#Phrase pour jeter un sort
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voyantserieuxetreconnu · 2 months ago
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Jeter un sort d'amour à quelqu'un - Ton histoire d’amour s’est terminée et tu la regrettes ? Qu’elle ait duré quelques semaines ou quelques années, il est toujours possible de jeter un sort d'amour à son ex pour le rendre fou amoureux une nouvelle fois. E-mail : [email protected]
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abridurif · 1 year ago
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Comme je l’ai déjà dit, la perspective que mes affaires soient archivées m’effraie. Il vaudrait mieux les détruire avant. Mais elles me servent ; toutes ces pages, photos, tous ces documents accumulés, il me les faut parfois pour écrire. Car je ne me souviens pas de tout. L’écriture est une mémoire externe. On sort de soi des faits, des impressions, des réflexions pour les archiver. Nous disposons ainsi d’une base de souvenirs. Mais je ne peux m’empêcher d’y voir aussi une déchetterie. Je m’explique : l’écriture, la disposition à écrire des phrases, quelle qu’en soit la valeur, plutôt que les garder pour soi, la volonté de publier un écrit, c’est les jeter dans la poubelle publique. Dans mon cas, écrire n’a rien à voir avec le besoin de laisser une trace. Les papiers archivés dans des boîtes, classeurs, valise ne sont pas voués à me survivre ; ils me sont utiles au présent. Ils me servent à réfléchir à toutes sortes de choses. Le sens des situations subsiste mais souvent les détails des souvenirs s’estompent ou, au contraire, il ne me reste qu’un détail et ce détail fait écran à la totalité. Que faire de mes archives pour qu’elles ne passent pas en d’autres mains ? Les détruire ? Ou les garder en espérant pouvoir tout liquider avant ma mort ? Gaëlle Obiégly, Sans valeur, Bayard Éditions, 2023
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fauvelienne · 2 years ago
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Lili
Tu t’appelle Lili, tu es entré dans ma vie un jour d’octobre, comme tombent les feuilles à cette période, par hasard.
Un hasard peu commun car ta maman était très malade. Tu devais partir à Bali, et puis tu as changé d’avis.
Moi je revenais au bled après 5 ans. J’étais en plein burn-out je n’en avais parlé à personne mais c’était une mauvaise période. Mais pas pire que de voir sa mère malade, m’étais-je dit en l’apprenant de ta sœur.
Ta maman c’est ma voisine au bled. Celle que j’ai connu depuis ma naissance. Celle qui a une maison depuis laquelle on voit mieux la mer que de chez nous, ça me rendait jalouse quand j’étais plus petite. Je trouvais ça injuste que les arbres me chachent la mer à la maison.
Un matin, ma maman te présente à moi comme celle avec qui elle a fait les 400 coups plus jeune. Dans la discussion, je me rends compte que tu es une personne très douce, bienveillante et je ressens tant l’amour inconditionnel que le non jugement. J’analyse tout, ta voix un peu cassée mais qui me reste dans la tête. Ton sourire, les bracelets à tes poignets, les bagues à tes doigts.
Je me sens aimée. Instantanément. J’ai ma place dans le cœur de quelqu’un. Je trouve une grande cousine et bien plus que ça, une grande sœur. Dans ton regard je me sens comme une personne saine, douce. Pour ça j’ai envie de changer. À ce moment, je sais que je ne suis pas à ma place dans ma vie actuelle, que je mérite mieux. On sait pas toujours ce qu’on vaut.
Les jours passent, on se voit tous les jours. Je ne te dis pas grand chose de ma vie j’ai le sentiment que je n’ai pas besoin de te raconter quoi que ce soit. Tu sais. Toi tu me racontes toute la tienne. Tes voyages, tes amis, ton boulot. L’état de ta maman ne s’améliore pas. On se promet des mots « ça va aller promis ». Ça devient notre phrase. Cette phrase de @aelnaute
Vient le moment où je dois rentrer du bled. Ce jour là alors que je charge mes valises dans la voiture je supplie le ciel de t’envoyer. Ça se produit, tour de chance. Les derniers mots de courage, que je retiendrai longtemps. Je garde dans ma tête la douceur de ta voix cassée, ton parfum, tes gestes. Ce jour là je te promets de ne pas t’oublier et de faire en sorte d’aller mieux. Toi tu me promets de ne pas m’oublier.
Le retour est dur. Dans l’avion je ne dors pas je pleure silencieusement. Je pleure le manque, je pleure le travail que je vais devoir faire pour devenir la personne que je dois devenir. Je ne veux pas seulement être une fille saine un temps, ça doit durer.
Pendant des semaines, je pleure en appelant ton nom chaque fois qu’il m’arrive une galère (et elles sont nombreuses). J’ai besoin de quelqu’un pour me conseiller, d’un adulte plus adulte que moi.
Lorsque ta maman est partie rejoindre un autre monde. J’ai eu peur de ne pas savoir être suffisamment là. J’ai fait avec ce que j’étais et ça semblait bien. Pour la première fois de ma vie je suis assez.
Lorsque tu pars finalement à Bali, on se parle beaucoup même avec 8h de décalage.
Moi j’avance. Enfin. J’obtiens mon permis et un nouveau travail. Quand j’étais venue au bled j’avais fait 50 candidatures je n’avais pas une réponse. Comme par enchantement j’en fais 10 j’ai 10 réponses.
Je deviens cette personne dont tu es fière.
Le temps passe, Noël, nos anniversaires, le jour de l’an. La vie.
En mars, j’ai le privilège d’apprendre avant tout le monde que tu pars vivre dans les îles. Pour 2 ans au moins. Ça me brise un peu le coeur et à la fois je suis heureuse pour toi. Moi aussi j’ai changé de vie, chacun son tour. Je ne sais pas quand on se reverra mais je commence à économiser durement. Actuellement j’espère pouvoir venir en janvier. On se verra en 2024 tu as ma parole.
C’est toi qui m’a proposé qu’on se voie à l’aéroport avant que tu partes. Je n’ai pas hésité une seconde. J’ai posé une aprèm. Et j’ai couru.
C’était doux. Ça m’a fait du bien de te voir en allant mieux. Ça m’a fait du bien de me jeter dans tes bras en criant « Lili ».
Une dernière promesse. Avec 2 bracelets de @aelnaute Où que tu soies je veillerai sur toi.
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C’était moins dur que je pensais de te laisser dans cet aéroport. Parce que je sais. Je sais que la distance ne peut rien faire contre l’amour d’une famille. J’ai confiance en nous maintenant.
On m’a toujours dit loin des yeux loin du cœur mais c’était pas vrai. Je te parle tellement plus souvent à toi qu’à ceux qui vivent à côté de chez moi. J’ai compris qu’un entourage ça se choisit. Ça se construit. C’est la première fois que je n’ai pas peur de la distance. Alors que quand je suis partie du bled, tu sais, si je t’envoyais un message un jour sur 2 c’était pas à cause du décalage horaire. C’était parce que je testais, parce que j’avais trop peur de m’attacher. Et puis j’ai arrêté de vouloir faire semblant d’être froide, parce que ce n’est pas ce que je suis. Je suis quelqu’un de bien. Je veux être cette version de moi qui existe dans ton esprit.
Je m’estime heureuse d’être si bien entourée. D’enfin savoir sur qui compter.
C’est doux d’être aimée. C’est doux de ne plus avoir peur. J’ai vu le vrai moi avec toi.
Je t’aime de tout mon coeur.
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darkpalmor · 3 months ago
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9 AVRIL 2025
Programme d’Avril et de proverbes.
Échauffement (6 minutes) : Un petit poisson ? Un texte amusant, de forme libre, avec un poisson.
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Un petit pêcheur, Très attentif à sa ligne, Guette son flotteur. Voici la maligne Qui lui colle dans le dos Un beau maquereau. Le pêcheur, badaud, Croit qu’il a fait une touche. Mais la fine mouche Le pousse dans l’eau Et tous les poissons frétillent. Qui rit bien ? La fille !
Un vieux pêcheur, Au bord de l'eau, S'ennuie. Depuis trois heures, Ses asticots Sont cuits. Il voit dans l'eau Tous les poissons Danser, Et dans son dos Un beau carton S'affiche. C'est une farce De ses enfants, Mais il s'en fiche. Rentré, ce soir, Il fera cuire Ce beau poisson, À la bougie. Et son vieux cœur Sera réjoui.
1°) Cinq verbes pour un compliment de cinq phrases (5-10 minutes) : Suivez le fil ! Voici cinq verbes, qu’on devra utiliser en cinq phrases, dans l’ordre où ils sont donnés, à l’exclusion de tout autre verbe, dans une déclaration élogieuse mais brève faite à quelqu’un qui sera progressivement identifié par le texte produit : Fourguer, vider, entêter, maîtriser, trembler.
Ma chère Catherine, tu m’avais fourgué en douce le plus beau des cadeaux, le lingot d’or du coffre de ton papa. Ensuite, tu avais vidé rien que pour moi sa cave de toute sa collection de crus millésimés et cotés, de vieilles eaux-de-vie sans âge, et quelques pots de conserves de foie gras. Avec ces offrandes, pleines d’amour et de désintéressement, et avec quelques petites attentions supplémentaires, tu m’as entêté à un degr�� inimaginable ! Désormais, je ne maîtrise plus ma passion pour toi, pour ta générosité et ton grand cœur, et pour la délicatesse de tes choix. Voilà pourquoi aujourd’hui, devant toutes tes qualités de fille unique à héritage, je ne tremble plus à l’idée d’un refus de ce compliment et de cette demande en mariage, ma chérie.
2°) Je me souviens du mur… (10-15 minutes) : Nostalgie réelle ou inventée. On se souviendra d’un mur particulier de l’enfance ou de l’adolescence : description, anecdotes, sentiments, etc.
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Je me souviens du mur du pensionnat qui m’a éduqué pendant sept ans. Pensionnat de centre-ville, vieux bâtiments reliés au fil des siècles, peut-être, avec des cours dans de nombreux recoins. Un mur particulier me revient en mémoire, parce que c’était la cour des grands, ceux d’après la classe de Seconde. Il avait un côté très haut, au sommet inaccessible, et un autre plus bas, sur lequel il était possible de se jucher, avec un peu d’élan et une bonne détente. On se trouvait alors sur un faîte de béton, en surplomb de la Rue Samaritaine, et en se tordant le cou, on apercevait le carrefour et la Place des Bons-Enfants. Aux récréations, c’était au plus rapide pour avoir la meilleure place, la moins inconfortable parce qu’on pouvait appuyer le dos et de tenir à califourchon. Les guetteurs, ceux des classes inférieures, étaient chargés de surveiller l’arrivée des pions, et on avait le temps de jeter dans la rue les cigarettes, en cas d’urgence. L’autre partie du mur, dans cette cour carrée, c’était le lieu des défis et des records. Dix pas d’élan, pas plus, une marque au sol, et on courait se jeter les pieds en avant, comme pour y marcher, à la verticale, et le but du jeu était de faire au moins trois pas, et de jeter la jambe le plus haut possible avant de retomber, si possible sur ses pieds. Il fallait repousser la muraille, en quelque sorte, et se retourner. Seuls les meilleurs acrobates y arrivaient, et tentaient de battre leur record. Pour mieux marquer leur exploit, certains se poudraient les semelles à la craie afin de pouvoir tracer un trait sur le crépi gris. Personnellement, je n’ai jamais tenté de faire un exploit à ce jeu, je me contentais du petit mur et de regarder la rue. On jouait, avec les copains, à être comme des prisonniers qui observaient la vie des individus libres. Certains grands, paraît-il, des Terminales, ; faisaient le mur par là, pour de bon, mais on ne savait pas comment ils revenaient : par le chemin inverse, c’était beaucoup plus haut, et plus risqué, de s’élancer du trottoir. Là non plus, je ne faisais pas partie des audacieux…
3°) Babebine en F-R (5 minutes) : On écrira une petite comptine en forme de babebine sur les sonorités suivantes à la rime : FAR-FER-FIR-FOR-FUR.
Chérie, promenons-nous au phare, Passons la vieille porte en fer. Le vent est doux, un vrai zéphyr. Viens près de moi, serre-moi fort, Je te protège des griffures.
Mange donc du far, Et file en enfer ! Avec du kéfir Tu deviendras fort. Change de coiffure !
Écrasez vos cafards Avec du fil de fer, Ça devrait suffire. Si ça sent trop fort, Ça vient du sulfure !
4°) Amorce pour une histoire en 6 lignes et 6 minutes. « Qu’est-ce qu’elle m’a donné comme fil à retordre, celle-là ! »
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Qu’est-ce qu’elle m’a donné comme fil à retordre, celle-là ! Cette apprentie désobéissait tout le temps, cassait les aiguilles de la machine Singer, dévidait les bobinos et les emmêlait. Elle avait toujours perdu ses ciseaux et piquait ceux des copines, et il était impossible d’obtenir d’elle un ourlet droit. Et elle se piquait les doigts, exprès, pour pouvoir faire tomber une goutte de sang sur le mouchoir blanc qu’on lui apprenait à broder. Elle a fini repasseuse…
5°) Conclure en vitesse (5 minutes maximum) : Homophonie. On écrira quelques homophonies approximatives sur cette expression : « C’est cousu de fil blanc »
Ses cousins défilent, au blanc. Des coups sur des filles blanches ? Ce cou nu me refile un plan. Ses cousins défient le gland. C’est cossu, chez Phil Blanc. Ces cousins soudés qu’il planque.
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christophe76460 · 2 years ago
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Bonjour bien-aimés dans le Seigneur. Nous méditons cette semaine sur le thème suivant : LA VIE ÉTERNELLE.
Ce mercredi, méditons sur le sous-thème suivant : NE MÉPRISE PAS L'OFFRE DE JÉSUS-CHRIST, tiré de Genèse 25:32 "[32] Esaü répondit: voici, je m'en vais mourir, à quoi me sert ce droit d'aînesse ?".
Bien-aimés frères et sœurs, en rappel, hier nous avons dit que Jésus-Christ nous a déjà offerts la vie éternelle sur un plateau en or, en portant nos péchés à la Croix, en mourant pour nous et en ressuscitant le troisième jour, preuve de ce que nous sommes désormais libres du péché, et donc libres d'accéder à la vie éternelle.
Ce matin, nous poursuivons en partant d'un constat : malgré ce sacrifice qu'a fait Jésus-Christ pour nous à la Croix, beaucoup de frères et sœurs méprisent l'offre de Jésus. L'attitude d'Esaü dans le texte lu le démontre suffisamment. En effet, Ésaü revient de son ouvrage, et parce qu'il a faim et que son frère Jacob lui propose de lui vendre le droit d'aînesse, l'a fait sans hésiter, bien plus, il prononce des paroles par lesquelles il montre son mépris à l'égard de quelques chose de pourtant précieux que Dieu lui a donné, à savoir LE DROIT D'AÎNESSE (voir la dernière partie du texte lu).
Comme Ésaü, beaucoup de chrétiens ont déjà vendu leur DROIT D'ACCÈS À LA VIE ÉTERNELLE à cause de ce que leur propose le monde et qu'ils pensent être plus important que la vie éternelle : la nourriture, le vêtement, la richesse, le pouvoir, l'homme/la femme etc. Et pire encore, ils en sont aller jusqu'à prononcer cette phrase qui brise certainement le cœur de Jésus-Christ : A QUOI ME SERT LA VIE ÉTERNELLE !!! 😓😭. Oui ! Peut-être ne l'avons nous pas prononcé de façon audible, mais notre attitude le démontre à suffisance. Regardons de qui est arrivé à Esaü plus tard : Malgré que c'est à lui qu'Isaac a demandé de lui préparer de la viande pour recevoir ensuite sa bénédiction, c'est finalement à Jacob que cette bénédiction est revenue (Genèse 27:27-29). Et bien qu'Esaü est devenue riche plus tard, on ne parle plus de lui dans la suite, l'histoire continue avec Jacob qui est devenu ISRAËL, LE PÈRE DES 12 TRIBUS. Alléluia !
Mon frère, ma sœur, le Seigneur a fait quelque chose de merveilleux pour toi et moi à la croix: IL A PORTÉ NOS PÉCHÉS, IL NOUS A DONNÉS PAR CET ACTE L'ACCÈS GRATUIT À L'HÉRITAGE CÉLESTE, LA VIE ÉTERNELLE. Aucun homme, même pas satan qui te trompe aujourd'hui avec ce qu'il est incapable de créer, lui qui ne fait que copier depuis le commencement du monde, et dont le seul but se résume en 3 choses, à savoir dérober (voler), égorger (tuer) et détruire, ne peut le faire. Alors ne te méprends pas! Si tu lis ce message, c'est que tu es vivant(e) et donc que tu as encore l'occasion de te racheter. Je ne sais pas ce que tu as fait ou ce qui te tient à cœur : le mariage, un emploi, ta santé, l'enfantement etc. Sache que la vie éternelle est plus précieuse que tout cela, fais d'elle ta priorité. Et si tu as déjà vendu ton âme au diable et que tu me lis, c'est que Jésus-Christ t'aime, Il veut que tu sortes de là ! Si si, c'est toujours possible si tu veux bien-sûr ! prends seulement l'engagement, confie-toi à Dieu et laisse-Le faire le reste. Souviens-toi de ceci : JÉSUS T'A OFFERT LA VIE LA VIE ÉTERNELLE GRATUITEMENT, NE MÉPRISE PAS CE DON PRÉCIEUX POUR LEQUEL IL A DONNÉ SA PRÉCIEUSE VIE Amen!!!
Je veux prier pour toi 🙏🏿
Tendre Père céleste, je Te rends grâce pour ce message qui me bouleverse. Je me rends compte que j'ai gaffé, car a plusieurs reprises j'ai méprisé le don de la vie éternelle que Tu m'a fait en sacrifiant le Fils bien-aimé de Ton amour, Jésus-Christ. Père, je te prie de jeter un regard miséricordieux sur moi, pardonne mon égarement, dispose mon cœur à te recevoir une bonne fois pour toute, accorde-moi surtout la grâce de désirer ardemment la vie éternelle comme Tu nous le recommandes dans Matthieu 6:33. Cette prière, je l'élève pour moi et pour mon frère et ma sœur qui me lisent en ce moment, au nom puissant et souverain de Jésus-Christ, Amen 🙏🏿
Sois béni(e) et passe une agréable journée sous le contrôle du Saint-Esprit !
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roihangbe · 3 years ago
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Magie blanche d'amour pour séduire quelqu'un / Rituel de séduction,maitre HANGBE
Magie blanche d’amour pour séduire quelqu’un / Rituel de séduction,maitre HANGBE
Magie blanche d’amour pour séduire quelqu’un / Puissant rituel de séduction maitre HANGBE. Vous l’aimez mais il ne vous regarde pas ? Vous voulez qu’il s’intéresse à vous mais vous ne savez pas comment attirer son attention ? Il vous a quitté et ne s’intéresse plus à vous ? Vous aimeriez le voir fou amoureux de vous comme vous l’êtes de lui ? Voici un rituel de Magie blanche d’amour pour séduire…
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gerceval · 2 years ago
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Le Choix - chapitre 4
Une fic hebdomadaire dont vous pouvez choisir la suite en votant chapitre après chapitre !
[Commencez depuis le chapitre 1]
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Arthur avait gardé les yeux grand ouverts mais l'épaisseur de la couverture obscurcissait la lueur de la bougie et il fut momentanément aveugle. Avaient-ils réagi assez vite en se cachant sous les draps ? Le silence dura un peu trop longtemps, et, au fur et à mesure des battements frénétiques de son cœur, la vision d'Arthur s'éclaircit. Il remarqua, bien trop tard, que Lancelot, dans sa hâte de faire semblant d'être endormi, avait mal rabattu la couverture et avait laissé dépasser ses boucles brunes - celles d'Arthur - que Guenièvre reconnaîtrait entre mille. Lancelot était du côté du lit le plus proche de la porte, pile face à Guenièvre ; impossible de s’y tromper. À l'instant même, les craintes d'Arthur furent confirmées.
- Ah mais c'est vous ! Je pensais que vous étiez parti manger un bout, pas que vous étiez en route pour ramener une boniche ! Qui est-ce que vous avez là-dessous ?
Arthur et Lancelot se dévisagèrent, interdits, sans savoir que faire.
- Oh soyez pas timide je sais que vous dormez pas je vous ai entendus gazouiller !
Impossible de faire marche arrière, elle n'abandonnerait pas. Arthur se redressa lentement et laissa la couverture tomber de son visage.
- Seigneur Lancelot ! s'exclama Guenièvre.
Le rouge lui était monté aux joues instantanément. Elle bégaya pendant quelques secondes.
- Je... Je suis désolée je... je n'aurais jamais dû...
Et elle quitta la pièce, hagarde.
Arthur ne put que la regarder partir.
- Ah bah bravo hein !
- Je suis tout à fait navré sire, j’ai voulu faire comme vous mais avec si peu de temps pour réagir…
- Oh ça va épargnez-moi vos « navré sire » !
- D’autant plus que je n’ai pas exactement l’habitude de… enfin ce n’est pas la taille que je fais habituellement, je veux dire.
Le « non mais dites » d’Arthur resta coincé en travers de sa gorge devant tant d’effronterie. Plutôt que de rester plus longtemps en la présence de Lancelot, et de ses commentaires désobligeants, il renfila ses pantoufles et s’élança dans les couloirs à la poursuite de Guenièvre.
Il ne lui fallut pas très longtemps pour la trouver et il la rattrapa par la manche de sa chemise de nuit. Elle sursauta.
- Seigneur Lancelot, vous…
Guenièvre ne continua pas sa phrase. Sans réfléchir, il lança d’une voix mal assurée :
- Ce n’est pas du tout ce que vous croyez, le euh… le roi et moi avions juste besoin de… Enfin il fallait que nous nous entretenions de…
Elle l’interrompit en posant une main réconfortante sur son épaule, les yeux levés vers lui. Il n’avait pas l’habitude de la surplomber de la sorte, et il était mal à l’aise de ne pas pouvoir la regarder droit dans les yeux, déstabilisé par la sincérité douce qui s’exprimait entre ses cils.
- Seigneur Lancelot, écoutez, je n'ai pas l'intention de vous jeter la pierre, loin de moi cette idée, même. J'ai simplement été prise de court, la surprise, vous comprenez. Mais je ne voudrais surtout pas m'immiscer dans....
Arthur était lancé dans son mensonge, il ne pouvait plus revenir en arrière à présent. Il fut incapable de réagir autrement que par un vague acquiescement, qui, s'il était tout à fait honnête, ne ressemblait pas vraiment à une réaction de Lancelot. La question lui traversa brièvement l'esprit de savoir pendant combien de temps et au prix de combien d'efforts ils réussiraient à maintenir l'illusion s'ils devaient se trouver contraints d'échanger de place pendant plusieurs jours.
- À vrai dire, continua Guenièvre... Je dois dire que je suis même plutôt soulagée, il me semble que je comprends enfin quelque chose qui m'interrogeait depuis de nombreux mois déjà.
- Pardon ?
- Oh eh bien, vous n'êtes pas sans avoir remarqué que vous et mon mari... J'ai conscience que vos journées à tous les deux doivent être longues et difficile, mais depuis quelque temps il est vrai que vous passez plus de temps à vous hurler dessus qu'à vous faire des tartines. J'avais commencé à ressentir une telle tension que j'en dormais à peine la nuit. Alors maintenant je dois bien avouer que... Disons que je saisis un peu mieux les enjeux de vos récentes querelles.
Les mots de Guenièvre étaient choisis avec tant de soin, et murmurés dans l'obscurité du couloir avec tant de prudence, qu'Arthur ne douta pas une seule seconde d'avoir découvert quelque chose d'absolument profond quant aux états d'âmes de son épouse ; et il se sentit coupable de l'avoir découvert de cette manière, pris dans un stratagème absurde.
- Enfin quoi qu'il en soit, sachez que mon affection pour vous n'est en rien diminuée. Je ne dis pas que je me trouve heureuse de la situation dans laquelle vous me placez, et je vais certainement avoir des mots avec mon mari, mais… Je ne souhaite que votre bonheur, ayez-en la certitude.
Et elle remonta sa main pour la placer contre la joue d’Arthur avec une immense tendresse. Il n’aimait pas beaucoup ça. Tout bien réfléchi, Arthur n’était satisfait d’aucune des informations qui avaient transparu jusque là au cours de cette soirée merdique. Soudain, des pas retentirent dans le couloir.
- Bon bah ça va p’tetre aller maintenant, pas moyen d’être tranquilles au milieu de la nuit dans ce château, marmonna Arthur.
[Votez ici pour ce qui se passe dans le chapitre suivant] [Lisez le chapitre suivant ici]
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egyptiancatnoir · 2 years ago
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Hier j’étais avec la personne que j’ai, je pense, le plus aimé au monde (j’ai pas de doute là dessus enfaite on peut enlever le je pense). Malheureusement la vie a fait que ça ne s’est pas passé ainsi mais je suis censé être passé à autre chose et on est pote maintenant.
Littéralement à chaque petite vanne qu’on fait, chaque taquinerie j’ai l’impression de me prendre à la fois une épine dans le coeur mais aussi une flèche de cupidon. Ça fait mal mais je veux pas que ça s’arrête et je ferais pas en sorte que ça s’arrête car au fond ça me plais. Ça reviens à ce que j’ai dis juste avant mais je suis tellement en détresse et je me sens tellement vide que c’est un peu comme une des seuls choses qui peut me faire ressentir ne serais-ce qu’un peu d’amour et je m’y accroche.
On a été voir un feu d’artifice, on été à côté et je lui ai passé un écouteur. On avait la musique de stranger things dans les oreilles et c’était vraiment impressionnant. A chaque regard qu’il me lançait tout le long de la soirée j’avais l’impression de fondre sur place et à chaque instant j’avais envie de me jeter dans ses bras, car c’est ce qui me semble être la chose la plus réconfortante du monde. J’ai juste envie qu’il me parle et me rassure et je me rend compte que je suis vraiment pas passé à autre chose. Je comprends toujours pas pourquoi mais ma seule envie quand je suis triste c’est d’être près de lui, de l’entendre bégayer en essayant de formuler une phrase maladroitement car il sait pas rassurer les gens. Je me sens tellement merdique, à la fois de vouloir ça mais aussi de pas pouvoir l’avoir. Mais bon c’est pas si grave; je sais que je vais rentrer à mon appart dans une autre ville, ne plus le voir pendant un mois. Tous les sentiments que je viens de décrire seront sûrement partit d’ici une à deux semaines et reviendront quand je le reverrais, toujours aussi intensément, toujours aussi passionné et amoureux.
Ps : ça fait plus d’un an et demi que ça dure et je sais que la seule solution ça serait que je coupe les liens mais c’est totalement impossible, je souffre mais j’apprécie cette souffrance et je ne veux qu’elle s’arrête pour rien au monde. Team auto sabotage mais je sais que quand je le reverrais sûrement dans un mois, je serais triste mais moins vide car je serais près de lui et ça me suffit.
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ambrefoulquier · 2 years ago
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Petite attention Holistique
Protéger  et  nettoyer  son  corps  
émotionnel  
    Il suffit de confier toutes ses émotions perturbantes à un élément de la nature.
    Aller voir un arbre, un ruisseau, un champ…
    Lui dire : " je t'offre tous mes moments de colère, de tristesse, d'angoisse… pour que tu les transformes ".
    Utiliser cette technique une fois par semaine est suffisant.
    Elle aide à reconnaître et à nommer les différentes émotions qui ont pu nous perturber.
    Ainsi le corps émotionnel se libère de tensions déstabilisantes.
 NETTOYER SON CORPS ÉNERGÉTIQUE :
    Pour nettoyer le corps des énergies négatives qui peuvent rester collées à lui :
        Soit se promener sous la pluie,
        Soit prendre un bain de mer tôt le matin ou après le coucher du soleil.
        S'il n'est pas possible d'utiliser l'eau à l'état naturel, on peut toujours prendre une douche en visualisant que l'eau nettoie aussi l'aura.
 RECHARGER SON CORPS ÉNERGÉTIQUE :
    Appuyez votre dos contre un arbre, en y collant le plus de surface possible.
    Plaquez les mains et les bras contre le tronc.
    Demandez d'abord à l'arbre de nettoyer les énergies négatives accumulées dans votre corps.
    Visualisez que ces énergies descendent dans ses racines et retournent à la terre pour y être transformées.
    Demandez ensuite à cet arbre de recharger votre corps de ses énergies positives, et restez contre lui quelques minutes.
    Vous pouvez aussi vous mettre face à lui et le prendre dans vos bras.
    Si vous avez un jardin utilisez si possible le même arbre, ainsi il s'établira un contact privilégié avec lui.
    Pensez à le remercier de son aide.
 PROTÉGER SON AURA :
 Technique à utiliser quand on se sent faible énergétiquement.
Cette déperdition d'énergie peut être dûe au stress, à la maladie, à une peur, ou à la présence d'une personne qui aspire (sans le faire exprès) les énergies de son entourage.
Il suffit de former 2 cercles entrelacés avec les pouces et les index.
S'entourer mentalement d'une pure lumière blanche protectrice aide aussi à rétablir la vitalité.
 APPELER LA LUMIÈRE :
    Pour protéger son aura et éviter d'absorber des énergies négatives :
        Dans la foule
        Dans une grande surface, un hôpital…
        Avant de faire un massage
        Avant de faire une séance de reiki
    Prononcer intérieurement cette phrase :
        Je suis la Lumière
        La Lumière est en moi
        La Lumière sort de moi
        La Lumière m'entoure
        La Lumière me protège
        Je suis la Lumière.
    En même temps visualiser qu'une lumière blanche très pure vous entoure et vous protège du stress et des tensions ambiantes.
       OBTENIR LA RÉPONSE A UNE QUESTION :
    Pour trouver la solution d'un problème, ou la réponse à une question qu'on se pose :
    Remplir d'eau un verre et le poser à coté de son lit.
    Avant de dormir boire la moitié de l'eau en posant la question adéquate, ou en pensant au problème qui vous préoccupe.
    Le matin, avant de se lever, boire la deuxième moitié de l'eau en posant à nouveau la question ou en pensant au problème.
    Puis " oublier ".
    Généralement on obtient la réponse à sa question ou la solution à son problème dans les 3 jours suivants.
    Ce peut être sous la forme :
        d'une discussion avec quelqu'un
        d'une lecture
        d'un rêve…
 ELOIGNER LES OBSTACLES DE SA ROUTE :
    Disposer devant soi une bougie et l'allumer.
    Entre la bougie et soi, placer un récipient rempli d'eau.
    Faire une courte méditation.
    Demander au Ciel " que tout ce qui entrave ma route se dissipe, merci "
    Laisser la bougie se consumer complètement, il n'est pas nécessaire de rester à côté.
    Quand la bougie est terminée, jeter l'eau du récipient dehors ou dans les WC, mais pas dans un évier ou un lavabo.
    Pratiquer ce rituel dans une pièce où il n'y a pas de tuyaux d'évacuation d'eau, sinon l'effet escompté s'annule.
 TRAVAIL DURANT LE SOMMEIL :
    Les journées semblent souvent trop courtes pour s'instruire ou encore travailler sur soi, aussi est-il possible d'utiliser le temps de sommeil pour continuer à s'améliorer.
    Avant de s'endormir, il suffit de demander à son âme (ou Ange gardien, ou Guide ou Dieu...) :
        De développer une qualité précise ou de travailler sur un domaine particulier.
        On peut aussi émettre le souhait d'être utilisé (spirituellement) pour aider les autres.
        Ou encore de suivre les cours de "l'enseignement de Lumière" pendant son sommeil.
        Enfin, demander de se souvenir de ses rêves peut apporter des éclaircissements concernant des questions que l'on se pose.
     PREPARER UN ELIXIR DE PIERRE :
    Placer la pierre propre dans un verre rempli d'eau pendant plusieurs heures (couvert). L'eau se chargera de l'énergie de la pierre.
    Pour accroître le pouvoir énergétique, on peut aussi placer le verre d'eau au soleil dans un endroit non pollué.
    En buvant cet élixir, le corps étherique va absorber l'essence de la pierre.
    La fréquence colorée du minéral dynamise le chakra qui lui correspond.
 STIMULER LES CHAKRAS DES MAINS :
    Jouer du djembé est une activité distrayante mais aussi utile qui permet :
        D'acquérir de la force dans les mains
        De les rendre + souples donc moins sujettes à l'arthrose, l'arthrite…
        Et surtout de stimuler les chakras des paumes (laogong) ce qui est intéressant quand on pratique des soins énergétiques.
         " Votre corps est la harpe de votre âme
    et c'est à vous d'en tirer des sons confus ou de la douce musique ".
    Khalil Gibran.
 LA MEDITATION :
    POSTURE :
    Assis, dos droit
    Tête et cou détendus
    Jambes en tailleur ou les 2 pieds au sol si on est assis sur une chaise
    Bouche entr'ouverte
    Mains sur les genoux
    Yeux ouverts : au début de la pratique on peut fermer les yeux pour se tourner vers l'intérieur de soi. Puis regarder le long du nez, selon un angle de 45°.
    Après quelques temps de pratique il deviendra + facile de diriger le regard droit devant soi.
    TECHNIQUE :
    Observer sa respiration et surtout son expiration aide à lâcher prise.
    Il est possible d'utiliser un objet comme support : une fleur, une bougie allumée, une image, un cristal…
    On peut aussi réciter un mantra : c'est un mot de pouvoir qui protège l'esprit de la négativité, de son bavardage mental.
    BUT DE LA MEDITATION :
    Arrêter la commentaire intérieur, l'analyse du mental.
    Il s'agit de s'identifier à sa respiration.
    L'esprit est en paix entre l'expiration et l'inspiration qui suit.
 LA RESPIRATION :
    Omraam Mikhaël Aïvanhov - "La respiration, dimension spirituelle et applications pratiques".
    1. Vous bouchez la narine gauche et vous aspirez l'air profondément par la narine droite en comptant 4 temps.
    2. Vous retenez le souffle pendant 16 temps.
    3. Vous bouchez la narine droite et vous expirez par la narine gauche en comptant 8 temps.
    Vous recommencez l'exercice en inversant :
    4. Vous bouchez la narine droite et vous aspirez l'air profondément par la narine gauche en comptant 4 temps.
    5. Vous retenez le souffle pendant 16 temps.
    6. Vous bouchez la narine gauche et vous expirez par la narine droite en comptant 8 temps.
    Vous répétez 6 fois l'exercice pour chaque narine.
 La meilleure façons de ce protéger SONT :
- des le matin vous inspirer, expirer et vous demander à l’énergie divine, a votre ange gardien (archange Michael et le meilleur pour la protection) etc... de vous protéger pour toute la journée par tout ou vous aller.
UNE AUTRE PROTECTION EST AUSSI CELLE-CI :
• Tenez-vous debout, bien droit, les pieds légèrement écartés pour figurer un tronc d'arbre.
 • Placez vos mains jointes devant votre sternum (chakra du cœur).
 • Ensuite, décollez vos paumes, de manière à ce que seuls vos doigts se touchent.
 • Écartez vos doigts au maximum.
 • Mettez l'extrémité de vos pouces contre votre sternum.
 • Fermez les yeux et concentrez-vous sur la pression de vos pouces sur votre chakra du cœur.
 • Pensez ou dites la phrase suivante : 
"Je demande à être correctement centré et bien ancré à la Terre. Je demande que cela se réalise, maintenant." 
Ensuite, expirez longuement.
 • Vous allez ressentir diverses sensations dans votre corps.
 • Quand cela se calmera, gardez la position.
 • Pensez ou dites la phrase suivante : 
"Je demande à être entouré d'un bouclier de protection psychique, maintenant." 
Ensuite, expirez longuement en fermant les yeux.
• Accueillez les sensations.
Et voilà, vous êtes c
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liscepavestp · 3 years ago
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Je te demande de lire ce texte, car celui-ci sera très probablement le dernier que je t’enverrai selon ce que tu aura décidé.
C’est avec amertume que je t’écris ce texte kheyette, je me rend compte au fils des jours que mon comportement est problématique, cela fait 12 jours et 12 nuits que je n’ai plus de t’es nouvelles mais je ne contesterai rien, c’est ta décision et elle t’appartient à toi seule, je sais à peut près pourquoi tu a pris cette décision et je ne vais pas te jeter l’opprobre sur ce point, chacun choisit avec qui il parle ou pas, tu est peut-être tomber sur un de mes topic ces derniers jours et sache que je retire tout ce que j’ai pu y dire, que tu me croit ou pas c’est la stricte vérité certaine fois je suis fortement contrarié car toutes mes émotions prennent le dessus et je ne contrôle pas ce que je dit puis je le regrette après, notre amitié a été autant réparatrice que destructrice se fût assez étrange, j’étais assez envahissant et immature je le suis peut-être encore qui sait, quand je relis mes derniers messages sur Discord je ne peut m’empêcher d’éprouver de la gêne et du dégoût, je ne m’y reconnais pas, je pense que comme tu le dit une page se tourne, cette phrase je peut l’interpréter de toute les façons et elle m’attriste et me contrarie un peut surtout dans le contexte dans lequel elle a été dite, mais je ne t’en veut pas, si tu lis toujours ce pavé je suppose que tu a déjà reçu une multitude de notifications de divers connaissances, chose que je n’ai pas, mais je ne vient pas me plaindre concernant ce point, ce point me rassure car je me dit que tu aura toujours des personnes sur lesquels compter, chose que je n’aurai plus je pense, cette fin m’attriste énormément car tout s’est passer si brusquement, ce changement de comportement de ta part aussi je le trouve assez étrange, directement après que je t’ai envoyé m’a photo tu m’a positionné en tant qu’antagoniste, tu à supprimer toute matérialité de notre amitié, et tout ça pourquoi ? Enfin bon je trouve ça extrêmement "débile" si on peut dire comme ça mais si pour toi rompre une amitié avec un tel sang froid et aussi facile j’en déduis que tout cela était faux, je n’étais rien d’autre qu’un livre une sorte d’objet de fantasmes, tu me parlais car l’hypothétique moi te fasciner/envoûter probablement, j’ai aussi remarqué plusieurs choses en toi kheyette, tu essayais peut-être de me le cacher ou alors tu te le cache à toi-même, enfin bon je ne veut pas te faire culpabiliser mais c’est une triste fin, tu dois peut-être trouver ça exagéré car tu à probablement déjà dû tourner la page et c’est ce que je te souhaite mais tu valait et vaut toujours beaucoup à mes yeux, je te voue une amitié voir peut-être même un amour inconditionnel ça me fait moi-même flipper, je n’ai jamais ressenti ça pour quelqu’un et c’est peut-être pour ça que j’en souffre autant, quoiqu’il en soit j’ai un dernier conseille à te donner kheyette, ne te laisse pas aveugler par ton empathie j’ai remarqué ça quand on discuter et ça me faisait de la peine, si quelqu’un de malveillant passe il peut retourner cette qualité contre toi, si demain il t’arrive quelque chose de grave comme par exemple ta famille qui te met à la rue suite à une dispute ou alors le besoin d’un quelconque d’organe pour une greffe fait moi en part, j’essaierai de t’aider le plus possible, à présent c’est un choix fataliste et fatidique que tu t’apprête à réaliser kheyette, si tu ne veut plus jamais me parler je t’invite à me bloquer, si c’est le cas je te souhaite mes plus sincères adieu, si tu veut me parler une dernière je t’invite à me mp sur ce compte, le choix t’appartient kheyette choisis l’option qui te paraît la plus pertinente, se fût une belle et très tragique rencontre, on peut dire que tu est la seule personne à m’avoir réellement connu, quoiqu’il en soit prend soin de toi, et comme je l’ai dit beaucoup de fois n’hésite pas à me le dire si tu est en détresse émotionnelle ou social je serais toujours là pour t’aider, même dans 30 ou 50 ans crois moi.
Au finale j’en sors perdant, l’amour me rend totalement aveugle je pense, bien qu’il ne soit pas réciproque, quand je pense à la joie que j’éprouver quand je voyais ce "1" dans la boîte de mes mp ça me rend vraiment nostalgique et un peut triste, ce qui me fait terriblement souffrir dans tout ça c’est de ne pas avoir d’explication ni d’avoir de nouvelles de ta part, tu est une très bonne personne, peut-être même la plus pure et gentille que j’ai pu rencontrer de toute mon existence, tu va très peut-être facilement tourner la page mais pour moi cette page représente des tonnes de kilos impossible à soulever, je n’étais qu’une page dans ce récit de ton côté mais tu représente plusieurs chapitres pour moi, c’était mon dernier message, prend soin de toi c’est un immense honneur d’avoir été considéré comme ton amis.
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christian-dubuis-santini · 4 years ago
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Sans une critique rigoureuse de l’idéologie, il parait impossible de sortir de l’impasse "sanitaire" qui installe au plan supranational un régime fasciste, le discours courant ne dépassant jamais le niveau de l’opinion, toute pensée, tout argument, tout raisonnement étant automatiquement ravalé à une opposition binaire: pro- ou anti–, pour ou contre, -phile ou -phobe, voilà le formidable exploit d’essorage et d’aplatissement des consciences opéré en un peu plus de cinquante ans par l’idéologie libérale-libertaire dont se soutient "l’innovation technologique", les technologies dites "numériques", le sacro-saint mythe progressiste identifié aux seules performances machiniques du calcul: 0 ou 1.
"La science ne pense pas". La phrase est de Heidegger, pas de Lacan. «Laissons-lui son caractère choquant, alors même qu'une autre la suit, à savoir que, comme toute action ou abstention de l'homme, la science ne peut rien sans la pensée. Seulement, la relation de la science à la pensée n'est authentique et féconde que lorsque l'abîme qui sépare les sciences et la pensée est devenu visible et lorsqu'il apparaît qu'on ne peut jeter sur lui aucun pont. Il n'y a pas de pont qui conduise des sciences vers la pensée, il n'y a que le saut. Là où il nous porte, ce n'est pas seulement l'autre bord que nous trouvons, mais une région entièrement nouvelle. Ce qu'elle nous ouvre ne peut jamais être démontré, si démontrer veut dire: dériver des propositions concernant une question donnée, à partir de prémisses convenables, par des chaînes de raisonnements.»
Du point de vue du psychanalyste, le discours de la science qui commence avec le Discours de l’Hystérique s’est fondu dans le Discours Universitaire, en tant qu’il constitue la source principale de l'idéologie sous-jacente au techno-capitalisme contemporain...
Prenons pour exemplifier notre propos un texte bien senti d'Olivier Rey sur Sa Sommité Le Professeur Yves Coppens, un scientifique réputé, titulaire de la chaire de paléoanthropologie au Collège de France, qui apparaît dès lors comme ce qu'il est en vérité, un parfait illettré d'une crétinerie effarante:
"Dans un article qui trousse en quelques paragraphes l’histoire de l’univers telle qu’elle n’a plus de secrets pour lui (Yves Coppens - NDLR) comme s’il avait assisté en personne au déroulement des opérations, de l’explosion originelle à l’apparition de l'Homo sapiens, il conclut en prédisant lui aussi, à courte échéance, de grandes choses: «Qu’on cesse donc de peindre l’avenir en noir ! L’avenir est superbe. La génération qui arrive va apprendre à peigner sa carte génétique, à accroître l’efficacité de son système nerveux, à faire les enfants de ses rêves, à maîtriser la tectonique des plaques, à programmer les climats, à se promener dans les étoiles et à coloniser les planètes qui lui plairont.
Elle va apprendre à bouger la Terre pour la mettre en orbite autour d’un plus jeune Soleil.
Elle va comprendre l’évolution biologique et comprendre aussi que c’est l’éducation qui rend tolérant».
Pour conclure ce tissu d’âneries fantastiques, en guise d’ourlet, l’éducation à la tolérance, sorte de passementerie humaniste d’autant mieux portée que, comme le bleu marine, elle va avec tout...
Sur le fond, quelle indécence: parler d’eugénisme comme si l’idée ne soulevait aucun problème, de programmer le climat quand on se révèle impuissant à contrôler le réchauffement planétaire, de maîtriser la tectonique des plaques comme si « la génération qui arrive » allait décider du mouvement des continents, abolir tsunamis et tremblements de terre.
Quant à se promener dans les étoiles et «bouger» la Terre, l’abus de substances hallucinogènes n’est pas à exclure, ce qui permettrait de surseoir au diagnostic d’aliénation mentale.
On rétorquera que, bien sûr, les propos cités comportent quelques exagérations, très excusables en une époque désenchantée où il appartient à l’homme de science de faire à nouveau «rêver les gens».
En admettant que ce soit une de ses missions, ce dont il est permis de douter, quel mépris envers ces gens qu’un professeur est censé instruire que de s’autoriser de ce statut pour raconter n’importe quoi.
Quand la science est réputée se fonder sur les faits, c’est au nom d’elle qu’on s’autorise à ignorer la
réalité: autant dire que la science dont il est question n’a de science que le nom.
Et le monde pourrait crouler – ce qu’à certains égards il a commencé de faire – que les technoprophètes continueraient à entonner leurs hymnes."
Aujourd’hui le rêve s’est transformé en un véritable cauchemar dont il convient de se réveiller avant que le Réel ne nous y contraigne par un surgissement trop brutal.
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galit27 · 4 years ago
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Imagine Harry Potter | Draco Malfoy
Demandes : 
1-Je voudrais bien du genre histoire d'amour avec Drago la maison Gryffondor, meilleure amie Hermione granger et Harry Potter, pire ennemi Ginny, fille sang mêlé et brune avec les yeux marrons et pour le nom Chaïma Watson.
2- Draco affectionne cette sang de bourbe alors qu'il n'est pas sensé en aimer
Je t'aime malgré tout dit par Drago
Le personnage est à Serdaigle elle s'appelle Emma et après la rencontre comme tu veux mais j'aimerais bien que une fois qu'il soit ensemble ça soit en secret puis quelqu'un le découvre et cafte mais il reste quand même ensemble à la fin voila
  Je m’appelle Emma je suis en cinquième année et j’ai 16 ans. Malgré ma maison qui est Serdaigle, mes véritables amis sont à Gryffondor, Harry Potter et surtout Hermione avec qui je partage de nombreux points communs dont mon origine moldu. Si elle a décidé de ne pas le cacher aux autres, moi je préfère demeurer à l’abri des insultes sur mon sang. Cette année est étrange, cela fait depuis plusieurs années que je sens qu’ils me cachent quelques choses, je sais que ça a un rapport avec Voldemort. Je suis une élève studieuse, je ne veux pas donner raison aux stéréotypes sur la valeur du sang qui disent que les sangs de bourbe sont plus faibles. Un seul cours me pose problème, il s’agit des cours de Défense contre les forces du mal, c’est comme si cette vieille chouette avait vu sur mon front une cible à visé.
-             Mademoiselle Gray, vous semblez ailleurs pouvez-vous revenir parmi nous et répondre à la question ?
-             Excusez-moi, je prenais notes je n’ai… Je n’ai pas entendu votre question.
-             (Elle sourit comme l’hypocrite qu’elle était) Vos bonnes notes ne vous dispensent pas d’écouter, avoir de bons résultats ne veut pas dire que vous êtes au-dessus de tout le monde.
-             Je n’ai jamais prétendu être au-dessus de qui que ce soit. Je me suis égarée dans mes pensées et je m’en excuse.
-             Vous semblez penser que c’est en vous faisant passer pour ce que vous n’êtes pas que vous réussirez-
-             Quoi ?! Comment … Qu’insinuez-vous ?!
-             ASSEZ ! Dix points en moins pour Serdaigle et je vous conseille de baisser d’un ton.
Elle s’approcha de moi, et dans un murmure qui m’étais à peine audible :
-             Sale sang de bourbe…
---
Je mangeais lorsque je vis Hermione me faire signe de la suivre dans les couloirs. Nous nous sommes éloignés de la Grande salle avant qu’elle ne me parle. :
-             C’est vrai ce que Luna m’a dit ? Dolores s’en ai pris à toi ?
-             Elle s’en prend à tout le monde, elle ne m’atteindra pas, et elle ne doit pas t’atteindre non plus.
Des personnes approchaient et je reconnus au loin Draco Malfoy et ses chiens. Avec sa tête de prétentieux et son air suffisant. Et dire que j’avais eu un crush sur lui en début de quatrième année.
-             Tu devrais faire attention à qui tu fréquentes Gray sinon tu seras une traite à ton sang.
Et alors qu’il allait partir, je ne pus laisser son commentaire blessant sans réponse.
-             Au cas où tu ne te serais jamais écorché la peau de toute ta douce jeunesse passer près de ton misérable père, je t’apprends aujourd’hui qu’il n’existe qu’une seule couleur de sang et que le seul traite c’est toi, tu fais honte a toute forme d’humanité, misérable reptile.
Il semblait blesser car il se retourna et s’approcha de moi, il resta à bonne distance de moi.
-             Il n’y a que les faibles pour répondre qu’il n’existe aucun classement. Je t’ai peut-être surestimé Emma, finalement ton côté moldu semble plus marqué que ton sang noble.
Alors que j’avais attrapé ma baguette et que j’étais prête à jeter un sort, lorsque la voix de la vieille harpie, Dolores Ombrage se fit entendre :
-             Que se passe t’il ici ?
Je la dévisageai avec haine :
-             Eh bien ?
-             De toute façon, vous avez déjà décidé qui vous punirez n’est-ce pas ?
-             Mademoiselle Gray, vous devriez vous taire avant de faire perdre plus de points. Pourquoi cela ne m’étonne pas que vous trainiez avec Mademoiselle Granger ? Surement car les né-moldus comme vous, chercher toujours à vous réunir comme des insectes.
-             Aguamenti !
Ce fut le plus beau de tous les spectacles qui me fut donner de voir. Même les pires punitions ne pouvaient me faire regretter la scène qui se dérouler devant moi. Ombrage gesticulant pendant que l’eau se déverser sur elle. Profitant de cette distraction je dis à Hermione de retourner dans son dortoir comme ça lorsque Ombrage sera calmé elle ne punira que moi.
---
Le lendemain lorsque je retrouvai Hermione, Harry, Ron et Ginny à Pré au lard, je ne pouvais m’empêcher de gratter la phrase gravée littéralement sur mon avant-bras : J’arrêterai de me prendre pour ce que je ne suis pas. J’ignorai le regard noir de la jeune Weasley, entre elle et moi ce n’était pas l’amour fou, pour cause, elle voyait en moi une adversaire pour gagner le cœur d’Harry. Hermione me sourit de façon compatissante, et Harry souleva sa manche pour me montrer sa cicatrice-phrase :
Harry : - Tu étais jalouse de pas avoir la même que moi ?
Hermione : - Par Merlin, j’ai cru qu’elle allait te tuer.
Ron : - Dommage que j’ai loupé ça.
Emma : - Tu aurais dû voir sa tête ça valait largement la punition !
Ginny : - Et qu’est ce que tu comptes raconter à ta famille d’accueil ?
Emma : - Sale garce ! Qui t’as dit ses bêtises ?
Ginny : - Donc c’est vrai ?
Hermione : - Qu’est ce que ça veut dire Emma ?
Ginny : - Meilleurs amis, pas de secret c’est ça ?
Et sur ses mots de peste elle s’en alla.
Emma : - Je suis désolée je ne savais pas comment vous le dire, je suis orpheline.
Ron : - Pourquoi tu ne nous l’as pas dit ? Ça n’aurait rien changé ?
Emma : - Tu sais que lors de la Répartition dans les maisons, j’ai failli aller à Serpentard ?
Harry : - Oui comme moi, je ne vois toujours pas le problème ?
Hermione compris :
Hermione : - Tu es orpheline, tu as failli être répartie à Serpentard …
Emma : - Et comme tout le monde le sait, j’adore faire des farces, des bêtises ; je travaille dure et n’hésite pas à apprendre des sortilèges non enseignés, comme le sortilège Aguamenti que l’on apprend qu’en sixième année. J’ai peur que l’on me voit comme Tom Jedusor, comme Voldemort. Je suis désolée.
Je partie avant que l’on ne me dise quelque chose sur le ton de la pitié. Je me baladais au bord de la forêt, lorsque Draco s’approcha, seule, de moi.
Emma : - S’il te plait, je ne suis pas d’humeur.
Draco : - Je suis venue m’excuser.
Je le regardais dubitative :
Emma : - Toi ? Venir t’excuser ? Où est le piège ?
Draco : - Pourquoi il y aurait un piège ?
Emma : - Quelqu’un t’as lancé le sortilège de l’imperium ?
Draco : - Arrête un peu avec ton sarcasme ! Je ne peux pas venir simplement m’excuser.
Je me sentis un peu honteuse lorsque je le vis s’éloigner.
Emma : - Ecoute je suis désolée, je ne voulais pas être aussi énervante, c’est juste que généralement, les gens ne s’excusent pas. Tu devrais t’excuser auprès d’Hermione, moi, j’ai l’habitude, je sais encaisser.
Draco : - Tu sais encaisser ? Je ne pense pas vu comment Ombrage a crié après que tu l’ais arrosé. Je présenterais mes excuses à Hermione si c’est ce que tu veux.
Je ris nerveusement :
Emma : - Depuis quand mon avis compte ?
Draco : - Depuis toujours Emma.
Je le regardai complètement perdu. Il s’approchait doucement et pris ma main.
Draco : - Je… J’ai du mal à exprimer mes sentiments mais… depuis que je t’ai vue, j’ai ressenti quelque chose, de l’attirance. Mais lorsque j’ai vu qui tu étais vraiment lors des quelques cours que l’on partage, je suis tombé amoureux de toi et je sais que tu ressens quelque chose pour moi, je ne sais pas quoi mais je sais que tu ressens quelque chose ; car si ce n’était pas le cas tu ne m’aurais pas retenue tout à l’heure, j’ai plein d’autres exemples si tu veux.
Je ris avant de le stopper
Emma : - Non s’il te plait laisse moi croire que mes émotions ne sont pas si… Facile à lire.
Il rit à son tour :
Emma : - Ok, tu as raison je ne suis pas la personne la plus subtile. Mais…
Il m’interrompu en m’embrassant. Après quelques temps, je l’éloignai et le regardais choquer :
Emma : - Et ton père ? Je suis … Enfin je ne sais pas ce que je suis.
Il sourit avant de me répondre :
Draco : - Je croyais que mon père était misérable ?
Emma : - Oui mais je sais que son avis compte pour toi.
Draco : - Que tu sois une née moldu, ou un sang-pur… Je m’en fous. L’autre soir, lorsque j’ai appris que tu étais une née moldu, au début, j’ai cru que j’allais te détester et puis, je me suis rendu compte que rien n’avait changé.
Je souris :
Emma : - Personne ne m’avait jamais dit quelque chose d’aussi gentil.
Draco : - Donc, si je te demande de sortir avec moi, tu répondrais oui ?
Emma : - Être ta petite amie ?
Draco : - Tout ce que tu veux tant que je suis avec toi.
Emma : - Ok, oui, une seule condition.
Draco : - Je t’écoute.
Emma : - Il faut que ça reste entre nous pour le moment.
Draco : - Si tu as peur de mes amis, tu n’as rien à craindre d’eux.
Emma : - Non, enfin ça me rassure, mais c’est surtout que je ne me vois pas aller voir mes amis et leur dire que je sors avec toi alors que je viens juste de leur apprendre que j’étais orpheline.
Draco : - Tu es orpheline ?
Emma : - Oui… On devrait rentrer avant de dépasser le couvre feu.
Draco : - D’accord mais d’abord…
Il m’embrassa avant de me prendre dans ses bras.
---
Plusieurs semaines étaient passées, Draco et moi avions réussi à garder le secret. Nous étions à Pré-au-Lard près de la Cabane Hurlante en train de nous embrasser lorsque nous avons entendus des gens se rapprocher, puis s’éloigner. Alors que nous pensions être enfin seul, et que l’on se re embrassa. J’entendit un halètement de choque et mon prénom, lorsque je me retournai je vis Ginny et son regard de fouine. Alors que j’allais l’arrêter, elle se mit à courir vers Pré-au-Lard.
Emma : - Merde ! Fais chier ! Ils vont croire que je les ai trahis.
Draco : - Tu n’as qu’à dire que je t’ai surpris en t’embrassant.
Emma :- Quoi ?!
Draco : - Je ne veux pas te forcer à choisir entre tes amis et moi. Je sais qu’il compte pour toi, comme une famille.
Emma : - Draco… Les semaines que j’ai passé avec toi m’ont permis de ressentir un sentiment que je n’avais jamais eu, l’amour. Je ne veux pas perdre mes amis, et encore moins toi.
Draco : - On n’est même pas sûre que Ginny va aller leurs dire.
Emma : - Crois moi, elle le fera.
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alexar60 · 5 years ago
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Je te vois!
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Suite à la naissance de notre deuxième enfant, nous emménageâmes dans une maison plus spacieuse. C’était une de ces maisons bourgeoises comme on les trouve dans les centres-villes. Il y avait du terrain autours si bien qu’elle fut convoitée par quelques agences immobilières afin de la détruire au profit d’un immeuble à bas prix. C’était la mode en ville, à croire que la municipalité acceptait des pots-de-vin pour laisser faire. Toutefois, nous obtînmes l’affaire pour le bonheur de ma chère et tendre.
Au-delà du jardin dont on n’entendait rien de la rue, la maison offrait de nombreuses pièces. Sur deux étages, nous avions quatre chambres, une bibliothèque, un salon, une salle à manger et deux salles d’eau.  De plus, en nettoyant le grenier, jamais on n’aurait pensé trouver une salle secrète. En effet, un mur de plaques de plâtre séparait ainsi le grenier en deux.
Après avoir fait une entrée dans le faux mur, nous découvrîmes de nombreux objets et meubles oubliés sous des draps blancs couverts d’une fine couche de poussière. Nous trouvâmes deux armoires à l’apparence vieillotte, des malles plus ou moins en bon état. Nous fûmes surpris de ne rien voir rongé par la moisissure tellement la pièce parut hermétique. Dès lors, Sarah mon épouse débarrassa les valises de leur contenu. Elle et notre fille ainée, s’en donnèrent à cœur joie à la vue de magnifiques vêtements de diverses époques. La plupart rappelait les années 70 et 80. Il y avait des jeans en pattes d’éléphant, des pantalons en tulipes, des chemises et robes à fleurs, des chapeaux et le tout pouvaient encore servir.
La malle la plus cachée contenait juste une poupée. Il n’y avait rien de précis, aucune explication. Elle était isolée des autres jeux que nous découvrîmes dans un coffre à jouets en forme de coffre de pirate. Son apparence très bien conservée était charmante avec ses cheveux roux et ses yeux verts. Par ailleurs, après quelques recherches sur internet dans le but de connaitre sa valeur, mon épouse découvrit qu’elle était une des premières poupées à avoir la faculté d’intégrer un système électronique la faisant parler. Du haut de ses quatre ans, Louise n’attendit pas notre permission et joua avec. La poupée prononçait plusieurs phrases classiques telles que « Il est l’heure du thé » et « veux-tu jouer avec moi ? » Cependant, elle répétait surtout deux phrases qui me dérangeaient étrangement : « Je te vois » et « Veux-tu être mon amie ? »
En effet, il y avait dans le timbre grésillant de sa voix de petite fille, une sorte de malaise perceptible à l’oreille. Il y avait comme un dédoublement de la voix. Toutefois, nous laissâmes notre fille jouer avec. Elle s’en était amourachée….normal pour une petite fille.
Deux jours plus tard, Louise ressentit ses premiers malaises. Elle se plaignit de faire des cauchemars nous rejoignant en pleine nuit pour dormir dans notre lit. Au début, nous acceptâmes, seulement, nous décidâmes de ne pas l’habituer à continuer ce jeu. Alors, Sarah ou moi l’accompagnait dans sa chambre où l’on veillait jusqu’à ce qu’elle se rendorme. Seulement, il arrivait qu’elle revienne une heure après, toujours aussi perturbée par un terrible songe.
Au bout d’une semaine, elle sortit la poupée de sa chambre. Elle était en colère après elle, l’accusant d’être méchante et de vouloir la pousser à faire du mal à son petit frère qui n’avait pas encore huit mois. Elle abandonna le jouet sur le seuil de sa porte, alors, je décidai de la prendre et la ranger dans une armoire en attendant que Louise décide de rejouer avec. Mais, le soir, j’entendis un curieux bruit provenir de l’armoire. C’était comme une voix de petite fille qui répétait en boucle : « Je te vois ». Dès lors, j’ouvris la porte et remarquai que le mécanisme de la poupée fonctionnait. Je la pris dans les bras pour l’éteindre lorsqu’elle me surprit par : « Veux-tu être mon ami ? » Je répondis machinalement : « Plus tard » avant de baisser l’interrupteur sur off. Puis, je refermai les battants de l’armoire après avoir déposé la poupée.
Durant les nuits qui suivirent, Sarah et Louise furent réveillées par des rires de fillettes. Je devinai qu’elles faisaient des cauchemars. Mais j’entendis ces mêmes rires. Je me levai, me demandant d’où cela pouvait bien provenir lorsque je compris qu’il s’agissait de la poupée. Accompagnée de Sarah, j’ouvris l’armoire. Quel fut mon inquiétude d’entendre de nouveau la poupée répéter : « Je te vois ». « Tu n’y a pas touché ? » demandai-je à mon épouse. Elle répondit par un non évident. Dès lors, je repris la poupée. Mais avant, j’examinai son visage qui me semblait légèrement différent. Ses yeux paraissaient bouger et me suivre. Sarah ria jaune quand elle dit : « Veux-tu être mon ami ? » Par contre, je ne répondis pas puis je retournai la poupée, ouvris sa robe en tissu rose et restai éberlué en constatant l’interrupteur en position éteinte. « Il y a un dysfonctionnement ! » affirma Sarah. Ainsi, j’amenai la poupée dans le salon, la déposai sur la table basse avant de récupérer un tournevis.
La poupée continuait de s’exprimer récitant toujours les deux phrases : « Je te vois. Veux-tu être mon amie ? » Cela nous tapa sur le système. Sarah avoua aussi ressentir des nausées. Pendant ce temps, notre fils Noah pleura tout à coup, rappelant son besoin nocturne de manger… ou quelque-chose venait de le réveiller car il refusa le biberon préparé par sa mère. Le temps de revenir et j’entendis Sarah s’énerver sur la poupée alors qu’elle n’était pas dans la même pièce.
A peine entrai-je dans le salon que je fus déconcerté en apercevant la poupée assise alors que je l’avais allongée sur la table. Trop occupée, Sarah ne pouvait l’avoir touchée. Le poupon attendait sagement en rabâchant toujours les deux phrases. J’avançai lentement vers elle, j’étais pris d’une sensation de malaise. Sans comprendre pourquoi, mon cœur s’emballait. J’attrapai la poupée qui continuait de s’exprimer et desserrait les vis dans son dos. Seulement, une fois le boitier ouvert, je lâchai le jouet, pris de panique par ce que je venais de voir… ou par ce que je ne vis pas.
Le boitier était complètement vide. Il n’y avait pas de pile. Il n’y a jamais eu de pile dans la poupée. Je restai immobile, inquiet, apeuré, étourdis par cette horrible réalité. La poupée était possédée. Cette dernière sur le ventre, la tête anormalement tournée de côté, répétait sans cesse : « Je te vois… Veux-tu être mon ami ? Je te vois…Veux-tu être mon ami ?... » Maintenant, je comprenais pourquoi elle était enfermée dans le plus profond des coffres. Elle n’aurait jamais dû être trouvée.
Ni Sarah ni moi ne voulut retoucher à cette poupée de l’enfer. Nous la laissâmes dans le salon. Je fermai la porte, espérant qu’elle s’arrête avec l’usure. De même, Sarah décida de dormir dans la chambre de Louise après avoir déplacé le berceau contenant notre fils. Elle voulait être certaine qu’il n’arrivera rien aux enfants. De mon côté, je m’allongeai sur mon lit et ne voulant pas dormir, je lis mon livre de chevet. Toutefois, mes paupières s’alourdirent au point de se fermer. Je crois m’être assoupi quelques minutes lorsqu’une voix me réveilla.
En voyant la poupée à mes pieds, je sursautai tout en criant. Elle était assise et prononçait encore ces phrases agaçantes : « Je te vois, veux-tu être mon ami ? » Ses yeux avaient perdu leurs éclats, ils n’étaient plus verts mais d’un blanc si humide qu’ils paraissaient vivants. Son aspect livide, la couleur de son visage devenue olive rappelait les morts-vivants des films d’horreur. La poupée ne remuait pas, se contentant de répéter avec une voix de gamine mêlée de crépitement ses phrases préférées.
Dès lors, je repris mes esprits en me disant qu’elle ne pourrait rien contre moi. J’approchai lentement et murmurai par simple curiosité : « D’accord, je veux bien. ». A ce moment, le sang me glaça, la torpeur envahit mon esprit quand j’entendis la poupée demander dans la plus grande des sérénités : « Alors, tu veux bien tuer ta femme et tes enfants pour moi ? ». Elle insista à dire cette phrase sans interruption. Il n’y avait aucun silence entre la fin de la question et le début de la suivante. Elle persistait au point de m’hypnotiser. Des images effroyables me vinrent en tête. C’était comme une cruelle prédiction dont j’avais le mauvais rôle. Le sang bouillait dans mon cerveau, j’eus un soudain mal de crâne et pour m’en débarrasser je savais que je n’avais qu’une seule chose à faire : massacrer ma famille.
Soudain, je me suis levé du lit et j’ai couru pour me jeter par la fenêtre.
Quand je me suis écrasé sur le parterre de fleur, j’entendais encore la voix maudite de la poupée. Ensuite, je ne pouvais plus bouger. Je ne sentais plus mes jambes ni mes bras. En entendant le fracas, un voisin appela les secours après m’avoir aperçu gisant sur le sol. D’après les médecins, la colonne vertébrale a été sectionné et je resterai paralysé jusqu’à la fin de mes jours. On m’a demandé pourquoi j’ai fait ça. J’ai menti prétextant l’accident afin de ne pas être pris pour fou. Sarah connait la raison et cela me suffit. Elle avait été réveillée par le bruit de verre qui éclatait. Elle s’est précipitée dans la chambre et a vu la poupée tourner la tête dans sa direction avant de lui dire : « Je te vois, veux-tu être mon amie ? »
Sarah a fait appel à un professionnel du paranormal pour se débarrasser de la poupée. Depuis, nous vivons paisiblement. Je me déplace grâce à une petite voiture électrique qui obéit à ma voix. Je regarde les enfants grandir ainsi que Sarah qui s’occupe de nous trois. Parfois, je regrette ma décision. A ce moment, la dernière question de la poupée revient dans mes pensées et je sais que c’était la seule solution. Autrement, elle aurait pris possession de moi et quel mal aurait-elle fait à ma famille ? Dieu seul le sait !
Alex@r60 – décembre 2020
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aime-comme-margot · 4 years ago
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La transidentité ou la parentalité, il faut (apparemment) choisir.
De la primaire au lycée, mes profs m’ont toujours rabâché une chose. Une chose précise. Et j’imagine que les votre aussi l’ont peut-être fait. C’est une sorte d’incantation, qui m’a suivie toute ma scolarité. Ils disaient à qui veut bien l’entendre : « les consignes, on les lit JUSQU’AU BOUT ». Et de ce côté là, je pensais avoir été sérieuse. Mais force est de constater qu’arrivée à l’âge adulte, au moment de revêtir mon habit de citoyenne française majeure, je m’étais mise des œillères. J’ai été bête, je ne l’avais jamais lu jusqu’au bout, notre titre honorifique du « pays des droits de l’homme et du citoyen ». Écrit en tout petit, au bout d’une astérisque, il était en réalité indiqué « pays des droits de l’homme et du citoyen cishet ». Car c’est bien lui le seul citoyen qui inquiète réellement l’État : l’homme blanc hétérosexuel et cisgenre.
Et plus je me suis intéressée aux droits des personnes transgenres en France, plus il a été clair que mon infériorité était gravée en bleu-blanc-rouge. Discriminées, battues, assassinées ou poussées au suicide, nous les personnes trans, on ne vaut apparemment pas grand-chose. Les personnes transgenres ont jusqu’à dix fois plus de risque se suicider que les personnes cisgenres. Et si je crois bien sûr à l’action individuelle, à la possibilité de changer une nation par le peuple qui la forme, je crois aussi qu’il est normal d’exiger de l’État la considération et la protection des minorités.
Aujourd’hui, je veux vous partager une ressource vidéo. Elle n’est pas le fruit d’un travail militant. Elle n’est pas engagée. Elle est davantage descriptive. Cette vidéo, c’est la prise de position de l’État sur la question trans concernant le projet de loi Bioéthique. Vous savez, en 2019, quand on réclamait la PMA pour toustes. Voici le lien de la vidéo : https://youtu.be/Hh_UWtOaPzM.Je vous invite vivement à y jeter un œil. Que vous soyez trans ou pas, ce témoignage est important pour la postérité. Pour constater le lien de cause à effet, entre l’ignorance, et le mépris. On y voit, Agnès Buzyn (ancienne ministre de la santé), certainement pas reconnue pour ses faits de haut vol, se mélanger les pinceaux dans des phrases interminables et maladroites. Le texte porte sur l’accès à la parentalité pour les personnes transgenres, et la ministre de la santé, prenant la parole sur ce sujet capital pour les personnes concernées, confond chaque terme avec son contraire. Rien n’est dit, tout est faux, embrouillé, confus et insultant. Chaque parole, chaque mot, le plus petit soit-il, est à côté de la plaque. Et j’aimerais pouvoir en sourire. J’aimerais m’en amuser franchement. Mais la réalité, c’est qu’il est question d'individus ignorant tout de ma condition et qui choisissent de m’ôter des droits fondamentaux. Les personnes transgenres doivent choisir entre la transition sociale et la parentalité. En effet, les personnes trans, selon la loi française, ne disposent plus de leurs gamètes une fois le changement de mention de sexe à l’État civil effectué. Vivre comme on l’entend et en payer le prix, ou s’oublier derrière un schéma de vie qui ne nous correspond pas, il faut choisir. Si cela m’enseigne une chose, ce n’est pas la haine, mais bien l’intérêt d’informer les autres.
Par exemple, saviez-vous qu’il y a moins de cinq ans, les personnes transgenres qui souhaitaient modifier la mention « M » (pour les personnes assignées homme) ou « F » (pour les personnes assignées femme) sur leur carte d’identité devaient se faire stériliser ? C’est-à-dire qu’il fallait être stérile, ou bien le devenir, pour pouvoir espérer s’intégrer socialement en tant que personnes trans. Heureusement, cela a changé depuis, même si les démarches reste compliquées. Et on pensait pouvoir s’éloigner progressivement de ce flirte avec l’eugénisme, visiblement à tord. Cette haine affichée de l’État vis-à-vis des personnes transgenres perdure. On estime que le taux de personnes transgenres dans une population est d’approximativement 0,3 % à 1,6 % (Madeline B. Deutsch, « Making It Count: Improving Estimates of the Size of Transgender and Gender Nonconforming Populations », LGBT Health, vol. 3, n° 3,‎ juin 2016, p. 181–185). Autant dire qu’à l’échelle d’une vie de rencontres, on a toustes croisé le chemin de personnes trans, souvent sans le savoir.
Et c’est là que vous intervenez. Personnes concernées directement ou indirectement, allié·es ou non, s’informer est primordial. Et je ne parle pas là de suivre ardemment l’actu trans, mais simplement de maîtriser quelques notions de base, d’être en mesure de porter une bienveillance éclairée sur nos problèmes. Les soucis que nous, personnes transgenres, rencontrons au quotidien, sont symptomatiques d’une société qui aime les cases et les clones. À défaut de pouvoir mettre maintenant un grand coup de pied dans la fourmilière qu’est notre république, il faut changer les choses par le bas, petit à petit. Pour disposer du droit d’être non pas La Femme, mais une femme. Pour disposer du droit d’être non pas L’Homme, mais un homme. Écoutez la parole des personnes transgenres, et partagez nos revendications basiques. Celles d’avoir le même accès à la dignité et au bonheur que les personnes cisgenres, notamment en déconstruisant les stéréotypes de genre. Pour cela, je vous invite à vous rendre sur le site Wikitrans (https://wikitrans.co/hp-proches) et à en partager les ressources pour informer vos proches, votre famille, le peuple. C’est un site géré par des personnes concernées et très compétentes, il constitue une bonne première approche de la question. Merci pour votre lecture, merci pour votre bienveillance, maintenant c’est à vous d’en parler.
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darkpalmor · 4 years ago
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4 JANVIER  2021
Louis Armand, on continue !
Écriture brève (10-15 minutes maximum) : Point de vue. Prendre le point de vue d’un objet familier et raconter ou décrire (en monologuant ou en s’adressant à quelqu’un) des moments de sa vie quotidienne, son environnement, ses états d’âme, etc. Objet imposé : Un masque spécial anti corona virus.
J’en ai marre de toi et de ton menton ! Ça me gratte à chaque fois que tu bouges, tu es mal rasé et c’est dégoûtant. Et puis d’abord, ce n’est pas comme ça qu’il faut me porter. Sur le nez ! Pas sous le menton ! Sous prétexte que tu as de la buée sur les lunettes, tu n’arrêtes pas de me tripoter, de me monter, de me descendre, de me pincer, et tu as les doigts sales ! Je vais te dire un truc, un truc médical : je sens l’odeur de gras à travers mon tissu. Tu sens le kebab ! Et le kebab qui a été touché par n’importe qui, ça laisse des traces. J’ai l’oreille fine, moi, pas comme toi avec mes élastiques qui te les déforment. J’entends grattouiller les petits virus qui s’agitent et qui essaient de percer ma membrane délicate. Étant donné que tu ne m’as pas changé depuis trois semaines, vieux radin, tu peux être sûr que tu vas tomber malade. Et je sais bien que je finirai mal, moi aussi : je t’ai déjà vu balancer sur le trottoir mes deux prédécesseurs, c’est dégoûtant. Moi, je suis un professionnel, toi un amateur : c’est toi qui devrais m’écouter. Chirurgical, que je m’appelle, pas à gaz, ni de carnaval. Allez, je m’arrache. Autant périr volontairement que de rester coincé sous un tel abruti. Je me concentre sur l’élastique de gauche, il va péter, et tu te retrouveras bien bête avec un mouchoir pendouillant sous ta sale tête. Adieu, voyou.
Gladys G. Je suis seul dans le noir, traînant dans la poussière avec de vieux objets... Quand soudain je suis aveuglé par la lumière. Une main me prend, je ne comprends rien à ce qui se passe. Cette main me met sur son nez, sa bouche aussi est prise. Elle me porte toute la journée sans faire attention à moi, me pince constamment sans savoir ce que je ressens, ne me demande pas si je suis bien installé et le pire du pire c’est quand elle me retire et qu’elle me jette comme si je n’étais pas vivant... Quelle honte de me traiter ainsi, elle oublie que je la protège alors qu’elle me maltraite, sans moi ils seraient sans protection envers ce virus de malheur... 
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Gonflette (10-15 minutes) : La bonne farce ! Farcir un court texte initial en y insérant des éléments, mais sans supprimer ni modifier un seul des mots de la phrase de départ. On n’ajoute rien avant le premier mot, rien après le dernier mot, mais on a le droit de changer la ponctuation, couper la phrase originale en phrases séparées, et d’insérer des mots où l’on veut, changer un nom commun en nom propre, pourvu que l’orthographe de chaque mot soit absolument respectée. Voici une phrase à qui vous ferez de la musculation : « Comme il faisait une chaleur de 33 degrés, le boulevard Bourdon se trouvait absolument désert. » C’est la première phrase d’un roman inachevé de Gustave Flaubert publié en 1881 à titre posthume, Bouvard et Pécuchet.
Jacques B. Comme il neigeait fort sur la grand-route, j’ouvris grand mon parapluie - j’en avais un, volé sans doute au seau planté à l’entrée de la salle des profs du lycée que je quittais, à peine retrouvé au retour des vacances de Noël. Il faisait blanc à Chambéry. Je rêvais de rivières, de grenouilles et d’infinis pâturages. Mais de grenouille, pas une, et pas de pâturage. Les tours de béton gris folâtraient parmi les pylônes à haute tension. La neige était épaisse, collante, d’une chaleur flasque. S’épaississant, elle formait un gruau étrange, presque de boue. Je parvins à peine à me frayer un chemin parmi les trentenaires inscrits pour une étrange course de côte organisée par le conseil municipal - pensez donc : une course en baignoire à rame, dans le sens de la montée, et dans la neige. J’eus deux ou trois hoquets dont je me remis par degrés. Le boulevard se vida peu à peu des baignoires. Un plombier, dans sa voiture balai, suivait de loin l’étrange convoi. Moi, qui avais toujours voulu apprendre la vielle à roue pour la seule joie du bourdon, je ne trouvais rien qui valût d’être bouleversé. Je, qui est un autre, se trouvait ici et alors absolument désert.
Marie CH. Comme à son habitude sur notre planète bien aimée, le soleil se revêtait d’une enveloppe bleutée au milieu de l’année. Signe de son équinoxe annuelle, il faisait voleter ses rayons dans l’atmosphère, nous donnant l’impression de baigner dans une chaleur de 33 degrés. Perdu dans une nage aérienne, tout le monde dansait au-dessus du boulevard Bourdon. Néanmoins se trouvait toujours, loin de cette activité passionnelle que la foule partageait chaque été, un lieu reculé. Qui connaissait aussi la chaleur de notre étoile mais absolument pas la joie des chorégraphies endiablée. Ce lieu si calme et protégé de tous, se nommait tendrement le désert.
Gladys G. Comme il faisait beau, sur la plage il faisait une chaleur étouffante, plus de 33 degrés à l’horizon ! Une belle journée s’annonçait sur la plage d’Espagne ! Hélas quand je me réveillais je me trouvais au boulevard bourdon, absolument dépourvu de que qui m’arrivais car cela était si réel mais tout était désert...
Comme d’habitude Gustave avait trop bu. Il faisait pitié à voir, une loque écrasée par la chaleur du pack de Kro de chez Lidl. La bière en 33 centilitres, même à 5 degrés, quand on en prend une douzaine, ça le fait bien. Il regarda le boulevard désert, qui lui foutait le bourdon rien qu’à imaginer qu’il se trouvait encore à une heure de marche de chez lui, à condition d’aller droit. Il était absolument raplapla quand il s’écroula, dégueulant sur le bitume, et l’esprit plus ensablé qu’un désert.
Comme ci comme ça, et toi ? Moi c’est pareil. Il fait beau, alors… La conversation se faisait molle, les deux amis n’avaient plus rien à se dire. Une fois de plus ils s’apercevaient que leur prétendue amitié avait fondu comme boule de neige à la chaleur d’un poêle à charbon. Ils revoyaient leurs 33 ans de relation amicale, et comprenaient que par degrés elle s’était diluée dans l’indifférence et les habitudes. Le pire, c’est qu’ils s’en étaient rendu compte, mais avaient laissé dégénérer la situation. Le bourdon de la cathédrale les rappela à la réalité, sordide : ils devaient se quitter, pour de bon. Jacques trouvait que c’était dommage, Bernard aussi. Absolument navrés l’un et l’autre, ils décidèrent de revenir en arrière, grâce à la machine du professeur Marty, et appuyèrent ensemble sur le bouton reset. Aussitôt, ils comprirent que la machine était détraquée : ils n’étaient plus devant le beau lycée Louis Armand, mais sur une étendue de sable, pleine de dinosaures et de bestioles improbables. La machine à voyager dans le temps les avait catapultés dans un désert !
Une petite liste (5 minutes maximum) : À la manière de Sei Shōnagon. Les Notes de chevet de Sei Shōnagon (966-1025 environ) établissaient des listes improbables, à la charge poétique inattendue. On tâchera d’énumérer rapidement quelques-unes des Choses qui s’emportent en forêt.
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Un couteau. Un panier pour les champignons. Un bâton contre les loups. Du papier à lettres et des timbres et de quoi écrire. Des pansements pour les ampoules aux pieds. Quelques souvenirs de promenades. Un petit chien noir.
Gladys G. Un opinel. Une couverture. Une carabine pour chasser. Mon chat. Du parfum. Mon livre préféré. De la nourriture. Des amies. De l’aventure. Une corde. Un sourire. De l’émotion.
Jacques B. Une boîte de sardines en boîte. Une boîte à choses à ne pas oublier. Une boîte contenant un trente-trois tours de Yellow Submarine. Un mange-disque. Une prise de courant pour le mange-disque. Les verbatim complets des discussions de Jean-Michel Blanquer avec les recteurs d’Académie. Un tire-bouchon au cas où. Un cherche-bouchon automatique. Une boîte à ranger les boîtes. Les discussions molles de Bernard Maréchal, T.1, 2021. Un téléphone yaourt à connecter au ciel pour converser avec Dieu, et une assez longue ficelle.
Marie CH. Un livre. Une balançoire. Des bottes. Des jumelles. Un appareil photo. Un sifflet. Un sac à dos. Un petit drapeau. Une craie. Un fil d’Ariane.
Véronique G. Une couverture de survie. Du parfum. De la soie. De la musique. Un sandwich. Un thermos de café. Une lampe torche. Une boussole.
Sans légende (10-15 minutes) : Écriture asémique ? Voici un dessin que m’a offert le peintre Sergio SCHMIDT IGLESIAS, né à Mercedes (Uruguay) en 1941. Il vit et travaille à Paris depuis 1967. Ce dessin de novembre 2017 mérite une légende, ou une tentative d’explication artistique. C’est ce qu’on écrira en une dizaine de lignes, sur un ton sérieux et presque savant.
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Gladys G. Lorsque que je regarde ce tableau, il me met mal à l’aise, en effet il est spécial et pas comme les autres.... Le dessinateur a fait exprès de représenter des sortes d’écritures que nous n’arrivons pas à déchiffrer et cela crée une atmosphère particulière. Le fait qu’un bonhomme soit dessiné avec de gros trait épais et noir comme l’obscurité cela ne m’inspire pas confiance. Il y a le fait aussi qu’il soit dessiné un peu en 3 dimensions, j’ai l’impression qu’il va sortir du tableau et se jeter sur moi, il a l’air presque réel, c’est autant effrayant que fascinant !
Le quadrillage en forme de cage s’est déchiré sous la pression des mots qui emplissent l’esprit de l’homme rectangulaire, celui de l’autoportrait. Sergio s’efface et sort de lui-même. Phrases de bile noire et bleue, phrases de sang, c’est l’expression du désir de liberté qui s’affiche ici. L’homme artificiel voudrait parler, peu importe de quoi : l’écriture asémique, c’est la preuve que les mots ne comptent pas, c’est le débit et l’abondance qui priment. Sergio sort de son propre corps de feutre noir, son corps crucifié et de deuil, à grands coups de stylo bille et de feutre, son griffonnage emplit la page et devient l’espace lui-même. Écriture enfantine, naissance de l’écriture et du dessin, naïveté qui conserve la rigueur du cadre : on ne déborde pas, même pour signer.
Jacques B. La composition de l’homme croisillonné, parfois appelé l’assomption d’un jurassien à carreaux, unit librement des événements de différentes époques. Signée Sergio, la toile est d’auteur inconnu. On doit sa découverte à un écrivain né en 1881 à Neuchâtel, qui prétend l’avoir trouvée cachée sous le lit du prieur en chef d’un monastère d’Irkoutsk. Ici, la figure postmoderne de la Visitation du Maréchal représente également le moment de l’apparition de Bernard-le-cube-plat, et la venue de l’Écriture pour recueillir l’âme du CDI afin de l’emporter au ciel (assomption). Non seulement l’événement clé est placé au centre, mais son importance est en outre rehaussée par une représentation à une échelle agrandie. Ainsi, le spectateur saisit dès le premier regard l’essentiel en le complétant de détails après avoir regardé plus attentivement : ce tableau, qui appelle une inversion de l’ordre de lecture occidental, invite à une élévation du regard : les cheveux qui le surplombent sont bien ceux du poète barbu que nous connaissons, et qui auraient migré au sommet de son crâne. Les icônistes de la grande Tradition préparaient leurs propres peintures en mélangeant des pigments naturels avec de l’eau et du vinaigre ou du vin blanc pour la conservation. Cette tradition, ici respectée, à ce jour, est traitée dans une farandole de Bic noir, bleu et rouge.
Marie CH. Dans la petite œuvre dessinée par Sergio SCHMIDT IGLESIAS, j’imagine un enfant voulant se couper du monde bavard et incompréhensible, qu’est celui des adultes, des grands. Dans ce flot interminable de paroles débitées avec assurance et certitude, l’enfant ne peut créer sa place. Sa seule ressource est donc de se la créer tout seul, s’isoler de ces paroles sans émotions et profiter de son enfance, avant que lui aussi, ne passe la frontière invisible séparant les deux mondes.
Le Merci de Sergio !
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frenchwitchdiary · 5 years ago
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Déjà avant même que je commence à pratiquer, j’étais fasciné.e par Alan Moore et sa vision de la magie, que j’ai pu découvrir alors sur Arté à l’époque dans une série documentaire qui lui était consacrée, intitulée “The Mindscape of Alan Moore”. Alan Moore, c’est ce vieux britannique excentrique (pléonasme ?) au regard perçant et à la crinière hirsute, plus connu en tant qu’écrivain et scénariste de comics tels que Watchmen ou V pour Vendetta, pour ne citer qu’eux. Il se décrit lui-même comme magicien, et certains de ses propos m’ont amené à beaucoup réfléchir sur le concept même de magie.
“Le problème avec la magie, étant à bien des égards une science du langage, c’est que vous devez faire très attention à ce que vous dites, parce que si soudainement vous déclarez être un magicien, sans aucune connaissance de ce que cela implique, alors un jour vous êtes susceptible de vous réveiller et de découvrir que c’est exactement ce que vous êtes.″
Alan Moore pointe ici par ce simple exemple (non sans humour d’ailleurs) l’importance du langage dans la magie. Ce que vous dites, vous le devenez - il en va de même quand vous vous répétez des pensées négatives sur vous-même, petit à petit elles vont impacter votre vision de vous et votre vie. Le langage est puissant, il agit sur l’esprit, le sien, celui des autres, et savoir l’utiliser est une arme redoutable (et redoutée, c��est pourquoi les écrivains, philosophes et artistes sont aussi persécutés dans les régimes dictatoriaux). Dans des cultures plus anciennes, et même celles encore présentes où un chamane y fait toujours office, on part du principe que n’importe qui peut maudire une tierce personne, ou la bénir, rien qu’avec ses paroles, d’où l’importance de “rouler sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler”. On retrouve aussi le pouvoir de l’auto-détermination via le langage.
“La Magie dans sa forme la plus ancienne a souvent été dénommé comme ‘L’Art’. [...] L’art est, comme la magie, la science de manipuler des symboles, mots ou images pour réaliser des changements dans la conscience. [...] Un grimoire par exemple, the book of spells, est simplement une manière édulcorée de dire la grammaire. “To cast a spell (jeter un sort) is simply to spell” (épeler), de manipuler les mots pour agir sur la conscience des gens.″
Pour Alan Moore, l’art et la magie sont des concepts interchangeables, ils évoquent la même chose, fonctionnent de la même manière : agir sur sa conscience et donc modifier le monde autour de soi. J’aime sa façon de désacraliser et décortiquer la magie pour pointer du doigt son essence même : manipuler les mots et symboles, en jouant même sur la polysémie du mot “spell” en anglais, d’où le fait que je n’ai pas traduit toute sa phrase, pour ne pas la dénaturer. En partant de son analyse, il est donc naturel que l’artiste et l’écrivain soient, pour Alan Moore, les choses les plus proches dans notre monde contemporain de ce qu’on pourrait considérer comme un chamane.
“Ce n’est pas le travail des artistes de donner à l’audience ce qu’elle veut. Si l’audience savait ce dont elle avait besoin, alors elle ne serait plus l’audience, elle serait l’artiste. C’est le travail des artistes de donner à l’audience ce dont elle a besoin.″
L’artiste et le mage sont des rôles interchangeables pour Alan Moore. Il y a quelque chose de très “Chaos Magick” dans sa vision des choses, et assez dystopique aussi : avant cette citation, l’écrivain déplore que les chamanes modernes soient devenus les publicitaires, et leurs paroles magiques soient devenus les jingles qui passent à la télévision, alors capables de faire penser à des milliers de personnes dans le même pays les mêmes mots au même moment. Un pouvoir utilisé selon lui pour anesthésier les esprits plutôt que de les éveiller. L’art et l’écriture sont devenus pour nos sociétés contemporaines des moyens de divertissement, et ne sont plus vus comme des forces transformatrices qui peuvent changer un être humain, voire même la société. La magie a donc ce rôle d’acteur du changement, et non de simple objet de distraction.
“Quand on exécute la volonté de notre vrai Soi, on est inévitablement en train d’accomplir la volonté de l’univers. [...] Aussi loin que l’on fait la volonté de l’univers, alors il est impossible de faire quoique ce soit de mal.”
La connaissance de soi est un très long chemin, l’oeuvre d’une vie toute entière parfois, et aussi une étape cruciale de la voie du mage. Faire taire l’égo, se dépouiller peu à peu de tout ce qui a été élaboré par dessus son identité et qui la rattache à des constructions sociales et extérieures, partir à la rencontre de son vrai Soi (son Soi Supérieur/Higher Self comme on le retrouve parfois), prendre conscience de sa propre dimension divine intérieure. As above, so below.
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Cet article est déjà très long ;_; Je vous laisse découvrir seul-e-s le reste de la vidéo, avec des réflexions plus poussées sur le Soi, le monothéisme, le chamanisme, la philosophie alchimique... Bien sûr, gardez à l’esprit que ce n’est là que la vision subjective d’un individu en particulier, et si j’y ai trouvé écho pour contruire les piliers de ma propre pratique, rien ne vous engage à en faire de même ^^ Je partage cette vidéo avant tout car c’est une très bonne amorce philosophique sur la magie et son intégration à nos sociétés contemporaines et très cartésiennes. Le confinement est un bon moment pour s’exercer à penser et repenser tous ces concepts ;) Portez-vous bien !
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