#Parc-Extension

[monsieurschnock]

Black Summer ‘91 / Fonderie Darling (CA)

20 JUIN 2024 – 18 AOÛT 2024 Black Summer ‘91 est un projet qui relate un pan important et méconnu de l’histoire montréalaise, celui des soulèvements populaires ayant eu lieu simultanément dans 5 quartiers à l’été 1991, suite à des violences systémiques envers les communautés noires.1 Par le biais de l’art actuel et de l’histoire locale, l’activiste communautaire et créateur des tours guidés…

[eugenieedanglars]

i need. to organize my closet 🫨

[ekman]

Ce dont je suis sûr, c’est que les gens qui pensent “à l’endroit” ont encore la faiblesse de croire à un continuum de la société. L’absence d’imagination, ou la peur de l’avenir, ou la crainte d’être traité de complotiste, ou encore celle d’être taxé de défaitisme, les empêche d’assumer la seule issue possible de leur raisonnement : la France, comme d’autres pays européens, n’a quasiment aucune chance de se redresser par les voies normales et très constitutionnelles du vote, fut-il référendaire.

“Alors quoi ? Comment vois-tu la suite ?”, me rétorque-t-on avec une pointe d’agressivité trahissant un malaise ténu (et en me prêtant d’étonnantes extensions médiumniques). Que pourrais-je entrevoir ? Pas grand chose, à vrai dire. La palette des possibles est tellement vaste, que fixer un choix est une manœuvre délibérée, fictionnelle, romanesque.

Il faut se tenir à ce que l’on sait, et non à ce que l’on suppute.

Nous savons que la crise de l’État approche son paroxysme : institutions, dettes, services publics, sécurité... cet écheveau a pris feu et les Français souchiens font l’expérience quotidienne d’injustices devenues inévitables. Voilà qu’ils comprennent enfin que les ennuis pleuvent sur eux parce qu’ils sont ce qu’ils sont : plus ou moins blancs, réputés solvables, respectueux par principe des lois communes, plutôt obéissants. Cet assemblage positif est devenu leur pire handicap existentiel et les tourments surgissent de partout : police, justice, fisc, administration... Ces composantes de la puissance publique ne sont plus des représentations de la puissance collective, mais l’émanation infectieuse d’un mal public global, la bave acide d'une créature obèse et jamais repue.

Nous savons également le fléau dramatique que représente cette stratégie d’État qui a consisté – toute coloration politique confondue – à initier, puis à intensifier, une politique démente d’immigration de masse visant à remplacer la population française historique. La venue de millions d’individus issus de cultures et de religions lointaines, étrangers et hostiles à notre civilisation (sentiment aggravé par notre décadence et la faiblesse endémique qui en découle), signifie bel et bien la disparition programmée du peuple autochtone par les moyens de la nocence démographique, du chaos organisé et de la violence tous azimuts.

Nous savons enfin qu’aucun parti politique présent sur l’échiquier n’a l’envie, la mission ou les moyens de réformer en profondeur l’État afin de pouvoir à nouveau gouverner. 

Car ce préalable est indispensable : karchériser l’État non comme des nihilistes vidés d’eux-mêmes, mais bien pour le nettoyer de fond en comble, le “réinitialiser”, lui qui fut assez corrompu pour tenter d’installer le “great reset”. Neutraliser la haute fonction publique, expurger la magistrature, réformer le régime du fonctionnariat, bref : remettre l’État à sa place, à savoir utiliser le régalien pour assurer le bien commun et se tenir au service des forces réelles du pays ; on pense aux paysans, aux artisans, aux entrepreneurs, aux chefs d’entreprise qui renouent chaque jour les mailles d'un tissu économique vif et ambitieux. 

On aura également compris, à l’évidence, que l’abandon de l’UE est une urgence absolue. Mieux encore, elle doit s’accompagner, elle aussi, d’une dénonciation virulente des pratiques de corruption et de coercition mises en œuvre par cette bureaucratie tentaculaire, outil infernal conçu par et pour une caste de ploutocrates complètement cintrés.

Par quels moyens tout cela se fera-t-il ? Je l’ignore. La seule chose que je sais et que je puis dire, c’est que celui qui veut sauver son pays doit avoir les idées claires et s’armer d’une détermination sans faille. Quand l’heure des décisions difficiles et des réformes douloureuses sera venu, il faudra laisser de côté la naïveté, les bons sentiments, toute cette mièvrerie larmoyante qui retient le force et dissipe l’énergie. Plus rien ne pourra se faire avec des menaces ou des promesses. Soyez certains que les gens d’en face – qui qu’ils soient et ils sont tous ennemis de la France – n’auront aucune pitié pour vous. Ils ne vous épargneront rien.  

J.-M. M.

[krjpalmer]

Recreational Computing May-June 1980

The "five new personal computers" included along with an extensive look at computer music in this issue were the Mattel Intellivision (a "Keyboard Component" was promised), Sharp PC-1210 and PC-1211 (which looked "like an overgrown credit-card calculator"), Sinclair ZX80, Hewlett-Packard HP-85, and PERQ (which was "inspired by the Xerox PARC Alto", but would "run about $32,000" for a "fullblown system"). Dennis Allison's editorial contemplated the "letters lamenting we don't publish more software for the X machine" and wondered "if there will continue to be a market for generalist magazines like Recreational Computing. I certainly hope so."

[yesterdayiwrote]

The moment Oscar decided he wanted to be world champion for Mclaren, he needed to throw away the privacy he and his girlfriend had. Of course ZB and MBS are paving the way for the champion it couple, what do you expect? It’s a show, all of it, and he kinda has to pay his dues by showing off his girlfriend. Unfortunately, drivers in a relationship are less prone to having their own public persona, which means that straight out of the car they are defined by that relationship they’re in, and Oscar isn’t the only one suffering from it.

And honestly, PIA is a very boring driver for me, I don’t match at all with his personality and I don’t particularly enjoy his interviews. He doesn’t seem as popular as Lando is, which is why they want him to show his girlfriend off in front of the cameras

The thing is, you say this like it was an inevitability that he'd have to do this and its absolutely not. Infact there's very little precedent for drivers in WDC battles doing this, it's not an existing tradition, so it's someone forcing a change, or bending the rules to make it happen and its unnecessary.

Sure, if Oscar is in the WDC battle then there will by extension be more attention on Lily, but if she wants to stay private and low key, she's shouldn't be under any pressure to do the opposite. I've never seen any drivers' partner allowed in to Parc Ferme before to celebrate a win. I hope they don't intend to make a habit of it because its awkward and unnecessary.

I don't really agree with you that drivers are defined by their relationships. I think there's a small community of WAG obsessives who want that to be the case, but I think it's reductive for both people involved. I know for me, their relationship might be something I consider, but for drivers I like, I'm most interested in their personalities out of the car. Their relationships are often the least interesting part about them, and I have no interest in F1 trying to make it a defining feature of their existence because its not.

I think Oscar is more than popular enough in his own right...?

[briselegeredansletemps]

Le Jardin Suspendu des Êtres Tendres

Il existe un lieu, hors du temps et des jugements, où l’on pénètre nu — nu de tout rôle, de tout masque, de toute honte.

C'est un jardin suspendu dans l'ombre tiède, tissé de racines aériennes, de branches lactées, d’épanchements de brumes lourdes.

Dans ce jardin, les êtres sont inachevés : des torses sans bras, des cuisses ouvertes sur des fleurs, des visages interrompus par des cils d’algues.

Chaque être est tendu, vibrant, offert.

Chaque membre est en extension. attente de rencontre.

Les formes de ce jardin s’effleurent sans jamais se posséder.

Elles se pénètrent parfois —

d'une pénétration lente, silencieuse, douce comme une marée invisible. Une racine s’enlace à une veine nue. Un bourgeon s'ouvre contre une peau tremblante.

Un regard fendu s'écoule dans une fente palpitante d'un autre.

Et personne ne détourne le regard.

Parce qu'ici, l’inacceptable est devenu respiration.

Parce qu'ici, être nu, être bandant, être offert —

être homme dans une main de femme, être femme sous un regard d’homme —

n'est pas obscène.

C'est sacré.

[tartquez]

anyway extension of major character death fic …

marc and luca creating their own little support system … intimate conversations no one is privy to and a friendship that no one seems to really understand … both of them getting crap for the friendship — luca escaping relatively unscathed from the public backlash because he’s “allowed” to mourn however he likes meanwhile marc is the “manipulator” and the one “trying to profit off a dead man”…. one night marc, on the cusp of securing his tenth world championship, confides in luca that he was thinking about dedicating it to vale…. knows he’ll get so much shit from the general public but doesn’t care — it was never about them… he’s used to the furore anyway… he’s not sure if he’ll go through with it, brings it up all non-committal, but luca is touched…. and he’s one of first people to congratulate marc when he secures the championship, enormous hug in parc ferme, both of them crying

[allthecanadianpolitics]

Braving the rain and waving banners, protesters gathered on Saturday afternoon in front of Parc Metro station in the Montreal neighbourhood of Parc-Extension to protest the Quebec government's housing bill known as Bill 31. Amy Darwish, coordinator of the Comité d'action de Parc-Extension (CAPE), was one of the protesters. "This demonstration is happening really at a pivotal point," said Darwish, who wants to see the Quebec government change course with Bill 31, which allows landlords to reject any request for a lease transfer without specifying why — and then cancel the lease.  "It's one of the few ways to keep rents affordable, to keep landlords from drastically increasing the rent between two tenants. It's also a way that tenants can support each other … in the midst of what's become an unprecedented housing crisis," said Darwish.

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Tagging: @politicsofcanada

[silverslipstream]

OC kiss day 4 - A Gesture of Affection

Sorry about missing day 3 - unfortunately I was busy and not feeling too well, so I didn't get time to write. Feeling a little better and mercifully had a day off today though, so here's day 4! Prompt: Kissing an inanimate object. Pairing: Devon Holtzman/Arrignon AF31 Formula 1 car (lol) Summary: He was the world champion nobody expected, for the team nobody had counted on. After his 2009 title victory, first-time World Champion Devon Holtzman shows a unique way of appreciating the machinery that got him there - and gives rise to one's of the sport's most iconic images. Word count: 553

A Gesture of Appreciation

Devon parks the car behind the second-place marker in parc fermé. The noise is enormous; there’s 180,000 fans here at Interlagos, all screaming their throats out, all on their feet, chanting. Wilson may have won the race, but Devon’s second-place finish has ripped the rug from under his rival’s feet at the last gasp. Three points ahead, seventy-four points to seventy-one, accounting for the Esprits’ disqualification. He’d known it before he even crossed the line, had run the maths over and over in his head lap after lap, but now there was no taking it away; Devon Holtzman was, is and always will be a Formula One world champion.

He levers himself out of the cockpit, still in a post-race stupor. Lactic acid thrums in his shoulders and spine. Cameras flash in his peripheral vision: he turns to face them, grinning, spreading his arms wide to the gunmetal Sao Paulo sky in triumph. A shape bursts through the perimeter of the crowd—his race engineer, Pierre—and holds him tight, hands pressing firmly against the back of his race suit.

“I knew you could fucking do it!” he bellows into the side of Devon’s helmet. “Top of the world, top of the world! Bet you didn’t think you’d be saying that at the start of the year, eh?”

Devon slaps him on the back, eyes bright through his visor, before fumbling for his helmet’s strap release. Unbuckling his helmet feels like surfacing from the bottom of a swimming pool: the cacophony of sounds intensify, and the flecks of detritus at the corners of his vision are gone. Spinning around, he makes a show of waving and grinning to the crowd. He knows he must look like a real prick right now, but he’s the drivers’ world champion, for fuck’s sake—he’s earned the right.

Lastly, he turns to the car that made this all possible. The AF31 is a pretty car, he’s always thought, with its stormy blue livery and citrus-yellow contour lines draped around it, but now—dirt-flecked and sleek on the tarmac—it’s more beautiful than he ever could’ve imagined. He takes a few faltering steps towards it, kneels in front of the carbon-fibre nosecone. It’s sponsorless, devoid of almost any decal save for the number 12 in thick, bold yellow numbers. He trails a hand over the front wing. Somehow, despite Arrignon’s shoestring budget, the last-minute contract extension, the way the team had prioritised Andrea all season—they were the ones sitting here, the world titles burnished forever with their names. They’d be in the history books, no doubt about it.

Seized by some ridiculous impulse, he bends down to the tip of the car’s nose and kisses it. The carbon-fibre’s warm and slightly dusty under his lips, and the car tastes faintly of rainwater. Devon stands quickly, wipes his lips. Part of him itches to salute the car, some kind of sentimental fanfare for the year they’d been through together, but he decides against it. The press are already having a field day as it is.

He catches Wilson staring at him as he walks away and rolls his eyes at his defeated rival. He's the World Champion now. His eccentricities were no longer weird—they would be on the front of magazines, slapped on merchandise, factored into stock market prices.

[aurevoirmonty]

« La liberté d’expression n’est pas “menacée”, elle est morte. L’une des raisons majeures est que l’arsenal pénal n’a cessé d’augmenter la zone de flou. Les lois actuelles, parce qu’elles sont des lois-caoutchouc, auxquelles on peut donner une interprétation toujours plus extensive, permettent d’interdire tout ce que l’on veut. […]

Le gouvernement australien a récemment proposé l’adoption d’une loi sur la “désinformation”, qui prévoit l’interdiction d’une information sans considération de son “caractère factuel ou non”, c’est-à-dire sans considération de sa valeur de vérité, au seul motif qu’elle pourrait être perçue, de façon purement subjective, comme “causant un préjudice” à une catégorie donnée. Sacralisation de la susceptibilité. […]

Il faut relire, dans Alice au pays des merveiles, le dialogue entre Alice et Humpty Dumpty. “Quand j’utilise un mot, dit Humpty Dumpty, il signifie exactement ce que j’ai choisi de signifier, ni plus ni moins.” “La question est de savoir, dit Alice, si l’on peut donner aux mots autant de sens différents.” “La question est, dit Humpty Dumpty, de savoir qui est le maître, voilà tout.” »

Alain de Benoist, « Le cliquet totalitaire », éditorial du dernier numéro de la Revue éléments.

[batsplat]

I know Marc probably doesn’t have as many fun or interesting races like Vale does because he kinda just sometimes fucked off at the front, but do you have any favourite Marc races that aren’t necessarily race recs based on pure racing and battles but are fun based on something that has gone on during the race weekend. (Like one of my favourite Marc races is Misano 2019 purely because of how crazy he went in Parc ferme after he won.

(Also Marc didn’t really do celebrations regularly or as in-depth as Vales so I couldn’t ask for favourites list for that but do you have an favourite title celebrations that Marc did?)

oh this is a tricky one - first off, I do think marc has a very solid line up of fun races! maybe not quite as extensive as valentino's, but also that's partly a function of how particular racing eras played out and just how long valentino was at the sharp end of the sport. also, marc is proportionately involved in more fun races where he ends up losing than valentino, but like. that doesn't mean it's not still a fun race!! he's involved in like... seven proper excellent races in 2019, even if he comes second in four of them. idk he's always very 'well I learn most from my defeats!!!!' which might partly be #cope but it's not no longer a good marc race just because he comes off second best. assen 2015 is one of my favourite marc races in the same way that sachsenring 2003 is one of my favourite valentino races, just how it is sometimes

on the favourite title celebrations, just to quickly cover that one - my favourite was the pool table one mainly because I feel like that's. quite a gutsy celebration to do. remember when fabio repeatedly fucked up taking a whack at a golf ball? and that shouldn't have been THAT hard... like you're kinda under pressure!! the pool table thing is not a HARD shot but it's a theoretically-fuck-up-able shot, and if it's your title celebration everyone will remember you fucking it up... so I kinda respect that. I googled it to maybe pull up a clip and I immediately got hit by this headline from our friends at the daily star

my god why does everybody have to be so bloody miserable about this stuff. let guys be cringe 2k19

anyway have a photo instead ig

lovely stuff. again I mostly just like it because of the 'having to make the actual shot' business, idt there was any particular meaning beyond it being his eighth title? which is fine. I thought it was nice when I watched it in any case

coming back to races with other stuff happening that race weekend... this is the kind of thing where I might have to come up with better examples because it's kinda a tricky one, I'm sure there ARE quite a few fun ones but. yeah. I'll properly go through my notes at some point. for now, my pick is catalunya 2019. as we've once again established this season, marc is perfectly capable of being fast at that track but it's certainly not... his favourite. and he was kinda weirdly off his game all weekend... unsettled, uncharacteristically tetchy, not entirely clear why. this was round seven of the title and despite how utterly dominant the season eventually became, marc's cota crash had injected a faux sense of competitiveness into proceedings. as stated above, not really a track where marc had particularly thrived, whereas ducatis had won there the two previous years - so it was very plausible that dovi would be closing the gap. beyond his actual tone in the media, he deployed his classic tell of feeling a bit uneasy and decided to stalk certain riders around the track. god knows why but apparently marc's way of coping with stress that year was just latching onto valentino's rear tyre... you mention misano, which of course comes right after two back to back last lap defeats - the drama comes in qualifying, but that's not even the first session that weekend where marc was glued to valentino. we all work through things in different ways, I suppose. in catalunya, valentino shrugs it off and basically goes 'well it's annoying but smart', but marc still is pretty irritable in press at the suggestion he's been doing a lot of stalking of his competitors that weekend. he also has a run-in with jorge during fp3, basically the first bit of minor drama they'd had as teammates - where marc was "so angry" at jorge for coasting on the racing line

now, I'm gonna be honest. at the time, all of this set off something in my brain... let's call it the argentina instinct. argentina 2018 had quite a similar feel where marc was like... not completely settled that weekend, the vibes were off, just something in the air that in retrospect helped set the stage for the entire fiasco. so I'll say it: given marc's catalunya record, given the events of that weekend, given that marc's most established rivals in valentino, dovi and vinales had all qualified on the second row... I sat down for that race with expectations. I fully thought we might be about to witness some generational levels of headloss from marc. if my affinity for making dumb rankings was ever in doubt, I quite literally had a list of what I thought would be the funniest possible outcomes for that race in my notes. it was genuinely the race I was the most hype for all year

look. having had half a decade to get over it, with the benefit of hindsight I can admit that this probably was one of the funniest ways that particular race could've unfolded. like, okay, you got me - I did not expect jorge, who had been at the fuck end of nowhere all year and had qualified in tenth, to get such an excellent start that he suddenly shot himself into the front running group. I was thrilled to see the initial close racing featuring marc and pretty much all of his established rivals riding in a pack. I was considerably less thrilled when marc by some INSANE stroke of luck overtook for the lead at essentially the same corner when jorge attempted an overtake of his own and managed to take out like. literally everyone. not only did this make the whole race basically a walkover - it meant that marc finished the weekend pulling 25 points clear of the blokes who had finished second, third and fourth the year before. at one of his weakest tracks on the calendar. like, it was so obviously over. the biggest highlight is when they show all three of valentino, dovi and vinales sitting in their boxes, whose expressions in that moment really spoke to something within me

so yeah, I think that one fits the brief. like the race in isolation is already pretty funny, but it's the entire weekend of build up that really makes it. you go into a race expecting bloodshed and instead it's just some guy playing bowling. and I still think I might have ended up being right, if the race had been allowed to normally unfold! sure, marc had just taken the lead, but it's really not a track where he generally clears off. especially not with dovi sitting right on his rear tyre. and marc was so clearly relieved after the race... took a moment to thank his whole honda team for the help they'd provided him, which was very nice of him. what are teammates for, right

[e642]

La maître de stage m'a rappelée car je l'ai relancée. Sinon elle aurait probablement oublié. Je savais que c'était non. On oublie pas de prévenir les gens quand c'est positif. Elle m'a donc appelée ce matin, et elle ne m'a pas dit frontalement non, en fait, elle m'a dit "tu serais mieux avec une neuropsy, au moins tu verrais peu de patients et puis tu as une licence de biologie ". Le versant académique pourquoi pas, en effet, un stage en neuropsychologie j'y vois aucun inconvénient, c'est le côté, encore une fois, de se cacher du public parce qu'on est pas comme les autres. Je l'ai interrompue pour lui dire que ce serait plus poli de me dire non explicitement, alors elle l'a dit, puis j'ai commencé par "c'est dommage" et elle m'a coupée pour me dire "c'est comme ça plutôt". C'est vraiment marrant cette phrase c'est comme ça, on l'a dit très régulièrement pour à peu près tout et n'importe quoi mais elle ne veut jamais rien dire pourtant. Il n'y a pas un monde où c'est comme ça ça a du sens. On le dit toujours quand on est à court, peut-être quand on sait qu'on est en tort, qu'il n'y a pas grand chose à faire, que c'est condamné, qu'on ne s'investira pas plus dans la quête d'une réponse stable et sûre. C'est l'inexorable point de non retour, celle de l'autre qui ne sait pas plus ou qui ne veut pas savoir plus. Mais moi j'aurais voulu lui dire que c'est dommage de condamner quelqu'un de cette manière surtout dans une telle profession, que c'est dommage de réduire quelqu'un à une pathologie passée qui plus est, que c'est triste d'avoir si peu d'espoir en les autres et par extension pour soi, que c'est dangereux de travailler avec des enfants malades quand on pense que tout est joué d'avance, que c'est dommage d'avoir un esprit si fermé lorsqu'on a le devoir me l'ouvrir, que c'est dommage de consciemment anéantir les efforts de quelqu'un et remettre en question sa résilience, son parcours de soin et sa légitimité à aller mieux.

Ça m'a rendue triste et en colère. Je savais que ce serait non mais j'ai gardé une sorte de lumière, celle que j'aurais aimé qu'elle ait, qui lui fasse se repositionner sur des avis bien trop tranchés et tranchants. J'aime pas me sentir mal d'être moi même, regretter des choses irréversibles, irratrapables et quelque part nécessaires. Je n'aime pas et pourtant c'est ce que j'ai ressenti quand on a raccroché. Une sorte de fatalité. L'impression qu'on a mis un coup de scalpel dans mes cicatrices histoire d'être sûre qu'elles ne se refermeront jamais

[ladyoftheharbour]

"villeray st-michel parc-extension" bothers me as a name for a borough bc st-michel is further east than villeray. it seems wrong not to listen them in either east-west or west-east order. so it should be either "parc-extension villeray st-michel" or "st-michel villeray parc-extension"

[empiredesimparte]

PRESS ARTICLE - URGENT: New Chief of Staff and dissolution of the Legislative Body by His Majesty!

The Emperor's new private military staff, Admiral Florent Quincy, 55, was spotted at the Tuileries Palace. He advises His Majesty on French and international military affairs, even the most sensitive ones. Which makes him an important adviser for the country's future policy.

Admiral Florent Quincy met the Emperor for the first time at the Tuileries Palace in Paris. He was guided by Jean Schulmeister, Napoleon IV's former chief of staff.

Florent Quincy's arrival in the corridors of power is attracting attention for a number of reasons, not least because he is one of the Simpartist party's biggest contributors and has extensive military experience aboard the aircraft carrier Le Normandie.

A few days earlier, His Majesty the Emperor Napoléon V dissolved Parliament. This is a rare political act, which in the republican tradition is normally used to resolve serious crises and is often judged with suspicion. It is wise to assume that the Emperor wished to give his Prime Minister Charlemagne de Maupas new political room for manoeuvre by increasing the number of Imperial Party seats in Parliament.

State of the Legislative Body under the First Government of Charlemagne de Maupas (end of the reign of Napoléon IV)

The opposition party (Third Party) had 150 seats compared with 200 for the Emperor.

Before the dissolution, His Majesty had only a very small majority, which allowed the opposition parties to systematically block the measures desired by the government.

State of the Legislative Body under the Second Government of Charlemagne de Maupas (Napoléon V)

Dissolution was a risky but successful gamble for the Emperor, as His Majesty's party won 83 seats in the early elections. This majority will strengthen the powers of the second government of Charlemagne de Maupas and the Simpartist party for many years to come.

Dissolution is permitted under the French Constitution in the event of "extended powers given to the Emperor in times of crisis". These powers were conferred on the Emperor after the death of His Majesty, the late Emperor Napoléon IV, in a terrorist attack.

At the beginning of his reign, Emperor Napoléon V asked the French Parliament to grant him extensive powers. Some opponents of power deplored the end of democracy, and the dissolution of Parliament is proof of this today.

It is clear that through this very serious political gesture, His Majesty is showing all his power, since he enjoys great popularity, but also that he is placing all his trust in his Prime Minister, Charlemagne de Maupas.

⚜ Traduction française

ARTICLE - URGENT : Dissolution du Corps Législatif par Sa Majesté !

Au palais des Tuileries a été aperçu le nouvel état major des armées particulier de l'Empereur, l'amiral Florent Quincy, 55 ans. Ce dernier conseille Sa Majesté pour les affaires militaires françaises et internationales, même les plus délicates. Ce qui en fait un conseiller important pour la future politique du pays.

L'amiral Florent Quincy rencontre l'Empereur pour la première fois au palais des Tuileries à Paris. Il est guidé par l'ancien état-major de Napoléon IV, Jean Schulmeister.

L'arrivée de Florent Quincy aux loges du pouvoir attire l'attention pour de multiples raisons, principalement parce qu'il est l'un des plus grands collaborateurs du parti Simpartiste et a une grande expérience militaire à bord du porte-avions Le Normandie.

Quelques jours plus tôt, Sa Majesté l'Empereur Napoléon V a dissous le Parlement. C'est un acte politique rare, qui dans la tradition républicaine, est normalement utilisée pour résoudre des crises graves et qui est souvent jugée avec suspicion. Il est sage de penser que l'Empereur a souhaité donner à son Premier Ministre Charlemagne une nouvelle marge de manoeuvre politique en renforçant le nombre de sièges du Parti impérial au Parlement.

Etat du Corps Législatif sous le Premier Gouvernement de Charlemagne de Maupas

Avant la dissolution, Sa Majesté ne disposait que d'une très faible majorité qui permettait aux partis de l'opposition de bloquer systématiquement les mesures souhaitées par le gouvernement.

La dissolution était un pari risqué mais réussi pour l'Empereur, puisque le parti de Sa Majesté a gagné grâce aux élections anticipées 83 sièges. Cette majorité va permettre de renforcer les pouvoirs du second gouvernement de Charlemagne de Maupas et du parti Simpartiste pour de longues années.

L'Empereur Napoléon V au début de son règne demande au Parlement français de lui conférer les pouvoirs étendus.

La dissolution est permise par la Constitution française en cas de "pouvoirs élargis donnés à l'Empereur en temps de crise". Ces pouvoirs ont été conférés à l'Empereur après la mort de feu Sa Majesté, l'Empereur Napoléon IV dans un attentat. Il est évident qu'à travers ce geste politique d'une grande gravité, Sa Majesté montre toute sa puissance puisqu'il jouit d'une grande popularité, mais aussi qu'il place toute sa confiance en son Premier Ministre, Charlemagne de Maupas.

[reperesptiku]

Des objets sculptés pour un usage moderne et sans contrainte

Dans un monde où le confort personnel devient un pilier central de nos habitudes, certains objets changent notre rapport au plaisir. Loin des produits trop codés, excessivement techniques ou visuellement tapageurs, une nouvelle génération de créations se développe dans un esprit de subtilité. C’est dans ce contexte que PTIKU s’impose comme une référence. Sa ligne de demi-sculptures réalistes, pensées pour accompagner les moments d’exploration sensorielle, repense l’objet non pas comme une simple extension fonctionnelle, mais comme un geste esthétique.

Ce positionnement découle d’une analyse fine des attentes contemporaines : plus de légèreté, plus de finesse dans l’approche, moins d’injonctions visuelles ou sonores. Les formats proposés par PTIKU s’adaptent aux réalités actuelles : vie en colocation, espaces réduits, exigences de discrétion. Chaque élément est conçu avec attention : la matière utilisée reproduit au plus proche la température corporelle, le toucher, la résistance douce qui évoque une rencontre authentique avec la peau.

Ce choix du compact n’est pas un compromis, mais une optimisation. Un objet plus petit, mieux pensé, peut offrir une richesse d’expériences largement supérieure à des formats plus encombrants ou démonstratifs. La compacité permet aussi une liberté d’usage : transport facile, rangement discret, intégration naturelle dans une routine intime ou apaisante. En écartant tout élément superflu, PTIKU concentre les efforts sur l’essentiel : un rendu sensoriel de haute précision, une stimulation ciblée, et un design capable de s’adapter aux corps sans jamais les contraindre.

Cette démarche rencontre un public en quête de produits compatibles avec une esthétique épurée et une consommation responsable. Les matériaux utilisés sont testés, respectueux, et la production est partiellement manuelle, ce qui confère à chaque modèle une forme de singularité. Il ne s’agit pas ici de produire en masse, mais de proposer une alternative, entre artisanat numérique et exigence industrielle.

Enfin, il est important de souligner que ce type d’objet, parce qu’il s’intègre facilement dans le quotidien, ne nécessite pas de discours tapageur ou provocant. Il devient une composante naturelle du bien-être, à égalité avec d’autres pratiques d’attention à soi. Et sur ce point, PTIKU réussit là où beaucoup échouent : en installant un produit fort sans jamais bousculer le cadre intime de ses utilisateurs.

Une présence digitale au service d’un message cohérent

La visibilité d’un projet ne se construit pas uniquement sur la qualité de ses produits, mais aussi sur sa capacité à instaurer un dialogue crédible avec son audience. Dans cette logique, PTIKU n’a pas seulement misé sur l’excellence matérielle : la marque a développé une présence digitale cohérente, pensée pour refléter ses valeurs fondamentales. Sur des plateformes comme TikTok, ce choix stratégique prend tout son sens. Loin des formats sensationnalistes, les contenus partagés évoquent une recherche d’équilibre, de sobriété et de précision.

L’environnement numérique actuel favorise les contenus rapides, souvent bruyants, parfois superficiels. PTIKU fait le choix inverse. Chaque vidéo, chaque publication est pensée pour transmettre une idée claire : celle d’un rapport personnel, construit, au confort sensoriel. Cela passe par des gestes simples, des prises de vue nettes, des rythmes posés, et un cadrage centré sur les détails. L’objectif n’est pas d’enchaîner des vues, mais de créer un lien avec les personnes qui s’interrogent sur la manière d’intégrer ces objets dans leur quotidien sans bruit, sans excès.

Ce positionnement atypique séduit un public en quête de sobriété, souvent lassé des mises en scène trop évidentes. Les interactions sur TikTok confirment cette intuition : les commentaires parlent de ressenti, de discrétion, de qualité perçue. Certains utilisateurs expriment même leur surprise face à cette approche plus calme, plus stable, loin des représentations stéréotypées. PTIKU se détache ainsi d’une communication agressive pour proposer autre chose : une écoute, un accompagnement, une forme de continuité entre l’objet et le geste.

En investissant cette plateforme, la marque ne cherche pas simplement à capter l’attention, mais à créer une mémoire visuelle. À travers des séquences lentes, des mises en lumière précises et une musique choisie avec soin, PTIKU façonne un univers identifiable. Ce n’est plus le produit qui est mis en avant, mais le sentiment qu’il suscite : légèreté, sérénité, confiance. Cette stratégie redonne au spectateur une place active, non plus comme cible, mais comme individu capable de projeter ses propres attentes.

Ce travail sur l’image permet également de renforcer le discours global de PTIKU sur la durabilité, l’innovation artisanale, et la justesse de fabrication. Rien n’est laissé au hasard. Du packaging à la vidéo en ligne, chaque élément renvoie à une idée d’harmonie. Et cette harmonie devient un levier puissant pour construire la fidélité : les visiteurs qui découvrent PTIKU via les réseaux sont invités à aller plus loin, à découvrir les pages du site, les articles, les guides. Le lien entre communication digitale et expérience produit est donc direct, structuré, et profondément maîtrisé.

Tisser un lien progressif entre exploration visuelle et usage réfléchi

Les supports numériques offrent aujourd’hui la possibilité d’approcher un objet non plus comme un simple produit, mais comme une expérience en devenir. PTIKU s’inscrit dans cette dynamique en concevant ses vidéos non comme des démonstrations commerciales, mais comme des fragments d’une trajectoire possible. Ce choix transforme le rapport entre marque et spectateur : il ne s’agit plus de convaincre en quelques secondes, mais de suggérer, d’inviter à percevoir.

Sur TikTok, cette orientation prend forme à travers une esthétique précise. Les mouvements de caméra sont volontairement ralentis, les angles choisis évitent toute mise en scène superflue. Le geste est respecté, jamais forcé. Cela crée une ambiance particulière, proche de celle d’un atelier ou d’un espace personnel, où l’on prend le temps de découvrir, sans jugement ni urgence. En observant ces séquences, l’utilisateur ne reçoit pas un message, il entre dans un rythme.

Ce rythme, justement, constitue l’un des leviers les plus marquants de cette stratégie. Dans un flux d’images souvent trop rapide, la lenteur devient un acte fort. Elle impose un nouveau tempo, plus humain, plus tangible. Elle permet de faire exister chaque détail – texture, angle, lumière – comme une étape à part entière. Cette approche visuelle donne alors un sens nouveau à la notion de confort : celui qui ne vient pas de la promesse, mais de l’observation patiente.

Cette manière de s’adresser à son audience n’est pas anodine. Elle attire un public différent, sensible à la cohérence, à la qualité, à la discrétion. Ce public, en explorant les publications, découvre que la marque ne vend pas uniquement un produit, mais un rapport possible à soi, aux gestes, aux rythmes du quotidien. Et c’est ce déplacement de perspective qui fait la force du projet : on n’achète pas un objet, on choisit une manière de vivre avec.

La preuve de cette stratégie est visible dans l’engagement croissant autour de certaines vidéos : partages organiques, commentaires détaillés, suivis spontanés. Pour ceux qui souhaitent s’immerger dans cette approche progressive, un aperçu direct est proposé via ce fil de contenus vidéo réguliers, où chaque publication prolonge les valeurs fondatrices de la marque. Sans forcing, sans effets artificiels, juste une suite de gestes maîtrisés, de matières mises en lumière, d’usages suggérés.

En positionnant ses publications comme autant de points de contact non intrusifs, PTIKU développe une relation de confiance. Ce lien, une fois établi, s’étend naturellement vers le site, vers les guides, vers les choix disponibles. La boucle est complète : ce que l’on voit, ce que l’on comprend, ce que l’on ressent sont alignés. C’est cette justesse qui confère à l’ensemble sa puissance et sa stabilité.

Conclusion – Entre régularité des gestes et constance dans la ligne visuelle

Ce qui distingue l’approche développée par PTIKU sur TikTok n’est pas la surenchère ou la nouveauté à tout prix, mais une forme de régularité réfléchie. Chaque contenu publié s’inscrit dans une continuité : le ton reste mesuré, l’intention claire, le rythme maîtrisé. Il n’est jamais question d’interpeller violemment, mais d’ouvrir une fenêtre calme, dans laquelle l’attention peut se déposer.

Ce choix stratégique permet à la marque de se démarquer dans un environnement souvent saturé. Là où d’autres privilégient les effets visuels et les slogans directs, PTIKU propose des fragments de réalité. La caméra ne force pas le regard ; elle accompagne. Les plans ne guident pas le choix ; ils suggèrent une présence possible. Cette ligne visuelle discrète mais constante nourrit une identité cohérente sur la durée.

Cela a plusieurs effets concrets. D’abord, cela génère un climat de confiance : les abonnés reviennent non pas pour être surpris, mais pour retrouver une atmosphère reconnaissable. Ensuite, cela valorise chaque publication comme une étape, et non comme une pièce isolée. Enfin, cela renforce l’image de sérieux, de qualité et de constance – trois piliers essentiels pour bâtir une relation solide avec une audience exigeante.

Sur le plan du référencement et de la visibilité, cette stratégie trouve aussi des bénéfices mesurables. Une ligne éditoriale claire facilite la reconnaissance algorithmique, favorise l’engagement progressif, et établit un socle stable pour les futures campagnes. Ce n’est pas l’effet immédiat qui est recherché, mais la construction patiente d’un environnement identifiable.

PTIKU ne cherche pas à imposer un message ; la marque propose un espace, une lenteur, un autre rapport aux objets qu’elle met en avant. Ce positionnement, appuyé par la régularité de ses publications, devient une véritable signature. Et c’est précisément ce qui rend cette présence si précieuse sur TikTok : une manière de tenir le cap, dans un univers qui change sans cesse, sans jamais céder à la dispersion.

[soeurdelune]

OUI BONJOUR 24. parle-nous d'un personnage que tu as créé et aimerais jouer mais n'as pas encore trouvé l'occasion de le faire ! (nb j'te connais, t'as 897086 idées) 25. quel est un de tes souvenirs de rp préféré ? 58. y a t-il des red flags rpgiques qui te font particulièrement réagir ? (j'suis là pour le drama bb) 63. quelle est la toute première phrase de ta réponse rp la plus récente ? bsx <3

CE BOMBARDEMENT (coucou, trois ans après)

24. oui tu me connais trop bien pinaise 😔 dans un contexte plutôt science-fiction/film noir à la cowboy bebop x blade runner, j'ai Stanislas, un jeune ingénieur dans le genre "génie précoce" avec une mémoire terrifiante et un certain goût pour la zizanie, qui travaillait dans une société de fabrication d'androïdes avant de s'en tirer en emportant quelques plans et secrets de fabrication, depuis il a la moitié de la police galactique au cul... je le jouerais probablement jamais tant le contexte autour du perso est spécifique (peut-être en privé ? ce serait top) mais en attendant je m'amuse à lui écrire des one shots !

25. je ne sais pas si j'ai UN souvenir de rp préféré particulièrement, mais parmi mes moments favoris, je pense que je vais dire tout bêtement la première fois que j'ai commencé à rp sur les forums 🥹 j'ai découvert "pour de vrai" ces plateformes en sortant du covid (j'avais fait un passage express il y a des années qui n'était pas concluant) ; j'ai toujours adoré découvrir de nouvelles plateformes et sites pour rp, l'écosystème sur chaque est sans cesse différent, et franchement j'avais été pas mal émerveillée par les possibilités des forums, mais surtout de trouver tant de nouvelles plumes aussi qualitatives, surtout à une époque où je stagnais un peu côté rp et ne parvenait pas à trouver d'autres rpgistes intéressant·e·s en-dehors de mes partenaires de l'époque. ça remonte maintenant, mais ce passage aux forums, ça m'a rendu une flamme hyper agréable, et c'est épouvantablement niais à dire mais je pense qu'elle brûle encore 😎🔥

58. MDR, toujours là pour le thé je vois 🫖 quelques uns de mes red flags rpgiques, voyons :

les gens qui te pressent ou t'envoient des messages non stop jusqu'à ce que tu répondes (special shout out à la personne qui m'a envoyé un RE tout sec sur discord la dernière fois parce que j'ai pas répondu à son msg dans la journée).

les gens qui sont "trop hypé pour un lien ! oui j'ai trop trop hâte ! omg faut trop qu'on fasse ça", et t'as beau les relancer avec des idées, ils te répondent jamais ou le remettent sans cesse à plus tard (ce qui n'est pas grave en soit mais à mes yeux ça traduit une incapacité à s'organiser à minima et surtout à communiquer, parce que ça arrive de pas avoir le temps ou l'envie mais pour l'amour du ciel, dis-le).

les gens qui n'arrivent pas à séparer le personnage de le·a rpgiste, qui pensent que ton perso, c'est forcément une version embellie ou fictive de toi-même (et donc par extension t'as pas le droit de lui faire commettre la moindre erreur ou faire des trucs vraiment déplorables) – c'est incroyablement gênant, et là aussi il y a encore trop de gens qui pensent comme ça ! surtout qu'après, cela mène à des interactions difficiles, particulièrement avec les ships, où t'as l'impression que la personne en face te prend pour ton perso et commence à te coller aux basques de manière malsaine...

63. ooooh, c'est la réponse au Andy/Wendy que je viens de finir y a 10 minutes en plus mdr 😎 (c'est presque un spoil parce que je l'ai pas encore postée mais bon)(c'est aussi pas du tout représentatif de la merde dans laquelle ces deux persos se trouvent) :

Leur guide marche vite, d'un pas souple, étonnamment leste pour son âge.

merci pour les questions, mouah sur ton bec pernicieux 😘