#cobrieux
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C'est mon lieu d'équilibre préservé, là où les aspects menaçant de la vie se dissolvent, où je trouve "une possibilité plus vaste, plus profonde, plus émouvante et vibrante de vivre le Présent."
#Cobrieux#Photos personnelles#Les chats#Le jardin#Mon espace#Maladie#Le présent#O'Balai#Cat Blanchett#Le printemps#Le prunus padus
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Zoom sur... Mais comment sont choisis les produits vendus chez SuperQuinquin ?...
Comme chacun(e) d'entre vous, j'imagine, j'adore les surprises qui m'attendent à SuperQuinquin, lors de chacune de mes venues ! Sans cesse de nouveaux produits, tous plus réjouissants les uns que les autres ! Mais selon quels critères sont-ils choisis ? D'où viennent-ils ? Enquête au Bocal...
Actuellement, c'est l'équipe de salariés qui s'occupe des commandes, en fonction des suggestions des coopérateurs et de ce qui leur semble manquer pour optimiser et diversifier les gammes. Le 15 novembre dernier, la commission Achats (composée de coopérateurs) a été réorganisée, afin de prêter main forte aux salariés. Au démarrage du magasin, l'équipe de salariés avait la volonté d'achalander le magasinessentiellement en direct, via des petits producteurs, le plus locaux possible. Rapidement, ils se sont heurtés à deux types de difficultés :
La vitesse d'écoulement des stocks ainsi que la capacité de stockage du magasin actuel ne permettent pas de commander de grosses quantités à la fois. Or, les producteurs ne peuvent pas se permettre (pour des raisons de coût et de temps) de livrer chaque semaine de petites quantités (par exemple, trois caisses de salades...). Actuellement, la Ferme des Récollets, située dans les Flandres, accepte de nous livrer une centaine d'euros de fruits et légumes hebdomadaires, uniquement car nous lui commandons également environ 400 euros de produits carnés.
L'équipe de salariés manque de temps pour pouvoir traiter avec une multitude de producteurs. Elle gère déjà une soixantaine de fournisseurs (pour environ 2500 références), ce qui est bien supérieur aux supermarchés classiques, qui commandent via de grosses centrales d'achats. Et les inventaires continuels, nécessaires pour commander de façon pertinente, sont extrêmement chronophages.
Malgré ces difficultés, SuperQuinquin reste fidèle aux valeurs qui ont présidé à sa création et a pour ambition de proposer, dans chaque gamme de produits, au moins une référence de chaque type : bio, local et conventionnel. Le Bocal effectue ses commandes selon cinq critères (certains produits répondant à plusieurs critères à la fois) :
Le producteur respecte-t-il des engagements en terme éthique ? Dans cette catégorie, nous trouvons par exemple les produits issus du commerce équitable, la bière fournie par l'ESAT d'Armentières, la gamme de thés de la coopérative 1336 (reprise par les salariés de l'ancienne usine Lipton).
Le producteur respecte-t-il l'environnement ? Il s'agit là des produits issus de l'agriculture et de l'élevage bio, mais aussi d'autres labels : « naturel » ou en « biodynamie » (une partie des vins proposés dans le magasin).
L'origine des produits est-elle locale ? Par locale, nous entendons que le lieu de production ou le siège social de l'entreprise se situe dans un rayon de cent kilomètres autour de Lille. Cela concerne par exemple les fromages de l'Écaillonn (Cambrésis) ; les huit brasseries lilloises ou flamandes auxquelles nous commandons une partie des bières (Brasserie du Singe savant, Brasserie Célestin, Brasserie du Pays Flamand, Brasserie Thiriez, Brasserie du pays de l'Artois, Brasserie des 7 bonnettes, Brasserie Lyderic, Brasserie LIL') ; les Vergers de Viveterres, situés à Godewaersvelde, dans les Flandres (labellisés Vergers responsables) qui nous fournissent en pommes, poires et jus de pommes ; les produits de soin Möbius, fabriqués par une coopératrice, à Roubaix ; la miellerie de la Divette, en Picardie ; le grossiste en fromages roubaisien Losfeld... Pour ce type de produits, une attention est évidemment portée au fait qu'ils n'aient pas été ou peu traités.
Les produits possèdent-ils de bonnes qualités gustatives ? Bien sûr, une certaine part de subjectivité existe... Et certains produits bio peuvent ne pas nous réjouir les papilles.... Néanmoins, la priorité est donnée aux produits possédant un Label Rouge (les poulets de Licques, le saumon d'élevage...). Les remarques (bonnes ou mauvaises), émises par les coopérateurs dans le cahier de suggestions, sont également prises en compte.
Et enfin, le critère du prix ! En effet, l'équipe de salariés essaie de proposer une diversité de prix, afin que tous les coopérateurs puissent accéder aux produits de chaque gamme (rayons pâtes, moutarde, etc...).
Une attention est également portée aux régimes particuliers : sans gluten, végétarien, etc...
Et puis, d'autres informations, en vrac :
En 2019, les commissions Evénements et Achats proposeront aux coopérateurs des visites chez les producteurs, à l'instar de celle du producteur d'asperges de Cobrieux, l'an dernier.
Au rayon vins : c'est la commission Vin qui choisit et commande, le plus souvent chez des fournisseurs (de plus en plus de petits producteurs utilisent des groupements et des plateformes mutualisées pour vendre leur vin), exceptionnellement « en direct ». Alexandre, Christophe et Patrick donnent la part belle aux vins « plaisir » et du quotidien. En privilégiant les producteurs indépendants, propriétaires de petits domaines, à des prix raisonnables. De nombreux coopérateurs sont en demande de vins bio et consomment plutôt du vin rouge, ce qui oriente les choix en ce sens. Nos trois connaisseurs vont à la rencontre des producteurs à l'occasion des Salons de vignerons : à Seclin et à Lille, récemment.
Les produits de soin : dès que la nouvelle commission Achats viendra prêter main forte au Bocal, il est prévu de faire davantage appel à des producteurs locaux ou « en direct ».
Les surgelés : pour l'instant, les aliments sont tous bio. Dans le futur magasin, du conventionnel sera également proposé.
Le pain : le lundi, c'est Mélanie « l'Enfarinée » (cf. l'article à ce sujet) qui nous régale ! Du mercredi au samedi, notre pain bio est livré par la boulangerie Alvin, à Cysoing.
Ce petit tour d'horizon vous a permis, je l’espère, d’éclairer vos lanternes de super-héros de la consomm’action !
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Une prise de conscience écologique nécessaire pour éviter les inondations

Photo de Virginie Boulet, LVDN.
Des travaux nécessaires pour éviter les inondations décennales qui permettent aussi de préserver la biodiversité d'espaces humides : c'est le projet de grande ampleur qui se concrétise petit à petit dans la Pévèle, région des Hauts-de-France où les précipitations font des ravages de plus en plus fréquemment.
Quel est le problème ?
A 50 mètres d'altitude, en haut de la colline de Mons-en-Pévèle faite d'argile, la Marque prend sa source. Elle parcoure 31 km en zone rurale jusqu’à se jeter dans la Deûle, à Marquette. La rivière est alimentée par les eaux qui ruissellent sur les pentes de Mons-en-Pévèle, mais aussi par une multitude d'autres affluents, ruisseaux et courants, dans une zone assez plate, ce qui explique la présence de marais et de zones humides. C'est une rivière paisible sur les rives desquelles il fait bon se promener, mais elle peut aussi devenir redoutable, en cas de précipitations importantes. En effet, par des effets de ruissellement, les communes en aval sont régulièrement sujettes à de fortes inondations. Parmi les plus spectaculaires, celles de 1944, 2000, 2005 et 2013... L'année dernière, en juin 2016, une inondation sans comparaison possible avait eu lieu dans cette zone due à la chute de l’équivalent de presque un mois de pluie en trois heure. 45 minimètres de précipitations s’étaient abattus en 1 heure sur la commune de Cappelle-en-Pévèle. En tout, 21 communes de l'intercommunale avaient été reconnues en état de catastrophe naturelle et 62 demandes d'intervention avaient été recensées après ce que les habitants ont surnommé "Le déluge du siècle".
A quoi sont dues ces inondations qui semblent de plus en plus fréquentes ?
Si Bernard Chocraux souligne la responsabilité de chacun quant à l'entretien du cours d'eau attenant à sa propriété, le désenvasement des fossés et l'entretien des berges n'a pourtant pas suffit à juguler la montée des eaux lors des inondations décennales. Les responsabilités sont multiples : les agriculteurs sont souvent montrés du doigt, l'on voudrait qu'ils changent le sens de leurs cultures... Mais les maires aussi ont leurs responsabilités : ce sont eux qui délivrent des permis de construire sur des zones naturellement tampon. L'urbanisation et la bétonisation de ces zones humides empêchent les terres d'absorber les précipitations. D'autres maires ne mentionnent pas les fossés qui longent les parcelles lors de ventes, et omettent donc de dire aux acheteurs qu'il ne faut pas les boucher.
Puisqu'on ne peut pas revenir en arrière, comment parer à ce problème ?
Pour la communauté de communes de Pévèle Carembault (CCPC), ce problème récurrent des inondations est devenu une des priorités. Bernard Chocraux, maire de Capelle-en-Pévèle et vice-président chargé de l'environnement à la CCPC, s'est battu pendant 12 ans pour mettre au jour le projet d'aménagement hydraulique initié début 2016 qui consiste à créer des espaces où l'eau pourrait être stockée en amont des villages, lors des fortes pluies. Mais pour commencer les travaux, l'intercommunalité devait se rendre propriétaire des terres agricoles. Il a donc fallu convaincre les propriétaires et les associations de défense de l'environnement du bien-fondé de ces aménagements. Il a par exemple fallu 2 ans de négociations et une expropriation pour récupérer les 1000 m2 nécessaires pour concrétiser la zone d’expansion de crue de Drumez.
En quoi consistent les travaux ?
Déclarés d'utilité publique, ces 7 aménagements qui devraient se terminer en 2018, se déroulent en 3 phases. Le premier chantier, le plus impressionnant, mené depuis juin 2016, est à présent terminé. C’est une zone d'expansion de crue (ZEC) au Drumez, entre Attiches et Mons-en-Pévèle, qui peut retenir jusqu'à 57000 m3 d'eau, complétée par une digue à travers la Marque. Plus que d'empêcher les inondations, cet aménagement a aussi vocation à préserver la biodiversité, grâce à une renaturation du site. Pour cela, en parallèle des ZEC, un reméandrage de la Marque est prévu, ainsi que la plantation de végétaux sur ses berges comme les emblématiques saules têtards qui servent de refuges pour la faune et la flore. “Nous allons créer des mares mais aussi amener de la terre dans la réserve ornithologique pour créer des îlots afin de mieux protéger des espèces que les prédateurs arrivent à chasser facilement” explique Mr. Chocraux. Deux autres zones d'expansion de la même nature mais à moins grande échelle ont également vu le jour au Bois de l'Aulnaie et à Corbieux, retenant respectivement 4000 et 2000 m3 d’eau en cas de précipitation. Jusqu'en 2018, la CCPC prévoit la création de différents fossés et mares... Une dernière ZEC sera également créée à Tourmignies pour retenir 9000 m3 d'eau, soit l’équivalent de trois piscines olympiques.
Je n’arrive pas à imaginer, qu’est-ce exactement qu’une ZEC?
Une ZEC, zone d’expansion de crue, est un moyen de lutter contre les inondations qui vise à contrôler et gérer les risques de débordement d’un cours d’eau en canalisant les crues vers des zones où l’inondation peut se faire sans risque. Les eaux sont ensuite déversées via les lits naturels des cours d’eau avec un flux contrôlé.
source image : http://wikhydro.developpement-durable.gouv.fr/index.php/Wikibardig:Zones_d%27expansion_de_crues_(ZEC)

Et qui va payer pour l'insouciance du passé ?
Le coût total de tous ces travaux est estimé à un peu plus de 2 millions d'euros pour ces 7 aménagements. Mais la communauté de communes n'aura pas à tout payer toute seule, au contraire : elle reçoit des subventions à hauteur de 80% du coût total de ces aménagements. L'Union Européenne, via le fonds FEDER (Fonds européen de développement régional) participe pour un peu plus de 1 million d'euros, soit la moitié du financement total. L'Agence de l'eau prend en charge le reste des subventions au projet. La communauté de communes ne doit ainsi s'acquitter "que" de 20% des travaux d'aménagement soit 440 075 €.
Avec ça, la communauté de commune devrait être préservée des inondations lors des futures fortes précipitations, à part si bien-sûr.. les digues retenant l'eau lâchent...
Sources :
- http://www.lavoixdunord.fr/archive/recup%3A%252Fregion%252Fpevele-d-attiches-a-cobrieux-des-amenagements-ia28b50426n3376308
- http://www.lavoixdunord.fr/179202/article/2017-06-16/un-apres-le-deluge-du-siecle-qu-t-fait-contre-les-inondations
- http://www.sosmarque.com/bulletins/16bulletin0710/Bulletin_16.pdf
- https://www.pevelecarembault.fr/lutte-contre-les-inondations/
- https://www.pevelecarembault.fr/renaturation-marque/
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Après les brumes matinales, partir par les chemins saluer les derniers fantômes de l'automne. Vite, car on sent bien que la terre s'étire avant de pâlir et de s'endormir...
#L'automne#Novembre#Le matin#Cobrieux#Les saisons#2ème confinement#Photos personnelles#La marche#Chemins
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Courir les chemins, battre la campagne et fendre le brouillard...










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"Retrouver ce cœur pur, naturel... Abattre les frontières entre le soi et le vivant de toutes choses . Et alors, un échange incessant s'engage, extérieur-intérieur, un cycle naturel de revitalisation, d'auto-régénérescence incroyable." (Charles Juliet, Entretien avec Fabienne Verdier)
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Plan grand froid activé. Rentrons les minets !
#Le froid#L'hiver#Les saisons#La neige#Cobrieux#O'Balai#Panda#Les chats#Photos personnelles#Cat Blanchett
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Mes invitées à collier du 1er janvier, autour d'une table bien dressée... BONNE ANNÉE !
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Intermède printanier joliment célébré
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Isolée mais bien dans mon village en bordure de bois, en compagnie de Bella et loin de Corona...










#La solitude#Les bois#Le clocher#Le chemin qui longe le jardin#Le ciel#Le calme#Photos personnelles#La tempête la mairie#Cobrieux
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15 jours et demi de campagne pour une demi-journée en ville, voilà mon bon équilibre !!!!!
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“Dès qu’on est dans un certain marasme, on veut rentrer chez soi... c’est très mystérieux une maison...”
Et ailleurs dans le document de Michèle Porte de 1976 :
- Vous pensez qu’une femme peut habiter un lieu aussi complètement ? - Oui. Seule une femme peut être à l’aise, peut y adhérer complètement. Sans s’y ennuyer. Je pense que je ne traverse jamais cette maison sans la regarder et je crois que ce regard-là est un regard féminin (...) Il y a une sorte de regard extatique, de regard en soi, de regard de la femme sur sa maison, sur sa demeure et sur les choses, qui sont le contenant de sa vie, sa raison d’être pratiquement même pour la plupart d’entre-elles, que l’homme ne peut pas partager...









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Vastitude anti-confinement pour éveiller les énergies dormantes...
#2ème confinement#L'automne#Cobrieux#Les arbres#Couleurs#La campagne#La marche#Photos personnelles#Novembre#Brumes
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Le moelleux des journées d’automne... vaut de l’or...
#Photos personnelles#Le jardin#Les chats#O'Balai#Cobrieux#La maison des voisins#Les saisons#L'automne
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Dans la nature ambrée, l'automne disparaît par la porte dorée...
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Et oui, les coberlois y croient...
#Noël#Le père Noël#L'hiver#Les saisons#Cobrieux#Le village#Les vélos de Cobrieux#Photos personnelles#Déco
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