#alexandre pascal

[ravewing]

undecipherable doodleng yahh

[creepynostalgy]

Isabelle Adjani in La Reine Margot aka Queen Margot (1994)

[mis6ato]

here in Brazil it's father's day, so I've separated my father figures here. | like if you saved any photos.

[cosechadehuellas]

«De un lado lo argumentable, del otro lo inflexible. De un lado el discurso, la línea recta, los placeres de la identidad, la tibieza del hogar, las etapas regulares, la fortuna; del otro la novela, el rayo, el capricho demoledor, la densidad, el resplandor, el cambio repentino, la incandescencia, el amor».

_ Pascal Quignard, El hombre de tres letras. Último Reino XI. Shangrila, 2021. Traducción de Rubén Martín Giráldez

Pascal Quignard en París 2020. Fotografías de Alexandre Isard.

[fuddlyduddly]

[webzineculturemarche]

28 Heures de Roubaix : Victoire de Peter Asselman

Le belge Peter Asselman s’est imposé ce dimanche 15 septembre sur les 28 Heures de Roubaix. Le belge vainqueur en 2023 s’impose devant Maxime Laneau (Us Camon) et David Vandercoilden, ancien vainqueur de l’épreuve en ayant bouclé 214.4 km dans des conditions plutôt difficiles avec des températures bien fraîches pour la saison ! La première femme, Claire Caoudal, termine à la 7ème place avec une…

[somosorigen]

La Favorita Del Rey… ¡Escándalo De Pulseras!.

Después del gran escándalo que tuvo Johnny Depp en los tribunales con su ex pareja Amber Heard, y donde los grandes estudios le cerraron las puertas por dicho escándalo, esta producción francesa fue del puñado de producciones que lo mantuvieron a flote y continuaron con el rodaje. Increíblemente La Favorita del Rey no es lo que se creía que sería en un inicio. Continue reading La Favorita Del…

[enigma-the-mysterious]

via @mariposasmonarch

Line in the middle not said by me but @smhalltheurlsaretaken

This isn't even subtle at this point. I think you can all see the pattern in my favourite fictional men

[liqueuramere]

3 romans jeunesse qui parlent des relations entre enfants et animaux

Lectures thématiques de septembre 2023

J'essaie de lire davantage de littérature jeunesse. Pour l'ex étudiant en lettres que je suis, habitué pendant des années à ne lire (et, pourrais-je quasiment dire, à n'aimer) que la littérature générale pour adultes, ce n'est pas chose aisée. Certes, je lisais de la fiction pour enfants et ado lorsque j'étais dans ces tranches d'âge, mais aujourd'hui je suis un peu perdu, pour ne pas dire carrément plus à jour. Alors, pour me motiver, j'essaie de me constituer des petits corpus thématiques. Ce mois-ci, j'ai sélectionné trois romans jeunesse qui traitent du rapport entre les enfants et les animaux :

Jonas dans le ventre de la nuit, Alexandre Chardin, 2016

Le Tigre de Baiming, Pascal Vatinel, 2012

Vif-Argent, Josep Vallverdú, 1969 [traduction d'Anne-Marie Pol, 1989]

Jonas dans le ventre de la nuit, Alexandre Chardin, éditions Thierry Magnier, 2016

Quelque part en France, dans une région montagneuse, au crépuscule. Un vieil âne, Sorgo, se débat avec un homme. L'éleveur, qui ne peut plus assumer les frais médicamenteux de l'animal, tire à contrecœur sur sa bride pour le faire grimper dans un camion, direction l'abattoir. De l'autre côté de la rue, à travers sa fenêtre, Jonas, un jeune collégien, assiste à ce douloureux spectacle. Sans trop réfléchir, révolté par les braiments déchirants de l'équidé, il sort en courant vers le camion et profite d'un moment d'inattention du fermier pour s'enfuir avec l'âne. Commence dès lors un périple d'une nuit, une lente cavale dans la montagne et sa forêt. Au début de sa fuite, Jonas et Sorgo (désormais silencieux) croisent le chemin d'Aloïse, un camarade de classe de Jonas, qui lui propose de les accompagner. Cahin-caha, les trois compagnons de route s'enfoncent dans l'obscurité du bois qui borde la ville.

Dans ce roman, il ne se passe en apparence pas grand chose, si ce n'est une longue et laborieuse marche, pas après pas, et les discussions entre Jonas et Aloïse, pour décider quel chemin prendre ou tout simplement tuer le temps.

- Tu crois qu'ils nous retrouverons ? demande Jonas après un virage à angle droit. - Ça dépend. Un peu plus loin, Aloïse ajoute, essoufflé : - Ça dépend de l'endroit où on va, et s'ils retrouvent nos traces. Une fois encore, la question est sur les lèvres de Jonas. Où vont-ils ? Mais il veut continuer à marcher dans la nuit sans se demander : ni "où ?", ni "quand ?". Plus de temps, plus de lieu. Marcher et n'avoir plus que les quelques mètres du halo de la lampe d'Aloïse comme futur. (p. 33)

Une intrigue ténue, donc, mais marquée, pourtant, par de nombreuses métamorphoses : celle de la nuit, qui s'épaissit puis s'ajoure ; celle de la nature, que les humains disputent aux animaux sauvages ; et celle, enfin, des deux garçons eux-mêmes, qui ressortiront changés de cette traversée initiatique. Pourquoi Jonas s'est-il précipité sans réfléchir dans cette traversée au décor de neige et de cendre ? Cette fugue a-t-elle seulement à voir avec Sorgo, ou bien aussi avec son histoire d'enfant placé, lui dont la mère a par le passé "craqué" et incendié leur maison ? Et Aloïse, pourquoi l'a-t-il accompagné dans sa fuite, lui si mélancolique et en apparence si peu taillé pour la randonnée, avec "ses kilos en trop" ? Sait-il au moins où ils vont ?

Au fil des pages, nous découvrons peu à peu la vérité intime des personnages, en suivant leurs traces avant que la neige ne les efface. Mais c'est surtout à la fin du roman, avec l'aube, que la lumière éclaire les raisons de cette aventure, concluant ainsi joliment la longue partie médiane de l'intrigue, devenue au bout d'un moment un peu lassante à force de cultiver un sentiment de mystère et de contemplation.

Tout au long du récit, Alexandre Chardin apporte un soin particulier à la description de la nature :

De minute en minute, la nuit se coule dans les ombres des arbres. La lumière sourd de la mousse couvrant les troncs. Les branches grises et nues découpent tous les bleus du ciel. Le blanc pur de la neige fraîche sur le sol blesse les yeux épuisés de Jonas habitués à fouiller l'obscurité. (p. 130)

Ces descriptions, courtes mais poétiques, traduisent la beauté de l'environnement des personnages sans toutefois masquer sa dangerosité, sa rudesse. Le choix de la forêt et de la montagne n'est d'ailleurs pas sans rappeler l'univers primitif du conte, où les loups rôdent et où le froid mord la peau des enfants perdus. Une manière de dire, peut-être, que cette traversée dans le ventre de la nuit est aussi la genèse d'une vie nouvelle, pleine de réconciliations.

Le Tigre de Baiming, Pascal Vatinel, éditions Actes Sud Junior, 2012

Contrairement au livre précédent, Le Tigre de Baiming est un roman assez classique, qui s'inscrit pleinement dans le genre du roman écologiste à thèse. Dans le Sud de la Chine, deux enfants, Baiming et Chu, découvrent dans la jungle une femelle tigre et ses deux petits, alors même que l'on pensait l'espèce disparue de la région. Cette découverte ne tarde pas à être ébruitée et à attirer la convoitise des braconniers, à la tête desquels l'impitoyable Monsieur Lin. S'en suit alors un violent bras de fer entre chasseurs et protecteurs des tigres, et une course contre la montre pour retrouver Baiming, qui s'est enfui au cœur de la jungle.

On peut d'abord regretter dans ce roman une narration omnisciente très peu surprenante, qui déroule son message avec limpidité et sans éclat stylistique, en restant toujours à la surface des personnages. Personnellement, cela me frustre et me donne une fois de plus l'impression que parce que le public visé est un public jeunesse (en l'occurrence plutôt les jeunes adolescent.e.s), on peut ne pas trop faire d'effort sur le style et la construction des personnages. Assurément, Pascal Vatinel n'a pas de temps à perdre avec cela, il faut que les actions s'enchaînent, à un rythme trépidant et captivant, et il est vrai que sur ce point c'est réussi, on a affaire à un véritable récit d'aventures tropical. S'il y a audace de la part de l'auteur, tout de même, c'est peut-être dans la violence crue et les défaites accablantes que subissent certains personnages, qui confèrent au moins un peu de vraisemblance à cette narration très programmatique, en l'arrachant à un idéalisme trop gentillet. On ne peut aussi que remarquer l'astuce du changement de protagoniste en cours de récit (d'abord Baiming jusqu'à la découverte du tigre, puis le Docteur Song pendant les recherches dans la jungle), qui permet dans un premier temps de découvrir les fauves à hauteur d'enfant et de s'attacher à ce dernier, puis d'incarner, à travers le personnage de la vétérinaire obstinée, une double peur de la mort (celle de Baiming et celle des tigres) et une farouche conviction écologiste.

Écologiste, dis-je en effet, car s'il est bel et bien question du sort que l'homme réserve à la faune sauvage, ce n'est pas tant la question de la souffrance animale qui importe l'auteur mais plutôt la question de la disparition des espèces. J'en veux pour preuve la rédaction par l'auteur d'un postambule au récit, intitulé "À propos de l'extinction des tigres", où il explique de manière pédagogique son engagement. En ce sens je ne qualifierais pas du tout ce roman d'animaliste, ni même de sensible à la subjectivité des animaux (elle est tout à fait absente du roman, anthropocentré de bout en bout). Une manière un peu datée de penser l'écologie, hélas.

Bref, un roman sympa mais sans plus, qui ne restera certainement pas très longtemps dans ma mémoire.

Vif-Argent, Josep Vallverdú, 1969 [traduction d'Anne-Marie Pol, 1989]

Un roman très mignon sur un petit chiot fugitif qui découvre le monde - sa sensorialité, ses bonheurs et ses cruautés. D'abord recueilli par un jeune fermier qui le baptise Vif-Argent, ce dernier fait l'apprentissage de la vie en communauté, avant d'être capturé par un dompteur et enfermé dans un cirque, où il doit lutter pour sa survie.

Je n'attendais pas grand chose de ce roman, mais cela a été finalement une bonne surprise : l'histoire est entièrement racontée, non pas du point de vue du chien (la narration est omnisciente, à la troisième personne), mais à sa hauteur, grâce à une utilisation fréquente du discours indirect libre. L'écriture n'est pas particulièrement éclatante mais l'on apprécie la tendresse et la malice qui s'en dégage. À vrai dire, on perçoit très bien la vocation éducative de ce roman d'apprentissage animalier : à travers les bêtises, les interrogations et les surprises de Vif-Argent, ce sont celles des petits d'hommes qui sont évoquées. Si la quantité de texte nécessite une certaine maîtrise de la lecture, le découpage en chapitres de durée raisonnable et égale peut parfaitement se prêter à une lecture du soir par un adulte. De quoi partager un joli moment avec son enfant et engager une discussion sur ce que signifie grandir.

[norris55s]

the summer i turned pretty - charles leclerc & arthur leclerc

a reader x charles leclerc/arthur leclerc love triangle

warnings: intoxicated (but consensual) kissing

a/n: trying out a written piece/smau/texts weird hybrid but it was all i could come up with to get this idea across! i hope you all like it <3 (there will be a part 2)

also this was requested!! i'm so sorry anon i lost the ask but i hope u see it and like it anyways

Day 1

France is a place that isn’t easy to forget, but having lived there your whole life made it seem ordinary. The country that saw me grow up, and that I was glad to call home, failed to impress me every day because I was used to it. The beautiful architecture, history, and tourist attractions weren’t as beautiful to me anymore; it was my day-to-day life.

That wasn’t true for the beach house in Nice. It wasn’t mine, or my family’s, but that place never failed to impress me, even if it was my day-to-day life every summer. The Leclerc summer home was my favorite place on Earth. From its blue and white facade, the soft beige interiors, the pool and beach view, the big dining room, and the incredible company, there’s no place I’d rather be in right now.

“Y/N L/N, you have arrived!” Charles Leclerc, the ultimate reason for this place’s beauty, yelled out to me.

“Charles Leclerc, I have arrived!” I replied blushing, and opening my arms into an embrace. As every time I hugged him, my body relaxed and tensed somehow at the same time, safe and nervous, loved and not loved back. But aren’t all childhood crushes like that?

“I’ve also arrived, pote. If you even care,” my wonderfully annoying older brother, Alexandre, interjected. Charles let me go to greet my brother, and I turned to find the youngest Leclerc, Arthur, on his way to hug me hello.

“Hi, chérie,” he said with a smile on his face, ruffling my hair affectionately.

“Hi, Arthur. Up to no good once again?”

“I’m always up to all good!”

Pascale Leclerc, the boys’ mother, greeted me with cheeks kisses and pinches. Everyone then swarmed my mom, Alice. Sometimes I think my friends love her more than they love me, but that was deserved.

As every year before, everyone finally felt at home. And as every year before, the inaugural pool party started.

“Y/N L/N, will you do me the honor of joining me at the pool?” Charles exaggeratedly held out his hand, as if we were Royals in a ball. Antics that I was happy to oblige with. Too happy for my dignity to recover. 

As we made our way inside, and swam a couple laps playing around on who is faster, we wound up floating peacefully on a corner with the sun beginning to set. 

“I missed you,” Charles said out of nowhere, making my heart do a somersault. 

“I miss you too,” I managed to reply, feeling the blush on my cheeks. 

“I want to hear from you more often. I know I’m busy with racing, but I always can make time for you Y/N.”

The thing about unrequited love is any show of affection feels like a marriage proposal. But of course I could not deny his request. He was, above all else, one of my best friends and one that I needed to be there for. 

Hervé Leclerc passed away the year before, a couple months after the summer vacation. We didn’t know it would be the last time we spent with him, and I was worried about what this year’s vacation would be like with the boys’ father missing. 

“I’m always here for you,” I vowed and he gave me a quick, chaste kiss on my forehead. To make sure I wouldn’t forget my promise. 

As I looked at Charles’ glistening face against the darkening sun, I realized we would be okay. 

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Day 2

“Chérie,” was the first voice I heard as I woke up, with Arthur knocking on my door for show and letting himself in.

“Too early,” I whined back and hid under the covers, to have them ripped from me by the guy in my room.

“It’s time for the sunrise beach walk,” he replied and I knew he was right, so I let myself be dragged outside the house. I couldn’t say no, since the sunrise walk at least once during the vacation is also a tradition between Arthur and I.

It was also worth it; we silently agreed for that to be time to catch up, be honest, and be vulnerable ever since we began taking the walks. This one would be particularly hard too.

“I really, really miss my dad,” he said, putting his arm around my shoulders to walk side by side.

I didn’t know how to handle Hervé’s death with the boys. 

Enzo was older than me, even beyond his years, and there was nothing I could say that would be wiser, or better than what he had to say.

Arthur was quiet and reasonable, way more accepting of inevitables than me, more useful to himself than me.

Charles was passionate but closed, a master at compartmentalization, never letting me in even if I’d like to.

But Arthur, ever my closest friend, still needed my support.

“I know you do,” I replied softly and squeezed his hand. “It’s only normal, and I’m sorry you’ve been dealt these cards.”

Grief is a strange thing, but on the beach I hoped I let Arthur know that I would always be by his side, and that the sun will always rise again for him. With his steady breathing while leaning on me as we sat on the sand, I knew he understood.

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Day 3

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This was the third year Arthur and I were invited to parties that Alexandre and Charles went to. The promotion from little siblings to cool siblings opened up a new world in Nice. Especially one where I could ignore my schoolgirl crush on Charles through alcohol.

So I happily got ready, into a pink summer dress and into the car that would drive us all to an even bigger house filled with a bunch of privileged European kids ready to drink the night away.

The first drink came from Antoine, who sadly had a beautiful girl around his arms that indicated he wouldn’t be a good distraction. The second one came from Amelie, my Nice girlfriend, who was happy as ever to see me and catch up with me before she also found an arm candy and promptly left. The third one was on me, as I was forced to stare at Charles making out with a girl I learned was named Charlotte.

After that, I stopped counting and kept drinking, joining the dance floor to enjoy the numb feeling in my face, the new found careless attitude, and the music blasting in my ears.

Before I could process it, Arthur was in front of me, the blush on his face indicating he was also intoxicated. What started as a normal jumping around like one does at a party, progressed to a point where his hands were on my waist and my hands were on his neck.

I couldn’t even recognize the song anymore, too entranced on the way his eyes were on mine. There were no words, as was usual between him and I. We just knew.

I wouldn’t take the first step, but he would. Arthur’s lips met mine in a strong, messy kiss. I didn’t pull away. I did want it. And it wasn’t scary.

When we stopped to take a breath, I realized I wanted to kiss him again. As I was leaning in, taking the initiative myself now, another force pulled me away.

I walked by inertia, trying not to fall down in following who was leading me away from the crowd. When I looked up, I recognized it to be Charles.

I couldn’t breathe from the adrenaline of the kiss I just shared, but also from the touch of Charles’ hand on mine, even if it was to take me out of the party.

My reaction was all too slow, finally starting to protest.

“What are you doing? Let me go,” I defensively said, snatching my hand away from his. The butterflies didn’t leave anyways.

“You’re drunk, let’s go home,” Charles coldly replied and held my hand again on his way to the car.

“Why would I want to go home? I’m having fun,” I continued to protest and he continued to pay me no mind.

As he put me inside the vehicle, despite my clumsy attempts to fight it, and slammed the door, I continued to think about what this could possibly be about. Where was Charlotte? Where was Arthur? What was happening?

My head spun and he got in the driver’s seat, turning the ignition on.

“What the hell are you doing?”

“You’re drunk. You don’t kiss people when you’re drunk.”

“That makes no sense.”

“You don’t kiss people you haven’t kissed sober.”

“Its Arthur!”

“Exactly!”

The back and forth continued all the way to the house, my thoughts sobering up with every passing moment.

“If you don’t want me to be with your brother because you don’t think I’m good enough, that’s really not your choice,” I told him decisively, crossing my arms and pouting like a child throwing a tantrum.

That was the only explanation for what Charles just did. He didn’t think a Leclerc should be with someone like me, and was doing everything he could to prevent it.

When he started laughing, I wasn’t so convinced anymore.

“What’s so funny?”

“You have no idea what you’re talking about. I just made the biggest scene out of jealousy, and you’re saying I don’t think you’re good enough.”

Time froze and my mouth went dry. The confession made its way through my entire bloodstream, replacing the alcohol effects with pure shock. My head was spinning for entirely different reasons, and my brain couldn’t bring the words out. What would I even say?

I opened my mouth but nothing came out, and Charles put his face on his hands in frustration, before leaving the car. I still could only think what is happening?

[russellsppttemplates]

Could you do a Pierre blurb where the reader is a famous model and the kids are amazed to see her dressed for the Met Gala while they stay with their grandparents while she and Pierre go to the event

"C'mon, kids! Your papa and your mama are scheduled to arrive soon!", Jean called them so they could all sit on the sofa to watch the arrivals.

"Is mama there yet? She told me her dress was white and then with flowers at the end", Alexandre offered.

"And papa's suit is green!!", Elódie added, sitting next to Pascale as she held Celeste on her lap.

"I think I spotted mama! Look! It's her there!", Louis got up from the sofa an pointed on the TV screen, "That's mama! Oh, sorry, grandma, I forgot you said no fingers on the TV", he apologised.

"It's okay, mon petit - come sit back on the sofa before your eyes get hurt though", she patted the pillow, "it is your mama indeed - she looks stunning!".

"Mama is very beautiful, and the dress she has makes her look even more beautiful", Alexandre beamed.

"She looks very nice - the way her hair is done suits her, don't you think chérie?", Jean asked his wife.

"Yes, she looks good with her hair up like that!", she smiled, "and Pierre looks nice too, I like his suit!".

"Mama looks like a nature princess", Elódie offered as Celeste turned around to see the screen, calling you and Pierre.

"When mama gets back, we have to tell her this! Do you think she will bring the dress home? Maybe she can wear it a few more times!", Louis mused.

(Thank you for sending this in ✨️)

[revatiflower]

martyrs (2008) created and dir. by pascal laugiere, uttara phalguni moon

high tension (2003) created and dir. by alexandre aja, uttara phalguni moon

inside (2007) created and dir. by alexandre bustillo, uttara phalguni moon

*New French Extremity is a term that describes a movement of French cinema from the late 1990s to early 2000s. It's often seen as a sub-genre of horror and exploitation cinema, pushing boundaries and exploring taboo subjects. 

[journibit]

I LOVED Arcane. The character designs were so good, the story was captivating and the animation was absolutely beautiful.

I wanted to try drawing Jinx (reference photo included, credit to Julien Georgel, Mads Ahm, Martin Bailly, Matthieu Gouget De Landres, Phillippe Guyenne, Alexandre Mahboubi, Pascal Charrue, and Bruno Couchinho) and am pleased with how it came out. The reference helped me with learning shadows and lighting. :)

[nyxvuxoa]

Jamie Dornan as Dr. Allan Pascal ⤷ The Ninth Life of Louis Drax | dir. Alexandre Aja

[astra-galaxie]

CC Characters' Headcanons - Suspects/Killers (A-D)

(Excluding main and recurring characters)

Aaron Seabrook

Abbi Absinthe

Abby Lee

Abe Mullins

Abel Dreschner

Abigail Simandl

Abigail Walcott

Abrax Tiakken

Ace Boome

Adaline Galls

Adam Bentley

Adam Enstrom

Adela Zhu

Adelia Baldwin

Adrian Lynn

Adrienna Brassiere

Agatha Christmas

Agent Z

Agnes Leek

Agnes Manners

Agrafena Raskolnikova

Ahmet

Akhen Khaba

Akiko Tanaka

Aicha Ben Malek

Aidan Moran

Alam Somalinggi

Albert Tesla

Alberto "Al" Salucci

Alberto de Medici

Alcott Milton

Alec Howard

Alejandro Pratx

Alex Lange

Alexander Vladinsky

Alexandre Devereaux

Alexis Cardinot

Alfred Lowe

Alfred Ziegler

Alice August

Alice Blick

"Alice Kelly"

Alice Riddel

Allen Muir

Ally Salinger

Alonzo Conte

Amanda Harrison

Amandine Brioche

Amaru Condor

Ambassador Lee

Amelia Bats

Amélie Brassière

Amity Malone

Amrita Kumar

Anakee

Ana Gutierrez

Ana Herdez

Anbu Devanesan

Andre Roche

Andrew Lodge

Andy Mills

Andy Pascal

Angel Martinez

Angie Cortez

Anika Cross

Anir Aznag

Anita Diaz

Anka Wadj

Anna Blanchard

Annabel Leigh

Annabel Stewart

Anne Boleyn

Annette Strong

Annie Schmidt

Anthony Cole

Anuj Ghosh

Anya Ivanova

Aphro-Dyte

April Liu

Archibald Ashworth

Archibald Gilchrist

Archie Rochester

Aristide Akintola

Arsenio Castillo

Arsha Raju

Ash Bison

Ashley Collins

Ashley Howard

Ashton Cooper

Astrid Saucer

Astro Hawtee

Atreba

Aubrey Coprolite

Audrey Scott

Augusta

Aunty Hua

Aurora Dawson

Ava de Paradis

Averly Worthington

Avery Mitchell

Axel Bross

Ayanchin

Ayden Young

Ayush Patil

Azeeb Patel

Bai Bai

Balbina

Balthazar Torres

Barb Bellamy

Barbara Pickley

Bart Williams

Basil Cavendish

Batbayar

Bathsheba

Baxter Fraser

Baxter Trask

Beata Seahorn

Beatrice Vane

Beatriz del Castillo

Beauregard Lomax

Becky Walden

Belinda

Benedetto D'Agostino

Benjamin Fetcher

Benjamin Scott

Bernadine Rochester

Bert Tucker

Beshir

Betty Hawkins

Betty Hugo

Betty Wyatt

Betty-Lou Logan

Bertie Cornman

Biff Wellington

Bill Beatty

Bill Farnham

Billy Thompson

Big Baby

Blair Carpenter

Blaise Studebaker

Blake Cooper

Blake Woodbine

Blind Sen

Bob Levene

Bobby Prince

Bodhi Green

Boris Chiswick

Brad Belinsky

Brad Raybury

Bradley Fields

Brandon Cummings

Brett Darby

Brett Nolan

Brian Chua

Brian MacKenzie

Brice LeBeau

Bridget Baker

Brock Perry

Bron Sklar

Bronwyn Peters

Brooke Chase

Brooke Long

Brother Klaus

Bruce Anderson

Bruno Camper

Brutus

Bryan Vigman

Bubba Wyatt

Bucky Johnson

Bulldog

Butcher Betty

Buyantu

Callum Edwards

Calvin Ono

Camilla Brown

Candy Wu

Captain Clementine

Captain Mambwe

Captain Shafra

Cardinal Cisneros

Cardinal Salieri

Carl Ackerman

Carl Rossa

Carlos Cachorro

Carlton Franklin

Carly Lewis

Carmen Garcia

Carol Blanton

Caroline Fitzgerald

Catastrophe Joan

Catherine Kelly

Cecilia Carson

Cedric Duchateau

Céleste Alouest

Celeste Masters

Celine Dernier

Celine Georges

Cengiz and Zephora

Chad Baker

Chantelle Limousin

Charity and Mercy

Charity Stern

Charlene Cody

Charles Ferrial

Charles Parker

Charles Pilsnerfeld

Charlie Watchbird

Charlotte Fontaine

Charlotte Webb

Charlotte Young

Chelsea Bloom

Chester Holt

Chico Alegria

Chief Medhekar

Chockas D.Lux

Chon Sansurin

Chris McCoy

Christine Ramsgate

Christy Cole

Christy Mathis

Cindy Meyers

Claire Cambridge

Clarence Watts

Clarisse Gold

Claude Lamothe

Claudia Pulchra

Claudio Aguirre

Clay Westwood

Clayton Rose

Cleo Sinclair

Cleopatra

Cliff Montgomery

Clifton Shapiro

Clive Bloom

Clybourn Webster

Coach Kirk

Coco the Magnificent

Cody Mays

Colbie Arbor

Colette

Colette Eckhardt

Colin James

Colin O'Brian

Colin Stokes

Colum O'Callaghan

Constance Bell

Constantin Perrier

Cordelia Putnam

Cornelia Trent

Cosimo Silvestri

Count Blutsauger

Courtney Guerra

Crispin Ruff

Curly Stubbs

Curtis Newman

Cynthia Lane

Cyril Shelwater

Daisy Woods

Damaris Maina

Damien Holder

Dan Scruffinsky

Dana Lopez

Daniel Lambert

Danny Doyle

Danny Gibbs

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Dara Chey

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Dimitri Balanchine

Dimitrios Moustaki

Dinah Cooper

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DJ Blood

Dmitri Lermontov

Dolly Darnell

Dolly Hale

Dolores Harper

Dominika Snegurochka

Doña Amarga

Donald Byrd

Donald Hopkins

Donna Walker

Dora Umbright

Doris Black

Dorothy Kix

Dorothy McBain

Douglas Patterson

Dr. Aculus

Dr. Ezekiel Jones

Dr. Jennifer Russo

Dr. Rascher

Dr. Sumati Misra

Dr. Bishop

Drake Ribbs

Druk

Duchess Anastasia

Dudley

Duncan Young

Dwayne Reed

Dwayne Vermont

Dylan Cobbs

[kvetchlandia]

Robert Doisneau Anouk Aimée et Jean Claude Pascal Performing in Alexandre Astruc's "Le Rideau Cramoisi" (The Crimson Curtain) 1953