you studying? Charlotte: Economics
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Napoléon V: That's the one I understood best Charlotte: I doubt that, darling, you were more diligent in mathematics
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Napoléon V: "Imperfect competition refers to a situation of competition in a market where one of the five conditions of pure and perfect competition is not respected" Charlotte: That's the lesson about companies that have a large monopoly, or oligopoly, in the same market Napoléon V: I should send my Uncle Henri to take the economics exam for me Charlotte: It's not that complicated, just look at the chart by the German economist Stackelberg
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Napoléon V: I'm a Napoléon, I won't listen to a German! Charlotte (sighs): This is going to take a while Napoléon V: You're giving in?
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⚜ Le Cabinet Noir | Honeymoon at Bora-Bora, 4 Messidor An 230
Beginning ▬ Previous ▬ Next
Charlotte is studying for the next École Polytechnique exam, which the imperial couple will take later this summer. Napoléon V gently reproaches his wife for studying instead of spending time with him on their honeymoon.
⚜ Traduction française
Charlotte révise les prochains examens de l'Ecole Polytechnique, qui doivent avoir lieu exceptionnellement plus tard cet été pour le couple impérial. Napoléon V reproche gentiment à son épouse d'étudier au lieu de passer du temps avec lui pendant leur lune de miel.
Napoléon V : Tu ne vas tout de même pas passer toutes nos vacances à réviser ? Charlotte : Contrairement à d'autres, je ne compte pas redoubler mon année
Napoléon V : On a tout prévu avec Joachim : réviser à la dernière minute, comme tous les gens normaux Charlotte : Un vrai duo de loosers
Napoléon V (ignore, charmeur) : On pourrait plutôt... aller pique-niquer sur une plage de sable blanc... puis s'allonger l'un contre l'autre et...
Charlotte : Louis, s'il te plaît, j'essaie de me concentrer. Tu n'as qu'à aller nager une petite heure, le temps que je finisse Napoléon V : Allez chérie Charlotte : C'est un non catégorique
Napoléon V : Alors je vais réviser aussi, je veux rester auprès de toi Charlotte : Vraiment ? Napoléon V : Bien sûr, c'est une lune de miel mon amour
Charlotte : Ok Napoléon V : Que révises-tu ? Charlotte : Le cours d'économie
Napoléon V : C'est celui que j'ai le mieux compris Charlotte : J'en doute chéri, tu étais plus appliqué en mathématiques
Napoléon V : "La concurrence imparfaite désigne une situation de concurrence sur un marché où une des cinq conditions de la concurrence pure et parfaite n'est pas respectée" Charlotte : C'est la leçon sur les entreprises qui ont un grand monopole, ou oligopole, sur un même marché Napoléon V : Je devrais envoyer mon oncle Henri passer l'examen d'économie à ma place Charlotte : Ce n'est pas si compliqué, regarde le tableau de l'économiste allemand Stackelberg
Napoléon V : Je suis un Napoléon, je ne vais pas écouter un allemand! Charlotte (soupire) : Ca va être long Napoléon V : Tu capitules ?
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chifourmi · 2 years ago
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Ma mère est une personne exceptionnelle. Et je ne dis pas ça parce que c'est ma mère. C'est le genre de personne qui sait dérider les aigris, qui sait rigoler avec tout le monde. C'est cucul ce que je vais dire mais c'est vraiment un rayon de soleil. Elle adore aller vers les gens et elle s'intéresse vraiment à eux, elle a énormément d'amour à donner. Elle sait aussi se remettre en question. C'est une personne dont tu te souviens toute ta vie même si tu ne la vois qu'une seule fois. Toutes mes potes n'arrêtent pas de dire qu'elle est incroyable. J'ai même une pote qui a parfois l'air de vouloir voir davantage ma mère que moi, c'est dire.
Je crois que j'ai souvent été jalouse d'elle. De sa spontanéité, sa façon d'oser se lancer sans réfléchir et sans avoir honte, cette joie de vivre en toutes circonstances et son mental d'acier. J'ai un peu envie de devenir comme elle.
J'ai passé la journée avec elle et ma mamie et je me suis dit que j'étais entourée de femmes formidables. Parce que ma mamie est tout aussi exceptionnelle que ma mère. Donc voilà, petite déclaration à 2h du mat'.
(03/08/2023)
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aurianneor · 2 years ago
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Limiter la richesse individuelle
Les frères Gracchus, Gaius et Tibérius, étaient tribuns, l'équivalent de nos députés et ils ont voulu s'attaquer aux problèmes de l'époque. Les riches étaient peu nombreux mais possédaient presque toutes les terres. Comme ils produisaient toutes les céréales, ils se mettaient d'accord entre eux pour fixer un prix élevé et faisaient venir des étrangers pour travailler à des salaires très bas que les citoyens romains n'acceptaient pas. En 133 avant J-C, Rome était plongée dans une pauvreté généralisée qui tourmentait Rome. Les frères Gracchus ont fait voter une loi qui s'appelait propriété et elle affirmait que la propriété avait une limite en quantité au-delà de laquelle elle était toxique pour la société et une limite d'usage selon laquelle ce n'est pas parce que c'est à moi que je peux en faire ce que je veux. Les frères Gracchus ont été saisis par les riches et leurs hommes de main et jetés dans le Tribe. S'en est suivi 100 ans de guerre civile entre la plèbe et les riches avant que l'empereur Auguste n'instaure les lois des frères Gracchus profitant de l'émoi causé par la mort de Jules César. Quatre cent ans de paix et de prospérité ont suivi. 
En 1930, en France, des juges ont crée le service public de l'eau, nationalisant les sources. Cela a montré que la propriété privée n'est pas sacrée. Ils ont exproprié les propriétaires, et c'était normal. Léon Blum a été harcelé et a quitté sa fonction. 
La victoire du Labour en 1945 au Royaume-Uni a permis d'exproprier les propriétaires de mines. La propriété n'est pas absolue. Les propriétaires sont devenus moins riches et cela les a fait passer en-dessous de la limite de toxicité.
Le 24 novembre 2013, en Suisse, est votée une loi limitant les salaires à 250 fois le salaire minimum. Cela veut dire que pour que les salaires les plus hauts augmentent, il faut augmenter les salaires les plus bas. A titre de comparaison, en France en 2019, les patrons du CAQ40 gagnaient 1128 fois le salaire de leurs employés les plus modestes. Les riches sont très heureux en Suisse.
En 2022, en Ukraine, profitant de l'opportunité de pouvoirs exceptionnels liés à la guerre, le président Zelensky a nationalisé les banques, les chaînes de télévision et les industries possédées par les oligarques. Ceux-ci étaient tellement riches qu'ils décidaient de tout dans le pays, les caisses ukrainiennes étant vides.
Quand Elon Musk intervient dans la guerre en Ukraine, c'est trop. Quand Mark Zuckerberg favorise l'élection de Trump pour s'enrichir, c'est trop. Quand une personne est suffisamment riche pour avoir un propre programme spatial ou a plus d'argent qu'un pays, c'est trop. Quand tes décisions peuvent ruiner la vie de millions de gens alors que tu n'as pas été élu, c'est trop. Quand les 1% les plus riches de l'humanité émettent 100 fois plus de gaz à effet de serre que ceux qui émettent les 99% autres, c'est trop. 
Ces gens méritent d'être riches mais pas à ce point. Ils n'ont jamais rendu à la société ce que la société leur avait donné en premier lieu. La société a formé leurs employés avec des écoles et des universités; ceux-ci sont en bonne santé grâce aux hôpitaux, il y a des routes, des chemins de fer et des aéroports pour transporter leurs biens. Il y a une police et une armée pour les protéger et une justice pour faire valoir leurs droits. Il y a des ressources naturelles pour alimenter leurs industries, etc.
La Columbia University estime que 100 millions de dollars est une limite. C'est largement suffisant pour la personne et pas assez pour être toxique. (Putting a Limit On Wealth - Stephen H. Unger: http://www1.cs.columbia.edu/~unger/articles/wealthLimit.html)
What, if Anything, is Wrong with Extreme wealth: https://www.tandfonline.com/doi/epdf/10.1080/19452829.2019.1633734?needAccess=true&role=button
Having too Much - Ingrid Robeyns: https://www.openbookpublishers.com/books/10.11647/obp.0338
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Les autorités illégitimes: https://www.aurianneor.org/les-autorites-illegitimes/
“The world has enough for everyone’s need, but not enough for everyone’s greed”: https://www.aurianneor.org/the-world-has-enough-for-everyones-need-but-not/
You can’t get enough… Enough!: https://www.aurianneor.org/you-cant-get-enough-enough-the-same-companies/
Qui se cache derrière le drapeau?: https://www.aurianneor.org/qui-se-cache-derriere-le-drapeau/
Riche: https://www.aurianneor.org/riche-cetait-une-belle-journee-et-le-paysage/
Liberté et vivre ensemble: https://www.aurianneor.org/liberte-et-vivre-ensemble/
Tomorrow – Chap 4: La démocratie: https://www.aurianneor.org/tomorrow-chap-4-la-democratie-the-panama/
Solidarité Hélvétique: https://www.aurianneor.org/solidarite-helvetique-democratie-semi-directe/
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aurevoirmonty · 1 year ago
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« Bien que j’aie depuis pas mal de temps des idées assez précises sur ce qu’il conviendrait ou non de faire pour que notre société et notre pays fonctionnent mieux, je n’ai jamais envisagé d’« entrer en politique ». Pourquoi ? Parce que, sauf circonstances historiques exceptionnelles, on ne peut rien y faire sans composer, se compromettre, se renier, trahir ses amis et ses promesses, abandonner les trois quarts de ses projets. Ce résidu de pouvoir manque d’attrait tout en imposant à son détenteur des contraintes à l’opposé de sa liberté d’agir et de penser, qui, pour moi et les gens qui me ressemblent, demeure le souverain bien. Un tapis rouge à ma descente d’avion ne vaut pas la chandelle. »
Michel Mourlet, in revue Livr’arbitres n°46
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lalignedujour · 2 years ago
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Je conduis des convois exceptionnels. Et je vois des trucs de fou.
Aujourd'hui, on transporte une orque. On l'amène chez un mec qui fait des thérapies alternatives avec les orques. On l'a eu au téléphone. Tu caresses des orques, et tu te sens mieux. Tu te sens plus proche du vivant et tout. Il était dans le conseil informatique, et il a tout quitté pour faire ça, pourquoi pas.
J'espère juste que c'est accessible avec le double-camion citerne.
J'ai l'impression qu'on pardonne tout aux gens qui repartent de zéro. Tu sens que ça répond à un besoin intime, et tu t'interdis de critiquer. Un jour moi aussi, je vais tout quitter, et je vais me mettre à tuer en série, c'est le chemin de ma vie, c'est ce qui m'appelle, qu'est-ce que tu vas faire ?
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e642 · 1 year ago
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J'ai jamais compris le but des anniversaires. Autant le mien que celui des autres. J'ai souvent pensé que ce serait plus symbolique et sensé de célébrer les anniversaires tous les 5 ans. Parce que toutes les demies décennies, nous sommes à un moment clef. J'ai donc jamais réellement fait l'effort de me souvenir des dates de mes proches. Je sais que ça compte pour la plupart des gens donc je fais le minimum mais j'ai du mal à saisir l'euphorie d'avoir une année de plus. Pourquoi ça en fait un jour si exceptionnel. Je trouve l'événement exceptionnel, celui de la naissance, rétrospectivement, on banalise la grossesse et le fait de donner naissance mais ça reste fascinant. En revanche, le reste n'est pas si important à mes yeux. Ça me donne plus envie d'en faire un jour dédier à ma maman par exemple. Plus que pour moi. Donc j'ai jamais ressenti de réel besoin de le fêter, ni de réel hâte/joie concernant cet événement. C'est une journée banale. A la rigueur, j'apprécie que le 16 mai soit la journée mondiale du vivre ensemble même si ça paraît bien dérisoire et hypocrite le temps passant. Première fois de ma vie que j'ai passé ce jour seule physiquement parlant. D'habitude j'étais avec mes parents, en partiels, en colocation. Là, j'étais seule. J'avais pris rendez-vous pour donner mon sang, c'était la première fois. Alors je m'y suis rendue. Et tout s'est très bien passé. Et aujourd'hui, c'est également la première fois que j'ai eu la présence d'esprit de rendre ce jour utile et sensé. Je suis ensuite rentrée et j'ai dormi puis regardé une série. Moi je ne souffre pas de cette solitude à propos des dates importantes comme certains, à entendable titre évidemment. J'ai beaucoup aimé voir personne. J'ai reçu des messages et le prends en considération c'est gentil. Mais au fond, je me demande souvent pour quoi faire. Et ce que je trouve le plus ridicule c'est les gens qui s'excusent d'avoir oublié de te le fêter ou en retard, comme si c'était grave et que mon estime de eux en dépendait alors que je n'y avais même pas fait attention. Ça me laisse d'une indifférence visiblement anormale. Comme les jours de l'an. C'est des jours qu'on declare exceptionnel alors que ce sont juste des mardis ou des jeudis. Rien de plus banal en soi.
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je-suis-ronflex · 2 years ago
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J'ai eu la prime exceptionnelle de Macron pour les gens de la fonction publique et je vous jure que je me retiens de ne pas dépenser mon argent n'importe comment et que j'essaye de le dépenser petit bout par petit bout et de faire des achats intelligents mais qui me font plaisir aussi pour ne rien regretter
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eiffel21 · 2 years ago
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Bleu lagon
Au milieu de l’allée centrale, elle pestait à voix basse, comme souvent dans cette situation. « Mais bon sang, ils ont bougé les rayons depuis hier... ». Tout cela était bien sûr délibéré… Perdre les gens dans le dédale, les faire passer devant le maximum de gadgets à deux sous était une façon de refourguer leur camelote. Elle le savait et cela l’exaspérait encore plus.
Naviguant d’un rayon à un autre, traînant son caddy de grand-mère comme un boulet, elle n’en pouvait plus de ces produits, gondoles, promos... et les clients qui semblaient prendre un malin plaisir à rester sur son passage. Tout cela lui donnait le tournis.
Elle refusait de faire partie du troupeau de moutons, qui se laisse berner par une « offre exceptionnelle, à saisir, tout doit disparaître ! ». C’est elle qui avait envie de disparaître, avant que le monstre supermarché ne l’engloutisse pour de bon.
Le temps filait entre ses doigts… Il lui semblait qu’elle errait depuis des heures, à la recherche de ce pour quoi elle était venue.
A l’angle des rayons « Liquides gouleyants » et « Fabuleux biscuits », elle eut un sursaut, qui la remit sur le droit chemin. Elle savait pourquoi elle était là et ne se laisserait pas abuser, foi de Gisèle !
Au détour des congélateurs, elle aperçut le rayon « Sent-bon partout » qu’elle pensait disparu à jamais. Là, sur la 2ème étagère, quelques petits pavés de plastique trônaient, avec leur languette blanche, prêts à servir : ils étaient à point. Elle s’empara d’un exemplaire, le déposa rapidement dans le caddy et repartit, soulagée, en direction des caisses. Elle allait enfin pouvoir quitter cet endroit maudit.
Arrivée à la maison, elle lâcha un joyeux « C’est moi ! Mon chéri, tu vas être content ! ». Elle saisit l’objet et, sans se déchausser, se rendit dans le salon. Robert, affairé à remplir sa troisième grille de tiercé, lui jeta un regard distrait.
« Regarde, j’ai ramené ça, tu sais c’est ton préféré : bleu lagon. Comme ça, dans les cabinets, ce sera les vacances tous les jours ! ».
Sans un mot, Robert attrapa le désodorisant et le rangea dans la petite armoire des toilettes, à côté des 13 autres.
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