#Frères 2 Misère
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Garorock 2025 : le programme avec DJ Snake, Black Eyed Peas, The Black Keys, J BALVIN, Damso, Gazo et Hoshi
Du 3 au 6 juillet, le festival Garorock déploiera sa 29e édition à Marmande. DJ Snake, Black Eyed Peas, The Black Keys, J BALVIN, Damso, Gazo, Hoshi, Rilès… aperçu Bulles de Culture de la programmation de Garorock 2025. Continue reading Garorock 2025 : le programme avec DJ Snake, Black Eyed Peas, The Black Keys, J BALVIN, Damso, Gazo et Hoshi
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Hallelujah0!
🎶 🙏✝️it’s a perfect day. I am glad YOU’RE in it Off course if YOU✝️ wasn’t in it that would mean that i am dead and already in hell (JESUS without YOU there’s no day ‼️ If no day 🙄😳no perfect cool 😎 breezy sunny morning Please GOD don’t forget all of us affected by hurricane 🌀 and other disasters DO ‘T LEAVE US ALONE Don’t let us feel abandoned. DRAW US TO YOU AS YOU SAID “if I be lifted off the earth 🌍 i will draw ✍️ ALL MAN TOWARDS ME. 🆘🆘🆘🆘🆘🆘🆘🆘🆘🆘🆘🆘🆘🆘Please get permission from YOUR FATHER that all will be all ( without the fine prints🙏✝️🙏✝️🙏‼️🆘🙏✝️🙏
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12 - Ton nom soit à jamais béni
12 - Ton nom soit à jamais béni
D S
BLESSED BE THY NAME FOREVER ♾️
12 CEF Ton nom soit à jamais béni
1
Ton nom soit à jamais béni,
Dieu d’amour. (bis)
Merci pour ton don infini,
Dieu d’amour. (bis)
L’amour rayonne sur ta face,
Librement tu veux faire grâce,
Pour nous ton cœur a de la place,
Dieu d’amour. (bis)
2
Ton rôle d’angoisse est rempli,
O Sauveur. (bis)
Par ta mort tout est accompli,
O Sauveur. (bis)
Plus dévoué qu’un tendre frère,
Prenant sur toi notre misère,
Tu nous ramènes à ton Père,
O Sauveur. (bis)
3
Qui voudrait s’éloigner de toi
A jamais? (bis)
Et demeurer sans Dieu, sans foi,
A jamais? (bis)
Acceptons tous ce don suprême,
Venons à Celui qui nous aime ;
Son salut restera le même
A jamais ? (bis)
😂💝🤸♂️🤸♀️NEIGHBORS 🤸🏿💃🕺αγαπημενος του θεου💘
THANK YOU 🙏 🙏🙏
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bien. le temps est venu. livereading des rois maudits (tome 1)
time to meet my favourite bitch robert d’artois l’original
isabelle la plus belle ❤️
la description du physique de robert d’artois vs la personnalité de robert d’artois


AND HE’S GOOD WITH KIDS

« ses yeux gris » ??? donc il pouvait être encore plus sexy qu’avant première nouvelle
ptn robert x isabelle forever……les deux meilleurs personnages ensemble svp
please god let her be fucked raw and good once in her life she deserves it (also me too isabelle. me too.)


philippe le bel jumpscare dans la rue
GUCCIO

marguerite de navarre ma’am i am in love with you
philippe qui regarde louis en se demandant ce qu’il a bien pu faire au bon dieu pour avoir un fils aussi con
la mort de jacques de molay est mille fois plus dark jesus christ
marie de cressay x guccio mes PITCHOUNES
isabelle qui se retient si fort de pas demander à robert une nuit où il lui apprend les secrets du démontage de meuble ikea if you get me
ough okay daddy issues for isabelle
MAHAUT !!! the catfights are BACK
philippe qui se dit que vraiment il a enfanté deux incapables, un bon et une fille qu’il préfère de loin et si il pouvait franchement il lui laisserait le bled en héritage parce qu’isabelle c’est la seule personne compétente dans cette pièce
mahaut qui a un cri sourd « comme si on l’avait frappé au ventre » lorsqu’elle voit ses filles dans la misère et condamnées….
ok franchement l’exécution des frères d’aunay j’aurais pu m’en passer c’est dégueulasse
maww pépé philippe le bel qui sourit (plus d’une fois par mois attention prodige) à son petit-fils édouard qui lui tire une mèche de cheveux en se marrant, la famille putaing (plus pour longtemps)
mmh ça pue la merde pour vous les gars (nogaret et philippe le bel)
wouldn’t be surprised if you told me that philippe le bel was autistic
tolomei toi et ton gros cerveau the most manipulative bitch around je t’aime
j’adore comment philippe le bel a genre. 4 minutes et 36 secondes de bonheur dans sa vie avant de se prendre la malédiction en pleine gueule
ok so now the fun begins (dans le tome 2)
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Un cousin DENAES, pensionnaire à l’hôtel des Invalides
Pierre Joseph DENAES est un petit-cousin de mon arrière-arrière-arrière-grand-père Jean François DENAES.
Il a vu le jour le 13 mai 1776 à Hazebrouck.
Son père Jacques DENAES était marchand. Beaucoup de ses frères et sœurs sont décédés en bas-âge. Du premier mariage de son père avec Rose ELIAS, en plus de Pierre Joseph, ont vécu jusqu’à l’âge adulte : Marie Angélique qui a épousé sur le tard, un veuf qui était tisserand à Zermezeele, Marie Françoise qui s’est mariée à un boucher de Cassel, Jacques WYON et Pierre Jean Baptiste qui était journalier à Hondeghem et qui a eu beaucoup d’enfants.
Pierre Joseph DENAES s’est probablement engagé dans l’armée vers l’âge de vingt ans. Il était fusilier dans la treizième demi-brigade. Il a vraisemblablement combattu en Italie puis en Egypte.
La vie de Pierre Joseph DENAES
A son retour de l’armée, Pierre Joseph DENAES qui avait perdu l’usage du bras droit a repris les activités de marchand de son père. Son père est mort le 29 mai 1802 et la deuxième épouse de son père, Marie Françoise PLOCKYN, le 4 novembre de la même année.
Pierre Joseph DENAES a épousé le 12 vendémiaire an XII (5 octobre 1803) une jeune-fille de son âge qu’il avait mis enceinte. Il connaissait bien Marie Jeanne Cécile CLEP car le père de celle-ci, Guillaume CLEP (1716-1800) avait épousé en premières noces Marie Joseph CLEP (1719-1765) dont la nièce était Marie Françoise PLOCKYN (1748-1802), la deuxième épouse de Jacques DENAES.
Caroline Sophie DENAES, la fille de Pierre Joseph et de Marie Cécile CLEP est née le 3 ventôse an XII (23 février 1804) à Hazebrouck. Il est à noter que son père était absent à sa naissance, sans doute pris par ses activités de marchand. Caroline n’a vécu que dix-neuf jours. Elle est décédée le 22 ventôse an XII (14 mars 1804) à Hazebrouck.
L’activité de marchand n’était sans doute pas assez florissante ou trop fatigante pour un homme handicapé ou encore l’épouse de Pierre Joseph DENAES aspirait-elle à ce que son mari ait une vie plus sédentaire comme l’un de leurs beaux-frères ? Toujours est-il qu’on retrouve Pierre Joseph DENAES, cabaretier à Morbecque, à la naissance de son fils Louis Alexandre Joseph, le 26 mars 1806.
Dans l’acte de mariage de ce fils, le 2 avril 1834, à Lille, celui-ci affirme qu’il réside à Lille, rue du Sec Arembault, depuis seize ans, soit depuis 1818. Des problèmes financiers ont sans doute conduit Pierre Joseph DENAES et sa famille à prendre le large à Lille.
Mais, dans une grande ville, la misère était encore plus rude, au XIX° siècle. Marie Cécile CLEP est décédée à l’âge de cinquante et un ans mais il est indiqué dans son acte de décès qu’elle en avait cinquante-cinq. Elle est morte le 29 août 1828, à l’hôpital Saint Sauveur de Lille. Ce sont deux infirmiers de l’hôpital qui ne savaient ni lire ni écrire qui ont déclaré son décès ! Le secrétaire de mairie a écrit le nom DENAES comme ça se prononçait, c’est-à-dire DENASSE et il a même déclaré que l’époux de Marie Cécile portait les prénoms d’Alexandre Joseph (ce sont ceux de son fils) au lieu de Pierre Joseph. Il y a fort à parier que son corps a été jeté dans la fosse commune.
Un an avant la mort de son épouse, le 1° juin 1827, Pierre Joseph DENAES qui ne devait pas être bien vaillant non plus, était admis à l’Hôtel des Invalides. Il avait alors cinquante et un ans. Le registre d’entrée, consulté au Service Historique de la Défense, à Vincennes, nous indique que Pierre Joseph DENAES a été pensionné à partir du 6 février 1830 mais le montant de la pension n’est pas indiqué. Il est également fait mention d’une réadmission à l’hôtel des Invalides, le 22 août 1832. On peut donc penser que Pierre Joseph DENAES est retourné vivre à Lille pendant quelques temps ou qu’il s’est trouvé un petit logement à louer à Paris.

source: SHD/GR/2XY272
Pierre Joseph DENAES est décédé le 9 février 1833 à l’hôtel des Invalides. Il avait cinquante-sept ans. Il a été inhumé le 12 février suivant, au cimetière du Montparnasse, dans la fosse commune.
information donnée par Filae
A cette époque, de très nombreux soldats étaient admis à entrer à l’hôtel des Invalides. J’ai dénombré deux cent soixante-six entrées pour l’année 1827. La moyenne d’âge des entrants était d’un peu plus de cinquante ans, certains n’avaient qu’une vingtaine d’années et d’autres plus de soixante-dix ans.
La descendance de Pierre Joseph DENAES
Le fils de Pierre Joseph DENAES, Louis Alexandre Joseph qui était fileur de coton a donc épousé, en 1834, Florimonde Sophie Joseph BERNARD, couturière et de six ans sa cadette. Ce jeune-homme qui avait perdu ses deux parents allait donc se créer une nouvelle famille.
Ils ont eu un fils, Louis Romain DENAES, né le 23 mars 1836 à Lille mais la vie de ce pauvre enfant fut brève. Il est décédé à Lille, le 22 juin 1838.
J’ai remarqué que Louis Alexandre Joseph DENAES changeait souvent d’adresse. En 1828, il demeurait avec sa mère, 27 rue du Priez, en 1834, son adresse était rue du Sec Arembault, en 1836, il partageait avec sa femme un domicile au 23 rue Saint Nicaise et en 1838, ils étaient au 18 rue du Priez. Il est probable que lorsqu’ils ne pouvaient plus payer le loyer, ils étaient expulsés de leur modeste masure ou ils partaient à la cloche de bois et allaient s’installer un peu plus loin.
Je me demande si Louis Alexandre Joseph DENAES était encore à Lille, à la mort de son fils car ce sont deux voisins qui ont déclaré le décès. Louis Alexandre Joseph est mort le 30 juillet 1842 à l’asile d’aliénés d’Armentières, à seulement trente-quatre ans. Etait-il un trouble à l’ordre public, était-il trop souvent pris de boisson qu’il a dû être enfermé ?
Ainsi s’éteint la descendance de Pierre Joseph DENAES.
Du côté de Marie Cécile CLEP
Alexandrine Bonaventure CLEP, une sœur de Marie Cécile CLEP avait épousé, en 1797, le chef du bureau des impositions à Hazebrouck, Pierre MERVAILLIE dont elle a eu un fils, Louis MERVAILLIE qui fut marchand d’épices. Celui-ci n’avait pas encore un an et demi lorsque son père est mort. Sa mère épousa, ensuite, en 1802, un cabaretier de Morbecque, Dominique HUBERT.
Il se trouve que l’un des arrière-petits-fils de Louis MERVAILLIE était un ami de mon père. Pierre MERVAILLIE était né le même jour que lui, le 5 mai 1914, mais à Hazebrouck. Ils se sont peut-être connus au collège Saint Jacques à Hazebrouck ou plus tard, lors de leur service militaire, au 91ème régiment d’infanterie. Avec un autre ami, André VANNOBEL, né aussi le même jour mais à Wormhout comme mon père, ils formaient un trio. André VANNOBEL organisait des excursions d’une dizaine de jours, chaque année au mois de juin, dans les années 70 et 80. J’ai eu l’occasion de les rencontrer, à Paris, place des Ternes, en 1991, et je peux dire que l’ambiance était joyeuse.
PS: Je remercie vivement mon cousin Arnaud DENAES qui m'a permis de finaliser cet article en me fournissant l'acte du mariage à Lille du fils de Pierre Joseph DENAES.
Je remercie également les bénévoles de la base de données HOTEL DES INVALIDES (https://www.hoteldesinvalides.org/) et tout particulièrement Denise RAY qui m'a bien guidée dans mes recherches au SHD.
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✍️ "Hiram, roi de Tyr, ayant fourni à Salomon du bois de cèdre, du bois de cyprès, et de l’or… alors le roi Salomon donna à Hiram 20 villes dans le pays de Galilée. Hiram sortit de Tyr pour voir les villes que Salomon lui avait données, et elles ne lui plurent pas. Il dit : Que sont ces villes, que tu m’as données là, mon frère ? Et il les appela pays de Cabul." (1 Rois 9. 11-13)
Trois rois en rapport avec la Galilée.
Hiram, le roi de Tyr, avait participé à la construction du temple de Salomon en lui fournissant des matériaux essentiels et coûteux : du bois de cèdre, du bois de cyprès, de l’or, des travailleurs (2 Chroniques 2. 2-15). En signe de reconnaissance, Salomon lui donne une portion du territoire galiléen. Seulement voilà, ce territoire ne lui plaît pas. Le nom qu’il lui donne, “cabul”, signifie littéralement bon à rien. Hiram juge donc la Galilée indigne d’un roi et irrécupérable.
Un autre roi, pourtant, a parcouru la Galilée. C’est Jésus, le Fils de Dieu, roi de l’univers tout entier. Et il ne l’a pas simplement visitée, il y a habité dans sa jeunesse et la majeure partie de sa vie d’adulte. Le Nouveau Testament nous rapporte qu’effectivement le peuple de Galilée était “assis dans les ténèbres… dans la région et dans l’ombre de la mort” (Matthieu 4. 16). Cela semble confirmer que la région était frappée par une grande misère morale et matérielle, et donc indigne d’accueillir un roi et encore moins le Fils de Dieu ! Et pourtant, c’est parmi les pauvres de Galilée que le Seigneur Jésus a habité, ses disciples ont été choisis parmi les “hommes galiléens”, et son premier miracle a été accompli en Galilée (Actes 1. 11 ; Jean 2. 11). Loin de laisser cette région inhospitalière à son triste sort, Jésus leur a apporté la lumière (Matthieu 4. 16).
Quel contraste entre Hiram et le Seigneur Jésus ! Hiram considérait que la Galilée n’était pas un lieu destiné à l’habitation des rois, qu’elle était bonne à rien. Christ n’a pas fait valoir son titre de Roi pour être traité comme tel. Bien au contraire, il s’est fait connaître comme “Galiléen” (voir Luc 22. 59), il a vécu parmi les plus faibles. Il a partagé leur quotidien et leurs souffrances. Il a fait du bien à ceux qui s’approchaient de lui. Ce Roi est digne de toute notre louange et notre adoration !
d’après B. Reynolds
Le Seigneur est Proche
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Jacques 4
1 D'où viennent les luttes, et d'ou viennent les querelles parmi vous? N'est-ce pas de vos passions qui combattent dans vos membres?
2 Vous convoitez, et vous ne possédez pas; vous êtes meurtriers et envieux, et vous ne pouvez pas obtenir; vous avez des querelles et des luttes, et vous ne possédez pas, parce que vous ne demandez pas.
3 Vous demandez, et vous ne recevez pas, parce que vous demandez mal, dans le but de satisfaire vos passions.
4 Adultères que vous êtes! ne savez-vous pas que l'amour du monde est inimitié contre Dieu? Celui donc qui veut être ami du monde se rend ennemi de Dieu.
5 Croyez-vous que l'Écriture parle en vain? C'est avec jalousie que Dieu chérit l'esprit qu'il a fait habiter en nous.
6 Il accorde, au contraire, une grâce plus excellente; c'est pourquoi l'Écriture dit: Dieu résiste aux l'orgueilleux, Mais il fait grâce aux humbles.
7 Soumettez-vous donc à Dieu; résistez au diable, et il fuira loin de vous.
8 Approchez-vous de Dieu, et il s'approchera de vous. Nettoyez vos mains, pécheurs; purifiez vos coeurs, hommes irrésolus.
9 Sentez votre misère; soyez dans le deuil et dans les larmes; que votre rire se change en deuil, et votre joie en tristesse.
10 Humiliez-vous devant le Seigneur, et il vous élèvera.
11 Ne parlez point mal les uns des autres, frères. Celui qui parle mal d'un frère, ou qui juge son frère, parle mal de la loi et juge la loi. Or, si tu juges la loi, tu n'es pas observateur de la loi, mais tu en es juge.
12 Un seul est législateur et juge, c'est celui qui peut sauver et perdre; mais toi, qui es-tu, qui juges le prochain?
13 A vous maintenant, qui dites: Aujourd'hui ou demain nous irons dans telle ville, nous y passerons une année, nous trafiquerons, et nous gagnerons!
14 Vous qui ne savez pas ce qui arrivera demain! car, qu'est-ce votre vie? Vous êtes une vapeur qui paraît pour un peu de temps, et qui ensuite disparaît.
15 Vous devriez dire, au contraire: Si Dieu le veut, nous vivrons, et nous ferons ceci ou cela.
16 Mais maintenant vous vous glorifiez dans vos pensées orgueilleuses. C'est chose mauvaise que de se glorifier de la sorte.
17 Celui donc qui sait faire ce qui est bien, et qui ne le fait pas, commet un péché.
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Bonjour, on est deux ans après et manifestement je suis toujours aussi agacée par le prétendu message pacifiste de cette version censurée, du coup, compile de pourquoi cette nouvelle fin est stupide pour moi.
Je prends assez librement le parti de m'écarter du contexte historique et de seulement prendre le texte de la chanson (car non seulement cette dernière peut avoir une visée plus universelle, mais en plus je suis très mauvaise niveau Histoire avec un grand H, mais je sais lire les textes qu'on me donne) :
1/ Le Déserteur aurait pu être un personnage ayant eu une belle vie et se voyant perdre celle-ci pour la guerre, qu'il aurait eu raison de prendre cette décision à mon sens. Mais en plus de devoir être forcé au combat, le personnage est décrit tout le long de la chanson comme ayant eu une vie misérable. Il a été prisonnier et a vu la souffrance de sa famille, la mort de ses parents (celle du père n'est pas précisée, celle de la mère est relative aux souffrances (probablement de longue date) qu'elle a endurées), sa femme a été "volée" (et on peut interpréter ça de différentes façons mais si c'est ce que je pense, c'est vraiment, vraiment glauque)
2/ La décision qu'il prend n'est pas une décision confortable. La désertion implique déjà de se réduire à une vie misérable, le personnage décrit qu'il devra mendier sa vie et être en cavale partout en France afin de ne pas être retrouvé.
3/ Et malgré ça, le personnage, qui a traversé tout ça, qui veut convaincre les gens de l'imiter, n'a pas une once de révolte en lui face aux gendarmes qui le poursuivent, ou le moindre mouvement protecteur envers les gens qu'il va convaincre de ne pas se battre ? Dire "je préfère mourir plutôt que de tuer des gens", au vu du message initial, est si détaché, pour moi. Parce que concrètement, le gars veut vivre. Le gars veut vivre au point qu'il accepte la misère de son sort après une vie affreuse, plutôt que de faire le choix de se tuer tout de suite. Je trouve qu'il n'y a pas de meilleure preuve de ça que ces vers :
"Depuis que je suis né,
J'ai vu mourir mon père,
J'ai vu partir mes frères
Et pleurer mes enfants.
Ma mère a tant souffert
Qu'elle est dedans sa tombe
Et se moque des bombes
Et se moque des vers.
Quand j'étais prisonnier,
On m'a volé ma femme,
On m'a volé mon âme,
Et tout mon cher passé.
Demain de bon matin
Je fermerai ma porte
Au nez des années mortes,
J'irai sur les chemins. "
Donc, le mec a plus de passé, mais il accepte l'éventualité d'un futur, qu'on veut lui arracher en le forçant à faire la guerre. Dire que le gars accepte de mourir parce qu'on le force à le faire, c'est un message de résignation, pas de pacifisme.
4/ Et si vous voulez une preuve ultime que le gars a l'esprit combattif, pardon, mais les vers "S'il faut donner son sang,/Allez donner le vôtre,/Vous êtes bon apôtre/Monsieur le président. " à quel moment t'interprète pas ça comme un crachat à la gueule d'un gouvernement injuste ? Parce que si vous vouliez un message pacifiste ou quoi, envoyer un fuck symbolique au président de la république ça donne un message clairement remonté qui est en contradiction totale avec l'acceptation finale. Et le message "mais la violence c'est mal :(" quand tu dis quelques vers avant que le boug a perdu toute sa famille à cause de la guerre, c'est putain d'ironique, quand même
5/ Ah oui, et : s'il dit "faites pas la guerre les gars" à des gens, et que le seul résultat c'est l'éventualité que lesdits gens puissent finir comme lui, aka butés par des gendarmes pour avoir refusé de se battre
Bah il est responsable de la mort de gens, lol.
Un poil paradoxal pour un type qui voulait pas tuer des gens de ses mains, non ?
Je trouve qu’au fond c’est très intéressant que la version originale du Déserteur parlait de se défendre contre les gendarmes qui voulaient le forcer à se battre, et que la censure l’a transformé en un sacrifice, une version acclamée comme plus logique.
Que “l’honneur” de se rendre sans rien dire à la gendarmerie pour avoir osé déserter une guerre sanglante (je dis pas forcément que le personnage avait raison, c’était 39-44 quand même, mais on peut pas dire que le raisonnement pacifiste manquait de logique) soit glorifié, et que tuer ceux qui veulent forcer le déserteur à tueur bien plus de gens est condamné, ça rappelle un peu le paradoxe de la tolérance.
Laisse-toi buter, parce que si tu te bas pour tes idées c’est mal.
Le pacifisme c’est bien, mais se battre pour le pacifisme ? Vous avez perdu la tête. Nous on va continuer à faire la guerre. Mais le pacifisme c’est bien, hein.
EDIT: ait été informé que la chanson parle de la guerre d’indochine, ce qui ne fait que renforcer le fait que je ne suis absolument pas assez renseigné pour avoir un avis quelconque sur la chanson dans son contexte original.
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Mercredi 2 mars 2022
Guerre et pets
Cette scène a eu lieu cet après-midi, je l'ai décrite dans un message envoyé par whatsapp à mon frère, je la retranscris ici le plus fidèlement possible pendant qu'elle est encore fraîche à ma mémoire :
Je suis chez le psy, dans la salle d'attente.
Je ne suis pas seul, il y a plusieurs personnes, ils ont tous en commun un aspect assez minable : un couple de jeunes, la femme obèse morbide et son compagnon à l'air complètement ahuri tous droit sortis d'un épisode de Tellement Vrai, et juste en face de moi, un vieil homme.
Ils sont masqués et portent tous des chaussures de sport usées, bref, la véritable misère quoi (ne voyez pas là du mépris de classe : j'appartiens moi même à la leur, et j'en suis bien conscient).
Le vieil homme en face de moi émet régulièrement des bruits dont la provenance me paraît incertaine (envie de dégueuler ? de chier peut être?).
Puis arrive un moment où il finit par lâcher trois caisses bruyantes et franches (je vous assure que je n'en rajoute pas pour vous faire rêver).
Après quoi il finira par roter à plusieurs reprises: je n'avais jamais été aussi heureux de porter un masque qu'à cet instant là.
« Et dire que je suis membre de cette triste assemblée ! », ai-je pensé.
Des personnages tout droit sortis du film « affreux, sales et méchants » !
Misère.
Qu'ai-je fait pour me retrouver ici ? (Une dépression)
Je vous épargne la séance du psy qui était somme toute assez banale, c'était la seconde fois que je rencontrais ce psy et il m'a posé des questions sur mes lectures du moment et mon moral.
Je n'ai pas encore réussi à lui avouer que mon humeur variait au grès du comportement de certaines jeunes filles à mon égard (je vais mal lorsqu'elles m'ignorent et j'exulte lorsqu'elles m'accordent de l'attention : nous ne nous connaissons pas encore assez pour que j'ose lui faire ce genre de confidences).
Voilà pour les pets, maintenant, je devrai aborder la guerre qui se manifeste depuis une semaine à peine en Ukraine depuis que le russe Poutine a décidé d'envahir cette dernière.
Que dire ? It's a big deal.
Ca ne rigole pas, à tel point que l'intégralité des sujets des médias sur le covid ont été remplacés par ceux qui concernent la guerre.
On craint un conflit qui s'étendrait et finirait en guerre mondial.
Jamais je n'avais encore réellement craint de crever sous une bombe nucléaire.
C'est tout ce que je peux vous dire actuellement à propos de tout ça.
Hier je suis sorti, c'est assez rare pour le noter.
Mon frère m'a invité à venir avec lui pour l'avant première de « the Batman ».
Je l'ai donc rejoins en ville à la fin de la journée.
Le film a duré quasiment trois heures, ce qui est très long pour un mec aussi impatient que moi.
Heureusement, le film était bien alors je n'ai pas trop regardé l'heure.
Je suis reparti en taxi, ce qui m'a coûté la modique somme de 30€ (ça fait cher le trajet, n'est-ce pas?).
Cela n'a pas terni ma bonne humeur, cependant, et je me suis couché assez satisfait.
Merci à vous qui me lisez toujours ;)
Bande son : Station To Station, David Bowie ; Symphony No.9, Beethoven
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My French music Masterpost
So since half of the population is in quarantine right now I thought I could make a list of some french/ french speaking artists and songs that I listen to and that you could also discover since we all have time to kill.
Obviously I cannot put every single artist and song I know and listen to so it’ll be a bit of mix of my favorite albums/ artists of the past few years but also what i’m listening at the moment !
Pop/ R&B
Angèle
She’s a 23 year old Belgian singer. Her first album was a HUGE hit last year and she got 5 news songs out in November too. She’s also been dating a woman for a few months.
I would recommend to listen to her whole album Brol , it’s quite a bop. Also there are two songs about wlw relationship called « Ta Reine » and « Tu me regardes ». That last song was a kind of coming out song btw, we were all freaking out when we listened to it the first time lmao.
Favorite songs: Les matins, Flemme, Flou, Nombreux, Ta reine, Tu me regardes, J’entends
Clara Luciani
She’s a 27 year old French artist. 2019 was truly her year. She’s has an incredible voice and I just love her energy. She’s an amazing songwriter too. Her first album is called Sainte Victoire.
Favorite songs: La grenade, Les fleurs, On ne meurt pas d’amour, Drôle d’époque, Nue, Dors, Ma Soeur, Bovary.
Christine and the Queens
I think a lot of you know her already. She’s also a queer and pansexual artist. I have to say I really LOVED her first album Chaleur Humaine, one of the best albums of the past decade, but I didn’t love as much her second album (Chris) or her new EP (La vita nuova). I mean they’re good, but her first album was really something else. And it’s also just my opinion !
Favorite songs : iT (it’s in English though), Saint Claude, Science Fiction, Half Ladies, Paradis Perdus, Chaleur Humaine, Nuit 17 à 52, Intranquilité, Amazoniaque, Jonathan, La marcheuse, L’étranger
Therapie TAXI
This is a pretty fun band, their first album has been quite popular. They’re pretty unique and sometimes their songs and lyrics are let’s say... bold lmao. I haven’t listen to all their songs though, there’s like 25 songs in their first album and 15 in their second aha. But they also have so many bops.
Favorite songs: Hit Sale, J’en ai marre, Salop(e), Avec ta zouz
Aya Nakamura
Aya is now a r&b/pop superstar here in France and even in other countries in Europe. She’s 25 and you can hear her songs in every night club and party here. Can’t say her lyrics are very elaborated but her songs are real bops and the best to dance to in your room lmao
Favorite songs: Djadja, La dot, Pompom, Copines, Pookie, Sucette, 40%, Comportement
Lous and the Yakuza
She’s a 23 year old belgian artist. She only has 3 songs out for now, but i’ve been pretty obsessed with them. Her lyrics are pretty great too (and she’s SO beautiful omg).
Favorite songs : Dilemme, Tout est gore, Solo
Yseult
Yseult is a 24 year old french singer/songwriter. She’s has a beautiful voice and the beats are also great. I haven’t listened to all her songs though, I only heard her new EP Noir which is great.
Favorite songs: Corps, Nos souvenirs, Noir, 5H
Indie/electro rock/folk :
Pomme
Pomme is very famous in the LGBTQ community in France, but i haven’t listened much to her songs (yet). She’s a 24 year old french and lesbian singer songwriter. Her songs talk about love, anxiety, and even death. She has a such beautiful voice too.
Favorite songs: On brûlera, A peu près, Anxiété, Je sais pas danser
The Dø
The Dø are a finnish/french duo and also one of my favorite band (they sing in english though). They made of of my favorite albums of the last decade, Shake Shook Shaken, which came out in 2014. Their first albums sounded more folk/indie rock, but their third album is much more electro. And the album is about the break up of the lead singer, Olivia Merilahti, and the musician, Dan Levy. One of my favorite song of all time is in their second album Both Ways Open Jaws and is called Too Insistent.
Favorite songs: On my shoulders, Too Insistent, Sparks, Despair Hangover & Ecstasy, Opposite Ways, Anita No!, Nature Will Remain.
Izia
Izia is a singer but also an actress, you may know her from La Belle Saison, Samba, or Un peuple et son roi. I listened a lot to her third album La vague, that was released in 2015. it’s much more electro that what she used to do before. Her two first albums were much more rock albums. She’s got a new album out but i haven’t listen to it yet.
Favorite songs: Hey, La vague, You, Les ennuis, Bridges, Tomber
Mansfield.YTA
The band is composed of 2 women, Julia Lanoë et Carla Pallone. Julia is in other bands/ projects such as Sexy Sushi and Kompromat. Unlike those two last bands that are very electro, Mansfield is something more nuanced. It sounds more like indie folk and mixes different style. You can hear electric instruments but also violin, harmonium, piano etc. And it’s pretty melodramatic. They sing in french and english.
Favorite songs: Et demain déja, Pour oublier je dors, Mon amoureuse, Gilbert De Clerc
Electro :
Stromae
You might have heard of that Belgian guy. His album Racine Carré (released in 2013) is too me the best of the decade and his song “Papaoutai” was a huge hit in Europe. He’s a pure genius. His lyrics are super deep and usually quite dark but he makes incredible beats that are very electro. If his second album is definitely his most popular album, his first one Cheese, was also so so great and his first single “Alors on Danse” was a huge hit (Kanye West did a remix of it). He also directed Billie Eilish’s “Hostage” music video. That dude is just incredible. But after his huge success his did a burn out and his mental health got very bad. He stopped making music since then.
Favorite songs: Peace or Violence, Alors on danse, Dodo, Je Cours, House’llelujah, papaoutai, bâtard, ave cesaria, tous les mêmes, formidable humain à l’eau, sommeil
Rap :
I have to say i’ve been listening to a lot of french rap this past couple of years so i won’t list all the rappers i listen to, especially since i’m pretty sure most of you aren’t interested in rap. But I still have to list some of them that have been very popular recently. France has a huge and very diverse rap culture.
Fauve
Actually that collective is actually not a rap band at all. They do more like spoken word songs but didn’t where also to put them lol. The band broke up 5 years but I still listen to them a lot today. It’s one of my fav band too. Their lyrics are really well written and beautiful. It usually talks about the “youth malaise” and their frustrations, heartbreaks and anger etc. They made 1 EP et 2 LP.
Favorite songs: Blizzard, Cock Music Smart Music, Nuits Fauves, Haut les Coeurs, Rub a Dub, Voyous, Infirmière, Vieux frères, Lettre à Zoé, Paraffine, Tallulah, T.R.W, Les Hautes Lumières
Meryl
Meryl is a 24 year old french martinican rapper. Before making her own music she used to write and compose melodies for other famous french rappers. She’s very influenced by her roots and and she also sings some of her songs in creole. I love how different and diverse her music is.
Favorite songs: Coucou, AH LALA, Béni, Désolé, La brume
Aloïse Sauvage
Aloïse is a multi talented french singer/ actress/ dancer. She released her first EP in 2019 called Jimy and her very first album Dévorantes was released in February 2020. She’s definitely a queer artist (99% sure she’s lesbian but she’s never confirmed it so anyway + her little sister is 100% a lesbian aha) and she talks about lgbtq issues in some of her songs, but also about her own issues and all. Her lyrics are beautifully written. And she’s also a ray of sunshine so there’s nothing to dislike about her haha.
Favorite songs: Dévorantes, Si on s’aime, A l’horizontale, Et cette tristesse, Jimy, Présentement, L’orage
Roméo Elvis
Roméo isn’t french but belgian. He’s the big brother of Angèle. I actually knew about her because of him. He’s less known than her now obviously but he’s still quite popular. His rap is pretty soft and chill. I preferred his collaborations with Le Motel (who was his producer) more than his “solo” album but he still got some good songs on his last album.
Favorite songs: Morale, Nappeux, Drôle de question, Bébé aime la drogue, J’ai vu (feat. Angèle), Lenita, Chocolat, Normal, Dis-moi
Lomepal
Lomepal is a french rapper. He’s known for writing songs that are pretty elaborated with chill and melodic beats. I also call is rap “soft”. He usually talks about his loneliness and insecurities
Favorite songs: 70, Yeux disent, Club, Trop beaux, 1000°C, X-Men, Plus de larmes
PNL
PNL is the most popular cloud rap band of the past few of years. They’re two brothers NOS and Ademo and they’re famous for using vocoder when they rap. Like a lot of vocoder lol. But they’re also very known for working with some of the best beat makers in the industry. If the way they rap is sometimes pretty hard, their beats are very chill and cool. In their songs they talk a lot of their life as dealers in the french banlieue, their struggles, how tough their lives were but also how their lives today isn’t set and how they’re not necessarily happier today. Their third album “Dans la légende” was a huuuuge hit in France, and their latest album “Deux frères” just as much if not more.
Favorite songs: Recherche du bonheur, DA, Dans la légende, Luz de Luna, Humain, Bené, Jusqu’au dernier gramme, Blanka, A l’ammoniaque, Shenmue, Menace, Déconnecté, La misère est si belle
Other songs that I listen to at the moment :
“Le temps est bon” - Bon Entendeur (electro)
“De mon âme à ton âme” - Kompromat (electro)
“Reste” - Maitre Gims feat Sting (pop)
“Les méchants” - Heuss l’enfoiré (rap)
“C’est plus l’heure” - Franglish feat Dadju, Vegeta (r&b)
“De l’autre côté”- Ninho feat Nekfeu (rap)
“Blanche” - Maes (rap)
“La complainte du soleil” - Laura Cahen (from I Lost My Body OST)
Some french speaking “classic” songs that I listen to and that you probably don’t know (from the 50′s to 00′s) :
“Une valse à mille temps” - Jacques Brel
“La foule” - Edith Piaf
“Chanson pour l’auvergnat” - Georges Brassens
“Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai” - Francis Cabrel
“Ma préférence” - Julien Clerc
“La nuit je mens” - Alain Bashung
“Foule sentimentale” - Alain Souchon
“Mistral gagnant” - Renaud
“Sensualité” - Axelle Red
“Manhattan Kaboul” - Renaud feat. Axelle Red
“Onde sensuelle” - M
“Et dans 150 ans” - Raphaël
“A la faveur de l’automne” - Tété
“L’aventurier” - Indochine
French LGBTQ+ artists
This past few years a few lgbtq artists have blown up here and like 4 lesbian artists have been nominated for best new artist this year at the french grammy award called Victoire de la musique (and one of them one the award, Pomme). Unfortunately i’m not very good at discovering new artists so i’m quite late and i haven’t been able to listen to a lot of them. But if you want to discover them yourself here are few lgbtq artists:
Already mentioned: Angèle, Pomme, Julia Lanoë/ Rebekka Warrior (Sexy Sushi, Kompromat, Mansfield.YTA), Christine and the Queens, Aloïse Sauvage
More : Hoshi, Suzane, Eddy de Pretto, Safia Nolin (she’s from Quebec)
#this is a big ass post i'm so sorry omg#but you should have enough artists to discover for the next 45 days lmao#be aware : some songs on here are very bad lmao#but i love listening to bad music sometimes#aimee listens to music#up the baguette#french music#music#music masterpost
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L’île de l’amour
Chapitre 6
Résumé : Les vieux démons de Marshall refont surface.
Avertissement : 18 ans et plus. Smut, mention de maladie et de mort. Tristesse. Heureusement plein de fluff aussi! Comme toujours les photos ne m'appartiennent pas, Google est mon ami!
Durant les semaines qui suivirent, Rosie n’eut pas une seconde à elle. Les visites touristiques s’enchainaient les unes après les autres et dès qu’elle avait une minute à elle, elle en profitait pour donner un coup de main à Sarah au pub. Elle avait perdue une serveuse en pleine saison touristique. Rosie lui avait offert de la remplacer, voyant une façon de faire de l’argent de plus. Sarah à court de ressource avait accepter tièdement au départ mais Rosie avait accumulé tellement de dette qu’elle avait su la convaincre.
Elle se sentait souvent submergée et déboussolée, elle regrettait parfois de ne pas avoir prit le job à Londres le soir en fermant la porte de son studio complètement claquée.
Elle avait jeté sa carrière aux ordures pour quoi aux finales? L’image de Marshall souriant lui vint en tête. Pour une relation compliquée? Des gens qui ne l’appréciait que très moyennement et une vie de misère?
Son père était tellement fier et content que son avenir soit assuré dans une banque.
Une après-midi de pluie tandis qu’elle passait la serpillère au Shack en réfléchissant à tous les changements dans sa vie depuis 6 mois l’abattement et la déprime prirent le dessus sur son courage.
Le menton appuyé sur le manche de sa serpillière, elle regarda durant un instant la pluie tombée. La petite cloche de la porte sonna.
-On est fermé, désolée, dit-elle, les yeux dans le vague.
-Rosie? Qu’est ce que tu fais là? Lui dit Marshall. Sarah est là?
Marshall tenait dans ses mains un cageot de pomme de terre qui devait bien pesé 50 kilos dégoulinant d’eau. Rosie lui ouvrit la porte de la cuisine.
-Le plus jeune de Sarah avait mal au ventre, elle est rentrée. Elle va revenir plus tard ne t’inquiète pas. Elle ne me laisse pas toute seule ici.
Marshall entra un second cageot.
-Tu travaille ici maintenant? Tu n’es plus guide touristique?
-Je travaille ici aussi quand je n’ai pas de visite. Alors tu as de bonne récolte à se qu’on dit?
Il prit nonchalamment une tasse et se versa un café que Rosie venait d’infusé.
-Oui je n’ai pas à me plaindre. On a un bel été. Tu travaille beaucoup? Il s’appuya sur le comptoir du bar.
-Oui, je n’arrête pas beaucoup.
Elle recommença à passer la serpillère.
-C’est pour ça que tu ne me rappelle pas ?
Rosie s’arrêta de bouger. Il l’avait contacté à plusieurs reprises mais elle ne lui avait pas donné de signe de vie.
-Entre autres. Je m’excuse de ne pas t’avoir rappelé. Elle reprit le mouvement de sa serpillière. Ces temps-ci, je n’ai pas trop envie de voir des gens en dehors du boulot. Ne le prends pas personnel. Je suis simplement trop épuisée quand je rentre chez moi. Il s’approcha lentement entre les tables.
-Pourquoi tu ne prends pas une journée de congé ou deux? Ça te ferait du bien. Tu as l’air claquée, lui dit-il avec sollicitude. Rosie rit tristement.
-Je ne peux pas me permettre de prendre des journées de congés. L’argent ne pousse pas dans les arbres malheureusement. Elle continua de laver le sol. Je dois en profiter pendant que les touriste sont sur l’île.
Marshall s’approcha encore.
-Pourquoi tu as besoin de deux jobs?
-J’ai besoin d’argent c’est tout.
Marshall croisa les bras et se posta devant elle.
-Pourquoi tu as tant besoin d’argent? Ton loyer ne te coute pourtant pas une fortune…
-Qu’est ce que tu en sais? Dit-elle frustrée de cette interruption dans sa vie privé.
-L’immeuble où tu vis m’appartient. Pourquoi tu as besoin d’autant d’argent? Je peux t’aider si tu veux?
Rosie haussa un sourcil.
-Est-ce qu’il y a quelque chose qui n’appartient pas aux Syverson dans ce village?
Rosie retourna au bar en soupirant. Marshall n’avait vraiment pas l’air pressé. Il s’assit au bar devant elle pendant qu’elle lavait les verres sales. Elle grogna légèrement.
-Tu n’as pas du travail à faire toi aussi? Il haussa les épaules et prit une gorgée de son café.
-J’ai des employés. Pour une fois on peut discuter sans que tu puisse te sauver. Qu’est ce qui se passe, tu as tellement changé depuis notre rencontre. Tu as besoin d’aide?
Rosie soupira, les mains dans l’eau brûlante et savonneuse elle se mit à parler, le barrage de ses émotions refoulés céda, elle lui raconta tout.
-En octobre dernier, j’ai rencontré un homme merveilleux avec qui je me sentait tellement bien et que j’aimais à la folie… puis je me suis laisser embrumer la tête par la peur et la jalousie. J’ai fais l’erreur de le quitter… J’ai perdu mon père, j’ai perdu mon travail, j’ai refusé stupidement de retourner à Londres alors qu’on me proposait un poste parce que je croyais que ça serait facile de me trouver un travail ici mais finalement je me suis retrouvé sans emploi pendant 2 mois et demi, alors je me suis endetté, j’ai déménagé dans un minuscule studio et maintenant ma voiture est encore brisée…. Depuis novembre ma vie est une vraie piscine de merde dans laquelle j’essaie de ne pas me noyer. Et je ne parle même pas des habitants qui me déteste parce que j’ai brisé le cœur de l’homme le plus aimé du village…. Tous ce qu’il me reste c’est ma fierté alors merci mais je vais m’en sortir.
Pendant qu’elle parlait, Marshall avait fait le tour du comptoir et était venu la trouver. Il entourait doucement ses épaules et sa taille de ses grands bras. Elle le laissa faire. Cette tendresse lui faisait tellement de bien. Elle ferma les yeux et appuya sa tête sur sa poitrine. Il lui donna un baiser sur le dessus de la tête.
-Petite femme tu n’es pas seule. Lui murmura t-il en français.
Sa barbe douce effleurait sa tempe, Marshall sentait terriblement bon comme toujours. Il la tint dans ses bras pendant plusieurs minutes sans dire un mot de plus. Elle finit par se sentir moins désespérée et moins triste.
-Merci, je me sens mieux maintenant.
Il relâcha son étreinte avec un soupir et entreprit d’essuyer les verres qu’elle venait de laver.
-Je comprends que tu ne veux pas de mon aide financière mais je suis là si tu as besoin de discuter ou juste de câlins…
Rosie comprit où il voulait en venir.
-Marshall, à propos de nous deux… Ces temps-ci c’est compliqué… Tu sais comment ça c’est fini…
-Relax Rosie, je comprends. Je ne veux pas être une source de stress pour toi… On peut prendre tout notre temps. Je veux être ton compagnon. Amoureux ou non. Ça ne me dérange pas.
Rosie le regarda incrédule essayant de sonder son regard pour voir s’il se foutait d’elle juste pour l’avoir dans son lit. Bouche bée elle ne dit rien.
-Qu’est ce que tu veux de moi Rosie? Si tu veux encore de moi…
Le doute s’installa dans ses yeux.
-Bien sûr que oui! Je suis chanceuse que tu veuille encore de moi après ce que je t’ai fais. Je veux te garder dans ma vie Marshall. Je t’aime comme j’ai jamais aimé avant mais présentement … J’essaie de remettre ma vie en ordre. Je ne veux pas compliquer les choses avec ma jalousie maladive en plus… Toi, qu’est ce que tu veux? Dit-elle en le regardant dans les yeux. Son cœur battant tellement fort dans sa poitrine qu’elle crut qu’il allait l’entendre. Il lui vola un petit baiser.
-Je te veux toi, Rosie Gagné, je te l’ai déjà dis je suis dingue de toi. Je prendrais ce que tu peux me donner mais à une condition. Rosie l’écouta attentivement. Je veux que tu me fasse confiance. Je suis tout à toi, Rosie. Jamais je ne te tromperais mais en échange je veux que tu sois aussi à moi. Je sais que tu vois souvent d’autres gars… Sa mâchoire se resserra. Je déteste ça.
Rosie toucha doucement sa main sur le comptoir.
-Monogamie c’est facile mais la confiance c’est plus dure…Marshall inclina la tête en levant les sourcil. Je vais travailler la dessus. Je sais que je n’ai pas à avoir peur mais c’est les autres filles qui m’inquiète.
Le jeune homme prit ses deux mains dans les siennes.
-Quand tu te sentira trop jalouse ou que la panique t’envahira, parle moi. Peut importe l’heure qu’il est. Parle moi, appelle moi ou viens me voir. Je n’ai aucune envie que tu pète encore un plomb et que tu me quitte encore. Ça serait trop dure, Rose… J’ai cru que j’aillais devenir complètement fou. Il appuya le front sur le sien. Parle moi, crie moi dessus mais ne me quitte plus pour ça.
-D’accord… Je t’aime Marshall.
Un surplus d’émotion déborda des yeux de la jeune femme. Marshall les essuya de ses pouces et lui donna un doux baiser.
-Je t’aime aussi ma Rosie.
Il la serra très fort dans ses bras et soupira de contentement.
-Marshall Syverson! Qu’est ce que tu fais derrière mon bar?
Sarah venait d’entrer par la porte de service. Rosie se dégagea rapidement le rouge aux joues. Marshall souriant d’une oreille à l’autre en repassa de l’autre côté du bar en rajustant sa casquette.
-Tu dérange mon employée et toi Rosie ne laisse jamais cet homme rentrer dans la cuisine, il est capable de mettre le feu.
Marshall se mit à rire.
-C’est seulement arrivé une fois! Tu exagère!
-À peine! Tu m’as apporté mes pommes de terres? Dit la mère de famille les mains sur les hanches.
-Oui m’dam, elles sont dans la cuisine. Rosie donne moi tes clés.
Elle les repêcha sous le comptoir.
-Pourquoi?
Il lui tendit la main au dessus du bar.
-Je vais y jeter un œil si tu veux bien.
Elle lui donna la clé de sa mini Cooper.
-Tu es mécanicien maintenant?
Il lui fit un clin d’œil.
-Je suis fermier ma jolie, je peux tout réparer, au revoir mesdames. Je vous aimes, dit -il en sortant le sourire au lèvres.
Rosie finit de sécher les verres en souriant. Un immense poids venait de se retirer de sa poitrine. Marshall lui avait manquer terriblement.
Sarah s’appuya le dos au bar les bras croisés.
-Alors? Vous êtes de nouveau ensemble?
Rosie lui jeta un regard la brune n’avait pas l’air d’accord.
-Je crois que oui. Ça te dérange?
-Ne fais plus mal à mon frère. Il a assez souffert comme ça.
Sarah la fixa très sérieusement. Tellement que Rosie fini par se sentir mal à l’aise.
-Je vais faire de mon mieux…
Sarah fini par sourire.
-Bien. Je suis contente que tu sois de nouveau avec lui. Tu le rends heureux, il est bien avec toi ça se voit.
Rosie sourit de nouveau de toute ses dents le rose aux joues.
******************************************
Dans les semaines qui suivirent, les deux amoureux essayèrent de se voir autant que possible malgré leurs horaires chargées. Marshall essayait de lui laisser de l’espace même s’il avait très envie de la voir tous les jours. Rosie quant-à-elle essayait de lui faire plus confiance et de faire taire le monstre vert qui hurlait dans ses oreilles. Elle lui parlait beaucoup plus. Madeline essayait toujours de se mettre entre eux mais Marshall la repoussait encore et toujours.
Une nuit après une longue journée, Rosie retrouva Marshall endormit sur son canapé. Une pizza végétarienne attendait sagement son retour sur le four. Il devait l’attendre depuis un bon moment. Elle était affamée et comblée de joie.
Elle mit la pizza au four et s’approcha de son homme. Son petit canapé deux place était beaucoup trop petit pour lui. Son minuscule appartement dans les combes était surchauffé et ridiculement petit pour un homme aussi grand et large que lui. Il se cognait constamment la tête sur les poutres. Il aurait pu simplement lui dire de passer chez lui dans sa grande maison mais il lui avait fait une surprise. Sur la table reposait un joli bouquet de fleurs des champs. C’était presque trop beau pour être vrai.
Rosie se pencha sur lui et caressa sa joue. Sa barbe était plus courte que d’habitude et un peu rugueuse. Elle lui donna un baiser sur la joue. Il se réveilla.
-Tu es là, dit-il tout endormi en souriant. Il s’étira de tout son long. Il s’assit. Ton canapé est vraiment merdique tu sais.
Rosie passa à la salle de bain.
-Tu aurais pu simplement me demander d’aller chez toi.
Elle ressortit de la salle de bain vêtue uniquement d’un t-shirt gris et usé qu’il avait oublié là. Elle avait l’air minuscule dedans, il lui arrêtait aux cuisses.
-C’est ici que je l’ai laissé… dit-il en la prenant dans ses bras.
-Il est à moi maintenant, dit elle en se mordant la lèvre, elle passa les doigts sous son t-shirt. Elle lui retira son t-shirt marine et le regarda avec adoration et désir.
-Je ne me lasserais jamais de te regarder mon amour. Dit-elle en passant les mains sur son torse musclé et poilu. Il se pencha et l’embrassa à pleine bouche en caressant ses courbes douces. Il prit ses fesses à pleine mains et constata sa nudité.
-La pizza. Elle se tortilla loin de lui et sortit la pizza du four. En se relevant, elle sentit ses doigts qui parcouraient les plis de sa féminité.
-Marshall! Tu vas me brûler! Les pantalons du jeune homme étaient déjà tombé au sol. Il la prit par les hanches et la poussa loin de la surface chaude. Les doigts de Marshall firent place à son énorme engin.
-Haaa…. Enfin…. Soupira-t-elle de bonheur.
-Bon dieu chérie tu es toujours aussi trempée.
Il lui assena de grand coup de reins profond.
-C’est ta faute… Je suis folle de toi…
Quelques caresses plus tard, Marshall se vida dans les profondeurs de sa chattes chaudes et trempée.
-Depuis quand tu viens dans ma chatte? Tu n’as même pas mis de capote! Dit-elle en sentant le sperme couler le long de ses cuisses. Marshall haussa les épaules.
-J’aime te remplir et savoir que tu es pleine de moi encore un moment. De toute façon, tu prends la pilule non ?
Elle lui répondit de la salle de bain.
-Oui mais quand même. Tu devrais mettre des condoms. Ça serait plus sécuritaire et puis c’est dégueu le sperme qui coule!
-On est supposé voir personne d’autre non? Il prit deux verres et versa de la bière dedans.
- Je ne parle pas de maladie. Bien sur que je ne vois personne d’autre, je t’aime espèce de con! Elle posa deux parts de pizza dans les assiettes. Je parle de bébé. La pilule n’est pas fiable a 100%
Marshall prit une gorgée de bière.
-Ça serait si horrible si tu tombait enceinte?
Rosie faillit s’étouffé avec sa bouchée.
-Quoi?!
Marshall fit la grimace et avala un brocoli. Il joua un instant avec un bout de fromage.
-Je veux vraiment des enfants. C’est un de mes buts dans la vie, avoir une famille bien à moi. Il marque une longue pause, il prit sa main et lui dit les yeux dans les siens.
-Je … voudrais qu’on aille des enfants ensemble.
Rosie leva leur main et frotta sa joue sur le dos de sa main.
-Je vais faire tout ce que je peux pour te donner plein de bébés mon amour mais ce n’est pas garantie. On a essayer longtemps avec mon ex et ça n’a pas marché. Peut-être que je ne peux pas en avoir.
Marshall serra très fort sa main.
-Raison de plus pour les arrêter tout de suite!
Il prit une gorgé de bière.
-J’aimerais mieux qu’on attendent encore un peu. Nous ne sommes même pas officiellement ensemble … Je ..
Marshall soupira en chipotant avec sa pizza.
-Nous sommes monogame et nous nous aimons. Désolé mais je te considère comme ma copine et tu es ma propriété.
-Ta propriété? Je suis quoi? Ta jument? Marshall rit et repoussa leur assiette.
-Oui ma belle pouliche. Veux-tu monter ton étalon? Il la prit sur ses genoux. Elle mit les mains derrière sa nuque et frotta son entrejambe sur la sienne en l’embrassant.
-Tu es ma propriété Marshall Syverson autant que je suis la tienne.
La pizza fut mangée complètement froide.
Quelques jours plus tard, avait lieu le diner mensuel des Syverson qui cette fois-ci avait lieu chez Marshall. En pleine récolte, les frères Syverson donnaient un coup de main à Marshall. Les femmes préparaient le repas pendant que les hommes étaient aux champs.
Sur l’heure du repas, plus d’un remarquèrent le bonheur et l’amour évident du jeune couple.
Marshall regardait sa compagne avec adoration.
Jack, le père de Marshall dit à son fils :
-Mon garçon on dirait bien que tu as retrouvé le bonheur avec cette jeune femme. Rosie rougit en faisant la vaisselle le sourire aux lèvres.
-Oui, je crois bien que oui. J’adore cette petite femme.
Ericka, la fille de James, demanda alors à son oncle.
-Est-ce que vous allez avoir un autre bébé? Comme Louise?
En un instant l’ambiance dans la cuisine passa du tout au tout. Marshall se raidit à côté de Rosie et perdit une bonne partie de ses couleurs. La jeune femme n’y comprenait rien. Elle se pencha sur l’enfant de 6 ans et lui demanda.
-Qui est Louise, ma belle Ericka?
La petite brune haussa les épaules.
-Ma cousine Louise. Le bébé de mon oncle Marshall et tante Molly…
Marshall déglutit péniblement et continua de ranger la cuisine. Rosie le regarda les yeux ronds.
-Tu as un enfant? Marshall ne dit rien et évita son regard.
Sarah lui demanda.
-Tu ne lui a pas dit?
-Je ne peux pas, j’ai essayé mais je ne peux pas…
Rosie était complètement perdue, elle regardait Sarah, Jack et Marshall tour à tour, les autres membres de la famille semblaient s’être trouvés d’autres occupations.
-Si tu veux faire ta vie avec cette jeune femme tu dois lui dire fils.
-J’en suis tout simplement incapable. Vous le savez…
Il commençait à hausser le ton.
-Tu le dois mon garçon.
Marshall se fâcha et partie vers sa chambre, il revint un instant plus tard avec un album photo qu’il lança sur la table de la cuisine.
-Dites-lui!
Rosie savait que c’était grave, Marshall était complètement bouleversé, il mit son blouson et sortit en claquant la porte.
« Ben voyons calvaire. » En moins de 10 minutes, l’ambiance joyeuse s’était transformé en mélodrame.
-Bon sang où est Louise?
Sarah avait les yeux dans l’eau tous le monde était bouleversé. Personne ne lui répondit. Elle prit l’album photo.
Jack et Sarah se regardèrent.
-Quelqu’un doit lui dire.
Rosie ouvrit l’album et la parcourut lentement.
La première était une des photos qui avait été prise au mariage de Marshall et Molly, souriant et amoureux, ils s’étaient mis du gâteaux partout dans le visage.
La suivant Marshall tenait un test de grossesse avec un air totalement surpris. Probablement que Molly avait pris la photo à l’instant même au elle lui avait annoncé la nouvelle.
La suivante montrait Molly avec un petit ventre bombé, en sous-vêtements dans la salle de bain. Elle était très mince et plutôt pâle.
Autour de Rosie la famille Syverson discutait à voix basse. Tranquillement, elle commençait à comprendre.
La photo suivante, le jeune couple avait été pris par un professionnelle probablement pour marqué sur pellicule la grossesse de Molly. Elle portait une magnifique robe rose poudre qui moulait son petit ventre rond. Marshall vêtue d’une chemise blanche était à genou devant elle et donnait un baiser à son ventre les yeux fermés. La photo était magnifique.
La suivante avait été prise dans un lit d’hôpital en égo portrait par Marshall. Molly et lui était couché tous les deux dans le lit, Molly dormait le nez dans son cou. Marshall regardait la caméra un petit sourire triste aux lèvres, ses yeux bleus étaient rouge vif et gonflés. Molly était visiblement malade, son teint était gris, son visage était beaucoup trop maigre pour une femme enceinte. Rosie réalisa soudain qu’elle regardait les derniers moment de Molly.
L’avant dernière photo montrait Marshall tenant dans ses bras un tout petit bébé emmitouflé dans une couverture rose. Il lui donnait un baiser sur sa toute petite tête de boucle blonde.
La page suivante n’était pas un photo mais un avis de décès. La petite Louise Syverson avait vécut à peine un mois.
Rosie lâcha l’album photo qui tomba sur la table et mis ses deux mains sur sa bouche. Des frissons parcoururent tout son corps. Les larmes se mirent à couler sur ses joues.
-Qu’est ce qui s’est passé? Pourquoi Marshall n’a plus sa fille ?
Sarah lui donna un verre d’eau et l’invita à s’asseoir. Jack se mit à parler doucement.
-Durant la grossesse de Molly, son médecin à découvert un tumeur sur son sein droit. Elle avait un forme agressive de cancer… Si elle avait avortée, elle aurait peut-être pu s’en sortir mais elle ne voulait pas. Malgré les supplications de Marshall, elle a continuée sa grossesse le plus longtemps qu’elle a pu. Les médecins lui ont donné plein de médicaments pour que le bébé grossisse plus vite. Elle a accouché à 26 semaines. Son cœur a lâché. Elle n’a pas pu voir son bébé.
Jack prit une profonde inspiration.
-Qu’est ce qui est arrivé à Louise? Demanda Rosie en essuyant ses yeux. Sarah lui répondit pendant que Jack essayait subtilement ses yeux.
-Elle était trop petite, son petit cœur travaillait trop fort, ses organes ont lâchés.
Rosie digéra toute cette horrible histoire. Son cœur se serrait pour l’homme qu’elle aimait.
-Comment ce fait-il que Marshall ne soit pas devenu fou? Demanda-t-elle la tête dans les mains.
-Des heures de thérapie, des heures passés à la salle de sport, de bons antidépresseurs et sa famille autour de lui même quand il ne le voulait pas, lui dit Sarah.
-Maintenant je suis supposé faire quoi? Je ne peux pas faire comme si de rien était! Il faut que je le vois. Elle sortit comme une tempête de la cuisine et chercha Marshall. Elle le retrouva dans le garage, seul, pencher au dessus du moteur de sa petite voiture.
-Mon amour… Il se releva mais ne se retourna pas.
-S’il te plaît ne dit rien. Je ne veux pas de ta pitié.
Rosie ne dit rien mais s’approcha et le serra dans ses bras. Il éclata en sanglots silencieux. Il ne faisait aucun bruit mais Rosie sentait tout son corps secouer de tremblements et de chagrin. Elle le serra encore plus et mit une main sur son cœur. Il mit les mains sur les siennes et les serra à lui faire exploser les os. Elle le serra contre elle longtemps jusqu’à ce que la tempête se calme. Il prit sa main et lui donna un baiser dans le creux de sa paume.
-Laisse moi travailler maintenant ma chérie.
Elle lui donna un baiser sur la nuque.
-Je t’aime Marshall Syverson, je comprends que tu ne veuilles pas en parler. Je respecte ton silence, je t’aime, je vais faire tout ce que je peux pour te donner la famille que tu mérite mon amour.
Il lui donna un autre baiser sur la main, sa voix encore plus grave lui répondit.
-Merci ma chérie.
Ce soir là, Marshall rentra très tard de son garage. Il prit sa douche et se glissa dans le lit auprès de Rosie qui dormait. Il se lova dans son dos. Elle était nue et sentait bon. Elle se réveilla quand elle sentit son érection glisser sur l’entrée de sa fente humide.
-Mon amour…
-Je t’aime Rosie, laisse moi te faire l’amour.
Lentement et tendrement, il lui fit l’amour en cuillère en la serrant dans ses bras.
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Été 1825 - Champs les Sims
2/2
Ma petite Madeleine est très dégourdie, et si j’avoue passer moins de temps avec elle qu’avec André, je suis fier de voir comme elle grandit vite et ressemble de plus en plus à sa mère.
Entre-temps, j’ai fait agrandir la maison en aménageant les comble. J’y ai fait percer des fenêtres et une échelle temporaire nous permet d’y accéder, en attendant de pouvoir construire un bel escalier en bois. Je prévois d’y installer les lits des enfants, car nous commençons tous à nous marcher dessus au rez-de-chaussée et cela porte sur les nerfs de Marianne qui passe déjà bien trop de temps enfermée à son goût. Pour l’apaiser, pendant que je travaille et garde un oeil sur les enfants, elle part quelques heures à la pêche. Elle en revient le teint frais et avec notre repas du soir. Notre petit potager ne paie pas de mine, mais il nous permet de nous nourrir sans que nous mourrions de faim et j’admet regagner peu à peu la bedaine que j’avais perdu pendant mes années de misère. Marianne me dit avec affection que j’ai l’air d’une outre à vin, mais sans l’alcool.
C’est vraiment une femme formidable. T’ai-je dit qu’elle avait sauvé notre ferme des flammes ? Grâce à elle, nous avons évité que le désastre commence et que ma famille ne brûle vive à nouveau. Charlène a renversé quelque chose dans l’âtre et sa robe a pris feu, de même que la chaise à côté d’elle. Les enfants étaient dans la pièce, mais Marianne ne s’est pas démontée et a pris un sceau pour éteindre son amie et sauver notre foyer. Il est coutume de dire qu’un père est fier de ses enfants, mais je suis aussi un époux très fier de la femme qu’il a épousée.
J’espère que de ton côté tes plantations se portent bien, et que je pourrai bientôt apprendre que mon petit frère a réussi à passer la bague au doigt d’une femme qui le rendra heureux.
Ton frère qui t’aime, Jean-Pierre Le Bris
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Lire pour la première fois les pages Wikipedia sur la légende arthurienne en n’ayant jamais vu que Kaamelott (et lu Yvain ou le chevalier au lion pendant le collège) : a thread, partie 4
On parle maintenant d’un certain Galehaut
Il a pas l’air hyper intéressant
Je retire ce que j’ai dit, enemies to lovers, 24k-

C’EST VRAI EN PLUS PUTAIN
Galehaut is the gay hero we need et Lancelot arrête d’être dans le déni de ton homosexualité
……il donne son quoi

Ça me fume comment j’en ai jamais entendu parler avant ? Also C’est clairement dit qu’il se fait passer pour hétéro et 2) qu’il aimait Lancelot à un point inimaginable

Je chiale

This is a Galehaut stan account now
Très peu de choses dites malheureusement à propos de Galessin, mis à part qu’il est parti à la bataille une fois pour aider Arthur avec Yvain et Gauvain et j’imagine tellement bien le tableau de ces deux débiles avec Galessin tired dad à l’arrière
On passe à Gareth, ENCORE un frère de Gauvain
Je veux un spin-off avec les aventures de Gareth car il : se fait passer pour un garçon de cuisine au château, on le victimise parce qu’il a les mains douces, il se casse à l’aventure avec une autre domestique qui arrête pas de se foutre de sa gueule, se bat avec des chevaliers qui sont tous la personnification d’un Crayola, met la misère à un mec qui à la force de sept hommes qui a juré à sa femme de tuer Lancelot, force ce mec à revenir au château avec lui pour lui demander pardon. Long trip sous acide
Et malheureusement il crève aussi
On parle de l’aîné de la fratrie d’Orcanie : Gauvain
Vu les représentations, le costume qu’il porte dans kv1 est vraiment accurate, jusqu’à la coiffure tout est très bien bravo au département costumes
Attends il a un pouvoir spécial relié au soleil ? Mais c’est hyper classe
Globalement toutes les histoires où il est il est super doué super poli super tout, mais je vais retenir celle-là :

Cockblock from god
Je me rends compte que je suis pas allé voir Hector des Mares
Bon y’a presque rien sur lui
Et Lionel de Gaunes alors ?
« Devenu roi de Gaunes » ? Alors que c’est Bohort l’aîné ?
Sa vie c’est quand même bien de la merde à Lionel
Et Loth. Qu’en est-il de Loth.
« Allié du roi Arthur » jusqu’à, hein
« Un vassal fidèle » JUSQU’À
Il était héritier du royaume de Norvège. Amis norvégiens vous avez eu beaucoup de chance de passer à côté de ça
Apparemment dans la légende de base c’est un mec bien. Ça fait bizarre
Geraint ou plutôt Érec on a un peu rien à battre et sa femme est mieux de toute façon
Enfin, on parle de Girflet
Globalement sa vie c’est cool il est pote avec Gauvain il est content il est chevalier
(On me précise dans cette page que Bohort a été sous l’emprise d’un sortilège qui l’a poussé à être un peu sans pitié et méchant. Potentiel de fanfic, moi je dis)
Ah non en fait c’est le dernier à voir Arthur vivant c’est lui qui doit se débarrasser d’Excalibur tous ses potes sont clamsés et il survit 18 jours après la mort d’Arthur. Youpi.
Et si on parlait du chevalier méconnu de tous Hunbaut
Ah, c’est le cousin de Gauvain. Serait-il aussi un connard ?
On ne sait pas personne ne sait rien il a le rôle d’une plante verte
Vous vous rappelez de Kay le sonneur ? Eh bah on va parler de son alter égo Keu le sénéchal
Il est chiant, l’envie de l’encastrer dans le mur m’envahit soudainement
Oh putain je viens de faire le lien avec le Keu dans Merlin L’Enchanteur de Disney
Ça tire à balles réelles

C’est vraiment très très con comme façon de mourir

Intéressons-nous à Lamorak (jouait-il vraiment au robobrol ?)
On sait pas et apparemment personne en a rien à péter
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✍️ "Hiram, roi de Tyr, ayant fourni à Salomon du bois de cèdre, du bois de cyprès, et de l’or… alors le roi Salomon donna à Hiram 20 villes dans le pays de Galilée. Hiram sortit de Tyr pour voir les villes que Salomon lui avait données, et elles ne lui plurent pas. Il dit : Que sont ces villes, que tu m’as données là, mon frère ? Et il les appela pays de Cabul." (1 Rois 9. 11-13)
Trois rois en rapport avec la Galilée.
Hiram, le roi de Tyr, avait participé à la construction du temple de Salomon en lui fournissant des matériaux essentiels et coûteux : du bois de cèdre, du bois de cyprès, de l’or, des travailleurs (2 Chroniques 2. 2-15). En signe de reconnaissance, Salomon lui donne une portion du territoire galiléen. Seulement voilà, ce territoire ne lui plaît pas. Le nom qu’il lui donne, “cabul”, signifie littéralement bon à rien. Hiram juge donc la Galilée indigne d’un roi et irrécupérable.
Un autre roi, pourtant, a parcouru la Galilée. C’est Jésus, le Fils de Dieu, roi de l’univers tout entier. Et il ne l’a pas simplement visitée, il y a habité dans sa jeunesse et la majeure partie de sa vie d’adulte. Le Nouveau Testament nous rapporte qu’effectivement le peuple de Galilée était “assis dans les ténèbres… dans la région et dans l’ombre de la mort” (Matthieu 4. 16). Cela semble confirmer que la région était frappée par une grande misère morale et matérielle, et donc indigne d’accueillir un roi et encore moins le Fils de Dieu ! Et pourtant, c’est parmi les pauvres de Galilée que le Seigneur Jésus a habité, ses disciples ont été choisis parmi les “hommes galiléens”, et son premier miracle a été accompli en Galilée (Actes 1. 11 ; Jean 2. 11). Loin de laisser cette région inhospitalière à son triste sort, Jésus leur a apporté la lumière (Matthieu 4. 16).
Quel contraste entre Hiram et le Seigneur Jésus ! Hiram considérait que la Galilée n’était pas un lieu destiné à l’habitation des rois, qu’elle était bonne à rien. Christ n’a pas fait valoir son titre de Roi pour être traité comme tel. Bien au contraire, il s’est fait connaître comme “Galiléen” (voir Luc 22. 59), il a vécu parmi les plus faibles. Il a partagé leur quotidien et leurs souffrances. Il a fait du bien à ceux qui s’approchaient de lui. Ce Roi est digne de toute notre louange et notre adoration !
d’après B. Reynolds
Le Seigneur est Proche
https://editeurbpc.com/calendriers/le-seigneur-est-proche
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◀ 17 DÉCEMBRE ▶ La Bonne Semence
Ne nous lassons pas de faire le bien, car, en temps voulu, nous moissonnerons, si nous ne défaillons pas. Galates 6 : 9
Que les nôtres aussi apprennent à être les premiers dans les bonnes œuvres. Tite 3 : 14
Faire le bien
« Faire le bien » : tout croyant est appelé à s’y appliquer. Il a devant lui l’exemple du Seigneur Jésus, son Sauveur, qui sur la terre est passé de lieu en lieu en faisant du bien (Actes 10 : 38). L’apôtre Pierre le rappelle et il exhorte ses frères à pratiquer le bien en suivant Jésus, le parfait modèle, même si cela les amène à souffrir. « Si vous souffrez en faisant le bien et l’endurez, c’est digne de louange devant Dieu » (1 Pierre 2 : 20). Faire le bien sans se lasser, tel est donc le devoir du chrétien dans un monde où il y a tant d’égoïsme. La recherche ardente de ses propres intérêts a pour conséquence directe d’incessants conflits entre les peuples, entre les individus, dans les familles. Le croyant ne devrait jamais oublier que ce qu’il est, il le doit seulement à la grâce de Dieu. S’il apprécie vraiment cette grâce, il le montrera par sa promptitude à donner, à aider et à servir son prochain. Aspirons-nous à plus de joie ? Nous la trouverons en essayant chaque fois que nous le pouvons d’alléger les conditions de vie de nos semblables. Venons en aide aux moins favorisés, visitons les isolés et les malades, nous trouverons notre propre fardeau plus léger. Ce contact avec la souffrance, et la vue de tant de misères physiques ou morales nous rendront plus conscients de nos privilèges. Ils nous engageront à plus de persévérance dans le service important de la prière et de la bienfaisance. Et surtout, en cela nous servirons le Seigneur. - Lire plus ici :
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La lettre de Marilyn Monroe à son psychiatre, le Docteur Greenson " Il faudrait être cinglé pour se plaire ici..."
Le 5 août 1962, Marilyn Monroe, née le 1 er juin 1926, mettait fin à ses jours. Ce suicide brutal faisait de sa légende vivante un mythe tragique dont la beauté sensuelle fascine toujours les foules. Un an avant, le Dr Kris, craignant que l'actrice ne passe à l'acte, l'internait dans un hôpital psychiatrique.
C'est le pire des cauchemars pour l'actrice, enfermée chez "les grands dérangés" comme elle le raconte dans cette lettre à son psychiatre californien, Ralph Greenson. Dernières lettres de l'enfer.
Le 2 Mars 1961
Cher Docteur Greenson,
J'ai demandé à May Reis [l'assistante personnelle de Marilyn Monroe] de taper ceci car mon écriture n'est pas clairement lisible, mais j'ai aussi inclus ces notes et vous verrez ce que je veux dire.
M.M.
1er Mars 1961,
J'ai regardé à l'instant par la fenêtre de l'hôpital, et désormais, là où la neige avait tout recouvert, tout est un peu vert: l'herbe et les minables buissons, ceux qui ne perdent pas leurs feuilles (même si les arbres ne sont pas très encourageants), les branches nues et lugubres annoncent peut-être le printemps et sont peut-être un signe d'espoir.
Avez-vous vu Les désaxés? Dans l'une des scènes, vous pouvez voir à quel point un arbre peut m'apparaître étrange et nu. Je ne sais pas si ça apparaît vraiment à l'écran... Je n'aime pas la façon dont certaines scènes ont été montées. Depuis que j'ai commencé à écrire cette lettre, quatre larmes silencieuses ont coulé. Je ne sais pas vraiment pourquoi.
La nuit dernière, je suis encore restée éveillée toute la nuit. Parfois je me demande à quoi sert le temps de la nuit. Pour moi, il n'existe presque pas, et tout me semble n'être qu'un long et affreux jour sans fin. Enfin, j'ai essayé de profiter de mon insomnie pour être constructive et j'ai commencé à lire la correspondance de Sigmund Freud. En ouvrant le livre pour la première fois, j'ai vu la photographie de Freud et j'ai éclaté en sanglots: il avait l'air très déprimé (cette photo a dû être prise peu de temps avant sa mort), comme s'il était mort en homme désabusé... Mais le Dr Kris m'a dit qu'il souffrait énormément physiquement, ce que j'avais appris dans le livre de Jones. Mais je pense avoir raison aussi, je fais confiance à mon intuition car je sens une triste lassitude sur son doux visage. Le livre prouve (même si je ne suis pas sûre que l'on doive publier les lettres d'amour de quelqu'un) qu'il était loin d'être coincé! J'aime son humour doux et un peu triste, son esprit combatif qui ne l'a jamais quitté. Je suis pas encore allée très loin dans la lecture car je lis l'autobiographie de Sean O'Casey en même temps (vous ai-je déjà raconté qu'il m'a un jour envoyé un poème?). Ce livre me dérange beaucoup, enfin, dans la mesure où l'on peut être dérangé par ce genre de choses.
Il n'y avait aucune empathie à la clinique Paine Whitney, et cela m'a fait beaucoup de mal. On m'a interrogée après m'avoir mise dans une cellule (une vraie cellule en béton et tout) pour personnes vraiment dérangées, les grands dépressifs, (sauf que j'avais l'impression d'être dans une sorte de prison pour un crime que je n'avais pas commis). J'ai trouvé ce manque d'humanité plus que barbare. On m'a demandé pourquoi je n'étais pas bien ici (tout était fermé à clefs: des choses comme les lampes électriques, les tiroirs, les toilettes, les placards, il y avait des barreaux aux fenêtres... les portes des cellules étaient percées de fenêtres pour que les patients soient toujours visibles, on pouvait voir sur les murs des traces de la violence des patients précédents).
J'ai répondu: "Eh bien, il faudrait que je sois cinglée pour me plaire ici." Puis des femmes se sont mises à crier dans leur cellule, enfin j'imagine qu'elles hurlaient parce que la vie leur était insupportable... Dans ces moments-là, je me disais qu'un psychiatre digne de ce nom aurait dû leur parler. Pour alléger leur misère et leur peine, ne serait-ce que temporairement. Je pense qu'ils (les médecins) pourraient même apprendre quelque chose... Mais ils ne sont intéressés que par ce qu'ils ont étudié dans les livres. J'étais surprise parce qu'ils savaient déjà tout ça. Peut-être qu'ils pourraient en apprendre davantage en écoutant des êtres humains vivants et en souffrance. J'ai le sentiment qu'ils se soucient plus de leur discipline et qu'ils laissent tomber leurs patients après les avoir fait "plier". Ils m'ont demandé de me mêler aux autres patients, d'aller en thérapie de groupe. "Et pour quoi faire?" ai-je demandé. "Vous pourriez coudre, jouer aux dames, ou même aux cartes, ou encore tricoter." J'ai essayé de leur expliquer que le jour où moi je ferais cela, ils auraient vraiment une cinglée sur les bras. Ce sont vraiment les dernières choses que j'avais à l'esprit. Ils m'ont demandé si je me sentais "différente" (des autres patients je suppose) et je me suis dit que s'ils étaient assez stupides pour me poser de telles questions, je devais leur donner une réponse toute simple, aussi ai-je dit: "Oui, je le suis".
Le premier jour, j'ai effectivement rencontré une autre patiente. Elle m'a demandé pourquoi j'étais si triste et m'a suggéré d'appeler un ami pour peut-être me sentir moins seule. Je lui ai répondu qu'on m'avait dit qu'il n'y avait pas de téléphone à cet étage. A propos des étages, ils sont tous verrouillés: personne ne peut ni entrer ni sortir; elle a paru choquée et surprise et elle m'a dit: "Je vais vous conduire au téléphone". En attendant mon tour pour le téléphone, j'ai remarqué un garde (je l'ai reconnu à son uniforme gris) et quand j'ai voulu décrocher le combiné, il me l'a arraché des mains et m'a dit très fermement: "Vous, vous ne pouvez pas utiliser le téléphone." D'ailleurs, ils se vantent de leur ambiance "comme à la maison". Je leur ai demandé (aux médecins) ce qu'ils entendaient par là. Ils m'ont répondu: "Eh bien, au sixième étage, nous avons de la moquette au sol et du mobilier moderne", ce à quoi j'ai répondu: "Eh bien, c'est le genre de choses que n'importe quel architecte d'intérieur peut fournir, à condition d'avoir les fonds nécessaires", mais puisqu'ils s'occupent d'êtres humains, pourquoi ne réalisent-ils pas ce qui rend un intérieur plus humain?
La fille qui m'a parlé du téléphone avait l'air tellement vague et pathétique. Après l'incident avec le garde, elle m'a dit: "J'ignorais qu'ils feraient cela". Puis elle a ajouté: "Je suis ici en raison de mes troubles mentaux... Je me suis ouvert la gorge plusieurs fois et les veines aussi", elle a dit l'avoir fait trois ou quatre fois.
La seule chose que j'avais à l'esprit en l'écoutant c'est un refrain:
"Mêlez-vous les uns aux autres mes frères
Sauf si vous êtes nés solitaires"
Enfin, les hommes cherchent à atteindre la lune mais ils n'ont pas l'air très intéressés pas le cœur qui bat de l'être humain. Quand bien même on pourrait changer, on peut ne pas le vouloir. A propos, c'était le thème des désaxés, mais personne ne s'en est rendu compte. J'imagine que c'est sans doute à cause des modifications du script et des changements imposés par la mise en scène...
Ecrit plus tard:
Je sais que je ne serai jamais heureuse, mais je peux être gaie! Vous vous rappelez que Kazan prétendait que j'étais la fille la plus gaie qu'il ait jamais connu, et croyez-moi il en a connu beaucoup! Mais il m'a aimée pendant un an et, une nuit où j'étais très angoissée, il m'a bercée jusqu'à ce que je m'endorme. Il m'avait aussi conseillé de faire une analyse et plus tard il a voulu que je travaille avec son professeur, Lee Strasberg.
Est-ce Milton qui a écrit: "Les gens heureux ne sont jamais nés."? Je connais au moins deux psychiatres qui cherchent une approche plus positive des choses.
CE MATIN, 2 MARS
Cette fois encore, je n'ai pas dormi de la nuit. J'ai oublié de vous dire quelque chose hier. Quand on m'a mise dans la première chambre, au sixième étage, on ne m'a pas dit qu'il s'agissait d'une section psychiatrique. Le Dr Kris m'a affirmé qu'elle passerait me voir le lendemain. L'infirmière est entrée, après que le docteur (un psychiatre) m'a fait un examen médical y compris un examen des seins pour s'assurer que je n'avais pas de grosseur mammaire. J'ai protesté, mais sans violence, en expliquant que le médecin qui m'avait fait entrer, un imbécile du nom de Lipkin, m'avait fait subir un check-up complet il y a moins d'un mois.
Mais quand l'infirmière est entrée, j'ai remarqué qu'il n'y avait aucun moyen de l'appeler, même pas de sonnette. J'ai demandé des explications et elle m'a appris que j'étais dans une section psychiatrique. Après son départ, je me suis habillée et c'est là que, dans l'entrée, j'ai rencontré la fille pour le téléphone. J'étais en train d'attendre devant la porte de l'ascenseur qui ressemble à toutes les autres portes avec une poignée mais sans les numéros (vous voyez, on les a tous retirés). Après que la fille m'ait parlé de ce qu'elle s'était infligée à elle-même, je suis retournée dans ma chambre en sachant qu'on m'avait menti pour le téléphone et je me suis assise sur le lit en pensant à ce que je ferais dans cette situation à un cours d'improvisation théâtrale. Alors je me suis dit, on ne graisse pas une roue tant qu'elle ne grince pas. Je reconnais que j'ai poussé la métaphore un peu loin, mais j'ai piqué cette idée dans Troublez-moi ce soir, un film dans lequel j'ai tourné il y a longtemps.
J'ai pris une chaise pas trop lourde et je l'ai balancée volontairement contre la vitre, ça n'était pas facile parce que je n'ai jamais rien cassé de ma vie. J'ai dû m'y reprendre à plusieurs fois pour obtenir un petit morceau de verre brisé; ensuite, j'ai caché le bout de verre dans ma main et je me suis assise tranquillement sur le lit en attendant qu'ils arrivent. Ils sont arrivés et je leur ai dit que s'ils me traitaient comme une folle, j'agirais comme une folle. J'avoue que la suite est grotesque, mais je l'ai vraiment fait dans le film, sauf que c'était avec une lame de rasoir. J'ai leur ai fait comprendre que j'allais me taillader les veines s'ils ne me laissaient pas sortir - ce que je n'aurais jamais fait car comme vous le savez, Dr Greenson, je suis une actrice, et je ne m'infligerais jamais volontairement ni marque, ni blessure, je suis bien trop vaniteuse pour cela. Rappelez-vous, quand j'ai essayé d'en finir, j'ai fait cela très soigneusement avec dix comprimés de seconal et dix de tuonal que j'ai avalés avec soulagement (c'est du moins ce que je ressentais sur le moment).
Je n'ai pas voulu coopérer avec eux car je ne pouvais pas approuver leur façon de faire. Ils m'ont demandé de venir gentiment mais j'ai refusé de bouger et je suis restée sur le lit. Alors, ils s'y sont mis à quatre, deux hommes et deux femmes très costauds pour me transporter à l'étage supérieur. Je dois admettre qu'ils ont eu la décence de me porter avec la tête tournée vers le sol. Au moins, voyez-vous, je n'avais pas le visage découvert. J'ai juste pleuré silencieusement tout le long du chemin et on m'a enfermée dans la cellule dont je vous ai parlé et la grosse vache, une de celles qui m'avaient transportée dans la chambre, m'a ordonné de prendre un bain. Je lui ai expliqué que je venais d'en prendre un et elle m'a dit d'un ton sans réplique: "Dès que vous changez d'étage, vous devez prendre un bain".
Le directeur de l'établissement, qui ressemblait à un principal de collège, même si le Dr Kris l'appelle "administrateur", m'a interrogée en se prenant pour un analyste. Il m'a dit que j'étais une fille très très malade et que j'étais comme ça depuis des années. Cet homme méprise ses patients et je vous dirai pourquoi dans un moment. Il m'a demandé comment je pouvais réussir à travailler dans un état aussi dépressif. Il voulait savoir si cela avait des conséquences sur mon jeu et il m'a posé cette question sur un ton assuré et définitif. En fait, il présentait cela comme un fait plutôt qu'une possibilité, aussi lui ai-je fait remarquer que Greta Garbo et Charlie Chaplin et peut-être aussi Ingrid Bergman avaient parfois travaillé alors qu'ils étaient en dépression. Je lui ai d'ailleurs dit que cela était aussi stupide que d'affirmer qu'un joueur de baseball comme Di Maggio ne pouvait pas frapper une balle lorsqu'il était déprimé. C'est absolument ridicule.
A propos, j'ai de bonnes nouvelles, en quelque sorte, puisque je crois que j'ai été utile à quelque chose, enfin c'est ce qu'il affirme. Joe dit que je lui ai sauvé la vie en l'adressant à un psychothérapeute dont le Dr Kris dit que c'est un excellent médecin. Joe dit qu'il s'est repris en main après le divorce, mais il dit aussi que s'il avait été à ma place, il aurait lui aussi demandé le divorce.
Pour Noël, il m'a envoyé un champ entier de poinsettias. J'ai demandé qui me les avait envoyé tellement j'étais surprise (mon amie Pat Newcomb était là quand on me les a apportées). Elle m'a dit: "Je ne sais pas trop, la carte dit juste: "MEILLEURS VOEUX JOE"". Je lui ai répondu "Il n'y a qu'un seul et unique Joe." Comme c'était le soir de Noël, je l'ai appelé et je lui ai demandé pourquoi il m'avait envoyé les fleurs. Il m'a dit: "D'abord, parce que j'ai pensé que tu me téléphonerais pour me remercier, et puis qui d'autre pourrait bien t'en envoyer? Tu n'as que moi au monde." Il a ajouté: "Je sais que quand j'étais marié avec toi, je n'ai jamais été embêté ni jamais vu la moindre belle-famille".
Bref, il m'a proposé de prendre un verre avec lui un de ces jours. Je lui ai fait remarquer qu'il ne buvait jamais. Il m'a dit que maintenant il buvait de temps en temps, alors je lui ai dit que j'étais d'accord, à condition d'aller dans un endroit très très sombre. Il m'a demandé ce que je faisais pour Noël; je lui ai dit: "Rien de spécial, je suis avec une amie". Il m'a demandé s'il pouvait passer. J'étais heureuse qu'il vienne, même si je dois dire que j'étais déprimée et que je pleurais sans arrêt, pourtant j'étais tout de même ravie de son arrivée.
Je pense qu'il vaut mieux que je m'arrête là parce que vous avez sûrement d'autres choses à faire. Merci de m'avoir écoutée un moment.
Marilyn M.
PS: Lorsque je prononçais le nom d'une certaine personne vous aviez l'habitude de lisser votre moustache et de regarder le plafond. Vous savez de qui je parle n'est-ce-pas? Il a été pour moi (en secret) un très tendre ami. Je sais que vous n'allez pas me croire mais vous devez faire confiance à mon intuition. C'était un genre de brève passade. Je n'avais jamais connu ça avant mais maintenant c'est fait. Il est très attentionné au lit.
Je n'ai aucune nouvelle d'Yves, mais cela m'est égal car j'en garde un souvenir tellement fort, tendre et merveilleux.
Je suis presque en larmes...
(source:huffingtonpost.fr)
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Chronique Nas - King’s Desease

Je l’ai attendu désespérément, le voici le voilà, le nouvel album de Nas est arrivé ! 8 ans après le merveilleux Life Is Good, 2 ans après le très court et très décevant Nasir (réalisé dans la précipitation avec Kanye aux manettes) et un an après les très sous-estimées Lost Tapes 2, recueil de chutes de studios de diverses époques, dope mais qui ne permettaient pas de se rassurer définitivement sur sa forme actuelle et sa faculté à refaire un bon projet abouti. J’avais quelques informations avant la sortie : la pochette est stylée, ça s’appelle King’s Desease (la maladie des rois, surnom de la goutte dont j’ai l’extrême déplaisir de souffrir depuis quelques années), le single éclaireur est un très bon morceau mais pas un très bon single étant donné que loin d’un banger spectaculaire à faire péter pendant son cardio, la liste des featurings augure du possible meilleur comme du possible pire avec un grand brassage intergénérationnel, la liste des producteurs se résume à une personne : Hit-Boy. Cette dernière info en a laissé beaucoup perplexes, moi j’étais plutôt enthousiaste car familier du taf du bonhomme. Il s’est fait connaître aux débuts des années 2010 et a pas mal de hits ou de gros morceaux (Niggas In Paris, Sicko Mode, Clique, Goldie, 1Train) pour des têtes d’affiche (Hov, Ye, Bey, Riri, Nicki, Kendrick, Travis, Nip, Meek,…) à son actif. Sa palette est hyper large, les breakbeats et les boucles/samples font parties de son ADN comme il a pu le démontrer aussi sur des projets moins mainstream parmi lesquels son excellent album solo passé complètement inaperçu cette année : The Chauncey Hollis Project. Les ignorants et les éternels nostalgiques font la moue, je suis assez confiant et excité.
Puis le 21/8, je me suis réveillé à l’aube comme un enfant belge le 6 décembre et j’ai lancé ma première écoute, au casque. Concentration extrême, choppage d’un max de choses et enthousiasme. Ils l’ont fait, ça tue. Vite réécouter. Ce que je fais frénétiquement en boucle depuis. Comme beaucoup apparemment, surtout outre-atlantique, j’affirme que c’est un grand disque, peut-être même celui de l’année. Les prods vont comme un gant à Nas fluide comme jamais sur ces beats riches mais pas surproduits, qui laissent une large place à sa voix, l’instrument principal. Ça sonne actuel sans forcer, ni tendance ni à l’ancienne mais bel et bien 2020, bonne synthèse de ce que peut être un rap d’aujourd’hui qui lance des ponts entre hier et demain. Le fil rouge : les vicissitudes auxquelles sont confrontés les Kings, ces légendes du Hip Hop ou de la culture afro-américaine sorties des ghettos les plus durs pour se retrouver au sommet dans des positions pas si idylliques, contrairement aux images et aux illusions que bombardent les écrans. Les tentations, les excès, les jalousies, les trahisons, la grosse tête, les manipulations. Attention aux mirages, fausses oasis. Hubris. C’est un rappeur américain glorifié et haï depuis une trentaine d’années, il n’est pas à l’abri de propos et attitudes douteuses, de l’auto-mythification, de fanfaronnades de mâle alpha au milieu des requins mais c’est aussi une personne visiblement sensible, qui assume ses failles, intelligente, qui a soif de progrès, de justice sociale, d’harmonie, de sérénité, d’amour, de devenir meilleur. C’est aussi une des plus belles plumes si pas la plus belle de l’histoire de cette musique et se laisser porter par ces mots le temps d’un disque me passionne toujours.
Analyse track par track :
King’s Desease. Une boucle soulfull, pas de drums, dans l’école Alc/Marci/Griselda mais avec un son plus scintillant, des filtres, plusieurs couches. 1min50 pour que Nas plante le décor, trace les contours du thème de l’album, entre bravades, phases inspirantes, observations pertinentes, micro et macro. Ça flow sans trop forcer, le timbre est plus beau que jamais, ça coule tout seul, pure intro.
Blue Benz. Dès que les drums arrivent je pète un cable. Ça sent le Boom Bap 5 étoiles, puis dès la sortie de l’intro, ça prend des dimensions en plus : Hit-Boy ne se contentera pas des recettes connues, aussi efficaces et classic soient-elles. Une énorme basse débarque, couplée à des arrangements riches mais pas rococos, ça groove, c’est varié et léché, comme si le son Large Pro et le son Dre vivaient un mariage heureux, le tout saupoudré d’un peu de drums TR-808. Über stylé. Nas débarque en mode Thug vétéran QB, images à l’ancienne avec 20 goons cracheurs de lames de rasoir au mythique Tunnel, à déchirer avec ses gars sûrs dans l’Amérique corporate en passant par les Rude Boys de Jamaïque et une envoutante femme fatale vénéneuse avec qui il fricotait jadis. Esco in full effect.
Car #85. Me voilà conquis, aux anges. Nouvelle ligne de basse imparable, quelques vocalises discrètes du grand Charlie Wilson, groove languissant aux saveurs West Coast et génial storytelling autobiographique. On ride avec un Nas de 15-16 ans qui, trop jeune et petit joueur pour se balader au volant de son propre bolide, fait appel à un service de « plus ou moins taxis chelou » au chauffeur pas regardant tant que les gamins payent suffisamment. Monter à Times Square, cruiser dans Money Makin’ Manhattan, écouter ses tapes favorites pour aller au weed spot le plus proche, goûter aux plaisirs charnels avec une meuf plus expérimentée qui se lassera vite de son petit crush, le service peut même comprendre de t’attendre toi et tes assoc’ à la sortie de ton braco ! Le bon temps où dès qu’on voulait mettre le nez hors de la plus grande cité du monde, on appelait la Car #85. Du petit lait.
Ultra Black. Single éclaireur décrié pour son manque d’efficacité, il s’intègre pourtant parfaitement dans la cohésion de l’album car oui et encore oui, c’est un très bon morceau. Qui amène à se poser cette question : un rappeur comme Nas a-t-il besoin d’un single éclaireur ? Est-ce que le sortir a déservi la sortie du projet ? Nas, dont l’amour et le militantisme à l’égard de son peuple ne sont plus à démontrer, propose ici un hymne pas pompier aux siens, truffé d’images et de références pas grillées avec un flow saccadé hyper technique mais pas tape à l’oreille, effortless plutôt que dans la démonstration. Le tout sur une prod que je valide et me fait penser à la vibe Common/Kanye sur Be. Un remix avec Common et Black Thought me fait bien fantasmer d’ailleurs… Nasir, si tu me lis…
27 Summers. Ça commence avec une grosse ambiance trap bien lourde. Il y a 27 (!!!) étés Nas sortait son monument Illmatic, marquait éternellement cette musique de son empreinte. Il contemple son parcours, serein et triomphant. Après quelques mesures, le beat s’enrichit, la touche Hit-Boy apporte un plus à toutes les recettes… 1min43 et c’est déjà fini, tant mieux, ça augmente la replay value, ne laisse pas le temps de se lasser. Petite lourdeur efficace et bien placée.
Replace Me. Un peu anxieux, premier feat du projet avec deux jeunes loups dans le coup, la sauce prendra-telle ? Est-ce qu’il n’aura pas l’air d’un invité incongru sur son propre morceau ? Nouvelle tuerie de ligne de basse, beat épuré pop mais pas guimauve, frais. Refrain autotuné de Don Toliver qui m’a un peu crispé à la première écoute mais qui fait finalement bien le job, très bonne mélodie. Rap de lover, bébé je vais te faire du bien à tout point de vue parce que je surassure dans tout, si tu veux me remplacer ça va être chaud de trouver un successeur digne, fais gaffe. Bien fait, ça reste fun, les cainris tsé bien. Big Sean également à l’aise dans cet exercice, les 2 ont une chiée de verses dans ce genre de vibe, pas toujours pour le meilleur… Bon petit track pop chill, évidemment pas ce que je préfère dans son arsenal mais je ne skip pas, je kiffe. À mi-chemin, l’album est déjà super varié dans les ambiances musicales comme dans les propos et ça continue…
Til The War Is Won. 2ème morceau qui me fait un peu peur. Lil Durk est une jeune mais déjà expérimentée tête de gondole de la scène drill de Chicago aka Chirak. Fils de Gangsta notoire et bien dedans depuis sa naissance, dans une ville rongée de dingue par les gangs, les meurtres et la misère. Il rappe et chante-autotune des trucs qui ne parlent pas souvent, du coup je ne connais pas très bien mais le sais capable. Il vient de faire une très belle perf sur le nouveau gros single de Drake. Mélancolie, trap douce (oui c’est possible), sentiments, atmosphère. Nas parle de la génération de Durk et beaucoup des femmes. Dénonce la lâcheté des hommes qui abandonnent, les violences conjugales, les frères et sœurs noirs qui s’entredéchirent, les dégâts de la violence aveugle et des conditions de vies abominables du cauchemar américain. Gros texte. Je ne le ressens ni démago ni pas sincère. Durk vient faire exactement ce qu’il doit faire : délaissant 2 secondes les fanfaronnades gangsta, il lâche un pur couplet chanté à cœur ouvert et désabusé, parlant avec des mots simples et justes de son vécu, de son environnement. On finit sur une outro hommage aux femmes, beau tout plein.
All Bad. Ce coup-ci un peu anxieux mais parce que ça fait trop longtemps que je rêve de cette collab’ ! Grand fan d’Anderson Paak pratiquement dès le début de sa sortie de l’ombre il y a 5 ans déjà. Il me comble au chant, aux drums, en live. Son côté soulfull semble fait pour se marier à la vibe de Nas, mieux que pour d’autres rappeurs avec qui il réussit pourtant plus ou moins systématiquement ses featurings. Mon anxiété était donc qu’ils ratent l’immanquable, trop évident et gagné d’avance. J’ai un peu de mal à comprendre pourquoi mais à a première écoute je faisais un peu la moue. Depuis c’est un de mes morceaux préférés de l’album. Ils sont bel et bien faits pour créer de la musique ensemble et j’aimerais qu’ils en refassent beaucoup beaucoup plus. Drums aux petits oignons, mariage des voix, mélodie, groove, Musique. Lyricalement, ce n’est pas un des sommets du disque sans être déshonorable, les meufs et surtout les histoires d’amour qui finissent mal, les séparations amères… Mention à Paak qui semble considérer qu’emmener une meuf à un BBQ (référence à Live At The BBQ de Main Source, premier feat remarqué et légendaire de Nas ?!) devrait être LA preuve d’amour par excellence.
The Definition. Nouveau morceau court avec une intro et outro anecdotiques mais qui font plaiz’ du légendaire DJ old school Brucie B (qui recevait un célèbre s/o dans Juicy de Biggie) et une prod un peu plus patate. Ça rappe vénère, flow plus rapide et énergique. Lyrics politiques où il dit majoritairement des bons trucs pertinents, ouvert sur le monde même si un peu douteux et ambigu par rapport à Gayle King souvent accusée de rabaisser des personnalités noires alors que ces dernières ne l’ont généralement pas volé. Soit. On préfère les réflexions sur la liberté, le contrôle, la surveillance des datas, les propos stigmatisants que Hillary voudrait qu’on oublie, Trump, les oligarques russes ou le réchauffement climatique. On s’amuse du petit passage sur la goutte spécialement pour moi.
Full Circle. Autre morceau attendu impatiemment par tous les vieux fans, les retrouvailles avec The Firm (moins le pauvre Nature qui était un putain de rappeur quoi qu’on en dise). J’espérais de l’egotrip ou du storytelling mafioso-thug plein d’arrogance et de démesure, sur une prod bien Boom Bap lourde, une espèce d’Affirmative Action 2020. Désarçonné dès les premières mesures par ce nouveau beat atmosphèrique, minimaliste et à nouvelle bass line imparable. Cool mais pas dingue couplet de Nas pour commencer, parlant encore des femmes, des relations compliquées, de l’inutilité de vouloir les contrôler et les essentialiser. Une question qui prend de la place dans le disque, avec une pertinence et une élégance variable, parfois maladroit, souvent plein de bonnes intentions et je pense que c’est important qu’un mâle-alpha-star-de-premier-plan-du-rap plaide la cause des femmes, d’autant que ça n’est pas nouveau malgré, encore une fois, du chemin qui reste à parcourir sur certains points. Étonnamment, AZ et Cormega enchaînent élégamment sur cette même question, les thugs collectionneurs de conquêtes se révélant salutairement et sincèrement autocritiques, en quête de rédemption pour leur maladresse passée. Les 2 livrent de magnifiques verses à la hauteur de l’événement. Quelques belles phases et messages importants avec poésie. AZ remporte probablement la palme grâce à un flow fluide comme aux plus beaux jours, délicieux nectar pour les oreilles. Les anciens prouvent qu’ils peuvent sonner sur des prods actuelles et les habiller de la plus belle des façons. Le morceau « philogyne » laisse le dernier couplet à la First Lady de la clique : la revenante Foxy Brown. On l’avait déjà entendue sur le dernier Nicki Minaj, je n’étais donc pas surpris par sa voix actuelle. Elle n’a pas décidé de faire dans la finesse, le plaidoyer féministe. Egotrippin’ like a muh’fucka, elle est en mode Boss Bitch, hors sujet et sans finesse mais efficace, ça fait plaiz’ de la réentendre même si on l’imagine mal capable de nous tenir en haleine sur un projet complet. Ultime surprise, ce bon Dr Dre, parrain du (décevant) projet originel, se fend d’une outro spoken word qui fait plaiz aussi, en espérant qu’il rebosse bien vite avec Nas (ce qui semble être le cas au vu de quelques images aperçues récemment sur les RS). Tuerie de track événement sous la forme la plus inattendue qui soit.
10 Points. Ça commence par un énorme son Boom Bap brise nuque sur lequel on pourrait s’attendre à voir débarquer la clique Wu ou la clique Griselda. Puis direct on se rappelle que Hit-Boy a son son et le truc s’enrichit d’éléments divers, des super cuivres par exemple. Sans perdre le drive imposé par le break et la boucle de base. Nouvelle perf’ du beatmaker qui fournit décidément le terrain de jeu idéal à notre légende. Props. Sans se victimiser indécemment, il parle des difficultés des gens dans sa position, soupçonnés de ne pas faire assez pour ceux restés en bas (alors que souvent ils feraient beaucoup sans s’en vanter), la tendance de les porter aux nues pour mieux les descendre après, du public à l’entourage. De l’importance de surmonter les traumatismes du passé, de ne pas se perdre, que ça soit en essayant de se plier à toute sollicitation pour être aimé ou au contraire d’oublier d’où on vient et de faire des assists.
The Cure. Le track d’après étant considéré comme un bonus track, voici le morceau supposé clôturer l’album, la conclusion. Ça commence par 4 bars sur une boucle sans drums, puis ça switch sur autre boucle sans drums pendant 12 mesures avant de switcher encore sur une troisième pendant 4 bars. Bars qui coulent et sont bouillantes comme la lave, que des joyaux, drop gems on ‘em. Puis après une petite minute et demie, il annonce le générique de fin et là, nouveau beat, pur Boom Bap avec un breakbeat qui claque. Commence alors le couplet fleuve de 2 minutes de kickage que j’estime être le verse de l’année, intestable. Nas t’explique la vie, traumatisme, excellence suprême. Lebron a déclaré avoir écouté le morceau en boucle pendant des heures, de King à King, je l’imagine s’en servir pour se motiver, s’inspirer, se dépasser. Rap d’adulte qui ne tourne pas le dos aux jeunes. Grand album.
Spicy. Pour finir, une petite friandise avec Fivio Foreign, le rookie new-yorkais qui buzz et ASAP Ferg, mon chouchou concernant les bangers (et capable de plus que ça), honteusement sous-estimé je trouve. J’avais un peu peur parce que Nas s’est déjà raté sur les bangers « à la mode » comme Summer On Smash, un des seuls moments faiblards de Life Is Good. J’espérais une grosse lourdeur drill car cette vibe à le don de me chauffer. Malheureusement pas pour ce coup-ci. Beat cheap mais addictif, couplet de sale gosse teubé mais charismatique de Fivio et dope 16 de Ferg qui s’est visiblement appliqué pour avoir des bars valables et pas seulement de l’enjaillement. Pas trop convaincu à première écoute, c’est un grower, morceau con-con qui fait du bien après tant d’orfèvrerie.
Conclusion, tu accuseras peut-être le grand nasologue d’en faire trop mais crois-le quand il te dit que cet album défonce tout. GOAT ish.
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