#abstraction lyrique

[cheminer-poesie-cressant]

(Helena Maria Vieira da Silva, le port, 1953, musée Ludwig, Cologne)

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Liberté infinie,

liberté à quai,

prête pour le grand départ ;

le port de ton âme où tant de désirs

se préparent à prendre le large du néant.

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© Pierre Cressant

(lundi 24 juillet 2006)

[claudrakoto]

Dans l'univers artistique de Balthazar, il est une figure qui brille d'un éclat particulier : le peintre Hans Hartung. Cet artiste emblématique de l'abstraction lyrique a su captiver Balthazar par la profondeur de son œuvre et la complexité de sa pensée. Le coup de foudre a été immédiat lorsque Balthazar a posé les yeux sur "Composition", un tableau réalisé par Hartung en 1935. Cette toile a été comme une révélation, ouvrant la porte à un monde pictural d'une richesse insoupçonnée. Dès lors, Balthazar s'est plongé corps et âme dans l'étude de l'œuvre de Hartung. Il a parcouru ses toiles avec avidité, décortiquant chaque coup de pinceau, chaque jeu de couleurs et de formes. Peu à peu, il a pénétré l'esprit de l'artiste, saisissant les subtilités de son raisonnement créatif. Car au-delà de la beauté plastique de ses compositions, c'est bien la pensée de Hartung qui fascine Balthazar. Cette capacité à transcender les frontières du figuratif pour atteindre une forme d'expression pure, où l'émotion et l'intellect se mêlent en un ballet envoûtant. Balthazar a ainsi développé une véritable expertise de l'œuvre de Hartung. Il en connaît les moindres recoins, les influences qui l'ont nourrie, les questionnements philosophiques qui la sous-tendent. Une connaissance intime qui lui permet de dialoguer en silence avec l'artiste, de partager ses doutes et ses élans. Car c'est bien là le propre des grands créateurs : nous inviter à un voyage intérieur, à une exploration de notre propre complexité. Et Balthazar, en se plongeant dans l'univers de Hartung, a appris à lire entre les lignes de son propre être, à embrasser la richesse insondable de la pensée humaine.

[rurik-dmitrienko]

Abstraction lyrique By Rurik Dmitrienko

[monsieurschnock]

[leblogdemarinaetjm]

MARDI 20 MAI 2025 (Billet 2 / 3)

« EXPOSITION - GEORGES MATHIEU. Geste, Vitesse, Mouvement »

La Monnaie de Paris s'associe au Centre Pompidou pour proposer une rétrospective de l'artiste Georges Mathieu, inventeur de l'abstraction lyrique et artiste prolifique.

(Titre et sous-titre extraits du dossier de presse de l’Expo)

Durée : du 11 avril au 7 septembre 2025

Ouverture : tous les jours de 11h à 18h Fermé les lundi, 1er janvier, 1er mai et 25 décembre

Tarif plein : 12€

Tarif réduit : 10€ sur présentation de l’exemplaire de la pièce de 10 francs de Georges Mathieu

Adresse : 11 quai de Conti, Paris 6e

Métro et RER : Pont Neuf (ligne 7) Odéon (lignes 4 et 10) Saint-Michel (ligne 4)

Châtelet (RER A et B) Saint-Michel Notre-Dame (RER B et C)

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Quel bonheur de parcourir les salles quasi désertes de l’Hôtel de la Monnaie de Paris (nous avions réservé à l’heure du déjeuner mais lorsque nous avons quitté l’Expo, il y avait un peu plus de monde qui arrivait), quasiment seuls face aux œuvres, certaines, monumentales, demandant du recul pour apprécier toute la richesse de leur composition !

L’accrochage des tableaux est particulièrement réussi : les toiles « respirent », chacune installée avec suffisamment d’espace pour qu’on puisse pleinement apprécier leur puissance gestuelle, la fougue de leurs tracés, l’énergie contenue dans chaque projection de peinture (phrase inspirée du dossier de presse que nous trouvons très juste).

La sélection des œuvres exposées est remarquable, incluant la plupart des tableaux emblématiques de l’artiste (1921-2012).

Les différentes salles tracent un parcours clair qui illustre l’évolution du style du peintre. Non, Mathieu n’a pas fait que se répéter. Ce sont ses détracteurs, jaloux, qui lui ont fait cette réputation. Il a eu, comme Picasso, des périodes, avec un point commun entre toutes ses oeuvres : le « génie du geste, de l’improvisation et de la vitesse » !

Parmi les tableaux les plus impressionnants, la série des « Batailles ». Ce sont eux qu’on découvre au début de l’Expo. Ces vastes compositions rendent hommage à des moments clés de l’Histoire de France – Bouvines, Tolbiac, ou encore Yorktown – et traduisent par la seule énergie du trait la tension dramatique des affrontements. Mathieu, dans ces tableaux, peint avec une urgence quasi mystique, debout, souvent en public, comme un performeur avant l’heure (phrase inspirée du dossier de presse).

Les titres donnés par Mathieu à ses tableaux sont très particuliers, « surréalistes » parfois quand on regarde ensuite la peinture… même si, souvent, ils se justifient. N’en ratez pas la lecture sur les petites plaquettes disposées, en bas, à droite des œuvres.

L’exposition met aussi en lumière un aspect plus inattendu de son talent : son travail de designer pour des institutions et des entreprises. On découvre avec plaisir les affiches réalisées pour Air France, élégantes et dynamiques, où son langage graphique si particulier se met au service d’une esthétique du voyage. Autre surprise : le logo d’Antenne 2, simple et percutant, qui témoigne de la capacité de Mathieu à investir le champ du graphisme tout en restant fidèle à son style. Et comment ne pas évoquer la célèbre pièce de 10 Francs qu’il a dessinée en 1974 – une pièce que des millions de Français ont tenue entre leurs mains, sans forcément savoir qu’ils portaient sur eux un fragment de l’« Abstraction Lyrique ». (Ce petit paragraphe est aussi inspiré du dossier de presse).

Et puis, franchement, vous connaissez beaucoup de gens qui écrivent comme ça ? Et en plus, on lit très bien son écriture !

Mais la visite ne s’arrête pas là. Dans les sous-sols de la Monnaie, une seconde Exposition prolonge la rétrospective d’une façon originale. Plusieurs artistes issus du Street Art ont été invités à réinterpréter les œuvres de Mathieu sous forme de fresques monumentales. Le dialogue fonctionne à merveille : on y retrouve la même spontanéité, la même intensité graphique, transposées dans un langage urbain et actuel.

Ces deux expositions, vous l’aurez compris, nous ont BEAUCOUP plu. Georges Mathieu, trop longtemps sous-estimé, retrouve ici toute sa place dans l’histoire de l’Art moderne. Nous vous recommandons chaleureusement cette double expérience, qui vous fera redécouvrir un artiste flamboyant et libre, et toujours étonnamment actuel.

[artdesannonces]

Ils nous font confiance: Françoise Bolloré : l’abstraction lyrique au service de la lumière et de l’émotion. Françoise Bolloré, incarne l'essence de l'abstraction lyrique dans son travail pictural. Depuis ses débuts, elle a été fascinée par toutes les formes d'art, y trouvant un terrain fertile pour questionner et exprimer ce qu'elle ne perçoit plus dans le quotidien, prise dans le tourbillon de la vie. Sa démarche artistique, à la fois intuitive et instinctive, se nourrit d'une quête spirituelle et émotionnelle, où l'Art, la Science et la Spiritualité s'entrelacent pour révéler un univers vivant et en perpétuel mouvement. En savoir plus: https://www.artdesannonces.com/index.php/amateurs-d-art/le-magazine/portraits/2299-francoise-bollore-l-abstraction-lyrique-au-service-de-la-lumiere-et-de-l-emotion

[pascaliasten]

CRO-MAGNON & L’ ABSTRACTION LYRIQUE

Série : HISTOIRE DE L’ART

Édition en 5 ex. numéroté et signé.

30 x 40 cm (marge blanche 25mm). Impression sur papier argentique lustré ou brillant.

80 euros (frais de port : 7 euros)

[vaevictis2]

[kerloaz]

French painter Georges Mathieu in Max Evzeline.

[williamgregorowicz]

Georges Mathieu, Chemins qui ne mènent nulle part (1962)

[lejournaldupeintre]

Abstraction lyrique

Degottex, Kline, Pollock / numeric etching / Briat 2023 – –https://lejournaldupeintre2.wordpress.com/ Painting news project Les tableaux du peintre Twitter – – –https://lejournaldupeintre2.wordpress.com/ Painting news project Les tableaux du peintre Twitter – – – – – – – – – –

[cheminer-poesie-cressant]

(Olivier Debré, Saint George de Didonne, 1962, Artcurial)

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Tant de voiles, tant de bonheur, qui se bousculent

dans le choc des mâts mélodieux,

ici le voyage revient nous faire danser

autour du grand turquoise mouvementé et charmeur.

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© Pierre Cressant

(lundi 24 juillet 2006)

[toutplacid]

Tête coincée dans une composition d'abstraction lyrique — stylo bille 4 couleurs, carnet nº 46, 1999

[lostprofile]

NON-AMERICAN POSTWAR ART VIII

JEAN-PAUL RIOPELLE

In the late 1940s and ‘50s, québécois painter Jean-Paul Riopelle took part in many of the rebrandings of the European art world, which had been disrupted by the war and then displaced by what Irving Sandler has called “the triumph of American painting.”

Riopelle’s conception of art as the unconscious rendered in abstract forms through the agonistic confrontation with the canvas perfectly mirrors the uneasy cohabitation of lingering indigenous Surrealism and emergent Action Painting à l’américaine in the École de Paris.

Riopelle’s art also participates in another major strain of that catch-all movement, which might be called Post-Post Impressionism. What began in the early 1950s the outright imitation of Jackson Pollock’s direct application of paint from the tube on to the canvas transformed into heavy impastos applied by palette knife in serried rows of hatchmarks–Cézanne crossed with Van Gogh, or a glamourous. extroverted Nicolas de Staël.

New York School refugee Joan Mitchell showed Riopelle the way past Abstract Expressionism. Living next door to Giverny, both ex-patriates profited from prolonged proximity to the Nymphéas.

NON-AMERICAN POSTWAR ART SERIES: I: Pierre Soulages II. Renato Guttuso III. Guiseppe Capogrossi IV: Nicolas de Staël V: Paolo Scheggi VI: Takeo Yamaguchi VII: Serge Poliakoff

[monsieurschnock]

[ghparrou]

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