#bob sinclar

[fidjiefidjie]

Bon Soir 💙 🎧🆕️ 💜

Bob Sinclar & Sofiya Nzau 🎶 Digane

Vidéo Rart.digital

[tony49000]

ARKADYAN & Bob Sinclar – Leleley (Tony Bambino House Remix) | Summer 2025

[tonybambino2025]

ARKADYAN & Bob Sinclar – Leleley (Tony Bambino House Remix) | Summer 2025

[transparentgentlemenmarker]

C’est donc avec stupeur que les internautes ont découvert la transformation du visage du compositeur, âgé de 55 ans. Sur les vidéos, Sinclar est effectivement

Et si ça serait un coup de pub

Confirmé

[solocanzoninelleorecchie]

le discoteche mi fanno schifo sono da divano e nient’altro però santiddio Bob Sinclar mi fai venire voglia di ballare anche se sono un pezzo di legno

[hits-2000er]

Bob Sinclar - Love Generation (2005)

[dj-bouto]

01. Moodyman "I can't kick that feeling" 02. Moodyman "Music people" 03. Fruit Loops "The Message Is Love" 04. John Acquaviva "The way we feel" 05. Dj Sneak "Tribal sex" 06. Cajmere "Re ah do dadada " 07. Jori Hukkonen "Read us what read" 08. Dj Sneak "Platform EP" 09. Mixx Vibes "Zumba" 10. Alexia "No matter what I do" 11. Todd Terry "Reach (firecracker)" 12. Adonis "Rockin down the house" 13. Chez Damier "Close" 14. Audun Kleive "Driveline (Motion Control remix)" 15. Bob Sinclar "Gym Tonic" 16. Tempo 2 "Expansive…" ??? 17. Fela Kuti / MAW remix "Zombie" 18. Dj Phenix "Club Scat (Boom Boom Bap) Stories mother never told me #04 : mixed by Dj Bouto #house #housemusic #deephouse #discohouse #tribal

Peut-être faut-il être né dans les années 60/70 pour avoir dansé sur ces musiques...

[thejoyofviolentmovement]

Photography: Capital One City Parks Foundation Summerstage and the French Consul General in NYC Present Bastille Day at Rumsey Playfield 7/13/25 @capitalone @CPFNYC @dkcnews @summerstage @centralparknyc @bobsinclar @bigfloetoli @PatrickBruel

[strangears]

Bob Sinclar et son "Western Dream"

Avant Internet, j'avais principalement accès à la French Touch par la télévision, et si par quelques miracles, elle m'a fait découvrir des noms comme Vitalic, Cassius, Tellier ou Air, la plupart du temps, je bouffais la même merde que les autres. Et souvent la même en boucle, savoir-faire ultime du mainstream pour te la faire avaler, voire apprécier malgré le goût. Dans ce domaine, « Love Generation » a été un cas d'école, on l'entendait partout, du générique de la Star Academy à la coupe du Monde 2006, de la cour de récré à la boite de nuit – je n'y avais pas accès mais paraît que - ça sifflotait gaiement, ça « Pam-Pa-Pa-Pomait » et ça avait fini par prendre la tête. Je me demande si Bob lui-même la joue encore ou la supporte toujours aujourd'hui. En tout cas, avec ce tube, il avait fini de conquérir le monde et était devenu l'un des DJ les plus en vogue. En comparaison à ses comparses 'mainstream' ayant percés à la même période David Guetta et Martin Solveig, il est celui dans le début discographique s'en sort le mieux. Ses trois premiers albums sont intéressants à leurs façons, chacun apportant leur petite pierre à l'édifice ; si « Paradise » touchera tout amateur de French Touch, « Champs-Elysées » et « III » lui donneront un côté clinquant, comme une nuit dans les boîtes les plus embourgeoisées, dans les rues les plus lumineuses de la capitale. Les tubes étaient déjà là ; « Feel For You », « The Beat Goes On », « Kiss My Eyes » mais avec « Love Generation », l'envie de toucher le grand-public se veut plus prégnante que celle de jouer au DJ. Il y réussira, « World Hold On » basé quasi sur la même formule renforcera son succès planétaire. Malheureusement, Western Dream et ce qui suivra, signera la fin de sa consistance discographique. Je me fais avoir en 2006, sûrement plus par la promotion que par les morceaux eux-mêmes ; en tout cas, je me retrouve avec le disque dans ma sacoche à Cds. Dessus se trouve aussi son troisième plus gros tube, « Rock This Party », que j'ai toujours trouvé putassier, même à quinze piges. Je connaissais le titre originel et pour moi, ce nouveau mélange ne fonctionnait pas. J'appréciais la cohérence dans les clips, où l'on retrouvait ce jeune garçon fou et rêveur, mais sans pour autant trouver qu'ils étaient de qualité. On n'est pas sur l'Interstella d'autres frenchies qui a bercé mon enfance... Malgré ces avertissements, Western Dream sera mon disque de vacances 2006, acheté juste avant de partir dans le Sud dans mon Leclerc local. Et il sera donc écouté plus de fois qu'il n'aurait dû.

Ça commence plutôt mal, avec « Love Generation » qui ouvre le bal dans sa version longue... ce n'est pas comme si on n'était pas déjà en pleine indigestion ! Bien sûr, encore jeune, j'arrive à prendre un peu de plaisir à la progression du morceau et sa remontée piste par piste à mi-parcours ; ce n'est plus le cas à l'heure où j'écris ces lignes. « Tennesse » faisait partie de mes titres préférés, car il m'emmenait dans un autre monde, celui de la country, que je ne connaissais pas à l'époque et trop peu aujourd'hui. Le mix prend encore mais je peux comprendre qu'un amateur du genre ne soit pas aussi enchanté que moi. Surtout par le pont à 3:40 et ses « O-ho-ho-hoo » navrants. « Tennesse » était en tout cas en parfaite adéquation avec le titre de l'album et sa pochette. « Everybody Movin' » et sa ligne synthétique par contre, me rebutaient et je n'ai pas changé d'avis. Ça ne va nulle part, n'a aucune cohérence dans la tracklist, les chœurs sont greffés n'importe comment et j'aurais moi-même pu le composer sur Ejay. On a ensuite la version longue de « World Hold On », un peu plus digeste que celle de « Love Generation » mais que je zappais tout aussi vite. Puis on arrive sur ce que je juge être le meilleur morceau de l'album « Miss Me », qui aurait fait un bien plus beau troisième single que « Rock This Party ». C'est encore une fois très basique ; de simples notes à la guitare et à la bass, un beat Dance et la voix chaleureuse de Gary Pine, mais ça fonctionne sans trop vouloir en faire comme les autres tubes. Je viens d'apprendre que le titre suivant « For You » est co-produit avec Martin Solveig et j'aurais pu le deviner tellement l'on retrouve le style plein de candeur du bonhomme, ses emprunts Rock aussi rigolos que maladroits. Le reste de l'album nage entre ces différentes eaux, choisit plutôt la guitare acoustique à l'électrique, « Shining from Heaven » ressemble à un pastiche des singles, « Amora Amor » est trop minimaliste pour vraiment réussir son hommage au caliente et la balade « Give a Lil Love » prouve que Bob aurait du se cantonner à la Dance.

Western Dream ressemble à ces albums réalisés dans la foulée après un tube, en tournant autour sans réussir à dépasser l'original. Même si deux-trois autres morceaux sortent du lot, en reprenant la formule ou en s'aventurant ailleurs, Sinclar concrétise rarement les essais. Il montre aussi des signes alarmants que l'on retrouvera surtout dans son suivant « Born in 69 », à savoir des morceaux où les pièces ne s’imbriquent pas, donnant un tout presque dissonant et forcé. Entre ces deux albums, moins inspirés, il continuera à essayer de surfer sur son gros succès, en produisant encore quelques tubes sympathiques (« What I Want », « Together »...) jusqu'à sombrer dans le mauvais goût avec « Lala Song », ce qui signera la fin de sa période dorée. Je le lâcherai à cette période, n'ayant jamais compris le succès de « Far l'Amore ». Il se rattrapera néanmoins période Covid sur ce qu'il sait faire de mieux, à savoir DJ ; faire découvrir la musique qu'il aime et qui fait bouger. Il retrouvera alors l'estime qu'on pouvait lui porter à ses débuts, comme pour boucler la boucle. Recommandation : ***/5 pour mon moi d'avant, **/5 aujourd'hui.

[essential-music]

The summer of 2006 pulsed with a vibrant energy, and at its heart was Bob Sinclar’s “World, Hold On,” a house music anthem that captured both the dance floor and the soul.

From the moment the track’s infectious whistling hook pierces the air, it commands attention, weaving a melody so catchy it feels like a universal language. Paired with Steve Edwards’ soulful, commanding vocals, the song delivers a message of hope and unity that resonates far beyond its 127 BPM pulse. It’s a call to “open up your heart,” to pause and reflect on a world in need of love—a sentiment as timeless as the track itself.

Musically, “World, Hold On” is a masterclass in balance. Its four-on-the-floor beat lays a steady foundation, perfect for swaying bodies in a crowded club or a solitary dance in a sunlit room. The syncopated whistling and crisp percussion inject an adrenaline rush, while the major-key chord progressions lift the spirit, creating a sound that feels both euphoric and grounding. Sinclar’s production is polished yet uncluttered, letting each element—synths, bassline, vocals—shine in harmony. The gradual build-ups and vocal-driven breakdowns keep the energy dynamic, ensuring the track never overstays its welcome.

The lyrics, simple yet profound, are the song’s emotional core. Lines like “everything is gonna be alright” and “one day you will have to answer to the children of the sky” carry a weight that transcends the dance genre, urging introspection and collective responsibility. Whether interpreted as a spiritual plea, a cry for peace, or a celebration of universal love, the words hit with sincerity, amplified by Edwards’ emotive delivery. The refrain, “World, hold on,” feels like a global embrace, a reminder to hold fast to hope amid chaos.

Culturally, the track is a snapshot of optimism, blending the exuberance of mid-2000s dance music with a forward-thinking message. Its versatility shines in its ability to soundtrack a beach sunset, a sports victory, or a quiet moment of reflection across continents—from Brazil to Lebanon to India. The whistling, often singled out as the song’s crown jewel, adds a playful yet poignant touch, making it instantly recognizable and endlessly replayable. Even the song’s quirks, like the debated “children of the sky” phrase, spark curiosity, inviting listeners to find their own meaning.

Technically, the track is pristine. The mix is crisp, with the whistling and vocals cutting through the rhythm section with clarity, making it as effective on a club sound system as it is through earbuds. While not revolutionary, the use of whistling as a lead melody was a bold choice, setting it apart in a crowded genre.

Nearly two decades later, “World, Hold On” remains a vibrant force, its groove as fresh as ever, its message undimmed. It’s a song that doesn’t just move the body but stirs the heart, reminding the world to hold on to love, to unity, to the promise of a better tomorrow. In a word, it’s timeless.

Year: 2006

Composition/Lyrics: Steve Edwards, Bob Sinclar, Michell Tordjman

Producer: Bob Sinclar, Michell Tordjman

[ihatemodelss]

Kiss My Eyes

[che-de-di-co]

Michele Serra, colui che ha promosso la manifestazione [europeista] a Roma alla quale hanno partecipato appassionatamente insieme, indistintamente, pacifisti e guerrafondai, scrive per Repubblica appartenente a GEDI Gruppo Editoriale, che fa capo a Exor della famiglia Agnelli. Tra le controllate di Exor c’è anche Iveco Defence Vehicle, che produce veicoli per scopi speciali. Iveco ha poi costituito con Leonardo, gigante nazionale della difesa, il Consorzio Iveco Oto Melara (Cio), una joint venture che produce autoblindo Centauro II e veicoli di combattimento fanteria Vbm Freccia. Solo negli ultimi due anni Cio ha venduto 96 Centauro II e 46 Vbm all’Esercito Italiano, oltre ad averne forniti a Spagna, Giordania e Oman.

Sapevatelo. Pis.end.lov.generescion 🙈

[disordinarybeauty]

"INTERNET IS NOT THE REALITY".

I wish I was tres jolie like Bob Sinclar.

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This is not real. It's just a reel. The internet is not the reality. This is the fake Bob Singular made in DISØRDIN∆RY BÆUTY 🥀🪞

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Bob Sinclar recently became viral because of a very provocative social media campaign for the launch of his new single + video.

Showing himself online with apparent cosmetic surgery sparking debates, he then revealed the ruse inviting us to not trust the Internet.

"INTERNET IS NOT THE REALITY".

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I believe this was a powerful campaign, exploiting a sensitive argument, the image of celebrities, their bodies are constantly scrutinized and judged by the gaze of society, news, and magazine. Sinclar used his good look, and his appeal, he altered his image with fake cosmetic surgery and triggered the starving gaze of social media audience. Sinclar looks after his image, his look is part of his brand, and by disfiguring that image he created some sort of self-détournement of the Bob Sinclar hot DJ brand. He invites us not to trust the Internet, "the internet is not the reality". And that's true, but I also suggest not trusting celebrities on the Internet! ;)

Sinclar appeared in photos and videos with a typical Botox face. Botox is very fashionable at the moment. Social media like Instagram and TikTok are full of Botox photos and videos. Those who are into Botox were supporting Sinclar new look, a little Botox just lift a bit your facial features until you look like you were bitten by wasps. Those who have doubts about Botox probably thought well, if Sinclar had Botox, why shouldn't I!?

Celebrities influence a lot of your choices, they profit from their influence on you. Before you copy their next moves, make sure those moves are for real, especially when these actions could affect your physical and mental health. And your bank account because plastic surgery isn't cheap, and when it is it's probably toxic, and eventually, deadly.

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The détournement is a practice conceived by the Situationists for transforming works by creatively disfiguring them. The détournement reverses the Spectacle.

[transparentgentlemenmarker]

Bob Sinclar et derrière son visage botoxé, un coup marketing de génie pour son dernier titre.

Après des semaines d’apparitions méconnaissables qui ont fait réagir la presse et les réseaux sociaux, la transformation physique de l’artiste s’avère être, en réalité, une masterclass de communication pour faire parler de son dernier titre Take It Easy On Me. Vous validez ? Stromae l'avait fait, rien de nouveau 3 février 2025

[valeramusic]

[4K] Bob Sinclar - The Bob Sinclar Show (REVIEW: Best Of December 2024, Mixed by VALE/RA) - 06 January 2025