#Mode Ouverture

[sylvainperrierfotografi]

Mode Manuel vs Modes Semi-Automatiques

[chic-a-gigot]

La Mode nationale, no. 22, 5 juin 1897, Paris. No. 19. — Toilette de visite. No. 20. — Toilette de jeune femme. Bibliothèque nationale de France

No. 19. — Toilette de visite en taffetas changeant indéplissable, chemisette de tulle noir indéplissable sur laquelle est posée une draperie de taffetas plissée sur les épaules; dans le bas corselet drapé arrêté par un chou sur le côté; manches avec petit ballon double dans le haut; col rabattu sous une ruche. Jupe toute plissée soleil. Chapeau rond en paille de riz blanche, orné devant par un groupe de roses, le mêmes fleurs retombent derrière en cache-peigne. Derrière hautes coques de ruban mélangées à une aigrette.

No. 19. — Visiting ensemble in non-wrinkle changing taffeta, shirt in non-wrinkle black tulle on which is placed a drapery of pleated taffeta on the shoulders; in the draped corselet bottom stopped by a cabbage on the side; sleeves with small double balloon at the top; collar turned down under a ruffle. Fully pleated sun skirt. Round hat in white rice straw, decorated on the front with a group of roses, the same flowers fall behind as a comb cover. Behind tall ribbon shells mixed with an egret.

Métrage: 20 mètres taffetas changeant.

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No. 20. — Toilette de jeune femme en lainage bleu pervenche. Robe princesse à ouverture invisible. Corsage très collant, recouvert par un croisement de galon en laine et d'un ruban de satin bleu saphir noué sur un côté et retombent en un long pan; manches plate en satin bleu, recouvertes du haut par un jockey ondulé semblable au corsage, ruche autour du cou; jupe princesse, faisant suite au corsage, ouverte sur le côté sur un créneau de satin bleu saphir. Petite toque faite avec un froufroutage de tulle noir, avec chou de ruban bleu sur le côté, cachant le pied de deux plumes princesse de Galles, en aigrette.

No. 20. — Young woman's ensemble in periwinkle blue wool. Princess dress with invisible opening. Very tight bodice, covered by a crossing of wool braid and a sapphire blue satin ribbon tied on one side and falling in a long section; flat sleeves in blue satin, covered at the top by a wavy jockey similar to the bodice, ruffle around the neck; princess skirt, following the bodice, open on the side on a sapphire blue satin niche. Small hat made with a frill of black tulle, with a blue ribbon on the side, hiding the base of two Princess of Wales feathers, in an egret.

Métrage: 5 mètres 50 lainage très grande largeur.

[erinsvintageemporium]

On This Day: 23rd April, 1876

Colour fashion plate from Revue de la Mode, signed P. Deferneville.

Toilettes de Mme Barenne, rue Richepause, 9. Eventails artistiques de la Parfumerie Ninon, 31 rue du 4 Septembre. Corsets et Jupons de la Mon. De Plument, Rue Vivienne, 33. Garniture de la Mon. Hallard et Martin, 68 Boulevard Sébatopol, 68.

GRAVURE COLORIÉE

Toilette en faille et damassé d'été rose pale. Le jupon est en faille unie, garni seulement dans le bas d'un haut volant plissé. La tunique en damassé est très-longue et très-peu drapée derrière et sur le côté gauche, où elle est fendue sur une hauteur de 30 à 40 cent. environ. Un nœud de faille retient les quelques plis formés à cette place. Un effilé de soie à glands orne cette tunique. Corsage-cuirasse à très-longues basques ornées du même effilé; l'encolure en cœur se prolonge très-bas. Une petite chemisette se montre au milieu; sous le ruché de dentelle qui garnit cette ouverture, trois petits biais de faille, fixant une dentelle blanche légèrement froncée, forment une sorte de fichu qui rabat sur le corsage. Manches au coude ornées de deux dentelles: l'une remontant, l'autre retombant sur l'a-vant-bras séparées par trois petits biais de faille.

Toilette d'Opéra ou de grand diner en faille gris argent. -Traîne unie formant manteau de cour, indépendante du reste de la toilette, encadrée de deux petits galons d'argent qui remontent sur les côtés et à la couture du milieu par der-rière. Cette traîne est un peu moins longue que celle du jupon, et retombe sur le volant monté à plis creux, surmonté d'un biais qui tourne au-tour de la jupe; elle semble rattachée au devant par des boucles de rubans frangés qui forment nœud sur les côtés, de distance en distance. Les lés du devant, très-plats et très-bridés, sont coupés de quatre biais disposés en quilles doubles de chaque côté, et encadrés de dentelle blanche, point à l'aiguille, guipure de Venise Bruges, etc., etc. Corsage à pointe derrière, à basques roides par devant. Le décolleté en carré est entouré de dentelle blanche, qui se prolonge en jabot coquillé jusqu'au bas de la basque. Manches au coude, forme jabot, ornées de dentelle blanche; dans les cheveux, pouf composé de dentelle noire et d'un bouquet de plumes, duquel sort une aigrette blanche.

Modèles de Mme Barenne, 9, rue Richepance, Paris

1876-04 RLMv5 225

[rollinginthedeep-swan]

Ouverture des commandes. ON/OFF

J’ouvre à nouveau les commandes pour un court laps de temps !

Les petites règles :

un bonjour et un au revoir, les bons vieux classiques.

pas de C/C et de demandes en masse envoyées à plusieurs créateurices SVP.

une galerie avec photoshoot de bonnes qualités sera fortement apprécié !

n’hésitez pas à indiquer votre thème, code couleur, quotes fétiches, playlist ou moodboard pour m’aiguiller. Tout ce que vous avez sous la main ! Un résumé du personnage peut être aussi un bonus !

Ça me fait tout drôle de devoir le préciser mais bon, c’est dans l’air du temps : Pas d’IA. Toute demande sourcée par IA sera supprimée. (Et si vous avez un doute, dites-le moi !)

On crédite Swan ! (Ps rollinginthedeep, pas Swann ( Je sais que je suis Normande et qu’on a tendance à accentuer les N, mais promis je sais ce que j’ai fait en créant mon pseudo et je vous assure que y a bien un seul N et pas 2 😂 ) Merci **)

Le forum où vous allez utiliser vos avatars est un énorme plus, il me permet de m'assurer que je peux matcher à l'ambiance désirée.

Autre bonus : L'utilisation du mode clair ou sombre sur votre forum peut également m'aiguiller. (j'ai des petits tocs de matching de couleurs oké)

Comme toujours, assurez-vous que mon style vous convienne !

pas de demande en mp ou commentaires, uniquement en Ask !

À bientôt **

[claudehenrion]

Chers lecteurs et amis,

je crois arriver au bout des perturbations de date et de numérotation consécutifs aux quelque 6 mois que je viens de passer en enfer.

Le dernier édito impacté était celui qui devait être ''dispatché'' ce matin, Lundi 10 Mars 2025. (C'est ''Un miracle à l'ancienne en 2025 - 6 : début de conclusion, ou ouverture ?)

Par erreur, il est parti hier, Dimanche, et vous l'avez donc déjà entre les mains.

Je vous en souhaite bonne lecture et vous dis... à demain soir ou à Mardi matin, selon votre mode de messagerie.

Je vous prie d'excuser tous ces contre-temps... qui ont été, je vous l'assure, infiniment plus terribles à vivre, pour moi...

à suivre....

H-Cl.

[lounesdarbois]

Pour ce trente-cinquième épisode de l'émission La Libre Antenne sur ERFM, le camarade Blaise et la section Égalité & Réconciliation des Pays de la Loire m'ont convié à évoquer la praxis du bien vivre en ville en ce début de XXIe siècle... Merci les gars.

Sommaire et musiques:

01- Introduction 4 min 10 : Devienne - Sonate pour flûte, basson et piano 02- Le Prince et la Cité 12 min 06 : Devienne - Sonate pour flûte, basson et piano 03- Style urbain français entre 1840 et 1940 16 min 44 : Rameau - Les Fêtes de Polymnie – Ouverture 04- Paris nomadisée 20 min 42 : RAMEAU - Le Temple de la Gloire - Ouverture 05- Envers du décor et ascenseur 24 min 49 : Marais - Alcione - Deuxième Air des Matelots et Matelotes 06- Les HLM des années 1950-60 27 min 40 : Grétry - Richard Cœur de Lion – Ouverture 07- Banlieue parisienne 29 min 44 : Grétry - La caravane du Caire – Ouverture 08- La ville dortoir 31 min 19 : Philidor – Tom Jones - Ouverture 09- L’esthétique désolée 35 min 38 : Méhul - Symphonie No. 2 en D majeur - Andante 10- Exigence contre décadence 39 min 34 : Saint-Saëns - Bacchanale 11- La propriété comme bouclier 43 min 20 : Saint-George - Ernestine – Ouverture 12- Londres et les magasins provisoires 46 min 44 : Berlioz - Marche hongroise 13- Le ministère de l’Embellissement 49 min 44 : Méhul - Adrien – Ouverture 14- L’ameublement masculin 52 min 37 : Gounod - Symphonie No. 2 - Allegro agitato 15- Le mobilier sprezzatura 56 min 10 : Fauré - Pavane - Andante Molto Moderato 16- Les magasins de mobilier 58 min 56 : Gossec - Symphonie en D Majeur - Minuetto & Trio 17- Le mode d’éclairage intérieur 1 h 02 min 16 : Fauré – Sicilienne 18- La campagne française violée 1 h 04 min 45 : Ravel - Le tombeau de Couperin – Prélude 19- Le rapport de l’homme à la campagne 1 h 13 min 13 : Jaubert - Le Jour se lève 20- Henri Sellier 1 h 16 min 17 : Saint-George - L’Amant anonyme - Ouverture I. Allegro presto 21- Les smart cities 1 h 21 min 00 : Gossec - Symphonie en D Majeur – Allegro 22- Conclusion 1 h 24 06 : New Order - The Himm

[marleysmith-graphic]

Lancement du projet "REBIRTH"

Quelques semaines auparavant, je suis venue vous parler rapidement d'une idée de projet . Et je vous annonce que j'ai décidé de le lancer. 🎊 Pour rappel, la ligne directrice était : "Un écovillage situé à Chungcheong du Nord (Corée du Sud)".

Le forum est en cours 🏗️Quelques textes ont déjà été rédigés. Le forum se veut collaboratif 🤝 À son ouverture, il vous sera possible de rejoindre l'équipe administrative pour aider à la gestion et à la bonne entente. ☺️ J'essaye de bosser sur des fiches et modules qui aideront à simplifier toutes les étapes "paperasses". Le but est de jouer, vos belles et tristes histoires ✨😘 Sur ce (moi qui voulait faire court), voici le contexte du forum...

Contexte

Dans les collines verdoyantes de Chungcheong du Nord, un groupe de visionnaires a décidé de créer un écovillage durable, un havre de paix où nature et communauté se rejoignent. Ce projet, baptisé "Rebirth", a pour objectif de revitaliser la région tout en préservant son écosystème unique.

Au cœur de l'écovillage se trouve un jardin communautaire florissant, où chacun participe à la culture de fruits et légumes biologiques. Des ateliers sont régulièrement organisés pour partager des connaissances sur la permaculture et les pratiques durables. Les membres de la communauté s'engagent à réduire les déchets grâce à un système de compostage et de recyclage.

"Rebirth" aspire à devenir un modèle de vie en symbiose avec la nature, inspirant d'autres à adopter des modes de vie plus respectueux de l'environnement. En favorisant la coopération et l’entraide, cet écovillage rêve de bâtir un futur durable pour les générations à venir.

Crédit gif : Growing plants Neil Verhavert for Brikk

[mel-et-ses-histoires]

J'ai a la fois tres envie et tres pas le temps de vous parler de films et séries.

On va faire court en attendant que le metier de medecin laisse plus de temps libre ( loool)

Donc Barbie c'est tres bien, c'est intelligent, c'est joli, c'est d'autant plus intéressant que le film se veux tres frontal dans ses propos, sans ambiguïté.

John Wick 4 c'est tres bien, c'est intelligent, c'est tres tres joli, ca se voit qu'ils ont collés 2 films en 1. Le film se tappe au calme une reference a Laurence d'Arabie à son ouverture en mode "voila comment je m'evalue moi même".

Cyberpunk edgerunner c'est tres bien, c'est intelligent, c'est joli, pourquoi faut il rappeler aussi souvent que la sf ça peut etre genial ? Pourquoi ça donne envie de remplacer ses membres par des protheses bioniques et de faire l'amour a des robots ?

Rebel moon partie 1, ca se regarde tres bien, le moins Zack Snyder des films Zack Snyder, je ne comprends absolument pas pourquoi les gens comparent le film a Star wars episode 1 ( alors que si vous voulez faire des comparaisons vous auriez pu parler debcopier coller avec la licence Warhammer)

Gloutons et dragons, diffusion en cours. C'est choupichoux tout plein, ca casse pas trois pattes a un canard mais c'est innocent (le pitch "viens je suis sure que t'es pas cap de faire une serie Top chef dans donjons et dragons).

La suite j'ai oublié mais ça me reviendra.

[valerietheriaultd]

Maîtriser son équipement (réglage de l’appareil-photo)

Quels réglages devez-vous choisir? Cela dépend surtout de votre intention à la prise de vue. Voulez-vous figer le mouvement de l’oiseau ou suggérer ce mouvement? Souhaitez-vous que seul votre sujet soit net ou son environnement aussi?

Pour commencer, voici les 3 principaux réglages de l’appareil, qu’on appelle le triangle d’exposition.

L’ouverture du diaphragme (f)

f/6,3, 1/640, 2000 ISO, 600 mm

L’ouverture sert à déterminer la tranche de netteté d’un cliché. Si vous souhaitez photographier un paysage où tous les plans sont nets, choisissez une petite ouverture (comme f/16). En revanche, une grande ouverture (par exemple f/5), crée un beau flou d’arrière-plan avec un téléobjectif. Plus l’ouverture est grande, plus la tranche de netteté est mince. Vous devez donc effectuer la mise au point sur la tête de l’oiseau. Cela dit, vous devez tenir compte de la distance entre l’objectif et le sujet. Si ce dernier s’approche de l’objectif, la tranche de netteté sera plus mince : vous pourrez compenser si vous le souhaitez.

La sensibilité (ISO)

Plusieurs photographes hésitent à monter les ISO, de peur que du bruit numérique apparaisse dans la photo. Or, il vaut mieux que celle-ci soit correctement exposée à la prise de vue : une photo sous-exposée est dure à rattraper en post-traitement. En effet, le bruit devient très apparent, ce qu’on cherchait justement à éviter. Ainsi, vous avez intérêt à choisir la sensibilité ISO en dernier : commencez par sélectionner la vitesse et l’ouverture.

La vitesse d’obturation

f/7,1, 1/2000, 5000 ISO, 600 mm

Pour poser un oiseau en mouvement, vous devez choisir une vitesse élevée, qui représentera une fraction de seconde (1/1600 ou 1/2000). Elle vous permettra de figer les ailes de l’oiseau. Pour une photo plus stylistique, vous pouvez utiliser une vitesse lente (par exemple 1/30 s) afin de créer un flou artistique.

À présent, voici d’autres réglages qu’il est important de connaître.

Les modes de prises de vue

Il y a plusieurs modes dans le menu de l’appareil-photo, et leur nom diffère selon la marque de celui-ci. Pour la photo d’oiseaux, vous pouvez choisir entre un mode semi-automatique (priorité à l’ouverture ou à la vitesse) et le mode manuel.

En mode semi-auto, vous choisissez l’ouverture ou la vitesse, et l’appareil s’occupe du reste. Le mode priorité à l’ouverture est très utile lorsque des nuages passent sans cesse devant le soleil : vous n’avez pas à refaire vos réglages à chaque fois.

Si vous optez pour un mode semi-auto, vous pouvez appliquer une correction d’exposition selon les conditions d’éclairage. Imaginez que vous photographiez un oiseau dans un tapis de neige. L’appareil-photo interprète mal la scène et croit que la photo est surexposée. Ainsi, il assombrit cette neige pour obtenir un gris neutre (18%). Si vous souhaitez avoir une neige blanche, vous devez appliquer une correction d’exposition positive (+1, +2 ou +3). Pour poser un sujet très noir, c’est l’inverse.

f/6,3, 1/1000, 6400 ISO, 483 mm

Le mode manuel, quant à lui, vous offre le contrôle total des réglages. Vous pouvez vous référer à l’histogramme pour ajuster l’exposition de vos photos. Il faut beaucoup d’essais et d’erreurs pour arriver à maîtriser ce mode, mais vous serez fiers de votre réussite!

Les modes d’autofocus (AI-Servo, One-Shot ou AI-Focus)

Le mode AI-Servo (c’est l’appellation de Canon, on retrouve un équivalent chez d’autres marques) aide à photographier les oiseaux en mouvement. En effet, le focus reste sur l’oiseau malgré le fait qu’il se déplace. C’est le mode idéal pour poser un oiseau en vol.

Le mode One-Shot, comme son nom l’indique, permet de prendre une seule photo à la fois. Le mode AI-Servo permet de basculer entre le mode One-Shot et AI-Servo lorsque le sujet commence à bouger, mais cette transition n’est pas infaillible. Ainsi, il est préférable de choisir entre le mode AI-Servo et le mode One-Shot.

Les modes de mesure de la lumière (spot, évaluative, pondérée centrale)

La mesure spot sert à évaluer la lumière dans une zone précise de la photo. Elle favorise une bonne exposition du sujet (elle est particulièrement utile dans le cas d’un oiseau à contre-jour ou d’un oiseau blanc sur un fond noir). La mesure évaluative, quant à elle, fait une moyenne de l’éclairage de la photo. Pour finir, la mesure pondérée centrale se concentre sur le milieu de l’image tout en tenant compte du reste.

f/6,3, 1/800, 500 ISO, 600mm

Quel format d’enregistrement choisir?

Le fichier JPEG est une image développée directement dans l’appareil-photo (qui contient une sorte de chambre noire) après la prise de vue. Vous n’avez pas de décision à prendre dans le processus, car l’appareil s’occupe de tout. Par contre, vous avez peu de latitude pour faire des retouches à l’ordinateur. Par exemple, il est impossible de rattraper un cliché très surexposé, puisque les détails dans les blancs n’existent pas. De plus, les modifications que vous faites détruisent les pixels.

Le fichier RAW est une photo brute qui laisse davantage de place à la créativité. Il est plus volumineux que le JPEG, car il contient plus d’informations (hautes et basses lumières). Vous devez l’importer dans un logiciel de traitement comme Photoshop ou Lightroom. Vous pouvez ajuster la balance des blancs, l’exposition et la saturation sans détruire les pixels. Après avoir développé votre fichier RAW, enregistrez une copie JPEG, prête à être publiée ou imprimée.  

La balance des blancs

Vous pouvez sélectionner la balance des blancs automatique et la corriger au besoin en post-traitement. Normalement, l’appareil choisit la bonne température de couleur.

Conclusion

À partir de ces pistes, vous pouvez réaliser les photos que vous avez en tête. Découvrez le monde des oiseaux tout en laissant votre créativité s’exprimer!

[sylvainperrierfotografi]

L'Essentiel sur l'ISO en photographie

L’Essentiel sur l’ISO en photographie : Maîtriser la Lumière pour des Images Parfaites Bien comprendre l’ISO est crucial pour tout photographe désirant maîtriser l’art de capturer des images impressionnantes. Aujourd’hui, nous allons explorer ensemble ce que signifie l’ISO, son impact sur vos photos et comment les innovations technologiques actuelles transforment son utilisation. Qu’est-ce que…

[chic-a-gigot]

La Mode illustrée, no. 41, 8 octobre 1871, Paris. Toilettes de Mme Bréant-Castel. 28. r. Nve. des Pts. Champs. Collection of the Rijksmuseum, Netherlands

Jupe de faye violet clair, garnie d'un volant plissé ayant 25 centimètres de hauteur, surmonté d'une ruche bordée d'une dentelle blanche très-étroite. Cette ruche est disposée en spirale et se trouve encoure surmontée d'une ruche plissée, posée debout, ayant 4 centimètres de hauteur. Au-dessus se trouve la répétition de cette garniture, mais diminuée de moitié quant aux proportions. Tunique-pardessus en cachemire violet foncé, bordée d'une volant en faye violet clair (pareil à la teinte du jupon), surmonté d'une même ruche.

Skirt of light purple faye, trimmed with a pleated flounce 25 centimeters high, topped with a ruffle edged with very narrow white lace. This ruffle is arranged in a spiral and is also topped with a pleated ruffle, placed upright, 4 centimeters high. Above is the repetition of this trim, but reduced by half in proportions. Tunic-overcoat in dark purple cashmere, edged with a flounce in light purple faye (same color as the petticoat), topped with the same ruffle.

—

Jupe de faye gris foncé, garnie d'un volant bordé de petits carrés soutenus par l'une de leurs quatre pointes. Au-dessus du volant, biais avec mêmes carrés, et sur l'autre côté du biais ruche plissée en même faye. Grande casaque en cachemire noir, bordée de carrés en même cachemire, pareils à ceux de la jupe et posés de la même façon. Le corsage montant est garni de deux longues basques pointues garnies des mêmes carrés. Cette garniture (biais et carrés) simule sur le corsage montant une ouverture carrée, laquelle est remplie par le même cachemire noir. Manches larges, garnies comme la casaque.

Dark gray faye skirt, trimmed with a flounce edged with small squares supported by one of their four points. Above the flounce, bias with the same squares, and on the other side of the bias, pleated ruche in the same faye. Large black cashmere blouse, edged with squares in the same cashmere, similar to those on the skirt and placed in the same way. The high bodice is trimmed with two long pointed basques trimmed with the same squares. This trim (bias and squares) simulates a square opening on the high bodice, which is filled with the same black cashmere. Wide sleeves, trimmed like the blouse.

[faithfullyfadingcatalyst]

Mal des Transports: Prévenir et Gérer chez les Chats

Le mal des transports est un phénomène bien connu qui affecte non seulement les humains mais aussi nos chers compagnons à quatre pattes. Si vous êtes un propriétaire de chat, il est essentiel de comprendre comment prévenir et gérer cette condition afin d'assurer le bien-être de votre animal lors de vos trajets. Dans cet article, nous allons explorer divers aspects du mal des transports chez les chats, ainsi que des conseils pratiques pour rendre vos déplacements plus agréables.

Mal des transports: Prévenir et gérer chez les chats

Le mal des transports, ou cinétose, se manifeste par une série de symptômes désagréables tels que les vomissements, la salivation excessive et l'anxiété. Ces réactions peuvent être particulièrement fréquentes chez les chats en raison de leur nature sensible. La prévention commence dès le choix du mode de transport. Pour un trajet en voiture ou en train, il est crucial d'opter pour une cage de transport ou un sac de transport adapté.

Choix du matériel de transport Importance d'une cage ou sac adapté

Le choix d'une cage de transport solide et aérée est fondamental pour garantir le confort et la sécurité de votre chat pendant le trajet. Voici quelques éléments à considérer :

Taille adaptée : Assurez-vous que votre chat peut se tenir debout, s'asseoir et se tourner facilement dans la cage. Fixation sécurisée : La cage doit pouvoir être fixée solidement avec la ceinture de sécurité du véhicule pour éviter tout mouvement brusque. Aération adéquate : Des ouvertures pour l'aération aideront à réduire le stress thermique. Fermeture sécurisée : Vérifiez que la fermeture est suffisamment solide pour empêcher toute évasion.

En utilisant un équipement adapté, vous minimisez les risques d'inconfort pour votre animal.

Adaptation progressive

Il est également essentiel d'habituer votre chat à son espace avant le départ. Voici quelques astuces :

Laissez-le explorer sa cage ou son sac plusieurs jours avant le trajet. Mettez-y une serviette familière pour qu'il s'y sente en sécurité. Récompensez-le avec des friandises lorsqu'il entre sans hésitation.

Cette approche favorise l'acceptation et réduit l'anxiété liée au transport.

Trajets courts vs trajets longs : quelles différences ? Gestion du stress lors des trajets courts

Pour les trajets courts, il est souvent plus simple de gérer le stress lié au transport. Cependant, cela ne signifie pas qu'il faut négliger la préparation :

Évitez de nourrir votre chat juste avant le départ ; attendez au moins 3 heures après son dernier repas. Utilisez une voix douce et calme pendant le trajet pour rassurer votre animal. En revanche, pour les trajets longs

Les trajets longs, comme ceux en avion ou en train, nécessitent une attention particulière :

Pensez à prendre régulièrement des pauses si vous voyagez en voiture. Prévoyez suffisamment d'eau et éventuellement un peu de nourriture adaptée.

Il peut être judicieux d'envisager passeport pour chat - Profilscreening.fr une visite chez le vétérinaire avant un long voyage pour discuter des solutions possibles contre le mal des tra

[la-parisienne75]

Montreux, l’élégance tranquille d’un joyau lémanique

Il est des lieux où l’on s’installe par confort. D’autres où l’on passe par curiosité. Et puis il y a Montreux : une ville que l’on découvre un jour… et qui ne vous quitte plus. Ce n’est pas seulement une destination. C’est une atmosphère. Une manière de vivre, de respirer, de contempler. Une alliance rare entre douceur, beauté, culture et raffinement.

Posée délicatement sur la rive nord du lac Léman, adossée aux montagnes, baignée d’un climat d’une étonnante clémence, Montreux offre cette rare sensation d’équilibre : entre nature et ville, entre silence et effervescence, entre authenticité et ouverture au monde.

Un décor qui apaise autant qu’il inspire

À Montreux, la nature n’est pas en arrière-plan : elle est omniprésente. Elle vous enveloppe dès le matin, lorsque la lumière traverse les brumes du lac. Elle vous accompagne en journée, dans les ruelles fleuries ou sur les quais bordés de sculptures. Et elle vous émerveille à la nuit tombée, lorsque les sommets des Alpes s’habillent de rose au couchant.

La ville jouit d’un microclimat subtilement tempéré, protégé par les montagnes et réchauffé par le Léman. Grâce à cela, une flore méditerranéenne prospère ici, bien loin des clichés helvétiques : palmiers, lauriers, figuiers et bananiers cohabitent avec les pins et les érables. La promenade des quais entre Montreux et Villeneuve est une parenthèse enchantée, où chaque pas est une carte postale.

Mais cette beauté n’a rien de figé : elle est vivante, habitée, accessible. On se baigne dans le lac en été, on gravit les pentes du Mont-Pèlerin ou des Rochers-de-Naye, on part en bateau à vapeur pour rejoindre la rive française. Le paysage n’est jamais un simple décor : il fait partie du mode de vie.

Une cité culturelle au prestige mondial

Montreux est une ville profondément artistique. Depuis plus d’un siècle, elle attire les créateurs, les penseurs, les rêveurs. Ici, la beauté naturelle a toujours dialogué avec la création humaine.

Le Montreux Jazz Festival en est l’expression la plus célèbre. Créé en 1967, il a vu défiler les plus grandes légendes de la musique : Miles Davis, Ella Fitzgerald, David Bowie, Prince, Nina Simone, Aretha Franklin, Deep Purple, Stevie Wonder… Et aujourd’hui encore, chaque été, la ville devient le théâtre de rencontres musicales uniques, dans une ambiance à la fois feutrée et électrique.

Mais la culture ne s’arrête pas au jazz. Montreux vit toute l’année au rythme d’événements d’envergure : – Le Montreux Comedy Festival, référence incontournable de l’humour francophone – Des concerts classiques dans les salons de l’ancien Montreux Palace – Des expositions contemporaines, des galeries, des salons littéraires – Et un Marché de Noël enchanteur, où l’on monte en train jusqu’à la maison du Père Noël perchée dans la neige, à plus de 2 000 mètres d’altitude

Montreux inspire. Elle n’impose pas. Elle propose un art de vivre fait de culture, de rencontres et de contemplation.

Une ville habitée, vivante, où il fait bon rester

Montreux, ce n’est pas qu’un décor de passage. C’est une ville résidentielle à part entière, qui accueille des habitants venus de toute la Suisse, mais aussi de France, du Royaume-Uni, d’Italie, du Moyen-Orient ou d’Asie.

On y trouve : – Des écoles suisses et internationales de haut niveau – Des infrastructures médicales de qualité, dont des cliniques privées réputées – Un centre-ville animé mais paisible, avec ses terrasses, ses boutiques locales et ses marchés – Des quartiers résidentiels élégants, souvent en balcon sur le lac – Une offre riche en logements haut de gamme, hôtels particuliers, appartements avec vue, chalets modernes ou demeures Belle Époque

Montreux plaît aux familles, aux retraités en quête de sérénité, mais aussi aux actifs qui souhaitent vivre dans un environnement inspirant tout en restant connectés.

Des activités pour tous, en toute saison

À Montreux, chaque mois de l’année est une promesse :

Au printemps, la ville explose de couleurs. Les fleurs s’épanouissent le long du lac, les bateaux reprennent leur service, les marchés se remplissent de produits locaux. C’est la saison de la renaissance.

En été, le lac devient une mer douce. On nage, on navigue, on écoute des concerts les pieds dans l’eau. Le festival de jazz transforme les quais en scène vivante. Le climat reste tempéré, agréable, jamais écrasant.

En automne, les vignes des coteaux se teintent d’or. Le Lavaux, tout proche, offre des randonnées inoubliables au-dessus du Léman. Les vendanges rythment les villages, les caves s’ouvrent aux curieux.

En hiver, les cimes enneigées dominent le paysage. Les stations comme Les Rochers-de-Naye, Leysin ou Villars sont accessibles en moins d’une heure. On peut skier, randonner en raquettes… ou simplement admirer la neige tomber depuis un café chauffé face au lac.

Montreux, au cœur de tout… mais à l’écart du tumulte

Montreux est parfaitement connectée, sans être encombrée.

À 1h de Genève, en voiture ou en train (aéroport international)

À 30 minutes de Lausanne

À 2h30 de Milan, via le tunnel du Simplon

À 3h de Zurich, en ligne directe

Reliée par bateaux CGN à Lausanne, Évian, Genève

Gare CFF centrale et ligne panoramique MOB vers Gstaad et l’Oberland

Un train, un bateau ou une voiture suffit pour changer complètement d’ambiance. Et pourtant, ici, on n’a souvent aucune envie de partir.

Montreux en quelques repères

Langue officielle : français

Population : environ 26 000 habitants

Altitude : 375 m (ville) à 2 042 m (Rochers-de-Naye)

Domaines phares : tourisme, culture, enseignement privé, immobilier haut de gamme, services

Spécificité : forte proportion de résidents internationaux, stabilité fiscale et qualité de vie exceptionnelle

Conclusion : Montreux, une émotion qui s’installe avec le temps

Montreux ne cherche pas à séduire au premier regard. Elle vous laisse l’apprivoiser. Et c’est ce qui la rend inoubliable. Car plus on y passe de temps, plus on comprend sa subtilité. Son rythme. Son élégance. Son silence habité. Son luxe discret.

Qu’on y vienne en visite, pour s’y ressourcer, pour y investir ou pour y vivre à l’année, Montreux n’est jamais une simple étape. C’est une parenthèse qui se transforme souvent en choix de vie.

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[claudehenrion]

Notre Dame de Paris

Nous venons de palpiter un week-end comme on en vit peu, dans une vie ! Notre merveilleuse cathédrale, que nous avions eu l'impression de voir disparaître par un triste soir d'avril 2019, est née une troisième fois, des mains de 2000 artistes, talentueux et modestes, au sommet de leur art (chacun le sien, mais tous ensemble) et de la volonté de 345000 donateurs et mécènes. Le monde entier (les dons en sont la preuve) a vibré devant cette catastrophe... Mais l'espoir renaît... Au moment de la réouverture des portes, j'étais au bord des larmes...

Ne nous plaignons pas, et ne boudons pas notre plaisir : le résultat est magnifique, d'autant plus que nous avons frôlé la catastrophe irrémédiable, avec les cauchemars des fantaisies dont rêvait l'actuel président-de-notre-république-en-sursis . Mis à part quelques fautes (que les modernistes ont branché sur la perfection d'origine, tels le maître-autel-bis et le Baptistère en forme de cuvettes, formes arrondies qui insultent l'harmonie, parfaite sans eux !), il ne reste plus que l'affreuse idée des vitraux ''à la mode macron'' qui doit être tuée, avant dégâts irréversibles. Ou encore les choix musicaux du ''réveil de l'orgue'' ! (NB : me souvenant des improvisations ''sortie de messe'' de Pierre Cochereau, sur le Bourdon 32 pouces, j'en aurais pleuré : tirer ces platitudes sans relief d'un tel instrument... il faut presque le vouloir ! Il a fallu attendre, là aussi, l'improvisation finale et la messe du lendemain pour comprendre le joyau inutilisé que les 4 organistes qui se sont succédé pendant le cérémonie de ré-ouverture avaient entre les mains).

Paris, la France et le monde entier --et la catholicité, au premier chef, bien sûr,-- ont récupéré un trésor irremplaçable : un lien personnel et même intime entre chacun d'entre nous et l'Absolu. Tous ne s'en rendent pas compte et un tout petit nombre prétend avoir des arguments pour lutter contre... ce que la Loi de Gauss, dite ''Courbe normale'', prévoit, avec la possibilité de l'existence, parmi tout échantillon d'humains, de 10% d'idiots, de fadas et de cons ! Depuis une dizaine d'années, on a assez perdu de temps avec eux. Laissons-les suivre leur triste chemin, et restons avec notre glorieuse émotion : Notre Dame est de retour... la période noire va t-elle se terminer ?

Une chance unique nous est donnée : la convergence de la déconfiture (attendue, sans être espérée : ne pêchons pas par où ils fautent !) des vilaines gens qui croient que le progressisme peut les (et nous) mener ailleurs que de catastrophe en cassage de gueule, d'une part... et un retour possible, à travers cette renaissance de notre Cathédrale blessée mais sauvée, du catholicisme sous une forme dérivée : sa richesse culturelle, unique entre toutes, complémentaire à sa transcendance consubstantielle : le catholicisme, longtemps seul, puis du christianisme, a en effet été le créateur d'un raz de marée culturel qui a illuminé tous les âges et --pratiquement-- tous les pays, comme le rappelait récemment le cher Bouallem Sansal .

Notre si belle religion, offerte à qui la veut, pas seulement à ses pratiquants, ce qu'elle est seule à proposer --nous en reparlerons) a donné de jolies couleurs à la Vie, à toute vie, à travers la peinture, la sculpture, l'architecture, la littérature, puis la philosophie, toutes richesses dont elle s'est nourrie en retour, imprégnant, le plus souvent sans la moindre contrainte, nos conduites, nos manières d'être, nos visions du monde... et même les mots dont se servent ses ennemis pour chercher à lui nuire : très vite, le christianisme est sorti du cadre rigide et limitant de la seule pratique religieuse pour exploser dans une culture qui est vite devenue une ''civilisation''. Pourquoi ? Comment ?

C'est là que se trouvent les grandes questions qui ont certainement contribué à ce que ce succès indiscutable se transforme, au fil des siècles, en échec (qu'il faut souhaiter temporaire, car si ce n'est pas le cas... tout est foutu : un arbre coupé de ses racines ne peut que mourir). Où commencent (et où s'arrêtent) l'intelligence et la foi ? Où commence le religieux et où s'arrêtent la laïcité et sa fausse jumelle la tolérance devenue intolérante ? La réponse est sans doute que foi et raison, ou que intelligence et religion ne doivent --ne peuvent-- exister l'une sans l'autre et qu'il est bon et sain qu'elles s'entremêlent, se marient, se mélangent, se séparent ... et se disputent, comme le transcendant et la culture qui en naît...

Si le vrai sens --unique et non négociable-- de Noël ou du Dimanche a été perdu en chemin au profit de laideurs insultantes pour notre honneur d'Humains, et n'ont pratiquement plus de signification religieuse, ils en ont malgré tout conservé une : malgré les efforts ridicules des tenants de la mort de tout ce qu'ils trouvent irrationnel chez nous (au profit de ce que nous démontrons facilement être dix fois plus irrationnel, chez eux !), les fêtes --et les vacances qui les escortent-- ont conservé leur vrai nom originel : Noël, Pâques ou la Toussaint pour les premiers, et ''le jour du Seigneur'' (dimanche vient, de loin, de Dominicus Dies) pour le second.

Notre société est certes largement déchristianisée (et même polythéiste, à en croire Laurence Devillers, la grande spécialiste des interactions ''homme/machine), et la responsabilité de ce ''laisser filer'' aux conséquences dramatiques est à chercher dans l’appauvrissement de ce que nous avons gardé pour le transmettre. La trahison impardonnable des clercs et notre passivité à tous (profiter du moment... sans se prendre la tête, ''Carpe diem'' devenu Carpe horam) ont bradé puis détruit l'héritage commun. Sous le prétexte mensonger de l'actualiser, nous l'avons dilué jusqu'à n'en conserver que ... ce qui ne vaut même pas la peine d'être transmis. Le message était trop beau, trop ambitieux, trop à contre-courant des slogans mensongers (creux mais ''fastoches'' : il n'y a qu'à se laisser glisser !) : la mode ne serait pas, disent les propagateurs de ces absurdités mortelles, à l'élévation de l'homme, à la quête d'une dimension prophétique, et à l’exaltation du sacré''... Foutaises !

La renaissance de Notre Dame et la résonance de cette prouesse dans le monde entier démontre (s'il le fallait !) que la Foi n'est pas une simple abstraction ni un joli patrimoine à conserver dans un musée : c'est une réalité où se mêlent le sens et la croyance, le matériel et le divin, le court et le long termes, ''l'avoir été'' et ''le devoir être''. Cette idée ''sur le retour'' est une idée nouvelle infiniment plus moderne que leur faux modernisme dépassé et leur progressisme mortifère.

Cette année, les USA ont décidé de tourner la page de la médiocrité agressive et de l'erreur promue ''Institution'' et de ''revenir dans la course '' : Trump est à Notre Dame et, Elon Musk aidant, le pays repart conquérir la Lune, et puis Mars... se ressaisir, chasser les idées noires (non, je ne suis pas raciste !), reprendre les bonnes vieilles pratiques qui avaient fait des américains... ce qu'ils étaient : les meilleurs en tout ou presque. Mais personne n'a rapporté que, en parallèle, les illuminations de Time Square sont, pour la première fois depuis longtemps, exclusivement destinées à l'Histoire Sainte et à un vrai Noël, autour d'un enfant nouveau né, le tout surmonté (dominé ?) par une grand croix lumineuse, avec les vrais chants de Noël dont la France (la pauvre !) a égaré jusqu'aux partitions. On se met à espérer que, folie pour folie, le soleil va se mette à se lever à l'ouest ! Notre Dame, priez pour nous...

H-Cl.

[a-geneve]

La Suisse romande : plus qu’un lieu de vie, un véritable art de vivre

Imaginez une région où les villes sont organisées, les paysages époustouflants, les services fluides, et la population respectueuse. Une région où l’on peut commencer sa journée au bord d’un lac, la poursuivre dans un bureau vitré en centre-ville, et la terminer dans un chalet d’altitude, devant une fondue partagée entre amis. Bienvenue en Suisse romande.

Francophone, mais profondément helvétique, la Suisse romande est un monde à part. Une région qui allie les exigences de la Suisse allemande à la douceur du mode de vie latin. C’est cet équilibre rare qui séduit, et qui transforme une installation temporaire en enracinement durable.

Entre lac et montagne, un décor naturel vivant et accessible

Dans beaucoup d’endroits, la nature est un luxe. En Suisse romande, elle est un droit. Le Léman, majestueux, rythme la vie à Genève, Lausanne, Vevey ou Montreux. Le lac de Neuchâtel offre des horizons calmes et lumineux. Et les sommets valaisans dessinent la ligne d’horizon avec fierté.

Mais ici, la nature ne se contente pas d’être belle. Elle est proche, entretenue, respectée, mise en valeur. On y accède sans contrainte, pour marcher, nager, skier, pique-niquer ou simplement respirer. Il n’est pas rare que les habitants aillent randonner avant le travail, ou skier en soirée après une journée de bureau. C’est cette proximité entre vie urbaine et nature qui forge une qualité de vie rare en Europe.

Des villes vivantes, à taille humaine et à échelle humaine

Genève, la plus internationale, marie architecture haussmannienne et sièges d’organisations mondiales. Lausanne, ville d’art, de savoir et de sport, accueille une jeunesse créative et cosmopolite. Fribourg, bilingue, offre un lien précieux entre la Suisse romande et alémanique. Neuchâtel, posée au bord de l’eau, respire l’équilibre. Sion, cœur battant du Valais, unit terroir, montagne et innovation.

Le point commun de toutes ces villes ? Leur accessibilité. Pas de mégalopoles tentaculaires ici. On peut traverser une ville en quelques minutes en tram ou à vélo. On vit dans des quartiers résidentiels verdoyants, à deux pas des centres économiques. Les transports publics sont exemplaires, les infrastructures modernes, la sécurité omniprésente. Le stress est moins visible. L’humain y trouve sa place.

Une culture du quotidien faite de respect, de confiance et d'efficacité

Vivre en Suisse romande, ce n’est pas simplement habiter un bel endroit. C’est intégrer un système où les choses fonctionnent. Les horaires sont respectés. Les administrations sont efficaces. Les écoles sont exigeantes mais bienveillantes. Les médecins écoutent, les trains arrivent à l’heure, les impôts sont compréhensibles. On n’est pas dans le rêve suisse idéalisé, mais dans un quotidien d’exigence silencieuse, au service de la stabilité et de la sérénité.

Tout repose sur une base de confiance mutuelle : on respecte les files d’attente, on trie ses déchets, on parle doucement dans les transports publics. Cette culture ne bride pas la liberté individuelle, elle la rend possible.

Un espace européen à part, profondément ouvert et pourtant cohérent

La Suisse romande est un carrefour : entre l’Europe du Nord et du Sud, entre tradition et innovation, entre localisme et mondialisation. Ici, on parle français, mais on comprend parfaitement l’anglais et l’allemand. Les enfants apprennent deux à trois langues dès l’école primaire. Les universités attirent des chercheurs du monde entier. Les entreprises locales travaillent avec les marchés européens, américains, asiatiques.

Et malgré cette ouverture, la région conserve un ancrage fort : dans ses traditions, ses fêtes populaires, ses produits du terroir, son lien à la terre et aux saisons. On peut vivre à Genève et faire son marché à Nyon, habiter à Fribourg et déjeuner dans une fromagerie d’alpage, travailler dans une start-up lausannoise tout en vivant dans un village à 15 minutes de train.

Une qualité de vie qui a un prix, mais un prix assumé

Oui, le coût de la vie est élevé : les loyers, les assurances maladie, la nourriture. Mais tout est à la hauteur de ce que l’on reçoit en échange. Un appartement est bien isolé, bien situé, bien entretenu. Les produits en supermarché sont contrôlés, traçables, fiables. Les soins médicaux sont rapides, modernes, personnalisés. Les écoles publiques offrent des parcours exigeants, équilibrés, qui préparent vraiment à la vie professionnelle.

Et les salaires suivent : la Suisse romande fait partie des régions au pouvoir d’achat les plus élevés d’Europe, avec un chômage très bas et un tissu économique dense.

Un territoire pour tous les âges et toutes les ambitions

Que l’on soit étudiant, jeune parent, entrepreneur, artiste, retraité ou expatrié, la Suisse romande offre des possibilités réelles :

Pour les familles : des crèches bien encadrées, des écoles bilingues, des infrastructures sportives sécurisées, une vraie culture de l’enfance.

Pour les jeunes actifs : un marché du travail dynamique, une qualité de vie en dehors du travail, une mobilité régionale facilitée.

Pour les entrepreneurs : une fiscalité claire, un soutien à l’innovation, un réseau dense de PME et de start-ups.

Pour les retraités : une sécurité omniprésente, une offre de soins haut de gamme, une vie culturelle riche et douce.

Conclusion : une vie pensée, stable et profondément humaine

La Suisse romande n’est pas un eldorado tapageur. Elle ne promet pas l’extraordinaire. Elle offre mieux : un quotidien fiable, structuré, stimulant et serein. Ici, on vit bien, pas pour impressionner, mais pour s’épanouir. On avance, avec méthode. On profite, avec discrétion. On construit une vie, avec des repères stables et une vision à long terme.

Pour celles et ceux qui cherchent plus qu’un simple lieu de résidence, mais un cadre de vie cohérent, enrichissant et porteur de sens, la Suisse romande n’est pas seulement une destination : c’est une évidence.