#exprime toi
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lafeedelaverite · 1 year ago
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Parfois, nous devons nous défaire de nos fardeaux pour trouver notre équilibre.
Plus nos fardeaux sont lourds, plus il peut être difficile de trouver un équilibre dans nos vies. Peut-être sommes-nous à la recherche d’un endroit où décharger ce poids, ou peut-être essayons-nous de le garder en nous-mêmes. Mais, dans tous les cas, nous pouvons éprouver un certain soulagement, en apprenant à garder notre équilibre, lorsque nous laissons aller nos problèmes. Pense à ton…
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moncoeurestatoimonamour · 7 months ago
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Un matin
Mon amour, je ne sais pas exactement comment exprimer tout ce que je ressens pour toi, mais je vais essayer. Chaque jour, mon cœur bat plus fort pour toi et mon âme se sent plus pleine à tes côtés. Tu es la raison de mes sourires, de la paix de mes journées et de la joie qui me fait croire au pouvoir de l'amour. Avec toi, tout semble plus beau et plein de sens. Je t'aime plus que les mots ne peuvent le dire et je veux vivre chaque instant à tes côtés, en construisant un avenir d'affection, de confiance et de bonheur.©️ LM
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lounesdarbois · 4 months ago
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Robert Kime, la maison-monde
"Les trésors d'au-delà des mers afflueront vers toi"
Robert Kime exerçait le métier d'antiquaire. Son travail consistait à parcourir le monde à la recherche d'objets de mobilier artisanal rare pour revenir les installer dans l'écrin de la rigueur londonienne qui lui était familier. Monsieur Kime avait trouvé la sprezzatura du logement en le rendant chaleureux sans qu'il ait l'air professionnellement décoré. Son style est le plus abouti de la catégorie "foyer colonial", un genre qui évoque les vies romanesques antérieures au tourisme, où le doux foyer du voyageur ancien s'enrichissait de trouvailles durement acquises au fur et à mesure des retours de pays lointains. Chaque salle exprime ici en miniature quelque chose d'impérial, chaque élément décoratif est la strate d'une sédimentation patiente, chaque objet concourt à former un vaste cabinet de curiosités. Lorsqu'un coin de salon abrite plusieurs continents et plusieurs époques, le terme de musée vient à l'esprit. Plutôt que d'être statufié, le passé est ici habité. Installé dans une demeure il peuple l'arrière-plan de la vie quotidienne d'une famille, il accompagne un foyer tourné vers l'avenir, il est témoin du passage des jeunes de l'enfance à l'âge adulte, des allées et venues, des éclats de rire, des grands départs et des réconfortants retours. Les intérieurs Robert Kime ont une âme.
Le style d'habitat fixé par Robert Kime était courant chez la bourgeoisie du 20ème siècle. La peau de panthère au milieu des boiseries victoriennes, nous voyons cela dans Tintin, Blake & Mortimer, c'est une image d'Épinal. Ralph Lauren Home a puisé tardivement mais abondamment à cette source. Les appartements meublés dans ce goût éclectique étaient courants chez les diplomates, médecins coloniaux, antiquaires, marchands au long cours, collectionneurs, officiers de marine, anciens expatriés et autres catégories sociales baroques qui faisaient le charme des beaux-quartiers. La maison selon Kime est une maison coloniale placée en Europe pour qu'elle raconte le monde entier. Accomplissement des promesses messianiques, elle est la salle du trône où les richesses du monde ont afflué : tapis iraniens, carapaces de tortue des Maldives, vases chinois, instruments de musique indonésiens, estampes japonaises, table de changeur byzantin, bas-reliefs moghols, fragment d'ostrakon athénien. Jalonnées de mobilier occidental plus sobre, ces raretés rassemblées en un même lieu offrent un panorama de provenances et d'époques. Kime est l'assembleur d'une beauté composite comme les parties juxtaposées d'un vitrail, il est le découvreur de l'harmonie entre des tons, des volumes, des grammages que tout séparait.
Transportés en navire de fort tonnage à travers les tempêtes, débarqués par les dockers, les exigences du plaisir esthétique supposent une rude logistique. À Mayfair, Chelsea, Marylebone, à Jasmin, Trocadéro, Saint-Germain-des-Prés, l'honnête homme faisait de son foyer un résumé du monde où chaque mètre carré chantait la légende coloniale. "Saïgon", "Macassar" ou "Singapour", sont des mots teintés d'une telle force évocatrice que, prononcés pour qualifier la provenances des objets dans un appartement donnant sur un boulevard venteux, ils suffisaient à rappeler la position heureuse où la Providence avait placé votre petite nation capable d'en administrer d'autres situées à cinq semaines de bateau.
La maison de famille est elle aussi devenue universelle. Le monde est venu à elle, tandis que son génie local, occidental, s'est étendu au monde. La maisonnée en a rapporté les nectars les plus purs, chacun d'entre eux exprimant l'intégralité des sucs d'une cité étrangère, d'une histoire, d'un peuple. Toute cosmopolite qu'elle soit, la maison Robert Kime est une maison européenne d'abord, universelle ensuite.
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Ne pas se fier aux apparences. Des richesses autrement précieuses que de menus chiffons gisent en ces demeures. Chaque motif de chaque étoffe provient de traditions anciennes, de savoirs-faire délaissés, de palais sauvés des orages d'acier du 20ème siècle. Le damas, le Jouy, l'arabesque, le point d'Alençon, ont chacun leur signification profonde. Le paisley par exemple ne figure-t-il pas la larme du Boudha dans une tradition antérieure de 800 ans à notre ère, et transmise par des générations d'artisans indo-aryens ? La maison Robert Kime c'est la petite Europe maintenue au sommet de sa forme, si haut qu'elle peut voir l'intégralité du monde, et le donner à voir.
Monsieur Kime a eu des goûts sûrs et des dégoûts encore plus sûrs, il était connu pour exprimer en public des opinions tranchées (il n'était donc pas un gentleman). En un temps de désastreux designers Monsieur Kime persistait disait-il, à "faire des intérieurs pour qu'ils soient habités, non pour qu'ils soient regardés". La dualité radicale de l'ergonomie et du design est ancienne or il existe une ergonomie de l'habitat qui la réconcilie c'est cet ameublement smart, terme jailli des fontaines de l'intuition qui se traduit chez nous par "intelligent", mais encore par "joli", "élégant", et "fonctionnel". L'accord gracieux du fond et de la forme, du principe et de l'exécution, tient en un mot.
À l'origine de cette passion pour la beauté on trouve dans l'enfance de cet homme un modèle familial menacé, puis l'équilibre trouvé à l'adolescence dans la stabilité du foyer de son beau-père, un lieu embelli de fournitures curieuses rapportées de l'Inde à l'époque de sa grandeur. "J'essaie de créer une atmosphère dont j'ai été privé enfant. Tout est là, c'est une histoire d'atmosphère". Il fut un jeune homme précoce mais inadapté, connut Oxford, les années 1960, la charnière entre une Europe productrice, religieuse, éduquée, et le monde moderne passif, consommateur, avide de loisirs.
Au terme de l'université, Sotheby's lui offre un emploi mais Kime se retrouve à la tête de sa propre boutique par la rencontre fortuite d'une héritière qui cherchait un antiquaire pour l'aider à vendre sa collection de famille. En 1970, il épouse Helen Nicoll, auteur de livres pour enfants, et le couple s'installe dans une ancienne école gothique. La propriété est si vaste que Robert Kime y ouvre un commerce d'antiquités spécialisé dans les objets antérieurs à 1700. "Chaque salle doit commencer par un tapis" sera sa devise, ainsi commenceront les premiers voyages en Egypte et en Turquie pour y trouver des textiles anciens.
En pleine dégringolade libérale-libertaire 1970, alors que la transmission s'effondrait, quelques rares passionnés remontaient la source. Ce parcours eut pour Kime deux étapes. Sa première période antiquaire lui enseigna les étoffes, objets et motifs issus des colonies qui venaient de fermer. Dans sa seconde période, la plus hardie et la plus belle, il devint en 1988 fabricant de ces objets, aussi la production d'ornements tombés en désuétude trouva par cette initiative une résurrection.
Les créateurs compétents sont en général formés d'une base de culture classique à laquelle ils ajoutent peu à peu des apports exogènes. Peu nombreux, ils sont des hommes ordonnés, configurés à un ordre supérieur, à un Surmoi qui leur enseigne le bon usage en toutes choses, et s'ils extravaguent parfois ils ne transgressent jamais. Chez les hommes de goût la seule faute grave est la faute de goût.
Le grand désarroi des gens riches: comment dépenser l'argent. How to spend it est d'ailleurs le titre d'un mensuel catalogue à snobismes hors de prix. L'éducation du goût permet des économies, et une conduite de vie où s'enrichir et dépenser concernent l'esprit aussi. Les hommes seront davantage portés à l'héllenisme s'ils ont côtoyé enfant chez leur parent un buste d'Athéna.
L'offre d'ameublement pour la bourgeoisie a versé depuis la fin des année 1980 dans l'asepsie de loft Patrick Bateman, dans la cuisine et salle d'eau de style "bloc opératoire", dans l'armoire en métal, dans le noir et blanc. L'épure était chez les mondains une aubaine pour fuir dans l'abstrait, une transposition concrète d'un rapport au monde imposé. Le lissage des textures, la granulométrie faible, visaient à présenter un visage objectif, glissant, neutre. Les européens avaient soudain honte de tout charme qui leur soit spécifique et c'étaient les débuts de l'art-robot, anti-local, anti-artiste. Certains historiens avaient compris que 1945 serait une épuration non pas ponctuelle mais le prélude à une épuration continuelle. Épurer les lignes du mobilier était une manière d'offrir des surfaces où un coup ne peut que ricocher. Passion nouvelle, il fallait ne laisser nulle prise à la critique, n'être jamais soupçonné pour ses goûts de quelque intention condamnable. Qu'est-ce que nos intérieurs sinon les lapsus de nos intentions profondes? Un chez-soi, c'est soi-même rendu lisible par les autres. Une époque de toute-puissance du second degré dans les invitations à dîner commençait, langage de l'équivoque et du compromis, grammaire de toutes les servitudes. Ne pas nommer, ne pas assumer, ne pas penser. Patrick Bateman est l'archétype du mondain lisse, au point qu'il est contraint de chercher une soupape dans la violence, au point d'épurer L'Épuration elle-même pour pouvoir la supporter.
Robert Kime s'est consacré au parti-pris, au subjectif, au palpable qui se donne tel qu'en soi-même, il a pris le risque du ridicule et a triomphé par la beauté. Ne dit-on pas d'un travail très réussi qu'il est "désarmant"? Ainsi de ces arrangements mobiliers qui tombent sous le sens au point qu'ils renvoient même le second degré dans son repaire, complètement battu. En une époque de showroom publicitaire Robert Kime a osé la ligne courbe, le matériau noble, la texture granuleuse présente au toucher. En une époque de grisaille et de conformisme Robert Kime reste la solution idéale pour colorer son intérieur en lui conservant un goût parfait.
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mizaryrottmnt · 11 months ago
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"My Dear Puppet"
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FR: Un bon début
(you can use thé internet translation, I simplified my language)
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Unity laisse échapper un soupire long alors qu'elle est seule dans une petite pièce qui ressemble a une chambre a coucher. Un matelas au sol plutôt propre avec des draps couleur saumon aussi propre. une petite boite en bois qui fait office de table de lit avec une vieille petite lampe de chevet. Étonnant quand on sait où elle se trouve. Dans le repaire de la famille Hamato, les égouts plus précisément.
On lui a préparé spécialement cette petite couche pour qu'elle puisse dormir correctement et cela se voit. C'est plus propre que ce qu'elle avait pu imaginer avant d'y être. La jeune femme fait quelques pas en avant, regarde autour d'elle. Il y a des tags aux murs, mais pas ceux grossiers trouvés dans les rues que les tagueurs utilisés pour marquer leur présence contre un mur, mais des dessins vraiment artistiques. De beaux motifs qui semblent exprimer plus qu'une simple signature. Ça change encore de l'idée qu'elle se faisait d'un mur d'égouts. Puis l'odeur, il n'y en a pas. Pas d'odeur de fosse septique qui remonte a ses narines, pas d'odeur de putréfaction quelconque ou d'eau croupie là depuis des mois. L'air est bon.
- C'est propre.
Surprenant.
Alors qu'elle zone, sa mémoire retrace la journée qu'elle vient de vivre.
Se faire remarquer par le fils au bandeau bleu Hamato était facile, elle avait le panel parfait pour attirer son attention. Une Yokai licorne. Il était donc simple d'amorcer un premier contact. Mais elle n'avait pas pensé qu'il n'allait pas juste aller lui parler mais complètement la kidnapper en lui laissant a peine le temps de dire "bonjour". Et peu importe si elle avait des protestations, la tortue avait déjà décider de la ramener a peine avait-elle posé les yeux sur lui. En y repensant, si elle n'avait pas accepté de rester pour que la famille fasse pardonner le geste de leur frère, on aurait pu croire a une prise d'otage. Mais même si elle était devenue une otage, le but était d'arriver ici, et elle avait réussi. Il faut juste qu'elle retienne ce nom d'emprunt qu'elle s'est donné : "Unity". Étonnant qu'ils n'aient pas réagi à un nom aussi singulier.
Drrrring drrrring!
Dans sa pose, son téléphone sonne. Un petit appareil à clapet violet lavande avec un porte-clé en forme d'atome. Vieux, usé et quelque peu rayé.
-Oui... Oui je suis bien arrivée. Bien sûr.
-Je suis impressionnée de te voir réussir aussi facilement alors que mes autres petits laqués n'avaient même pas pu suivre l'un d'eux.
-Que voulez-vous Madame, je... suis juste meilleure qu'eux. Répond Unity avec un ton sans joie ni même fierté.
-Ah ah ah! Bien sûr! C'est certain maintenant que je te vois en action. je ne regrette plus du tout mon choix. Peut être l'un des plus judicieux depuis longtemps. Je compte beaucoup sur toi à présent~
Malgré les mots doux et mielleux, la Yokai a une petite grimace devant cette fausse confiance que lui donne la personne à l'autre bout du fil.
-Bien sur. Je vous les amènerais sur un plateau d'argent, soyez en sûr. Juste le temps de gagner leur confiance et de les sédater.
-Efficace. Mais, il semblerait que je n'ai pas pu suivre ton signal une fois passée une certaine zone, large. As-tu une explication ?
Unity fait silence, se remémore la journée, les détails. Les quelques objets qu'il l'entouraient sur sa route avant de passer par ce portail bleu.
-Je pense, que le traceur a été brouillé par un boîte noire.
-Oh! Ce doit être le fait de cette jeune tortue violette.
-Donatello Hamato?
-Oui c'est bien lui. Gagne sa confiance et trouve le moyen de désactiver son brouilleur. C'est ta mission première.
Gagner la confiance de quelqu'un. Quelque chose qui la fait déglutir d'anticipation. Est-ce qu'elle va y arriver? Est-ce possible ? Même s'ils ont l'air ouverts dans cette famille et... Généreux, celui au bandeau violet lui semble bien plus fermé. Son rythme cardiaque s'intensifie alors qu'elle réfléchit a comment faire alors qu'elle est toujours au téléphone avec sa commanditaire.
-.... Me suis-je bien faite comprendre ?
-O-Oui Madame.
-D'ici là, je te permet un budget illimité, carte blanche pour que la mission réussi et si tu as besoin de quoi que ce soit. Mais j'attendrai des résultats. Je les veux tous face à moi, y compris Lou jitsu, et complètement a ma merci, annonce froidement la voix de l'interlocutrice à travers le téléphone. Faisant grincer des dents la Yokai licorne.
...
-Je ne le ferai pas, Big Mama.
Unity déglutit, et raccroche une fois la discussion close par sa patronne. Elle fixe son téléphone, puis regarde le matelas et jette d'un geste ample son appareil sur le lit avant de retirer son poncho et de se poser sur le lit a son tour. Un long soupire quitte ses lèvres, une pression disparaît avec, mais une autre persiste. Une grosse tension sur ses épaules, une épée de Damoclès.
Je ne veux pas y retourner, je ne veux pas y retourner. Je dois y arriver. Si ça marche, alors je pourrai enfin...
Soupire. Elle s'affale sur le lit, les bras tendu et regarde le plafond. Le sommeil ne devrait pas tarder à la prendre, pourtant quelque chose la dérange. Le manque de bruit. Elle a l'habitude a d'un brouhaha constant autour d'elle, des gens qui parlent, qui crient, qui se battent. C'est trop calme pour elle.
....
Demain, je commencerai par celui au bandeau orange. Il semble plus simplet que les autres. Je dois en profiter.
C'est demain que tout commence.
"TBC"
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empiredesimparte · 8 months ago
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⚜ Le Cabinet Noir | N°27 | Francesim, Palais des Tuileries, Paris, 10 Fructidor An 230
Emperor Napoleon V speaks with his close friend Laura, whom he met at the École Polytechnique a year ago. He is concerned about the upcoming media attention she will face due to their friendship, as they will soon be seen together during his officer training at the Naval Academy. Laura reassures him, demonstrating a calm acceptance of the situation with disarming composure. Moved by her understanding, Napoleon expresses his affection for her. The emperor now looks forward to reuniting with Laura and their mutual friend, Joachim, far from the political storms and the pressures of his imperial palace.
Beginning ▬ Previous ▬ Next
⚜ Traduction française
L'Empereur Napoléon V échange avec son amie proche, Laura, qu'il a rencontrée à l'École Polytechnique il y a un an. Il est préoccupé par les répercussions médiatiques auxquelles son amie devra bientôt faire face à cause de leur amitié : ils seront bientôt officiellement affichés ensemble, pendant la formation d'officier à l'Ecole Navale de l'Empereur. Laura le rassure, se montrant compréhensive et acceptant la situation avec une sérénité désarmante. Touché, Napoléon exprime son attachement pour elle. Désormais, l'empereur se réjouit à l'idée de retrouver bientôt Laura et leur ami commun, Joachim, loin du tumulte politique et des contraintes de son palais impérial.
(Napoléon) ça ne te dérange vraiment pas ? (Laura) Non bien sûr
(Laura) Je m’y attendais, ne t’en fais pas. J’ai averti mes parents
(Napoléon) Désolé de t’infliger ça (Laura) Ce n’est rien, Louis, il fallait que ça arrive
(Napoléon) Je ferai n’importe quoi pour vous aider
(Napoléon) Les journalistes et les paparazzi peuvent être dangereux (Laura) On peut l’être aussi dans la famille
(Laura) Plus sérieusement, ça me fait plaisir de suivre avec toi la formation
(Napoléon) Moi aussi Laura. Ton amitié compte beaucoup pour moi
(Napoléon) Et Joachim aussi est impatient qu’on soit à nouveau réunis (Laura) Je l’ai eu au téléphone un peu plus tôt
(Laura) Juste avant toi (Napoléon) Quel hasard
(Napoléon) Comment tes parents ont pris la nouvelle ? (Laura) Plutôt bien, étrangement. Ils s’inquiètent surtout pour toi
(Napoléon) Pour moi ? (Laura) Oui. Et je suis d’accord avec eux
(Laura) Tu n’as pas eu beaucoup de repos depuis l’an dernier (Napoléon) Je vais bien rassurez-vous
(Napoléon) J’ai hâte d’être avec vous et quitter ce maudit bureau
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jeanchrisosme · 2 months ago
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Apprends à écouter le silence. Oui, ce silence que tant de gens fuient, car il dit bien plus de choses que mille paroles lancées dans le vent. Le silence, c’est la voix discrète de la vie qui murmure à l’oreille des sages. Il te dira ce que les cris ne peuvent exprimer, il te montrera ce que les yeux pressés ne voient jamais. Aujourd’hui, beaucoup veulent des réponses immédiates, des victoires sans combat, des récoltes sans avoir semé. Mais la vérité, c’est que la vie n’est pas une ligne droite, elle est un sentier sinueux, parsemé d’attentes, de pertes, de détours. La patience, mon enfant, n’est pas une faiblesse. C’est une force cachée. Celui qui sait attendre a déjà compris que tout ce qui a de la valeur demande du temps pour mûrir. Tu vas tomber, souvent. Tu vas souffrir, parfois. Mais chaque blessure a un sens. Les cicatrices que tu portes seront, un jour, les marques de ta sagesse. On ne devient pas fort en étant épargné, on devient fort en se relevant, encore et encore, avec foi, avec endurance, avec dignité. Ne cherche pas à toujours briller. L’humilité est une richesse que l’orgueilleux ne connaîtra jamais. Être humble, ce n’est pas se rabaisser. C’est reconnaître qu’on ne sait pas tout, qu’on a besoin des autres, et qu’on grandit plus vite en écoutant qu’en parlant. C’est dans les instants où tu t’effaces que tu découvres qui tu es vraiment. Et n’oublie jamais : la souffrance a une sagesse que la joie ignore. Ce n’est pas dans les fêtes que l’on apprend à être fort, mais dans les nuits froides, quand l’âme tremble, et que personne ne semble comprendre ce que tu traverses. C’est là que tu apprends la vraie prière. Pas celle des mots répétés, mais celle du cœur brisé qui continue malgré tout de croire en la lumière. Garde-toi de juger trop vite. Ceux qui sourient cachent parfois des tempêtes, et ceux qui se taisent portent peut-être un poids que tu ne pourrais pas soulever. Sois doux avec les gens. Sois profond avec toi-même. Et surtout, sois vrai. La vérité ne cherche pas à impressionner, elle cherche à libérer. La vie, mon enfant, ne te doit rien. Mais elle t’offre tout, à celui qui sait voir. Chaque matin est une page blanche. Et chaque décision est une plume. Écris une histoire dont tu ne rougiras pas le jour où tu devras la relire. Et si jamais un jour tu te demandes qui tu es, ferme les yeux. Écoute le silence. Il te rappellera que tu es fait de poussière, mais que tu as en toi la lumière de ceux qui savent aimer, endurer, espérer, et marcher sans peur dans les nuits les plus noires.
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la-ptite-schtroumpfette · 9 months ago
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Si seulement tu pouvais te voir...
À travers le prisme de mon regard
Tu comprendrais peut être mieux
Pourquoi je te trouves merveilleux.
Détrompes toi, je ne t'idéalise pas
Je vois aussi ce qui causerait des dégâts
Ce fichu caractère têtu et renfrogné
Cette manière de t'isoler, de ne pas communiquer
Qui souvent réveille mes insécurités...
Mais au final ce n'est pas un problème
Car même cette partie-là au fond je l'aime...
Elle révelle tes blessures et ton humanité
Et il n'y a rien que je voudrais changer.
On peut tout aussi bien se compléter,
Se rendre la vie plus douce qu'elle ne l'a été
Préserver la paix, sans s'inonder
Se respecter...
Se retrouver dans l'amour et la volupté
Qu'importe le reste, pas besoin que ce soit parfait
Ni même conforme à cette société...
Alors n'ayons crainte pour l'avenir
Malgré nos différences, nous avons vu pire !
J'ai foi en nous...
Parce que c'est un amour unique et fou !
Il nous transcende, nous pousse à nous élever
Vers une meilleure version de nous même
Là où d'autres se contenteraient de dire "je t'aime"
Pour ensuite tout effacer...
C'est vrai, depuis toi j'y vois plus clair
J'apprends, et j'ai encore du chemin à faire
Mais je marche mieux quand je suis à tes côtés
Car ici bas personne ne peut t'égaler
Alors... si seulement l'ego pouvait se taire parfois
Et laisser l'âme exprimer tout son émoi
Tu verrais alors toute ta lumière
Tu verrais combien elle éclaire
Tu saurais...
Et plus jamais tu ne douterais.
LPS
05.10.24
© tout droits réservés - 2024
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Image : Kelogsloops "dreamers"
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1vidapoeticando · 1 year ago
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Ainda que todos me achem louca...Serei sempre eu mesma...Não ligo para pessoas que sentem vontade de fazer e estar no seu lugar, mas não tem coragem de ser elas mesmas...A alegria verdadeira, é aquela que você tem a liberdade de ser e se expressar sem se preocupar com oque vão dizer de você...Se ame você é o projeto de Deus mais perfeito que existe...
A pesar de que todo el mundo piensa que estoy loco... Siempre seré yo mismo... No me importan las personas que tienen ganas de ponerse en su lugar, pero no tienen el coraje de ser ellas mismas... La verdadera alegría es aquella en la que tienes la libertad de estar y expresarte sin preocuparte por lo que la gente dirá de ti... Si te amas a ti mismo, es el plan más perfecto de Dios que existe...
Anche se tutti pensano che io sia pazzo... Sarò sempre me stesso... Non mi interessano le persone che hanno voglia di fare e di essere nei loro panni, ma non hanno il coraggio di essere se stesse... La vera gioia è quella in cui hai la libertà di essere ed esprimerti senza preoccuparti di ciò che la gente dirà di te... Se ami te stesso, è il piano più perfetto di Dio che esista...
Même si tout le monde pense que je suis folle... Je serai toujours moi-même... Je me fiche des gens qui ont envie de faire et d’être à leur place, mais qui n’ont pas le courage d’être eux-mêmes... La vraie joie est celle où vous avez la liberté d’être et de vous exprimer sans vous soucier de ce que les gens diront de vous... Si tu t’aimes toi-même, c’est le plan le plus parfait de Dieu qui existe...
Even though everyone thinks I'm crazy... I will always be myself... I don't care about people who feel like doing and being in their shoes, but don't have the courage to be themselves... True joy is the one where you have the freedom to be and express yourself without worrying about what people will say about you... If you love yourself, it is God's most perfect plan that exists...
Herkes deli olduğumu düşünse de... Her zaman kendim olacağım... Yapmak ve kendi yerinde olmak isteyen ama kendileri olmaya cesaret edemeyen insanlar umurumda değil... Gerçek neşe, insanların sizin hakkınızda ne söyleyeceği konusunda endişelenmeden kendinizi ifade etme ve ifade etme özgürlüğüne sahip olduğunuz yerdir... Kendinizi seviyorsanız, bu Tanrı'nın var olan en mükemmel planıdır...
Fonte: 1Vidapoeticando 🌺🍃
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selidren · 4 months ago
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Note : Au cas où, je précise qu'Ange est un personnage canoniquement bisexuel, même si il préfère les hommes. Ce retournement vient du jeu, mais il est cohérent avec le personnage.
Printemps 1937 - Champs-les-Sims
4/6
Ce que je n'ai appris que récemment, c'est qu'Ange se posait également des questions. Il a arrêté de se rendre à ses soirées. Non pas par "excès de moralité" comme le dit Cléo, mais, selon ses propres mots, parce qu'il avait fini par réaliser qu'il me voulait bien davantage que quiconque. Quand il me l'a avoué, ça a été un choc. Je ne m'en doutait absolument pas, et réciproquement. J'ai bien appris de Grand-Mère et de mes mésaventures, je cloisonne mes émotions à l'extrême. Ange, de son côté, a appris à cacher ses émotions pour des raisons évidentes. Mais tout ça, tu le sais déjà non ? Au moins, nous n'avons pas fini comme deux idiots de romans à l'eau de rose qui souffrent de s'aimer sans trouver les moyens de se l'avouer.
Transcription :
Ange « Ah… ah...ah, ah, ah ! »
Arsinoé « Quoi ? J’ai dit quelque chose de drôle ? »
Ange « Pardonne moi ma chère… C’est juste que… C’est cocasse car, ce que je voulais te dire c’est que… je suis tombé amoureux de toi, Noé. »
Arsinoé « Oh... »
Ange « Je me demande quel jugement on peut bien porter sur un homme qui tombe amoureux de son épouse. Je ne te demande rien, bien évidemment, mais je n’avais plus envie de te mentir. »
Arsinoé « Et bien, à ce propos... »
Ange « Tu as rencontré quelqu’un c’est ça ? Après toutes ces années… enfin, je comprends. »
Arsinoé « Je ne sais pas si on peut dire que je l’ai rencontré… Mais il est vrai que depuis quelques années, je commence à porter un nouveau regard sur quelqu’un. »
Ange « Oh, je… je le connais ? »
Arsinoé « Je pense. C’est un bel homme de taille moyenne, avec une prestance que l’on pourrait qualifier d’aristocratique, et qui est, selon ses filles, le meilleur papa du monde. »
Ange « Tudieu ! Je vois maintenant de qui Anna tient sa cruauté ! Tu as voulu me faire mourir de jalousie ? »
Arsinoé « Oui, un peu. Pardon... »
Ange « Ce n’est rien. »
Arsinoé « Quel couple d’idiots nous faisons. A nous tourner autour sans rien nous dire pendant si longtemps… Je ne pensais pas que tu voudrais de moi. »
Ange « Et moi de même. Et dire que je reproche à Anna de ne pas assez exprimer ses émotions... »
Arsinoé « Les adultes pensent être des modèles, mais la réalité, c’est que nous faisons simplement semblant devant les enfants. Tu en avais parlé à quelqu’un ? »
Ange « Oui, à Antoine. Il a juré de garder le secret. Et toi ? »
Arsinoé « A Lola, la sœur de Lucien. La pauvre vivait aussi un amour impossible à cette époque. »
Ange « Amour impossible… Quelle ironie pour un couple marié. »
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transparentgentlemenmarker · 3 months ago
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Savoir dire non, et poser les règles. Que pensez-vous de ce témoignage ? Doit-on dire non à un enfant pour son équilibre ou doit-on tout lui céder ? Un détenu dans le couloir de la mort a été interrogé sur son dernier souhait avant son exécution. Il a demandé un stylo et du papier. Puis, il a écrit cette lettre à sa mère. Chère maman, si la justice était équitable, tu serais assise à côté de moi, attendant d'être exécutée. Mais comme la loi est aveugle, je suis le seul condamné pour les crimes que nous avons commis ensemble. Maman, te souviens-tu ?À trois ans, quand j'ai volé les bonbons de mon frère, tu ne m'as rien dit. À cinq ans, quand j'ai pris les jouets du voisin, tu ne m'as pas corrigé. À douze ans, j'ai caché le ballon de mon cousin. Tu as fait semblant de ne rien voir. À quinze ans, quand j'ai été expulsée de l'école, papa voulait me punir, mais tu as pris ma défense. À dix-sept ans, quand j'ai volé un vélo, tu es restée silencieuse. Tu m'as aimée, mais tu ne m'as jamais corrigée. Aujourd'hui, c'est à cause de cela que je suis ici. Quand tu liras cette lettre, je ne serai plus de ce monde. Cette histoire soulève plusieurs réflexions profondes sur la responsabilité, l'éducation et les conséquences de nos choix. La morale que l'on peut en tirer est multiple. La lettre du détenu souligne que les actes ne sont pas toujours clairement isolés. Il fait référence à des moments de sa jeunesse où des comportements inappropriés ont été ignorés ou excusés. Cela suggère que les parents et les mentors ont également une part de responsabilité dans les actions de leurs enfants. L'inaction ou le manque de correction. Ils peuvent permettre à des comportements problématiques de s'installer. Cette histoire rappelle l'importance de l'éducation morale et des valeurs. Les enfants ont besoin de guidance pour comprendre la différence entre le bien et le mal. Il est essentiel que les parents transmettent des leçons sur la responsabilité et l'intégrité dès le plus jeune âge. Il rappelle aussi que chaque acte, aussi petit soit-il, peut avoir des conséquences à long terme. La progression des crimes commis par le détenu illustre comment les comportements déviants, qui ne sont pas corrigés, peuvent mener à des actes bien plus graves. Cela remet aussi en question le système judiciaire et la notion de justice. Le détenu exprime un sentiment d'injustice face à son sort, soulignant que les lois peuvent parfois sembler inéquitables et que la responsabilité morale ne se répartit pas toujours de manière juste. En somme, cette histoire nous incite à réfléchir sur notre rôle en tant que parents, éducateurs ou membres de la société et à prendre conscience de l'inflation de la justice. C'est l'influence que nous avons sur les générations futures.
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Knowing how to say no and setting the rules. What do you think of this testimony? Should we say no to a child for their stability, or should we give in to them? An inmate on death row was questioned about his last wish before his execution. He asked for a pen and paper. Then he wrote this letter to his mother. Dear Mom, if justice were fair, you would be sitting next to me, waiting to be executed. But since the law is blind, I am the only one condemned for the crimes we committed together. Mom, do you remember? When I was three, when I stole my brother's candy, you didn't tell me anything. When I took the neighbor's toys, you didn't correct me. When I was twelve, I hid my cousin's ball. You pretended not to see anything. When I was fifteen, when I was expelled from school, Dad wanted to punish me, but you stood up for me. At seventeen, when I stole a bike, you remained silent. You loved me, but you never corrected me. Today, that's why I'm here. When you read this letter, I will no longer be with us. This story raises several profound thoughts about responsibility, education, and the consequences of our choices. The morals that can be drawn from it are multiple. The prisoner's letter emphasizes that actions are not always clearly isolated. He refers to times in his youth when inappropriate behavior was ignored or excused. This suggests that parents and mentors also bear some responsibility for their children's actions. Inaction or lack of correction can allow problematic behavior to take root. This story reminds us of the importance of moral education and values. Children need guidance to understand the difference between right and wrong. It is essential that parents impart lessons about responsibility and integrity from an early age. It also reminds us that every act, however small, can have long-term consequences. The progression of the inmate's crimes illustrates how deviant behavior, if left unchecked, can lead to far more serious acts. It also calls into question the judicial system and the notion of justice. The inmate expresses a sense of injustice in the face of his fate, emphasizing that laws can sometimes seem unfair and that moral responsibility is not always fairly distributed. In short, this story encourages us to reflect on our role as parents, educators, or members of society and to become aware of the inflation of justice. This is the influence we have on future generations.
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201859265 · 4 months ago
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Par le mouvement
Le mouvement exprime et raconte.
Sentir le mouvement et comprendre son intention, son émotion.
Émotion éveillée par le son.
Par la réaction du son, provocant une émotion élément déclencheur du mouvement. Danser sera donc comme raconter une histoire, dire une phrase, un mot, une idée, une émotion, une intention, un vœux.
Sans le savoir, tellement de fois déjà, il parlait et s’exprimait devant des milliers de personnes.
Son amour. Sa rage. Son histoire. Ses blessures. Ses pensées. Ses Envies. Ses désirs. Ses secrets. Ses addictions. Ses défauts. Ses trésors.
De manière intimes, crue, pure, et intense. Tout était déjà transmis, tout était déjà dis, rien n’était dévoilé, rien à part les énergies dégagées.
En dansant, pratiquant le mouvement, inspiré par le son, il parlait directement à la personne dans les yeux, dans son viseur. Si son regard se posait sur qui que ce soit dans la salle pendant sa danse, ce n’était pas un hasard mais bien un alignement parfait, un choix. Si il te regarde, c’est qu’il te parle.
Par le mouvement il a une fois dit, je t’aime.
Par le mouvement il a une fois dit, merci.
Par le mouvement il a une fois dit, écoute moi.
Par le mouvement il a une fois dit, regarde moi.
Par le mouvement il a une fois dit, je veux gagner.
Par le mouvement il a une fois dit, je veux de toi.
Par le mouvement il a une fois dit au monde que le monde c’était le lui.
Par le mouvement Il s’exprimait, par le mouvement il disait tout ce que sa vie, sa situation et ses choix ne le permettait pas de dire par la bouche. Par le mouvement, il était vraiment lui même, vraiment puissant. Comme un pouvoir que Dieu lui avait donné sachant très bien ses futures choix.
N*13.
#poem
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lafeedelaverite · 1 year ago
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Les rêves sont les ailes de l’esprit.
Tes rêves ne sont pas simplement des choses à cocher sur une liste. Toutes les démarches que tu entreprends pour les réaliser font partie d’un voyage rempli d’espoir et de joie. S’il y a des moments où tu penses que tes rêves sont irréalistes, tu peux toujours regarder en arrière et voir tout le chemin parcouru. Quelles mesures pourrais-tu prendre aujourd’hui pour atteindre tes objectifs et…
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lisaalmeida · 1 year ago
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Tu as raison, les mots manquent, le cœur est plein, la parole est vide, comment dire qu'on aime ?
Comment exprimer l'amour ?
Comment l'exprimer à une femme comme toi ?
Par quelles paroles rendre ce mélange de tendresse, de respect, d'estime, d'admiration, de dévouement et d'adoration qu'une âme comme la tienne fait naître dans un cœur comme le mien ?
J'y renonce.
La parole humaine n'est pas faite pour exprimer l'infini, et je me contente de te dire je t'aime .....
Victor Hugo
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hurtbrokenheart · 1 year ago
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Voilà comment sont les choses aujourd'hui. Par où commencer ? Je suis une survivante d'une profonde dépression et je souhaite à tout le monde d'avoir cette fierté un jour. Évidemment, ça ne veut pas dire que mes jours sont remplis de soleil, de paillettes et de sourire. Ça veut juste dire que j'ai récupéré la force de vivre malgré tout ce qui peut me tomber dessus. Je suis encore submergée souvent par mes émotions, mon cœur crie souvent beaucoup trop fort ce qu'il ressent et c'est parfois difficile à gérer. Mais je fais de mon mieux. Oui c'est ça, je fais de mon mieux et pas seulement pour ça, pour la vie en général. J'apprends à canalyser mon anxiété seule, sans me reposer sur les gens ou les cachetons. J'échoue parfois, mais je sais que j'ai le droit d'échouer. Je ne m'en veux pas pour ça. Ou plutôt... je ne m'en veux plus. J'essaye d'accepter toute les émotions à bras ouvert, de pleurer quand l'envie s'en fait ressentir, taper du pied quand je suis contrariée et exprimer mes angoisses quand c'est le bordel dans ma tête au point où je ne m'entends même plus penser. Ah et j'ai des objectifs aussi. Dans le futur je veux dire. Si j'avais su que je m'y verrais un jour dans le futur... c'est fou comme j'avance. Je sais aimer sainement, manger à ma faim sans me priver, sortir dans des lieux publics, faire de nouvelle rencontres, pardonner et surtout j'apprends à m'aimer. Évidemment, la période de ma vie où j'étais au plus bas est encore taboue, je n'aime pas l'évoquer ou m'en souvenir. Mais je sais qu'un jour j'aurai digéré ces événements et que je saurai les accepter.
Je laisse le temps au temps, je me donne le droit d'exister, je me suis pardonné, je me donne la permission de vivre, d'être celle que je suis, de m'aimer. J'ai cessé cette guerre contre moi même car finalement, il n'y aurait jamais eu de gagnant.
Voilà où en est ma vie aujourd'hui. Et toi, comment vas-tu?
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chezlepetitprince · 2 months ago
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𖠵 Chapitre VII
Niveau: A2
Objectif: Produire un texte écrit personnel en lien avec le chapitre 7 du Petit Prince.
-ˏˋ PDF ICI ˎˊ-
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Imagine que le Petit Prince t’écrit une lettre pour te demander: Et toi, qu’est-ce qui est important pour toi? Quelles sont tes inquiétudes?
Ta mission: répondre à sa lettre (80-100 mots) en suivant ces étapes.
Étapes à suivre:
Saluer le Petit Prince.
Dis ce qui est important pour toi dans la vie (ex.: ta famille, ton animal, un ami, un rêve…)
Exprime une inquiétude ou une peur (ex.: la solitude, l’école, l’avenir…)
Termine ta lettre en donnant un conseil au Petit Prince ou en lui posant une question. Tu peux lire le chapitre dans le lien suivant El principito | AnyLang.
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nemosisworld · 1 year ago
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Tu as raison, les mots manquent, le cœur est plein, la parole est vide, comment dire qu’on aime ? Comment exprimer l’amour ? Comment l’exprimer à une femme comme toi ? Par quelles paroles rendre ce mélange de tendresse, de respect, d’estime, d’admiration, de dévouement et d’adoration qu’une âme comme la tienne fait naître dans un cœur comme le mien ? J’y renonce. La parole humaine n’est pas faite pour exprimer l’infini, et je me contente de te dire je t’aime !
Victor Hugo, Lettre à Léonie d’Aunet
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Amber Heard
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