#assistante monteuse
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Ma France à moi
de Benoit Cohen, fiction 1h31, Marvellous Productions, sortie 2023
Pascale Alibert assistante monteuse de Sophie Fourdrinoy
Association J'accueille experte de l'accueil de personnes réfugiées chez l'habitant.
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RT @revuscorriges: Anne V. Coates, l'une des plus importantes monteuses de l'histoire du cinéma, est décédée à l'âge de 92 ans. On lui doit les montages de Lawrence d'Arabie, Elephant Man, Erin Brockovich, Greystoke, L'Adieu au Roi et ses premières armes comme assistante sur Les Chaussons Rouges. https://t.co/kBgBX2PVKZ
Anne V. Coates, l'une des plus importantes monteuses de l'histoire du cinéma, est décédée à l'âge de 92 ans. On lui doit les montages de Lawrence d'Arabie, Elephant Man, Erin Brockovich, Greystoke, L'Adieu au Roi et ses premières armes comme assistante sur Les Chaussons Rouges. pic.twitter.com/kBgBX2PVKZ
— Revus & Corrigés (@revuscorriges) May 9, 2018
via Twitter https://twitter.com/cinema_cinemas May 11, 2018 at 03:45PM http://twitter.com/cinema_cinemas/status/994936618506182656
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PRENDS MON POING (trailer) from Sarah AL ATASSI on Vimeo.
Bilal est un marginal violent qui vit au milieu de nulle part, entre boisson, baise et baston. Il pense avec ses poings. Un jour, il tombe sur un rival qui lui résiste. L’affrontement se dansera à deux.
DISTRIBUTION
Bilal → Michel Mhanna Santoni L'Autre → Michel Biel Personne → Lola Dubus Le teufeur → Cédric Welsch L'employeur du garage → Fouad Ziani
ÉQUIPE TECHNIQUE
Auteure-réalisatrice : Sarah Al Atassi Consultante scénario : Naïla Guiguet Assistante mise en scène : Camille Patrice Scripte : Juliette Moreau
Production : La Fémis Directeur de production : Hugo Riggi Régisseur général : Sam Hewison
Directrice de la photographie : Evgenia Alexandrova Assistants caméra : Salomé Rapinat, Quentin Savoie, Bérénice Maigrot Cheffe électricienne : Marie Gramond Chef machiniste : Colin Guerre
Ingénieur du son : Hugo Deguillard Preneurs de son : Arnaud Pluvinage, Jean-Charles Kramps
Décoratrice : Pauline Doublier Costumière : Avril Lecocq Maquilleuse : Élodie Alaton
Monteuse image : Sarah Al Atassi Assistante monteuse : Ann Sophie Wieder Monteur son : Lucien Richardson / Monteur directs : Thomas Brzutowski Mixeur : Thibaut Macquart
Étalonneur : Vincent Amor Graphiste générique : Gwendolyne Röttger
Musique originale : Julien Rosamond Musique additionnelle : Noir Boy George
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ASSISTANT EDITOR / COLORIST
Assistante monteuse -
Création de la session de montage AVID (MXF, Bins...)
Exports AAF du montage
Etalonneuse -
Création du projet Da Vinci Resolve
Conformation (VFX, bounce stéréo)
Etalonnage
Exports finaux (ProRes 422HQ, H264)
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Entretien avec Marie-Geneviève Ripeau
Nov 1992
« J’ai su ce que je flairais : qu’on ne peut s’économiser en rien, je dirai même que la vie, inventer, rencontrer ne sont qu’une prodigieuse affaire de prodigalité… C’est cela : être ici et maintenant et être très très dépensier… »
DE VERSAILLES À L’IDHEC J’étais très isolée à Versailles… J’ai entendu parler de l’Idhec par une amie qui voulait être scripte. C’était juste après 68. Mon père voulait que je sois secrétaire de direction : j’ai travaillé trois mois chez un avoué et j’ai pensé que j’allais mourir. J’ai passé le concours comme on saute d’un ballon dirigeable. Je l’ai eu. J’avais un rapport au cinéma qui était très diffus parce qu’à Versailles j’avais vu quelques comédies musicales, ça restait comme un paradis inatteignable. Le fait d’avoir le concours m’a donné de l’énergie. J’ai obtenu une bourse. J’ai pris une chambre à paris. Et je travaillais la nuit pour gagner ma vie. Il y avait encore des cours très généraux à l’Idhec : histoire de l’art, des religions, du syndicalisme… J’ai appris en une année énormément de choses et les deux années suivantes furent comme une sorte de fenêtre sur le monde, car sur une quarantaine d’étudiants, il y avait une vingtaine d’étrangers. Je me suis fait des amis que j’ai toujours gardés.
J’avais choisi la section montage pour la même idée : il faut un métier. Et j’ai eu la chance d’être aidée par un monteur, Jean Bernard Bonis puis j’ai croisé Léonid Azard un Russe extraordinaire qui avait été chef monteur des premiers films de Louis Malle. J’ai commencé comme stagiaire puis j’ai été assistante monteuse et tout l’argent que je gagnais, je le mettais dans les films que je voulais faire. C’est comme ça que j’ai commencé à faire mes premiers documentaires et films de fiction.
DU MONTAGE À LA RÉALISATION DE COURTS-MÉTRAGES Monteuse, j’étais comme un lapin terrifié, car j’avais appris des choses dans le cadre de l’école et je me retrouvais projetée dans le monde du travail. Une ou deux fois, je me suis fait taper sur les doigts parce que je disais que j’aimais Godard, « Allemagne Année Zéro » ou « Ordet ». J’ai pris la résolution de me taire (rires) et de tout apprendre pour avoir plus d’autonomie. Je suis devenue chef-monteuse trois ans après avoir fini l’Idhec, un film de Patrick Grandperret et le premier long métrage de PW Glenn : « Le Cheval de fer », un documentaire fiction sur la coupe Kawasaki de moto en Europe. C’était un moment de mutation vers le film 16 et la désacralisation du 35. La profession avait peur d’être mangée par le 16. Je travaillais partout et je prenais ce qui venait. Pierre Tchernia, mon premier gros projet avec Michel Serrault, m’a marquée parce que je croisais une star .
J’ai monté le son du film de Welles « The other side of the wind » (1977) film qu’il n’a jamais terminé. Ça se passait dans une immense salle de montage. Il avait filmé dans les deux formats, 16 et 35, c’était formidable : il y avait plusieurs tables de montage dans la même salle, trois équipes de montage au complet et il tournait comme un lion en cage : « cut this » à la première table, « cut that » à la seconde, toute la journée… Il était toujours présent, c’est inoubliable, ce fut comme ça pendant quatre ou cinq semaines. Là, j’ai appris qu’il ne faut avoir peur de rien. Qu’il faut être têtu, pugnace. J’ai vu travailler encore et encore quelqu’un de jamais content. Un cinéaste parmi les plus grands. J’ai su ce que je flairais : qu’on ne peut s’économiser en rien, je dirai même que la vie, inventer, rencontrer ne sont qu’une prodigieuse affaire de prodigalité… C’est cela : être ici et maintenant et être très très dépensier… (rires).
Entre 71 et 80, je faisais parallèlement au montage, un film tous les ans, soit un documentaire (karaté, moto, Indiens d’Amérique du Nord), soit un court-métrage de fiction. Il y avait une grâce. J’étais soutenue, mes amis me trouvaient les équipes, le matériel, la pellicule. J’ai rencontré JF Stévenin qui m’a dit qu’il voulait être acteur, je lui ai parlé de mon scénario sur un viol conjugal : « Nuit, une guerre. » Lui voulait tourner avec Virginie Thévenet que j’ai rencontrée et qui a accepté. C’est avec cette candeur incroyable que j’ai fait mon premier film : j’ai mis deux personnes dans un lit et le mari viole la femme. Quand les films étaient bien, je gagnais des prix et je réinjectais l’argent dans le film suivant : « Nuit, une guerre » 12 mn, un prix, « Entrevu par l’indiscrétion d’un judas » 20 mn, un prix important, « Adieu voyages lents » 60 mn, un gros prix aussi et chaque fois les mêmes comédiens et le tout forme une trilogie d’une heure et demie.
LE LONG MÉTRAGE ET L’ÉCRITURE J’ai eu l’avance sur recettes pour un projet de long métrage en 1981 « Les Hauts murs sans sommeil ». C’est une histoire assez douloureuse. C’était un film qui se passait dans une prison de femmes. J’ai eu l’argent mais j’ai perdu beaucoup de temps par ignorance à trouver un producteur. C’était un film qui faisait peur, un film lourd, pas une comédie légère ! Deux mois avant la fin du délai pour l’avance, j’ai rencontré Paul Vecchiali qui aimait le projet. On a démarché ensemble. Françoise Lebrun était d’accord pour jouer le rôle principal. C’était au moment des élections… J’ai perdu l’avance. Beaucoup de désillusions et de temps perdu. Après cette expérience, j’ai commencé à me dire que si je voulais continuer à fonctionner, il me fallait aussi l’outil de production. Alors j’ai ouvert une société : Abigail Production et je l’a toujours. Mais tout n’était pas négatif. « Les hauts murs » avait été beaucoup lu et c’est ainsi que je suis devenue scénariste. J’ai cessé de faire du montage et on m’a demandé d’écrire. J’ai fait le scénario de « Rouget, le braconnier » en 1988. J’ai rencontré Véra Belmont avec qui j’ai travaillé sur « Milena », j’ai fait plusieurs adaptations pour la télévision. Je continuais aussi à tourner : un documentaire pour France 2 sur le musée des cloitres de New York et un long métrage que j’ai produit : « En l’absence du peintre. » Je me suis tournée vers l’écriture de romans : « Boulevard du bonheur » (Hermé 1987) et « Cette année là » (éditions du Rocher 1992). J’écris tout le temps…
L’autre jour, Straub et Huillet présentaient « Antigone » à L’épée de Bois. A la question : « comment trouvez-vous vos sujets ? » Jean Marie Straub a répondu : « ce sont mes sujets qui me trouvent ». C’était pour moi une parole… biblique. J’ai pensé sans nostalgie : si je n’ai pas refait de films, c’est que je ne devais pas en faire.
On peut être le roi de sa famille et de ses amis, mais ce n’est pas ça avoir une profession artistique comme la notre, c’est propulser ce qu’on ressent à l’extérieur. Il faut se secouer, apprendre les langues, aller partout, tout voir, de la mansarde au Georges V, rouler en solex et en Rolls, et ne jamais être épaté…
LA FEMIS J’ai rencontré Jacques Fraenkel qui était à l’Idhec. Il m’a fait confiance, il cherchait des professeurs pour suivre les projets des étudiants de A à Z. C’était la première fois que je tentais une expérience pédagogique. J’avais un désir de « passage » (de passer le relais), je me rendais compte que mon parcours artisanal pouvait aider les jeunes qui avaient un fort sentiment de cinéma d’auteur, afin qu’ils perdent le moins de temps possible…
Après la formation de la Fémis, j’ai rencontré Jack Gajos et Pascal Bonitzer. J’étais heureuse à nouveau car je sentais que je pourrais poursuivre ce que j’avais commencé à l’Idhec. Je suis très engagée dans ce que je fais à l’école, dans le département scénario, le plaisir de l’échange. Je vois un maximum de films Fémis, tous m’intéressent, tous les genres, tous les formats. Ce que j’aime c’est la sincérité, la force d’un propos, même si je suis devant certains récits comme un… ethnologue ! Je regarde et je me dis : tiens on vit l’amour , le rapport à l’autre, au corps, à la maladie, à la pensée ainsi ? Tiens, tiens ! Ce que je refuse c’est la tiédeur, les films tournés du bout des lèvres, en trainant les pieds… Je crois que c’est avec tous les risques que cela comporte, une méthode forte celle du « nous vous apprenons et maintenant travaillez vous-mêmes. » L’ouverture, c’est ce que j’aimerais apporter à l’école. Qu’on soit d’un très grand pays ou d’un pays plus modeste, une patrie ce n’est pas assez… La vie m’est trop étroite. Faire un film, s’exprimer par l’image, c’est un langage commun à tous, plus large que les mots. Il faut avoir quelque chose à dire, une conviction, on en revient toujours là. Je pense à tous ces films que j’aimerais emporter avec moi sans pouvoir tous les citer mais afin de me dire qu’il faut travailler encore, toujours plus, « comme un moine » comme il disait lui-même, je prendrais les 12 longs métrages, 8 moyens métrages et tous les plans séquences, ébauches, romans essais et poème de Pasolini…
Propos recueillis par Philippe Bernard et Sylvie Ayme, novembre 1992
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Urszula
CINÉASTE
“La féminité est le ressentiment personnel d’une femme. Elle ne dépend pas des autres. La féminité n’est pas influencée par les origines, la condition sociale ni par l’âge. L’intelligence, la beauté, le geste, le langage ou un regard, les talons ou une belle robe, peuvent y contribuer. Mais la féminité restera le ressentiment personnel d’une femme. Un état de grâce.“
Plus de 70 films sont déjà au compteur d’Urszula Lesiak. Spécialisée dans le montage de longs-métrages et de documentaires, Urszula vit et travaille à Paris depuis plus de 30 ans déjà. Après ses études en Pologne, puis à la Sorbonne, Urszula a bâti sa carrière en grimpant les échelons dans l’industrie de cinéma. Assistante réalisatrice, assistante monteuse, puis monteuse, c’est la rencontre et la collaboration avec Krzysztof Kieslowski en 1990 qui a bouleversée sa vie et sa carrière. “Belmondo par Belmondo“ est le titre de son dernier “bébé“, le documentaire dont elle est co-auteure. Pleine de vie et d’expérience, Urszula élargit ses horizons. Elle commence à travailler en tant que script doctor et rêve de réaliser son propre film autour d’une histoire bien ancrée dans la vie. Sociale, Urszula est à la recherche d’un pays chaud ou d’une île déserte avec de l’énergie positive, pour s’y installer un jour avec tous ses amis proches et partager le bonheur d’être ensemble.
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« Les mondes de Philip K. Dick »
Coproduction : Nova Production / ARTE France / Darjeeling. Livraison premier trimestre 2015.
Un film de Yann Coquart, écrit par Yann Coquart et Ariel Kyrou.
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Nova Sessions #3
Réalisation Gautier&Leduc
Nova production - France 4 - CultureBox - 2015.
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Un coup de maître
de Rémi Bezançon, fiction 1h35, Mandarin Production, sortie 2023
Pascale Alibert assistante monteuse de Sophie Fourdrinoy
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JACQUES (court métrage) from Isabelle LAURENT on Vimeo.
Avoir peur de vieillir quand on a 50 ans...
Avec Didier VINSON
Assistante réa : Aurélie RAOULL Scripte : Anaïs CORNO Directeur photo/cadreur : Grégory TURBELLIER Assistant cam : Raphaël APRIKIAN Chef electro : Cyriac LEBERT Chef machine : Lancelot GRANZIE Ingé son : Arnaud MOREL D'ARLEUX Compositeur & mixeur : Lucas SALVADOR Make up : Justine LAHCCEN-ROSELET Régisseur : Guillaume MONFRAIX Monteuse : Aline SAUTERON Etalonneur : Michel REYNAERT Making of : Aurélie VIAU
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Gabriel et la montagne
de Fellipe Gamarano Barbosa, fiction 131′, Damned Films, sortie août 2017
Pascale Alibert assistante monteuse de Théo Lichtenberger
Semaine de la critique, Cannes 2017
Prix Révélation France 4
/ Prix Fondation Gan à la Diffusion
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Becoming Cary Grant
de Mark Kidel, documentaire 85′, Yuzu Productions, arte 2017
Sélection Officielle Cannes Classics 2017
Pascale Alibert assistante monteuse de Cyril Leuthy
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Nothingwood
de Sonia Kronlund, documentaire 85′, Gloria Films, sortie cinéma juin 2017
Pascale Alibert assistante monteuse de Sophie Brunet
Quinzaine des Réalisateurs, Cannes 2017
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Kaamelott, Livre IV
de Alexandre Astier, série TV, Production CALT pour M6
Pascale Alibert, assistante monteuse
Fictions courtes 3’30 Saison 4 diffusion du 2 mai au 10 juillet 2006.
photo © L’Auberge Des Deux Renards
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Buster Keaton, un génie brisé par Hollywood
de Jean-Baptiste Péretié, documentaire 53′, Quark Productions, Arte 2016
Pascale Alibert assistante monteuse de Véronique Lagoarde-Ségot
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« Les mondes de Philip K. Dick »
Coproduction : Nova Production / ARTE France / Darjeeling. Livraison premier trimestre 2015. Un film de Yann Coquart, écrit par Yann Coquart et Ariel Kyrou
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